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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment choisir ses variétés - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment faire les différentes tailles - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment se fait le choix du terrain - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : dose et fréquence d'irrigation - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : quel est le processus de plantation - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : quelle quantité de fumure - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : une cuvette où une couronne ? - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment choisir ses variétés - Zarma
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions. -
Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment faire les différentes tailles - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment se fait le choix du terrain - Zarma
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions. -
Plantation et entretien des manguiers au Niger : dose et fréquence d'irrigation - Zarma
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions. -
Plantation et entretien des manguiers au Niger : : quel est le processus de plantation - Zarma
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions. -
Plantation et entretien des manguiers au Niger : : quelle quantité de fumure - Zarma
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions. -
Plantation et entretien des manguiers au Niger : une cuvette où une couronne ? - Zarma
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
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Cahier du formateur : Techniques de production de cultures maraîchères. Arboriculture fruitière
Le présent document sert à renforcer les capacitésdes formateurs dans le domaine de l’agroforesterie en PI; il explique les techniques de production des cultures fruitières au Niger, en six grandesz étapes :
1 -- Généralités sur les techniques de production des cultures fruitières au Niger;
-- 2: Production des plants en pépinière ;
-- 3: Opérations de conduite d’un verger de manguiers
-- 4 : Opérations de conduite d’un verger d’agrumes.
-- 5: Opérations de conduite d’un verger de dattiers.
-- 6: Evaluer les apprentissages -
Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge. Document 5
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Gestion agro écologique des cultures fruitières et maraîchères
Aujourd'hui, les systèmes horticoles doivent évoluer pour à la fois augmenter leur productivité et prévenir les risques pour la santé humaine et l’environnement. la maîtrise des bio-agresseurs sans recours aux pesticides de synthèses, constitue une voie privilégiée pour la mise au point des systèmes horticoles de demain. l'augmentation de la diversité des plantes cultivées et sub-spontanée dans les systèmes de culture, en favorisant notamment le développement des organismes axillaires ( prédateurs, pollinisateurs, parasitoïdes ... ), permet de contrôler plus durablement les populations de ravageurs. -
Guide de bonnes pratiques phytosanitaires pour la production de tubercules et de feuilles de manioc (Manihot esculenta) en pays ACP
Le document « Guide de Bonnes Pratiques Phytosanitaires » (fruit ou légume) détaille toutes les pratiques phytosanitaires liées au (fruit ou légume) et propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des pesticides dans le cadre de la Directive Européenne 91/414 et devant respecter les normes Européennes en matière de résidus des pesticides. Au stade actuel ces substances actives n’ont pas été testées en pays ACP par le PIP pour vérifier la conformité avec les LMR européennes.Les informations données sur les substances actives proposée est donc et sera adaptée en continu selon les nouvelles informations que rassemblera le PIP. Il est évidemment entendu que seules les formulations légalement homologuées dans leur pays d’application sont autorisées à l’usage. Chaque planteur aura donc le devoir de vérifier auprès de ses autorités réglementaires locales si le produit qu’il souhaite utiliser figure bien sur la liste des produits homologués. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Connaissance et utilisation des pesticides
Ce module de formation traite de l'utilisation des pesticides. Cette utilisation passe par la connaissance de la typologie des pesticides au Niger. -
La culture fruitière sous les tropiques
Ce guide technique du CTA montre comment réussir une culture fruitière sous les tropiques -
Guide de formation sur l'arboriculture fruitière
Ce guide de formation sur les techniques de l’arboriculture fruitière est destiné aux agents d’encadrement des exploitants agricoles pratiquant ou désirant pratiquer l’arboriculture pour une plus grande efficacité dans la conduite des opérations culturales. L’objectif visé à
travers ce document est d’amener ces agents à maîtriser les techniques de l’arboriculture fruitière principalement en zone sahélienne afin qu’ils puissent mieux encadre les exploitants
agricoles. -
Comment se débarrasser des escargots et limaces
Conseils donnés par un horticulteur pour se débarrasser des limaces et escargots -
Le greffage : bonnes pratiques
Vous trouverez dans cette vidéo des conseils techniques pour réaliser correctement vos greffes végétales -
Fertilisation en arboriculture
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés. -
Réduction des doses de cuivre : Vigne, Pêcher, Pommier-Poirier, Olivier
Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Il permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. -
Fiche maraîchage n°3 : le greffage en maraîchage
Cette fiche montre différentes techniques de greffage en arboriculture -
Fiche maraîchage n°5 : filets de protection
Le filet de protection permet de protéger les cultures des agressions extérieures telles que les insectes nuisibles et les oiseaux. Grâce à celui-ci, les traitements insecticides sont supprimés ou diminués. -
Les auxiliaires entomophages
Les insectes nuisibles sont régulés par leurs ennemis naturels (prédateurs, parasitoïdes et pathogènes) appelés auxiliaires des cultures. Le préfixe « entomo - » désigne les insectes, les auxiliaires sont donc qualifiés d’entomophages s’ils consomment les insectes (araignées, insectes prédateurs et parasitoïdes), ou d’entomopathogènes s’ils les rendent malades (micro-organismes). -
La lutte contre les insectes ravageurs - exemples de méthodes par piégeage
Cette fiche rassemble quelques techniques utiles afin de lutter contre certains insectes nuisibles des cultures. Ces méthodes simples à réaliser utilisent des systèmes par attractif alimentaire ou piège dit mécanique. -
Lutte contre la fourmi manioc
Les fourmis manioc appartiennent aux genres Atta et Acromyrmex, elles sont qualifiées de fourmis coupeuses-de-feuilles ou champignonnistes. Elles se nourrissent du champignon Leucoagaricus gongylophorus qu’elles cultivent sur un substrat de feuilles en décomposition (compost). Ces fourmis sont bien connues des agriculteurs pour les dégâts causés au feuillage des arbres (surtout la nuit). -
Guide technique sur les nuisibles de la banane plantain, le maïs, le manioc et la tomate.
Une bonne connaissance des nuisibles des cultures est nécessaire pour permettre une meilleure gestion de leurs effets néfastes. La maîtrise des nuisibles nécessite par ailleurs la mise en place d’une stratégie de protection
intégrée et d’utilisation rationnelle des pesticides, afin de préserver l’environnement et de réduire les cas d’intoxication des utilisateurs et des consommateurs. -
Guide des ravageurs de sol en grandes cultures
Ce présent document porte sur des ravageurs de sol en grandes cultures -
Synthèse par culture des méthodes de lutte disponibles
Ce document constitue un recensement des méthodes de lutte applicables immédiatement (I) et des méthodes de lutte potentielles (P). Pour chaque méthode de lutte, il est indiqué le pays ou l’organisme où l’on peut obtenir de plus amples informations. -
Lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre
Ce guide porte sur la lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre -
Fiche technique : Reconnaissance des ravageurs du maïs en culture au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique montre comment reconnaître et lutter contre les principaux ravageurs du maïs -
Caractéristiques des ravageurs des palmiers africains
Planche de reconnaissance des ravageurs du palmier -
Cahier du formateur « utilisation des pesticides – alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures »
(Version française)Le guide est un support privilégié du formateur pour la mise en œuvre du plan de déroulement de la formation. Il présente des manières d’aborder les objectifs et de développer un enseignement spécifiques aux producteurs/trices. -
Controlling banana weevils
Cette vidéo montre comment contrôler les charançons du bananier
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Fascicule de cours : gestion intégrée de l'arboriculture fruitière
L'arboriculture fruitière comme le maraichage constitue une activités complementaire de la protection vivrière qui est le fondament de toute politique d'autosuffisance alimentaire. -
Observations sur les pratiques des producteurs en matière de protection phytosanitaire du poivron
Cette note rassemble les observations ponctuelles, effectuées par les techniciens et des élus de la Chambre d’Agriculture de Diffa au cours de visites des parcelles de poivron et d’entretiens avec des producteurs. Il ne s’agit donc pas d’une enquête exhaustive. Le contenu de cette note devra être confirmé et complété. Le poivron doit représenter 80% des cultures irriguées de la vallée de la Komadougou qui traverse 5 communes de la région de Diffa. La situation des producteurs de poivron est inquiétante. Les pertes enregistrées pour la campagne 2011 – 2012, à cause des ravageurs et maladies, sont très importantes : des producteurs réalisent une seule récolte, et un grand nombre s’arrête à trois alors qu’ils devraient avoir 5 à 6 récoltes. Ces pertes semblent en augmentation et les traitements phytosanitaires peu efficaces, malgré le nombre élevé de traitements que réalisent certains producteurs. -
Potentiel agrumicole de Timia
Au Niger, quatre régions produisent 95% de la production du pays en agrumes. Il s'agit de la région d'Agadez qui produit 41%, suivie de Zinder, de Maradi et Tillabéry 5% (MDA, 2008).
L’essentiel de la production d’agrume qui place la région d’Agadez première en agrumiculture provient essentiellement des communes de Timia, Tabelot, Dabaga et Tchirozerine.
C’est dans ce cadre que cette étude sur le potentiel de production de Timia et diagnostic de la filière agrumicole, a été initiée par l’ONG HED Tamat et exécuté conjointement par la Direction régionale de l’Agriculture (DRA) d’Agadez et le GIE Tagazt. Elle a pour objectif global de guider les acteurs locaux et nationaux pour la mise en œuvre de politiques efficaces et cohérentes de valorisation des productions d’agrumes de Timia. De façon spécifique, l’étude doit permettre une meilleure connaissance du potentiel productif de la commune et faire le diagnostic de la filière.
Le présent rapport est la synthèse des travaux de recherches documentaires et une enquête terrain réalisés dans les communes dans une dizaine de sites et dans 382 vergers d’agrumes. Il rappelle le contexte de l’étude, la méthodologie de travail et les résultats de l’étude. -
L'ABC du verger
Livre grand public vulgarisant des techniques arboricoles, principalement à destination d'un public occidental. -
Fertilisation raisonnée en arboriculture fruitière
Ce guide est destiné à toutes les personnes désirant réaliser une fertilisation qui optimise la qualité de la production et le résultat économique du verger, tout en préservant l’environnement. Une première étape, indispensable pour aboutir à ce résultat, réside dans une bonne connaissance des besoins des différentes espèces fruitières. Comment se nourrit l’arbre ? Quels sont les éléments minéraux nécessaires et en quelles quantités ? À quels moments sont-ils prélevés ? L'observation du fonctionnement du sol est la base de la nutrition des arbres fruitiers. Cela passe par une observation indispensable du profil racinaire des arbres, une bonne préparation du sol avant plantation et une gestion de l'alimentation hydrique adaptée au sol. Pour faciliter le raisonnement différents outils sont actuellement disponibles. L’analyse de sol guide sur les fumures de correction à apporter. Le reliquat azoté permet un pilotage en temps réel de la fumure azotée du verger. Enfin l’analyse foliaire permet de valider le pilotage de la fertilisation réalisé à partir de l’analyse de sol et du reliquat azoté. -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Promotion d'alternatives au pesticides : Module 3
L’objectif de ce module est de permettre de développer la lutte biologique et une meilleure connaissance des ravageurs et auxiliaires afin de mettre en place une stratégie de protection des cultures sans pesticides. Concernant les principes globaux, la pyramide ci-dessous présente les différents outils et méthodes pouvant être mis en œuvre par les paysans afin de leur permettre d’éviter au maximum l’utilisation de pesticides. Pour obtenir des cultures les plus saines possibles, les principes de base de l’agroécologie se situent en socle avec une diversité de pratiques, de systèmes de culture et de paysages. Ensuite interviennent les observations, étape déterminante pour établir le bon diagnostic et choisir la stratégie. -
Etude de Développement des Oasis Sahéliennes en République du Niger (EDOS)
Support de formation sur l'arboriculture fruitièreCe guide de formation sur les techniques de l'arboriculture fruitière est destiné aux agents d'encadrement des exploitants agricoles pratiquant ou désirant pratiquer l'arboriculture pour une plus grande efficacité dans la conduite des opérations culturales. -
Action de quelques fongicides sur la croissance mycélienne de trois espèces d'entomophthorales
I1 existe une grande disparit6 dans l'activit6 des diff6rents fongicides sur la croissance myc61ienne des 3 esp6ces d'Entomophthorales. Certains fongicides sont peu ou pas actifs (chlorothalonil, &hirimol, oxychlorure de cuivre, soufre, etc.), d'autres agissent moyennement (captafol, dichlofluanide, mancoz6be, thirame, etc.) ; d'autres encore se révèlent toxiques (b6nodanil, chinomdthionate, chloronbbe, triarimol). Mais il n'est pas simple de classer les fongicides en fonction de leur activation ; un bon nombre d'entre eux possède un comportement hétérogène devant les 3 souches (carbendazime, oxycarboxine, 26019 RP, etc.). Dans l'ensemble, les fongicides syst6miques se montrent plus efficaces sur la croissance myc61ienne que les non syst6miques. -
Criquets ravageurs du Niger : guide de l'agriculteur / haoussa
Adapté de l'ouvrage de Michel Lecoq « Les criquets du Sahel » (CIRAD, 1988) par Alana Burnham, Idrissa Maiga, Michel Lecoq et Arianne Cease, cette étude revient sur le criquet qui a toujours été parmi les plus grands ravageurs de plantes en Afrique. Ce travail, consiste à identifier, l'insecte dans les différentes régions du Niger et sa manière de s'attaquer sur les plantes. Enfin elle propose des méthodes de lutte efficace. -
Criquets ravageurs du Niger : guide de l'agriculteur / zarma
Adapté de l'ouvrage de Michel Lecoq « Les criquets du Sahel » (CIRAD, 1988) par Alana Burnham, Idrissa Maiga, Michel Lecoq et Arianne Cease, cette étude revient sur le criquet qui a toujours été parmi les plus grands ravageurs de plantes en Afrique. Ce travail, consiste à identifier, l'insecte dans les différentes régions du Niger et sa manière de s'attaquer sur les plantes. Enfin elle propose des méthodes de lutte efficace. -
L'arboriculture fruitière au Niger
Ce diaporama présente différentes espèces végétales cultivées au Niger -
La lutte contre la cetoine : Pachnoda interrupta
Cette affiche montre comment lutter contre la cétoine -
Lutte contre la pourriture blanche (fusariose)
Ce poster montre comment reconnaître et lutter contre la fusariose -
La lutte contre la mouche blanche: Bemisia tabaci
Ce poster montre comment reconnaître et éviter les attaques de mouches blanches -
Rapport général du module maraîchage
Les caractéristiques des sites de production, les caractéristiques socioéconomiques des exploitants, les superficies, les productions, le chiffre d’affaires, les difficultés sont autant d’informations utiles à l’élaboration des politiques dans le maraîchage. Pour ce qui concerne, les caractéristiques des sites, on comptait en 2008 environ 4 844 sites maraîchers. La majorité (79,5 %) de ces sites est exploitée de façon saisonnière. Sur plus de 68 % des sites maraîchers, les exploitants ne sont pas organisés et seulement 29,8 % des sites maraîchers abritent des groupements d’exploitants maraîchers. -
Etude des jardins de Tabelot et des Bagzan dans le massif de l'Air : contribution au développement local dans le Nord Niger
Cette partie, après avoir présenté l'historique de la création des jardins, propose de décrire le fonctionnement technique des jardins. Pour cela, il est nécessaire de caractériser d'abord les moyens de production nécessaires au fonctionnement d'un jardin, à savoir le foncier, les ressources en eau, la main d'œuvre et le capital. Dans un deuxième temps seront analysés les traits dominants des systèmes de culture en place tout en insistant sur certains aspects singuliers de ces systèmes. Cette présentation se justifie pour plusieurs raisons : les jardins constituent non seulement un objet d'étude pour l'agronome impliqué dans le développement de la région, mais le fonctionnement des jardins est également une composante essentielle du système agraire de l'Aïr. En effet, les systèmes de production sont variés et dépendent de chaque exploitation mais les systèmes de culture (et d'élevage) sont relativement homogènes. Ces derniers sont largement dictés par les conditions d'exploitation du milieu (disponibilité en eau notamment) ainsi que par les marchés et filières en place. Comprendre l'organisation du système agraire régional implique une analyse descriptive détaillée du fonctionnement des jardins et des systèmes de production en place. Cette partie débouche sur un certain nombre d'observations concernant la dynamique actuelle des jardins et sur les orientations que cela implique en termes de stratégies de développement. -
Note technique : le grenadier et la production de grenades
Originaire du proche Orient (Iran et régions voisines), le grenadier fait partie de la famille des Punicaceae. En général, on utilise le mot grenade pour le fruit et grenadier pour désigner l’arbre. Le mot « grenadine » est utilisé pour le sirop ou le jus de fruit obtenu avec les fruits. Cependant, au Niger, le mot « grenadine » sert à désigner les fruits. Les grenades sont mondialement reconnues pour leur teneur exceptionnelle en antioxydants et leurs multiples vertus pour la santé. La grenade a pour nom scientifique Punica granatum. En langue Tamasheq elle est nommée jernat, rôeman ou alkadam, d'autres l'appellent kawandan, en langue Haoussa rouman. -
Visite de la ferme d’un promoteur à Takalmaoua particularité du site : arboriculture, pisciculture, maraichage et élevage
Le site de ce promoteur est situé dans la vallée de Takalmaoua sous les coordonnées géographiques N14°58’01.31’’ E05°18’07.14’’, à 10 km au Nord-Est de la ville de Tahoua. Il a été créé en 2013 par un privé passionné d’agriculture, descendant d’un pisciculteur de Gaya. Les investissements réalisés sont financés sur fonds propres de l’exploitant. Le site couvre une superficie de plus de 8 hectares, le promoteur a recruté six (6) ouvriers permanents qui vivent jours et nuit dans cette exploitation, il emploie également plus de 10 personnes en main d’œuvre temporaire qui sont mobilisées en cas de besoin pendant les travaux de préparation du sol, le repiquage, le sarclage et la récolte. Cette exploitation comporte différents systèmes de culture :
- L’arboriculture fruitière (manguiers, agrumes, goyaviers, dattiers, papayers, etc.) ;
- Le maraichage (tomate, poivron, oignon, ail, pastèque et moringa) ;
- Pisciculture (carpe, capitaine, silure) ;
- Élevage (bovins, ovins, caprins, lapins, poules, pigeons, canards). -
Renouvellement arboricole et régénération des palmeraies dans la région d’Agadez
Dans le bassin de production de Timia, la production d’agrumes connaît une progression ces dernières années, si on tient compte des quantités commercialisées qui passent de 253 tonnes en 2013 à 551 tonnes en 2018). Cela liée surtout à la progression des superficies emblavées. Cela est lié à la rentabilité de cette culture malgré certaines insuffisances en techniques de production. Les conditions d’une amélioration de la production et de la rentabilité existent vue l’engagement des producteurs et les disponibilités en terres, en eau et en technologies nouvelles. Cependant, le souci principal des producteurs demeure : comment mieux vendre les agrumes aujourd’hui et demain? Dans les nouvelles zones de production, à savoir Tabelot, Dabaga, Tchirozérine et Ingall (Carte 1), la production est embryonnaire, compte tenu du niveau technique faible des producteurs et de l’insuffisance de l’eau d’irrigation durant une partie de l’année. Dans la Commune Urbaine d’Agadez, un type nouveau de producteurs a fait son apparition, notamment des fonctionnaires et des commerçants, avec des superficies assez importantes et une ambition pour faire une production améliorée et variée. -
Mauvaises pratiques de production de bananes
Manuel de formation sur les mauvaises pratiques de production de bananes ainsi que les pratiques d'amélioration. -
La culture de la banane biologique
Selon la Fédération internationale des mouvements d’agriculture biologique (IFOAM), l’agriculture biologique est un système de production qui préserve la santé des sols, des écosystèmes et des personnes. Elle s’appuie sur des processus écologiques, la biodiversité et des cycles adaptés aux conditions locales, plutôt que sur l’utilisation d’intrants aux effets néfastes. L’agriculture biologique combine la tradition, l’innovation et la science au profit de l’environnement commun et favorise des relations équitables et une bonne qualité de vie pour toutes les personnes concernées. -
Le succès d’un verger repose aussi sur des plants sains
En Suisse, l’approbation/la certification des arbres fruitiers n’est pas encore ancrée dans les habitudes, bien qu’elle constitue l’unique garantie d’avoir des plants exempts de virus et de phytoplasmes. Comme la certification est facultative en arboriculture fruitière, l’offre en plants certifiés dépend de la demande. Les virus et phytoplasmes peuvent provoquer des dommages économiques plus ou moins graves selon l’année, l’espèce fruitière et la variété. Ces pertes à la récolte ont été calculées avec le modèle ARBOKOST développé par Agroscope. Une virose réduisant le rendement de 15% seulement peut se traduire par une perte de 50000fr./ha dans une culture de Golden Delicious établie depuis quinze ans.