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Etude de marche des produits de la transformation du niébé
La SNV Niger met en oeuvre un « Projet d’amélioration de la transformation du niébé dans les régions de Zinder, Maradi, et Dosso », qui a pour ambition d’améliorer les capacités des femmes, dans la transformation et surtout de rendre les produits issus de la transformation du niébé accessibles et compétitifs sur les marchés. Elle se positionne spécifiquement sur le maillon transformation du fait de la grande valeur ajoutée que cela engendrera : Les avantages de maillon sont multiples : lutte contre l’insécurité alimentaire ; amélioration des revenus des acteurs, notamment les femmes ; création d’emplois et amélioration de la nutrition. Le contexte est favorable pour au moins trois raisons : (i) le niveau de structuration des groupements des femmes au niveau des villages et quartiers (ii) la disponibilité d’un matériel minimum ; (iii) l’expérience permettant de disposer déjà d’une gamme variée de produits transformés dont, le spaghetti, le couscous, le Wassa-Wassa, divers gâteaux et farines (pour beignet, Dan Waké, diabétique, nourrissons). Ceci constitue un levier important pour l’intervention de la SNV. -
Rapport provisoire :Etude de marchés et de débouchés pour les produits dont les filières seront appuyées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet P2RS
Le Niger a obtenu du Fond Africain de Développement (FAD) , le financement du projet1 du programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaires et Nutritionnelle au sahel (P2RS) -
Processus d'ingénierie civil dans le cadre de la réhabilitation des marches de demi-gros et centres de collecte
Pour arriver à la construction et à l’opérationnalisation de ces marchés et centre de collecte, le projet a fait valoir sa stratégie qui repose sur une démarche de concertation entre une ingénierie sociale composée des acteurs des marchés "Hadin Gwiwa", et une ingénierie civile pilotée par la cellule infrastructure du projet. Après un processus, d’animation et de dialogue avec les cadres locaux de concertation qui mènent l’ingénierie sociale, un choix a été opéré pour démarrer l'ingénierie civile pour les marchés de demi gros autour des Pôles de Développement Economique (PDE) de Tessaoua, Sabon Machi et Djirataoua. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (4)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise d’embouche en milieu pastoral » et se déclinent comme suit : Embouche bovine - Embouche ovine -Commercialisation des animaux embouchés. -
Étude régionale sur les contextes de la commercialisation du bétail / accès au marché et défis d'amélioration des conditions de vie des communautés pastorales
Dans le cadre de ses orientations actuelles, la SNV met en œuvre une approche d’appui conseil et de développement et partage de connaissances, afin de contribuer par là à la réduction de la
pauvreté. La région SNV Afrique de l’Ouest et Centrale (SNV-AOC)1 a choisi, entre autres, le secteur « Elevage/Pastoralisme » comme un de ses secteurs privilégié de réflexion et d’action. Chacun des pays concernés (le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali et le Niger) met en oeuvre des activités qui participent à la concrétisation d’une stratégie régionale « Elevage/ Pastoralisme », adoptée en Mars 2008, qui focalise particulièrement deux filières : (i) la filière « bétail sur pied » et la filière « lait ». -
Évolution du marché de l’oignon en Côte d’Ivoire à partir des informations contenues dans les « Bulletin sur le Marché de l'Oignon de l’OCPV».
Cette note présente la situation chronologique des approvisionnements en oignons sur le marché de la Côte d’Ivoire à partir de la lecture des informations contenues dans les « Bulletin sur le Marché de l'Oignon en Côte d'Ivoire ». -
Guide d'information sur le commerce des engrais en Afrique de l'Ouest
Ce guide contient les dernières statistiques nationales sur la production, le commerce et l’utilisation des engrais, des cartes et des profils actualisés des installations de production et de mélange d’engrais, ainsi que les procédures et les coûts logistiques qui contribuent à la formation du prix des engrais du port à la ferme. Pour encourager l’utilisation judicieuse d’engrais de qualité, de nouveaux laboratoires accrédités s’appuient sur les réglementations régionales des engrais et les normes d’étiquetage et d’emballage applicables en Afrique de l’ouest, tandis que la diffusion de paquets d’intrants agricoles adaptés aux différentes zones agroécologiques favorise leur utilisation optimale par les producteurs ouest-africains. -
Marchés céréaliers Ouest-africains : Vers une dépendance croissante aux importations ou une souveraineté alimentaire régionale?
L’agriculture ouest-africaine se trouve aujourd’hui à un tournant. La production a globalement suivi la croissance de la demande alimentaire de ces trente dernières années. Mais elle l’a fait sur la base d’un modèle de production extensif, fondé sur l’accroissement des surfaces mises en culture. Ce modèle n’est plus reproductible en raison de la raréfaction des terres et de l’épuisement des sols. De nouvelles mutations structurelles vont transformer les sociétés africaines et impacter les conditions de l’approvisionnement et de la sécurité alimentaire, mais aussi les évolutions des agricultures et de leur insertion dans le marché au cours des vingt prochaines années. -
Le moringa, une demande forte, une offre insuffisante
Le moringa c’est el maka en haoussa et windi boundou en djerma. En ce mois de septembre, il faut voir les véhicules chargés de sacs de feuilles de moringa pris d’assaut par les détaillantes sur les marchés de Niamey. Pourtant c’est la saison des pluies, la pleine saison de production. Il faut dire que les habitants de Niamey sont de très gros consommateurs de cette feuille riche en vitamines, fer et autres éléments minéraux, et aussi en protéines. Ils ont raison, car 100 grammes de feuilles fraîches de Moringa apportent autant de protéines qu’un œuf, autant de calcium qu’un grand verre de lait et autant de fer qu’un morceau de viande. Et 100 grammes de feuilles de moringa ce n’est pas beaucoup. Fin août 2010 un tas de feuille fraiche de moringa se vend à 400 F.CFA au petit marché de Niamey, un tas qui pèse… 2,5 kg environ. Cela en fait des œufs et des verres de lait ! -
Étude de marché et de débouchés pour les produits dont les filières seront appuyées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet P2RS
Le présent document présente les activités agro-pastorales des communes d'Aderbissinat et Mainé Soroa. -
Étude de faisabilité du projet d'aménagement et de mise en valeur des périmètres irrigués dans la vallée de l'Irhazer et la plaine du Tamesna : étude de marché des filières de commercialisation des produits animaux dans la région (version définitive)
Le Niger a adopté en novembre 2003 une Stratégie de Développement Rural (SDR) qui constitue le cadre de référence national en matière de développement rural et d'environnement. La SDR compte quatorze (14) programmes, dont dix (10) programmes structurants et quatre (4) programmes prioritaires. -
Étude sur la commercialisation du niébé
La présente étude a pour objectif de faire un diagnostic approfondi du fonctionnement des circuits de commercialisation, d'en analyser les contraintes majeures et les opportunités offertes, de proposer un programme d'actions qui aboutira à la rationalisation de la commercialisation du Niébé. -
Note de conjoncture sur les politiques de production et d'échanges dans les pays du CILSS
La suite du présent rapport comprend trois chapitres et une conclusion. Les trois chapitres traitent respectivement de l'évolution des politiques et des échanges dans chaque sous espace (Centre, Est et Ouest). Ils font l'analyse des politiques et des échanges pour les filières retenues dans chaque pays, ainsi que la synthèse de la situation du sous-espace considéré. -
Les systèmes agroalimentaires en Afrique
Les infrastructures « de marché », c’est-à-dire les infrastructures d’approvisionnement et de distribution alimentaires, sont un important levier d’amélioration de la durabilité des systèmes alimentaires. Sont définies ainsi les infrastructures, tant physiques qu’institutionnelles, qui permettent de faire le lien entre les producteurs et les consommateurs, entre offre et demande (schéma 1.1). Concrètement, il s’agit de tout type d’infrastructure physique ou institutionnelle nécessaire pour se faire rencontrer physiquement et contractuellement offre et demande : marchés urbains et ruraux, infrastructures de stockage et de regroupement, détaillants et marchés de gros, supermarchés et infrastructures de transport ; mais aussi normes de qualité et systèmes d’information sur les prix, technologies de l’information et de la communication (TIC), modes de contractualisation et organisation de la concurrence, régulation nationale et internationale. -
Les boutiques d'intrants agricoles
La présente fiche de bonne pratique s'adresse aux acteurs concernés par les boutiques d'intrants, notamment les organisations paysannes faîtières et de base, les producteurs et productrices, ainsi que les partenaires et autres acteurs du développement. L'objectif de cette fiche est de décrire la boutique d'intrants en tant que bonne pratique au Niger et d'encourager les organisations paysannes et acteurs du développement à adopter ce mode de distribution d'intrants afin d'en garantir une meilleure disponibilité pour les producteurs et productrices. -
Note d'Information
Le ProDAF. dans son approche (Pôle de Développement Economique/ POE », vise à créer une dynamique économique autour des infrastructures de marchés opérationnelles en favorisant l'accès des produits agricoles à un prix abordable pour le consommateur/acheteur et rémunérateur pour le producteur. En effet, ces marchés sont au cœur des PDE et facilitent te développement local des différentes entités y afférents. C'est pourquoi, il est prévu notamment la construction de Centres de Collecte Satellite (CCS) et Plateformes de Commercialisation (PFC) des produits agricole" et de mettre de place des dispositifs de gestion en vue de créer un cadre adéquat pour les échanges commerciaux. A la date du 31 mai 2020. les 3 PFC (Bandé, Doungou et Guidimouni) et 2 CCS (Babban Ruwa, Zarmou) sont opérationnelles avec des structures de gestion (cadre de concertation / Hadil! Gwiwa) mises en place et formées depuis le démarrage du processus de construction de ces infrastructures (ingénierie sociale). Le CCS de Gassafa dont la réception provisoire est prévue en juin sera bientôt opérationnel. De ce fait. il est indispensable de poursuivre l'accompagnement des acteurs des marchés pour qu'ils prennent conscience de leur rôle central afin qu'ils puissent mieux développer leurs capacités en matière notamment d'initiatives et d'autonomie ainsi que de promotion des organisations des paysans; Ce qui leur permettra ainsi d'être plus actifs dans le fonctionnement du
cadre de gestion des marchés et favorisera l'atteinte du principal objectif escompté. A cet effet, l'ingénierie sociale apparait alors. comme préalable à toutes les interventions, notamment la pérennisation des infrastructures qui concourent à la création des conditions d'une meilleure commercialisation des produits agricoles.
La présente note d'information a pour objectif de contribuer à l'analyse de l'opérationnalisation des marchés construits avec leurs dispositifs innovants de gestion afin dc tirer les leçons et adapter au besoin le montage pour les prochaines infrastructures à mettre en place par le ProDAF. -
Filière poivron à Diffa, un vrai pôle économique, un potentiel de croissance, mais quoi et qui appuyer ?
Le Programme d’Appui au Secteur Rural (PASR) est le troisième financement de la Coopération danoise dans les régions de Diffa et Zinder. Cette communication n’a pas pour objet de vous raconter l’histoire de ces interventions mais d’aborder les problèmes de « mémoire », de capitalisation et d’appropriation de ces interventions. La nouvelle corde se tisse sur l’ancienne dit un proverbe, encore faut-il que quelqu’un ait pris soin de garder l’ancienne corde. -
Profil des moyens d'existence : Région de Zinder, Magaria - zone centrale de cultures de céréales, de niébé et d'arachide
La zone de subsistance centrale de cultures de céréales, de niébé et d’arachide de Magaria est située dans le sud-est du département qui est entouré au nord par la zone de subsistance irriguée de Magaria/Kantché et au sud par la région qui longe la frontière entre le Niger et le Nigeria, à l’extrémité sud du département. Cette région était, autrefois, la première région de production d’arachide au Niger, ce qui explique qu’aujourd’hui l’arachide est la culture la plus associée à cette zone. Outre l’agriculture, les principales activités économiques sont l’élevage du bétail, le petit commerce et le travail indépendant comme la production d’huile d’arachide et la vente de bois de chauffage. -
Mallanville-Gaya : comptoir commercial et couloir de spéculations (Pays-Frontière de l'informel)
La situation de pays enclavé constitue un handicap majeur au développement des échanges. Elle réduit les avantages qu’offrent les marchés internationaux en rendant moins compétitifs les produits du pays à l’exportation tandis qu’à l’opposé elle augmente le coût de ses importations. Pays en sandwich entre le Sahara et le Sahel mais gratifié de sept frontières1, le Niger devait pouvoir constituer l’exception qui confirme la règle mais… la porosité de ses frontières, l’incivisme fiscal de ses opérateurs économiques, la corruption et les insuffisances structurelles de son administration des frontières, l’inorganisation des filières commerciales, la contrebande à grande échelle… réduisent le gain que devaient rapporter ses sept portes commerciales en peau de chagrin. Le Niger, réduit à acheter plus qu’il ne vend, dépend énormément des marchés extérieurs et notamment de son axe sud vers la côte (Bénin, Togo, Ghana, Côte d’Ivoire). L’axe Gaya-Malanville, en principe route commerciale internationale n°1 du Niger, assure pourtant difficilement la concurrence face à l’informel et la contrebande orchestrée à grande échelle par les commerçants nigérians qui ne se suffisent pas de l’axe Maradi-Katsina-Kano, essentiellement bilatéral, Niger-Nigeria. -
Conservation des légumes feuilles et des fruits
Coupez en tranches les fruits (mangues, ananas, bananes) aux trois quarts mûrs, étalez-les en couches fi nes sur une feuille de polythène noire placée sur une plate-forme surélevée et laissez-les sécher au soleil jusqu’à ce que les tranches deviennent croustillantes. -
État des lieux de la filière cuirs et peaux du Niger et identification des possibilités de création d'alliances productives des acteurs de la filière dans les 5 bassins de production
La présente mission qui intervient quelques mois après le démarrage du programme PCAO-Niger, s’inscrit dans le cadre de l’Identification des possibilités de création d’alliances productives des acteurs de la filière cuirs et peaux dans les 5 bassins de production et état des lieux de la filière. Elle permettra de préparer la mise en place des alliances productives dans les 5 grands bassins de production du Niger que sont Zinder, Tahoua, Maradi, Niamey et Agadez, ainsi que de faire un état des lieux de la filière C&P. -
Déclaration des Jeunes Ambassadeurs du Pastoralisme
L’édition 2021 du CIGAP a accueilli plusieurs thèmes chers aux JAP : l’épanouissement professionnel, la génération de revenus garantissant l’autonomie, la promotion d’initiatives permettant de concilier développement économique et contraintes écologiques, la possibilité d’accéder non seulement à un emploi décent, mais aussi à la reconnaissance sociale et aux services essentiels (éducation, formation, santé, loisirs, culture, connectivité, vie sociale, etc.) permettant aux jeunes de vivre dignement et de se sentir bien dans les zones pastorales, tout en contribuant à leur développement. Ces thématiques ont été décortiquées, analysées en profondeur, repensées et testées par vingt et un (21) jeunes hommes et femmes engagé(e)s pour la cause du pastoralisme au sein du mouvement des JAP, en interaction avec leurs ainés du Réseau Billital Maarobe (RBM) et des personnes ressources impliquées dans le processus des JAP. -
Étude de l’impact de la hausse des cours du lait et des produits laitiers sur les producteurs et les consommateurs
Le lait et les produits laitiers importés sont restés à des prix largement compétitifs par rapport au lait local et cette situation n’a pas été favorable à la mise en place de politiques de soutien à la filière laitière nationale, d’autant que les volumes étaient facilement accessibles sur le marché international. Cette situation a contribué à la paupérisation des éleveurs : faible optimisation de la production laitière dans les revenus des producteurs, incapacité à subvenir à leurs besoins de base, à investir pour améliorer leur production. -
Fiche technico-économique pour la culture de courge en saison sèche chaude
La courge, « KABEWA » en Haoussa ou « LABTENDA » en Zarma, est une spéculation que l’on cultive principalement dans les bassins de production des départements de Doutchi (Matankari, Makera II, et Kolifo)) et de Falmey (Boumba Bossia, Karey Kopto, Birgamba, Talan Tégou). La courge peut être cultivée toute l’année, mais cette fiche concerne la culture de la courge en saison sèche chaude dans la région de Dosso. -
Guide pratique sur les boutiques d’intrants : volume 2, organisation et fonctionnement de la boutique d'intrants agricole
Au Niger, les producteurs et productrices agricoles ont des difficultés à s’approvisionner en intrants de qualité pour fonder des systèmes productifs durables. La non disponibilité réelle en intrants au bon moment, au bon endroit et en petits conditionnements est l’une des principales causes de la faible utilisation des intrants par les producteurs et productrices. -
Guide pratique sur les boutiques d’intrants : volume 1 , Présentation de la boutique d’intrants agricoles
Ce premier livret présente la boutique d’intrants agricoles, il est complété par deux autres : l’un porte sur l’organisation et le fonctionnement de la boutique d’intrants agricoles et l’autre sur la gestion de la boutique d’intrants agricole. -
Plan d'affaires de la Fédération SA'A de Maradi pour la commercialisation du souchet à l'export
Le marché du souchet est assez mal connu à cause de son développement récent ; c’est un marché émergent, aussi bien en termes de production qu’en termes de potentiel de marché. Le caractère limité de l’offre sur le marché est dû aux conditions climatiques particulières nécessaires pour la production du souchet. Au niveau international, l’on retrouve la production en Afrique du Nord et tropicale ainsi que dans une petite partie du Sud des Etats Unis. En Europe, l'Espagne est le seul pays producteur. Les principales zones de productions et de transformation sont localisées dans la zone nord de la « Huerta » de Valence et s'étendent sur 6.500 ha (Journal officiel des Communautés européennes – 3-7-1998). -
Guide sur la pratique du droit en matière de lutte contre les tracasseries dans le cadre de la commercialisation du bétail
Ce guide est essentiellement adressé aux membres des syndicats et organisations professionnelles de commerce de bétail, il l’est aussi à toutes personnes soucieuses d’appuyer les commerçants et les convoyeurs. Le guide sera donc un outil indispensable de plaidoyer pour les syndicats et organisations professionnelles des commerçants du bétail. -
Les marchés ruraux du bois de feu au Niger et l'autogestion locale des ressources naturelles : la problématique et les leçons actuelles de l'expérience
Ce document présente une synthèse provisoire au début de 1994 des travaux réalisés par le Projet Energie II - Composante Energie Domestique, Volet Offre (PE II / ED - VO) dans le cadre de la mise en application de la Stratégie énergie domestique, c'est à dire de la réforme sur la réglementation relative à la commercialisation et au transport du bois dans les grandes agglomérations et de la création des marchés ruraux du bois-énergie autour des quatre principales villes du Niger. -
Analyse du système de production et commercialisation des ressources naturelles dans les cuvettes oasiennes de Gouré
L’objectif principal de cet article est d’analyser le système de production et de commercialisation des ressources naturelles dans les cuvettes oasiennes de Gouré.