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Transformation des céréales : hygiène et techniques
Ce livret de l' apprenant constitue un guide/ un référentiel de base pour les membres des OP sur tout ce qui a trait aux techniques de transformation des céréales au Niger.
Thèmes développés :
1 -- Définition des céréales
2 -- Conditionnement
2.1 -- L’emballage
2.2 -- L’étiquetage
3 -- Équipements
4 -- Bonnes pratiques (higiène, fabrication, conservation , emplacement...).
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Les céréales au Niger
Ce livre est publié comme un rapport basé sur des études et recherches effectuées au Niger dans le cadre du projet de collecte d'information de base « Recherche sur la Culture de Subsistance » pour les pays en voie de développement. Selon le rapport de zone d'agroécologie de la FAO, beaucoup parmi les régions sous activité agricole au Niger sont situées sous les tropiques semi-arides dont la période de possibilité culturale est de 75 à 120 jours, et où la température mensuelle moyenne est au-dessus de 18 ℃ tout au long de l'année Au plan mondial, 55 pays sont situés dans la zone tropique semi-aride où vivent 1,4 milliard de personnes. 40 % d'entre eux sont des démunis gagnant moins de 1 dollar par jour et 70% d'entre eux résident en zones rurales. La précipitation moyenne annuelle dans ces zones est de 500 à 700 mm, ce qui est très bas et ce n’est peut-être pas exagéré de les considérer comme des régions marginalisées où se pratique une agriculture dépendant entièrement de la pluie. -
Produire des semences de céréales dans un itinéraire agrobiologique
Cette présente fiche porte sur la production des semences de céréales dans un itinéraire agrobiologique -
Production de semences améliorées dans la région de Tillabéri - Note de travail n°2
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Tillabéri est engagée dans les activités prévues par le Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques (PASEC). Dans le cadre du PASEC, il est attendu que la CRA fournissent des informations aux producteurs et productrices. Afin de préparer une information précise, la CRA a regardé les disponibilités en semences pour la campagne 2018 dans la région de Tillabéri à partir des données de « l’Annuaire National 2018 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger » élaboré par le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage. Cette note présente les structures qui ont produit des semences améliorées dans la région de Tillabéri et des informations sur les points de vente. -
Rencontre du comité de pilotage du projet d’Appui au Stockage de
Sécurité Alimentaire en Afrique de l’OuestLe Forum PRESAGG 2020 organisé par le Centre Régional AGRHYMET s’est appesanti sur les Prévisions Saisonnières dans les Pays du Golfe de Guinée. De ces concertations, on peut retenir que des dates de début de saison tardives à équivalentes à la moyenne de la période de référence (1981-2010) sont prévues sur la majeure partie du sud de la Côte d’Ivoire et le sud-ouest du Ghana. Par contre, des débuts de saison précoces à équivalents à la moyenne sont très probables sur le sud-est du Ghana, les moitiés sud du Togo, du Bénin et l’extrême sud-ouest du Nigeria. Pour le reste, du sud du Nigeria, les perspectives ne sont pas encore claires ; Malgré la poursuite de la maladie du coronavirus qui continue de sévir, l’approvisionnement des marchés a été beaucoup plus fluide qu’au mois passé. -
Du pain composé avec moins de blé importé et plus de farines locales, actuellement un espoir déçu ?
Pourquoi cette note ? Le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) a demandé au Centre d’appels du RECA de préparer une émission radio sur le « pain composé », un pain associant de la farine de blé (importée) avec des farines locales (mil, sorgho ou niébé). Pour préparer cette émission l’équipe technique du RECA a commencé par faire le tour des boulangeries dont le personnel a été formé grâce à l’appui du PPAAO pour la fabrication de pain composé. Cette note présente les premières observations faites dans le cadre de ce travail.
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La production de céréales et de niébé en Afrique de l’Ouest, et la place du Niger
Le volume des céréales a été multiplié par 2,9, passant de 16 millions de tonnes en 1980, à 49 millions de tonnes en 2006, pour atteindre la barre des 52 millions de tonnes en 2009 (CILSS, 2009). En général, le rythme d’accroissement des productions agricoles estimé à environ 4% est supérieur à celui de la population, estimé à 2,6%. Dans le cas des céréales, l’augmentation des productions s’explique par le doublement des surfaces cultivées, alors que les rendements ne progressent que de 14%. -
La typologie des marchés céréaliers du Niger
Le Système d’information sur les marchés agricoles (SIMA) du Niger date de 1989. Il est sous la tutelle du ministère du Commerce, de l’Industrie, de l’Artisanat et de la promotion du Secteur privé. Son budget de fonctionnement est assuré par l’État nigérien et la Commission européenne. Au total, le SIMA nigérien suit une quarantaine de produits sur 80 marchés, dont 60 fixes et 20 qui peuvent varier en fonction de leur niveau de vulnérabilité. Il suit également six marchés transfrontaliers. -
Marchés céréaliers Ouest-africains : Vers une dépendance croissante aux importations ou une souveraineté alimentaire régionale?
L’agriculture ouest-africaine se trouve aujourd’hui à un tournant. La production a globalement suivi la croissance de la demande alimentaire de ces trente dernières années. Mais elle l’a fait sur la base d’un modèle de production extensif, fondé sur l’accroissement des surfaces mises en culture. Ce modèle n’est plus reproductible en raison de la raréfaction des terres et de l’épuisement des sols. De nouvelles mutations structurelles vont transformer les sociétés africaines et impacter les conditions de l’approvisionnement et de la sécurité alimentaire, mais aussi les évolutions des agricultures et de leur insertion dans le marché au cours des vingt prochaines années. -
La typologie des marchés céréaliers du Niger
Cette note est tirée du Document de travail n°95 juin2010, intitulé «Prévenirles crises alimentaires au Sahel :des indicateurs basés sur les prix de marché». Ce document présente une étude réalisée par Catherine Araujo Bonjean, Stéphanie Brunelin, Catherine Simone du Centre d'Etudes et de Recherches sur le Développement international(CERDI)à la demande del’Agence française de Développement (AFD) -
Étude de faisabilité des périmètres irrigués dans la vallée de l’Irhazher et la Plaine du Tamesna (PAMPI/VI-PT)
Le Projet de développement du palmier dattier associé aux cultures céréalières et fourragères dans l'Aïr et l'Irhazer rentre dans le cadre du Programme Général de Développement de l'Agriculture dans l''Aïr et l'Irhazer. Il prévoit, en cinq années, d'aménager et de mettre en valeur 2000 hectares, principalement en cultures dattières, céréalières et fourragères. -
Profil des moyens d'existence : Région de Zinder, Magaria - zone centrale de cultures de céréales, de niébé et d'arachide
La zone de subsistance centrale de cultures de céréales, de niébé et d’arachide de Magaria est située dans le sud-est du département qui est entouré au nord par la zone de subsistance irriguée de Magaria/Kantché et au sud par la région qui longe la frontière entre le Niger et le Nigeria, à l’extrémité sud du département. Cette région était, autrefois, la première région de production d’arachide au Niger, ce qui explique qu’aujourd’hui l’arachide est la culture la plus associée à cette zone. Outre l’agriculture, les principales activités économiques sont l’élevage du bétail, le petit commerce et le travail indépendant comme la production d’huile d’arachide et la vente de bois de chauffage. -
Fondey kai i ga hima ka gana ka haamo alambaana dumiize hanney zaadandi nizeer laabo ra
Dumize zaadandiyaiJ wo goy no kaiJ ga naiJ alfarey duura ma tonton farmo do hare. Dumi kaiJ i mana goy, goyyaiJ hanno wala nongu kaiJ i mana soola, dumo din fattayaiJo gonda karha gumo ; a ga ganji alfaro ma du nafaa kaiJ a miile. Alfarey kulu ma du ga nafa nda dumi Alambaaney se no, INRAN saruuso nda laabo gaakasinayko yaiJ go ga gurjay alfarey baafuna ma boori, me-IJWaaro ma du ka ba gumo. INRAN saruuso no ga haggoy nda kuray nda farmi bol) ceeciceeciyaiJey Nizeer laabo ra. INTSORMIL mo, AMILKA laabo saruusi no kaiJ go ga INRAN gaakasinay a ma ceeci-ceeciyal) te hayni nda haamo dumey boiJ. WINROCK mo, sata no kaiJ ga alfari hina buuney gaakasinay i ma du meIJWaari wasante nda arzaka. -
Les cultures vivrières associées aux arbustes natifs : un modèle adapté au climat sahélien
Basé sur des cas d’étude au Sénégal, ce chapitre dresse le bilan de 15 années de recherches sur le fonctionnement des sols d’agrosystèmes associant plantes cultivées (mil arachide) et arbustes natifs au Sahel. Les travaux, publiés pour la plupart, ont montré que Guiera senegalensis et Piliostigma reticulatum redistribuent l’eau dans le sol, stimulent les microorganismes du sol et génèrent des îlots de fertilité au bénéfice de la culture associée. Ainsi, les rendements des cultures sont augmentés, y compris en absence de fertilisants : jusqu’à +137 % pour le mil en présence de P. reticulatum à Nioro-du-Rip. Cela justifie l’intérêt de maintenir ces arbustes dans les champs en appliquant une gestion agroécologique.