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SAHEL 2014
Note sur la Promotion de l’Agriculture Familiale au Niger exemple du cas de Projet d’Appui à la Sécurité Alimentaire et au Développement dans la Région de Maradi PASADEMAujourd’hui il y a un débat qui s’instaure à travers le monde entre les
partisans du développement de l’agriculture industrielle pour nourrir le monde et ceux de la promotion et du renforcement d’une agriculture familiale durable capable d’insuffler un développement rural équilibré et équitable. -
Note d'actualité : la Grande Muraille Verte au Niger
Au Niger, la Grande Muraille Verte vise, à l’horizon 2035, le développement des communautés locales à travers une approche novatrice et inclusive consistant à mettre en synergie les actions de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d’atténuation et d’adaptation au changement climatique d’appui à l’amélioration des systèmes de production agro-sylvo-pastorale. La finalité étant de reverdir le Niger et de contribuer à une sécurité alimentaire durable des populations et du cheptel. -
La régénération naturelle assistée (RNA) pour lutter contre la désertification
L’avancée du désert depuis les années 70 combinée à la forte croissance démographique (103 habitants au km2 à Aguié et Gazaoua) accentuent la pression foncière. -
L’introduction d’acacias australiens pour réhabiliter des écosystèmes dégradés est-elle dépourvue de risques environnementaux ?
L’utilisation d’essences forestières exotiques et plus particulièrement des arbres à croissance rapide (acacias, pins ou eucalyptus) a été fréquemment recommandée pour réhabiliter et restaurer à brève échéance des milieux dégradés suite à des événements naturels ou à des activités anthropiques. L’incidence sur l’environnement de l’introduction de ces espèces, parfois envahissantes, est surtout évaluée pour leur impact sur la biodiversité végétale et les caractéristiques physico-chimiques des sols, mais rarement en ce qui concerne la composition de la microflore. Les micro-organismes, et plus particulièrement les champignons mycorhiziens, jouent un rôle clé vis-à-vis des mécanismes biologiques régissant la fertilité chimique des sols et leur productivité, facteurs de stabilité des écosystèmes terrestres. L’approche retenue a été de décrire l’incidence de l’introduction d’essences exotiques sur les caractéristiques biologiques des sols, ainsi que les conséquences sur la reconstruction d’un couvert végétal composé par des espèces natives du milieu d’origine. -
Élevage bovin et environnement : les chiffres clés
Dans les exploitations d’élevages bovins, les ateliers "végétal" et "animal" sont étroitement liés. Le premier fournit la majorité des fourrages consommés par les animaux (autonomie alimentaire en matière sèche fourrage de 98 %, pour l’ensemble des systèmes bovins nationaux), ainsi qu’une partie non négligeable des aliments concentrés ingérés (autonomie massique de 28 % en moyenne) (source : CIV). L’atelier animal produit des déjections valorisées sur ces surfaces, soit directement sur les prairies lors du pâturage, soit par épandage. Sur l’ensemble des élevages bovins français, plus de 60 % des apports azotés sur les surfaces exploitées sont de nature organique et proviennent majoritairement de l’exploitation elle-même. -
Le commerce intra-régional pour nourrir le continent africain
37% de la population africaine est sous-alimentée en Afrique de l'Est, 12 % en Afrique de l'Ouest. La demande alimentaire du continent va continuer à augmenter fortement ces prochaines décennies, du fait de la croissance démographique et de l'amélioration espérée du niveau de vie.