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Carte des acteurs – PromAP Composante 1
Ce document présente les acteurs du PromAP par composantes. -
Mission de pré-identification - Programme d'appui aux acteurs non étatiques - 9ème FED - Etat des lieux des acteurs non étatiques au Niger
Ce rapport de mission présente une analyse des acteurs non étatiques (ANE) au Niger, afin de contribuer à l’identification d’un futur programme d’appui à ces acteurs. Ce programme devrait les renforcer, pour augmenter leurs capacités de contribuer à la lutte contre la pauvreté. -
Elevage transhumant et mobilité transfrontière dans la vallée du Niger. Cas de la frontière Bénin-Niger
Le présent document porte sur l'élevage transhumant et la mobilité transfrontière dans la vallée du Niger. Il traite comme exemple le cas de la frontière Bénin-Niger. -
Consultation internationale pour la réalisation d’une étude de mise en place d’un système de suivi des mouvements et stratégies d’adaptation spatiale des éleveurs transhumants en zone sahélienne (Niger)
L’étude de mise en place d’un système de suivi des mouvements et stratégies d’adaptation spatiale des éleveurs transhumants dans la zone d’intervention de la phase pilote au Niger du projet de surveillance pastorale en Afrique subsaharienne (Départements d’Abala, de Banibangou et de Filingué) a été exécutée dans un contexte particulier caractérisé par des conditions climatiques et environnementales peu favorables au développement, une précarité notoire des institutions administratives et des organisations communautaires, une absence des infrastructures socio-économiques dans la zone pastorale, la non maitrise du volume et des flux des ressources animales, une authenticité affichée des cultures des populations pastorales, et des conditions sécuritaires critiques qui pénalisent fortement les éleveurs transhumants. -
Rapport du voyage d’échange des acteurs de la pêche du Niger au Centre national de spécialisation de la pisciculture au Nigeria
Les Programmes de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO ou WAAPP en anglais) ont été mis en place par la CEDEAO avec l’appui de la Banque Mondiale. Ils concernent actuellement 13 pays de la CEDEAO dont le Niger et le Nigeria. Ils ont pour objectif d’augmenter la productivité des filières prioritaires de chaque pays en favorisant l’élaboration de technologies par la recherche, le transfert des technologies et de créer dans chaque pays un Centre national de spécialisation (CNS) sur une filière prioritaire avec vocation régionale. Aucun pays de la CEDEAO n’a les ressources suffisantes pour être performant sur toutes les chaînes de valeur, aussi dans le cadre de l’intégration régionale en matière d’agriculture, d’élevage et d’aquaculture, chaque pays peut se spécialiser sur un produit ou un groupe de produits et faire bénéficier les autres pays de ses résultats. -
Assistance technique en statistiques de l'élevage au Niger : une analyse descriptive des résultats des enquêtes tests sur le recensement du cheptel nomade et transhumant et la productivité du cheptel dans les communes de Kao et Kornaka
L'élevage est l'un des secteurs clés du Niger, représentant 40% du Produit Intérieur Brut (PIB) agricole et 11% du PIB global. Il emploie environ 87% de la population active et est pratiqué par presque tous les ménages en zone rurale. Par conséquent, disposer de statistiques plus précises sur le cheptel au Niger aiderait à mettre en œuvre de meilleures politiques et à suivre les différents programmes mis en place par le gouvernement et les autres partenaires internationaux. -
Réactualisation du profil de Moyens d’Existence : Zone pastorale de Bermo/Bororo dans la région de Maradi au Niger
Au Niger, les conditions de vie et de production de nombreux éleveurs se sont dégradées sous l’effet de plusieurs contraintes: les crises climatiques, les prix non incitatifs à la production et à la vente, la persistance de certaines maladies, la faible productivité, le faible investissement public et privé, l’insuffisance de l’alimentation, le faible encadrement technique, le manque d’organisation des acteurs, les conflits croissants avec les agriculteurs dont les champs empiètent de plus en plus sur les zones de pâturage, l’urbanisation et enfin l’insécurité physique dans les zones reculées. Ces différentes contraintes influent sur la dégradation des termes de l’échange bétail/céréales et de l’appauvrissement des pasteurs. -
Premières Rencontres CIGAP (Convergence Inter Générationnelle pour l’Avenir du Pastoralisme)
Le rapport du 1er Salon CIGAP (Convergence Inter Générationnelle pour l’Avenir du Pastoralisme) est organisé autour des défis qu’il a relevé en réunissant pendant trois jours 17 jeunes de 7 pays, 4 anciens leaders du pastoralisme et l’équipe de coordination du RBM. Cette rencontre s’inscrit dans un processus démarré en Mai 2019 par le RBM et appuyé par le partenariat entre le Fondation Peace Nexus et la SNV via le programme MOPSS. L’objectif du processus est d’accompagner une nouvelle génération de leaders du pastoralisme transhumant à travers l’Afrique de l’Ouest, pour construire avec eux l’avenir du pastoralisme et des Organisations Professionnelles. -
Fiche 3 : Composition et structuration des OIP
Le schéma organisationnel des acteurs impliqués dans les filières agricoles présente plusieurs types d’organisations. Si pour les organisations professionnelles que constituent les groupements, associations paysannes, coopératives, organisations de producteurs (OP) etc., le problème semble ne pas se poser en ce qui concerne la compréhension de leur composition parce qu’elles regroupent des acteurs d’une même fonction (regroupement horizontal) ; ce n’est pas le cas pour les organisations interprofessionnelles (OIP) dont le type de regroupement des acteurs est vertical. Qui peut être membre d’une OIP ? Comment sont identifiés les acteurs pouvant constituer une OIP ? De façon globale, cette fiche « Composition et structuration des OIP » vise à clarifier la question de la composition et de la structuration des OIP. Spécifiquement, elle mettra l’accent sur les catégories d’acteurs rencontrées dans les OIP, la structuration des OIP ainsi que les rôles et responsabilités des organes et des membres. -
Implication des éleveurs transhumants dans la gestion des terroirs
De plus en plus les programmes de développement rural sont basés sur une participation active de la part de la population au processus d'analyse jusqu'à l'exécution des activités. Néanmoins, les pasteurs mobiles ont souvent été ignorés et de plus en plus mis à l'écart par ces programmes visant le plus souvent la gestion des ressources naturelles par ses utilisateurs (Greil, 1995). La question posée par Marty (1993) "La gestion de terroirs : un outil d'exclusion ou de négociation ?" est prise en compte par PADATA (= Programme d'Appui au développement de Damagaram-Takaya) en incluant dès le début tous les groupes d'utilisateurs dans le processus d'organisation et d'analyse de la problématique. PADATA a opté pour une stratégie dite de "table ronde » : - afin d'intégrer tous les groupes partageant les mêmes ressources naturelles ; - et afin de préparer tous les groupes à des discussions et à des négociations sur un pied d'égalité. -
Dossier de capitalisation : accompagner la mobilité du bétail en Afrique de l’Ouest
L’élevage de ruminants en Afrique de l’Ouest se caractérise par son caractère éminemment mobile. Parfois considéré comme archaïque et dévastatrice pour l’environnement, il a été démontré depuis les années 1980 (Horowitz, Sandfords, Scoones) que cette mobilité était indispensable et parfaitement adaptée au climat structurellement instable en Afrique de l’Ouest. Stratégie optimale pour accéder aux différentes ressources en eau et en pâturage disséminées ici ou là en fonction des pluies, la mobilité est garante de la survie des troupeaux, d’un accroissement de la productivité (Thébaud, Corniaux, 2011). L’étude menée auprès de 386 familles dans le cadre du projet BRACED a permis de démontrer que les familles parties en transhumance ont pu préserver leur cheptel contrairement à ceux n’ayant pas pu se déplacer (10 constats sur la mobilité du bétail en Afrique de l’Ouest, BRACED-AFL, constat n°4, p.13). -
SUSTLIVES : Coordination et alignement avec DeSIRA et sur la planification et les priorités de l’Union Européenne
Le projet SUSTLIVES a délimité son champ d’intervention (à travers le choix des NUS et des sites) durant la première année et, sur cette base, durant la deuxième année il a, d’un côté, renforcé le dialogue stratégique entamé, notamment avec le CIRAD et le Roppa (Réseau des Organisations Paysannes et de Producteurs de l’Afrique de l’Ouest), et, de l’autre, approfondi la collaboration opérationnelle avec d’autres acteurs, comme le CGIAR (Consultative Group for International Agricultural Research) et l’Agence Espagnole de Coopération au Développement (AECID) dans le cadre d’initiatives déjà identifiées. -
Transhumance et gestion des ressources naturelles au Sahel : contraintes et perspectives face aux mutations des systèmes de productions pastorales
Ce travail fait une situation de référence de la pratique de la transhumance et des perspectives face aux grandes mutations des systèmes de production pastoraux en cours. Le travail a consisté à effectuer des travaux d’enquêtes à passage unique chez 111 transhumants de la région du Sahel. Ces enquêtes ont été couplées avec des interviews semi-structurées auprès de 16 personnes ressources des services techniques, ONG/Associations travaillant avec des transhumants. Les investigations ont montré que la transhumance est due en majeurs partis aux déficits en ressources fourragères et hydriques (88 %). Le calendrier, l’itinéraire suivi et les temps de séjour dépendent de la disponibilité des ressources pastorales des zones d’attache, de transit et d’accueil.