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Étude pour une analyse de la couverture végétale sur les sites d’intervention du programme nigero-allemand de promotion de l’agriculture productive (PromAP) : Cartographie de l’occupation des sols entre 2015 et 2018 sur les sites d’intervention du PromAP.
Le présent document fait ressortir l’évolution de l’occupation des sols, une imagerie par drone et une cartographique réalisée sur 9 sites des régions de Tillabéry, de Tahoua et Agadez . L'étude
contribue à une meilleure connaissance de l’impact écologique sur la couverture végétale sur les sites d’interventions PromAP ; de mieux comprendre la dynamique d’occupation des sols observée de 2015 à 2018 grâce aux images prises par drone à ces différentes périodes. -
Land cover changes
Driven by the rapid population growth and the increasing demand for food, agricultural expansion is the most dramatic change in Niger’s landscapes. Over the period 1975–2013, cultivated areas have increased from 12.6 percent in 1975 to 18.1 percent in 2000 and 24.5 percent in 2013. This represents a total increase of 94.2 percent. Agriculture expansion mostly occurred on the productive sandy soils of the valleys in the Tillaberi region, where cropland is now encroaching on traditional pastoral lands. On the surrounding plateaus and terraces of western Niger, a mosaic of steppe and short grass savanna dominates. The Zinder-Maradi region, already heavily cultivated in 1975, is now a wall-to-wall homogeneous agricultural landscape. However, agriculture is still expanding eastward on the remaining short grass Sahelian savannas of the Manga regions. In addition, an increase of 50 percent in irrigated agriculture was observed along the Niger River. -
Carte d'utilisation des sols dans la région de Zinder
Utilisation des sols dans la région de Zinder et représentation des isohyètes observés sur la période 1925-1957 -
Impacts sur l'environnement des systèmes de production d'élevage
Cet extrait d'ouvrage aborde notamment la place de l'élevage associé à l'agriculture irriguée à partir de plusieurs études de cas. -
Fonctionnement des élevages camelins de la zone périurbaine d’Agadez au Niger : enquête typologique
Le cheptel camelin est tributaire des ressources fourragères des parcours naturels dont le développement est soumis aux aléas de la pluviométrie, très mal répartie dans le temps et l’espace. Pour exploiter ces parcours, l’une des stratégies adoptée par les éleveurs est la mobilité. Cependant, depuis un certain temps, les mutations climatiques, socio-économiques et les conditions d’une urbanisation accélérée imposent de plus en plus des changements dans la règle de gestion des élevages. -
Perception du changement climatique des éleveurs et stratégies d’adaptation aux contraintes environnementales : cas de la commune de Filingué au Niger
Afin de déterminer, d’une part, la perception du changement climatique par les éleveurs et ses conséquences, d’autre part, leurs stratégies d’adaptation, 240 chefs de ménages ont été enquêtés, soit trente personnes dans chacun des huit villages sélectionnés. La méthodologie comprenait une étude exploratoire qui a permis la sélection des villages, une phase d’enquête approfondie avec l’administration des questionnaires auprès des pasteurs et agropasteurs, enfin des entretiens individuels et en groupe pour recueillir des informations complémentaires.Les résultats ont révélé que le changement climatique était perçu comme un phénomène qui affectait les pratiques d’élevage, très dépendantes de l’environnement. Les éleveurs ont noté une augmentation des températures, des épisodes de sécheresse plus longs et une fréquence plus élevée des vents violents. Ces facteurs impactaient négativement l’activité pastorale de la commune et la rendaient très vulnérable. Pour y faire face, et notamment pour atténuer les effets de la sécheresse, les stratégies adoptées par les éleveurs incluaient le recours à la transhumance, l’achat d’aliments pour le bétail, le déstockage des animaux, et le stockage du fourrage. Les éleveurs utilisaient également un mélange de son et de glumes de mil ou de carton en cas de soudure difficile. Ces stratégies endogènes nécessitent d’être soutenues afin de les rendre plus performantes. -
Dynamiques d’occupation et de valorisation des espaces pastoraux dans le département de Madaoua (région de Tahoua/Niger)
Les espaces pastoraux subissent des empiétements partout dans le monde. Au Niger, ils sont menacés dans la partie nord par l’avancée du désert et les installations minières, au sud par la mise en culture et les habitations. Le département de Madaoua est localisé en zone agricole avec un système de production à dominante agropastorale. Le présent travail a été réalisé selon une démarche méthodologique qui combine à la fois la capitalisation des données existantes et les enquêtes de terrain. Les résultats montrent que les acteurs développent des stratégies d’adaptation souvent divergentes dans un environnement de rareté des ressources de terres exploitables. Les organes de régulation du foncier quoique peu dynamiques travaillent dans un contexte de dénuement total. Ainsi, la pratique de mise en valeur pastorale devient un problème crucial. -
Note technique - Le ranching en Afrique de l’Ouest : Quelles questions se poser ?
Alors que plusieurs pays ouest-africains affichent leur volonté de promouvoir l’implantation de ranchs d’élevage sur leur territoire, la question fait de plus en plus débat. Symbole pour certains d’un élevage moderne et hautement performant, le ranching reste, pour d’autres, un sujet d’inquiétudes et d’interrogations : de quoi s’agit-il exactement ? -
Dynamique de l’occupation des terres et structure de la végétation dans la commune rurale de Garhanga (Tahoua)
Le présent travail a pour objectif principal de fournir les informations qualitatives et quantitatives sur l’évolution des ressources naturelles (temps et espace) dans la commune rurale de Garhanga et évaluer le poids de l’anthropisation et des facteurs environnementaux dans le façonnement du couvert végétal. -
Tendances du reverdissement et de la dégradation du sol dans l’Ouest du Niger
Ce travail a étudié les évolutions simultanées du reverdissement et de la dégradation des sols dans l’Ouest du Niger entre 1998 et 2017. Il s’est appuyé sur des observations in situ et cartographiques pour analyser les indices de la végétation et de dégradation des sols en milieu cultivé et en zone classée (dépourvue d’actions anthropiques). En zone classée, les résultats montrent une tendance au reverdissement avec une progression d’au moins 500 % d’indice de la végétation. Dans les zones cultivées en revanche, les observations localisées dégagent deux tendances, l’une cohérente montrant le reverdissement et la baisse de la dégradation et l’autre paradoxale montrant le reverdissement et l’extension des sols dégradés. Cette dernière peut s’expliquer par l’effet mémoire des sécheresses des années 1970-1990 mais aussi par les modes de gestion des ressources. Globalement, on conclut sur la tendance au reverdissement et qui met en évidence la résilience des écosystèmes étudiés au choc climatique. -
Evolution de l’occupation des sols dans la partie Nord du Dallol Bosso, départements de Filingué et Balleyara, région de Tillabéri-Niger
Les départements de Filingué et Balleyara, zone de l’étude, sont localisés dans la partie Nord du Dallol Bosso, région de Tillabéri à l’Ouest du Niger. Les effets de la variabilité et des changements climatiques survenus dans la région à partir des années 1970 ont eu des impacts sur les écosystèmes.
Tenant cela en compte, l’objectif principal de ce travail est d’analyser la dynamique de l’occupation des terres et l’utilisation des sols dans ladite zone. La méthodologie basée sur l’interprétation des imageries satellitaires de 1972, 1987 et 2016, a permis d’aboutir à des résultats importants. Ainsi, on observe une régression notable des superficies occupées par les formations végétales naturelles (brousse tigrée et steppe). En effet, celles-ci passent de 28,79% en 1972 à 12,15% en 2016 de la surface totale de la zone d’étude. Au contraire, les terres agricoles sont passées de 164 772 ha en 1972 à 200 697 ha, soit un accroissement de 22%. Par ailleurs, les espaces nus qui étaient seulement de 666 ha en 1972 sont passés à 4189 ha, soit une hausse de plus de 500%. Enfin, le nombre de mares semi permanentes est passé de 219 à 833 de 1972 à 2016, tandis que celui des Koris est passé dans la même période de 280 à 1573 soit une hausse de plus de 400%. Il semble nécessaire de prendre des mesures urgentes pour sauvegarder les écosystèmes de la région afin de permettre un développement plus équilibré de la zone. -
Dynamique d’occupation et d’utilisation des sols et la hausse de la nappe dans la basse vallée du Dallol Maouri
L’état de surface de la zone sahélienne a subi plusieurs mutations ces dernières années suite au changement climatique et aux activités anthropiques, ce qui amplifie les évènements extrêmes. L’analyse de la dynamique d’occupation et d’utilisation des sols s’avère un outil excellent pour renforcer la résilience de la population. L’état de surface de la basse vallée du Dallol Maouri, qui constitue un affluent fossile du fleuve Niger, a subi plusieurs modifications depuis les années 70. L’objectif de cet article est d’évaluer l’impact de la dynamique d’occupation des sols sur la hausse du niveau piézométrique de la nappe libre de la basse vallée du Dallol Maouri. L’analyse de la dynamique d’occupation et d’utilisation des sols montre une nette régression de la classe de savanes arborées et arbustives, et nette progression de mosaïque cultures-jachères. -
Systèmes d'élevage et transferts de fertilité
La fumure animale est, dans la zone des savanes, la technique la plus fréquemment utilisée par les paysans pour maintenir la fertilité des champs permanents. La fonction fertilisante ainsi assurée par les herbivores domestiques met en jeu diverses fonctions physiologiques de l'animal : ingestion, digestion et excrétion, mais aussi mobilité. Dans la première partie de cette communication, les auteurs rappellent quelques grandes caractéristiques de la réalisation de ces fonctions biologiques en milieu tropical, en insistant sur les bilans organique, carboné et azoté de la digestion, ainsi que sur le cout énergétique de la mobilité animale. -
Système d'élevage sahéliens de l'Oudalan : étude de cas
Ce rapport fait état des principaux résultats d'une enquête menée de décembre 1980 à juillet 1982 sur quelques systèmes d'élevage de l'Oudalan, et réalisée pour le compte du Projet de Développement de l'Elevage dans l'O.R.D du Sahel. -
Développement des petites exploitations d’élevage : note sur la transposition à plus grande échelle
D’après les estimations, il faudra accroître de 50 à 70% la productivité alimentaire mondiale pour nourrir neuf milliards de personnes à l’horizon 20501. L’élevage fournit environ 26% des protéines consommées par l’homme et 13% du total des calories. On estime que la demande de produits animaux devrait plus que doubler au cours des 20 prochaines années, en raison de l’urbanisation, de la croissance économique et des changements des modes de consommation dans les pays en développement2. Le secteur de l’élevage représente près d’un milliard de petits éleveurs dans les pays en développement, contribue au PIB agricole à hauteur de 40% et assure de 2% à plus de 33% du revenu des ménages3. -
Caractérisation de la distribution spatiale de la végétation herbacée pâturée dans les terroirs du Fakara
Dans le cadre de la poursuite des travaux de recherche de I'ILRI, en relation avec l'Unité Méthode et Application du Centre Régional Aghrymet, cette étude a été demandée pour caractériser la distribution spatiale de la végétation herbacée pâturée dans les terroirs du Fakara. L'étude, effectuée dans les terroirs de Banizoumbou, Tigo Tegui et Kodey, met en évidence la surexploitation de l'espace et les fluctuations des durées des occupations du sol. Les 24 sites suivis se repartissent selon les géofaciès. Trois types d'occupation sont mises en relief : la jachère et le champ qui peuvent durer de 1 à 9 ans et la jachère partielle ou occupation mixte dont la durée excède rarement 2 ans. L'analyse floristique révèle une amélioration du cortège floristique avec l'âge de la jachère et selon le relief. Les occupations de sol jouent un rôle significatif sur la dynamique des faciès herbacés dont la tendance ces dernières est dominée par les Dicotylédones. Quelques espèces herbacées apparaissent comme caractéristiques de certains géofaciès telles que : Zomia glochidiata sur les plateaux, Mitracarpus scaber sur les jupes sableuses et sur les glacis. Le suivi phénologique de la végétation, au cours de la saison d'hivernage 2002, a permis de constater que le pic de production de biomasse végétale est atteint en mi-septembre, et de façon général les Dicotylédones sont plus précoces que les Graminées. La production moyenne de biomasse végétale est estimée à 4,23 tonnes de matières sèches par hectare dont les jachères contribuent pour 24,3% et les champs pour 75,7 %. La valeur pastorale, moyenne des jachères, évaluée à 47,3 % (écart type de 5,3 %) diffère selon le géofaciès. L'évaluation du taux de recouvrement du tapis herbacé par la classification supervisée des photographies aériennes simulées à l'aide des outils du système d'information géographique, met en évidence une corrélation significative entre ce procédé et la méthode empirique de relevé directe de la végétation. Cette méthode ouvre des nouvelles perspectives sur le suivi et l'évaluation des pâturages. -
Évaluation des effets anti stress thermique du « NUTRICOOL » en élevage de poulet de chair dans la zone périurbaine de Niamey (Niger)
Au Niger, pays sahélien à vocation essentiellement agro-pastorale, l’élevage est une activité traditionnelle pratiquée par plus de 87 % de la population soit en tant qu’activité principale soit comme activité secondaire. Mais, à l’instar des autres pays de l’Afrique subsaharienne, malgré l’importance numérique des animaux de rente, les ressources en protéines animales de qualité restent encore insuffisantes, ce qui constitue un obstacle à la lutte contre la malnutrition et la pauvreté (NIGER ,2012). Afin de pallier ces déficits, l’accent a été mis depuis quelques années, sur le développement de l’élevage des espèces à cycle court, notamment la volaille, dans l’espoir de fournir aux populations des produits animaux de haute valeur nutritive à faibles coûts (DAHOUDA et al. ; 2009). C’est dans cette dynamique qu’au Niger, l’aviculture est présente dans la majorité des exploitations agricoles et ménages ; et bien qu’elle soit largement sous forme traditionnelle, elle contribue significativement à la sécurité alimentaire et à la lutte contre la pauvreté. Par exemple, de nombreux éleveurs propriétaires de troupeaux prestigieux de bovins, affirment avoir débuté avec un modeste élevage de volailles (NIGER, 2008). -
Sécurisation des systèmes pastoraux au Sahel face aux incertitudes : démarches et enseignements
Les systèmes d'élevage pastoraux ont longtemps été considérés comme une survivance de pratiques hérités du passé, peu performantes du point de vue Exposées et décimées par les sécheresses. La plupart des politiques de développement de l’élevage depuis les indépendances ont considéré ces systèmes comme voué à disparaitre au profil de modes d’élevage économique, souvent associées à la désertification et au surpâturage, et brutalement. -
Critères d’appréciation des reproducteurs en systèmes d'élevage traditionnel du zébu Azawak dans les zones d’Abalak, Filingué et Niamey (Niger)
Pour relever le défi de la satisfaction des besoins mondiaux en produits d’origine animale, il s’avère nécessaire de poursuivre les efforts d’intensification des productions en accord avec les contextes agroécologiques et socio-économiques. Une telle intensification nécessitera sur le long terme une amélioration génétique des races locales. Pour assurer l’adéquation de ce progrès génétique avec le contexte d’élevage et l’adhésion des éleveurs aux schémas proposés, la connaissance des critères de sélection tels qu’employés par les éleveurs est primordiale. L’objectif de cette étude est de caractériser les critères d’appréciation, pour la sélection ou la réforme, des reproducteurs Azawak (Figure 1) en systèmes d’élevage traditionnel au Niger. -
Manuel de zootechnie des régions chaudes : les systèmes d'élevage
Ce livre est l'aboutissement d'un long projet (6 ans depuis1987) et d'un travail d'équipe. Ce n'est ni un manuel scientifique ni un traité complet d'élevage en pays tropicaux. De tels ouvrages sont nombreux, mais il manquait au contraire un manuel d'initiation et de vulgarisation vraiment axé sur les systèmes d'élevage. Le sujet en est l'élevage tropical et méditerranéen. Mais la démarche est celle de "l'approche systémique" : il s'agit d'aborder l'élevage d'une région dans son aspect global (milieu-cheptel-éleveurs) et de reconnaître le rôle central de l'éleveur (au sens large, groupe domestique et villageois), en tant qu’ingénieur et pilote" du système d'élevage. La 1ère partie de ce livre développe donc cette manière d'approcher, d'étudier les élevages (chapitres 1 à 5). -
Caractérisation de la chèvre du sahel au Niger par analyse des indices biométriques et des paramètres phénotypiques quantitatifs
Très répandue en Afrique sèche, la chèvre du sahel représente environ 80% du troupeau caprin Nigérien. Conformément aux orienta tions nationales au Niger et dans la perspective d’une meilleure gestion de cette ressource génétique aux niveaux local et national des travaux de caractérisation phénotypique de la race ont été conduits au Nord-Ouest du pays de juillet 2011 à mai 2012. Sur la base de l’adhésion volontaire des éleveurs, des investigations de caractérisation des paramètres quantitatifs (hauteur au garrot et à la croupe, tour de poitrine, profondeur du thorax, largeur du bassin et longueurs du corps, des cornes et des oreilles) ont concerné 443 caprins (77% de femelle, 39% ayant 4 paires d’incisives permanentes) repartis dans 145 exploitations, 60 sites (7,38 ± 6,87 têtes/site), dans les régions de Tillabéri, Tahoua et Niamey. L’analyse des indices biométriques couplée à l’analyse des variances (ANOVA) et des analyses multivariées (ACP, AFD) ont fait ressortir que le cheptel caprin dans cette zone comporte quatre sous types morphologiques (Tillabéri, Tahoua, Niamey et un sous type intermédiaire Niamey-Tillabéri). Du fait de la coexistence à Niamey de plusieurs races (locales et exotiques) et son corolaire le brassage génétique, la chèvre du sahel correspondrait à deux sous types: celui de Tillabéri de grande taille (64,98 ± 6,77 cm au garrot et 68,27 ± 5,91 cm à la croupe) à oreilles et cornes longues (20,3 ± 3,08 et 14,75 ± 4,43 cm respectivement) et de Tahoua également de grande taille (60,71 ± 10,81 cm au garrot et 62,46 ± 10,65 cm à la croupe) à oreilles et cornes courtes (12,32 ± 3,62 cm et 9,95 ± 4,01 cm respectivement). -
Influence de l’occupation des terres sur la dynamique des communautés végétales en zone Sahélienne : cas de la commune rurale de Dantchandou (Niger)
La commune de Dantchandou est l’une des principales sources d’approvisionnement en bois de l’Ouest du Niger, ce qui engendre du coup une désorganisation de la structure et de la composition de paysage. L’objectif de la présente étude est d’évaluer l’impact de mise en culture, des pâturages, des jachères et l’influence des villages sur la dynamique des communautés végétales de la commune de Dantchandou. Les données ont été collectées dans les différentes unités d’occupations des terres (replat, versant, dépression et piedmont des plateaux) dans lesquelles sont délimitées des placettes de 1000 m² en tenant compte de l’homogénéité de la végétation à fin d’éviter l’effet de lisière. Ainsi pour la caractérisation de la végétation trois transects ont été retenus. -
Aliments protéiques dans les systèmes mixtes intégrés polyculture élevage en régions tropicales
Cette synthèse porte principalement sur les ressources végétales produites et potentiellement disponibles dans les Systèmes Mixtes Intégrés Polyculture Élevage (SMIPE), qui permettent une coexistence synergique entre les cultures alimentaires et l’élevage en zone tropicale (Herrero et al., 2010). Notre objectif n’est pas de présenter un panorama exhaustif mais de tenter de dégager des lois générales et des principes d’utilisation pour les familles de ressources les plus utilisées, qui seront illustrées par quelques exemples. Ces ressources ont été choisies car relativement bien documentées et largement utilisées en zone tropicale.