Recherche
36 items
-
L’agriculture intelligente face au climat, une solution gagnante pour relever le défi de l’insécurité alimentaire et la lutte contre la désertification au Sahel et en Afrique de l’Ouest !
Note aux décideurs
La menace climatique se précise et risque de perturber l’agriculture ouest africaine. En effet, à l’horizon 2050, sans mesures d’adaptation, les rendements des céréales baisseront de 10 à 50 % en Afrique soudano sahélienne.
Si les politiques publiques agricoles au Sahel et en Afrique de l’Ouest se fixent comme cible de restaurer 10% des superficies agricoles par an avec des techniques climato-intelligentes, le coût des investissements nécessaires se chiffreraient entre 50 à 170 millions de dollars par an. Selon les pays, le retour sur investissements est évalué entre 50 et 70%.
Il est donc urgent d’agir. -
Guide technique de l' agriculture
La présente documentation technique de la JGRC, composée de 8 guides, s'adresse aux techniciens impliqués dans la lutte contre la désertification par le biais des activités agricoles des communautés rurales.
En deux mots, les études de la JGRC se caractérisent par l'acquisition q de techniques de développement agricole
utilisant efficacement l'eau des oueds (cours d'eau dont l'écoulement se limite à la saison des pluies) dans les plaines d'inondation, ces dernières étant relativement fertiles mais peu utilisées, et w de techniques de
développement global et durable de l'agriculture, centrées sur la conservation des sols des terrains en pente douce et le rétablissement de la productivité des sols où se trouvent les villages. -
Plan forestier national du Niger (PFN 2012 – 2021)
Le plan forestier national du Niger est le document de référence pour la mise en oeuvre des actions d'aménagement, de reboisement et de protection des massifs forestiers au Niger -
CARI
Le CARI est une association (loi 1901) de solidarité internationale qui agit depuis plus de 20 ans dans la lutte contre la désertification.
Le CARI promeut un modèle agricole durable (agroécologie, agriculture familiale) pour répondre à la problématique de dégradation des terres en zones arides.
Le CARI ne souhaite pas se substituer aux compétences locales. Il accompagne des organisations de la société civile et des collectivités locales.
Fort de ses projets menés dans une vingtaines de pays, majoritairement au Maghreb et au Sahel, le CARI est une référence auprès du gouvernement français et de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification. -
Réseau Sahel Désertification (Resad)
Le ReSaD est un réseau de la société civile qui mobilise quatre plateformes nationales au Burkina Faso, au Niger, au Mali et en France. Cette initiative Nord-Sud, à la croisée des préoccupations nationales et régionales, agit pour la lutte contre la désertification et l'amélioration des conditions de vie des populations des zones arides. -
Un projet de développement forestier au Niger :
Problèmes d’adaptation des objectifs initiaux aux contraintes de réalisation
Ce présent document porte sur les problèmes d’adaptation des objectifs initiaux aux contraintes de réalisation du projet de développement forestier au Niger.
-
Analyse économique des projets forestiers
La présente publication fait partie d'un programme permanent de la FAO visant à transmettre les compétences en matière d'analyse et de planification à ceux qui sont responsable de ces activités dans le secteur forestier,dans les pays en développement et par conséquent,à les aider à identifier,élaborer et exécuter des projet et des programmes de développement forestier viables et utiles. Dés les premières phases de ce programme,qui se compose principalement de séminaire et de journée d'études,il est apparu évident qu'il serait nécessaire de publier un rapport sur les besoins particulier des planificateurs forestiers. La littérature sur les analyses coût-bénéfices est déjà vaste et continue d'augmenter. La présente publication a pour but de répondre a ce besoin dans le secteur forestier. Comme les auteurs l'expliquent dans leurs préface,c est un document pragmatique qui donnent des conseils sur la façon de ressoudre les problèmes concrets rencontrés dans la pratique,mais qui le fait en aidant l'utilisateur a comprendre les raisons conceptuelles qui sont à la base de ces propositions. -
Programme d'action national de lutte contre la désertification
Avec une superficie de 112 622 km2, le Bénin est un pays aux caractéristiques géographiques et climatiques variées. Sa population d'environ 6 millions d'habitants est concentrée dans la zone méridionale où se rencontre une végétation dégradée. On estime que 12% environ du territoire sont couverts de forêt semi-décidue, de forêt claire et de savane arborée. -
Etude socio-économique des sites forestiers de Dan kada dod, Bakabé, Dan gado (Arrodissement d'Aguié) de Kandamo (Arrodissement de Madarounfa) et de Kwofo (Arrondissement de Kollo)
L'accès a la terre est régie par le principe du premier occupant, en l'occurrence le chef de canton. Ceci lui confère toutes les prérogatives relatives à la gestion des terres. Il perçoit une redevance Fukurmey qui s'élève à une botte de mil par champ. La location ou le prêt Hiyyan existe. Elle se fait devant témoins et entraine le versement d'une redevance Labu albarka (Zarma) ou Barké ladi (Peul) dont le volume est laissé à la discrétion du locataire. Après le décès du locataire, ses enfants ou ayants,droits reformulent la demande en location auprès du propriétaire du champ. En revanche, le don à un parent ou un ami n'entraine pas le versement d'une redevance.L'acquisition des terres par héritage intervient en cas de conflits entre les jeunes qui peuvent réclamer leur part et constituer une unité de production. Autrefois, afin de préserver la cohésion et l'unité familiale, les champs et la concession étaient indivis. -
Lutte contre la désertification pour faire face aux changements climatiques
La désertification est définie comme la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches1. Elle est entraînée par divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines. Un tiers de la population humaine mondiale vit sur les terres arides qui représentent plus de 40 % de la surface des terres émergées de la planète. La désertification ne correspond pas à l’avancée du désert mais à une diminution progressive de la qualité des sols et un appauvrissement de la vie qu’il hébergent. Cette destruction des sols traduit une perte de leur fertilité et a donc des conséquences négatives sur l’environnement et sur les conditions de vie des populations. -
Étude du programme du renforcement de la capacité pour la lutte contre la désertification basée sur la communauté dans le sud de la région de Ségou en République du Mali
Le Mali, situé à la limite du désert du Sahara, est un pays de l'intérieur de l'Afrique Occidentale, qui fait partie du groupe des pays les plus pauvres du monde (PNB de 220 dollar US/2002 par habitant). Cette situation est due à la fragilité de bases économiques et au problème de la désertification qui frappe tout le pays. -
Étude pour le projet de développement rural centre sur les habitants pour la lutte contre la désertification dans le sud de la région de Ségou en République du Mali
La zone d'étude concerne une partie de la région de Ségou située dans le bassin central du Mali. Cette zone est entourée du fleuve Niger et son affluent, le Bani, et forme une plaine relativement propice à l'agriculture. -
Projet d'aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri
Dans le cadre de ses priorités de développement, le Gouvernement de la République du Niger a formulé une requête auprès de l'Agence Française de Développement qui a manifesté son intérêt à contribuer à la préservation des ressources naturelles et à l'inversion des tendances à la dégradation du bassin versant de Badaguichiri. L'appui de l'AFD s'opérera conjointement avec la GTZ-Niger, qui dispose d'une expérience dans la région de Tahoua et s'inscrit dans le cadre de la Stratégie de Développement Rural (SDR), unique cadre de référence en matière de politique en économique et social dans le secteur rural. -
Le projet majeur africain de la Grande Muraille Verte: concepts et mise en oeuvre
L’initiative Grande Muraille Verte est un projet d’envergure continentale. Elle constitue l’une des réponses de l’Afrique aux défis auxquels elle est confrontée et également une proposition concrète d’actions dans le cadre de l’alliance mondiale contre les changements climatiques. Elle est sous-tendue par des mécanismes de coopération régionale et sous-régionale dans le cadre d’une approche globale concertée. -
Stratégie et plan d'actions de mise en œuvre de l'initiative Grande Muraille Verte au Cameroun
Le présent document de stratégie est une synthèse des consultations avec les acteurs impliqués dans la lutte contre la désertification, les changements climatiques et la conservation de la biodiversité ainsi que des bénéficiaires potentiels. -
La Grande Muraille Verte : état de mise en œuvre et perspectives à l'orée 2030
La Grande Muraille Verte est une initiative panafricaine de restauration et de gestion durable des terres dans la région sahélo-saharienne ayant pour objectif de lutter contre la dégradation des terres et la pauvreté. L’idée de la création de l'initiative a été envisagée pour la première fois en 2005 lors de septième session de la conférence des chefs d’état et des gouvernements membres de la CENSAD qui s’est tenue à Ouagadougou les 1 et 2 juin 2005 – par l'ancien président du Nigéria, le chef Olusegun Obasanjo, et a été fortement soutenue par le président du Sénégal, Abdoulaye Wade. En 2007, l'Initiative a pris de l'ampleur lorsque la Déclaration 137 VIII de l'Union Africaine a été adoptée, approuvant la décision sur la mise en œuvre (UA 2007) (ci-après dénommée GMV). -
L'Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel
Dans le cadre de l'IGMVSS, un tiers du territoire nigérien (47 millions d'hectares) englobant trois zones climatiques (sahariennes, sahélo-saharienne et sahéliennes) est concerné par la mise en place de projets de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d'atténuation et d'adaptation au changement climatique. -
La Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel : Une mosaïque de pratique durables d'utilisation des terres pour renforcer la résilience locale à la dégradation des terres et aux changement climatiques dans 20 pays
Dans la région sahélo-saharienne la vie de millions de personnes dépend de la productivité des terres dans les zones arides. Cette précieuse ressource naturelle est non seulement à la base de la sécurité alimentaire et de la production agricole, mais elle génère aussi de l’emploi et atténue les crises sociales pour les populations vulnérables les plus pauvres de la région. -
Note d'actualité : la Grande Muraille Verte au Niger
Au Niger, la Grande Muraille Verte vise, à l’horizon 2035, le développement des communautés locales à travers une approche novatrice et inclusive consistant à mettre en synergie les actions de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d’atténuation et d’adaptation au changement climatique d’appui à l’amélioration des systèmes de production agro-sylvo-pastorale. La finalité étant de reverdir le Niger et de contribuer à une sécurité alimentaire durable des populations et du cheptel. -
Investir dans la gestion responsable des terres
Ce rapport est établi suivant le format proposé dans le Protocole d’accord. Il fournit des informations sur les activités de gestion durable des terres menées par le FEM dans le cadre de son domaine d’intervention«dégradation des terres », précisément pour lutter contre la désertification et le déboisement, pour la période comprise entre juillet 2011 et juin 2013. Conformément aux dispositions du Protocole d’accord, les activités menées dans les autres domaines d’intervention du FEM et les guichets de financement ayant trait à la gestion durable des terres (GDT) sont également présentés. La période faisant l'objet du présent rapport coïncide avec la deuxième et troisième année complète du cinquième cycle de refinancement de l'institution (FEM-5). -
Gestion durable des terres en Afrique subsaharienne : Politiques et financement : conclusions et conseils pour les interventions
Dans le continent africain, la gestion durable des terres (GDT) est au cœur de l’enjeu du développement. La dégradation des terres empêche la croissance agricole et accroit la pauvreté et la vulnérabilité ; elle contribue aussi aux tensions sociales tout en menaçant la biodiversité et la libération du carbone par le déboisement. -
Les produits Forestiers Non-Ligneux au Niger : Connaissances actuelles et tendances
Dans cette étude nous tenterons de collecter les données disponibles sur l'utilisation et l'exploitation des PFNL au Niger, d'évaluer leur importance relative, d'analyser les tendances passées, actuelles et futures de la consommation, de la commercialisation et de l'exportation de ces produits et enfin d'analyser les contraintes pour l'amélioration de la collecte des données statistiques. Il n'est pas question ici de faire une évaluation quantitative du potentiel des PFNL au Niger et de leur contribution à l'économie du pays. Cette étude demandera des moyens plus importants et pourrait être envisagée, lors des prochaines étapes, pour les produits les plus importants. -
Rapport d'activité : Office National des Forets
L’aménagement constitue le document de planification sur lequel s’appuie la gestion forestière à l’échelle de chaque forêt publique. Document essentiel, il permet d’appliquer localement, sur une échelle de quinze ans, les enjeux associés aux différentes fonctions de la forêt et les traduit notamment en programmes de travaux forestiers et de récolte de bois. Afin de tenir compte des réalités territoriales des forêts, des évolutions de ces documents de gestion ont été proposées en 2016 : le règlement type de gestion (RTG) pour les forêts à faible enjeu dont la surface est L’aménagement constitue le document de planification sur lequel s’appuie la gestion forestière à l’échelle de chaque forêt publique. Document essentiel, il permet d’appliquer localement, sur une échelle de quinze ans, les enjeux associés aux différentes fonctions de la forêt et les traduit notamment en programmes de travaux forestiers et de récolte de bois. Afin de tenir compte des réalités territoriales des forêts, des évolutions de ces documents de gestion ont été proposées en 2016 : le règlement type de gestion (RTG) pour les forêts à faible enjeu dont la surface est inférieure à 25 hectares ; l’aménagement synthétique, adapté à des niveaux d’enjeux moindres concernant les quatre fonctions principales de la forêt (économique, écologique, sociétale et fonction de protection). -
La régénération naturelle assistée (RNA) pour lutter contre la désertification
L’avancée du désert depuis les années 70 combinée à la forte croissance démographique (103 habitants au km2 à Aguié et Gazaoua) accentuent la pression foncière. -
Programme régional de gestion durable des terres et d’adaptation aux changements climatiques au Sahel et en Afrique de l’Ouest
(PRGDT)Créer les conditions techniques, politiques et stratégiques de gestion durable des terres et d’adaptation pour la réduction de la vulnérabilité des populations de l’Afrique de l’Ouest aux changements climatiques. -
Agroécologie en Afrique de l’Ouest et du Centre : réalités et perspectives
Ce numéro de Grain de sel consacré à l’agroécologie en Afrique de l’Ouest et du Centre tente de répondre à ces différentes questions, en faisant participer au débat une diversité d’acteurs, chercheurs et praticiens, du Nord et du Sud. Le numéro s’attache tout d’abord à examiner le concept d’agroécologie, son origine, ses évolutions et ses définitions pour les acteurs de la région. Des articles présentent ensuite une série d’expériences, au niveau national et local, illustrant les réalités, les succès et les limites des pratiques agroécologiques sur le terrain. La dernière partie du numéro interroge plus précisément les obstacles et les leviers à un changement d’échelle des pratiques agroécologiques en Afrique de l’Ouest et du Centre. -
Composition Floristique et Structure des Forêts Urbaines des Villes Sahéliennes: Cas de Niamey et Maradi, Niger
Les villes jouent un rôle majeur dans la conservation de la biodiversité ligneuse. Néanmoins, il y a peu de données sur la composition floristique ligneuse et la structure des forêts urbaines au Sahel. L'objectif de cette étude est de déterminer la liste floristique ligneuse et les caractéristiques structurales des forêts urbaines dans les villes de Niamey et Maradi en fonction des types d’'utilisation et d’occupation des terres. L’inventaire forestier basé sur l’échantillonnage aléatoire stratifié a été réalisé sur 363 placettes de 2500 m2. -
Atelier préparatoire pays à la tenue de DESERTIF' ACTIONS 2022
Pour lutter contre la dégradation des sols et des terres, les émissions de Gaz à Effet de Serre et l'insécurité alimentaire, une transition vers des systèmes alimentaires plus durables et inclusifs s’impose. Dans ce contexte, l'agroécologie offre une approche intégrée qui applique simultanément des concepts et des principes écologiques et sociaux à la conception et à la gestion des systèmes alimentaires et agricoles. Ainsi, Désertif’actions 2022 se donne pour ambition de mettre l’agroécologie au cœur de l’agenda de la lutte contre la désertification et la dégradation des terres, en partageant et mettant en commun les résultats des actions menées par la société civile et la recherche. -
Initiatives environnementales au Sahel : paysannes engagées ou instrumentalisées ?
La lutte contre la désertification est amorcée depuis une cinquantaine d’années au Sahel et les femmes s’y sont très tôt impliquées. Pourquoi ? Comment ? Avec quels bénéfices et quelles conséquences sur leur place aujourd’hui ? Engagement ou instrumentalisation ? Regard sur cinq décennies d’actions des femmes au Niger sur ces questions. -
Fête Nationale de l'Arbre : désertification (lutte et perspectives)
La sécheresse des années 1974 et 1984 a produit dans "économie Nigérienne des ondes de choc. Elle a agi comme un séisme. L'économie rurale fruit des activités agricoles et pastorale et base même du développement Socioéconomique du pays ; était paralysée. Le cri d'alarme déclenché, l'Administration Forestière s'était dès lors engagée dans la lutte, mais cherche encore à se "redéployer", c'est à dire à ajuster les politiques, stratégies et surtout les pratiques socio-économiques quotidiennes des populations ; aux changements naturels observés. Ce qui apparaît d'ailleurs, le plus chargé d'avenir pour prévenir celui des générations futures (principe du Développement Durable). -
Savoirs de paysans et lutte contre la désertification : augmenter le potentiel d'un champ cultivé en installant des bandes enherbées
La mise en place de bandes enherbées dans un champ cultivé est une technique essentiellement utilisée pour limiter les dégâts causés par l’eau de pluie sur le sol et les cultures. Elle consiste à planter ou semer, sur une ou plusieurs lignes, sous forme de « bandes », des espèces locales d’herbes. -
Capitalisation de l’expérience de l’Initiative régionale Environnement mondial et Lutte contre la désertification IREM/LCD
Le présent document est un recueil de xxx fiches techniques présentant différentes méthodes, techniques de lutte contre la désertification, tirés des micro-projets soutenus par IREMLCD. Certes, il n’est pas exhaustif mais il se veut une contribution à l’amélioration des compétences et des connaissances par la diffusion d’informations au sujet de la lutte contre la désertification dans un contexte agro-alimentaire mondial fortement tendu. Il ambitionne également d’encourager le financement et la mise en œuvre d’approches plus adaptées et de techniques plus appropriées à la lutte contre la désertification. -
État des lieux sur l'exploitation des ressources forestières de la commune rurale de Allela
La présente étude participe au processus d’élaboration concertée du schéma d’aménagement forestier de la commune rurale de Alléla (SAFA). Elle est un appui apporté par le PKM dans le cadre de la promotion d'une bonne gouvernance des ressources forestières, par le transfert de la gestion à la commune et aux communautés villageoises. Les résultats qui en seront issus serviront :
• De support de discussion et de décisions aux acteurs engagés dans le processus d’élaboration du SAFA, notamment au cours des concertations de définition d’objectifs communs de développement forestier communal,
• aux experts chargés de la compilation des données du schéma, qui disposeront de données directement exploitables pour des besoins de capitalisation,
• à la commune dans sa politique globale d’aménagement du territoire ou d’actualisation de son plan de développement communal. -
La gestion durable des ressources naturelles au niveau communal : l'intégration des secteurs agriculture, élevage et foresterie dans les planifications et actions communales - une comparaison des expériences de la Coopération allemande au Bénin, Mali, Niger, Sénégal et à Madagascar
Les programmes de la Coopération technique allemande (GTZ) œuvrant dans les domaines de la gestion des ressources naturelles et de la décentralisation accompagnent le processus de mise en place des communes depuis son démarrage et ont gagné énormément d’expérience dans l’appui aux communes. L’appui à l’intégration pratique de la gestion des ressources naturelles dans les activités communales touche deux aspects nouveaux pour ces programmes qui, depuis les années 90, ont surtout travaillé au niveau villageois : d’une part la relation des communes comme administration territoriale locale par rapport aux aspirations de la population dispersée dans les villages, et d’autre part la relation entre la gestion des ressources naturelles et la promotion de l’économie rurale à un niveau élevé. Le groupe de travail francophone du réseau SNRD (Sector Network Rural Development) a commandité cette étude pour collecter et analyser les expériences des programmes dans cette problématique et fournir des recommandations pour la future orientation des programmes dans le processus continu de la décentralisation. -
Les ressources forestières naturelles et les plantations forestières au Niger
Ce document porte sur l’évaluation des ressources forestières naturelles et les plantations forestières au Niger. Une revue de la documentation existante a permis d’établir une typologie et une évaluation de toutes les ressources forestières existantes. C’est ainsi qu’une synthèse des typologies des formations forestières proposées par divers auteurs a été faite. Les principales formations forestières du pays sont représentées par des forêts classées et des gommeraies qui comportent des faciès plus ou moins dégradés suivant la pression démographique. A ces formations naturelles, il faut ajouter les parcs agroforestiers qui constituent également une composante non négligeable de ressources forestières. La productivité des formations a été évaluée suivant différentes méthodes développées dans le cadre de programme de recherche et d’aménagement de forêts classées. Pour les gommeraies et les parcs agroforestiers, la productivité des peuplements n’est pas estimée cependant on peut retenir que leur contribution est importante dans la satisfaction des besoins des populations locales en produits forestiers ligneux et non ligneux. -
Etude socio-économique dans le cadre de l’Analyse Diagnostique Détaillée de la zone d’intervention du Projet de Lutte Contre l’Ensablement des Cuvettes Oasiennes dans les départements de Gouré et Maïné-Soroa (PLECO)
La dégradation rapide des ressources naturelles et subséquemment le processus d’ensablement qui l’accompagne sont au Niger des phénomènes globaux et persistants, mais leur ampleur dans les départements de Gouré et de Maïné-Soroa n’a rien de comparable. C’est pourquoi les autorités politiques n’ont eu de cesse de multiplier les initiatives, non pas pour enrayer le fléau ce qui paraît improbable, mais tout au moins pour en limiter les effets et corriger éventuellement les préjudices causés aux populations. Mais le meilleur gage d’une intervention exemplaire et réussie dans le domaine est entre autres de comprendre la problématique générale du processus d’ensablement dans sa double dimension économique et sociale, ce qui passe par des investigations de terrain auprès des personnes vivant dans les zones atteintes ou menacées.