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Arrondissement de Gaya : potentialités et contraintes au développement local
Ce document fait l'inventaire des potentialités et contraintes de l' Arrondissement de Gaya en matière de développement local, afin de dégager plus tard des programmes prioritaires de développement local. -
Le bovin Kouri
Le bovin Kouri est un animal sans bosse, donc un taurin, élevé sur les îles et le littoral du lac Tchad, aux confins de quatre pays, le Cameroun, le Niger, le Nigeria et le Tchad. Il s’agit d’un animal de grande taille, haut sur patte et dont le poids va de 400 à 500 kg chez les femelles et de 500 à 700 kg chez les mâles. La majorité est de couleur blanche, mais certains animaux peuvent être tachetés de rouge. Il se distingue surtout par ses cornes spectaculaires de différentes formes notamment bulbeuses comme cette photo. -
L’insémination artificielle et la gestion de troupeaux de sélection
Ce petit manuel de formation à l’insémination artificielle (I.A.) a été préparé dans le but de donner les connaissances essentielles pour les personnes débutant dans ce domaine. On donnera d’abord des rappels d’anatomie et de physiologie de l’appareil reproducteur, ensuite on décrira comment collecter et conserver la semence et enfin comment inséminer artificiellement les femelles. Par ailleurs, on voudrait également atteindre un autre objectif : la sensibilisation des personnes travaillant dans ce domaine et dans celui de l’élevage au sujet des avantages de l’I.A., en vue de favoriser l’amélioration du cheptel animal en milieu tropical et subtropical. L’amélioration du rendement et de l’efficience reproductrice sont certainement les deux objectifs principaux de l’insémination artificielle. -
Ethnomédecine vétérinaire : une approche pratique du traitement des maladies du bétail en Afrique subsaharienne
Le présent guide porte sur une approche pratique du traitement des maladies du bétail
en Afrique subsaharienne -
Le lait, patrimoine des Peuls pasteurs du Niger
Le présent guide porte sur le lait, patrimoine des Peuls pasteurs du Niger; les pratiques alimentaires, représentations et usages non alimentaires chez les Gaawoo'be du Gourma -
L'élevage des bovins, ovins, caprins au Niger
Les grandes régions d'élevage sont la zone pastorale au nord la zone centrale ou intermédiaire et la zone Sud ou agricole (figure 1.4.). L 1 élevage est conduit sous divers modes représentés par le nomadisme, la transhumance, 1;61evage sédentaire et l'élevage amélioré. Les principales espèces exploitées sont les bovins; ovins; caprins, camelins~ équins et asins (figure 1.5. et Tableau 1.1.). -
Note sur la visite des parcs d’élevage « Garké » de la ville de Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont effectué les 25 et 26 juillet 2018, la visite de 5 Garké dans la commune urbaine de Zinder (carte ci-dessous) afin de comprendre leur mode de fonctionnement et d’évaluer leur disponible en lait cru en vue d’une mise en relation avec la laiterie Darido qui va démarrer ses activités. Les Garké, ou parcs, sont des espaces mis à la disposition des associations d’éleveurs des quartiers de Zinder par la mairie pour y abriter les bovins des riverains notamment les vaches laitières. Les animaux sont surveillés, conduits aux pâturages et traits par quelques éleveurs couramment appelés « Makiyayi ». Les Makiyayi sont rémunérés selon des modalités bien définies avec les propriétaires d’animaux du parc. La mairie, quant à elle, ne perçoit aucune taxe au niveau des Garké. -
Approvisionner durablement Niamey en lait local par les petits éleveurs
Le projet fait suite à la mise en place du centre de collecte de lait d’Hamdallaye construit en 2008 par le projet PSEAU. Le projet Nariindu a démarré officiellement en janvier 2012 pour une durée de 3 ans, sur financement du Comité Français pour la Solidarité Internationale (CFSI) et de l’Agence Française de Développement (AFD).
L’objectif général est l’amélioration de l’approvisionnement en lait local des centres urbains en zone sahélienne, au profit des petits éleveurs périurbains.
Cette évaluation a été réalisée en juin/juillet 2015. La conclusion de l’évaluation est la suivante : Le projet Nariindu, de par ses innovations et la pertinence de son modèle, mériterait de voir son action soutenue et poursuivie, car l’ensemble des structures, de la gouvernance et des partenariats est encore faible, malgré des atouts forts et des partenaires convaincus. -
Promouvoir le lait local au Sahel
La filière lait local au Niger est en changement : de plus en plus d’éleveurs commercialisent régulièrement des quantités importantes de lait cru, les industriels semblent s’intéresser davantage au lait cru même si leur matière première reste majoritairement de la poudre importée.
Dans ce contexte, les centres de collecte ou les mini-laiteries peuvent jouer un rôle essentiel dans le développement de la filière lait local. Mais quelles différences entre ces deux types d’unités laitières ? -
« Lait concentré sucré » au petit déjeuner - Essai de lecture des étiquettes
Moment convivial à proximité de son lieu de travail, le petit déjeuner urbain comprend souvent un « verre de lait » accompagné d’un quart de baguette de pain tartiné avec de la margarine (souvent appelé beurre mais la margarine est fabriquée avec des matières grasses végétales). Le lait peut être en poudre ou provenir d’une boite de lait concentré sucré. Mais voyons de plus près la composition de ces « laits ». Notre tablier (vendeur) préféré propose du lait concentré de trois marques différentes. -
Etat des filières laitières dans les 15 pays de la CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad - Annexe 9 : Fiche Niger
Ce rapport Niger constitue l’un des treize documents nationaux servant de base au rapport de synthèse sur les « Etude relative à la formulation d’un programme régional de promotion des chaînes de valeur lait local au sein de la CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad » (Corniaux et al, 2018). Il a été réalisé pour le compte du Hub Rural dans le cadre de l’Offensive Lait portée par la CEDEAO.
Cette étude s’articule autour de deux principales activités : le diagnostic des filières laitières dans la zone CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad et la programmation des actions et des investissements.
Ce présent travail s’intègre dans la première activité. L’objectif est d’actualiser les données et les informations relatives : aux statistiques sur l’élevage et sur les filières laitières (production, importations, consommation) ; aux projets et aux investissements en cours ; aux politiques publiques à l’œuvre. Ce document est élaboré sur la base du rapport de G. Vias (2013). -
Offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local en Afrique de l’Ouest - Document de Stratégie
L’initiative « offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local » participe de l’ensemble des stratégies visant à opérationnaliser, non seulement la politique agricole de la CEDEAO, mais surtout à mettre en œuvre le Plan Régional d’investissement Agricole, de sécurité alimentaire et nutritionnelle. Elle se veut un cadre et un instrument qui fédèrent, coordonnent et accompagnent toutes les initiatives en cours dans l’espace communautaire, en matière de développement des chaines de valeur du lait local.
L’offensive a pour objectif spécifique d’accompagner toutes les initiatives et stratégies de développement des chaines de valeur du lait local, afin de : Augmenter de façon substantielle la production locale du lait frais en améliorant la productivité du cheptel ; Améliorer l’approvisionnement de l’industrie laitière régionale au moyen de la collecte d’au moins 25 % de la production régionale de lait local à l’horizon 2025 ; Promouvoir un environnement incitatif au développement des chaines de valeur du lait local. -
La place de la production laitière en zone sahélienne du Niger
Le Sahel est la zone semi-aride de l'Afrique tropicale bordant le Sahara vers le sud dont elle subit l'influence climatique. Cette zone s'étend sur une largeur de 200 à 300 km de l'Atlantique à l'Océan Indien, et va des isohyètes de 150 à 200 mm au nord et 600 à 700 mm au sud en années normales. -
Programme d'activités et budget prévisionnel 2005
Le projet d'Appui au Développement Local dans la région de Diffa (PADL-Diffa) sera exécuté sur une période de six ans (2004-2009). Conformément au programme d'activités 2005 établi par la Cellule de Gestion du projet (CGP), cet exercice budgétaire sera consacré essentiellement à la réalisation d'actions prioritaires pouvant être menées au cours de cette période et qui serviront d'ancrage à la bonne exécution du projet. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (3)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise de laiterie pastorale » et se déclinent comme suit : Production du lait - Transformation du lait (en fromage) - Commercialisation du lait et de ses sous-produits -
Guide du métier de collecteur laitier : démarrer et développer une activité de collecte de lait
Ce guide du collecteur laitier donne quelques clefs pour la construction de réseaux de collecte efficaces et sur l’accompagnement des collecteurs dans cette activité. Il est nécessaire que ces derniers soient formés, que l’activité soit bien gérée sur le plan financier pour assurer sa durabilité et que la collecte soit bien organisée. D’autre part, un climat de confiance et de bonne entente entre les parties est primordial pour assurer la continuité de l’activité. Les producteurs laitiers et les unités laitières doivent également jouer leur rôle. Les exploitations familiales doivent être formées à l’élevage laitier et aux bonnes pratiques de traite tandis que les unités laitières doivent assurer la transformation et la commercialisation du lait local et tenter d’améliorer l’image des produits locaux auprès des consommateurs. -
Faire rayonner les efforts de la filière lait au Niger : Actualités et découvertes
Il y a de cela 5 ans, le lait local n’avait sa place dans les rayons des boutiques et super marché, du moins pas comme aujourd’hui. Mais avec les efforts des uns et des autres, aujourd’hui les produits laitiers locaux ont fière allure partout à Niamey et n’ont rien à envier aux autres produits importés si ce n’est le manque de marketing. Preuve que la demande est réelle surtout avec l’émergence d’une classe moyenne qui prend conscience de la qualité et du caractère naturel que revêt le lait local. L’Etat du Niger a vite compris l’enjeu et les autorités actuelles font de la filière lait, un levier de développement économique, pourvoyeur d’emploi. C’est dans le même ordre d’idées que le Niger dont 87% de la population vit de l’élevage, participe activement à l’opérationnalisation de l’offensive lait de la CEDEAO. Le beau jour viendra où les 20 milliards de Fcfa que perd le Niger chaque année dans la consommation du lait importé rentreront dans les caisses nationales et financeront les programmes structurants pour le bien-être collectif. -
Étude participative sur les aspirations des jeunes et l’efficacité des politiques publiques en matière de jeunesse au Niger
Au Niger, la structure démographique fait ressortir le poids important des jeunes1 dont le taux d’accroissement naturel est estimé à 3,81% en moyenne sur la période 2001-2011. Environ 60% (13 millions) de la population a moins de 18 ans et près de 500.000 jeunes entrent sur le marché du travail chaque année. Cette progression rapide de la population active soulève la problématique de la place des jeunes dans la société nigérienne. L’approche participative mise en œuvre dans le cadre de cette recherche consiste à donner la voix aux jeunes pour comprendre leurs aspirations et capter leurs perceptions. Trois thématiques majeures ont été abordées pour lesquelles l’étude a fait ressortir les principaux messages clés. -
Niger : structuration d’un réseau de collecte de lait local autour de la capitale
L’industrie laitière de Niamey est aujourd’hui fortement dépendante des importations de poudre de lait. Le lait produit localement a longtemps été ignoré par l’industrie locale : qualité sanitaire trop inégale, atomisation de la production, coûts de collecte élevés. Les consommateurs nigériens ne se satisfont pas de cette situation, car le lait commercialisé est jugé de moindre qualité gustative et nutritive, en comparaison avec du lait local. Le projet Nariindu appuie le développement d’une filière locale en structurant un réseau de collecte autour de Niamey, pour répondre à la demande de la capitale Niamey en lait local de qualité. -
Rapport de la mission exploratoire de collecte d’informations pour le développement de la chaîne de valeur lait dans les régions de Dosso, Maradi et Tahoua Sud
L’offre de production laitière est assurée par un cheptel composé de bovins, ovins, caprins et camelins ; sur la base de la projection des effectifs 2009, les trois régions totalisent 4 133 853 bovins, 4772 654 Ovins, 5 755 133 Caprins et 801 901 Camelins, soit respectivement 45, 45, 44 et 48% des effectifs totaux du pays. L’importance de ce cheptel place les trois régions au centre de la question de production laitière au Niger, et ce pour toutes les espèces confondues. L’offre potentielle globale serait de 200 millions de tonnes par an. Malgré ce potentiel la production laitière du bétail dans les systèmes d’élevage pastoraux reste faible et se situe respectivement pour les vaches et les chamelles autour de 2 à 3 litres et 3 à 6 litres. -
La journée mondiale du lait
La journée consacrée au lait fait partie des nombreuses journées initiées par l’ONU, en l'occurrence ici par la FAO. Son but est de favoriser une prise de conscience des bienfaits de cet "or blanc" qu'est le lait. L'objectivité nous oblige tout de même à reconnaître que cette journée est très peu médiatisée, sauf par les organisations professionnelles laitières. Depuis sa création en septembre 2000, cette journée a pris tellement d’ampleur qu’elle est devenue un événement annuel dans plus de 40 pays à travers le monde... -
Note d’orientation de l’étude de faisabilité de l’offensive régionale pour la promotion du lait local en Afrique de l’Ouest
Le lait occupe une place importante dans l’économie agricole et alimentaire de l’Afrique de l’Ouest. Son importance est étroitement liée à celle du cheptel domestique. Le cheptel ouest africain constitue l’un des plus importants de l’Afrique, bien qu’on ne connaisse pas exactement son effectif. L’Afrique de l’Ouest est créditée de quelques 60,5 millions de têtes de bovins, 160 millions de petits ruminants : ovins et caprins (CSAO, 2012). Son taux de croissance (2,7%) est voisin de celui du croît naturel (2,2%) de la population (CSAO, 2012). -
Nariindu 2-Promouvoir le lait local au Sahel
Le lait cru du Niger n’est que très faiblement commercialisé alors que la demande urbaine est forte et en constante augmentation. Environ 85 % des produits laitiers des laiteries de Niamey sont issus de la poudre de lait importée. Pourtant ceci n’est pas une fatalité. Depuis 2008 la filière lait local se structure progressivement, notamment grâce à la mise en place de « centres de collecte » portés par des organisations d’éleveurs et établissant des partenariats gagnants-gagnants avec les industries à l’aval de la filière, en particulier avec Solani. -
Nariindu 2 – Promouvoir le lait local au Sahel
Le lait cru du Niger n’est que très faiblement commercialisé alors que la demande urbaine est forte et en constante augmentation. Pourtant ceci n’est pas une fatalité. Depuis 2008 la filière lait local se structure progressivement, notamment grâce à la mise en place de « centres de collecte », l’installation de collecteurs privés, la contractualisation avec les industries laitières. En se coordonnant bien, tout le monde y gagne ! -
Note d’orientation de l’étude de faisabilité de l’offensive régionale pour la promotion du lait local en Afrique de l’Ouest
Depuis 2008, en réponse à la crise alimentaire, née de la flambée des prix des produits de base, l’ECOWAP a connu une accélération dans sa mise en œuvre, en s’appuyant non seulement sur deux catégories de programme ( les Programmes nationaux d’investissement agricoles à l’échelle des pays et le Plan Régional d’investissement agricole à l’échelle de la Communauté ), mais aussi sur un dispositif institutionnel qui permet de distinguer les institutions de pilotage, de celles de concertation et d’exécution technique. L’opérationnalisation de l’ECOWAP a reposé également sur un certain nombre de programmes et initiatives majeurs : réserve régionale de sécurité alimentaire, programmes de renforcement des capacités des acteurs, offensive régionale pour la relance durable de la production du riz. -
Mise en place d'un projet de développement de la filière lait pour l'approvisionnement en lait cru des unités laitières de Niamey
Cette étude est particulièrement pertinente au regard du contexte actuel. En effet, la hausse récente et inédite des prix internationaux des produits laitiers menace les approvisionnements de la population nigérienne, et en premier lieu les populations urbaines, alors que la filière lait du Niger bénéficie d’avantages comparatifs incontestables, n’eut été les difficultés de collecte au niveau des éleveurs et de transport jus- qu’aux laiteries industrielles et semi-industrielles de Niamey. -
Etude sur les mécanismes de prise de décision en matière de gestion des ressources naturelles et décentralisation : Promouvoir une plus large participation des catégories et groupes cibles
La question de participation et de responsabilisation des catégories et groupe cibles sont désormais dans les agendas de toutes les institutions y compris les services traditionnels de l'Etat ou ses structurées déconcentrées. Dans le domaine de la GRN et de décentralisation cette considération apparait clairement dans les termes de l'ordonnance 92/30 du 8 Juillet 1992 et bien d'autres instruments subséquents en particulier l'Ordonnance 93/15 du 2 mars 1993 ainsi que ces multiples textes d'application ; loi portant régime de l'eau, l'eau-cadre sur l'environnement, nouvelle loi sur la Chasse. Loi sur les coopératives etc. -
Étude sur l'évaluation de la capacité des services déconcentrés de l’État à accompagner les collectivités territoriales
L'objectif visé par la présente étude initiée par le Haut Commissariat à la Modernisation de l'Etat, est de contribuer à adapter l'organisation et le fonctionnement des circonscriptions administratives et des services techniques déconcentrés aux exigences de la décentralisation pour in exercice et un accompagnement efficace des collectivités territoriales. De manière pratique, doit permettre de faire le diagnostic global de la question de l'accompagnement des collectivités territoriales. -
Evaluation finale et identification d'une deuxième phase du Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa (PADL/Da)
De manière, ce rapport relève des activités que le Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa a mené plusieurs activités entrant dans le cadre du développement Agricole de la région. -
Évaluation finale et identification d'une deuxième phase du Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa (PADL/DA)
Au terme de huit années de mise en œuvre et la fin de la première phase, le PADL-Diffa a assez largement atteint les objectifs qui lui avaient été assignés. Le projet est pertinent par rapport aux politiques et stratégies du Niger au moment de sa formulation et il a été mis en œuvre de manière efficace. -
Note de présentation du bilan triennal d'exécution du Programme d'Actions Communautaire (PAC) et perspectives
Le Programme d'Actions Communautaire (PAC) qui est l'un des instruments importants de l’État du Niger en matière de la réduction de pauvreté de la pauvreté et de promotion de la décentralisation vient de terminer sa troisième année de mise en œuvre. -
Note de Présentation de l'Equipe d'Arrondissement, PGRN/Say : 7èm édition conjointe de supervision Gouvernement du Niger, Banque Mondaile
L'arrondissement de Say est une zone agricole qui connait de forte pression démographique due l'affluence des populations qui sont à la recherche des meilleures terres de cultures. Ce peuplement inquiète les populations autochtones qui souvent vendent leur terre sans informer les populations allochtones qui les mettent en valeur. Ceci est l'une des causes principales de la baisse drastique de la fertilité des sols dans l'arrondissement. -
Projet intégré de production laitière et culture fourragère
Le projet a pour objectif général de contribuer à lutter contre le chomage, la pauvreté et l'insécurité alimentaire à travers la reproduction bovine pour la production de lait par une augmentation de l'offre en lait local et en viande de boucherie afin de répondre à la demande de la clientèle des villages et villes. -
Rapport de résultat 2019 : Programme d'Appui au Développement de l’Élevage - PRADEL Kiyo Arziki
L’année 2019 a permis de capitaliser les résultats du démarrage de l’année 2018 et d’atteindre une bonne vitesse de mise en œuvre du Programme. Les grands chantiers en termes de développement des chaines de valeur (financement, appui conseil, infrastructures structurantes, conditions d’élevage (alimentation, santé animale), structuration) ont atteint un bon niveau de maturation et pourront produire les effets nécessaires pour atteindre l’outcome. Il en est de même des autres chantiers (aménagements pastoraux pour lesquels l’ingénierie sociale est avancée, les marchés lancés, etc.). -
Termit et Tin-Toumma refuges de la faune au Niger
De manière générale, cette vidéo fait état de la gestion de la faune dans la Réserve Naturelle Nationale de Termit et Tin-Toumma. En effet, cette réserve couvre la vaste superficie de 86 215 km². Elle est l'une des plus grandes aires terrestres protégées au Monde. La Réserve réunit trois écosystèmes remarquable : le massif de Termit, le désert de Tin-Toumma, et un écosystème sahélosaharien. -
Performances de reproduction et de production laitière de la vache taurine de race Kouri au Niger
Le kouri est une race taurine bien adaptée à l'environnement du Lac Tchad. Dans ces zones, L’élevage du kouri représente une contribution essentielle aux moyens d'existence des ménages. Une enquête a été conduite dans 140 ménages de la région de Diffa au Niger, en vue d’analyser les pratiques d’élevage en lien avec les performances de production et la conservation de ce taurin. La caractérisation zootechnique de la race a eu lieu au centre de Sayam à Diffa. -
Simulation de dynamiques de cheptels bovins après une sécheresse au Sahel en fonction des types d'exploitation pastorales : cas du Ferlo au Sénégal
L’étude suivante s’inscrit dans le cadre du projet ANR ECLIS (Elevage Climat Sociétés – mesure de la vulnérabilité des élevages pastoraux) mis en œuvre sur 4 communes au Sénégal, au Mali, au Niger et au Bénin. L’objectif de la tache ELEV d’ECLIS dans laquelle s’inscrit ce stage est de caractériser le rôle de l’élevage dans la réduction de la vulnérabilité des ménages ruraux. -
Étude des paramètres démographique du cheptel bovin des élevages péri-urbains de la ville de Bobo-Dioulasso
La présente étude a eu pour objectif principal, de déterminer les paramètres démographiques du cheptel bovin de la zone péri-urbaine de Bobo-Dioulasso. Elle a été menée auprès de soixante-quatre (64) éleveurs composés majoritairement de peulhs. La méthode d’enquête des douze derniers mois (12mo) a été utilisée. Cette méthode permet d’estimer les évènements démographiques survenus dans un troupeau au cours des douze derniers mois précédant l’enquête. Les enquêtes se sont déroulées du 08 Décembre 2016 au 23 Janvier 2017 dans les villages de Bama, de Nasso, de Diaradougou, de Koumbia et au campement des éleveurs de l’association Benkadi du secteur 21 de Bobo-Dioulasso. -
Développement communautaire et réduction de la pauvreté dans un contexte de décentralisation
Ce document est composé de cinq parties. La première présentera le contexte socioéconomique des pays des pays francophones de l’Afrique de l’Ouest. Elle sera suivie de la présentation du concept de développement communautaire et de son utilisation dans la lutte contre la pauvreté. La troisième partie se focalisera sur la présentation de quelques études de cas (Burkina Faso, Mali et Niger). La dernière partie portera sur la présentation des leçons apprises sur l’amélioration des conditions de vie des populations, la réplication des expériences réussies et l’amélioration de la gouvernance. -
Le développement communautaire un concept, une histoire, des valeurs
Dans le champ du travail social actuel, le développement communautaire apparaît comme une méthodologie de plus en plus plébiscitée, sinon par les travailleurs sociaux eux-mêmes, en tout cas par les mandataires politiques, régionaux pour la plupart, qui proposent depuis dix à quinze ans des programmes de développement en tout genre. Mais que recouvre donc ce concept, souvent présenté comme novateur ? A quelles réalités renvoie t-il ? Quels sont ses enjeux idéologiques, politiques, institutionnels, organisationnels, éthiques… ? C’est à l’exploration de ces questions que se propose, modestement, de contribuer cet article. -
Évaluation des actions menées au Niger dans le domaine de l'environnement (Reboisement, récupération/ restauration de terre) pendant les vingt dernières années 1984-2002
La présente évaluation tente de faire le bilan des actions réalisées, durant les vingt dernières années et de jeter les bases de réflexions pour des améliorations éventuelles futures à apporter. Elle aura pour repères essentiels les atouts et contraintes de développement, les succès et les échecs des politiques et stratégies menées, ainsi que leur implication sur l’amélioration des conditions de vie des populations et la réduction de la pauvreté. L’étude comporte trois parties, mais le présent document traite de l’évaluation des actions environnementales dans le domaine de reboisement et de la récupération des terres. -
Dynamiques foncière et interventions extérieures au Niger : suivi du PGBV/B (an 2). cas de Badaguichiri et Tajaé
La présente étude constitue la seconde année de suivi externe des dynamiques induites par l’intervention du Projet d’Aménagement et de Gestion du Bassin versant de Badaguichiri (PGBV/B) dans 7 communes de la région de Tahoua. Les sites ici présentés sont les communes de Badaguichiri et celle de Tajaé. Au moment de l’an 1 du suivi, nous avons développé des points ayant trait à l’accès au foncier et la sécurisation foncière ; la problématique très large du maraichage et les questions subsidiaires s’y rattachant comme les acteurs, les circuits de commercialisation, etc. ; les conflits autour du foncier et des ressources naturelles et enfin la question des interventions extérieures avec un accent central sur le PGBV/B. -
Études pour la réalisation des travaux d'aménagement de polders et réalisation des pistes de desserte de polders dans la zone du PADL/Diffa / Phase I Diagnostic
L’étude pour la réalisation des travaux d’aménagement de polders et de pistes de desserte s’effectue dans le cadre du Projet d’appui au développement local dans la région de Diffa (PADL Diffa). En effet, le projet d’aménagement de polders en bordure du lac Tchad pour cultures de décrue, objet de la présente étude, est une activité de la composante A du Projet d’Appui au Développement Local de Diffa (PADL - Diffa) et a été conçu à titre de projet pilote visant à valoriser de manière durable l’immense potentiel que constituent les terres fertiles des abords du lac Tchad. -
Transformations agricoles et agroalimentaires : entre écologie et capitalisme
À l’heure des robots et du numérique, la terre (habitat, agriculture, paysage, planète) et la nourriture (du corps et de l’âme) sont parmi les préoccupations majeures dans les espaces médiatiques et politiques. L’industrie et les promesses d’abondance avaient peut-être fait oublier qu’elles sont au fondement des sociétés humaines. La crise alimentaire de 2008, qui a secoué plusieurs continents, a rappelé aux gouvernements l’enjeu de la sécurité alimentaire. Après des décennies d’abondance et une baisse tendancielle du prix des produits agricoles de base, de nouvelles fictions économiques, de la bioéconomie aux circuits courts, qui au-delà des médias paraissent influencer les milieux financiers, ont conduit à un retour de la question de la valeur de la terre et de l’agriculture en ces différentes composantes. La question de la santé, qui va avec celle des droits humains, prend également une place élargie, tant dans les politiques publiques (dont la recherche) que dans la production de normes alimentaires. Enfin, des mouvements sociaux transnationaux se sont emparés de la question de l’avenir de l’agriculture et de l’alimentation et de celle de la « bonne vie » (Monni et Pallottino, 2015). -
Tableaux de conservation des denrées alimentaires
Un aliment, qu'il soit d'origine végétale ou animale, nécessite des techniques de conservation qu'il est important de savoir. -
Manuel de formation sur les bonnes pratiques de production des bovins laitiers
L'agriculture est le pilier de l'économie du Burundi, représentant 30 % du produit intérieur brut (PIB) (données de février 2013), employant 90 % de la population active du pays et rapportant 90 % des recettes d'exportation. En dépit de ce rôle important, la production agricole a été peu modernisée et continue de reposer principalement sur une agriculture traditionnelle de subsistance, utilisant des technologies inefficientes et peu fiables. Le secteur de la pêche et de l'élevage est l'un des plus dynamiques et représente environ 10 % du PIB. Les bovins, les chèvres, les porcs, les moutons et la volaille sont les animaux d'élevage les plus courants. -
Analyse des déterminants des systèmes d’élevages bovins des communes de Kalalé et de Gogounou au Bénin
La présence des éleveurs et leurs dynamiques géographiques créent des dysfonctionnements dans la gestion des systèmes d’élevage bovin. Cette étude vise à faire une typologie des systèmes d’élevage bovins des communes de Kalalé et de Gogounou au nord-Est Bénin afin de déterminer les variables qui expliquent leur appartenance. Elle a été menée auprès de 100 éleveurs et permet de déterminer les différentes pratiques et objectifs poursuivis par les éleveurs. La méthode d’Analyse en Correspondances Multiple (ACM) a permis de ressortir les différents groupes des systèmes d’élevage dans la zone selon leurs itinéraires techniques. Ensuite, une analyse logistique a permis de déterminer les différentes variables qui influencent les groupes obtenus. Il en ressort que les pratiques d’élevage bovin de la zone sont déterminées par l’effectif des cheptels bovins, les races bovines, le nombre de reproduction, la disponibilité fourragère, le rendement financier des bovins, les caractéristiques socio-démographiques des ménages éleveurs et la disponibilité des services de santé animale. -
Les défis des éleveurs : le cas des éleveurs du Bénin en Afrique de l'ouest
L’élevage est une activité de premier plan et représente souvent plus du tiers du produit intérieur brut agricole dans les zones sahéliennes. Et, malgré les crises climatiques et alimentaires à répétitions, le cheptel est en forte croissance. Cette augmentation est le reflet d’une demande de lait et de viande en hausse, en lien avec une augmentation des revenus et une urbanisation croissante. -
Évaluation de la valeur économique directe de l’élevage bovin au nord-Bénin
Dans l’espace ouest-africain, la demande en produits d’origine animale augmente au rythme de la croissance de la population, de l’urbanisation et de l’accroissement des revenus. Cette situation offre un marché potentiel de bétail, de viande et de lait. Mais le paradoxe demeure la part de plus en plus croissante des importations extra africaines de produits animaux. L’économie pastorale éprouve des difficultés réelles à faire face à l’accroissement de la demande de viande et de lait dans les pays ouest-africains. C’est pourquoi l’un des défis majeurs auxquels la filière bétail /viande et lait est confronté est d’assurer aux populations un niveau suffisant de consommation de viande et de lait tout en développant les exportations. -
Élevage bovin et développement durable
S'il est un enseignement que nous ont dispensé les dernières décennies, c'est que l'évolution des agricultures européennes répond de moins en moins à des dynamiques endogènes. Le cadre réglementaire et économique est désormais le facteur majeur, dans la mesure où les déterminants sociaux se sont progressivement effacés avec « la fin des paysans », où l'état des techniques ne constitue plus le principal facteur limitant et où, dans une économie de l'abondance, le « pilotage de la production par l'aval » traduit l'influence croissante des transformateurs, des distributeurs et des consommateurs. -
Élevage bovin et environnement : les chiffres clés
Dans les exploitations d’élevages bovins, les ateliers "végétal" et "animal" sont étroitement liés. Le premier fournit la majorité des fourrages consommés par les animaux (autonomie alimentaire en matière sèche fourrage de 98 %, pour l’ensemble des systèmes bovins nationaux), ainsi qu’une partie non négligeable des aliments concentrés ingérés (autonomie massique de 28 % en moyenne) (source : CIV). L’atelier animal produit des déjections valorisées sur ces surfaces, soit directement sur les prairies lors du pâturage, soit par épandage. Sur l’ensemble des élevages bovins français, plus de 60 % des apports azotés sur les surfaces exploitées sont de nature organique et proviennent majoritairement de l’exploitation elle-même. -
Guide méthodologique : création d'emploi au travers de projets à Haute Intensité de Main d'Oeuvre (HIMO)
Ce guide méthodologique a pour objet de présenter les leçons apprises par le Programme des Nations Unies pour le Développement au Niger, dans la mise en œuvre d’activités à haute intensité de main d’œuvre conçues en faveur des jeunes à risque. Il se base sur l’expérience acquise en 2012 et en 2013 durant la mise en œuvre du projet de contribution à la consolidation de la paix dans le nord du Niger, financé par l’Union européenne, le Royaume du Danemark et le PNUD. -
Aménagement villageois des brousses tachetées au Niger
Après avoir décrit dans une première partie B.F.T. n° 242, le fonctionnement de l'écosystème brousse tachetée et le milieu socio-économique de la région de Tientergou au Niger, les auteurs présentent ici les méthodes de gestion sylvopastorales élaborées conjointement avec les villageois et les mesures institutionnelles, législatives et fiscales qui les accompagnent. -
Secrétariat du Club du Sahel et de l'Afrique de l'Ouest
Site d'information sur la sécurité alimentaire, les systèmes alimentaires, l'insécurité et l'urbanisation au Sahel et en Afrique de l'Ouest. -
Hygiène du lait - producteurs laitiers / guide de bonnes et mauvaises pratiques
Cette note vise à présenter, à travers des images, les mauvaises pratiques à éviter (en rouge), ainsi que les bonnes pratiques d'hygiène à adopter (en bleu) dans le processus de production laitière.