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Fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN-NIYA) : Rapport annuel 2010
Ce document aborde le plan stratégique en terme d’effet induit dans la vie de la FCMN, les contraintes rencontrées les leçons apprises et la suite à donner à travers un processus participatif. -
Plan opérationnel 2011 de la Fédération des coopératives maraîchères du Niger: FCMN-Niya
Le présent document a pour but de contribuer a l’amélioration des conditions de vie des maraîchers par renforcement des capacités et garanti d’un prix numérateur. autour de trois (3) axes majeurs :
- renforcement des capacités organisationnelles,
- renforcement des capacités de production et
- garantie d’un prix rémunérateur. -
Curriculum sur l'organisation des producteurs dans la petite irrigation
le présent curriculum relatif à la vie associative et à la gestion des Organisations Paysannes a été élaboré en vue de garantir une formation harmonisée et de qualité à tous les acteurs de la PI.
Il comporte sept (7) modules qui sont :
-- 1 : Gestion administrative et financière d’une OP ;
-- 2 : Planification stratégique et plan d’action ;
- - 3 : Le lobbying et le plaidoyer ;
- - 4 : Gestion d’équipe et de conflits dans une OP ;
- - 5 : Gestion des approvisionnements en intrants agricoles ;
- - 6 : Gestion de la commercialisation des produits maraîchers ;
-- 7 : Acte uniforme OHADA relatif au droit des sociétés coopératives dans la PI ainsi que les décrets d’application N 2017-829/PRN/MAG/EL (pour les SCOOPS) et N 2017-830 (pour les SCOOP-CA) tous signés et paraphés le 27 octobre 2017. -
Organisation des producteurs de la petite irrigation
Ce guide pédagogique a pour objectif d'aider les formateurs à retrouver les ressources matérielles et techniques d’enseignement appropriées . Il développe 7 modules à savoir:
-- 1 : Gestion administrative et financière des OP;
-- 2 : Planification stratégique et plan d’actions;
-- 3 : le Lobbying et le Plaidoyer;
-- 4 : Gestion d’équipe et des conflits dans une OP;
-- 5 : Gestion des approvisionnements en intrants agricoles;
-- 6 : Gestion de la commercialisation des produits maraîchers;
-- 7 : Acte uniforme (AU) de l’OHADA -
Renforcement des capacités du système d’approvisionnement en intrants de la FCMN-Niya
L'objectif de ce document est de contribuer à l'atténuation des effets pervers occasionnés par la crise alimentaire de ces dernières années à travers une promotion des cultures de contre saison. -
Appui à l' approvisionnement en semences de contre-saison des OP membres de la FCMN NIYA
L'objectif de ce document est de contribuer à l'atténuation des effets pervers occasionnés par la crise alimentaire de ces dernières années à travers une promotion des cultures de contre saison. -
Programme d'Appui au Développement des Organisations paysannes de Moriben
Ce document présente la Fédération des Unions des Groupements Paysans du Nigër"(FUSPN-Môortbeh) compte parmi les toutes premières organisations paysannes constituées librement, par les paysans eux-mêmes, en dehors du système coopératif contrôlé par l'Etat. -
RECA-Niger
Site institutionnel du Réseau National des Chambres d'Agriculture du Niger (RECA) -
AREN
L'association pour la redynamisation de l'élevage au Niger est née de la volonté de fédérer les éleveurs autour du développement de ce secteur.
Au niveau du Niger, AREN est membre des structures suivantes :
* Plate-forme Paysanne du Niger Membre fondateur
* Conseil pour l’action et la solidarité paysanne au Niger (CASPANI) Membre fondateur
* Groupement des aides privés (GAP) Membre adhérant
Au niveau sous-régional et international, AREN est affilié :
* au ROPPA (Réseau des Organisations de Producteurs et Paysans d’Afrique) Membre fondateur
* Conseil Mondial des Eleveurs (CME) Membre adhérant
* Réseau des Organisations d’Eleveurs d’Afrique « Billital maroobé » Membre fondateur
* FIPA Membre adhérant
AREN a des relations de travail avec d’autres organisations soeurs notamment du : Nigéria (FULDAN et Mi Yetti Allahà) Bénin (ANOPER) ; Burkina Faso ;
L’objectif visé est surtout les échanges pour faciliter la transhumance transfrontalière -
Le warrantage au Niger : un moyen de financement de l’agriculture et de sécurité alimentaire : cas du village de Dantchandou
L’objectif de cette étude est de montrer comment le warrantage pourrait contribuer au financement de l’agriculture et à la sécurité alimentaire dans un pays à secteur agricole structurellement déficitaire. La méthodologie a consisté à une recherche documentaire, la collecte de données secondaires et des enquêtes et observations sur le terrain. Le choix de la zone d’étude a été guidé par le désir de comprendre la pratique du warrantage par des petits producteurs, composés majoritairement des femmes, dans une zone en situation d’insécurité alimentaire récurrente. L’étude est parvenue à la conclusion que le warrantage ne permet pas un financement significatif de l’agriculture chez des producteurs en déficit de production. Cependant, il apparaît comme un bon moyen de sécurisation de revenu et de responsabilisation des paysans. -
Renforcer les capacités des réseaux d’organisations agricoles par l’analyse de l’évolution du prix des céréales locales au Burkina, Mali et Niger durant la période 2001-2010… et ses incidences sur le warrantage au Niger.
Cette étude analyse l’évolution des prix des céréales au Burkina, au Mali et au Niger afin de contribuer à la détermination de points d’alerte susceptibles d’aider les OP dans la prise de décision. Plus spécifiquement, le document met en cause quelques idées reçues, notamment celle la plus couramment utilisée pour la gestion des stocks céréaliers au Sahel : les prix seraient bas à la récolte pour augmenter jusqu’à la soudure. Partant de cette hypothèse, il est fréquemment recommandé aux OP de stocker à la récolte et de déstocker six ou huit mois plus tard, pour profiter d’une période de vente, soi-disant plus favorable. Ainsi, le système du warrantage qui repose sur ce principe est souvent conseillé aux producteurs comme étant une opportunité de commercialisation. Cependant, les producteurs ne sont pas certains de « gagner » à tous les coups, contrairement à d’autres acteurs. La lecture et une véritable « étude » de ce document sont absolument à conseiller à tous pour sortir des idées toutes faites ou évidentes, et mieux conseiller les producteurs pour une bonne valorisation de leurs récoltes. -
Etude de cas du warrantage au Niger (septembre 2014)
Niger est un pays dont les grands produits vivriers sont le mil, le niébé et l’arachide. Il produit aussi environ 75.000 de riz par an, mais dépend surtout des importations. En outre, il faut remarquer que le Niger est le deuxième producteur d’oignon en Afrique de l’Ouest après le Nigeria, et le plus grand exportateur dans la région. Les variations saisonnières des cours de marché sont en moyen plus prononcées pour les oignons (beaucoup plus de 100% sur les prix de récolte) et le niébé (autour de 50%), mais relativement modestes pour les céréales et les arachides et assez minime pour le riz. La plupart du crédit warranté impliquant des produits agricoles locaux au Niger est le warrantage communautaire. On trouve aussi une quantité significative d’entreposage en tierce détention qui est discuté brièvement. -
Le warrantage au Niger, pour renforcer la trésorerie des paysans
Le warrantage, ou « crédit stockage », est une technique qui permet aux paysans de mieux valoriser leurs produits agricoles tout en sécurisant le financement rural. Il connaît un franc succès au Niger, où il a été introduit il y a plus de 10 ans. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles suivantes, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Le développement du Warrantage au Niger
Le colloque organisé à Paris en décembre 2007 par la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) sur « Microfinance pour l’agriculture dans les pays en développement » a consacré un atelier aux produits et procédures susceptibles d’améliorer la réponse de la microfinance aux besoins de financement des agriculteurs. L’expérience du Niger en matière de warrantage a été présentée par M. Sani Boubacar (Projet Intrants FAO) et M. A. Olofson (FAO). Ce BIM présente une version abrégée de la communication de M. Sani Boubacar. L’original complet de cette communication, ainsi que la communication de M. Olofson sont disponibles auprès de la fondation Farm. -
Décret relatif à l’entrepôt au récépissé d’entrepôt et au warrant
Le présent décret a pour objet de règlementer les entrepôts, les récépissés d’entrepôt et le warrant. Il s’applique aux récépissés d’entrepôt, aux warrants, aux entrepôts de stockage de marchandises ayant reçu l’agrément de l’organe de régulation pour émettre lesdits récépissés ainsi qu’à toutes les personnes concernées par l’entreposage, les récépissés et les warrants. -
Rapport diagnostic des capacités organisationnelles des organisations paysannes transformation de la zone d’intervention du programme PromAP Tahoua
Dans le cadre de la mise en œuvre des activités de la composante 2 du volet renforcement des capacités, le programme PromAP a commandité une étude diagnostic dans la zone d’intervention de la région de Tahoua. Cette activité qui a été conduite par une consultante externe a concerné dix-neuf (19) organisations paysannes ayant bénéficié de la formation sur la transformation des produits agroalimentaires. La présente étude qui s’inscrit dans le cadre de l’évaluation des capacités institutionnelles des organisations paysannes a durée vingt-huit (28) pour la période du 31 octobre au 27 novembre 2017. -
Note de présentation du microprojet d’équipement du groupement féminin Kila Kil de Diffa pour la transformation du poivron - perspectives d’appui et d’accompagnement
Le document du microprojet commence par la phrase « la transformation du poivron est une activité prometteuse ». C’est sans doute vrai car c’est écrit dans tous les rapports sur la filière poivron de la région de Diffa… depuis des années. Il est également régulièrement signalé que la transformation en poudre reste marginale, la majorité du poivron produit chaque année dans la région est vendue séchée (5.000 à 8.000 tonnes de poivron sec suivant les sources) et la plus grande partie prend la direction du Nigeria pour y être transformée… en poudre. Cette part modeste de poivron transformé en poudre ravitaille le marché local de Diffa et aussi les villes de l’ouest jusqu’à Niamey. -
Les microprojets des GF avec une activité dite de transformation des produits agricoles
Cette note concerne uniquement les dossiers de microprojets (MP) présentés par des groupements féminins et contenant une activité dite de transformation des produits agricoles, soit au total 10 MP plus un dernier concernant la construction d’un magasin de stockage (soit 11 MP sur un total de 45 pour la région et le financement 2010). Cette note est destinée à aider les responsables de la CRA et les autres acteurs impliqués dans la définition, la rédaction, l’analyse et la sélection des futurs microprojets. Les cas présentés pourront servir aux prochaines formations des équipes chargées de la sélection et celles chargées de faire l’analyse technique et financières des dossiers. -
Supports de formation et d’animation sur la thématique de la production agricole
Un guide opérationnel destiné à tous les acteurs concernés par les questions de financement de l’agriculture et ayant pour objectif d’appuyer la construction d’une nouvelle alliance entre OPA et institutions financières. Il présente de manière détaillée les étapes d’une démarche visant à i) renforcer la capacité de OPA et des institutions financières à analyser les besoins et contraintes de financement de l’agriculture ii) consolider les capacités de ces acteurs à choisir et à proposer aux agriculteurs un accès efficace, équitable et viable aux services financiers iii) formaliser un cadre de réflexion et d’action pour construire des partenariats permettant un financement durable des agricultures familiales du Sud. -
Fonds Vert pour le Climat
Le Fonds Vert pour le Climat est une facilité globale dédiée à aider les pays les moins avancés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et s'adapter aux changements climatiques -
FCMN (Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger)
La Fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN-Niya) est une organisation paysanne faîtière créée en 1996 à l'initiative de 11 coopératives des régions de Niamey, Tahoua, Dosso et Tillabery et ce, à la faveur de la loi coopérative régissant les organisations rurales à caractère coopératif. Le mot « Niya » veut dire volonté ou engagement en langue locale et ceci, pour affirmer la détermination des membres à faire de leur organisation une structure phare en matière de développement au Niger. -
Agriterra
Agriterra was founded by the Dutch agricultural sector. Agriterra provides expert advice and training to cooperatives and farmer organisations in emerging economies -
ROPPA
Le ROPPA est une initiative propre aux organisations paysannes et de producteurs agricoles de l’Afrique de l’Ouest. Il regroupe 13 organisations paysannes nationales membres (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Niger, Sénégal, Sierra Leone, Togo) et des organisations paysannes membres associées (Cap-Vert, Nigeria). -
FINANSOL
Association portant un label "finance solidaire" -
Organisation des producteurs de la petite irrigation
Ce présent document porte le renforcement des capacités des acteurs intermédiaires dans l’accompagnement des organisations des producteurs en petite irrigation pour leur développement de leur épanouissement professionnel. -
Niger, Foire sur le financement de l'Agriculture
An Niger, le financement du secteur agricole reste une préoccupation , malgré la place qu'il occupe dans l' économie du pays.Le Réseau Agri Pro Focus a donc privilégié dans son programme depuis plusieurs années, la sensibilisation des jeunes pour qu'ils s'intéressent au secteur agricole.. -
Document de la Facilité 1 du FISAN : Soutien au Crédit Agricole
Le présent document de stratégie est relatif à la Facilité 1 du FISAN. Cette facilité porte sur un appui public au financement de l’agriculture, via le crédit. Elle vise à développer une politique incitative de financement de l’initiative privée, afin de promouvoir une agriculture plus performante. -
Organisations professionnelles agricoles et institutions financières rurales : Construire une nouvelle alliance au service de l’agriculture familiale
Ce guide opérationnel se veut un outil d’appui à la construction du partenariat entre organisations professionnelles agricoles et rurales, et institutions financières. Il est issu de travaux de recherche, d’appui au développement et de formations conduits principalement en Afrique de l’Ouest et à Madagascar dans les dix dernières années, avec des éclairages développés plus récemment sur l’Asie du Sud-Est et l’Amérique latine. -
Diagnostic organisationnel et institutionnel des coopératives des sections de Diffa, Niamey et Zinder membres de la FCMN Niya
Avec son ambition de devenir une structure suffisamment légitime et représentative des maraîchers du Niger, la FCMN reste ouverte à tous les maraîchers organises en coopérative. Du coût, le nombre de membres s'accroît ainsi que les services à rendre, ce qui demande une stratégie de mobilisation de ressources conséquentes au risque pour la FCMN de se voir à terme critiquer par ses membres qui ne verront pas des appuis à très court terme.
Pour la conduite de cette vision, la FCMN a besoin de connaître les forces et faiblesses de ses organisation membres, afin d'élaborer un plan stratégique de développement durable prenant en compte toute les préoccupations de ses membres. Une analyse diagnostique de chaque coopérative de la FCMN est alors nécessaire pour l'aider à mieux définir et conduire sa politique et à promouvoir ainsi que son développement. -
Plan stratégique de la fédération des unions de groupements paysans du Niger (FUGPN – Mooriben)
En se dotant d’un plan stratégique 2010-2013, la Fédération dispose désormais d’un outil de gestion, de communication et de suivi et évaluation. Ce document est le fruit d’un long processus de réflexion sur l’environnement interne et externe de la fédération à travers une approche participative qui a vu l’implication des unions, les salariés, mais aussi des partenaires.
Le présent plan stratégique vient ainsi répondre à une ambition de la structure qui est de renouveler son premier plan stratégique arrivé à terme depuis 2006. C’est le lieu de remercier tous ceux qui ont participé de quelque manière que soit. Il s’agit des délégués des unions, les salariés et les partenaires qui ont participé physiquement, intellectuellement ou financièrement à la conduite du processus. Plus particulière AgriTerra qui a accepté de financer le coût du processus. -
Plan d’opérations de Mooriben
En juillet 2009, Mooriben a lancé un processus participatif d’élaboration d’un plan stratégique pluriannuel qui a bénéficié de l’appui technique et financier conjoint
d’Agriterra et d’Oxfam Novib. Le processus a enregistré la participation des cadres du Secrétariat exécutif, des élus de la Fédération et des animateurs/trices et élus des unions ainsi que des membres des comités de gestion spécifiques. L’équipe mise en place au niveau de chaque union pour conduire l’analyse- diagnostic était composée d’une personne ressource, d’un cadre de Mooriben et d’un animateur et une animatrice de l’union. La supervision était assurée par le consultant principal et le Secrétaire exécutif appuyé d’une personne ressource internationale mise à disposition par Agriterra. -
Programme d’appui à la sécurité alimentaire dans les régions de Tillabéry et Dosso: Rapport narratif d’activités 2009
Le Programme d’Appui à la Sécurité Alimentaire dans les régions de Dosso et Tillabéry
a pour objectif global de contribuer à la réduction de la pauvreté des paysans au Niger
par l’amélioration durable de la sécurité alimentaire des ménages ruraux dans les
zones d’intervention de Mooriben. Il a une importance stratégique pour MOORIBEN en
ce sens qu’à terme, il doit contribuer à l’augmentation de la production agricole et des
revenus des membres des groupements. -
Programme d’appui à la sécurité alimentaire dans les régions de Tillabéry et Dosso 2006
Le présent programme triennal d’actions (2007 — 2009) intitulé « Programme d’appui à la sécurité alimentaire dans les régions de Tillabéri et Dosso » s’inscrit dans le cadre de l’appui à la promotion des organisations paysannes de Mooriben. Il constitue une continuation et un développement des efforts en cours depuis une décennie et fait le lien entre la situation post crise 2005 et les actions de développement qui bénéficient du concours financier des partenaires de Mooriben. Par conséquent, la mise en oeuvre de ce programme valorise le capital d’expérience accumulé par les organisations paysannes de Mooriben dans les différents domaines d’intervention retenus à travers les programmes et projets exécutés par le passé. Elle cadre parfaitement avec l’axe stratégique 2 de la stratégie de développement rural « sécurisation des conditions de vie des populations à travers la gestion durables des ressources naturelles et l’amélioration de la sécurité alimentaire » et participe à la réalisation du Programme national de sécurité alimentaire du Niger. -
Rapport final d’exécution de l’opération mise en place des intrants et motopompes dans le cadre du projet d’appui a la sécurité alimentaire NIAMEY - ZINDER ET DIFFA
Dans le cadre du partenariat FCMN /OXFAM NOVIB ,la fédération a reçu de cette ONG Nerlandaise un financement pour appuyer la sécurité alimentaire par le développement des coopératives . Pour la mise en oeuvre des stratégies comme approche champs écoles pour la dissémination de techniques et technologies concourant à l’atteinte de cette sécurité alimentaire tant prônée par les autorités des semences ,des engrais et des
motopompes ont été mis à la disposition des coopératives des trois régions DIFFA ZINDER ET NIAMEY en vu d’une production pour la campagne d’hivernage . -
Rapport consolidé FCMN
L’année 2009 marque la deuxième année du plan stratégique triennal de la FCMN.
Plusieurs partenaires ont contribué au financement du plan opérationnel 2009. Ces
partenaires sont Agriterra, FAO et CRS Niger. Toutes les activités prévues n’ont pas pu
être réalisées. Cela se justifie du fait qu’un des partenaire notamment UPA DI n’a pas
eu de financement pour 2009 d’une part et que CRS Niger n’a pas fait à temps le
décaissement des fonds du projet d’appui au développement de la filière sésame
d’autre part. cela a conduit à une réorganisation du plan opérationnel pour tenir
compte de la situation du moment.
Les activités du plan d’actions ont été exécutées à plus de 95% conformément à la
programmation de juin 2009 qui a tenu compte du retard de déblocage des fonds pour
le projet PADEFS et du manque de financement du projet de mise en marché collectif. -
Plan opérationnel 2011 de la Fédération des Coopératives Maraichères du Niger : FCMN-Niya
La Fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN-Niya) est une organisation paysanne faîtière créée en 1996 à l’initiative de 11 coopératives des régions de Niamey, Tahoua, Dosso et Tillabéry et ce, à la faveur de la loi coopérative régissant les organisations rurales à caractère coopératif. Le mot «Niya» veut dire volonté ou engagement en langue locale et ceci, pour affirmer la détermination des membres à faire de leur organisation une structure phare en matière de développement au Niger. Les pas vers la création de la FCMN-Niya ont été posés en 1994 quand des producteurs maraîchers, ne sentant pas leurs intérêts défendus au sein de l’Union nationale des coopératives, ont décidé de créer l’Association des producteurs maraîchers du Niger (APROMANI) avec pour tutelle le Ministère de l’Intérieur. Mais pour se conformer à la nouvelle loi de 1996 régissant le mouvement coopératif nigérien sous tutelle du Ministère de l’Agriculture, les membres d’APROMANI ont décidé de créer la FCMN. -
Manuel des procédures du Système Collectif de Mise en Marché (SCMMO)
de l'oignonCe manuel des procédures se veut un guide de référence pour toute personne qui intervient dans le système collectif mise en marché des produits agricoles. Il a pour but de présenter les différentes activités reliées au système, du début de la campagne jusqu'à la dernière vente des oignons et l'approbation du rapport de commercialisation par l'Assemblée Générale.
Il présente aussi les responsables, les échéanciers et des documents d'appui de chacune des ces étapes. Enfin, il fait le point sur la hiérarchie décisionnelle du système afin de mieux saisir le rôle entre les élus, permanents et différents organes de l'organisation. -
Renforcement des capacités du système d’approvisionnement en intrants de la FCMN-Niya
Le Niger, pays sahélien avec une superficie de 1267 000 Km! dont presque les trois quarts sont désertiques. Son économie est essentiellement basée sur l’agriculture et l’élevage, deux principales activités de revenus pour plus de 90 % des Nigériens malgré les conditions peu ou pas favorables dans les quelles elles sont réalisées. En effet, ces activités sont conduites dans un climat contraignant qui se traduit par une insuffisance, un caractère aléatoire et une grande variabilité spatio-temporelle des précipitations, des fortes températures sur une grande partie de l’année avec une moyenne de 28° c. -
Développement des cultures irriguées : Rôle des organisations paysannes et modalités d’appui à la petite irrigation familiale
Sur la base des expériences acquises par les organisations paysannes partenaires du PADIP, cet article présente les différents instruments et/ou stratégies d’intervention mises en oeuvre en matière d’appui au développement de la petite irrigation familiale au Niger. Il vise ainsi à établir un état des lieux des actions réalisées en mettant en évidence les contraintes qui continuent à peser fortement sur les petits producteurs et qui limitent considérablement leurs capacités à mettre en valeur les ressources en eau existantes et à tirer pleinement avantage des cultures de contre-saison. -
Rapport final: Rencontre de son excellence monsieur le président de la république avec les organisation paysannes
Les 15 et 16 septembre 2005, son excellence Monsieur Mamandou Tandja le Président de la république, chef de l'Etat a rencontré les représentant des organisations des paysannes et artisanales dans l'auditorium monsieur Sani Bako en présence du premier ministre par intérim les ministres en charge du développement agricole -
Plan stratégique AREN
En vingt (20) ans d’existence, AREN a connu une croissance importante tant par le nombre de ses membres au plan numérique qu’au plan organisationnel. De quelques groupements au départ, AREN compte plus d’un millier de groupements de nos jours. La structuration prévue par les textes fondateurs de AREN semble ne plus être d’actualité. Des coordinations, des jeunes et femmes ont vu le jour.
Cette évolution structurelle est bien la preuve de la vitalité de l’organisation qui a atteint le niveau de maturité dans son cycle de vie. Outre son expertise sur le plan de la défense des droits des éleveurs, de l’humanitaire et de l’urgence, AREN s’est investie pleinement dans la mise en oeuvre de projets divers. Un plan d’action 2008-2012 a été élaboré et évalué récemment. -
Rapport annuel AREN 2018
En vingt-cinq (25) ans d’existence, AREN a connu une croissance importante tant par le nombre de ses membres au plan numérique qu’au plan organisationnel. De quelques groupements au départ, AREN compte plus d’un millier de groupements de nos jours. La structuration prévue par les textes fondateurs d’AREN semble ne plus être d’actualité. Cette évolution structurelle est bien la preuve de la vitalité de l’organisation qui a atteint sa pleine maturité dans son cycle de vie. Outre son expertise sur le plan de la défense des droits des éleveurs, de l’humanitaire et de l’urgence, AREN s’est investie pleinement dans la mise en oeuvre de projets dont elle est maître d’ouvrage ou maître d’oeuvre. Un plan d’action 2013-2017 a été élaboré et évalué récemment. -
Auto évaluation / capitalisation mouvement paysan nigérien : 2013-2016
Cette autoévaluation réalisée du 07 avril au 06 mai 2016, releva la diversité des organisations paysannes qui, de par leur couverture territoriale et leur ancrage local, étaient devenues chacune dans sa zone d’intervention des acteurs incontournables du développement local. Avec ces organisations, on pouvait affirmer qu’au Niger les paysans disposaient de cadres organisationnels autonomes pouvant leur permettre de s’affirmer, d’influencer les choix et les orientations des politiques sectorielles et de défendre leurs intérêts.
Cependant, on notait pour le regretter que cette richesse soit insuffisamment valorisée dans la prise en charge des attentes des producteurs et de leurs organisations. Le mouvement paysan ne parvenant que difficilement à imposer son point de vue sur le plan national ou local. Faute de pro activité et d’anticipation, elles étaient acteurs passifs des choix qui les concernaient. Leurs divisions internes et leurs fragmentations étant utilisées par l’Etat et certains partenaires pour les instrumentaliser -
Conception d’un programme d’opérations cofinancées
PAM-FIDA dans les régions de Maradi, Tahoua et ZinderLe PAM et le FIDA ont déjà collaborés au cours de plusieurs projets au Niger, et notamment à travers des opérations de Cash For Assets (CFA). Le succès de ces opérations a motivé les deux agences à étendre leur partenariat aux trois régions d’intervention du FIDA, à savoir Maradi, Tahoua et Zinder, sur le principe de la complémentarité entre leurs actions. En effet, plutôt que de superposer les interventions sur de mêmes sites, il parait plus judicieux de les mutualiser en favorisant les avantages comparatifs de chaque PTF. Dans ce cadre le PAM prend en charge la réalisation physique des ouvrages, et le FIDA la réalisation biologique (végétalisation et suivi).
Cette mission a ainsi été mandatée pour mener une analyse de la méthodologie du Cash For Assets/Food for Assets (CFA/FFA), capitaliser les expériences postérieures de partenariat entre le PAM et le FIDA au Niger. -
Enquête d'évaluation de l'impact du renforcement des capacités des associations des producteurs sur la compétitivité des filières
Le Niger est un pays sahélien marqué par de fortes instabilités sur le plan climatique et par une très haute vulnérabilité du point de vue économique et alimentaire. Avec une superficie de 1 267 000 Km², il est l’un des pays les plus vastes de l’Afrique de l’ouest. Mais seulement 12% de cette superficie sont favorables à une agriculture de subsistance qui occupe pourtant 85% de sa population. -
Étude sur le financement des filières agricoles dans les pays membres de l'UEMOA
Au cours des dix dernières années les résultats économiques du Niger ont été peu satisfaisants malgré l'adoption de plusieurs programmes d'ajustement structurels. En terme réel le PIB a diminué de 0,5% par an depuis 1990. De1960 à 1973, le secteur rural a fourni l'essentiel des besoins financiers de l’État, la priorité étant accordée aux produits d'exportation : L'arachide, le coton et le bétail. -
Étude sur le processus de consultation et participation des OP au sein de la société civile rurale organisée dans les régions de Tahoua, Maradi et Zinder
Cette étude prend source dans une volonté du FIDA de mieux connaître le paysage institutionnel des Organisations Paysannes au Niger dans le but de comprendre leur devenir dans les années qui viennent. La description de ce paysage requiert l’utilisation de termes spécifiques définis dans le glossaire. Le premier paragraphe reprend le contexte de l’intervention du FIDA pour les années à venir et les collaborations qu’il souhaite lier avec les OP. Le second paragraphe présente la situation du Gouvernement et particulièrement de l’instance de tutelle des OP, la DAC/POR. -
Projet de Plan de Travail Intérimaire : Juin-Décembre 2005
Initié par le Gouvernement du Niger, appuyé par ses partenaires au développement notamment le FIDA et l'AFD et s'intégrant dans la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté, le Programme de Développement des Services Financiers Ruraux a pour objectif global d'améliorer le niveau de vie des populations rurales à travers le développement du secteur de la micro finance au Niger. -
Appuyer les organisations de producteurs
L’appui aux organisations de producteurs est un enjeu majeur de l’accompagnement des transformations de l’agriculture dans les pays du Sud. C’est un élément essentiel des politiques en faveur de l’agriculture soutenues par la Banque mondiale. Ainsi, beaucoup de gouvernements souhaitent aujourd’hui disposer d’interlocuteurs crédibles pour concevoir et mettre en œuvre des politiques agricoles et rurales efficaces. Malgré ce contexte favorable, les organisations rencontrent des difficultés pour accéder à l’information et aux ressources et pour les gérer au service de leurs membres. Cet ouvrage a pour objectif d’aider le lecteur à se poser « les bonnes questions » : pourquoi appuyer les organisations ? Comment renforcer l’organisation elle-même ? Comment améliorer les relations de partenariat avec les acteurs publics et privés ? Illustrée d’exemples des pays du Sud, cette synthèse valorise des sources documentaires et l’expérience des formations dispensées par l’IRC à Montpellier dans le cadre du mastère « Acteurs du développement rural », animé par des chercheurs du CIRAD et du CIEPAC. Cet ouvrage didactique est destiné aux acteurs du développement agricole de tous les pays. -
Projet de plan de travail intérimaire : Juin - Décembre 2005
Initié par le Gouvernement du Niger, appuyé par ses partenaires au développement notamment le FIDA et l'AFD et s'intégrant dans la Stratégie nationale de lutte contre la pauvreté, le Programme de Développement des Services Financiers Ruraux a pour objectif
global d'améliorer le niveau de vie des populations rurales à travers le développement du secteur de la micro finance au Niger. -
Les pôles de croissance agricole : la panacée aux maux de l'agriculture africaine?
La promotion des « partenariats public-privé » comme stratégie de financement du secteur agricole en Afrique s’amplifie. Elle répond à la volonté d’une transformation de l’agriculture jugée «traditionnelle» en une agriculture à forte mobilisation de capitaux, capable d’accélérer la croissance agricole et de répondre à la demande alimentaire. Cette orientation vers les investissements privés se matérialise par différentes approches dont celle des pôles de croissance agricole ou agropoles. Bien que ces processus connaissent des avancées différentes selon les pays, ils suscitent déjà plusieurs débats autour du modèle agricole entrepreneurial à grande échelle promu et de sa capacité à répondre aux défis actuels des économies et des sociétés africaines. Quelles sont les réalités autour des agropoles? Favorisent-ils réellement le développement de filières compétitives et inclusives des exploitations familiales ? Quels sont les risques induits par ces approches pour l’agriculture familiale ? Après un rappel du processus d’émergence des pôles de croissance en Afrique, ce bulletin présente un état des lieux de leur mise en œuvre dans deux pays, le Burkina et le Cameroun, et analyse leurs premiers impacts et risques potentiels. -
Le crédit à l'agriculture, un outil-clé du développement agricole
Un développement économique et social équilibré et durable s’appuie, dans ses premières étapes, sur une agriculture solide. Cela implique l’injection de capitaux très importants, impliquant une montée en puissance du crédit agricole. La plupart des études montrent que l’inadéquation entre l’offre et la demande de crédit agricole est l’une des raisons de la faiblesse de la productivité agricole dans les pays en développement, particulièrement en Afrique. Ce sujet a fait l’objet de plusieurs publications de l’Agence française de développement (AFD) et de la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM). Il était au cœur d’un atelier technique organisé par l’AFD en février 2015, réunissant seize dirigeants d’institutions dévolues au financement de l’agriculture en Afrique subsaharienne, au Maghreb et dans les Caraïbes. La présente Note présente une synthèse de ces différents travaux et études. -
Rapport sur la revue des expériences de récépissés d'entreposage et de warrantage pour le financement de l'agricultuure en Afrique de l'Ouest
L’économie de la quasi - totalité des pays de l’Afrique de l’Ouest repose en grande partie sur l’agriculture qui contribue énormément au PIB et emploie la majeure partie de la population active. Malgré le rôle moteur qu’elle peut jouer dans le développement économique des pays, il y a une réticence généralisée des institutions financières à financer les activités de production et d’investissement des acteurs des différentes chaînes de valeur agricoles, surtout les producteurs. En effet, le secteur agricole est considéré comme très risqué à cause des aléas climatiques dont il dépend et surtout des risques de coordination économique. Tous les acteurs sont convaincus de la nécessité de trouver de nouveaux mécanismes innovants de financement qui sécurisent à la fois les interventions des institutions de financements et les revenus des producteurs. -
Partenariat entre organisations de producteurs et entreprises : leçons à tirer d'expériences récentes en Afrique de l'Ouest et de l'Est
Les partenariats entre organisations de producteurs (OP) et entreprises sont promus comme un modèle de structuration des filières pour intégrer plus équitablement et durablement les petits producteurs et productrices. Différents modèles de partenariat entre OP et entreprises de l’aval (transformation agro-alimentaire et commercialisation) sont actuellement expérimentés en Afrique de l’Ouest et de l’Est: contrat d’achat ou de fourniture d’intrants; systèmes d’agriculture contractuelle plus ou moins intégrés; co-entreprises où l’OP et l’entreprise prennent des parts au capital. Ces partenariats présentent de fortes opportunités, en particulier pour les petits producteurs et productrices et leurs organisations. Mais ils présentent aussi des risques et les cas d’échec sont encore fréquents. Les enseignements tirés de la capitalisation de 4 expériences récentes (Bénin, Burkina Faso, Sénégal et Kenya) peuvent apporter des éléments de réflexion pour améliorer la conception et la mise en œuvre de partenariats véritablement «gagnant-gagnant» entre OP et entreprises. -
Manuel sur les Coopératives à l’usage des Organisations de Travailleurs
Le présent manuel passe en revue l’essentiel à connaître sur les coopératives pour tous ceux qui s’y intéressent comme membres, futurs membres, responsables politiques, personnels des institutions nationales ou internationales chargées de la promotion et du développement des coopératives. Dans un langage simple et compréhensible, le manuel traite tour à tour des particularités et des caractéristiques des coopératives, de l’entreprise coopérative dans son ensemble, de la promotion des coopératives et du lien étroit qui existe entre le BIT et les coopératives. -
Atelier sur le partenariat entre organisations paysannes et institutions de microfinance
Au Niger comme dans la plupart des zones rurales d'Afrique de l'Ouest, les banques commerciales ne sont que faiblement accessible et restent très réticentes à financer l'Agriculture. La microfinance est alors souvent la seule alternative formelle d'accès au financement pour les organisations paysannes et la question des conditions de partenariat entre OP et IMF se pose donc avec acuité. -
Code de financement et de modalités d'appels à proposition conjoints pour le financement des investissements dans le secteur agricole
Le Ministère de l'agriculture du Niger ambitionne élaborer le présent code de financement en d'encadrer les pratiques en matière de financement des investissements agricoles. Les différents mécanismes existant, reprise par le MEG des instruments essentiels pour l'atteinte des objectifs de développement du secteur agricole. -
Projet d'Appui aux Producteurs Agricoles de la Komadougou : Évaluation finale
Le Projet d'Appui aux Producteurs Agricoles de la Komadougou (PAPAK) s'inscrit dans cette logique de création d'une dynamique à la base avec comme point d'ancrage les organisations de producteurs. En tant que prolongement du volet agricole du Projet d'Appui à la Mutuelle N'Gada (1er Janvier 1998 au 31 décembre 2002) sur financement danois à travers la première phase du Projet ADDR, l'évaluation à mi-parcours a en effet recommandé de séparer la fonction technique (appui aux producteurs) de la fonction financière (appui à la Mutuelle). -
Rapport d'activités annuel 2015 du projet d'intensification des productions agricoles pour la sécurité alimentaire dans les régions de Tahoua et Tillabéri
Le projet s'inscrit dans le processus de la mise en oeuvre du Programme Spécial de Sécurité Alimentaire de la Banque Ouest Africain de Développement (BOAD), initié pour venir en appui aux actions entreprises par les États membres de l'UEMOA dans le cadre de la crise alimentaire. Il s'inscrit aussi dans l'axe 3 << sécurité alimentaire et développement agricole durable >> du plan de Développement Économique et Social (PDES) 2012-2015. -
Planification stratégique 2007-2010
L'idée de créer des cadres de concertation au niveau des Etats afin de mieux influencer les politiques et programmes de développement au profit du monde rural a été concrétisée à travers la création de la PFPN en février 1998. Dés lors la PFPN, s'est très vite impliquée dans la dynamique du mouvement paysan de la sous région. -
Les organisations de producteurs en Afrique de l'Ouest et du Centre : attentes fortes, dures réalités
Cette étude présente les principaux résultats d’un travail réalisé en 2012 pour la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde. Elle s’appuie sur trois rapports détaillés analysant la situation des organisations de producteurs dans deux pays d’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso et le Ghana, et un pays d’Afrique du Centre, le Cameroun. -
Résultat de l’enquête sur la situation des organisations de producteurs au Niger
Conformément aux textes législatifs et réglementaires portant sur l'organisation des Directions Centrales du Ministère du Développement Agricole et déterminant les attributions de leurs responsables, le Directeur de la DAC/POR a pour mission entre autre (i) d'apporter des appuis techniques aux organisations rurales dans la recherche de l'identification des activités économiques rentables, (ii) de participer à l'élaboration des politiques, stratégies, projets et programmes en matière de promotion des organismes ruraux à caractère coopératif, mutualiste et associatif, (iii) d'élaborer des stratégies et programmes en matière de formation et d'éducation coopérative en relation avec les organismes et structures concernées. -
Le conseil agricole a-t-il encore un sens aujourd'hui?
En Afrique, depuis les années 1960, différentes appellations ont été utilisées pour parler du conseil agricole au sens large. Elles témoignent d’une évolution des démarches, depuis un encadrement prescriptif à des démarches plus participatives et co-construites avec les bénéficiaires. Généralement, à l’échelle d’un pays, ces formes de conseil co-existent dans le temps. -
L’engagement de Maputo : le mot d’ordre a-t-il été respecté ?
Alors que les chefs d’État africains avaient en 2003 pris l’engagement de consacrer 10 pourcents de leur budget national à l’agriculture conscients de son l’importance dans le développement économique, la lutte contre la pauvreté et l’amélioration de la sécurité alimentaire, le secteur agricole reste marginalisé en Afrique au regard de la faiblesse des investissements publics notée dans ce domaine. -
Les boutiques d'intrants agricoles
La présente fiche de bonne pratique s'adresse aux acteurs concernés par les boutiques d'intrants, notamment les organisations paysannes faîtières et de base, les producteurs et productrices, ainsi que les partenaires et autres acteurs du développement. L'objectif de cette fiche est de décrire la boutique d'intrants en tant que bonne pratique au Niger et d'encourager les organisations paysannes et acteurs du développement à adopter ce mode de distribution d'intrants afin d'en garantir une meilleure disponibilité pour les producteurs et productrices. -
La commande groupée d’intrants agricoles : un mécanisme d’approvisionnement
La présente fiche s’adresse à tous les acteurs concernés par le processus de commande groupée, notamment les faîtières d’organisations paysannes. -
Filière poivron à Diffa, un vrai pôle économique, un potentiel de croissance, mais quoi et qui appuyer ?
Le Programme d’Appui au Secteur Rural (PASR) est le troisième financement de la Coopération danoise dans les régions de Diffa et Zinder. Cette communication n’a pas pour objet de vous raconter l’histoire de ces interventions mais d’aborder les problèmes de « mémoire », de capitalisation et d’appropriation de ces interventions. La nouvelle corde se tisse sur l’ancienne dit un proverbe, encore faut-il que quelqu’un ait pris soin de garder l’ancienne corde. -
Conduire des champs écoles des producteurs
Ce guide est destiné aux facilitateurs qui animent les formations participatives en gestion intégrée de la production et des déprédateurs à travers les Champs écoles des producteurs ou Champs écoles paysans (CEP) en Afrique de l’Ouest francophone. Il est une synthèse et une capitalisation des expériences de terrain des facilitateurs après plusieurs années d’animation des CEP au Bénin, au Burkina Faso, en Guinée, au Mali, en Mauritanie, au Niger et au Sénégal. -
Les Organisations Paysannes dans la dynamique du développement des marchés de demi-gros : cas du marché de demi-gros de Tessaou au Niger
L’un des piliers de la stratégie du Programme de développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) est l’amélioration des conditions de commercialisation des produits agricoles à travers la construction des marchés de demi-gros, centres de collecte et plateformes de commercialisation des produits agricoles. Ces marchés favorisent les échanges sur de gros volumes de productions issues de plusieurs bassins et sont aussi des lieux de services rendus aux opérateurs économiques. -
Projet intégré de désenclavement des zones de productions transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigeria
Le Gouvernement de la République du Niger va obtenir de la Banque Africaine du Développement un appui financier pour la mise en œuvre du Projet Intégré de Désenclavement des Zones de Productions Transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigéria (PIDZPT). Dans ses efforts inlassables de lutte contre la pauvreté, d’améliorer le capital humain et les conditions de vie des populations, surtout du monde rural, le Gouvernement du Niger s’est doté d’une politique nationale de développement économique et social, qui s’est fixée comme but principal, le développement socioéconomique durable qui passe indélébilement par la construction d’infrastructures routières durables. C’est dans cette optique que s’inscrit la mise en œuvre de la composante B du projet. -
PASADEM - Composante FEM : Référence GEF-FSP-NE pour FIDA et SIP-SLM #3383 pour le FEM
Le but global et à long terme du projet en matière d’environnement et de développement est d’affronter les problèmes corrélés de la pauvreté rurale, de l’insécurité alimentaire et de la dégradation des terres en promouvant et en multipliant les pratiques durables de gestion des terres, dans le but de restaurer, de soutenir et de renforcer les fonctions productives et protectrices des ressources de l’écosystème dans la région de Maradi. -
Rapport de l'atelier national de partage et de réflexion sur l'assurance agricole indicielle au Niger
Les 15 et 16 Mai 2019, le PNUD en partenariat avec le Ministère de l’Action Humanitaire du Niger a organisé un atelier de Partage et de réflexion sur l’assurance agricole indicielle afin de faciliter l’élaboration d’une feuille de route nationale pour l’opérationnalisation de ce mécanisme de transfert des risques au profit des agriculteurs. L’objectif principal de l’atelier était d’échanger sur les perspectives de mise en œuvre d’une assurance agricole indicielle articulée au système de transfert des risques climatiques et bâtie sur un modèle économique durable. -
Atelier de diagnostic des Organisations de Producteurs du PromAP
Le présent rapport propose d’aborder dans un premier temps les principales évolutions des stratégies d’appui et d’accompagnement des SCOOP dans les sites de petite irrigation dans le cadre du PromAP. Ensuite, le bilan de l’atelier et l’analyse de l’état des lieux des SCOOP réalisé au cours du premier semestre 2021, permettent de mettre en avant les principales difficultés et opportunités pour favoriser l’opérationnalisation des SCOOP et notamment sur les aspects de redevabilités à leurs membres pour finalement proposer des scenarii d'action -
Programme de promotion de l'agriculture familiale en Afrique de l'Ouest
L’objectif spécifique est l’appui à la collecte, au contrôle de la qualité et à la commercialisation du lait local en périphérie de Niamey, par un dispositif innovant de centres de collecte multiservices, contrôlés par les éleveurs locaux. -
Agriculteurs et accès au financement : quel rôle pour l’État?
Cet article dresse un panorama des besoins et des difficultés d’accès au financement des exploitations familiales. Il revient sur les différentes stratégies qui ont été mises en œuvre depuis les indépendances pour permettre à ces agricultures d’accéder au crédit et souligne les défis qui restent à relever. -
Financement agricole : un puissant outil de contribution à la sécurité alimentaire des populations
Dans les pays en développement, la pauvreté est un phénomène concentré en zone rurale où la grande majorité des exploitations agricoles maintiennent des pratiques culturales rudimentaires. Pourtant, dans ces pays, l'agriculture contribue de façon importante à l'économie nationale et ce, tant au niveau de l'emploi2 que du PIB3 « Pour une grande partie du milliard de personnes vivant dans la pauvreté la plus absolue, la croissance économique basée essentiellement sur l'agriculture et sur les activités rurales non agricoles est essentielle pour améliorer leurs moyens d'existence. La majorité des pauvres vivent en milieu rural. Pour atténuer la pauvreté et la faim, il est essentiel de promouvoir l'essor de l'agriculture dans les zones rurales et de fournir aux ruraux un meilleur accès à la terre, à l'eau, au crédit, à la santé et à l'éducation. ». Ceci fait du développement agricole une stratégie prioritaire des gouvernements de plusieurs pays pour combattre l’insécurité alimentaire et réduire la pauvreté. L’insécurité alimentaire et la pauvreté sont également des enjeux pour la communauté internationale, et ont d’ailleurs contribué à faire de l’accès des petits agriculteurs à des services financiers adéquats une des questions les plus largement débattues au cours des dernières décennies dans le secteur de la finance de proximité. -
Innover pour des mécanismes inclusifs de financement agricole et d’atténuation des risques : L’exemple de Tamwil El Fellah au Maroc
La présente étude de cas décrit un modèle particulièrement innovant de fourniture de services financiers aux ménages ruraux les plus pauvres dépendant de l’agriculture – le modèle Tamwil El Fellah (TEF), société créée par le Groupe Crédit Agricole du Maroc (GCAM). TEF s’est fondé sur la longue expérience du financement du secteur agricole, sur le réseau d’agence et sur les ressources humaines du GCAM pour mettre en place son propre modèle d’activité, doté de mécanismes de gestion des risques adaptés à son segment de clientèle spécifique : les petits et moyens producteurs agricoles. -
Financement alternatif et innovant de l’Agriculture en Afrique
En Afrique, les méthodes de financement alternatives et innovantes ne sont guère utilisées en agriculture, parce qu’elles sont nouvelles et que beaucoup de parties prenantes ne les connaissent pas. Cependant, les avantages qu’elles peuvent apporter à l’agriculture africaine sont considérables. Notamment, les engagements d’investissements privés massifs dans l’agriculture, l’intensification de l’innovation agricole, la formation et le renforcement des capacités des agriculteurs, la fourniture d’un environnement agricole infrastructurel fondé sur le développement, la mobilisation des finances, des marchés et de l’agriculture en faveur des pauvres, des régions rurales, des femmes et de jeunes par le biais d’une croissance inclusive. -
Le financement de l’entreprise agricole : états des lieux et problématique
Le processus de restructuration de l’agriculture française s’est traduit par une augmentation continue de la dimension économique des exploitations agricoles au cours des dernières décennies. Le capital d’exploitation moyen s’est accru en conséquence, générant des montants de capitaux importants à reprendre par les porteurs de projet lors des transmissions. Cette dynamique, toujours à l’œuvre, se poursuivra au cours des prochaines années. -
Une étude des politiques, cadres et mécanismes liés à l'agroécologie et aux système alimentaires durables en Afrique
Ce rapport présente un examen des politiques internationales et régionales en matière d’agroécologie (AE) et de souveraineté alimentaire (SA) et évalue l’ampleur de leur mise en œuvre dans certains pays : Éthiopie, Togo et Zambie. L’examen a été entrepris pour faciliter la fourniture d’un soutien politique de grande qualité afin d’influencer les décideurs de la région à développer et à mettre en œuvre l’AE et la SA. Le rapport identifie également les goulots d’étranglement existants et les lacunes politiques qui empêchent l’avancement de la SA et des AE dans la région. Il recommande en outre des stratégies pour informer le travail de l’AFSA et de ses partenaires à l’avenir pour faire avancer les voix des communautés sur la transition vers l’agroécologie en Afrique. -
Lutte contre l’insécurité alimentaire au Niger: une solution par la Micro Assurance Agricole
Le Niger a été confronté à deux (2) crises alimentaires (2005 et 2010) en cinq (5) ans. Les solutions (aides extérieure, distributions gratuite et vente à prix modérés des céréales) préconisées par les autorités sont ponctuelles et ne permettent pas de prévenir les effets d’éventuelles crises. A travers cette analyse nous avons essayé d’analyser la possibilité du développement d’un produit de micro assurance agricole à l’intention des populations. Les Institutions de Microfinance (IMF) sont ciblées pour véhiculer le produit vu leur présence auprès des populations et de leur environnement réglementaire favorable à la mise en place des produits de micro assurance. Les partenaires au développement (État et bailleurs de fonds) ont également un rôle à jouer dans la mise en place des produits. -
Création d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, aux responsables d’organisations paysannes et/ou à toute personne intéresser par la création d’une boutique d’intrants. -
Partenaires techniques et financiers d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d'une boutique d'intrants, et plus spécifiquement à ses partenaires potentiels. Elle souligne l'importance du role des divers partenaires d'une boutique d'intrants et la collaboration continue que les Organisations Paysannes (OP), propriétaires et responsables des boutiques d'intrants, doivent impérativement entretenir avec ces partenaires afin de pérenniser les activités d'une boutique d'intrants. -
Bilan et performance des boutiques d’intrants et des organisations de producteurs au Niger
L’économie du Niger est vulnérable aux chocs extérieurs, en particulier à ceux climatiques, en raison de la prédominance constante de l’agriculture pluviale. La situation s’est cependant améliorée au cours des dernières années, avec une croissance positive portée par le secteur agricole alors même que la production alimentaire nationale demeure insuffisante par rapport à la demande. D’autres opportunités de croissance existent dans la mesure où moins d’un tiers des terres irrigables sont exploitées. En améliorant les techniques culturales, les rendements pourraient augmenter de façon significative. -
Le coaching en vie associative des organisation paysannes
En 2021 et 2022, le Centre de Prestation de Services (CPS) "Garkuwar Manoma" a accompagné huit (8) organisations paysannes (OP) de la région de Maradi en coaching en vie associative. De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’assister les OP dans l’application des règles de fonctionnement et de gestion des sociétés coopératives. Plus précisément, les différents responsables et employés des OP sont accompagnés, de manière pratique, dans le cadre de : i) la gestion administrative, ii) la gestion des biens (matériel, stock), iii) la gestion comptable et financière. Il s’agit, aussi, d’impulser une dynamique de groupe (réunions du conseil d’administration, assemblée générale des membres, participation aux activités, etc.) au sein de ces organisations. -
Récupération des sols par les membres des banques céréalières du nord de l'arrondissement de Tanout
Suite à son succès remarquable en ce qui concerne la création des Banques Céréalières autogérées, en milieu paysan Nigérien (voir l'Annexe 1) • notamment dans le Nord de l'arrondissement de Tanout - le projet BIT/Zinder (voir liste des abréviations) était confronté avec une demande des Comités de Gestion des Banques performantes qui adressaient d'autres aspects de la filière céréalière, plus particulièrement concernant la base productrice même de la production des céréales. Ces comités s'inquiétaient de la baisse continue des productions céréalières à cause de la dégradation des champs (érosion, appauvrissement). -
Feuille de route nationale semencière du Niger
La Feuille de Route Nationale Semencière (FdRNS) est un document stratégique qui guide les acteurs du secteur semencier du Mali à œuvrer pour une augmentation de l'accès et de l'utilisation de semences de qualité de variétés améliorées par les agriculteurs. Le document est une contribution essentielle à l'élaboration des principales politiques publiques agricoles. Il peut également servir à guider le gouvernement, les acteurs du secteur semencier et les partenaires de développement dans l'exploration et l’accord sur les moyens pour favoriser le développement du secteur semencier de manière coordonnée, harmonisée et structurée. La FdRNS développe une vision, décrit les réussites et les défis actuels, les ambitions et les voies d'innovation stratégiques contribuant à la réalisation de ces ambitions. La FdRNS est structurée autour de trois questions principales à propos de la performance du secteur semencier : (i) « Où en sommes-nous ? » (ii) « Où voulons-nous aller ? » et (iii) « Comment y arriverons-nous ? ». La base de ce document est le Guide de référence du secteur semencier du Mali (Bonnand et al., 2022a), les brèves de cultures (KIT, 2022) et l'atelier multipartite tenu à Bamako en Novembre 2021 constituant la réponse à la question « Où en sommes-nous ? ». -
Fiche 4 : Accords au sein des OIP
Une des principales missions « revendiquées » par les acteurs au sein des OIP et généralement affichées au niveau des cadres réglementaires nationaux sur les OIP en Afrique de l’Ouest est la promotion et la gestion d’accords entre les différentes familles professionnelles. En effet, les OIP constitueraient un des « cadres privilégiés » pour le développement de l’agriculture contractuelle. Pour certains acteurs des OIP, les accords interprofessionnels constitueraient la raison d’être des OIP1. Toutefois, la plupart des OIP rencontrées dans la sous-région semblent avoir du mal à établir des accords interprofessionnels entre les familles d’acteurs, ou dans d’autres cas, à en assurer la mise en œuvre effective. Il existe toutefois des exceptions dans quelques filières, mais les exemples d’aboutissement de ces accords commerciaux sont trop peu nombreux au regard de leur importance. Cette fiche sur les « Accords au sein des OIP » abordera la question autour de plusieurs points : la définition et l’intérêt de l’établissement d’accords interprofessionnels, le rôle des OIP dans l’élaboration et le suivi de ces accords, les conditions d’amélioration de l’exercice de cette mission par l’OIP. -
Fiche 5 : Ressources financières des OIP
La mise en place de mécanismes durables de mobilisation de ressources financières demeure un enjeu majeur dans les organisations interprofessionnelles (OIP). En effet, une des erreurs dans les processus de création des OIP est de ne pas définir en amont, une stratégie de mobilisation des ressources financières propres, permettant de réduire la dépendance aux fonds extérieurs. Conséquence : assurer le fonctionnement des OIP et répondre aux missions que se sont fixées ces structures à leur création demeurent des défis constants du fait du manque de ressources pérennes. Cette fiche « Ressources financières des OIP » présente quelques modalités de financement des OIP, et comment les acteurs des OIP en Afrique de l’Ouest peuvent saisir les opportunités existantes, leur permettant d’assurer un financement durable de leurs missions. -
Analyse organisationnelle et planification stratégique des unions
Le présent «Guide méthodologique» d'appui à 1'« Analyse Organisationnelle et Planification Stratégique» des Unions de la Fédération Mooriben est le résultat du travail Onjoint des équipes -d' Animateurs et Animatrices des Unions, du Secrétaire exécutif de la GPN et des Consultants et Facilitateurs de l'équipe d'appui. -
Formation des responsables et employés des cadres de concertation des Organisations Paysannes
Le «PROPAN» intervient dans l'appui au monde rural par le renforcement des capacités des organisations agro-pastorales et des services publics d'appui aux producteurs ruraux. Pour une intervention efficace et efficiente, PROP AN a identifié et sélectionné une dizail1e d'Organisations Professionnelles Agropastorales (OPA) avec qui il entretient un précieux partenariat et a appuyé et soutenu la mise en place des cadres de concertation dont notamment CASPANI, CONACOP, PFPN et la Chambre d'Agriculture. -
Identification et cartographie des activités des OP membres de PFPN
La Plateforme Paysanne du Niger créée en avril 1998 est un cadre organisé de réflexion ; de concertation et d'action des Organisations Paysannes (OP) nigériennes. A sa création elle compte 9 OP membres, aujourd'hui elle en compte 27. Elle est apolitique non lucrative et entièrement indépendante de l'État et de l'administration, non confessionnelle, non discriminatoire et sans distinction de genre. La Plateforme Paysanne est une structure faîtière de type confédération et dans sa composition actuelle, elle regroupe des associations, des fédérations, des unions, des coopératives, des groupements et des OIE. Ses objectifs sont entre autres :
• La constitution d'un cadre d'organisation du monde rural et d'échange, d'expériences autour des politiques de développement ;
• La diffusion et la défense des points de vue des paysans et éleveurs dans la formulation des politiques de développement ;
• La sensibilisation du monde rural en vue d'une gestion et d'une exploitation des ressources naturelles et de l'environnement local et pastoral ;
• La constitution d'un cadre approprié de lobbying pour les activités du monde rural -
Module de formation des OPF/Collège départementaux niébé en gestion comptable et contrôle
Ce module de formation est élaboré dans le cadre de renforcement des capacités des acteurs intervenants dans la gestion des OPF. Il s’agit d’un atelier de formation en gestion des trésoriers, et des Commissaires aux comptes des OPF. Cette formation mettra beaucoup plus l’accent sur la tenue des documents comptables et le contrôle. -
Suivi des microprojets sur Fonds d’Appui Régional / Facilité OP – Région de Zinder – Février 2012
Ces quatre MP comprennent tous des équipements d’irrigation (forages, motopompes et pompes niya kokari) et des mètres de clôture en fil de fer barbelé. A deux exceptions près, les producteurs bénéficiant des MP n’ont jamais été appuyés en matière d’équipements d’exhaure / irrigation. Ce sont de nouveaux « irrigants ». -
Étude sur les mécanismes de financement de la transition agroécologique dans la CEDEAO : Rapport d’études de cas
La présente étude a pour objectif Programme Agroécologie de la CEDEAO (PAE) et à l’ARAA-CEDEAO un état des lieux des mécanismes de financement de la transition agroécologique dans la CEDEAO et des recommandations relatives à de possibles contributions du FRAA dans le financement de la transition agroécologique. L’étude est organisée en 4 phases : (I) Cadrage, (II) Inventaire, (III) Etudes de cas et (IV) Synthèse. Le présent rapport restitue les travaux réalisés par les Consultants au cours de la phase d’études de cas. -
Projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger (2017–2023)
Le projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions de Tahoua et d’Agadez communément appelé Projet Pôles Ruraux (PPR) s’est clôturé en juin 2023 après près de six années de mise en œuvre entre 2017 et 2023, dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger. Au regard des résultats atteints par le projet et des dynamiques enclenchées sur ces deux territoires, l’ensemble des parties prenantes du projet et particulièrement son maître d’ouvrage, le ministère en charge de l’Agriculture et ses bailleurs de fonds (l’Agence française de développement et l’Union européenne), se sont accordés sur l’intérêt de programmer un exercice de capitalisation des processus et des démarches à l’œuvre dans le cadre du projet afin d’en tirer les enseignements pour l’avenir, tant en termes de conduite de projets et programmes sur les mêmes thématiques que de mise en œuvre des politiques publiques. -
Le PPR : un dispositif intégré de soutien au financement de l’agriculture irriguée
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. -
Auto-évaluation à mi-parcours du programme d’appui aux organisations paysannes : phase 3
Ce rapport présente les résultats de la mission commandée par le Buco Niamey aux fins de faciliter/ accompagner les organisations paysannes dans un processus d’introspection et de mise en perspective de leurs programmes. -
Problématique du financement des organisations paysannes au Niger : expérience de la fédération des coopératives maraichères du Niger : FCMN-Niya
Dans un contexte de libéralisation économique, marqué par des crises économiques en Occident, le manque d’accès au financement devient une contrainte cruciale pour le développement du monde rural en Afrique. Les organisations paysannes (OP) nées à la faveur de la loi coopérative de 1996, régissant le système coopératif nigérien sont toutes confrontées à cette question du financement avec une acuité. Elles se donnent donc pour objectif de trouver des solutions adéquates pouvant venir à bout de la problématique. Face aux contraintes diverses liées à l’activité agricole, ces organisations paysannes s’organisent et se structurent pour lever lesdites contraintes. Ainsi, la question du financement des activités des organisations paysannes au Niger limite les efforts de ces derniers. Le financement des activités agricoles à travers les institutions financières reste assez timide. Les accords de partenariat entre les institutions financières (banques commerciales ou IMF) et les OP sont le plus souvent limités par la méconnaissance des services financiers par les OP et/ou la méfiance des institutions financières. Malgré le retour de l’Etat Nigérien dans l’appui au monde rural, la problématique demeure d’actualité. C’est donc conscient de cette situation que la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-NIYA) veut se doter d’une stratégie de financement qui devrait lui permettre d’atteindre son autonomie financière. -
Importance de la garantie de crédit pour l’accès au financement de l’agriculture : approche et spécificités – l’exemple de SAHFI au Niger
La Sahélienne de Financement, avec l’appui d’Aliénor Consulting, œuvre depuis plusieurs années à développer la garantie agricole. L’expérience a commencé par la garantie des crédits aux PME agroalimentaires avant d’étendre l’offre aux crédits des exploitations agricoles familiales, des coopératives et les TPE. Bien que les techniques de garantie soient similaires à celles employées pour les entreprises, une adaptation de l'approche et des spécificités de mise en œuvre distingue la garantie agricole de la garantie de crédit habituellement proposée pour les entreprises. -
Manuel pour la mise en place et la gestion d'une organisation à caractère coopératif
Au Niger dans la plupart des cas, le mode de création des coopératives a été fondé par une démarche volontariste de l’État et des promoteurs dans le secteur. Cette démarche basée sur l’animation et la sensibilisation des populations, fait très peu de place à l’adhésion consciente des populations et aux possibilités de promouvoir d’autres formes d’organisations adaptées à certains de leurs problèmes identifiés. L’insuffisance de formation coopérative tant pour les coopérateurs que pour le personnel coopératif et les agents d’encadrement, l’insuffisance d’instruction et d’alphabétisation des coopérateurs, l’insuffisance des moyens financiers et les difficultés d’accès au crédit, la méconnaissance et/ou la mauvaise compréhension des textes et les difficultés de les faire respecter sont autant d’éléments qui renforcent les hypothèses que le mouvement coopératif a évolué dans un environnement juridique, technique et socioculturel très peu favorable à son développement.