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Adaptation au changement climatique : module de formation
Ce module aborde la notion du changement climatique, la définition de quelques concepts, les effets du changement climatique sur les secteurs clés et quelques stratégies d’adaptation. -
Note sur les travaux d’aménagement des terres du village de Makaouraci dans la commune rurale de Wacha (Zinder)
Le Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible au Climat (PASEC) vise à accroître la résilience de la communauté face aux risques climatiques et à améliorer la productivité agricole. Pour les travaux d’aménagement des terres, le PASEC cible pour ses interventions les populations vulnérables afin d’améliorer leurs revenus et leur sécurité alimentaire en périodes de soudure1. En 2018, ce projet a financé ces travaux dans le village de Makaouraci (commune de Wacha) à travers le Sous Projet Intégré Communautaire d’Agriculture Intelligente face au Climat (SPIC-AIC) élaboré par la commune et mis en oeuvre avec l’appui des services techniques de la région. -
Changements climatiques : Impacts sur l’eau et l’agriculture en Afrique de l’Ouest
Les changements climatiques se manifesteront sur toutes les composantes du cycle de l’eau, comme par exemple, la quantité et la distribution des précipitations, la fréquence et la durée des sécheresses, ainsi que l’évaporation et le bilan hydrique à la parcelle. La mousson africaine, qui rythme la vie des 300 millions d’Africains de l’Ouest, devrait se modifier : la variabilité interannuelle des précipitations liées à cette mousson devrait augmenter, tout comme l’occurrence des précipitations extrêmes. Les activités agricoles seront plus ou moins fortement affectées par ces changements, en fonction des zones agroécologiques et des spéculations. Dans tous les cas, différents travaux estiment que le ruissellement moyen et la recharge des nappes baisseront ; que la concurrence pour l’eau sera exacerbée suite à des demandes croissantes pour d’autres usages comme la production d’hydro-électricité. Les travaux menés par le Programme international de recherche sur la mousson africaine (AMMA) établissent sans ambiguïté que la variabilité spatio-temporelle excessive des précipitations est un réel frein à la production agricole. Les sociétés devront s’adapter. Néanmoins, il convient de ne pas sous-estimer la complexité de l’approche. Ainsi les plans d’irrigation sont à raisonner avec l’ensemble des acteurs et utilisateurs d’un territoire, voire d’autres pays, placés en aval des prélèvements pour l’eau d’irrigation. De nombreuses techniques, et leurs variantes locales, existent pour faire face à l’aléa hydrique. Elles visent en général à accroître la production, tout en minimisant sa dépendance aux intrants et en limitant les impacts négatifs sur l’environnement, et leur vulnérabilité. Ces techniques incluent la gestion conservatoire de l'eau, de la biomasse et de la fertilité des sols. -
Evaluation de la performance des modèles climatiques sur le Niger
Le présent rapport porte sur la composante 2 du PDIPC (appui à la recherche en modélisation et évaluation de vulnérabilité). IL est le résultat d'une étude intitulée Identification des Modèles Climatiques Régionaux les Plus Performants et le Downscaling Statistico-Dynamique des Modèles Globaux les plus Performants pour le Niger. L'étude s'est déroulée en 7 phases distinctes -
Evaluation de la performance des modèles climatiques sur le Niger
Cette étude évalue la performance des modèles climatiques sur le Niger -
Compilation et analyse des informations disponibles sur le climat actuel et futur au Niger et \ ou régional
Cette étude est une compilation des informations climatiques nécessaires pour préparer les analyses de vulnérabilité et les stratégies d'adaptation dans le cadre du plan national d'adaptation. Au début de la mission des entretiens ont été menés avec des personnes clés, ce qui a révélé que le Niger n'avait pas un accès suffisant à des informations climatiques de haute résolution. Ce rapport compile les données climatiques existantes et accessibles au public ainsi que le problème de leur taille, des formats de données inhabituels et des approches de leur analyse. Le rapport suit quatre axes des recommandations -
Le réchauffement climatique observé depuis 1950 au Sahel
Ce rapport porte sur le réchauffement climatique observé depuis 1950 au Sahel -
Climate Change and Variability in the Sahel Region
Le présent rapport porte sur le changement climatique et variabilité dans la région du Sahel, les impacts et stratégies d'adaptation dans le secteur agricole -
Climate Facts Sheet - Niger
Cette fiche décrit les tendances d'évolutions du climat au Niger, à partir d'une revue de données internationales -
Evaluation désagrégée de l’impact des changements climatiques au Niger sur les risques de dégradation des terres, les rendements agricoles et la production de biomasse herbacée
Le présent rapport porte sur l'évaluation désagrégée de l’impact des changements climatiques au Niger sur les risques de dégradation des terres, les rendements agricoles et la production de biomasse herbacée -
Appui à la formulation concertée de la SPN2A pour la République du Niger : Elaboration des projections climatiques désagrégées pour le Niger
Ce rapport porte sur l'élaboration de projections climatiques désagrégées pour le Niger -
Rapport national Conférence de Rio + 20
Ce présent rapport porte sur la rencontre décennale, également appelées « Sommets de la Terre », qui offre l’opportunité aux dirigeants mondiaux de se réunir pour définir les moyens de stimuler le développement durable au niveau mondial -
Stratégies Nationales de Développement Durable Niger
Ce présent rapport sur l'élaboration d'un rapport d’évaluation du Plan National de l’Environnement pour un Développement Durable en vue de la tenue de l’atelier de la revue par les pairs -
Niger 2035 : Un pays et un peuple prospères.
Tome - I : Diagnostic, Enjeux & Défis.
Stratégie de Développement Durable et de Croissance InclusiveLe Tome 1 de la Stratégie de Développement Durable et de Croissance Inclusive (SDDCI) cerne les éléments diagnostics, les enjeux et défis de développement du Niger. -
Programme d’action national pour l’adaptation aux changements climatiques
Le présent document élaboré par le Conseil National de l’Environnement pour un Développement Durable (CNEDD) constitue le Programme d’Action National pour l’Adaptation (PANA) aux effets néfastes des Changements Climatiques (CC). Son élaboration entre dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie Nationale et du Plan d’Action en matière de Changements et Variabilité Climatiques (SN/PACVC) élaborés en avril 2003 et adoptés en mars 2004. Cette Stratégie entre elle dans le cadre du Programme Changements et Variabilité Climatiques, un des six programmes prioritaires du Plan National de l’Environnement pour un Développement Durable (PNEDD). -
Scénarios de changement climatique sur le Niger
Ce rapport a été élaboré dans le cadre du Programme Africain d’Adaptation (PAA) et vise à développer des scénarios de changements climatiques pour le Niger, faire l’évaluation approfondie des risques de changement climatiques et leurs impacts sur les secteurs clés de l’économie (agriculture, élevage, foresterie, pêche, énergie, ressources en eau, santé et zones humides), évaluer les modèles climatiques existants, sortir des projections de précipitations et températures dans un horizon spatiotemporel adéquat et en ressortir les incertitudes. L’étude avait également pour objectif de faire une évaluationdesbesoinseninformationsetdonnéesimportantespourvalideretadapterlessortiesdeces différents modèles climatiques au Niger -
Impacts des changements climatiques dans le secteur des zones humides au Niger
Ce rapport porte sur les impacts des changements climatiques dans le secteur des zones humides au Niger -
Impacts des changements climatiques dans le secteur de l’agriculture au Niger
Ce rapport porte sur les impacts des changements climatiques dans le secteur de l’agriculture au Niger -
Stratégie et Plan National d'Adaptation de l'Agriculture face aux changements climatiques
Ressources documentaires sur les changements climatiques, leurs impacts et l'agriculture intelligente face au climat -
Adaptation au changement climatique
Cette vidéo explique ce qu'est l'adaptation au changement climatique -
Le changement climatique en Tunisie : pouvons nous nous adapter ?
Cette vidéo présente le changement climatique en Tunisie et différentes stratégies d'adaptation -
Expérience d’une résilience des écosystèmes et des communautés locales aux changements climatiques
Gestion Durable des Terres au Burkina Faso: expérience d’une résilience des écosystèmes et des communautés locales aux changements climatiques -
AVSF - Réponses paysannes aux changements climatiques
Les paysans : premières victimes du changement climatique.
Le réseau VSF Europa lance une campagne européenne sur le petit élevage face au changement climatique.
Ne pas confondre [petits] éleveurs et [gros] pollueurs
Selon le rapport mondial 2011 sur l'élevage de la FAO, 120 millions de personnes dépendent de leur bétail pour assurer leur sécurité alimentaire. A l'opposé d'une agriculture intensive, des centaines de millions de petits producteurs dans le monde luttent contre le réchauffement climatique et en sont de fait les premières victimes.
La principale cause du changement climatique est l'émission de gaz à effet de serre.
Hors, l'activité d'élevage dans son ensemble représente 18 % de ces émissions de gaz. Pourtant, la contribution des petits élevages ne doit pas être confondue avec celle des élevages intensifs, grands consommateurs d'énergie fossiles.
Un réseau européen au service d'une cause mondiale
AVSF appartient au réseau VSF Europa qui soutient le petit l'élevage pour lutter contre la pauvreté et la malnutrition. Cette vidéo a été réalisée pour une campagne européenne de sensibilisation sur le rôle déterminant de l'élevage paysan pour répondre aux impacts du changement climatique. Elle a été tournée à Madagascar, en Iran et au Sud Soudan en 2011 pour mieux comprendre les stratégies d'adaptation qu'ont développées les éleveurs paysans.
Pour suivre cette campagne : www.smallscalefarming.org -
Étude pour l’intégration de la problématique des changements climatiques dans la stratégie d’intervention du programme LUCOP. Volume 2 : contexte et impacts des changements climatiques au Niger et dans les zones d’intervention, Octobre 2008
Le Niger, faisant partie intégrante de l’Afrique de l’Ouest et Sahel, est donc touché par le même phénomène des CC. Les impacts se pose avec la même acuité que pour l’ensemble de la zone sahélienne. -
Les impacts du changement climatique sur les rendements agricoles en Afrique de l’Ouest
Impacts du changement climatique sur la production agricole -
Atlas agroclimatique sur la variabilité et le changement climatique au Niger
Sur la base d’analyse des observations climatiques historiques, d’analyse du climat futur, et de simulations à l’aide de modèles de cultures, cet atlas contient un ensemble de représentations cartographiques, graphiques et tabulaires qui permet de répondre aux questions que posent les citoyens sur les changements climatiques. -
Modélisation simultanée de la perception et de l'adaptation au changement climatique : cas des producteurs de maïs du Nord Bénin (Afrique de l'Ouest)
Au Bénin comme dans la plupart des pays en développement, les producteurs sont de plus en plus confrontés au besoin d’adapter leurs systèmes de cultures aux circonstances changeantes du climat. Cet article a pour objectif d’analyser l’adaptation des producteurs de maïs au changement climatique -
Référentiel du développement agricole durable en Tunisie : document de base pour la formation et le conseil agricole
Ce document présente les éléments clés du développement agricole durable en Tunisie -
Évaluation du risque multi-aléa dans les communes de la Région de Dosso au Niger
Entre 2010 et 2016, en Afrique de l’Ouest, 715 projets de réduction du risque hydro-climatique, d’adaptation et de résilience au changement climatique (CC) ont été lancés pour un montant de 7,3 milliards de dollars américains (OECD). Avec le terme « risque » nous nous référons à la « probabilité d’occurrence de tendances ou d’événements dangereux que viennent amplifier les conséquences de tels phénomènes lorsqu’ils se produisent » (GIEC 2013). -
Le changement climatique. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) – guide de l’animateur
Le but de ce module est de fournir aux animateurs de la JFFLS des informations qui leur permettent d’aborder le sujet du changement climatique, en particulier son impact sur l’agriculture et les actions que les agriculteurs peuvent entreprendre pour réduire leur vulnérabilité à ce changement. -
Les systèmes de productions agricoles du Niger face au changement climatique : défis et perspectives
Le Niger fait partie des pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, son environnement et à son économie. Le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40% du produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80% de la population. La performance du secteur agricole est néanmoins très instable du fait de sa forte exposition aux changements climatiques. Au cours des 30 dernières années, le Niger a subi de nombreuses sécheresses, inondations, invasions des criquets et autres attaques parasitaires. -
Impacts des changements climatiques dans le secteur de l’agriculture au Niger
La présente étude qui entre dans le cadre de la mise en œuvre de la composante nationale PAA, porte sur l'évaluation des impacts lies aux changements climatiques pour les secteurs clés du développement économique et social du Niger afin de mieux asseoir les mécanismes adéquats de planification à long terme de I ‘adaptation dans les politiques et stratégies de développement. -
Impacts des changements climatiques sur le sous-secteur de l’élevage au Niger
Pays sahélien aux trois quart désertique, le Niger est concerné à l’instar des autres pays par les préoccupations mondiales relatives à la problématique du changement climatique qui se manifeste essentiellement par la hausse des températures, la modification du niveau et de la variabilité de la pluviométrie, etc. La présente étude porte sur l’évaluation des risques liés aux changements climatiques pour le sous-secteur de l’élevage à l’horizon 2050 et à proposer des stratégies pour y faire face. -
Impacts des changements climatiques sur les forêts au Niger
L’étude porte sur l’évaluation approfondie des risques de changement sur les forêts et mise en place d’un ensemble d’outils d’analyse et de planification à long terme pour gérer les incertitudes du développement économique et social du pays inhérentes aux changements climatiques en mettant l’accent sur un modèle applicable pour les forêts au Niger. -
Etude d'avant projet détaille et élaboration du dossier d'appel d'offres dans les régions de maradi,tahoua et zinder volume du programme prioritaire
Suite à une procédure de pré-qualification,la direction générale du génie rural relevant du ministère de l'agriculture du niger,représentée par le projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de maradi,tahoua et zinder (PMERZA-MTZ,désigne ci-aprés par "client"), a invité , le 07/02/2012, studi international à lui soumettre une proposition technique et financière pour "Etude d'Avant-projet détaille (ADP) et élaboration du dossier d'appel d'offres (DAO) dans les régions de la maradi,tahoua et zin der -
Adaptation aux changements climatiques
L’homme s’est aventuré depuis plusieurs siècles comme seul maître de la planète, oubliant dans ses démarches, l’équilibre et l’interaction écologique. En effet comme le dit un adage : « Notre ignorance est une indifférence et notre indifférence est un crime ».C’est pourquoi depuis quelques décennies, le Changement climatique représente des menaces sérieuses aux vies, aux moyens d’existence puis accentue la précarité et le sous-développement. Il est marqué par des variations des températures inhabituelles qui affectent de différentes façons les systèmes de production. -
Renforcer la résilience face aux changements climatiques : la voie à suivre pour répondre aux effets des événements climatiques extrêmes sur l'agriculture
Au cours des dernières décennies, le nombre de catastrophes à l'échelle mondiale a eu tendance à augmenter, entrainant la croissance des impacts économiques associés. -
Rapport de mission
Participation du Ministère de l'Agriculture à la 19éme Conférence des Parties sur le changement climatique A Varsovie (Pologne)
Du 8 au 23 novembre 2013, un cadre de la Direction des Etudes et de la Programmation, représentant le Ministère de l'Agriculture dans la délégation nigérienne, a effectué une mission de travail à Varsovie en Pologne, à l'effet de prendre part à la 19ème Conférence des Parties sur le changement climatique. -
Guide de la CEDEAO sur l’Accord de Paris en vue de son application par ses Etats membres
La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) publie un guide sur l’application de l’Accord de Paris sur le climat à destination des Etats d’Afrique de l’Ouest et, plus généralement, des pays en développement. Développé avec l’appui du projet régional GCCA+ Afrique de l’Ouest, financé par l’Union européenne, ce guide a pour objectif d’aider les pays en développement à respecter leurs obligations à partir d’une bonne compréhension du sens et de la portée des dispositions de l’Accord de Paris, conclu en 2015.
Le guide est construit autour de fiches d’information, d’orientation et d’action classées par thématiques : atténuation, adaptation, mise au point et transfert de technologies, renforcement des capacités, transparence de l’action et de l’appui nécessaire et reçu. Chaque fiche comporte une brève mise en contexte (définition et enjeux), les éléments de réponse apportés par l’Accord de Paris pour répondre à l’enjeu, un récapitulatif des obligations et de leur portée (obligation de résultat, obligation de moyen, option facultative), ainsi qu’un rappel du calendrier pour s’y conformer, et ce, du point de vue des Etats membres de la CEDEAO et du CILSS. Des recommandations pour la mise en œuvre sont également suggérées pour guider l’action des gouvernements. -
La résilience des ménages face aux changements climatiques dans la région de Maradi au Niger : le cas de la Régénération Naturelle Assistée.
Face à une dégradation de l’environnement et à l’accroissement des chocs conjoncturels et structurels dans la région de Maradi, la population de la zone a développé des stratégies afin de lutter contre les risques de vulnérabilité à l’insécurité alimentaire et la pauvreté. En effet, les nombreuses crises climatiques et alimentaires ont induit le développement de stratégies extrêmes de la population telles que la coupe abusive du couvert ligneux. Or, ces coupes ont fragilisé un environnement sahélien aux ressources souvent limitées.
Toutefois, de nombreuses mesures ont été mises en place afin d’accroitre la résilience environnementale des populations. En effet, depuis 1980, le Fond International de Développement Agricole (FIDA) a introduit la Régénération Naturelle Assistée (RNA) dans la zone de Maradi. Celle-ci est une méthode d’agroforesterie participative valorisant les rejets d’arbustes ligneux endogènes permettant une reconstitution du couvert ligneux des parcelles agricoles. La RNA a induit depuis 30 ans un effet inverse permettant d’améliorer l’environnement, le couvert ligneux (fertilité des sols, protection contre le vent, ombrage) mais aussi les revenus et conditions de vie des ménages. -
Deuxième rapport national volontaire sur les objectifs de développement durable au Niger 2020
Tout comme la première fois, la RNV sur les Objectifs de Développement Durable (ODD) a été conduite de manière participative et inclusive sous l’égide du Ministère du Plan. Pour l’élaboration du rapport, un Comité Technique comprenant la Direction Générale du Plan et de la Prospective, l’Institut National de la Statistique, le Secrétariat Exécutif du Conseil National de l’Environnement et du développement Durable (CNEDD), le Ministère en charge des Affaires Etrangères et de la Coopération, des représentants des OSC notamment un représentant des organisations des Jeunes, une représentante des organisations des femmes, un représentant des organisations des personnes vivant avec le handicap et les Agences du Système des Nations Unies (PNUD, FAO, UNICEF) a été mis en place. -
Évaluation des besoins en technologies d’adaptation aux changements climatiques pour les secteurs de l’agriculture et des ressources en eau
Pays enclavé du Sahel Ouest Africain dont le port le plus proche se situe à plus de 1000 km, le Niger s’étend entre la longitude 0°16' et 16° Est, et la latitude 11°1' et 23°17' Nord sur une superficie de 1 267 000 km² dont les trois quarts (3/4) sont désertiques. Il est limité au Nord par l’Algérie et la Libye, au Sud par le Bénin et le Nigeria, à l’Est par le Tchad et à l’Ouest par le Burkina Faso et le Mali. Pour le climat, il est de type tropical sec avec une longue saison sèche de 7 à 9 mois et une courte saison de pluies de 3 à 5 mois sous l’influence de la mousson, masse d’air équatorial humide et de l’harmattan, une masse d’air tropical sec avec son vent desséchant. -
Analyse environnementale et changement climatique dans trois communes d'intervention du PAM au Niger - Rapport global de l’analyse climatique, des services climatiques et des interventions du PAM dans les sites de Karkara, Sahiya, Darey et Toungfini (Niger)
La présente note fait état de l’évolution récente du climat dans la région ouest du Niger et en particulier Darey, Allakaye, Tondikiwindi et Bagaroua, quatre villages suivis par le Programme Alimentaire Mondial (PAM). Il est attendu sur ces villages de mieux comprendre la variabilité du climat, la perception qu’en ont les populations villageoises et comment elles définissent des stratégies pour s’y adapter.
On documente ici deux variables climatiques, la précipitation et la température qui jouent un rôle majeur dans la productivité agricole au Sahel. Les pluies conditionnent le contenu en eau des sols. Un déficit de pluie et/ou un excès de température prolongés peut donc être très préjudiciable pour les rendements. A contrario un excès brutal de précipitations sous l’effet d’orages trop intenses ou des températures maximales trop fortes au-delà des limites physiologiques de résistance des plantes peut conduire à la destruction irréversible des cultures. Ces variables climatiques sont très directement liées aux conditions atmosphériques régionales. Elles subissent donc une forte variabilité liée au fonctionnement intrinsèque de la mousson d’Afrique de l’Ouest, lui-même pouvant être influencé par les conditions atmosphériques globales. Ces variables ont évolué par le passé et continueront d’évoluer dans le futur. -
La situation mondiale de l'alimentation et de l'agriculture : Changement climatique, agriculture et sécurité alimentaire
En adoptant les objectifs énoncés dans le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et dans l’Accord de Paris sur le changement climatique, la communauté internationale a pris l’engagement de construire un avenir durable. Cependant, pour éliminer la faim et la pauvreté d’ici à 2030 tout en s’attaquant à la menace que constitue le changement climatique, une transformation profonde des systèmes alimentaires et agricoles sera nécessaire partout dans le monde. -
Développement local, institutions et changement climatique au Niger - Analyse de la situation et recommandations opérationnelles
Ce document fait partie d’une série d’études commissionnées par le Département du Développement Social de la Banque mondiale, dans le cadre du projet ‘Institutions locales et changement climatique’ (Area Based Development and Climate Change/ABDCC), mis en oeuvre grâce au soutien du Programme de Partenariat Pays Bas-Banque Mondiale (BNPP) et le Fond Norvégien et Finlandais pour un développement social et environnemental durable (TFESSD).
L’objectif de base du projet est de comprendre comment les initiatives de développement local peuvent améliorer la capacité d’adaptation et la résistance des acteurs et des groupes communautaires locaux face au changement climatique. -
Impact du climat et des activités anthropiques sur les écosystèmes dans le nord-ouest de la région de Tillabéri au Niger
Les communes de Tondikiwindi et de Ouallam, appartiennent au département de Ouallam, région de Tillabéri, nord-ouest du Niger. Cette zone, comme le reste du sahel, a été le théâtre d’importantes variabilités climatiques et d’autres aléas liés au climat, depuis la décennie 1970. L’objectif principal de cette thèse est de contribuer à une meilleure connaissance des impacts du climat, conjugués aux activités anthropiques sur les différentes unités de l’occupation des sols dans les communes de Tondikiwindi et Ouallam. L’analyse de certains paramètres hydro-climatiques (pluviométrie, températures, séquences sèches, Etp, vents), de la station synoptique de Tillabéry et des stations pluviométriques proches de celle-ci et des données des enquêtes menées auprès des populations ont permis d’aboutir à des résultats intéressants et de proposer une stratégie de développement durable, permettant d’inverser les tendances. -
Plan d'action décennal de Yaoundé de lutte contre la pauvreté par la promotion de l'entrepreneuriat coopératif en Afrique
L'analyse analyse des conditions d'émergences et de l'environnement actuel du mouvement coopératif africain permet de constater des dysfonctionnements qui continuent d’hypothèque l'avenir de ce mouvement au moment ou les défis du développement économique et social requièrent encore plus d'effort de performances de la part des entreprises quelles que soient leurs formes. -
Plan national de contribution à la mise en œuvre de l'Offensive régionale pour la promotion du lait local en Afrique de l'Ouest et au Sahel
Le Niger possède un capital bétail de 15,225 millions de bovins, 13,192 millions d’ovins, 18,108millions de caprins et 1,834 million de camelin en 2019. Ce cheptel est un facteur de résilience face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle pour les ménages pastoraux et agropastoraux à travers le revenu qu’il procure. -
Plan de développement économique et social du Niger : 1987-1991
Le présent rapport ressort les données sur le plan du développement économique,social,macro-économiques et financières mais aussi agricoles durant les périodes de 1987-1991. -
Plan de développement: 2016-2020
Le processus de décentralisation, engagé au Niger depuis 1964, est aujourd'hui une réalité avec l'installation de tous les conseils Communaux et Régionaux. Il traduit ainsi dans les faits, la matérialisation du transfert de responsabilité de l’État central aux populations en matière de gestion des affaires locales. -
Risques pluviométriques, source d’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Niger
Au cours des dernières décennies, le Niger a subi des nombreux aléas climatiques qui ont pour conséquences une diminution de la production agricole et une recrudescence des crises alimentaires et nutritionnelles. L’objectif de cette étude, vise à analyser le lien entre l'insécurité alimentaire nutritionnelle et les risques pluviométriques. La méthodologie utilisée est surtout basée sur des enquêtes (entretiens en groupe et entretiens individuels) dont les populations cibles sont celles des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri. Les résultats relèvent qu’il existe une différence significative entre les précipitations des trois régions. Les résultats, ont aussi, montré que les deux risques pluviométriques sont : les sécheresses et les inondations. Mais, au vu de la population rurale, les sécheresses impactent beaucoup négativement sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle car elles engendrent une diminution de la production céréalière et une augmentation des prix des céréales locaux. La sécheresse contribue fortement au déterminisme de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Niger -
Projet de rapport de mise en œuvre de la Stratégie de Développement Accéléré et de Réduction de la Pauvreté (SDRP) : 2008 document de travail pour la revue technique de la SDRP
Le gouvernement du Niger a adopté en Octobre 2007, à l'issue d'un processus participatif et itératif de révision de la Stratégie de Développement accéléré et de Réduction de la Pauvreté (SDRP). -
Projet de réalisation d'un abattoir moderne de 40 tonnes/jour à Niamey
Le Niger est situé à l'Est de l'Afrique de l'ouest en zone tropicale sèche, entre le 19em et le 23em degrés de latitude Nord et les méridiens 0 à 16. Il est limité au Nord par l'Algérie, et la Libye, à l'Est par le Tchad, au Sud par le Nigeria et le Bénin, à l'ouest par le Mali et le Burkina Faso. -
Rapport annuel de projet
En parcourant le plan d'activités, l'on constate que la plupart des activités prévues pour cette année 2001 ont été réalisées à 90%. Cela est du essentiellement à la stabilité retrouvée au cours de l'année scolaire 2000-2001. Les autres activités sont en voie de l’être et ce malgré quelque difficultés dans la mise en place des fonds et/ou relatives aux révisions budgétaires. -
Rapport d'activités 2015-2016 du Secrétariat Exécutif de la SDS-Niger
Au Niger la situation sécuritaire connaitre une certaine dégradation suite aux crises malienne et libyenne amplifiée par les activités des groupes dits djihadistes, notamment les incursions à Diffa de la secte boko haram qui sévit dans le nord-est du Nigéria aux confins du Cameroun, du Niger et du Tchad. -
Rapport d'activités : Période du 1er janvier au 30 aoùt 2015
Le Gouvernement du Niger a obtenu de l'Association Internationale de Développement (IDA), un pret pour le financement du Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-Sylvo-Pastoraux (PRODEX). L'objectif de développement du Projet (ODP) et d'accroitre la valeur de certains produits commercialisés par des producteurs soutenu par le projet. L'indicateur de performance associé à l'ODP est la valeur additionnelles des produits commercialisés par les producteurs (agriculteurs et éleveurs) et associations dans les filières retenues. -
Rapport de mission de contrôle du projet de développement des exportations et des marchés agro-sylvo-pastoraux du 17 au 30 décembre 2001.
Le Projet de Développement des Exportations des Produits Agro-sylvo-pastoraux (PRODEX) a pour but (i) d'augmenter la contribution du secteur rural à la croissance économique du pays; (ii) de développer les exportations des produits agro-sylvo-pastoraux ; et (iii) d'améliorer les revenus et les conditions de vie des producteurs surtout les petits producteurs ruraux. -
Rapport préparatoire des experts et du comité technique Spécialisé Agriculture, Environnement et Ressources en Eau, en vue de la validation du projet de réserve régionale de sécurité alimentaire et des projets de textes réglementaires sur les engrais dans l'espace CEDEAO.
La réunion des experts des États membres de la CEDEAO sur la validation des projets de textes relatifs au cadre juridique régional régissant le commerce et le contrôle de la qualité des engrais en Afrique de l'Ouest s'est tenu les 24 et 25 septembre 2012 à l’hôtel Novotel à Abidjan en République de Cote d'Ivoire. -
Rapport d'évaluation du système de passation des marchés publics
La présente revue du système de passation des marchés publics au Niger s'inscrit dans le cadre de la Seconde Revue des Dépenses Publiques et de la Responsabilité Financière de l’État" (PEMFAR II). Les objectifs de cette revue sont (i) faire un bilan de la mise en oeuvre des recommandations du Country Procurement Assessment Report (CPAR) 2004, (ii) examiner les facteurs de succès et les contraintes dans la mise en œuvre de la réforme du système; (iii) établir la situation de référence pour mesurer l'impact des reformes et les progrès accomplis dans l'amélioration du système des marchés publics en utilisant les indicateurs de référence de la méthodologie de l'Organisation de Coopération et de Développement Économique . -
Mission d'évaluation à mi-parcours du programme de pays du PAM au Niger 10285.0 (2004-2007)
Le Niger est confronté à une insécurité alimentaire structurelle à laquelle s'ajoute la faiblesse des systèmes de santé et d'éducation. On ne peut améliorer cette situation qu'en agissant sur l'ensemble des leviers qui permettent d'apporter une solution rapide aux problèmes immédiats et et de bâtir, pour le moyen et le long terme, les bases essentielles pour un développent durable. -
Statistiques de l'éducation de base et alphabétisation : Annuaire 2016-2017
La présente publication de l'annuaire des statistiques du Ministère de l'Enseignement Primaire, de I'Alphabétisation, de la Promotion des Langues Nationales et de l’Éducation Civique (MEP/A/PLN/EC), comme toutes les précédentes porte sur les données statistiques de l'enseignement du cycle de base 1, de I'Alphabétisation et de l’Éducation Formelle(AENF).
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Statistique de l'éducation de base : 2010-2011
La présente publication de l'annuaire des statistiques du Ministère de l’Éducation Nationale, de l'Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales (MEN/A/PLN), comme toutes les précédentes, fait une analyse des principaux indicateurs et fournit les données statistiques de l4enseigneemnt de base 1 et de la campagne d'alphabétisation. -
Stratégie de développement accéléré et de réduction de la pauvreté 2008-2012
La République du Niger couvre une superficie de 1.267.000 Km². Les deux tiers du territoire sont situés dans la zone saharienne et sont donc désertiques. En 2006, la population du pays était estimée à environ 13 millions d’habitants dont 47,6% ont moins de 15 ans et 83% habitent en zone rurale. Classé parmi les pays les plus pauvres du monde, le Niger a en 2006, un produit intérieur brut par habitant de 141.800 FCFA (soit environ 284 $US). -
Synthèse de la contribution du Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage à la réunion du CIO du 13 Juillet 2016
Dans le cadre du programme d'appui aux zones déficitaires et aux ménages vulnérables, 10.845 tonnes de semences de qualité des variétés améliorées pour une valeur monétaire de 9.167.987.500 FCFA ont été programmées. Au total à cette date, 3.924 tonnes ont été achetées et placés au niveau des régions dont 3.000 tonnes achetées sur fonds propres de l’État, 825 tonnes de la FAO, et 60,1 tonnes du PIPAS/SA, 39,02 tonnes du ProDAF soit 31,18% des besoins. -
Changement climatique
Un atelier de lancement du Projet a été organisé le 02 Septembre 1998 dans les locaux du Centre Culturel Oumarou Ganda (CCOG) de Niamey, sous la supervision teclmique de Monsieur Souleymane Diallo ,Coordonnateur Régional des Projets Changements Climatiques, PNUDIFEM , Dakar. L'objectif essentiel visé par cet atelier était de sensibiliser et d'informer les partenaires sur les principaux objectifs et enjeux de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques(CCNUCC) et du Projet en vue d'assurer une participation effective de tous les concernés dans la mise en œuvre de la Convention au plan national en général et du Projet en particulier. Les points clés de certains exposés, le programme de travail de l'atelier, les discours prononcés ainsi que la liste des participants qui ont pris part à l'atelier sont présentés en annexe. -
Farmers’ Perceptions about Climate Change and their Adaptation Strategies: a case Study in the
Fakara Region of NigerInformation about farmers’ perceptions of climate change and their adaptation strategies is needed for developing regional climate change adaptation plans for rural areas. This study was conducted in rural communities in the semi-arid Fakara region of Niger. The objectives were to identify the major effects of climate change and their impacts on the rural communities, adaptation strategies of the rural communities, and difficulties in using natural signs to predict the onset of the rainy season. Data were collected using participatory research tools. Farmers stated that the climate is becoming hotter and drier, and with more variability in rainfall. The major effects of climate change were drought, strong winds and floods. The major impacts were higher mortality of crop plants, insufficient pasture plants, increased parasites, eroded and crusted soils, destruction of habitat, and loss of livestock. -
Le PNUD appuie la mise en œuvre de l'objectif de développement durable 6
Au cours des deux dernières décennies, notre monde a bénéficié d’importantes avancées pour le développement humain. L’extrême pauvreté a considérablement reculé, l’accès à l’enseignement primaire et la situation sanitaire se sont améliorés, des progrès importants ont été enregistrés en ce qui concerne l’égalité hommes-femmes et l’autonomisation des femmes. La poursuite des Objectifs de développement du millénaire est l’un des vecteurs de ce progrès, permettant aux individus dans le monde entier d’améliorer leur vie et leurs perspectives futures. Mais en dépit de ces importantes avancées, l’extrême pauvreté reste un défi prioritaire : plus de 700 millions de personnes dans le monde vivent avec moins de 1,90 dollar US PPP (en parité de pouvoir d’achat) par jour. Les inégalités sont soit en hausse soit trop élevées, en particulier au sein des pays. Le chômage ainsi que les diverses formes d’emploi précaire sont très présents dans de nombreux pays, notamment chez les jeunes. -
L'approche one health : Une gestion améliorée des risques sanitaires au Niger
Le programme de « Renforcement des communautés et des services de santé humaine et animale dans la Gestion des Risques Sanitaires liés aux Crises et catastrophes (GRSC) »est novateur et se distingue d’abord par son élaboration. En effet, il est le fruit d’un consortium entre deux ONG belges : Médecins du Monde (MdM) en lead et Vétérinaires Sans Frontières – Belgique (VSF-B)comme associé. La réalisation de ce programme GRSC a été rendu possible grâce à la participation active des parties prenantes locales sur la base de l’approche One Health qui met en relation des enjeux de santé humaine, animale et environnementale.Il a été financé par le Service
d’Aide Humanitaire de la coopération belge, pour une période de deux ans et demi, de 2017 à 2020. -
Diagnostic des risques d'inondation et de sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et de Tallé, Commune de Gotheye, Niger
Le diagnostic des risque inondation et sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et Tallé, Commune de Gothèye (Niger) succédant à l’analyse du risque à l’échelle communale conduite par le Projet Anadia-Niger dans la région Tillabéri. Un diagnostic similaire à été développée pour quatre villages de la commune d’Ouro Gueladjio et pour celle de Imanan. Le diagnostic a été développé par une équipe mixte italo-nigérienne composé par fonctionnaires de la commune de Gothèye, de la DMN, chercheurs de l’Ibimet-CNR et du DIST-Politecnico et Université de Turin avec la participation des agriculteurs des deux villages. Garbey Kourou et Tallé sont deux gros villages de la commune (4.600 et 2.600 habitants en 2012) étalées sur la rive gauche de la rivière Sirba prés de sa confluence avec le fleuve Niger. Les deux villages sont ainsi exposés au débordement de la rivière, à inondation pluviale et à sécheresse. -
Evaluation des risques multi-aléa dans les communes de la Région de Dosso au Niger, 2011-2016
Entre 2010 et 2016, en Afrique de l’Ouest, 715 projets d’adaptation et de resilience au changement climatique (CC) ont été financés par l’aide au développement (OECD). Cependant, la connaissance du risque n’est pas avancée dans la même mesure. L’analyse du risque a été développée sur certaines grandes villes, bassins fluviaux ou régions mais rarement à l’échelle municipale. L'accent est mis sur le risque d’inondation, malgré le Cadre de Sendai et les ODD (2015) recommandant une vision globale des risques. Pourtant, la connaissance du niveau de risque serait utile pour les projets locaux et les politiques visant la résilience et l’adaptation au CC. Les cartes du risque pour les zones d’intervention des projets pourraient permettre d’adresser les actions où le risque est plus élevé. La variation du niveau de risque au fil du temps aiderait à évaluer les impacts des plans et des projets. -
PAIS-Plan d'Adaptation aux Inondations et à la Sécheresse Villages administratifs de Garbey Kourou et Tallé, Commune de Gothèye, Niger
Le Diagnostic des risques d’inondation et de sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et de Tallé, Commune de Gothèye (Braccio et al. 2015) a identifié l’inondation pluviale comme risque principal à Garbey Kourou et le risque sécheresse en premier place à Tallé étant le risque débordement de la rivière est moins important. Bien que les récepteurs exposés soient bien plus importants en zone de débordement de la rivière Sirba, l’haute probabilité d’une pluie intense en 2015 amène en première place le risque inondation pluviale à Garbey Kourou. L’étendue des cultures exposées à la sécheresse et le 13% de probabilité d’avoir une séquence sèche en 2015 amène en la deuxième place le risque sécheresse (en première place à Tallé). Enfin la moyenne probabilité (2%) d’avoir un débordement catastrophique en 2015 place ce risque en dernière place. -
Association de cultures Acacia senegal - céréales : outil de résilience aux changements climatiques au Niger
La présente étude aborde le diagnostic de l’association cultures/Acacia senegal dans l’ouest du Niger. Elle vise comme objectifs de : (i) déterminer la taille des exploitations agricoles ; (ii) apprécier le rendement des principales cultures en association avec A. senegal ; (iii) analyser les perceptions des paysans de l’association mil/A. senegal dans les exploitations agricoles. Elle a été conduite à travers une enquête semi-structurée dans les localités de Kokoyé (Tera) et Kiki (Makalondi). Il ressort de l’analyse des données collectées que quatre (4) systèmes de cultures sont pratiquées dans les exploitations à savoir la culture pure, la culture associée sans A. senegal, la culture associée avec A. senegal et la jachère avec une superficie moyenne par exploitation respectivement de 1,69 ± 1,77 ha; 5,94 ± 5,25 ha, 3,43 ± 3,10 ha et 1,87 ± 1,48 ha. Le mil, le sorgho, le niébé et le sésame sont les principales spéculations cultivées en association avec A. senegal (37,04 %) avec une superficie moyenne respectivement de 4,56 ± 3,87 ha, 3,02 ± 3,02 ha, 5,05 ± 4,86 ha et 2,99 ± 3,04 ha et une production moyenne respectivement de 588 kg/ha; 702 kg/ha; 24,62 kg/ha et 195,4 kg/ha. Le faible rendement est observé dans la localité de Kokoyé pour toutes les spéculations malgré qu’elle possède la plus grande taille d’exploitation agricole. Cette pratique d’association cultures/A. senegal pourrait être une alternative de substitution des fertilisants minéraux qui sont de plus en plus inaccessible aux ménages pauvres. Mots clés: Association ; Culture ; Acacia senegal ; Production. -
Plan villageois de réduction du risque d’inondation et de sécheresse dans la commune d’Ouro Gueladjo au Niger
Le Niger se trouve actuellement dans une situation de forte vulnérabilité face aux changements et aux risques climatiques. En effet, l’environnement peu favorable qui le caractérise a imposé aux communautés de développer des systèmes de production agricole capables de minimiser les risques conséquents aux aléas climatiques. Les paysans ont accumulé un capital important de connaissances et de stratégies d’adaptation et de gestion des risques pour assurer leur subsistance. Cependant, la plupart de ces stratégies d’adaptation, face au présent changement climatique (CC) et aux impacts conséquents, n’est pas tout à fait adéquate et expose les paysans à des choix qui peuvent impliquer des risques accrus (World Bank 2008). En plus, le CC est en train d’affecter le cycle de l’eau et le processus des crues tant en multipliant les crues soudaines que, dans certaines régions, les crues fluviales (IPCC 2012). -
Programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l’Agriculture et la Sécurité Alimentaire (CCAFS)
Résumé des résultats des enquêtes de base niveau ménage : site de Fakara, NigerCe rapport présente les résultats des enquêtes de base conduites au niveau des ménages de sept (7) villages du site de Fakara (Niger) dans le cadre du programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l’Agriculture et la Sécurité alimentaire. L’objectif de ces enquêtes était de de collecter toutes les données et informations sur des indicateurs clés de base concernant les ménages notamment les moyens de subsistance, l’agriculture et la gestion des ressources naturelles, les besoins d’information sur le climat et la gestion des risques, et les pratiques d’atténuation et d’adaptation. La population du site pratique l’Islam et est majoritairement active (âge compris entre 5-60 ans). Cependant on observe un faible niveau d’éducation avec environ 58% des ménages ayant un membre avec un niveau primaire. L’agriculture et l’élevage constituent les principales activités économiques de production. La majorité des ménages a accès à au moins 1ha de terre. Les intrants agricoles sont très peu utilisés, essentiellement des engrais. L’agriculture est diversifiée et constitue la source majeure pour la satisfaction des besoins alimentaires des membres des ménages. L’essentiel de la production est destinée à l’autoconsommation, avec un faible pourcentage de produits agricoles et animaux vendus. -
Caractérisation climatique de la région de Tillabéri
Le Niger est un Pays sahélien et enclavé, dont le point le plus proche de la mer se trouve à environ 600 km.lil couvre une superficie de 1.267.000 km2 et se situe entre les longitudes 0° 16’ et 16° Est, et les latitudes 11°1’ et 23°17’ Nord. Les 3/4 du pays sont occupés par des déserts dont celui du Ténéré qui compte parmi les déserts les plus célèbres du monde. Le climat du pays est de type tropical aride et semi aride. Le Niger se situe en effet dans l’une des zones les plus chaudes du globe. Il est caractérisé par quatre types de saisons : Une saison dite froide (mi-décembre à mi-février) Une saison sèche et chaude (mars-mai). Une saison de pluie (juin-septembre) Une saison chaude sans pluie (octobre à mi-décembre -
Technologies agricoles climato-intelligentes pour le Sahel et la Corne de l'Afrique de l'Afrique
Ce catalogue décrit une série de solutions agricoles pour les zones arides du Sahel et de la Corne de l'Afrique, utiles pour l'adaptation au changement climatique et l'atténuation de ses effets. Il est basé sur les interventions du programme Technologies pour la transformation de l'Agriculture en Afrique (TAAT). Ce programme, dirigé par l'Institut International d'Agriculture Tropicale (IITA),est à l'origine de nouvelles approches pour le déploiement de technologies éprouvées auprès des agriculteurs africains. TAAT est né d'un effort commun de l'IITA et de la Banque Africaine de Développement (BAD) et constitue un élément important de la stratégie « Nourrir l'Afrique » de cette dernière. TAAT fait actuellement progresser plus de 76 technologies à travers 88
interventions dans 28 pays, dont neuf pays de la zone agro-écologique sahélienne: Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Soudan du Sud, Tchad et Éthiopie. -
Le développement durable : à la croissance de l'économie, de la société et de l'environnement
La vie sur Terre repose sur un ensemble complexe d’interactions entre les hommes, l’environnement et les systèmes économiques. La croissance sans précédent de nos économies au xxe siècle a affecté ces relations de façon à la fois positives et négatives. Les niveaux de pollution exercent une pression considérable sur l’environnement, tandis que l’immense richesse générée par la croissance ne bénéficie qu’à certaines parties du globe. Il est urgent de comprendre ce qui détermine la bonne santé de nos sociétés et de notre planète. -
Le PromAP et les mesures de protection de l’environnement pour une mise en valeur agricole durable du potentiel irrigable Développer le maraîchage irrigué durable : site de Chacott - Région de Tahoua
Le site maraîcher de Chacott (14,02 N - 5,26 E) est situé dans la commune de Kalfou, à 35 km de Tahoua. Accessible par une piste rurale, il dispose d’un potentiel exploitable en petite irrigation estimé à 250 ha. D’occupation agricole ancienne, ce site présente des possibilités d’extension significatives : seulement 120 hectares sont actuellement exploités par 311 producteurs (296 hommes et 15 femmes) regroupés en 3 organisations paysannes, dont un groupement féminin. Protégé par des haies vives, le site de Chacott se compose d’un ensemble de parcelles / casiers maraîchers exploités individuellement. -
Gaz à effet de serre : définition, explications
Un gaz à effet de serre regroupe des composés gazeux atmosphériques capables d'absorber le rayonnement infrarouge tellurique et thermique. Les gaz à effet de serre, abrégés en GES,
affectent le rayonnement de substances gazeuses dans l'air : les GES ont à la fois une origine naturelle et une origine anthropique. Les gaz à effet de serre sont constitués de vapeur d'eau H2O pour 54 %, dioxyde de carbone CO2 (gaz carbonique) pour 39 %, l'ozone O3 pour 2 %, l'oxyde d'azote N2O pour 2 %, le méthane CH4 pour 2 %, CFC, etc. Ils contribuent à la régulation du climat à la surface de la Terre. Les conséquences sont multiples mais la concentration des principaux gaz à effet de serre a continué d'augmenter dans l'atmosphère pour atteindre un record à fin 2012. -
Réchauffement climatique : définition, explications
Le réchauffement climatique planétaire global et mondial correspond à la hausse de la température moyenne de l'atmosphère proche de la Terre et des océans depuis
l'industrialisation des 150 dernières années. La tendance de dérèglement climatique calculée sur les 50 dernières années (1956 à 2005) est de 0,10 à 0,16 °C par décennie.
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Lutte contre la désertification pour faire face aux changements climatiques
La désertification est définie comme la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches1. Elle est entraînée par divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines. Un tiers de la population humaine mondiale vit sur les terres arides qui représentent plus de 40 % de la surface des terres émergées de la planète. La désertification ne correspond pas à l’avancée du désert mais à une diminution progressive de la qualité des sols et un appauvrissement de la vie qu’il hébergent. Cette destruction des sols traduit une perte de leur fertilité et a donc des conséquences négatives sur l’environnement et sur les conditions de vie des populations. -
L'essentiel du développement durable
Le présent ouvrage a pour objet d’inaugurer une démarche inédite visant précisément à donner un panorama aussi précis que possible des transformations générées par la loi Grenelle 2 sur les matières essentielles du droit que sont le droit de la construction, le droit de l’urbanisme, le droit des transports, le droit de l’énergie, le droit de l’environnement... Il devrait permettre aux étudiants comme aux professionnels de disposer d’un outil d’identification des principaux impacts de la loi Grenelle 2 sur les matières du droit qui les concernent directement pour leur permettre d’en approfondir les problématiques. -
Climate change, biodiversity and nutritions nexus : evidence and emergency policy and programming opportunities
This paper presents the findings of a desk review conducted by the Food and Agriculture Organization of the United Nations that found that the majority of tools used to study climate change, biodiversity or nutrition focus on only one or two of these domains and very few explicitly address all three. The same goes for policies in the three sectors. It also identified numerous entry points to improve biodiversity and diets as the two levers to improve nutrition and optimize environmental sustainability. Based on these findings, the study makes a number of recommendations for action by governments, academia, civil society, the private sector and international organizations to address these shortcomings. -
Mesure de conservation des sols à l'aide de sacs de sable plus ciment
Le présent manuel a pour but d'exposer une technique permettant de lutter contre la dégradation des sols dans les zones rurales ou elle progresse sous l'effet des actions prédatrices que mènent les paysans dont : le surpâturage, les mauvaises techniques culturales, les cultures excessives etc. -
La production fourragère dans la gestion des ressources naturelles de la région de Maradi (Niger) : Impacts et méthodologies d’évaluation possibles de la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Le présent article tente de développer une méthodologie et de démontrer le potentiel en fourrage ligneux aérien produit dans les parcelles agricoles grâce à la RNA. L’article décrit une méthodologie originale à partir des résultats de recherche sur la RNA et intègre celle-ci dans le bilan fourrager défini par le ministère de l’élevage. La méthodologie développée pourrait mettre en évidence un accroissement des bilans. Toutefois, nombreuses sont les hypothèses qui ont mené à la réalisation de la méthode de travail. Celles-ci mériteraient d’être explorées et confrontées plus amplement aux réalités du terrain afin de les confirmer ou infirmer. -
Définition d'un outil d'aide à la décision spatiotemporel structurant et articulant les potentialités de développement agricole : cas du Niger
Le ciblage des potentialités de développement agricole en milieu rural doit être repensé et adapté à l’ensemble des conditions de vie des ménages d’un point de vue d’une échelle spatiale concentrée et d’une analyse sur une longue période. Ce ciblage identifie des territoires sur une échelle plus fine que le niveau national afin de répartir les objectifs de développement agricole et de les articuler sur des zones ayant un haut potentiel. Ce niveau d’analyse permettra aussi de regrouper les actions menées à une échelle plus « micro » afin de structurer l’ensemble des activités menées sur la zone. -
Plan d’Action 2021-2025 de l’Initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens » Édition 2021 : Stratégie de sécurité alimentaire et nutritionnelle et de développement agricole durable
Le présent Plan d’Action 2021-2025 de l’Initiative 3N est estimé/évalué à un cout de 2 693,942 milliards F CFA. Ce montant inclut les couts de programmes opérationnels relevant directement du secteur SANDAD et du Programme « Modernisation du Monde Rural », à hauteur de 2 048,728 milliards F CFA, conformément au cadrage du Programme de Renaissance Acte III en son chapitre 5 consacré au secteur « Développement rural et sécurité alimentaire et nutritionnelle », qui prévoit un financement de 2 079,35 milliards de francs CFA, soit 15% du montant global du Programme. En raison des enjeux de multisectorialité et des synergies nécessaires entre les besoins de court, moyen et long terme pour assurer un développement durable malgré les différents facteurs de chocs et vulnérabilité, le Plan d’Action de l’Initiative 3N inclut également les couts de programme et sous-programme opérationnels relevant d’autres secteurs, en particulier dans le cadre de l’axe 1 « Capital humain, inclusion et solidarité» du PDES 2022-2026 , notamment le Programme Opérationnel 7 sous maîtrise d’ouvrage du MAHGC (pour 191,383 milliards F CFA) et le Sous-Programme Opérationnel 9.1 sous maîtrise d’ouvrage du Ministère en charge de la Santé et de la nutrition (pour 157,831 milliards F CFA). -
Note d'actualité : la Grande Muraille Verte au Niger
Au Niger, la Grande Muraille Verte vise, à l’horizon 2035, le développement des communautés locales à travers une approche novatrice et inclusive consistant à mettre en synergie les actions de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d’atténuation et d’adaptation au changement climatique d’appui à l’amélioration des systèmes de production agro-sylvo-pastorale. La finalité étant de reverdir le Niger et de contribuer à une sécurité alimentaire durable des populations et du cheptel. -
Plan national de l'environnement pour un développement durable
Cette première partie situe le Plan national de l’environnement pour un développement durable (PNEDD) dans le contexte nigérien. Elle s’attache plus particulièrement à la justification de la démarche et en rappelle les objectifs et les grandes étapes. Elle se termine par la présentation du processus du PNEDD. -
Investir dans la gestion responsable des terres
Ce rapport est établi suivant le format proposé dans le Protocole d’accord. Il fournit des informations sur les activités de gestion durable des terres menées par le FEM dans le cadre de son domaine d’intervention«dégradation des terres », précisément pour lutter contre la désertification et le déboisement, pour la période comprise entre juillet 2011 et juin 2013. Conformément aux dispositions du Protocole d’accord, les activités menées dans les autres domaines d’intervention du FEM et les guichets de financement ayant trait à la gestion durable des terres (GDT) sont également présentés. La période faisant l'objet du présent rapport coïncide avec la deuxième et troisième année complète du cinquième cycle de refinancement de l'institution (FEM-5). -
Évaluation des actions menées au Niger dans le domaine de l'environnement (Reboisement, récupération/ restauration de terre) pendant les vingt dernières années 1984-2002
La présente évaluation tente de faire le bilan des actions réalisées, durant les vingt dernières années et de jeter les bases de réflexions pour des améliorations éventuelles futures à apporter. Elle aura pour repères essentiels les atouts et contraintes de développement, les succès et les échecs des politiques et stratégies menées, ainsi que leur implication sur l’amélioration des conditions de vie des populations et la réduction de la pauvreté. L’étude comporte trois parties, mais le présent document traite de l’évaluation des actions environnementales dans le domaine de reboisement et de la récupération des terres. -
Conseil national de l'environnement pour un développement durable : Plan décennal sur les modes de consommation et de production durables (2014-2023)
La préservation de l’environnement et la réduction de la pauvreté interagissent mutuellement l’une sur l’autre. De même, la lutte contre les effets des changements climatiques oblige à un changement profond de comportements en vue d’adopter des modes nouveaux de consommation et de production plus durables. L’économie verte est par essence sobre en carbone et par conséquent son implantation est un moyen de lutte contre les changements climatiques. Les liens et / ou interrelations entre les modes de consommation et de production durables, les changements climatiques, l’économie verte et la lutte contre la pauvreté sont étendues, diverses et multiformes. -
Étude complémentaire et d’actualisation pour la caractérisation des sites menacés de dégradation et leurs enjeux environnementaux dans les Sept (7) Pôles de Développement Economique (PDE) du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans la région de Tahoua
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF), le renforcement de la résilience des communautés face au changement climatique constitue une des priorités majeures pour l’atteinte des résultats en matière de développement de l’agriculture familiale. A ce titre, le ProDAF s’est assigné objectif global de contribuer à assurer durablement la sécurité alimentaire des ménages ruraux et au renforcement de leurs capacités de résilience aux crises, tout en inscrivant dans la Stratégie de développement durable et de croissance inclusive (SDDCI).. Le programme vise Spécifiquement à accroitre durablement les productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux, à améliorer les activités de post-production et de commercialisation des productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux organisés des régions de Maradi, Tahoua et Zinder. -
Projet de Recherche-Développement pour la Sécurité alimentaire et l'adaptation au changement climatique : rapport de la revue interne
L’objectif global de cette revue interne est de montrer et mesurer les changements opérés du fait des actions du projet REDSAACC à travers l’évaluation des effets/impacts de la mise en œuvre de l’approche du projet dans le transfert des technologies et le partage des innovations locales pour une adaptation des systèmes de production agricole aux changements climatiques. -
Étude de cas de l'initiative équateur, des solutions locales de développement durable pour les gens, la nature et les communautés résilientes
La Fédération des Unions de Producteurs de Maradi Gaskiya est une initiative axée sur la recherche qui propose des options agro-écologiques aux petits exploitants agricoles. Composée de 17 syndicats, 325 organisations de producteurs et 12 742 membres, son travail comprend la promotion des cultures à haut rendement, la planification participative, la commercialisation des produits et des semences certifiées biologiques, ainsi que la diversification des systèmes de production agricole. Les revenus des agriculteurs se sont améliorés de manière significative, un pourcentage du chiffre d’affaires des syndicats étant investi dans un fonds renouvelable consacré à des projets communautaires. -
Bilan environnemental et social de la mise en œuvre des activités du Projet de Gestion Intégrée des Écosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger
Le présent TFE s’est intéressé au bilan environnemental et social du Projet de Gestion Intégrée des Ecosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger. La méthodologie appliquée est axée sur la recherche documentaire et à la collecte de données sur le terrain à travers les entretiens et les visites terrains. Le projet a consisté à réhabiliter 120 ha de terres dégradées, à planter 30.000 plants forestiers, à construire 1.200 foyers améliorés, à installer 300 ml de cordons de pierres et à élaborer 3 plans communautaires de base et de gestion de ressources naturelles. A l’issue de la campagne d’entretiens et observations, nous avons démontré la contribution du projet à l’amélioration de conditions de vie dans les villages et la ré-végétalisation de l’environnement de la zone de Birni N’Konni. L’analyse de résultat fait montrer que le projet a enregistré des impacts plus positifs que négatifs (la végétalisation de plateaux ; l’amélioration de condition de vie des bénéficiaires, la réduction de consommation de bois énergie;). Les impacts négatifs sont liés aux activités de faucardages de mares où le résultat enregistré a été non satisfaisant et les personnes blessées identifiées. -
Rapport de l'atelier national de partage et de réflexion sur l'assurance agricole indicielle au Niger
Les 15 et 16 Mai 2019, le PNUD en partenariat avec le Ministère de l’Action Humanitaire du Niger a organisé un atelier de Partage et de réflexion sur l’assurance agricole indicielle afin de faciliter l’élaboration d’une feuille de route nationale pour l’opérationnalisation de ce mécanisme de transfert des risques au profit des agriculteurs. L’objectif principal de l’atelier était d’échanger sur les perspectives de mise en œuvre d’une assurance agricole indicielle articulée au système de transfert des risques climatiques et bâtie sur un modèle économique durable. -
Développement communautaire et gestion des connaissances pour l'initiative Satoyama au Niger
L’objectif principal du programme est de développer une bonne gestion durable de la biodiversité et des activités durables de subsistance avec les communautés locales dans les paysages de production socio-écologique pour maintenir, reconstruire et revitaliser les paysages, en conformité avec les cinq perspectives suivantes de l’Initiative Satoyama à savoir : (i) l’utilisation des ressources dans les limites de la capacité de charge et de la résilience de l’environnement ; (ii) l’utilisation cyclique des ressources naturelles ; (iii) la reconnaissance de la valeur et de l’importance des traditions et des cultures locales ; (iv) le gestion des ressources naturelles par les différentes entités participantes et coopérantes et (v) les contributions aux activités socio-économiques locales. -
Projets d’aménagements hydro agricoles avec des pratiques d’agriculture intelligente résilientes au changement climatique - cadre de gestion environnementale et sociale
L'objectif global du projet est de contribuer à l'augmentation de la production agricole nationale en renforçant la résilience des populations aux effets néfastes du changement climatique. Les objectifs spécifiques du projet sont : (i) intensifier la production agricole de manière durable en améliorant les rendements des cultures grâce à des aménagements hydro-agricoles conçus avec des systèmes innovants d'irrigation et de pompage solaire; (ii) protéger le capital productif contre les menaces des effets du changement climatique (ensablement, inondations, etc.); (iii) assurer le fonctionnement et la pérennité des infrastructures par le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des opérateurs et des services techniques. -
La régénération naturelle assistée (RNA) pour lutter contre la désertification
L’avancée du désert depuis les années 70 combinée à la forte croissance démographique (103 habitants au km2 à Aguié et Gazaoua) accentuent la pression foncière. -
Construire la résilience des ménages grâce à la gestion durable des terres
Les pays sahéliens sont particulièrement sujets à la dégradation des terres. Au Niger, ce sont plus de la moitié des terres agricoles qui sont considérées comme dégradées, au Burkina Faso et au Sénégal, plus du tiers1. Cette dégradation des terres a des impacts importants sur le niveau de la production et des revenus des agriculteurs. Globalement pour l’ensemble de l’Afrique subsaharienne les pertes de revenus sont évaluées annuellement à 9 milliards de dollars américains (TerrAfrica). Cette dégradation joue un rôle indéniable dans les déficits céréaliers chroniques, les chocs de prix et de production, et les crises alimentaires auxquels sont exposés les pays et populations de la région. -
Charte de Développement Durable des parcs d'activités
Le manque de stratégie cohérente de développement local et d’aménagement du territoire a trop souvent conduit à une grande banalité du développement urbain et plus particulièrement des zones d’activités. -
Mesurer le développement durable
Le concept de développement durable englobe trois dimensions du bien-être – économique, environnementale et sociale – unies par un jeu de synergies et d’arbitrages complexes (graphique 1). Cette édition des Cahiers statistiques fait le point sur les progrès accomplis en matière d’élaboration d’indicateurs du développement durable et décrit certains des défis qui restent à relever. -
La gouvernance du développement durable
En 2011, l’Institut de la Francophonie pour le Développement durable (IFDD), organe subsidiaire de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF)a produit, en partenariat avec la chaire en éco-conseil de l’université du Québec à Chicoutimi, des fiches techniques (profils nationaux) regroupées dans un ouvrage unique sur l’état de la gouvernance du développement durable dans chacun de ses États et gouvernements membres1. Depuis ce temps, de nouveaux enjeux sont apparus et les États ont adopté le 27 septembre 2015 le Programme de développement durable à l'horizon 2030 dans lequel on retrouve les 17 objectifs du développement durable (ODD) et leurs 169 cibles. -
Perception Paysanne des Techniques de Conservation des Eaux et des Sols et de Défense et Restauration des sols (CES/DRS) en Afrique de l’Ouest : cas du Burkina Faso et du Niger
L’Afrique sahélienne connait une baisse de la capacité productive de la ressource sol depuis les années 1970. Pour y faire face, des ouvrages de conservation des eaux et des sols et de défense et restauration des sols (CES/DRS), sont diffusés auprès des producteurs. Cette étude vise à déterminer les ouvrages les plus importants en matière de production agricole selon la perception des producteurs. La méthode a consisté à une collecte de données auprès de 194 exploitations agricoles (EA) dont 134 EA au Niger et 60 EA au Burkina Faso, à travers des questionnaires et des entretiens. -
Perceptions paysannes des aléas climatiques sur la production du riz sur le périmètre irrigué de Saga dans la Vallée du Fleuve Niger
L’objectif général poursuivi est d’analyser la perception des aléas climatiques auprès des exploitants en milieu urbain. Pour ce faire, des entretiens semi-structurés et des enquêtes ont été effectués. Au total 140 exploitants disponible ont été enquêtés. Un critère d’âge de sélection des exploitants variant de 15 à 50 ans a permis de s’assurer que les stratégies développées font suite à une perception effective des changements. L’analyse des données a été faite par le logiciel Access et Excel pour le calcul des paramètres statistiques descriptifs et la réalisation de graphiques. Ces derniers observent l’existence des paramètres climatiques qui interviennent dans leur pratique à 90%. Les résultats de la recherche révèlent que 66 % des exploitants ont un niveau d’instruction assez bas. Face aux aléas climatiques les exploitants mettent en œuvre des stratégies durables d’adaptations qui participent à l’amélioration des rendements. -
Revue stratégique nationale faim zéro du Niger
A l’instar de plusieurs autres pays membres des Nations Unies, le Niger, avec l’appui du PAM, s’est également lancé dans la revue de sa stratégie nationale « Faim Zéro » pour l’atteinte de l’ODD2 : « Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable ». La revue a été placée sous l’égide du Ministre d’État, Ministre de l’Agriculture et de l’Élevage qui est appuyé par un Comité Interministériel de Pilotage et un Comité Technique. -
Réserve naturelle national de l'Aïr et du Ténéré
La Réserve Naturelle Nationale de l’Aïr et du Ténéré (RNNAT) de la République du Niger a été inscrite sur la Liste du Patrimoine mondial en 1991, sur la base des critères naturels (vii) (ix) et (x). En 1992, elle est inscrite sur la liste du patrimoine mondial en péril lors de la seizième session du Comité du patrimoine mondial suite à l’éclatement de la rébellion armée dans la région d’Agadez. Du 03 au 12 mai 2005, sur demande de l’Etat Partie Nigérien, une mission de suivi réactif de la RNNAT a été réalisée par l’UICN pour évaluer l’état de conservation de sa valeur universelle exceptionnelle. L’état de mise en œuvre des mesures correctives issues de cette première mission de suivi réactif de 2005 a été analysé par la présente mission. -
Stratégie de Communication de la PNSP/CCASAN au Niger
De manière spécifique, la PNSP/CCSAN vise à instaurer un dialogue permanent et participatif entre les décideurs, les utilisateurs, les OSC et les scientifiques/chercheurs pour l’application des résultats de la recherche sur les changements climatiques, l’Agriculture et la sécurité alimentaire et nutritionnelle ; à orienter le Gouvernement dans la prise de décision en matière d’agriculture intelligente face au climat; à développer la synergie entre les cadres de concertation existants dans le domaine des changements climatiques et à renforcer la synergie dans le cadre de la mise en œuvre des trois conventions de Rio et des Stratégies, Plans et Programmes de développement entre autres. -
État des lieux et capitalisation des outils de ciblage basés sur la vulnérabilité pastorale
L’objectif général de la capitalisation est d’identifier, d’expliciter et d’analyser le savoir acquis par les organisations membres du RBM dans les domaines de l’élaboration et l’application de mécanismes appropriés de ciblage des éleveurs vulnérables dans la gestion des crises pastorales. La finalité poursuivie est de faire en sorte que les connaissances et le savoir-faire acquis par les membres du RBM puissent être utilisés par divers acteurs, organisations et institutions, afin de garantir un soutien plus efficace à la résilience des communautés pastorales. -
L’introduction d’acacias australiens pour réhabiliter des écosystèmes dégradés est-elle dépourvue de risques environnementaux ?
L’utilisation d’essences forestières exotiques et plus particulièrement des arbres à croissance rapide (acacias, pins ou eucalyptus) a été fréquemment recommandée pour réhabiliter et restaurer à brève échéance des milieux dégradés suite à des événements naturels ou à des activités anthropiques. L’incidence sur l’environnement de l’introduction de ces espèces, parfois envahissantes, est surtout évaluée pour leur impact sur la biodiversité végétale et les caractéristiques physico-chimiques des sols, mais rarement en ce qui concerne la composition de la microflore. Les micro-organismes, et plus particulièrement les champignons mycorhiziens, jouent un rôle clé vis-à-vis des mécanismes biologiques régissant la fertilité chimique des sols et leur productivité, facteurs de stabilité des écosystèmes terrestres. L’approche retenue a été de décrire l’incidence de l’introduction d’essences exotiques sur les caractéristiques biologiques des sols, ainsi que les conséquences sur la reconstruction d’un couvert végétal composé par des espèces natives du milieu d’origine. -
Rôle des dynamiques démographiques et migratoires sur l'évolution des écosystèmes sahéliens : cas d'un terroir villageois reverdi et non reverdi du département de Mirriah dans la région de Zinder au Niger
Notre projet se propose d’étudier le « Rôle des dynamiques démographiques et migratoires sur l’évolution des écosystèmes sahéliens ». L’étude se déroule dans deux terroirs du département de Mirriah, Région de Zinder au Niger. Il s’agit de : Guluské, terroir villageois considéré comme reverdi, situé dans la commune urbaine de Mirriah. Garin Tsangaya, terroir villageois non reverdi, situé aussi dans la commune rurale de Zermou. Des diagnostics socio-économiques et écologiques ont été effectués sur un échantillon de 30 et 55% d’exploitations respectivement à Guluské et à Garin Tsangaya repartie en quatre groupes : migrants ayant une charrette, migrants n’ayant pas une charrette, non migrants ayant une charrette, non migrant n’ayant pas une charrette. -
Élevage bovin et environnement : les chiffres clés
Dans les exploitations d’élevages bovins, les ateliers "végétal" et "animal" sont étroitement liés. Le premier fournit la majorité des fourrages consommés par les animaux (autonomie alimentaire en matière sèche fourrage de 98 %, pour l’ensemble des systèmes bovins nationaux), ainsi qu’une partie non négligeable des aliments concentrés ingérés (autonomie massique de 28 % en moyenne) (source : CIV). L’atelier animal produit des déjections valorisées sur ces surfaces, soit directement sur les prairies lors du pâturage, soit par épandage. Sur l’ensemble des élevages bovins français, plus de 60 % des apports azotés sur les surfaces exploitées sont de nature organique et proviennent majoritairement de l’exploitation elle-même. -
Plan de Gestion des Pestes et des Pesticides (PGPP)
Le Gouvernement de la République du Niger, par le biais du Ministère du Plan, avec l’implication du Ministère de l’Environnement et de la Lutte contre la Désertification (MER/LCD) agence d’exécution du Projet, est tenu à préparer un Plan de Gestion des Pestes et des Pesticides (PGPP), qui, comme tous les autres outils de sauvegardes environnementale et sociale, doit comporter des mesures permettant au projet, pendant toute sa durée de vie, de se conforme aux lois et réglementations nationales en vigueur et aux prescriptions des normes environnementales et sociales de la Banque mondiale, en générale, et de la NES 3, en particulier. -
La gestion des déchets solides ménagères à Niamey au Niger : essai pour une stratégie de gestion durable
Après avoir observé le phénomène et analysé le contexte général de la gestion des déchets à Niamey, qui comme dans toutes les villes sahéliennes en Afrique de l’Ouest, constitue une préoccupation majeure pour les responsables de la ville comme pour les citadins, nous avions constaté la cohabitation de deux systèmes de gestion, à savoir : - l’un « moderne » (formel), à l’identique des pays industriellement développés, c’est à dire une collecte fortement mécanisée, réalisée tant bien que mal par la municipalité; - et l’autre « communautaire » qui se définit comme un système pris en charge par les usagers. La singulière mise en évidence de deux systèmes qui cohabitent, met en lumière les problèmes rencontrés dans la maîtrise de la croissance de la ville et surtout des problèmes financiers qu’a connu et que continue de connaître la municipalité. -
Évaluation des besoins en technologies d'atténuation des émissions des gaz à effets de serre
Il est désormais bien établi que les émissions des Gaz à Effet de Serre (GES) provenant des activités humaines sont à l’origine du réchauffement climatique qui affecte l’écosystème planétaire et provoque des variations extrêmes du climat. Les risques du changement climatique représentent ainsi un des plus importants défis du 21ème siècle post-industriel au développement de l’humanité, voire même à l’avenir de la planète. Pour faire face à cette situation, la communauté internationale s’est mobilisée, dès 1992 lors de la conférence de Rio, en adoptant la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), véritable cadre de discussions permanent totalisant 196 parties et auquel 168 pays du monde ont aujourd’hui adhéré. -
La radio communautaire Damergou et la promotion des bonnes pratiques agricoles face au changement climatique dans la Commune Urbaine de Tanout (Zinder/Niger)
Le présent travail a pour objectif d’analyser et de dégager l’apport de la radio communautaire “Damergou” dans la promotion et le développement d’une agriculture performante et durable dans un contexte de changement climatique. La méthodologie utilisée s’est appuyée sur la recherche documentaire, l’analyse de documents de la grille des programmes de la radio, les enquêtes de terrain auprès des agricultures. L’analyse des données a été faite à l’aide du logiciel Excel de Microsoft office dans sa version 2013. Les résultats ont montré que les hommes ainsi que les femmes participent aux émissions de la radio avec une proportion élevée d’hommes (52,08 % contre 25 % de femmes). -
Stratégie pour la protection de l’environnement
L'importance de la protection des cultures pour l'atteinte de la sécurité alimentaire au Niger n'est plus à démontrer. Sous la responsabilité de la Direction de la Protection des Végétaux, celle-ci se fait surtout par l'application de produits chimiques. Mal utilisés ces produits peuvent avoir des effets néfastes tant sur la population que sur le milieu naturel. Plusieurs actions visant à protéger l'environnement ou à limiter les effets négatifs liés à la manipulation des pesticides ont été et sont encore menées par les services de la PV du Niger. Les projets Nigéro-Canadien (ACDI) et Nigéro-Allemand (GTZ), USAID-Niger et d'autres bailleurs de fonds y contribuent depuis plusieurs années. Cependant, l'absence d'une ligne directrice dans ce domaine entraîne parfois une mauvaise coordination des efforts et limite la portée de ces actions. C'est dans ce contexte qu'une stratégie pour la protection de l'environnement dans le cadre des activités de protection des végétaux a été élaborée. -
Agence Panafricaine de la Grande Muraille Verte : stratégie 2016-2020
La Stratégie Globale Harmonisée (SGH) de mise en œuvre de l’Initiative de la Grande Muraille Verte a été élaborée et adoptée en 2011 par le Conseil des Ministres de l’APGMV. Le processus d’élaboration de la SGH a démarré en décembre 2010 lors d’une rencontre internationale sur le cadre de mise en œuvre de la GMV regroupant les Points focaux de la GMV et du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) des onze (11) Etats membres, des Experts d’organisations internationales et de la Société civile. Cette concertation a permis la définition d’un cadre général d’orientation consensuel portant sur les Axes Majeurs fondateurs de la définition du tracé, des approches stratégique et conceptuelle de la GMV qui a servi de support aux Etats pour l’élaboration de leurs documents nationaux de Stratégie de mise en œuvre de la GMV. Le Document de Stratégie Globale Harmonisée (SGH) est issu de l’harmonisation et de la consolidation des documents nationaux sur la Grande Muraille Verte. -
Présentation du Projet Protection Intégrée des Ressources Agro-sylvo-pastorales dans le département de Tillabéri-Nord
Le Projet Protection des Ressources Agro-Sylvo-Pastorales dans le département de Tillabéri-Nord/PASP, se réfère à un accord Nigero-Allemand de 1980; mais il n'a effectivement démarré qu'en 1986 sous forme de projet d'appui institutionnel aux services techniques dans les quatre (4) arrondissements septentrionaux du département de Tillabéri à savoir: Filingué, Ouallam Téra et Tillabéri courant une superficie d'environ 70.000 Km2 et une population estimée à environ 1.200.000 d'habitants repartie dans 2.899 villages et hameaux. -
Guide d'entretien des bâtiments en construction sans bois : à l'usage des propriétaires et des maçons
L'entretien des bâtiments est une tâche essentielle. Pour les bâtiments en Construction Sans Bois le travail n'est pas compliqué et peu coûteux dans la majorité des cas mais il est important d'intervenir avant que les problèmes n'arrivent ou aussitôt qu'ils apparaissent. -
Manuel de l'auxiliaire de l'environnement
Le «Manuel de l'Auxiliaire d'Environnement» est réalisé par la Direction de l'organisation pastorale (DOP) et plus particulièrement par l'équipe de la Division de l'alimentation, de l'aménagement pastoral et hydraulique (DAAPH) qui a reçu le concours des cadres de la Direction de l'enseignement, de la formation et de la recherche vétérinaire et zootechnique (DEFRVZ) et du Laboratoire de recherche vétérinaire et zootechnique (LRVZ) de Farcha. Ce document didactique est destiné aux auxiliaires d'environnement et leur est remis lors de leur formation initiale . -
Utilisation de guiera segalensis j.f. gmel dans les aménagements anti-erosifs : applications pratiques de l’aptitude au marcottage
Le marcottage de G. senegalensis ne nécessite pas de précautions particulières : pas de substrat particulier, pas d’incision annulaire, pas d’utilisation d’hormones pour activer la rhizogenèse. Il suffit tout simplement d’enterrer les parties jeunes des tiges pour que des racines s’y développent. Deux semaines après l’enterrement suffisent pour observer des racines s’il n’y a pas une poche de sécheresse de plus d’une semaine. -
Etat des lieux des sites récupérés en CES/DRSavec l’appui du Projet « Dosso Ma za’ada » Campagnes 2006-2008 Département de Dosso
Le Projet Appui au Développement Territorial dans le département de Dosso « Dosso Ma Za’ada » a prévu dans le cadre de la mise en œuvre du résultat 3 relatif à l’accès des ruraux aux opportunités de développement, l’appui aux initiatives privées, communautaires et communales pour la restauration et l’amélioration des systèmes de production agro-sylvo-pastorales. A cet effet le projet a planifié la restauration de 1.200 ha de terres dégradées sur les quatre années de la phase du projet soit en moyenne 300 hectares par an. Ainsi, de 2006 à 2008 le projet a récupéré 858 ha de terres dégradées par la confection des ouvrages anti-érosifs divers réalisés en fonction de l’état de dégradation des espaces soumis au traitement. Le traitement biologique des espaces récupérés a nécessité la plantation d’environ 385 863 plants forestiers. -
Situation de référence des sites de suivi des paramètres de l’ensablement et de la dégradation des terres (Végétation herbacées et états de surface) et mise en place du dispositif de suivi de Leptadenia pyrotechnica
Le présent rapport a pour objet de compléter l’état de référence de la végétation initié par la collecte des données sur les herbacées et leur biomasse au niveau des parcelles où les ligneux ont été caractérisés et au niveau des sites de fixation des dunes du secteur environnant d’une part et d’autre part mettre en place un dispositif de suivi de Leptadenia pyrotechnica.
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Changement climatique : un défi de plus pour l’agriculture en Afrique Perspectives 2050 pour la sécurité alimentaire et la productivité agricole
Une étude commanditée par la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) et réalisée par le Cirad conduit à de sérieuses interrogations sur la capacité de l’Afrique subsaharienne à relever le double défi de nourrir sa population future - que tout le monde s’accorde à prédire en forte augmentation - et procurer des revenus décents à ses agriculteurs. La perspective ainsi offerte, d’ailleurs assez pessimiste, pourrait encore être assombrie par les prévisions communément faites sur l’impact du changement climatique sur la production agricole. Tout cela appelle une réflexion approfondie sur les mesures à prendre par anticipation et qui ne relèvent pas pour l’essentiel du domaine technique mais des politiques agricoles, dans le but de réduire les risques supportés par les producteurs et d’accroître leurs investissements. -
Évaluation des impacts des activités du Projet ALP - Dakoro (Niger)
Projet pilote, l’initiative Adaptation Learning Program (ALP) ou Programme d’Apprentissage sur l’Adaptation au Changement Climatique, est mis en œuvre pour une durée de cinq ans (2010-2014) à l’échelle de quatre pays subsahariens : Ghana, Kenya, Mozambique et Niger. Cette phase est conçue et mise en œuvre par Care et ses partenaires dans le but de « Renforcer la capacité des ménages vulnérables en Afrique sub-saharienne à s’adapter à la variabilité et au changement climatique à travers une approche d’adaptation à base communautaire (ABC) ». Le projet ALP est financé par DFID, DANIDA, Finlande et la Coopération Autrichienne de développement. Le projet ALP a pour objectif d’être le pionnier dans la vulgarisation, la compréhension pratique et la documentation de l’Adaptation à Base Communautaire (ABC) tout en approfondissant sur la compréhension et le traitement de la vulnérabilité différentielle des femmes rurales pauvres. -
La transplantation du mil, stratégie d’adaptation culturale pour atténuer la vulnérabilité de cette céréale face au changement climatique
La menace que la contrainte climatique fait peser sur le monde paysan (déficit pluviométrique, sécheresse, inondation etc.) nécessite la mise en œuvre de stratégies innovantes pour renforcer notre capacité d’adaptation et de résilience. Dans cette optique, le Projet d’Actions Communautaires pour la Résilience Climatique (PACRC), a entrepris une expérience pilote de repiquage du mil, céréale la plus produite au Niger, dans les communes d’intervention de Dargol, Falwel et Gouré. Pour en tirer les enseignements et les partager, une équipe pluridisciplinaire (PACRC, INRAN et services d’agriculture) s’est rendue à Gouré, Dargol et Falwel. -
Des innovations agroécologiques dans un contexte climatique changeant en Afrique
Cette étude est loin d’être exhaustive. En effet, afin de donner une vision globale des innovations agroécologiques dans les quatre zones d’étude, principalement des experts d’ONG françaises menant des actions dans les différentes régions africaines ont été interviewés. Même si quelques ONG locales ont aussi été sollicitées, le sujet pourrait être approfondi directement avec les paysans africains. En outre, s’intéresser uniquement à des systèmes agricoles référents laisse de côté d’autres systèmes qui sont peut-être aussi importants. De plus, l’information disponible était plus restreinte pour les zones les plus humides, du fait que les enquêtés travaillent généralement plus dans les zones plus arides où les effets du changement climatique sont déjà plus clairement identifiés.