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Mémoire technique APD - Etude et élaboration du DAO pour 17 ouvrages de mobilisation des eaux dans la région de Maradi
L’un des piliers de la politique du Gouvernement de la 7è République du Niger est l’amélioration des conditions de vie des populations en général à travers le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage qui a à sa charge la mise en œuvre de l’axe 1 « Maitrise de l’eau pour les productions agro sylvo pastorales et halieutiques » de l’Initiative « 3N », les Nigériens Nourrissent les Nigériens» 2016-2020. -
Rapport d’étude hydraulique et hydrologique pour la réalisation et la réhabilitation de neuf (14) seuils d’épandage, l’aménagement de deux (02) mares et le sur creusage d’une mare dans la Région de Maradi.
La région de Maradi se trouve au centre Sud du Niger, elle couvre une superficie de 41 796 Km2. La population est de 3 404 645 (RGPH 2012)avec une densité de 81h/Km2.
L’étude hydrologique a pour but, l’estimation des caractéristiques hydrologiques (apports interannuels et débits projet) nécessaires pour définir le schéma d’aménagement et le calage et le dimensionnement des ouvrages.
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Dispositif de suivi du niveau de nappe phréatique dans les vallées équipées de seuil d’épandage du bassin versant de Badaguichiri
La non durabilité de l'usage des eaux souterraines pour l'irrigation est un problème important non seulement pour les pays qui font un usage intensif des eaux souterraines, mais aussi pour le monde dans son ensemble. La disponibilité et la mobilisation des eaux souterraines constituent un facteur constituent un préalable pour la pratique et la promotion des cultures irriguée. Dans les vallées du bassin versant la pratique des cultures maraichères est possible du fait de l’existence de nappe alluviale dont la profondeur du niveau statique n’excède pas les 15m. La recharge se fait par infiltration des eaux de pluies et de ruissèlement. Elle dépend fortement du temps de résidence sur les surfaces des zones de recharge. Pour accroitre ce temps dans les vallées, le projet Badaguichiri construira des seuils d’épandage au niveau de plusieurs vallées.
Le CNSEE responsable du volet suivi écologique et environnement au niveau dudit projet envisage de suivre l’effet des seuils qui seront construit sur la recharge de la nappe phréatique. Cette information constituera un outil d’aide à la décision pour la promotion des cultures irriguées en général. -
Programme spécial 2001: Volet micro - Barrage
Dans un pays comme le Niger situé en plein cœur du Sahel, la mobilisation des eaux de ruissellement s'avère un axe privilégié sur lequel devra s'orienter le développement du secteur agricole qui demeure encore le principal moteur de l'économie du pays. -
Travaux de construction de seuils à Karkara et de traitement de koris à Dareye
Le présent document fait office du rapport d'exécution des travaux du marché relatif à la réalisation de seize (16) seuils de traitement de koris à Darey région de Tillabéry commune rurale de Ouallam et d'un (1) seuil d'épandage à Karkara région de Tahoua commune rurale de Allakaye. -
Aménagement et mise en valeur des vallées de Badaguichiri : Quelques observations sur les images satellite Google Earth disponibles
Les dates des images (décembre et janvier) étant proches dans le calendrier, les images sont comparables pour la mise en valeur des parcelles : faire le parcellaire, identifier propriétaire et agriculteur/-trices, comparer les variations... Et enquêter sur leurs raisons. -
Contribution des seuils d’épandage au développement des activités maraichères dans la zone d’intervention du ProDAF/ Zinder : cas du site de TISS dans la commune rurale de Tirmini
La présente étude s’est déroulée dans le village de TISS (commune rurale de Tirmini) situé à 15 km au Nord - Ouest de la ville de Zinder. Elle vise à identifier les effets induits de la « construction du seuil d’épandage au développement des activités maraichères dans la zone d’intervention du ProDAF/ Zinder : cas du site de TISS dans la commune rurale de Tirmini ».Un échantillon de 83 hommes producteurs a été pris pour étude, soit 30 % de la totalité des bénéficiaires qui est de 280. La collecte des données a été effectuée à l’aide d’un questionnaire adressé aux producteurs .Il ressort des analyses une évolution dans la remontée de la nappe après la réalisation du seuil selon 68,7 % des producteurs qui affirment que le niveau de la nappe est entre 3 à 4 m de profondeur contre 41 % qui affirment que le niveau était à plus de 7 m de profondeur avant la réalisation du seuil. -
ETUDE D'AVANT PROJET DETAILLEE (APD)
II ième Partie
AMENAGEMENTS TERMINAUXLe Niger est un pays à climat sahelo-saharien qui est soumis à des contraintes importantes
pour le développement de sa production agricole, la pluviométrie annuelle est inférieure à
300 mm sur les trois quart du territoire national et seulement 10% des eaux de ruissellement
pluvial est récupéré en faveur de l'agriculture. Le reste du ruissellement est non seulement
perdu mais constitue un générateur d'une dégradation des terres.
Les efforts des Autorités Nigériennes sont orientés vers le développement agricole à travers
la maîtrise des eaux de surface et une meilleure mobilisation des eaux souterraines en vue
d'assurer la sécurité alimentaire.
La Banque Arabe pour le Développement Economique en Afrique (BADEA) s'est associée
au Gouvernement Nigérien, via le Ministére du Développement Agricole/ Direction des
Aménagements et Equipements Ruraux Agricoles/ Projet d'Appui à la Sécurité Alimentaire,
pour soutenir ces efforts par le financement de sept (7) projets de micro-barrages<,> dans les
régions de Dosso et de Tillabéri.
Les sept (7) sites concernés par les projets sont répartis comme suit:
Région de Dosso: Koré Gabass, Birni N'Lokoyo, Makéra dans le département de
Doutchi et Goubé Zéno dans celui de Boboye,
Région de Tillabéri: Dargol, Bégorou Tondo et Youmbam dans le département de
Tera.
L'objectif de ces projets de micro-barrages est la réalisation de retenues collinaires dans les
mares des sites cités ci-dessus en vue de:
la satisfaction des besoins en eau des cultures irriguées, des populations et du
cheptel pendant la saison sèche,
la recharge de la nappe phréatique,
la possibilité d'empoissonnement des points d'eau créés