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Grain de Sel n° 76
La question de la faim est loin d’être réglée en Afrique. Ce numéro de la revue "Grain Sel" souhaite rendre compte avec, en toile de fond, une interrogation sur la capacité future à faire face aux crises alimentaires et la volonté partagée à sortir la sous-région de la sous-alimentation, avec ce qu’elle produit de désespoir, violence ou exodes. -
Adaptation au changement climatique : module de formation
Ce module aborde la notion du changement climatique, la définition de quelques concepts, les effets du changement climatique sur les secteurs clés et quelques stratégies d’adaptation. -
Schéma directeur d'aménagement hydraulique du Dallol Bosso
Cette étude sur le scéma directeur d'aménagement hydrolique du Dallol Bosso traite de la la géographie, du cadre hydrogéologique, du schéma géologique d'ensemble, de la climatologie de la pédologie et aptitude des sols, de la végétation etc; -
L’économie de la dégradation des terres en Afrique: Les bénéfices de l’action l’emportent sur les coûts
Le rapport passe en revue les données au niveau régional relatives aux coûts économiques de l’érosion des sols relative à la dégradation des sols. Il analyse également les limites et les défis de l’utilisation de ces données et les divergences qu’entrainent les diverses méthodologies. Le rapport aborde également l’approche méthodologique utilisée pour les estimations au niveau régional et l’analyse des coûts du bénéfice de l’action entreprise contre les pertes des nutriments induites par l’érosion des sols sur les terres arables exploitées pour la production des céréales et qui est un des aspects de la dégradation des sols. -
Économie de la dégradation des terres à Tahoua, Niger : Analyse coût-bénéfice des activités de récupération des terres (banquettes, demi-lunes et cordons pierreux) des quatre sites de la commune rurale de Badaguichiri
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Évaluation économique des pratiques de gestion durable des terres à Maradi, Niger - Régénération naturelle assistée, demi-lunes agricoles et tassa/zaï
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Évaluation économique de la récupération des terres dégradées dans les communes rurales de Simiri et de Namaro au Niger
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
ASAP (alerte précoce sécurité alimentaire)
ASAP is an online decision support system for early warning about hotspots of agricultural production anomaly (crop and rangeland), developed by the JRC for food security crises prevention and response planning anticipation. What - Frequent updates… -
WOCAT (World Overview of Conservation Approaches & Technologies)
WOCAT is a global network on Sustainable Land Management (SLM) that promotes the documentation, sharing and use of knowledge to support adaptation, innovation and decision-making in SLM. -
Bonnes pratiques villageoises dans les activités food for assets pour la résilience et la gestion durable des terres
La dégradation des terres réduit ou détruit la capacité des terres à produire (agriculture, foresterie, pastoralisme). Elle résulte d’activités humaines excessives ou inadaptées (surpâturage, mauvaise gestion des terres, prélèvement excessif de bois de feu et feu de brousse) entraînant ainsi l’érosion, la perte de fertilité et la salinisation des sols. La baisse de la productivité des sols en un mot.
Pour apporter une réponse au problème de la dégradation des ressources naturelles et améliorer leurs productions agro-sylvo-pastorales, les populations et les acteurs de développement estiment qu’il convient d’appliquer les techniques de récupération des terres à savoir :
• Les cordons pierreux;
• Les demi-lunes (agricoles et pastorales);
• Les banquettes (agricoles et pastorale)
• L’amendement à travers la fumure organique , les ordures ménagères; -
Bonnes pratiques agro-sylvo-pastorales d’amélioration durable de la fertilité des sols au Burkina Faso
La gestion de la fertilité des sols est un facteur moteur pour le succès de la production agricole dans les pays du Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS). Aussi de nombreux chercheurs se sont investis depuis des années dans ce domaine d’amélioration de la production agricole. Cependant le constat actuel est que les résultats de ces recherches restent encore faiblement diffusés et difficilement accessibles aux utilisateurs principaux.
Le CILSS avec l’appui de l’Union Européenne a entamé en 2008 « l’Initiative FERSOL», sur la capitalisation des actions d’amélioration durable de la fertilité des sols pour l’aide à la décision au Burkina Faso. Cette initiative s’inscrit dans une logique de développement de la production de connaissances et de renforcement des capacités des acteurs en matière de gestion des ressources naturelles et d'adaptation aux changements climatiques. Elle devrait ainsi contribuer à l’amélioration de la gestion des connaissances, de l’information et au renforcement des capacités des acteurs à travers la production et la mise à disposition des acteurs d‘outils d’information en Gestion Durable de la Fertilité des Sols (GDFS) -
Revue stratégique nationale faim zéro du Niger
Le Niger avec l’appui du Programme Alimentaire Mondial (PAM), s’est lancé dans la revue de sa stratégie nationale « Faim Zéro » pour l’atteinte de l’ODD2 : « Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable ».
Placée sous l’égide du Ministre d’État, Ministre de l’Agriculture et de l’Élevage elle a permis de :
-i) réaliser un état des lieux de la prévalence de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle et leur tendances évolutives;
- ii) analyser les liens entre l’ODD2 et la situation des autres ODD de l’Agenda 2030;
- iii) analyser la prise en compte des cibles et indicateurs de l’ODD2 dans les politiques publiques, les plans;d’actions et les projets d’investissement;
- iv) les enjeux et défis à relever et v) tirer des leçons de la revue.
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Récupération de terres : Le site de Guidda pour tirer des enseignements. Note de travail
Le site présenté est sur un plateau situé dans la Commune de Hamdalaye à 45 km de Niamey sur la route de Filingué, après Hamdalaye. La plaque routière porte le nom de Guidda. Il comprend des réalisations du Programme d’Actions Communautaires (PAC) -
Les systèmes de distribution alimentaire dans les pays d’Afrique méditerranéenne et Sub-saharienne
L’objectif est d’identifier des domaines prioritaires pour améliorer la capacité des systèmes de distribution alimentaire à répondre aux enjeux de sécurité alimentaire et sanitaire pour les populations urbaines de Rabat, Abidjan et Niamey. Nous nous appuyons sur une analyse des « food systems » combinant les comportements alimentaires, l’environnement alimentaire et les systèmes d’approvisionnement, caractérisés par leur organisation spatiale et relationnelle. Un échantillon de consommateurs et acteurs de différentes filières alimentaires et autorités publiques ont été enquêtés. Les problèmes d’accessibilité aux aliments des populations précaires apparaissent plus préoccupants que les problèmes de compétitivité des produits locaux. Nous recommandons une modernisation des marchés existants, de gros et de détail : amélioration du transport les desservant, protection physique des marchés, crédits aux PMEs du commerce et de la transformation. -
Manuel de Communication pour la Sécurité alimentaire
Ce manuel a été élaboré dans le cadre du Programme CE-FAO « Faire le lien entre l’information et la prise de décision pour améliorer la sécurité alimentaire », mis en œuvre par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et financé par l’Union européenne.
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Vulnérables mais résilientes : 15 bonnes pratiques développées par les populations du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.
En Afrique de l’Ouest, les producteurs agricoles évoluent dans un contexte climatique et économique souvent instable. Leur activité agricole, source principale de leur revenu et de leur alimentation, dépend de nombreux facteurs, plus ou moins maitrisables à leur échelle. Au fil du temps, la plupart ont mis en place des stratégies de gestion de ces aléas aussi appelés risques. Le risque lié à l’activité agricole peut prendre plusieurs formes : climatique et sanitaire, lié au prix ou au marché, institutionnel, financier, humain. La façon dont les populations rurales agricoles font face aux risques dépend d’une multitude de facteurs tels que leur décision en matière de production, la répartition du travail dans le ménage ou encore l’intervention de programmes publics. C’est pourquoi tous les productions ne sont pas égaux face aux risques. Une bonne gestion des risques dépend de la capacité de réaction de ces derniers et de leur exploitation et permet d’atteindre un état résilient qui se définit comme ‘’ la capacité d’un système, une communauté ou une société exposée aux risques de résister, d’absorber, d’accueillir et de corriger les effets d’un danger, en temps opportun et de manière efficace, notamment par la préservation et la restauration de ses structures essentielles et de ses fonctions de bases ‘’ (UNISDR ; 2009). -
Stratégies et mesures d’adaptation réussies en Afrique de l’Ouest
Déjà handicapés par une pression foncière croissante et une dégradation continue des terres, les producteurs ouest-africains font face à un défi supplémentaire : adapter leurs pratiques aux changements climatiques. En Afrique de l'Ouest, ces changements devraient se traduire par une augmentation du stress hydrique, l'extension des zones arides et, au bout du compte, une baisse des rendements agricoles (GIEC, 2013). Les rendements en céréales devraient baisser de 10 à 15% d’ici 2025, alors que 20% des populations sont déjà structurellement vulnérables et que les crises alimentaires sont régulières (CILSS, 2013). La situation est difficile, mais des techniques simples et efficaces peuvent être mises en oeuvre pour adapter les pratiques agricoles. -
Récupération de terres, visite de deux sites sur le plateau de Guelielh
Une note de travail sert à présenter un cas et à poser des questions, c’est donc une note provisoire qui sera reprise avec les éléments complémentaires qui pourront être récupérés. Cette note est écrite après plusieurs visites sur les sites entre 2015 et 2018. Le contenu de cette note n’engage que l’équipe technique du RECA et de la CRA Tillabéri. Les sites de « récupération des terres » visités sont sur un plateau se trouvant sur la commune de Youri (Région de Tillabéri), à l’Est de la route goudronnée au niveau du marché de la commune. La photo satellite ci-dessous indique quatre types d’aménagement réalisés entre 2014 et 2016. Ces quatre sites de récupération représentent une surface totale d’un peu plus de 350 ha. -
" Le Parfait Aménagiste Forestier " Gestion des espaces nus dans les systèmes forestiers de plateaux, de bas-fonds et de plaines sableuses : ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut surtout pas faire !
Ce guide propose une aide méthodologique et technique pour les intervenants en gestion simplifiée des forêts villageoises au Niger. Il répond à un besoin et à une demande exprimée par de nombreux agents forestiers et opérateurs techniques privés des ONG. Ces dernières années, la gestion des espaces nus (dans les formations forestières de plateaux, de bas-fonds et de plaines) se pratique de plus en plus de manière intensive sans que les intervenants disposent toujours des références scientifiques, techniques et méthodologiques nécessaires pour augmenter l’efficacité des actions mécaniques et de la réactivation des processus biologiques. -
Guide technique de l' agriculture
La présente documentation technique de la JGRC, composée de 8 guides, s'adresse aux techniciens impliqués dans la lutte contre la désertification par le biais des activités agricoles des communautés rurales.
En deux mots, les études de la JGRC se caractérisent par l'acquisition q de techniques de développement agricole
utilisant efficacement l'eau des oueds (cours d'eau dont l'écoulement se limite à la saison des pluies) dans les plaines d'inondation, ces dernières étant relativement fertiles mais peu utilisées, et w de techniques de
développement global et durable de l'agriculture, centrées sur la conservation des sols des terrains en pente douce et le rétablissement de la productivité des sols où se trouvent les villages. -
L’état de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture en Niger : premier rapport national
Ce rapport de pays a été préparé par les autorités nationales dans le cadre de la publication de la FAO intitulée L’État de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde. Ce rapport a été rendu disponible par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) à la requête de la Commission des ressources génétiques pour l’alimentation et l’agriculture. Les informations qui y sont contenues n’ont pas fait l’objet de vérifications de la part de la FAO, et les opinions qui y sont exprimées sont celles du/des auteur(s) et ne reflètent pas nécessairement celles de la FAO ou de ses membres. Les appellations employées dans ce produit d’information et la présentation des données qui y figurent n’impliquent de la part de la FAO aucune prise de position quant au statut juridique ou au stade de développement des pays, territoires, villes ou zones ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. La mention de sociétés déterminés ou de produits de fabricants, qu’ils soient ou non brevetés, n’entraîne, de la part de la FAO, aucune approbation ou recommandation desdits produits de préférence à d’autres de nature analogue qui ne sont pas cités. -
Grandes aires protégées des zones sahélo-sahariennes : quelle contribution à la conservation ?
Les grandes aires protégées d’Afrique de l’Ouest situées dans des zones arides, sont localisées dans les écorégions (WWF) « savane d’acacia sahélienne », « désert du Sahara » et « steppe et zone boisée du sud du Sahara ». Elles sont réparties dans cinq pays : le Burkina Faso (Réserve Sylvo-pastorale et partielle de faune du Sahel), le Mali (Réserve partielle de faune d’Ansongo Ménaka), la Mauritanie (Guelb er Richât), le Niger (Réserves naturelles nationales de l'Aïr et du Ténéré, de Termit et de Tin Toumma (en cours de création)) et le Tchad (Réserve de faune de Ouadi Rimé - Ouadi Achim).
Ces aires protégées ont généralement des superficies très importantes (1 500 000 ha au minimum chacune) et sont situées dans des zones où la densité de population est très faible. On peut très schématiquement les diviser en trois groupes : les aires protégées classées dans les années 1950-1970, qui ont perdu une grande partie de leur intérêt premier, et dont la question de la vocation se pose aujourd’hui ; les aires protégées classées plus récemment où des projets de nouveau zonage sont en cours, et enfin les nouvelles aires protégées en cours de création. -
Une disposition de banquettes originale mais… efficace Village de Dargué, Région de Maradi
Si l’on se réfère au « Recueil de fiches techniques en gestion des ressources naturelles et de productions agro-sylvopastorales1 », il existe deux types de banquettes : la banquette agricole sur glacis (longueur 80 m avec un écartement de 25 m entre deux lignes de banquettes) et la banquette agro-sylvo-pastorale sur plateau érodé (longueur 100 m avec un écartement 40 à 45 m entre deux lignes de banquettes). La banquette se compose d’un bourrelet à l’aval et d’un fossé à l’amont dans lequel sont implantées des espèces végétales (arbustives et/ou herbacées). -
Guide du Formateur sur « Les techniques de CES-DRS dans la petite irrigation »
Le présent guide s’inscrit dans le cadre des activités du programme de promotion de l’agriculture productive (PromAP) finance par la coopération allemande. Le PromAP à travers la composante 2, a prévu : « le renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation pour améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et prives dans le domaine de la petite irrigation. Quatre (4) thèmes sont développés à travers ce manuel à savoir : ✓ Adaptation au changement climatique; ✓ Lutte contre l’érosion hydrique; ✓ Lutte contre l’érosion éolienne; ✓ L’approche bassin versant -
Le sabara (Guiera senegalensis), espèce oubliée des programmes de revégétalisation des plateaux et glacis ?
L’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a publié des fiches techniques de production de plants de plusieurs espèces locales d’arbres et arbustes. C’est une occasion pour évoquer l’une de ces espèces locales qui porte le même nom en Haoussa et Djerma, le sabara, dont le nom scientifique est Guiera senegalensis – Peul : Gelohi, leleko ; Tamachek : assubara. Si vous cherchez la description de cette plante sur internet vous trouverez quasiment la même description sur la plupart des sites. C’est donc un arbuste de 1 à 5 m de haut, facilement reconnaissable à ses petites feuilles, vert clair, plus ou moins grises ou bleutées. -
Etude sur les réalisations des activités d’assistance alimentaire pour la création d’actifs productifs appuyés par le PAM et production d’un recueil des normes techniques et financières Partie 1 : Observations et réflexions sur des aménagements de restauration des sols
Ce rapport est un peu long, mais des fiches courtes et synthétiques sur les différents types d’ouvrages de restauration des sols existent déjà en grand nombre. Ce rapport est centré sur ce qui ne va pas, sur des résultats insuffisants, car c’est un document pour améliorer ; on améliore ce qui ne marche pas. Ce qui marche sert de référence pour ce que l’on veut améliorer. Mais pour cela il faut arriver à mieux comprendre les éléments à répliquer pour obtenir les résultats escomptés et les facteurs dont il faut tenir compte. Comme nous ne pouvons, en aucun cas, partir de l’hypothèse que les échecs rencontrés viennent des capacités des opérateurs, cela nous fait avancer l’hypothèse que d’autres facteurs rentrent en jeu. La restauration et la revégétalisation des sols … c’est technique et pas si facile que cela, autrement les résultats seraient nettement meilleurs. -
Ounoufa : Réaliser des banquettes entre d’anciennes banquettes, un risque pour un reboisement réussi.
Le plateau de Onoufa se trouve à la sortie de Niamey sur la route de Torodi, au niveau du poste de gendarmerie, après le péage. On y trouve les différentes techniques utilisées par le Programme de lutte contre l’ensablement du fleuve Niger (PLCE) : cordons pierreux, banquettes en terre, demilunes avec semis et plantations d’arbres. En 2007, sur la surface plane du plateau, il a été réalisé des banquettes avec plantation de gommiers (Acacia senegal) et de Bauhinia rufescens. Les arbres se sont bien développés (photo en haut, à droite) et un grand nombre atteint aujourd’hui 3 à 4 mètres après 7 ans et pourraient être exploités pour la production de gomme arabique. C’est aménagement est, à notre avis, une des plus belles réussites de reboisement d’un plateau dans la région Ouest du Niger. -
Techniques CES et DONNEES WOCAT au NIGER
Le Niger est peuplé de près de 10 millions d'habitants très inégalement répartis sur l'ensemble du territoire avec les ¾ concentrés au Sud du 16eme parallèle. La densité moyenne est de 6 habitants / km² avec une forte majorité rurale (84% en 2001) et un taux d’accroissement de la population estimé à 3,3% par an. Cette croissance démographique entraîne une pression sur les terres disponibles avec pour conséquence une accélération de la dégradation des sols et une extension des zones de cultures sur la zone pastorale (source de conflit). Cette problématique n'est pas seulement présente au Niger mais également dans la plupart des pays en voie de développement. Pour enrayer ce processus dans ces pays et plus précisément ceux de la sous-région, l'ensemble des acteurs a focalisé leurs actions sur la recherche, les tests et la vulgarisation des techniques et approches en vue de freiner la dégradation du milieu. Par-là il est également visé au travers de l'augmentation de l'infiltration en limitant l'érosion hydrique de minimiser les impacts des contraintes climatiques sur les productions. Toutefois, force est de constater que l'adoption de ces techniques par les producteurs reste faible et généralement incomplète (non-application des mesures d'accompagnement aux techniques CES/DRS). Les causes sont nombreuses mais elles révèlent souvent un manque d‘information sur les différentes techniques existantes, un manque de soutien auprès des paysans de la part des promoteurs de ces techniques, ceci est allié malheureusement à des approches Top-down mal adaptées et à une mauvaise maîtrise des techniques par les agents d'encadrement et une absence des outils de vulgarisation appropriée. -
Note d'information sur la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Suite aux sécheresses récurrentes et à la surexploitation des terres due à la démographie galopante, la région de Maradi connait depuis quelques décennies une dégradation accrue des terres cultivables. Pour faire face à cette crise écologique les communautés locales avec l’appui de l’Etat, du FIDA à travers le PDRA et PPILDA et d’autres bailleurs de fonds ont adopté la RNA qui est une approche novatrice pour la restauration des sols pauvres et l’intensification agricole. Elle consiste à épargner des rejets de différents arbres et arbustes au cours du défrichement des champs (en saison sèche ou saison des pluies). Au vu de l’importance des acquis capitalisés, et de l'adoption massive de la pratique par les producteurs, le PASADEM qui est la suite logique du PPILDA a retenu la promotion de la RNA à large échelle comme une de ses activités phares, avec un objectif de 90.000 ha. La stratégie de mise en oeuvre est le faire-faire qui met en contribution des ONG locales spécialisées dans la pratique à travers la signature des conventions de partenariat. -
Agriculture et conditions de vie des ménages au Niger
L’Institut Nationale de la Statistique "INS "a initié cette étude, en utilisant les données de l’ECVMA 2011, afin d’analyser le lien entre la pauvreté et l’agriculture. Le but est d’apporter aux pouvoirs publics et aux partenaires au développement d’autres pistes d’actions en faveur du développement en général et d’une réduction de la pauvreté dans le secteur agricole en particulier. -
Techniques de récupération des terres : cuvettes de plantation (zai)
Vidéo illustrant plusieurs techniques de récupération des sols -
Gestion durable des terres : n°1 : cordons pierreux
Vidéos illustrant les principes de réalisation d'un cordon pierreux
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Gestion durable des terres n°7 : demi-lunes
Vidéo illustrant la réalisation de demi-lunes pour la récupération des eaux
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La Ferme de Guié : le laboratoire des paysans du Sahel
Depuis 25 ans, la ferme de Guié, à 60km au nord de Ouagadougou au Burkina Faso, expérimente des techniques pour refertiliser les terres du Sahel et ça marche ! A retrouver dans C'est pas du vent sur RFI : http://www.rfi.fr/emission/est-pas-vent/ -
Irrigation de complément et information climatique pour garantir la sécurité alimentaire
Au cours des dernières décennies, la variabilité climatique au Sahel a montré la grande vulnérabilité des systèmes de production agropastorale. La production céréalière interannuelle fluctue en moyenne de 20 % depuis la fin des années 80. Une situation qui s’aggrave de plus en plus avec le changement climatique : fréquence accrue des événements climatiques extrêmes, récurrence et allongement des poches de sécheresse et forte incertitude concernant la date de démarrage et la durée de la saison culturale. Les techniques culturales et de conservation des eaux et des sols traditionnellement utilisées, comme le Zaï et la demi-lune, deviennent inefficaces en présence de poches de sécheresse fréquentes et longues.
Face aux défis multiformes liés aux changements climatiques, le projet « Irrigation et information climatique au Burkina Faso: de la recherche au renforcement des capacités institutionnelles et communautaires », financé par le Centre de recherches pour le développement international, a testé dans la région sahélienne du Burkina Faso deux stratégies innovantes : l’irrigation de complément et l’information climatique. Ces deux stratégies sont des priorités du Programme d’Action National d’Adaptation à la variabilité et au changement climatique développé en 2007.
Ce projet a été mise en oeuvre en collaboration avec la Fédération Nationale des Groupements Naam, l’Association Zood-Nooma pour le Développement et l’Association Régionale pour l’Irrigation et le Drainage qui ont joué le rôle de facilitateur et d’encadrement des paysans pilotes. Les partenaires techniques et scientifiques comme le Secrétariat Permanent du Conseil National pour l’Environnement et le Développement Durable, la Direction Générale des Aménagements et du Développement de l’Irrigation et l’Institut de l’Environnement et de la Recherche Agricole ont permis d’assurer le transfert des connaissances et expériences acquises dans le projet vers les décideurs politiques. -
Rapport d'étude d'impacts du SPIC-AIC dans la commune rurale de Galma Koudawatché (région de Tahoua) : aménagement de 25 ha de petits périmètres, et de réhabilitation de 2 seuils d’épandage à Kandam.
impacts de l'aménagement de 25 ha de petit périmètres à Galma Koudawatché Tahoua. -
Cultiver des haies vives pour protéger les sols
Cette vidéo montre comment cultiver et installer des haies vives pour protéger les sols
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Bandes antiérosives végétalisées dans un champ agroforestier
Note issue de 2 documents réalisés par l’APAF-Sénégal sur la restauration des sols -
L’intégration des concepts de résilience dans le domaine de la sécurité alimentaire : regards croisés
On observe depuis les années 2000 la volonté des acteurs de la sécurité alimentaire de rapprocher résilience et sécurité alimentaire. Ce rapprochement n’apparaît cependant pas si évident au vu de la diversité d’éléments de langages utilisés pour les associer. Cet article vise donc à faire un état des lieux de l’association de ces notions, voire de leur intégration mutuelle. L’application de la résilience à la sécurité alimentaire met elle en avant les mêmes dimensions que lorsqu’elle est appliquée aux systèmes socioécologiques ? Y aurait-il
ainsi plusieurs concepts de résilience ? Quels sont les apports en termes programmatique et analytique dans
le champ de la sécurité alimentaire ? Quels difficultés ou défis posent cette intégration ? Une analyse de la littérature a été menée à partir de références scientifiques ainsi que de documents de cadrage, de projets et
programmes produits par des institutions, bailleurs de fonds et ONG. Deux enjeux se dégagent de ce rapprochement : la mesure de la résilience et les apports de cette approche en comparaison d’autres telles que la gestion des risques et la réduction de la vulnérabilité. Par ailleurs, alors qu’elle n’a pas de portée normative concernant les trajectoires des systèmes socioécologiques, la résilience est intrinsèquement considérée comme positive dans le domaine de la sécurité alimentaire. Cette acception de la résilience soulève alors des problèmes politiques de définition de ce qu’est une trajectoire favorable. L’accent mis, avec la résilience, sur les trajectoires du système, permet toutefois de relier court terme et long terme, tant pour comprendre les perturbations que pour concevoir des interventions. Enfin, les caractères holistique et multiscalaire de la résilience se retrouvent dans l’ensemble de la bibliographie étudiée, constituant une « avancée » dans le
domaine de la sécurité alimentaire. -
Comment se construit l’invisibilité des populations pastorales au Sahel : l’expérience de la crise alimentaire de 2005 au Niger
Au Sahel, les systèmes d’information élaborés et perfectionnés depuis les années 1980 n’ont pas suffi aux politiques nationales et aux actions d’urgence internationales pour gérer la spécificité des populations pastorales. Cette inadéquation renvoie aux difficultés historiques des administrations à prendre en compte la gestion commune des ressources naturelles et la mobilité des troupeaux. Elle s’explique en partie seulement par les limites des systèmes d’information, le manque de moyens ou un défaut de coordination au sein des politiques nationales et régionales. À partir de l’expérience de la crise alimentaire de 2005 au Niger et d’une quinzaine d’années de travaux de terrain au Sahel, ce texte montre comment s’est construite « l’invisibilité » des pasteurs : d’un côté, les schémas de pensée sous-jacents aux systèmes d’information n’aident pas les politiques à gérer les spécificités au coeur de la reproduction des systèmes pastoraux. Mais, d’un autre côté, la stratégie d’évitement des populations pastorales qui leur a historiquement permis d’échapper aux contraintes exercées par l’administration les dessert aujourd’hui en compromettant leur capacité à peser sur des débats fondamentaux au sein de leurs pays. Au-delà, le cas singulier du pastoralisme mérite de susciter l’attention de recherches pluridisciplinaires et de politiques prenant en compte une gestion durable des espaces, des ressources et du vivant, dans un monde exposé à de profondes mutations économiques et climatiques.
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Améliorer la gestion des ressources naturelles pour la sécurité alimentaire en Afrique
Cet ouvrage porte sur l'amélioration de la gestion des ressources naturelles pour la sécurité alimentaire en Afrique -
Pratiques agro-écologiques : augmenter le potentiel d’un champ avec des cordons pierreux
Cette fiche technique montre comment réaliser des cordons pierreux -
Pratiques agroécologiques : augmenter le potentiel d’un champ avec des diguettes antiérosives filtrantes
Cette fiche technique montre comment réaliser des diguettes filtrantes -
Guide tropical
Ce document comprend un ensemble de fiches techniques de bonnes pratiques relatives à l'agriculture -
Usages, représentations, évolution de la biodiversité chez les Haoussa du Niger
Ce présent document porte sur les usages, représentations, évolution de la biodiversité chez les Haoussa du Niger -
La pratique de la gestion durable des terres : Directives et bonnes pratiques pour l’Afrique subsaharienne. Applications sur le terrain
La gestion durable des terres (GDT) est une approche d’ensemble qui possède un potentiel de transformation durable à court et à long terme. Mais qu’entend-on exactement par gestion durable des terres ? Quels en sont les principes et avant tout, quelles sont les pratiques que les gens peuvent utiliser ? En quoi est-elle vraiment différente et comment peut-elle apporter des solutions concrètes en Afrique ? Voici les questions clés abordées par cet ouvrage – les réponses sont ensuite fournies dans les études de cas et les analyses. -
Interactions du genre, de la biodiversité agricole et des savoirs locaux au service de la sécurité alimentaire - manuel de formation
Ce manuel de formation représente un guide conceptuel
pour les formateurs qui peut être utilisé pour les guider dans les questions de genre et de savoirs locaux qui sont des éléments importants pour la gestion de la biodiversité agricole et la sécurité alimentaire -
Contribution à la connaissance de la reproduction de quelques espèces d'intérêt halieutique dans le delta central du Niger
Des études bio-écologiques axées sur la reproduction des poissons ont été entreprises sur les principales espèces présentant un intérêt halieutique dans le Delta Central du Niger. Il s'agit de comprendre les caractéristiques du renouvellement des stocks dans cette région, soumise à des aléas climatiques, un effort de pêche élevé et sollicitée par de nombreux aménagements hydro-agricoles. -
Agro Biodiversité et élaboration d’un modèle architectural du palmier dattier au Sahel : cas du Sud Niger
Cette présente thèse porte sur l'agro biodiversité et élaboration d’un modèle architectural du palmier dattier au Sahel : cas du Sud Niger -
Profil de Moyens d’Existence: Agriculteurs Djerma-Zone Agricole Centrale - Département de Dosso
L’installation des premières populations djerma dans la zone et la fondation de la majorité des villages remonte à plusieurs siècles, le plus souvent datées du XIVe au
XIXe siècle. Ces populations étaient à la recherche de terres cultivables et de points d’eau mais parfois aussi en fuite et cherchant à échapper à des guerres tribales ou à la
traite des esclaves qui se manifestait principalement par des incursions Hausa en
provenance du sud. -
Revue détaillée des projets du portefeuille PIS sur la gestion durable des terres:
Cas du Niger
La revue détaillée au Niger des projets du portefeuille du Programme D’Investissement Stratégique (PIS)/TerrAfrica, dont l’objectif est de mettre en évidence les leçons, en particulier celles des sites pilotes et de démonstration, pour mieux comprendre les opportunités et défis de la mise à l’échelle de la gestion durable des terres (GDT), a été exécutée par l’équipe de consultants (Abdoulaye Sambo Soumaila, et Domitille Vallée) en trois étapes à travers (i) un atelier de lancement réunissant les trois projets et des représentants de la plateforme GDT organisé à Niamey le 22 juillet 2015, (ii) une mission de terrain réalisée dans les régions de Maradi et de Zinder du 23 au 27 juillet 2015 accompagnée d’un atelier de restitution des résultats de la mission de terrain (28 juillet 2015 à Niamey) auprès des projets, de la plateforme GDT et de partenaires de financement actifs dans le secteur de la GDT, et (iii) des travaux complémentaires de recherche documentaire à Niamey. -
Sustainable land management in practice
La terre est la véritable richesse de l'Afrique subsaharienne (ASS). La région se caractérise par une très riche diversité de écosystème les ressources, y compris les sols, la végétation, l'eau et la diversité génétique. Ensemble, elles constituent les principaux capitaux naturels. C'est à partir de ces actifs que la fourniture de nourriture, d'eau, de bois, de fibres et de produits industriels, les services et fonctions essentiels des écosystèmes en sont dérivés. Et ils doivent être maintenus afin de soutenir les populations dans l'avenir. En même temps, c'est de la terre que 60 % des gens tirent directement leurs moyens de subsistance - de l'agriculture, de la pêche en eau douce, des forêts et d'autres ressources naturelles (FAO 2004). -
Promouvoir la gestion durable des terres dans les zones sujettes à la migration en Afrique de l’ouest à travers les mécanismes de financement innovant: Proposition de micro-projet pour la région de Tahoua
L'objectif général du projet est : Contribuer à la prévention de la dégradation des terres ainsi qu’à la restauration des terres pastorales dégradées par l'augmentation des investissements de GDT1 à travers l'utilisation de mécanismes de financement novateurs fondés sur l’utilisation de la maitrise d’ouvrage de la collectivité locale et la promotion des partenariats public-privés pour soutenir les chaines de valeur dans la commune urbaine de Tchintabaraden. -
Promouvoir la gestion durable des terres dans les zones sujettes à la migration en Afrique de l’ouest à travers les mécanismes de financement innovant: Proposition de micro-projet pour la région de Dosso
L'objectif général du projet est : Contribuer à la prévention de la dégradation des terres ainsi qu’à la restauration des terres agro-sylvo-pastorales dégradées par l'augmentation des investissements de GDT1 à travers l'utilisation de mécanismes de financement novateurs fondés sur l’utilisation de la maitrise d’ouvrage de la collectivité locale et la promotion des partenariats public-privés pour soutenir les champs école paysans dans la commune urbaine de Loga. -
La contribution des cultures de contre-saison dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et des revenus des populations : cas du village de Tamaské (Département de Keita)
Le Niger est un pays dont l’économie repose essentiellement sur l’agriculture vivrière et les cultures de rente. Pour preuve, le secteur agricole contribue pour près de 23,5%1 au PIB réel, fournit environ 41,4% de l’emploi et 6,3% des recettes d’exportation. C’est à l’évidence un facteur déterminant de la croissance économique de notre pays.
Le Niger couvre une superficie cultivable d’environ 15 millions d’ha, soit 12% de la superficie totale du pays et dont 6 millions ha seulement sont exploités2. L’agriculture est concentrée à l’intérieur d’une bande Est-ouest de 100 à 200 km de large, allant de Liptako au Lac Tchad et occupent plus de 80% de la population active. L’essentiel de la satisfaction des besoins alimentaires de base des populations repose sur les cultures vivrières sous pluies notamment le mil, le sorgho et des cultures irriguées. Mais, on constate ces dernières années que la production céréalière évolue en dents de scie ou n’a pas encore retrouvé un niveau qui permet la sécurité alimentaire. Elle reste globalement déficitaire presque tous les ans. A travers cette situation on remarque qu’outre les précipitations, les pratiques paysannes, les espèces cultivées, les zones de cultures, le rendement pour ne citer que ceux-ci ont une incidence sur la production. -
Guide du Formateur sur « Les techniques de CES-DRS dans la petite irrigation »
Le présent guide s’inscrit dans le cadre des activités du programme de promotion de l’agriculture productive (PromAP) finance par la coopération allemande. Le PromAP à travers la composante 2, a prévu : « le renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation pour améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et prives dans le domaine de la petite irrigation. La composante 2 du PromAP appuie le développement des curricula conformément a la spin, a travers son plan stratégique de renforcement des compétences des acteurs de la petite irrigation pour une validation par le comite technique pluri institutionnel -
Programme: "Petite irrigation et sécurité alimentaire"
Rapport bilan des activités PTBALe projet ""petite irrigation et sécurité alimentaire" PISA entre dans le cadre du programme développement rural agriculture productive de la coopération nigéro-allemande -
Programme: "petite irrigation et sécurité alimentaire"
Rapport des activités PTBA 2018L'objectif du PISA est de contribuer à la promotion d'une agriculture productive et à la sécurité alimentaire au Niger -
Etude de faisabilité du pisa 2 rapport provisoire
Le Programme de Petite Irrigation et de Sécurité Alimentaire est un programme de la Coopération Nigéro-Allemande financé par la KfW. Il a démarré en 2016 et doit se terminer en 2020. Actuellement dans sa première phase, le PISA devrait se poursuivre lors d’une deuxième phase qui devrait démarrer à la suite de l’actuelle. -
Etude d’évaluation à mi-parcours du pisa 1 - rapport provisoire
Le programme PISA1 a été mis en oeuvre au mois de Février 2016 pour une durée de quatre ans. Ce programme est issu de la coopération nigéro-allemande est doté d'un financement de 15 millions d'Euro produit par la KFW. La part de l'Etat nigérien est estimée à 0,15 millions d'Euro et celle des bénéficiaires des actions du programme comme quote-part à la réalisation des infrastructures est de 0,40 millions d'Euro. Le programme a vocation à intervenir dans les trois régions d'Agadez, de Tahoua et de Tillabéri. -
Etude d’évaluation à mi-parcours du pisa 1
rapport final
Le programme PISA1 a été mis en oeuvre au mois de Février 2016 pour une durée de quatre ans. Ce programme est issu de la coopération nigéro-allemande est doté d'un financement de 15 millions d'Euro produit par la KFW. La part de l'Etat nigérien est estimée à 0,15 millions d'Euro et celle des bénéficiaires des actions du programme comme quote-part à la réalisation des infrastructures est de 0,40 millions d'Euro. Le programme a vocation à intervenir dans les trois régions d'Agadez, de Tahoua et de Tillabéri. -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°1
Le présent rapport semestriel couvre la période de février à juillet 2016, il se réfère aux activités de l'unité de gestion du programme. A titre de rapport, la direction générale du génie rurale à mis en place une unité de gestion du programme à Niamey, avec des antennes dans les trois régions d'intervention. -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°2
Le présent rapport semestriel n°2 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire couvre la période d’août à janvier 2017.Cette période fait suite à un premier semestre ( février à juillet 2016) de phase de démarrage,d'organisation et de planification du programme -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°3
Le présent rapport semestriel n°3 concerne la période de février à juillet 2017.Il couvre les activités relatives au processus opérationnel de mise en oeuvre technique du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire,de gestion administrative et financière,de passation des marchés et de suivi-évaluation. -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°5
Le présent rapport semestriel n°5 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire concerne la période s'étalant de février à juillet 2018.Il s'articule autour des activités techniques et financière de mise en oeuvre du PISA, ainsi que celles de gestion administrative -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°6
Le présent rapport couvre la période allant d’août 2018 à janvier 2019.Les activité réalisées au titre de ce semestre constituent pour la plupart la suite d'activités en cours depuis les mois précédents -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°7
Le présent rapport semestriel n°7 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire couvre la période de février à juillet 2019.Il traite des domaines du contexte des interventions,de l'état d'exécution des activités et des résultats obtenus,des difficultés rencontrées et des mesures prises pour les surmontes,des modifications apportées à la mise en oeuvre du programme ,de la gestion financière sur la base des appels de fonds -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°8
Le présent rapport semestriel n°8 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire porte sur l'état d'avancement du programme sur la période d’août 2019 à janvier 2020. -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°4
Le présent rapport n°4 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire concerne la période allant d’août 2017 à janvier 2018. -
Programme pisa 3ème session ordinaire du comité national de pilotage
Mobilisation des eaux, amélioration des services offerts, réalisations des ouvrages. -
Bilan pisa
Bilan des activités du programme petite irrigation et sécurité alimentaire -
Rapport de la mission de recrutement des cadres de direction du programme
En exécution de la mission de recrutement des cadres de direction du programme qui nous a été confiée, nous avons l'honneur et le plaisir de vous transmettre notre rapport définitif. -
Projet de plan de travail et budget annuel 2016
Dans le cadre de la coopération bilatérale Nigéro-Allemande à travers le pôle prioritaire développement rural et agriculture productive avec la coopération financière KFW. -
Comprendre quelques fonctionnements écologiques dans une parcelle cultivée pour prévenir le puceron de la salade
L'agrosystème, partie cultivée de l'écosystéme, est simplifié au profit d'une ou quelques plantes cultivées. -
Rapport du séminaire du diffusion des résultats sur l'étude sur population environnement et sécurité alimentaire au Niger
Le mardi 7 septembre 1999,s'est tenue à kollo ,dans la salle de conférence de l'ipdr,le séminaire de diffusion des résultats sur l'étude sur la population ,environnement et sécurité alimentaire au Niger -
Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERSA-MTZ) : programme de travail et budget annuel 2016
Le projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de maradi,tahoua et zinder vise le renforcement de la sécurité alimentaire par l'augmentation,de façon durable de la production et de la productivité agricole. -
Projet d'appui à la mise en oeuvre de la stratégie de l'initiative 3N pour la sécurité alimentaire et le dévéloppement agricole durables
La stratégie de l'initiative " 3N " pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et le développement agricole durables a été adoptée en conseil des ministres par décret N°139/PRN du 18 avril 2012 -
Rapport d'audit : version définitive
Dans le cadre de l'aide à l'augmentation de la production alimentaire en faveur des agriculteurs défavorisés, le niger conformément à l'échange de note, s'est engagé à effectuer un audit du compte fonds de contrepartie nigéro-japonais KRII 2004 à la fin de chaque année -
Rapport du sécretariat exécutif
Le comité permanent inter-états de lutte contre la sécheresse au sahel a été créé en 1973, en réponse aux nombreuses sécheresses sévères et persistantes -
Programme d'urgence pour la sécurité alimentaire
2011-2012 : bilan
La campagne agropastorale 2011-2012 a été caractérisée par une pluviométrie erratique, mal répartie dans l'espace et dans le temps avec de nombreux épisodes de sécheresse tous plus longs les uns que les autres. Il en a résulté un déficit céréalier quasi record de l'ordre de 700 000 tonnes, justifiant à posteriori les instructions de Son Excellence El Hadj ISSOUFOU MAHAMADOU, Président de la République, Chef de l'Etat, d'anticiper dès le début du mois d'août 2011, l'élaboration et la mise en œuvre pour l'exercice 201 1-2012, d'un programme d'urgence comme mesure corrective aux mauvaises récoltes attendues. -
Rapport d'activités dans le cadre du devis programme de démarrage allant du 1er novembre 2012 au 30 avril 2013
Dans le cadre de la coopération entre la république du Niger et l'Union Européenne, la convention de financement du projet d'appui au développement du secteur rural dans les régions de Dosso et Zinder a été signé par les deux parties en date du 08 Mars 2012 -
Analyse Intégrée du Contexte (AIC)
Se nourrir est un besoin humain fondamental et essentiel pour assurer la survie. L’accès à une nourriture saine et nutritive reste un défi, et devient extrêmement compliqué lors de catastrophes naturelles. La relation complexe entre la récurrence de l'insécurité alimentaire et les risques naturels est illustrée par l'analyse intégrée de tous les contextes corrélés.
Ainsi cette analyse connue sous le terme « Analyse intégrée du Contexte (AIC) » se révèle être un outil programmatique qui a fait ses preuves, susceptible d’apporter un appui aux décideurs - basé sur l’évidence - pour améliorer la planification et la mise en oeuvre des programmes de renforcement de la résilience, de mise en place de filets de sécurité, de réduction des risques de catastrophe, et de préparation aux chocs. -
Plan d’action 2016-2020 de l’initiative 3n
Le Cadre stratégique de l’Initiative 3N « les Nigériens Nourrissent les Nigériens » pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle et le Développement Agricole Durables (SAN/DAD), a été adoptée par décret 2012-139/PRN du 18 Avril 2012. Son objectif global à l’horizon 2035 est de « mettre durablement les populations nigériennes à l’abri de la faim et de la malnutrition et leur garantir les conditions d’une pleine participation à la production nationale et à l’amélioration de leurs revenus ». De façon spécifique, il s’agit de « renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d’approvisionnement et de résilience face aux crises alimentaires et aux catastrophes ». -
Les achats locaux des vivres : une stratégie pour améliorer la sécurité alimentaire au Niger
Face à l’insécurité alimentaire chronique au Niger, le Programme alimentaire mondial des Nations unies (PAM), en partenariat avec l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a mis en place depuis 2014 un projet d’achats des vivres auprès des petits producteurs locaux. Objectif : améliorer la sécurité alimentaire et le pouvoir d’achat des agriculteurs à travers l’appui à la production agricole par la fourniture d’intrants, de matériel et l’accès à des formations techniques. L’opération a eu des impacts positifs, en particulier sur l’autonomisation des femmes vulnérables. -
Analyse des impacts des activités socio- économiques et de Gestion Durable des Terres dans le bassin versant de Badaguichiri
Le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) a effectué une mission de collecte de données socio-économiques dans les cinq communes de la région de Tahoua à savoir : Tamaské, Allakeye, Badaguichiri, Garhanga et Illéla.
Cette mission s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la convention passée entre le Projet d’Aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PAGVB/B) et le CNSEE. La présente étude porte sur l’évaluation des impacts socio-économiques des actions de Gestion
Durable des Terres initiées par le PAGVB/B. Elle vise à récolter des données nécessaires à la mise à jour des indicateurs socio-économiques. -
Le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire - Synthèse des enseignements et perspectives
Cette synthèse des acquis de l’expérience de la mise en œuvre de la stratégie régionale de stockage de sécurité alimentaire a été réalisée dans le cadre de la mise en œuvre de la politique agricole de la CEDEAO, l’ECOWAP. Elle s’inscrit dans le contexte de la Conférence internationale sur le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire organisée par la CEDEAO et ses partenaires du 28 avril au 10 mai 2021. Elle constitue le résumé de la capitalisation approfondie du Projet d’appui au stockage de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par l’Agence régionale pour l’agriculture et l’alimentation (ARAA) et la Direction Agriculture et développement rural de la CEDEAO (DADR). -
Appui à l'élaboration des DPPD des ministères du secteur Sécurité alimentaire, nutritionnelle et développement agricole durable au Niger
Les DPPD des ministères de l'hydraulique et de l’assainissement, de l'agriculture et de l'élevage, de l'environnement et du développement , du commerce et de la promotion du secteur privé puis du haut-commissariat à l'initiative à l'initiative 3N ont donné lieu en juin-juillet 2016 a un travail de mise au point qui a fait apparaitre des points forts et des limites . L'analyse stratégique et la description du secteur d'intervention est réalisé de manière convaincante par tous ces documents, même si la lecture en est légèrement fastidieuse. La définition des programmes est judicieuse. Les indicateurs généraux sectoriels ne manquent pas. -
Contribution à l'étude de la couverture des besoins en protéine d'origine animale de la population de la République du Bénin.
La malnutrition infantile est l'un des premiers facteurs de mortalité dans le monde. Des150 à 200 millions d'enfants malnutris dans le monde, 80 %se trouvent dans deux zones géographiques : le sous continent indien, l'Afrique au Sud du Sahara. La mortalité infantile représente 65 %de mortalité de la globale en Afrique et en Inde. Ce pourcentage n’est que de 4,3 %aux États-Unis. -
Des institutions rurales innovantes pour améliorer la sécurité alimentaire
La croissance démographique, l’urbanisation et l’augmentation des revenus continueront à exercer une pression sur la demande alimentaire. Les prix mondiaux de la plupart des denrées de base agricoles devraient se maintenir à leur niveau de 2010, voire augmenter, tout au moins au cours de la prochaine décennie (OCDE-FAO,2010). Les petits producteurs de nombreux pays en développement n’ont pas pu tirer parti de la hausse des prix lors de la crise causée par l’envolée des prix en 2007-2008. Pourtant, la flambée des prix aurait pu être pour eux l’occasion d’accroître leurs revenus en contribuant à améliorer la sécurité alimentaire. -
Diagnostic des besoins des dix (10) Unions de Sociétés Coopératives du Projet Fortification de Produit transformé (FOPAT) de consommation courante au Niger
Le diagnostic a eu pour but,de faire l’état des lieux du niveau d'organisation, de fonctionnement, de production et des compétences techniques en matière de marketing des dix (10) Unions des Sociétés Coopératives du FOPAT, en vue d'identifier leurs forces et faiblesses dégager une stratégies adoptée de renforcement. l'activité s'inscrit dans la stratégie d'intervention du FOPAT qui entend par cette action, apporter sa contribution à l'émergence du nouveau monde paysan à travers l’accompagnement des populations pauvres disposant de moyens de production rudimentaire. -
Diversité des peuplements ligneux des champs du Bassin versant de Badaguichiri (Tahoua/Niger)
Le présent travail entre dans le cadre de l’étude de référence de l’observatoire de l’Azawak (Tahoua) et porte sur la diversité des peuplements ligneux des champs du Bassin versant de Badaguichiri. L’objectif général de cette étude est d’évaluer la diversité des peuplements ligneux des champs pour une meilleure intégration de la composante ligneuse dans l’aménagement et la gestion durable du dit bassin versant. Les objectifs spécifiques se résument à : dresser la liste floristique de toutes les espèces ligneuses dans les champs du bassin versant ; déterminer les types biologiques et phytogéographiques ; établir la structure en diamètre et en hauteur du peuplement ligneux des champs du bassin versant ; évaluer la densité à l’hectare et le recouvrement moyen des individus ligneux ; évaluer la diversité alpha de la végétation ligneuse du bassin versant et en particulier celle des différentes unités géomorphologiques. -
Impact de la restauration des terres sur la dynamique des peuplements ligneux du bassin versant de Badaguichiri (Tahoua / Niger)
La présente étude a pour but de d’apprécier l’impact de la restauration des terres sur la dynamique des peuplements ligneux du bassin versant de Badaguichiri Région de Tahoua. Elle a concerné deux sites un site restauré et un site non restauré. A cet effet des inventaires de la flore ligneuse ont été effectués sur les unités géomorphologiques restaurées ainsi que sur leurs témoins du site non restauré dans des placeaux de 0,25 ha. -
Enquête conjointe sur la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages au Niger
Pays sahélien et enclavé, le Niger a un climat particulièrement aride avec des variabilités extrêmes et régulières. La pluviométrie annuelle comprise entre 100 mm et 800 mm, est caractérisée par une importante variabilité interannuelle et spatiale avec en conséquences des séquences de sécheresses et/ou des inondations. Ces rudes conditions climatiques affectent la production agropastorale et les conditions de vie des ménages en général. -
Enquête rapide de sécurité alimentaire : Les ménages de la région de Tillaberi
La crise alimentaire de 2005 a rappelé , si besoin est, la place prépondérante qu'occupent l'agriculture et l’élevage dans le développement socio-économique des populations du Niger et leurs grandes vulnérabilité face aux chocs climatiques. Un des faits marquants dans la gestion des conséquences de cette crise alimentaire a été la forte mobilisation des ONG internationales et nationales qui, à travers la mise en œuvre du programme humanitaire de grande envergure,ont mobilisé leurs ressources pour répondre aux besoins des populations. -
Guide sur les méthodes de planification pour la gestion et la conservation des ressources naturelles
Ce guide a pour objectif de lutter contre la dégradation des terres en milieu rural, qui s'accentue sous l'effet des activités de production agricoles usurpatrices de ressources, notamment le surpâturage et la surexploitation des terres. Ainsi, il va permettre une gestion adéquate des ressources naturelles à l'initiative des populations en mettant en application des techniques destinées à assurer une production agricole durable en fonction des spécificités naturelles et sociales de la région. -
Etat des lieux des banques céréalières
Les banques céréalières ont pour but l’amélioration de la sécurité alimentaire à travers une politique visant à assurer la disponibilité et l’accessibilité des céréales aux ménages en période de soudure. Dans ce sens, beaucoup de Partenaires Techniques Financiers (PTF) prévoient d’accompagner le Gouvernement dans la mise en place des banques céréalières au cours des prochaines années. C’est le cas du PAM à travers l’Intervention Prolongée de Secours et de Redressement (IPSR) (2007-2009) et le CP destiné, entre autres, à la création et au renforcement des BC. En outre, la CCA prévoit chaque année des ressources (Stock National de Sécurité et/ou Fonds Commun des Donateurs) pour la mise en œuvre de la composante BC de son plan de soutien aux populations vulnérables.
Toutefois, en dépit de la volonté affirmée du Gouvernement et des efforts consentis ces dernières années avec l’aide de ses PTF, les résultats atteints restent mitigés comme en témoignent les conclusions de l’étude sur le recensement des BC au Niger (Ministère du Développement Agricole, Juillet 2006).Ainsi, selon cette même étude, plus de la moitié des BC ne sont ni opérationnelles ni viables par rapport au niveau actuel de leurs ressources et totalisent près de 900 millions de Francs CFA de crédits non remboursés. -
Formulation du Projet Initiative Eaux et Sécurité Alimentaire pour l'Afrique Phase II (IESA2)
Le Niger est un pays agraire avec près de 85% de la population engagé dans le secteur rural. Ce secteur joue un rôle capital dans l'économie nationale et la sécurité alimentaire. Sa contribution moyenne à la formation du PIB est de 44,43% entre 2008 et 2010 et en 2010 il fournit près de 30% des recettes d'exportations. L'agriculture et l'élevage constituent les principaux composants de ce secteur avec une contribution au PIB respectivement de 28% et de 12%. -
Rapport de l’étude sur la contribution des activités du ProDAF dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La présente étude intitulé « contribution des activités du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle » est réalisée dans le cadre de la préparation méthodologique de la revue à mi-parcours du ProDAF prévue en début du mois de juin 2019. Les informations contenues dans le rapport découlent des éléments de la revue documentaire (études de référence, document de conception du ProDAF, documents d’évaluation de la campagne agricole, document d’évaluation de la nutrition, rapport d’étude thématique similaire par l’institut national des statistiques, des notes d’informations et bilans d’exécutions des activités du programme etc.) et aussi des données issues de l’enquête sur le terrain au niveau des trois régions d’intervention du ProDAF (Maradi Tahoua et Zinder).
Le fil conducteur qui a guidé cette étude c’est la confrontation des indicateurs du cadre logique du ProDAF et ceux de l’i3N de la situation de référence « sans projet » à la situation actuelle « avec projet » pour déterminer la contribution du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la zone d’intervention. -
Stratégie du PASADEM en matière de gestion des savoirs dans le domaine de la Gestion Durable de Terres (GDT) – Note de capitalisation
L’objectif est d’améliorer les connaissances des principaux acteurs sur les bonnes pratiques de gestion durable des terres adaptées au contexte local. -
La gouvernance foncière des biens communs
Ce guide technique sur la gouvernance foncière des biens communs vise à aider les États,les organisations communautaires, les organisations de la sociétés civiles, le secteur privé et les autres acteurs concernés à prendre par avance des mesures pour mettre en œuvre les normes et les recommandations des directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forets dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Son objectif est de parvenir à une reconnaissance juridique et à la protection des droits fonciers sur les biens communs et des structures de gouvernance communautaires. -
La sécurité alimentaire urbaine et la commercialisation des aliments
Le XXIe siècle a été défini Le Siècle des villes. Si, en Amérique latine, la majorité des habitants vit déjà dans les zones urbaines, il n’en est pas de même pour les villes asiatiques et africaines dont la population risque de doubler dans les dix années à venir. Ce seront surtout les consommateurs urbains à faible revenu dont le nombre augmentera. -
Légumes secs et exploitations durables en Afrique Subsaharienne
En Afrique subsaharienne, l'insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problèmes encore s'aggraver du fait de la dégradation constante des sols entrainée par la diminution de taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme "dégradées " d'ici à 2020. -
L'état des ressources zoogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture dans le monde
L'état des ressources zoogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture dans le monde est la première évaluation de la biodiversité des animaux d'élevage. Basé sur 169 Rapports nationaux, sur des contribution de plusieurs organisations internationales et sur 12 études thématiques spécialement mandatées, il présente une analyse de l'état de la biodiversité de l'agriculture dans le secteur de l'élevage- origines et développements, utilisations et valeurs, distribution et échange, état de danger et menaces. -
Manuel de détermination et de mise en place d'un système d'information pour la sécurité alimentaire et l'alerte rapide (SISAAR)
L'introduction retrace l'évolution historique et le cadre actuel des systèmes d'information sur la sécurité alimentaire, l’intérêt technique de la méthodologie SISAAR contenue dans le présent manuel, et ses avantages spécifiques, sa structure et sa logique ainsi que son approche pédagogique. Elle donne enfin la définition de la sécurité alimentaire, acceptée aujourd'hui par toutes les instances mondiales. -
Manuel populaire des directives pour la gouvernance des terres, pêches et forêts
Cette publication a pour objet de soutenir la mise en œuvre des Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forets dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Elle ne saurait contredire les termes des Directives telles qu'elles ont été approuvé par le Comité de la Sécurité Alimentaire mondiale le 11 mai 2012,ni mettre en question le rôle des États dans leurs mise en œuvre. -
Conséquences du dépérissement du Moringa oleifera sur la sécurité alimentaire des maraichers de la commune rurale de Bitinkodji (région de Tillabéri/Niger)
Le moringa oleifera joue un rôle socio-économique important au Niger dans la contribution de lutte contre la faim (consommation des feuilles avec un apport nutritif élevé) et la pauvreté. C'est une source de revenue importante, souvent, la principale en période de soudure dans la commune rurale de Bitinkodji. Les maraîchers de Bitinkodji sont les principaux fournisseurs de feuilles fraiches de moringa aux différents marchés de Niamey. -
Rapport d’analyse des données de l’enquête de la situation référence - RED-SAACC
Le projet de recherche-développement pour la sécurité alimentaire et l’adaptation climatique des systèmes ruraux de production au Niger (RED/SAACC-Niger) a pour objectif d’améliorer d’ici fin 2021, les revenus, la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 15.000 exploitations agricoles familiales fragiles à faible résilience, dans 15 communes des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri.
Le mécanisme de la mise en oeuvre du projet s’articule autour de 6 composantes dont les actions contribueront à l’atteinte de l’objectif global du projet. L’objectif de la composante 5 est de mettre en place un dispositif de gestion des connaissances efficace permettant de capitaliser et de partager les bonnes pratiques.
Pour atteindre cet objectif des d’activités ont été planifiées dont la première est la réalisation d’une étude de référence pour établir la situation de départ des indicateurs clés dans la zone d’intervention du projet, par rapport à laquelle seront mesurés les progrès vers l’atteinte des objectifs du projet RED/SAACC-Niger. -
DryDev Niger - Rapport annuel 2016
DRYDEV Niger est financé pour 5 ans (Aout 2013 à juillet 2018) par le Ministère des Affaires Etrangères des Pays Bas à travers ICRAF. Drydev est mis en oeuvre dans 3 pays du Sahel (Mali, Burkina Fasso, Niger) et 2 pays de l’Afrique de l’est (Ethiopie et Kenya) » et ICRAF assure la coordination.
Ce dernier coordonne la vision de DRYDEV est le passage des ménages bénéficiaires d’une agriculture de subsistance et de l’aide alimentaire à un développement rural durable. Pour que cette transformation soit effective, il faudra que les interventions du programme conduisent a un accroissement de la sécurité alimentaire et hydrique, un meilleur accès au marché du fait d’excédent alimentaire généré et au renforcement de l’économie locale pour toutes les catégories de producteurs.
DRYDEV Niger vise à toucher 51 336 personnes dont 50% de femmes pour les 5 communes. Les communes d’intervention sont celles de Droum, Aguié, Malbaza, Dogon Kiria et Torodi. Il est mis en oeuvre par un consortium de 7 organisations dont CARE assure le lead. Chacune des organisations est responsable d’une commune à l’exception de CARE et OXFAM. Chaque membre du consortium contribue à la mise en oeuvre de par l’apport d’expertises thématiques : KARKARA (GIRE, ADM), WVI (MMD et Financement), AREN (Restauration des aires de pâturage, Plan d’approvisionnement), RAIL (Fertilisation et CES-DRS), OXFAM (Filière, Mise en réseau, développement PI et Plaidoyer), CRESA (RNA et Innovation), CARE (Suivi évaluation, Approches MMD et Genre-masculinité positive, organisation des producteurs, renforcement de capacités).
Ce rapport synthétise les principaux résultats des 8 WP de DRYDEV acquis au Niger au cours de 2016 -
Programme de coopération Belgique/FAO
Dans le cadre du programme de coopération multilatérale Belgique/FAO, l'axe " Capitalisation des outils en matière de sécurité alimentaire et genre", qui fait partie du sous programme " Gestion des connaissances et genre", a une envergure globale. Pour commencer, son champ d'action sur les quatre pays (Burkina Faso, Mali, Niger et Sénégal). Après la mise en place d'un dispositif régional pilote, il visera le développement d'une stratégie de gestion des connaissances sur les outils pour la sécurité alimentaire, notamment sur les intrants agricoles au sens large du terme. -
Projet d'Appui à la Sécurité Alimentaire et au Développement au niveau de la Région de Maradi
Suite à une demande adressée en janvier 2011 par le Gouvernement du Niger, le FIDA a engagé un processus de conception d'un nouveau projet dans la région de Mardi, dénommé Projet d'Appui à la Sécurité Alimentaire et au Développement dans la région de Maradi PASADEM. -
Projet d'urgence pour l'appui à la sécurité alimentaire et le développement rural - Financement additionnel (PUSADER+)
Le PUSADER+ est né de la volonté du Gouvernement de consolider et/ou d'amplifier les impacts positifs du PUSADER dans le domaine de désenclavement de bassins de production, à travers la réhabilitation/construction de pistes rurales. Le projet, basé sur un financement additionnel - OFID (Pret 1559P) de 6 millions d'USD, est entré en vigueur le 21 Février 2014 pour une durée de 3 ans. La date d'achèvement initialement prévue au 31 Décembre 2016 a été prolongée au 30 Juin 2017 à la demande de l'Emprunteur. -
Rapport annuel d'activités 2012
Le rapport d'activités de l'année 2012 constitue le second qui couvre une année dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet d'appui au Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période de janvier à décembre 2012. -
Rapport annuel d'activités 2011
Le présent rapport d'activités constitue le premier du genre dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet de Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période allant d'Octobre 2010 à décembre de l'année 2011. -
Rapport annuel d'activités 2017
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) ont signé le 18 Janvier 2011, l'accord de financement de la mise en œuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l’État du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant global de 10 milliards 484 millions de FCFA hors taxe et hors douane. -
Rapport d'activités 2013
Le Niger a obtenu de la Banque Mondiale à travers le Fonds fiduciaire en réponse à la crise des prix alimentaires (FPCR), le financement du second Projet d'Urgence d'appui à la Sécurité Alimentaire (PUSA2) dans la région de Tillabéri. Ce projet vise l'attention des effets de la crise alimentaire et pastorales de 2009 qui a affecté les populations les plus vulnérables du Niger. -
Rapport d'activités 2014
Le Niger a obtenu de la Banque mondiale à travers le Fonds fiduciaire en réponse à la crise des prix alimentaires (FPCR), le financement du second Projet d'Urgence d'appui à la Sécurité Alimentaire (PUSA2) dans la région de Tillabéri. Ce projet vise l’atténuation des effets de la crise alimentaire et pastorales de 2009 qui a affecté les populations les plus vulnérables dans cette région. -
Rapport d'audit sur les états financiers : Mai 2013
Le PUSADER dispose de deux sources de financement à savoir le FIDA et OFID pour les montants respectifs de 8.300.000 Dollars USD. L'accord de don et du prêt est entré en vigueur le 7 février 2011 et la date de clôture du projet est fixée au 30 septembre 2014. -
Rapport de la conférence technique internationale sur les ressources phytogénétiques
La conférence a réaffirmé les engagements de fonds nouveaux ou supplémentaires pris dans le cadre de l'Action 21 de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement et par les Parties à la Convention sur la diversité biologique. Au titre de ces engagements, des fonds devraient être mis à disposition pour financer la mise en œuvre par les pays en développement et les pays à économie de transition, du Plan d'action mondial. -
Rapport de mise en œuvre du PTBA 2014
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement ont signé le 18 janvier 2011, l'accord de financement de la mise en oeuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l'Etat du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant de 10 milliards 484 millions de fcfa hors taxe et hors douane. -
Rapport de résultats du PO 2017 : Cadre mesure des rendements
Ce rapport a aussi pour but d'améliorer les méthodologies et les outils d'analyse des données d’enquêtes sur la sécurité alimentaire, l'économie des ménages et la nutrition pour les adapter aux besoin du CH. -
Rapport de résultats du PO 2017 : Narratif
Ce rapport fait le point des réalisations et acquis du Plan d'Opération 2017 du Système CILSS pour la période d'exécution de Janvier à Décembre 2017. Il met l'accent sur les performances des axes stratégiques à travers le niveau de réalisation des résultats attendus. -
Mission d’évaluation finale du PLECO (Rapport final)
La mission de terrain de l’évaluation finale du Projet de Lutte contre l’Ensablement des Cuvettes oasiennes dans les Départements de Gouré (Zinder) et Maïné-Soroa (Diffa) - PLECO - a été conduite du 11 Novembre au 05 Décembre 2015. Elle a consisté à (i) analyser le cadre de financement et de mise en oeuvre du projet, (ii) organiser des visites et des entretiens avec les populations des sites d’intervention du projet, (iii) collecter des données, (iv) évaluer les performances et les résultats obtenus par rapport aux objectifs fixés et indicateurs de vérification et (v) formuler les recommandations subséquentes.
Afin de faire face aux conséquences désastreuses de ces changements climatiques et la sécheresse récurrente qui sévit sur l’ensemble du pays, dans la poursuite des actions initiées depuis le début des années 90s, le Gouvernement du Niger avec l’appui du FEM et le PNUD, a initié le PLECO pour apporter une réponse stratégique et pratique à l’ensablement dans les deux régions les plus menacées de Diffa et de Zinder.
Le PLECO poursuit trois objectifs spécifiques qui répondent aux attentes des stratégies et des politiques du Gouvernement du Niger et des programmes opérationnels du FEM visant à faire face aux défis environnementaux et de développement socioéconomique durable du pays : Composante 1: Amélioration des pratiques locales de gestion des terres et des écosystèmes ; Composante 2 : Renforcement des capacités des institutions et des communautés locales pour la GDT; Composante 3: Système de suivi des phénomènes d’ensablement et de dégradation des terres. -
Intensification de l'agriculture par le renforcement des boutiques d'intrants coopératives (IARBIC) : Réhabilitation et renforcement des moyens de subsistance de population rurale du Niger face à la flambée des prix des denrées alimentaires et intrants agricoles
Le Niger, pays enclavé caractérisé par un climat rigoureux et des sols pauvres en voie de désertification présente une forte croissance démographique et de très faible indicateurs sociaux. L'économie du pays repose essentiellement sur le secteur primaire (agriculture et élevage) qui représente 36 pour cent du produit intérieur brut et qui fournit 84 pour cent des emplois. L'insécurité alimentaire est caractérisée par des déficits récurrents au niveau des ménages entre le production des denrées de base et les besoins alimentaires. -
Atelier régional ouest-africain du programme INFORMED en collaboration étroite avec le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)
Le programme INFORMED (Information pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle et Résilience pour la Prise de Décision), initiative de la FAO et l'Union européenne, a pour objectif de contribuer à accroitre la résiliences des moyens d'existence face aux menaces et aux crises et à réduire l'insécurité alimentaire et la malnutrition , à travers un soutien technique et analytique ainsi qu'un renforcement des capacités des institutions régionales et nationales engagées dans l'analyse de la sécurité alimentaire, la nutrition et la résilience pour l'élaboration de politiques et de programmes. -
Projet d'urgence pour l'appui à la sécurité alimentaire et le développement rural (PUSADER)
La Revue d'achèvement du Projet (RAP) proposé pour le Projet d'urgence pour l'appui à la sécurité alimentaire et le développement rural (PUSADER) est menée conjointement par le FIDA et le Gouvernement du Niger en associant les partenaires à travers un processus inclusif. Son objectif principal est de rendre compte des résultats obtenus à travers les interventions du projet à des fins de réddition de comptes et d'apprentissage. -
Rapport trimestriel d'activité : Avril - Mai - Juin 2011
Le deuxième trimestre de l'année 2011 (Avril-Mai-Juin) correspond à la fin de l'année 1 de mise en œuvre effective des activités du Projet de Sécurité Alimentaire- ARZIKI. Il a été consacré à l'évaluation, au moyen d’enquête, de la première campagne de contre saison réalisée par les clients avec l'appui de ARZIKI. Pendant ce temps, la première camapagne des cultures vivrières ou d'hivernage se préparait activement aussi bien par les populations concernées que par le personnel d'encadrement ARZIKI. -
Biodiversité et carbone organique des sols : entretenir les zones arides
La biodiversité des sols et le carbone organique des sols sont essentiels au fonctionnement des écosystèmes et déterminent en grande partie le rôle de la terre dans la production de nourriture, le stockage de l’eau et l’atténuation des changements climatiques. Ils sont la clé pour débloquer les multiples avantages économiques et environnementaux – la multifonctionnalité – de la terre.
La restauration ou la préservation de la biodiversité des sols et du carbone organique des sols nécessite soit une augmentation des apports en matière organique, soit une réduction des pertes de carbone, ou les deux. Il est particulièrement important de préserver le carbone organique des sols (COS), voire l’augmenter si possible.
Dans les sols des zones arides, les niveaux du COS sont souvent bas et proches du point de basculement où la restauration ne serait plus possible, laissant place à une dégradation irréversible des sols. Cependant, les mesures visant à accroître la biodiversité des sols et le carbone organique des sols peuvent prendre de nombreuses années. La restauration des terres dégradées pouvant être coûteuse, il est préférable a priori d’éviter de sa dégradation et ce par l’adoption de méthodes de gestion durable des terres et la protection durable de paysages agricoles. -
Bauhinia rufescens
Espèce recommandée pour la création de haies-vives défensives, fourragères ou ornementales. Il y a environ 9.000 graines par kg. Elles se conservent bien à température ambiante. Les graines sont prétraitées par ébouillantage puis trempage de 18 à 24 heures dans l’eau ou par acide sulfurique concentré pendant 30 à 60 minutes. Les graines prétraitées sont semées directement en pot. -
Impacts des programmes de gestion durable des terres sur la gestion des terres et la pauvreté au Niger
Depuis le début des années 80, le Gouvernement du Niger et ses partenaires au développement ont investi plus de 200 milliards de FCFA dans des programmes de promotion de la gestion durable des terres (GDT) et d’autres activités visant à réduire la pauvreté et la vulnérabilité des terres. Globalement, plus de 50 programmes ont travaillé sur la GDT au Niger.
Malgré de gros investissements dans les programmes GDT, leurs impacts sur la gestion des terres, la production agricole, la pauvreté et les autres revenus ne sont pas bien connus. Cette analyse vise à contribuer aux connaissances sur les impacts des programmes GDT au Niger en tentant de résoudre certaines des insuffisances méthodologiques des études précédentes.
Les auteurs remercient la Banque mondiale et le Programme d’actions communautaires (PAC) au Niger pour leur appui financier et logistique à ces travaux de recherche. Les auteurs sont particulièrement reconnaissants aux plus de 2000 communautés et chefs de ménage qui ont pris part aux enquêtes conduites dans le cadre de ces travaux de recherche. -
Quatrième Rapport National sur la Diversité Biologique
Dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention sur la Diversité Biologique qu'il a ratifiée en Juillet 1995, le Niger a élaboré sa Stratégie Nationale et son Plan d'Actions en matière de Diversité Biologique (SNPA/DB), conformément aux dispositions de l'article 6 de ladite Convention. La stratégie nationale et le plan d'actions ainsi élaborés s'intègrent au Plan National de l'Environnement pour un Développement Durable (PNEDD) et constituent un de ses programmes majeurs. En vertu de l’article 26 de la Convention sur la Diversité Biologique, les Parties à la Convention sur la Diversité Biologique sont requises de présenter régulièrement un rapport à la Conférence des Parties. Le présent rapport qui est le quatrième du genre, a été préparé conformément aux règles prévues dans le paragraphe 3 de la décision VI/25 et en se basant sur les lignes directrices relatives à l’établissement des rapports nationaux adoptées par la Conférence des Parties au paragraphe 2 de sa décision V/19. -
Programme de résilience (PAM Niger) - L’approche, les acquis et les pistes de capitalisation
Approche intégrée multisectorielle multi acteurs pour le renforcement de la résilience -
Revue stratégique nationale faim zéro du Niger
A l'instar de plusieurs autres pays des Nation Unies, le Niger avec l'appui du PAM, s'est également lancé dans la revue de sa stratégie nationale "Faim Zéro" pour l'atteinte de l'ODD2 : "Éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l'agriculture durable". -
Salon International de l'Agroalimentaire au Niger (SINAGRO)
Le Niger a accédé à l'indépendance avec un faible héritage industriel et un "know how" (savoir faire) pratiquement inexistant en la matière. C'est un pays enclavé, d'une superficie de 1.267.000 km² dont les trois quarts sont en zone désertiques et dont la frontière la plus méridionale est à plus de 600km de la mer. Il est situé au cœur de l'Afrique de l'ouest et du Sahel et dont la capitale est Niamey est à plus de 1000 km de la mer. -
Caractérisation morphologique des cuvettes oasiennes du Centre-Est du Niger
Situées en zone semi-aride à aride du Niger, les cuvettes oasiennes du département de Gouré sont actuellement menacées d'ensablement en raison de la dégradation du couvert végétal et d'un accroissement de l'efficacité érosive des vents. Afin de comprendre les processus d'ensablement autour de ces cuvettes, une caractérisation de leurs formes et orientations a été entreprise. Le coefficient de compacité de GRAVELIUS a permis de mettre en évidence des cuvettes circulaires (8,5 %), ovales (46,8 %), amiboïdes (10,9 %), étirées (17,6 %) et très étirées à tendance amiboïde (16,1 %). Les cuvettes oasiennes de forme circulaire ou ovale renvoient à des drains partiellement comblés par les apports éoliens. Les formes étirées et très étirées sont liées à un morcèlement du réseau hydrographique par des édifices dunaires. Enfin, la mesure de l'orientation a permis d'apprécier la distribution entre quatre secteurs majeurs : E-O (22,8 %), N-S (21,4 %), NE-SO (21,6%) et SE-NO (34,3 %). Les cuvettes orientées E-O et NE-SO sont associées à des dunes longitudinales et celles orientées N-S et SE-NO à des dunes transversales. -
Perception locale sur l’état des espèces ligneuses alimentaires spontanées et leur rôle : cas des communes rurales de Tamou et Simiri au Niger
La satisfaction des besoins en nourriture des populations est une problématique majeure à laquelle est confrontée la plupart des pays du Sahel. La promotion des Espèces Ligneuses Alimentaires (ELA) reste une bonne alternative. Pour ce faire la gestion durable de ces ressources naturelles doit passer par la prise en compte des connaissances endogènes. D’où l’intérêt de cette étude qui vise à identifier le savoir local de la population sur les usages et la conservation des ELA en vue de leur valorisation et de gestion durable. Pour ce faire, des enquêtes ethnobotaniques ont été conduites dans 20 villages repartis entre les communes rurales de Tamou et de Simiri. Ainsi, 200 personnes, choisies de façon aléatoire ont été interviewées. L’étude révèle l’utilisation de 36 ELA dans la zone d’étude dont 30 dans la zone sahélo-soudanienne (Tamou) et 21 dans la zone sahélienne (Simiri). Les 4 espèces ligneuses alimentaires prioritaires sont Adansonia digitata L., Balanites aegyptiaca (L.) Del, Ziziphus mauritiana Lam. et Hyphaene thebaica (L.) Mart à Tamou et Balanites aegyptia ca, Ziziphus mauritiana, Boscia senegalensis (Pers.) Lam. ex Poir et Piliostigma reticulatum (DC.) Hochst à Simiri. Les prélèvements anarchiques des organes et la sécheresse constituent les principales menaces. Face à ces menaces, la principale stratégie locale de gestion est la régénération naturelle assistée. Les résultats de cette étude contribueraient à orienter des programmes de conservation et de valorisation des ELA dans ces localités. -
Situation alimentaire, nutritionnelle et socio-éducative du Département de Ouallam
Dans le Département de Ouallam, l'installation de la campagne agricole d'hivernage 2011-2012 a démarré à la deuxième décade de Juin 2011 et s'est poursuivi jusqu'à la troisième décade de Juillet où 100% des villages ont effectué les semis humides. Deux périodes de sécheresses ont été enregistrées; la première s'est étalée de la 3em décade de Juin à la 2em décade de Juillet et la seconde, de la 3em décade d'Aout à la 3em décade de Septembre. -
Stratégie nationale et plan d'actions sur la diversité biologique, 2ème édition
En application de la Convention sur la Diversité Biologique (CDB) qu’il a signée et ratifiée respectivement le 11 juin 1992 et le 25 juillet 1995, le Niger met en œuvre depuis 1998 sa Stratégie Nationale et son Plan d’Actions sur la Diversité Biologique(SNPA/DB). Cette stratégie élaborée sur la base d’un état des lieux sur la Diversité Biologique au Niger visait trois objectifs spécifiques déclinés à travers 118 actions et couvrant les principaux domaines de la diversité biologique. La réalisation de ces actions devait permettre d’atteindre l’objectif global de «Préserver les multiples fonctions de la diversité biologique et ses éléments pour leur utilisation durable en vue d’améliorer les conditions de vie des ménages ». -
Stratégie opérationnelle de sécurité alimentaire pour le Niger
Des efforts importants réalisés dans le cadre des différentes politiques de développement du secteur à travers les projets et les programmes. Cependant, force et de constater que que les résultats atteints sont en deçà des espérances. Le secteur rural n'a pas joué de façon continue le rôle de moteur de croissance de l'économie qui lui a été dévolu. -
Réunion annuelle du Comité National du Système d'Alerte Précoce et de Gestion des Catastrophes (CNSAP/GC)
Les premières pluies de l'année 1999 ont été enregistrées au cours de la première décade du mois d'Avril dans l'ouest du pays ou quelques foyers pluvio-orageux faibles et isolés ont intéressé les alentours de la Communauté Urbaine de Niamey, Chikal et Gaya. De la deuxième décade du mois d'avril à la deuxième décade du mois de Juin, les précipitations ont été faibles et localisées sur certaines localités des départements de Tillabéry et Dosso. -
Systèmes d’approvisionnement et de distribution alimentaires : Étude de cas sur la ville de Niamey (Niger)
L’objectif de cette étude de cas est de répondre aux questions suivantes : Comment caractériser l’actuel système de distribution de l’alimentation (SDA) de Niamey ?Quels en sont les déterminants socio-culturels, techniques, politiques et institutionnels ? Quelles en sont les évolutions ? Elle s’est appuyée sur: l’étude de «diagnostic de l’armature commerciale de la ville de Niamey » de 2014, complétée par une enquête en 2016 auprès de consommateurs, commerçants et transporteurs. Nous mettons en avant la résilience du système d’approvisionnement, largement informel, dans un univers fortement contraint en termes de logistique, de politiques publiques, et d’instabilité tant au niveau de l’offre que de la demande. Nous concluons par une liste de recommandations opérationnelles. -
Évaluation des systèmes d'alerte précoce sur la sécurité alimentaire au Niger
La "Sécurité alimentaire" (SA) est assurée quand toutes les personnes, en tout temps, ont économiquement, socialement et physiquement accès à une alimentation suffisante, sûre et nutritive qui satisfait leurs besoins nutritionnels et leurs préférences alimentaires pour leur permettre de mener une vie active et saine" (définition du SICIA V suite au Sommet mondial de l'alimentation). Le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS), qui comprend neuf (9) pays sahéliens dont le Niger, a pour mandat de "S'investir dans la recherche de la Sécurité alimentaire et dans la lutte contre les effets' de la sécheresse et de la désertification, pour un nouvel équilibre écologique au Sahel". -
Lait pasteurisé : Lait caillé
Le projet comprend la fourniture clé en main d'une usine de recombinaison et/ou réception de lait permettant la production de 4.000 litres de lait caillé conditionné en sachets polyéthylène (1/4 -1/2 - 1/1) et 2.000 litres de lait pasteurisé avec le même conditionnement. En complément du matériel de reconstitution et de traitement est également comprise la partie chambre froide ainsi que le groupe électrogène. -
Note d'informations sur le programme d'urgence/volet environnement dans le Département d'Illela
Situé à 33 km de la Commune Urbaine d'Illéla et à 5 km de Dandaji sur la route de Dangona, le site du plateau de Beidi couvre une superficie totale estimée à 550 Hectares. Il est constitué des terres de glacis, des plateaux et des collines. Ce site est fortement dégradé suite aux effets conjugués des deux formes d'érosions avec pour conséquence, l'ensablement de la mare de Beidi, la dégradation des terres agricoles, la formation des Koris et la perte de la terre arable. -
Atelier sur le suivi de la situation alimentaire et sanitaire
Le présent document porte sur l'aperçu de la situation alimentaire au Niger au niveau national et les perspectives d'évolution. L'objectif visé, est non pas de faire une présentation des bilans des disponibilités (thème débattu au séminaire de Tahoua), mais de donner une analyse sur 10 situation au niveau des disponibilités alimentaires sur le plan global et sur le plan régional. -
Cadre stratégique et coût estimatif des programmes de l'initiative pour la période 2012-2015
Face au déficit chronique des produits vivriers, notamment céréaliers, l'insécurité alimentaire devient de plus en plus inquiétante et la pauvreté gagne chaque jour du terrain dans le monde rural qui comptabilise actuellement 80% des pauvres du pays, le Président de la République et le Gouvernement ont lancé l'initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens ». -
Rapport d'évaluation des expériences de coopération réussies : cas du projet régional d'amélioration des mils-sorgho-mais de l'Institut du Sahel
Dans le cadre de son programme de promotion de la coopération technique et scientifique entre ses membres, la FAO a entrepris d'évaluer des expériences de coopération scientifique et technique entre pays en développement (TCDC). C'est ainsi que celle de l'Institut du Sahel, axée sur l'amélioration des principales céréales et du niébé, mise en œuvre pour pallier le déficit vivrier chronique que connait cette sous-région a été retenue (voir annexe nO 1). En effet, elle est significative eu égard d'une part, au faible potentiel technique et scientifique des Etats, à la disparité de leur structure de recherche et d'intervention et d'autre part, à l'instabilité pluviométrique pesant lourdement sur l'effort des États pour assurer leur autosuffisance alimentaire. -
Détermination d'aliments vecteurs pour leur enrichissement en vitamine A : Exercice de FRAT au Niger
La situation nutritionnelle au Niger reste préoccupante. Les résultats de l’enquête publiés en 1998 rapportent des prévalences d’émaciation et de retard de croissance respectives de 21 % et de 41 % chez les enfants de moins de 3 ans pour l’ensemble du pays et pour les deux sexes (EDS, 1998). Comparativement aux résultats obtenus 6 ans plus tôt ( EDS 1992), on observe une aggravation de la situation, puisque l’émaciation s'est accrue 3 points et le retard de croissance de 5 points.