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Eléments d'un plan de formation - La mise en marché collective de l’oignon au Niger pour le bénéfice de la FCMN et ses coopératives participantes
Ce document de référence a été développé pour aider à encadrer la formation des membres et de leurs représentants locaux. Il cible les objectifs pédagogiques à attendre et ce, selon les différentes clientèles. -
Procédures du Système Collectif de Mise en Marché (SCMMO) de l'oignon
Ce manuel des procédures se veut un guide de référence pour toute personne qui intervient dans le système collectif mise en marché des produits agricoles. Il présente, les différentes activités reliées au système -
Fiche technique A.S.E. N° 10 moringa oleifera « l'arbre de vie »
Cette fiche technique présente l'importance de la production et de la transformation des produits du moringa. Le choix pour planter le Moringa oleifera est double :
1) une multitude de ses produits peut assurer aux femmes des revenus pendant toute l'année.
2) quelques vertus ont des qualités dans le domaine de la propreté et de la santé. -
Rapport provisoire :Etude de marchés et de débouchés pour les produits dont les filières seront appuyées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet P2RS
Le Niger a obtenu du Fond Africain de Développement (FAD) , le financement du projet1 du programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaires et Nutritionnelle au sahel (P2RS) -
Etude pour l’estimation de la production et de la commercialisation des feuilles de moringa Oleifera
L’étude sur l’estimation de la production et de la commercialisation des feuilles de moringa s’inscrit dans le cadre du plan d’actions pour l’accélération de l’OMD1/DAF (Eliminer l’extrême pauvreté et la faim) de la Stratégie de l’Initiative 3N « les Nigériens Nourrissent les Nigériens » pour la Sécurité Alimentaire et le Développement Agricole Durable, à travers le volet relatif à la valorisation des produits forestiers ligneux et non ligneux.
Cette étude, financée par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), a pour objectif de contribuer à l’amélioration des connaissances sur la production et la commercialisation des feuilles de moringa oelifera au niveau des principaux sites de production localisés dans cinq (5) régions du pays à savoir Dosso, Maradi, Tahoua, Tillabéry et Niamey. La population à enquêter est composée des exploitants de moringa, des commerçants et des unités de transformation -
Processus d'ingénierie civil dans le cadre de la réhabilitation des marches de demi-gros et centres de collecte
Pour arriver à la construction et à l’opérationnalisation de ces marchés et centre de collecte, le projet a fait valoir sa stratégie qui repose sur une démarche de concertation entre une ingénierie sociale composée des acteurs des marchés "Hadin Gwiwa", et une ingénierie civile pilotée par la cellule infrastructure du projet. Après un processus, d’animation et de dialogue avec les cadres locaux de concertation qui mènent l’ingénierie sociale, un choix a été opéré pour démarrer l'ingénierie civile pour les marchés de demi gros autour des Pôles de Développement Economique (PDE) de Tessaoua, Sabon Machi et Djirataoua. -
Analyse structurelle des systèmes agroforestiers à base de Moringa oleifera Lam. dans les vallées du fleuve Niger et du Goulbi de Maradi (Niger)
Les structures des systèmes agroforestiers à base de Moringa oleifera ont fait l’objet de suivi et d’analyses approfondies sur les sites de la vallée du fleuve Niger et du Goulbi de Maradi. Le suivi a porté sur la détermination des cultures maraîchères associées au M. oleifera, la durée ainsi que l’arrangement spatial des composantes de cette association. Les données ont été collectées à l’aide d’une fiche qui renseigne sur les paramètres à étudier. Aussi, des interviews semi-structurées ont été organisées avec les exploitants pour appréhender les motivations qui sous-tendent leur choix d’associer telle ou telle culture au M. oleifera. Il ressort de cette étude que sur les deux (2) sites, l’agrosylviculture domine avec plusieurs formes d’association du M. oleifera avec les cultures maraichères notamment Solanum melongena (24% des cultures associées au M. oleifera dans la vallée du fleuve) et Lycopersicon lycopersicum L (50% des cultures associées au M. oleifera dans le Goulbi de Maradi). Les raisons avancées par les exploitants pour choisir les cultures associées au M. oleifera sont d’ordre édaphique ou socioéconomique. Les superficies moyennes exploitées représentent 0,1915 ± 0,1707 ha/exploitant et 0,185 ± 0,0766 ha/exploitant respectivement dans la vallée du fleuve Niger et le Goulbi de Maradi. -
Moringa oleifera dans la résilience et la sécurité alimentaire des populations de la commune urbaine de Tibiri Gobir au Niger
L’objectif de notre travail est d’identifier les combinaisons alimentaires à base de Moringa, leurs fréquences de consommation journalière ainsi que sa contribution dans la sécurité alimentaire. L’enquête à ainsi permis d’identifier cinq combinaisons alimentaires faites de feuilles cuite du Moringa dans cette zone. Il s’agit de feuilles cuites du Moringa avec du piment, du tourteau, de la farine de manioc, du riz et du couscous. -
Étude régionale sur les contextes de la commercialisation du bétail / accès au marché et défis d'amélioration des conditions de vie des communautés pastorales
Dans le cadre de ses orientations actuelles, la SNV met en œuvre une approche d’appui conseil et de développement et partage de connaissances, afin de contribuer par là à la réduction de la
pauvreté. La région SNV Afrique de l’Ouest et Centrale (SNV-AOC)1 a choisi, entre autres, le secteur « Elevage/Pastoralisme » comme un de ses secteurs privilégié de réflexion et d’action. Chacun des pays concernés (le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali et le Niger) met en oeuvre des activités qui participent à la concrétisation d’une stratégie régionale « Elevage/ Pastoralisme », adoptée en Mars 2008, qui focalise particulièrement deux filières : (i) la filière « bétail sur pied » et la filière « lait ». -
Évolution du marché de l’oignon en Côte d’Ivoire à partir des informations contenues dans les « Bulletin sur le Marché de l'Oignon de l’OCPV».
Cette note présente la situation chronologique des approvisionnements en oignons sur le marché de la Côte d’Ivoire à partir de la lecture des informations contenues dans les « Bulletin sur le Marché de l'Oignon en Côte d'Ivoire ». -
Les semences de Violet de Galmi d’Afrique du Sud commercialisées par des firmes hollandaises : c’est n’importe quoi !
Depuis 2010, le RECA a organisé plusieurs rencontres sur la question des semences d’oignon. Ce n’est pas la peine de rappeler l’importance de cette filière au Niger, ni l’importance de semences dans toute production végétale. En début d’année 2013, le RECA avait mis en garde les acteurs de la filière oignon sur l’apparition dans des boutiques d’intrants de nouvelles marques qui proposaient des semences de Violet de Galmi d’origine inconnue ou suspecte. A l’heure de la récolte, il est maintenant possible de voir que ces variétés « exotiques » ne sont pas du Violet de Galmi. Il est temps de se pencher encore plus sérieusement sur la filière semence pour garantir à nos producteurs les semences de qualité dont ils ont besoin. -
Guide d'information sur le commerce des engrais en Afrique de l'Ouest
Ce guide contient les dernières statistiques nationales sur la production, le commerce et l’utilisation des engrais, des cartes et des profils actualisés des installations de production et de mélange d’engrais, ainsi que les procédures et les coûts logistiques qui contribuent à la formation du prix des engrais du port à la ferme. Pour encourager l’utilisation judicieuse d’engrais de qualité, de nouveaux laboratoires accrédités s’appuient sur les réglementations régionales des engrais et les normes d’étiquetage et d’emballage applicables en Afrique de l’ouest, tandis que la diffusion de paquets d’intrants agricoles adaptés aux différentes zones agroécologiques favorise leur utilisation optimale par les producteurs ouest-africains. -
Le moringa, une demande forte, une offre insuffisante
Le moringa c’est el maka en haoussa et windi boundou en djerma. En ce mois de septembre, il faut voir les véhicules chargés de sacs de feuilles de moringa pris d’assaut par les détaillantes sur les marchés de Niamey. Pourtant c’est la saison des pluies, la pleine saison de production. Il faut dire que les habitants de Niamey sont de très gros consommateurs de cette feuille riche en vitamines, fer et autres éléments minéraux, et aussi en protéines. Ils ont raison, car 100 grammes de feuilles fraîches de Moringa apportent autant de protéines qu’un œuf, autant de calcium qu’un grand verre de lait et autant de fer qu’un morceau de viande. Et 100 grammes de feuilles de moringa ce n’est pas beaucoup. Fin août 2010 un tas de feuille fraiche de moringa se vend à 400 F.CFA au petit marché de Niamey, un tas qui pèse… 2,5 kg environ. Cela en fait des œufs et des verres de lait ! -
Étude de marché et de débouchés pour les produits dont les filières seront appuyées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet P2RS
Le présent document présente les activités agro-pastorales des communes d'Aderbissinat et Mainé Soroa. -
Étude de faisabilité du projet d'aménagement et de mise en valeur des périmètres irrigués dans la vallée de l'Irhazer et la plaine du Tamesna : étude de marché des filières de commercialisation des produits animaux dans la région (version définitive)
Le Niger a adopté en novembre 2003 une Stratégie de Développement Rural (SDR) qui constitue le cadre de référence national en matière de développement rural et d'environnement. La SDR compte quatorze (14) programmes, dont dix (10) programmes structurants et quatre (4) programmes prioritaires. -
Étude sur la commercialisation du niébé
La présente étude a pour objectif de faire un diagnostic approfondi du fonctionnement des circuits de commercialisation, d'en analyser les contraintes majeures et les opportunités offertes, de proposer un programme d'actions qui aboutira à la rationalisation de la commercialisation du Niébé. -
Note de conjoncture sur les politiques de production et d'échanges dans les pays du CILSS
La suite du présent rapport comprend trois chapitres et une conclusion. Les trois chapitres traitent respectivement de l'évolution des politiques et des échanges dans chaque sous espace (Centre, Est et Ouest). Ils font l'analyse des politiques et des échanges pour les filières retenues dans chaque pays, ainsi que la synthèse de la situation du sous-espace considéré. -
Les systèmes agroalimentaires en Afrique
Les infrastructures « de marché », c’est-à-dire les infrastructures d’approvisionnement et de distribution alimentaires, sont un important levier d’amélioration de la durabilité des systèmes alimentaires. Sont définies ainsi les infrastructures, tant physiques qu’institutionnelles, qui permettent de faire le lien entre les producteurs et les consommateurs, entre offre et demande (schéma 1.1). Concrètement, il s’agit de tout type d’infrastructure physique ou institutionnelle nécessaire pour se faire rencontrer physiquement et contractuellement offre et demande : marchés urbains et ruraux, infrastructures de stockage et de regroupement, détaillants et marchés de gros, supermarchés et infrastructures de transport ; mais aussi normes de qualité et systèmes d’information sur les prix, technologies de l’information et de la communication (TIC), modes de contractualisation et organisation de la concurrence, régulation nationale et internationale. -
Note d'Information
Le ProDAF. dans son approche (Pôle de Développement Economique/ POE », vise à créer une dynamique économique autour des infrastructures de marchés opérationnelles en favorisant l'accès des produits agricoles à un prix abordable pour le consommateur/acheteur et rémunérateur pour le producteur. En effet, ces marchés sont au cœur des PDE et facilitent te développement local des différentes entités y afférents. C'est pourquoi, il est prévu notamment la construction de Centres de Collecte Satellite (CCS) et Plateformes de Commercialisation (PFC) des produits agricole" et de mettre de place des dispositifs de gestion en vue de créer un cadre adéquat pour les échanges commerciaux. A la date du 31 mai 2020. les 3 PFC (Bandé, Doungou et Guidimouni) et 2 CCS (Babban Ruwa, Zarmou) sont opérationnelles avec des structures de gestion (cadre de concertation / Hadil! Gwiwa) mises en place et formées depuis le démarrage du processus de construction de ces infrastructures (ingénierie sociale). Le CCS de Gassafa dont la réception provisoire est prévue en juin sera bientôt opérationnel. De ce fait. il est indispensable de poursuivre l'accompagnement des acteurs des marchés pour qu'ils prennent conscience de leur rôle central afin qu'ils puissent mieux développer leurs capacités en matière notamment d'initiatives et d'autonomie ainsi que de promotion des organisations des paysans; Ce qui leur permettra ainsi d'être plus actifs dans le fonctionnement du
cadre de gestion des marchés et favorisera l'atteinte du principal objectif escompté. A cet effet, l'ingénierie sociale apparait alors. comme préalable à toutes les interventions, notamment la pérennisation des infrastructures qui concourent à la création des conditions d'une meilleure commercialisation des produits agricoles.
La présente note d'information a pour objectif de contribuer à l'analyse de l'opérationnalisation des marchés construits avec leurs dispositifs innovants de gestion afin dc tirer les leçons et adapter au besoin le montage pour les prochaines infrastructures à mettre en place par le ProDAF. -
Moringa oleifera - l'arbre de la vie
Le Moringa, aussi appelé « Ne meurt jamais », peut croître aussi bien sur sol riche que sur sol pauvre et n’est que peu affecté par des conditions climatiques difficiles telles que la sècheresse. Il croît rapidement lorsqu’il est semé ou coupé. Il peut également se régénérer par lui-même, après une coupe très sévère. -
Potentiel de Moringa Oleifera en agriculture et dans l'industrie
Moringa est l’un des arbres tropicaux les plus utiles. Il se propage relativement facilement, aussi bien de manière végétative que sexuée, et il est peu exigeant en eau et matières minérales. Ainsi, sa production et son entretien sont aisés. L’introduction de cette plante au sein d’une ferme dans un environnement riche en biodiversité peut être bénéfique à la fois pour l’exploitant et pour l’écosystème environnant. -
Produire et transformer les feuilles de moringa
Le Moringa oleifera, arbre tropical à usages multiples, est passé en une décennie du statut de plante marginale, voire inconnue, à celui de nouvelle ressource alimentaire et économique pour les pays du Sud. Les feuilles, faciles à produire et très riches en protéines, vitamines et minéraux, sont de plus en plus utilisées dans des projets luttant contre la malnutrition. La production de feuilles de moringa est aussi un moyen de générer des revenus agricoles, de développer des activités de transformation agro-alimentaire et des nouveaux marchés. -
Évaluation de la production du Moringa oleifera Lam. sur substrat constitué de boue de vidange en fonction de la fertilisation et de la dose d’irrigation
Dans le contexte de développement durable, la gestion des déchets, quelle que soit leur nature occupe une place importante. La non valorisation des boues de la Société d’Exploitation des Eaux du Niger (SEEN) a motivé la réalisation de cette étude. Menée en condition semis contrôlée, elle avait pour objectif d’évaluer la production du Moringa oleifera sur boue de vidange en fonction de deux doses d’irrigation combinées à différents types de fertilisation. Le dispositif expérimental était un split plot à quatre répétitions et deux facteurs: la dose d’irrigation (0,5 L et 1 L) et la composition du substrat (B, BSC, BSE, BC, BS et S). Les paramètres observés sont : le taux de survie, la hauteur des plantules, le nombre de feuilles, le diamètre au collet de la plante, l’élongation racinaire et la biomasse totale. Les résultats ont montré que la dose d’irrigation de « 1 litre » a été plus favorable sur l’ensemble des substrats et que les plants issus des substrats Boue + Sol ; Boue + Sol + Engrais et Boue + Sol + Compost ont donné les meilleurs résultats. Par contre, une forte létalité des plantes sur les substrats composés uniquement de Boue a été observée. Cette boue pourrait être utilisée en agriculture à condition qu’elle soit supplémentée par des fertilisants organiques. -
Effet combiné de la disposition et du niveau de coupe des plants de Moringa oleifera sur le rendement en fruits de l’aubergine
L’association de l’espèce ligneuse Moringa oleifera et des cultures maraîchères est devenue une forme d’utilisation des terres permettant aux exploitants de faire un usage judicieux des terres surexploitées. Aussi, parmi les cultures associées au M. oleifera figure aujourd’hui Solanum melongena (aubergine). Cette étude a pour objectif de passer en revue l’effet combiné des facteurs disposition et niveau de coupe des plants de M. oleifera sur les rendements en fruits de S. melongena. Ces facteurs comprennent respectivement trois et deux niveaux. Ainsi six (6) traitements A1B1, A1B2, A2B1, A2B2, A3B1 et A3B2 et un traitement témoin (T) ont été utilisés. -
Panorama of Onion Production in Tillabéri, A Region of the Far West of Niger
The objective of this study was to evaluate onion production systems in four municipalities along the Niger River. A cross-sectional survey was carried out among seventy-five onion producers distributed over ten perimeters. The results obtained reveal that onion is mainly grown by women (95%). 70% of the farmers own the farmed land, 20% rent and 10% borrow. The cultivation takes place between September and March. The cultivated varieties are ‘Galmi violet’ and ‘Gothèye white’, Onions are essentially transformed into Gabou, a traditional condiment. The areas exploited are generally less than half a hectare. Irrigation relies mainly on the gravity system. NPK fertilizer and urea in combination with manure are the most commonly used. For phytosanitary treatments, producers use pesticides and/or natural products based on aqueous extract. At harvest time, the price per 100 kg bag varies from 8 000 to 15 000 FCFA (12 to 23 €) and from 40 000 to 50 000 FCFA (61 to 76 €) after four months of storage. The average production cost per hectare is 1 208 564 FCFA (1844 €) and that of the net margins 551 857 FCFA (840 €). -
Chaine de valeur oignon : commercialisation des oignons en Afrique de l'Ouest, analyser les chiffres
De nombreuses institutions font réaliser des études sur les chaines de valeur. Les experts chargés de ces études utilisent des données en citant les sources. Il nous semble important de croiser autant que possible les données disponibles et surtout de les commenter pour évaluer leur crédibilité car les variations entre les sources peuvent être considérables. Cette note sur la filière oignon rassemble différentes informations par rapport à la commercialisation de ce produit dans la partie Est de l’Afrique de l’Ouest dont le Niger est un des acteurs majeurs. -
Analyse approfondie de la chaine de valeur oignon au Niger 2021-2030
La CDV Oignon est devenue aujourd’hui un enjeu essentiel non seulement pour le Niger, mais pour toute la région de l’Afrique de l’Ouest. En effet, l'oignon constitue la principale spéculation agricole pour laquelle le Niger possède un réel avantage comparatif par rapport aux autres pays de la sous-région, et sa compétitivité sur ces marchés sous régionaux lui confère une place importante dans les cercles familiaux et dans l'économie nationale. Le Niger est classé parmi les premiers pays producteurs d’oignons de l’Afrique de l’Ouest et est le plus grand exportateur d’oignons de la région. Sa culture, qui a une longue histoire au Niger, devient de plus en plus importante comme un produit de rente et joue un rôle important dans le système alimentaire du pays. Mais les défis et goulots d’étranglement ne manquent pas dans la filière. -
The moringa Leaf Caterpillar (Noorda blitealis Walker, 1859), a major pest of moringa (Moringa oleifera Lam.) Worldwide
Moringa (Moringa oleifera Lam., Moringaceae) is one of the most widely consumed vegetables in Southeast Asia and West Africa. Throughout its range, it is attacked by the leaf caterpillar, Noorda blitealis Walker, 1859 (Lepidoptera: Crambidae). The latter is considered the most important insect pest because it is present throughout the year and causes significant damage to moringa. This document highlights its taxonomic position, its distribution, its bio-ecology, the damage inflicted on the plant as well as the control measures. -
Étude du marché régional de l'oignon, du niébé et de bétail-viande
La présente étude a pour objectifs d'analyser le marché régional de l'Oignon, du Niébé, du BétailNiande, d'identifier ses contraintes et de dégager les mesures
d'amélioration des conditions de promotion et d'exportation des produits. Elle concerne principalement le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Nigéria et le Togo. -
Lancement du test d'introduction d'emballage filets pour l'oignon du Niger
L’objectif recherché à travers ce test est d’introduire dans le maillon du conditionnement et de mise en marché des oignons du Niger, un nouveau matériel d’emballage de « type filet » simple, propre, résistant, moins cher, de faible impact sur l’environnement et adapté au commerce international des bulbes. -
Moringa (Moringa oleifera Lam): A Review on its Importance Worldwide
Moringa is a plant whose cultivation began in Asia but has spread widely throughout the world. It is fast growing and drought tolerant. The uses of moringa are multiple and multiform. It is used in human and animal food and also is a medicinal plant that has antimicrobial activities and treats several types of diseases. In addition to this, it has other environmental and industrial uses that make it very important. This paper highlights its origin and geographical distribution, bio-ecology, chemical composition, uses, and pests that affect it. -
Comptoir de commercialisation d'oignon de Tsernaoua-Konni
Le comptoir de commercialisation d’oignon de Tsernaoua constitue la seconde EEHP que la mission d’appui à la mise à niveau des Entités Economiques à Haut Potentiel a diagnostiquée dans le cadre de la mise en œuvre de l’approche Chaine d’approvisionnement/chaine de valeurs du PRODEX. a) Situation géographique du comptoir Il est situé dans la commune rurale de Tsernaoua qui se trouve à 15 km de la ville de Konni, sur la route nationale N° 1 en direction de Madaoua. Cette commune est par excellence un traditionnel centre de commercialisation très fréquenté. Sa position géographique de carrefour (Madaoua/Maradi/Tahoua-Agadez) en fait un point de convergence de commerçants et autres professionnels de la filière oignon du Niger. Le comptoir a été construit sur une superficie de 1,5 Ha. -
Les marchés ruraux du bois de feu au Niger et l'autogestion locale des ressources naturelles : la problématique et les leçons actuelles de l'expérience
Ce document présente une synthèse provisoire au début de 1994 des travaux réalisés par le Projet Energie II - Composante Energie Domestique, Volet Offre (PE II / ED - VO) dans le cadre de la mise en application de la Stratégie énergie domestique, c'est à dire de la réforme sur la réglementation relative à la commercialisation et au transport du bois dans les grandes agglomérations et de la création des marchés ruraux du bois-énergie autour des quatre principales villes du Niger.