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PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Bilan des actions de transfert des technologies. Les magasins « RESEDA » pour la conservation de l'oignon.
Rapport provisoireUne consultation des structures impliquées dans la construction ou l’utilisation de magasins Réséda a fourni une liste de 280 à 290 magasins existants. Hors construction en 2013 et 2014, la majorité des magasins se situe dans la région de Tahoua (252).
Cependant, au cours des visites de terrain, ce nombre n’a pas été confirmé par les différents responsables locaux d’ANFO. Seul 46 magasins de type Réséda ont été identifiés. Même si certains magasins n’ont pas été identifiés au cours de l’enquête, ce nombre est très loin du nombre initial annoncé.
50% des anciens magasins Réséda visités (antérieurs à 2013) sont effondrés ou disparus et seulement 25% sont utilisés. Les résultats de ce premier travail donnent un bilan assez décevant. Attention, ces pages ne sont pas une « condamnation » du magasin Réséda, elles ont pour ambition de partager avec les acteurs concernés des observations, des interrogations et certaines analyses ou hypothèses pour améliorer les pratiques et les résultats. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon.
Le présent atelier de formation s'adresse aux producteurs et animateurs des structures d'appui conseil sur les maladies et ravageurs de l'oignon. l'objectif de l'atelier est de renforcer les connaissances et ces acteurs. -
Filière oignon au Niger : processus intégré de conservation et de warrantage. Expérience de la SNV dans la zone de production de Saouna gomma, Tamaske et Sabon Guida
Le principal objectif de ce projet est de : Instaurer le système de warrantage sur l’oignon à travers une relation quadripartite (SNV, producteurs, SFD, LCB) avec l’introduction d’un système d’abris de conservation adapté et accessible aux producteurs d’oignon afin de réduire les pertes importantes et de réussir définitivement le warrantage qui permets de créer des emplois rémunérateurs et durables et de générer des ressources additionnelles aux producteurs. -
Approvisionner durablement Niamey en lait local par les petits éleveurs
Le projet fait suite à la mise en place du centre de collecte de lait d’Hamdallaye construit en 2008 par le projet PSEAU. Le projet Nariindu a démarré officiellement en janvier 2012 pour une durée de 3 ans, sur financement du Comité Français pour la Solidarité Internationale (CFSI) et de l’Agence Française de Développement (AFD).
L’objectif général est l’amélioration de l’approvisionnement en lait local des centres urbains en zone sahélienne, au profit des petits éleveurs périurbains.
Cette évaluation a été réalisée en juin/juillet 2015. La conclusion de l’évaluation est la suivante : Le projet Nariindu, de par ses innovations et la pertinence de son modèle, mériterait de voir son action soutenue et poursuivie, car l’ensemble des structures, de la gouvernance et des partenariats est encore faible, malgré des atouts forts et des partenaires convaincus. -
Atelier des producteurs d’oignon de la région de Tahoua - Thème principal : bilan des magasins RESEDA
En plus du thème principal (magasins RESEDA), quatre autres thèmes ont fait l’objet de présentations et d’échanges : (1) la situation des semences d’oignon au Niger ; (2) les tests d’oignon en hivernage, présentation complétée par une visite sur le terrain ; (3) un partage d’informations sur la gestion du comptoir de Tsernaoua et (4) une présentation sur les chambres d’agriculture et leurs fonctions. -
Atelier preparatoire pour la mise en place d'un observatoire regional de la filière oignon en Afrique de l'Ouest et du Centre
Il m'est particulièrement agréable, de présider ce jour , la cérémonie d'ouverture de l'atelier pour la mise en place d'un observatoire de la filière oignon en afrique de l'ouest et du centre -
Evolution du prix de gros de l’oignon pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 34 (mois d’août) de l’année 2019. Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes), en second le marché de Djémadjé 2.
Le Niger est le premier exportateur d’oignon dans la CEDEAO et pourtant, à certaines périodes, des oignons sont importés sur le marché de Niamey. Cette situation peut étonner plus d’un observateur. -
Évaluation des productions d'oignon et élaboration des stratégies de commercialisation: Galmi
Le Niger est un pays dont l'économie repose essentiellement sur l'agriculture vivrière et les cultures de rente. pour preuve, le secteur agricole contribue pour près de 36% du PIB réel, fournit environ 85% de l'emploi et 41% des recettes d'exportation. C'est à l'évidence un facteur déterminant de la croissance économique de notre pays. -
Techniques de production, stockage et conservation des bulbes d’oignon pour améliorer les performances de la filière oignon
Suite aux besoins des clients exprimés dans les dossiers de structuration des activités des OP, les constats lors de l’analyse des systèmes de conservation des produits et de l’évaluation des chaînes de valeurs des produits (oignon et pomme de terre), pour appuyer l’effort de ses clients axé sur le marché afin de tirer le maximum de profit. Le présent manuel s’inscrit dans le cadre de la formation des représentants des OP dans les techniques poste-récolte, de conditionnement et de conservation des bulbes d’oignon afin de minimiser les taux de perte mais, augmenter la qualité et valeur des produits. Cette formation portera sur le renforcement des capacités des membres des OP aussi bien en techniques de conservation des bulbes destinés à la conservation qu’en production des semences de qualité afin de prendre en compte dans la phase poste récolte, toutes les insuffisances capables d’affecter négativement le volume et valeurs des récoltes des produits ciblés. -
Rapport de la mission exploratoire de collecte d’informations pour le développement de la chaîne de valeur lait dans les régions de Dosso, Maradi et Tahoua Sud
L’offre de production laitière est assurée par un cheptel composé de bovins, ovins, caprins et camelins ; sur la base de la projection des effectifs 2009, les trois régions totalisent 4 133 853 bovins, 4772 654 Ovins, 5 755 133 Caprins et 801 901 Camelins, soit respectivement 45, 45, 44 et 48% des effectifs totaux du pays. L’importance de ce cheptel place les trois régions au centre de la question de production laitière au Niger, et ce pour toutes les espèces confondues. L’offre potentielle globale serait de 200 millions de tonnes par an. Malgré ce potentiel la production laitière du bétail dans les systèmes d’élevage pastoraux reste faible et se situe respectivement pour les vaches et les chamelles autour de 2 à 3 litres et 3 à 6 litres. -
La journée mondiale du lait
La journée consacrée au lait fait partie des nombreuses journées initiées par l’ONU, en l'occurrence ici par la FAO. Son but est de favoriser une prise de conscience des bienfaits de cet "or blanc" qu'est le lait. L'objectivité nous oblige tout de même à reconnaître que cette journée est très peu médiatisée, sauf par les organisations professionnelles laitières. Depuis sa création en septembre 2000, cette journée a pris tellement d’ampleur qu’elle est devenue un événement annuel dans plus de 40 pays à travers le monde... -
Mise en place d'un projet de développement de la filière lait pour l'approvisionnement en lait cru des unités laitières de Niamey
Cette étude est particulièrement pertinente au regard du contexte actuel. En effet, la hausse récente et inédite des prix internationaux des produits laitiers menace les approvisionnements de la population nigérienne, et en premier lieu les populations urbaines, alors que la filière lait du Niger bénéficie d’avantages comparatifs incontestables, n’eut été les difficultés de collecte au niveau des éleveurs et de transport jus- qu’aux laiteries industrielles et semi-industrielles de Niamey. -
Projet intégré de production laitière et culture fourragère
Le projet a pour objectif général de contribuer à lutter contre le chomage, la pauvreté et l'insécurité alimentaire à travers la reproduction bovine pour la production de lait par une augmentation de l'offre en lait local et en viande de boucherie afin de répondre à la demande de la clientèle des villages et villes. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Dossier de construction et d'entretien d'un prototype de magasin de stockage d'oignons en CSB : basse vallée de Tarka
Ce document concerne la construction d'un magasin expérimental de stockage d'oignons dans la basse vallée de la Tarta, au Niger. Ce magasin sera construit avec les techniques de Construction Sans Bois (CSB) 1 et aura une surface utile d'environ 120m2 et une capacité de stockage d'environ 23 tonnes d'oignons (état humide). Le principal objectif de cette construction est de mettre au point pour l'avenir un concept reproductible de magasin de stockage d'oignons performant et facile à construire. Il est important que tous les partenaires soient informés du caractère expérimental du projet. -
Mission d'appui technique au comptoir FRUCA d'Agadez pour la mise en œuvre d'un contrat d'exportation d'oignon vers la Cote d’Ivoire
Dans le cadre de son activité de recherche de débouchés, le comptoir de commercialisation d’oignon d’Agadez a conclu un contrat commercial avec une société de négoce dénommée Ivoire Top Services basée à Abidjan, République de Côte d’Ivoire ; le volume d’oignon d’Agadez à livrer dans le cadre de ce contrat avoisine les 600 tonnes/mois. -
Enquête filières de commercialisation des dattes et oignon
Les différentes études économiques réalisées au niveau de l’arrondissement de Maïné-Soroa, surtout dans sa partie nord-ouest ont démontré que dans le temps la principale activité commerciale était la production et l’exportation du sel et du natron. Cette partie de l’arrondissement était surnommée « Mandaram » la saline de Maïné. Aujourd’hui, les paysans voient de plus en plus la nécessité de trouver d’autres produits de substitution au sel et au natron. Cela s’explique par le fait que les recettes tirées de l’exportation du sel diminuent de plus en plus ; diminution due à la baisse du prix, à la mévente et à la fluctuation de la monnaie Nigériane. Ce constat et la succession des mauvaises campagnes hivernales ont amorcé le processus d’une mise en valeur agricole des cuvettes. -
Mission de prospection et de promotion commerciale de l'oignon du Niger
Le Niger est le premier pays producteur d’oignon de l’espace UEMOA, avec une production annuelle d’environ 500 000 tonnes durant les 5 dernières années. L’oignon du Niger possède diverses qualités organoleptiques et colo métriques spécifiquement rattachées à sa source d’expansion, « Galmi » d’où vient aujourd’hui son nom commercial, « le violet de Galmi ». Le Niger exporte en régime contrôlé1 70% environ de sa production d’oignon vers les pays côtiers de la zone ouest africaine. En termes d’importance des volumes d’oignon du Niger importés, jusque dans les années 2005, la Côte d’Ivoire vient en tête avec 39%2, suivi du Ghana 26%, le Nigéria 25%, le Bénin 5%, le Togo 2% et autres destinations 3%. Du fait de l’importance ces dernières années des offres concurrentielles d’oignon du Burkina, du Nigéria, de la Hollande et récemment de la Chine, les acteurs de la filière oignon du Niger se sont engagés à prendre les mesures de leur ancrage sur leurs marchés traditionnels et œuvrer pour accéder à de nouveaux débouchés.