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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment choisir ses variétés - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment faire les différentes tailles - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment se fait le choix du terrain - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : dose et fréquence d'irrigation - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : quel est le processus de plantation - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : quelle quantité de fumure - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : une cuvette où une couronne ? - Haoussa
Plantation et entretien des manguiers au Niger (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
Il s’agit de la plantation de manguiers.Les éléments en langue Haoussa :
1. Comment se fait le choix du terrain ?
2. Comment choisir ses variétés ?
3. Comment faire les différentes tailles ?
4. Dose et fréquence d’irrigation ?
5. Quel est le processus de plantation ?
6. Quelle quantité de fumure ?
7. Une cuvette ou une couronne ?Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment choisir ses variétés - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment faire les différentes tailles - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment se fait le choix du terrain - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : dose et fréquence d'irrigation - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : : quel est le processus de plantation - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : : quelle quantité de fumure - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : une cuvette où une couronne ? - Zarma
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
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Techniques de production des cultures irriguées -- Carottes
Le présent document s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du PSRCA. Il traite des techniques de production des cultures maraîchères (Carotte). Le manuel aborde cette culture dans sa généralité, dans la conduite de la culture, la production des semences etc... -
Cahier du formateur : Techniques de production de cultures maraîchères. Arboriculture fruitière
Le présent document sert à renforcer les capacitésdes formateurs dans le domaine de l’agroforesterie en PI; il explique les techniques de production des cultures fruitières au Niger, en six grandesz étapes :
1 -- Généralités sur les techniques de production des cultures fruitières au Niger;
-- 2: Production des plants en pépinière ;
-- 3: Opérations de conduite d’un verger de manguiers
-- 4 : Opérations de conduite d’un verger d’agrumes.
-- 5: Opérations de conduite d’un verger de dattiers.
-- 6: Evaluer les apprentissages -
Cahier du formateur : Techniques de production maraîchère -- Oignon
Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la PI. Il explique les techniques de production de l'oignon selon les étapes ci-dessous:
1 -- Description des généralités sur la culture de l’oignon au Niger;
2 -- Description de la conduite d’une pépinière de culture d’oignon;
3 -- Opérations d’entretien d’une culture d’oignon;
4 -- Techniques de production locale de semences;
5 -- Evaluation des apprentissages. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures -
Ferme agropastorale Gorou-Bi
La ferme agropastorale Gorou-Bi commercialise divers produits biologiques tels que le moringa. -
Lutter contre la mineuse de l’épi du mil sans pesticides, c’est possible !
Tous les producteurs du Niger redoutent le ravageur du mil qui est appelé en français la chenille mineuse de l’épi, en Haoussa murzouna et en Zarma guéri-guéri. Cette chenille s’attaque au mil quand les chandelles sont sorties et que les producteurs espèrent une bonne récolte. Elle
est capable de détruire une bonne partie de la récolte ou même de la totalité.
Les années où cette chenille s’attaque au mil, elle peut être présente dans tous les champs d’un terroir et il est impossible de la traiter en utilisant des pesticides. Mais il existe un autre moyen de lutter contre la mineuse de l’épi.
Nous allons partager avec vous l’expérience de l’élevage d’un de ses plus redoutables ennemis qui se nomme Habrobracon. -
Cadre de référence pour la mise en œuvre des programmes d’alphabétisation et de formation des adultes
La Direction des Programmes d’alphabétisation et de la Formation des Adultes (DPAFA) a élaboré un document cadre de référence pour la mise
en œuvre des programmes d’alphabétisation et de formation des adultes.
Le présent document comporte quatre parties :
• La clarification des concepts
• La pré-alphabétisation
• L’alphabétisation
• La pérennisation des acquis
Il est essentiel de noter que les trois dernières parties sont indissociables et forment un
processus pour la campagne d’alphabétisation et de formation des adultes. -
Culture et entretien de la nigelle (Nigella)
La nigelle cultivée (Nigella sativa L. 1753) ou cumin noir est une plante annuelle de la famille des Renonculacées originaire du sud-ouest de l'Asie. Les graines sont utilisées comme remède traditionnel ou comme épice dans de nombreux pays du monde (particulièrement dans le monde musulman). -
Fiche technico-économique pour la culture de la canne à sucre
La canne à sucre est une plante cultivée principalement pour ses tiges qui contiennent un jus sucré d’où on tire le sucre. Elle appartient à la famille des graminées comme le mil, le sorgho ou le maïs. Au Niger, elle est surtout utilisée en consommation directe, comme canne de bouche. La canne à sucre est cultivée comme plante annuelle avec une récolte 8 à 10 mois après la plantation. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
L’oignon est une des principales cultures irriguées dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis (Goulbi Maradi et Goulbi Kaba) et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données de 2015 du Ministère de l’Agriculture, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34.200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. La surface moyenne par producteurs est d’environ 1.200 m2 et le rendement moyen est évalué à 20 tonnes/ha (conseil de gestion aux exploitations 2017). -
Fiche technico-économique pour la culture de laitue
La laitue en Houassa Salati, est une culture de courte durée qui se cultive sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder. Sur les sites de Tiss et Middick en périphérie de la ville de Zinder, la laitue se cultive toute l’année, tandis que sur les autres sites elle reste encore une culture de saison sèche froide. Les superficies exploitées varient de 250 à 2500 m2 en saison sèche froide. -
Le poivron rouge de Diffa
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatassaye », est cultivé en irrigué dans la vallée de la rivière Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. C’est la production irriguée majeure de la vallée de la Komadougou. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8.000 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron est la culture « locomotive » de la vallée de la Koumadougou avec environ 6.000 producteurs. -
Gestion agro écologique des cultures fruitières et maraîchères
Aujourd'hui, les systèmes horticoles doivent évoluer pour à la fois augmenter leur productivité et prévenir les risques pour la santé humaine et l’environnement. la maîtrise des bio-agresseurs sans recours aux pesticides de synthèses, constitue une voie privilégiée pour la mise au point des systèmes horticoles de demain. l'augmentation de la diversité des plantes cultivées et sub-spontanée dans les systèmes de culture, en favorisant notamment le développement des organismes axillaires ( prédateurs, pollinisateurs, parasitoïdes ... ), permet de contrôler plus durablement les populations de ravageurs. -
Fiche technique : Le repiquage du Poivron
Cette fiche technique a été réalisée dans le cadre du Projet d’appui à la Mutuelle N’Gada (Diffa). Elle sera progressivement améliorée à partir des travaux avec la recherche, les structures d’appui conseil et les producteurs. -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate
La tomate est l’une des principales cultures de la région de Maradi. Elle est produite en culture irriguée et en décrue le long des Goulbis Maradi et Kabba. Le cycle de production dure entre 90 et 120 jours. Les superficies exploitées varient entre 200 et 3.000 m² par producteur. Avec une superficie moyenne de 500 m², on peut obtenir un rendement de 1 tonne soit un produit de 76.000 F.CFA pour 33.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 43.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre fait partie des cultures maraichères les plus pratiquées dans la région de Maradi. Elle est cultivée sur presque tous les sites situés le long des Goulbi Maradi et Goulbi Kaba, principalement sur le site de Mafalia situé à l’extrémité ouest de la ville de Maradi. Sa production se fait en une campagne, en saison sèche froide, avec un cycle variant entre 70 à 120 jours selon les variétés. En moyenne, une production d’environ 1 000 kg pour 1 000 m2 permet de dégager un produit de 200 000 F.CFA pour 91 000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 109 000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
Dans la région de Maradi, l’oignon est principalement cultivé dans les zones traversées par le Goulbi Maradi et le Goulbi Kaba, et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données du Ministère de l’Agriculture de 2015, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34 200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. Le rendement obtenu est évalué entre 15 à 50 tonnes/ha. En moyenne, pour 1000 m², une production de 3 tonnes (rendement de 30 tonnes/ha) permet de dégager des revenus de 200 000 F.CFA pour 52 000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 148 000 FCFA et un ratio produits/charges supérieur à 2 -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds. Il est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou est de 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 2.215 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un produit de 155.000 FCFA pour 77.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 78.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique sésame
Le sésame est une culture en expansion dans la région de Diffa. Ces 5 dernières années, les superficies emblavées en sésame pendant la saison des pluies prennent de plus en plus d’ampleur particulièrement dans les Départements de Goudoumaria, Mainé Soroa et Diffa. Selon les Services Départementaux de l’Agriculture, la culture du sésame occupe environ 1 500 ha. Le sésame est produit en culture pure ou en association avec d’autres cultures comme l’arachide, le sorgho et le mil. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. Les femmes transforment des petites quantités en gâteaux vendus à 20 Nairas /unité soit environ 25 F.CFA pour la consommation locale. -
Manuel de production du sésame conventionnel et biologique
Le sésame est l’une des plantes oléagineuses les plus anciennes au monde, les plus connues et les plus utilisées au monde. L’Inde et la Chine sont les plus grands producteurs au monde suivi par la Birmanie, le Soudan, le Mexique, le Nigeria, le Venezuela, la Turquie, l’Ouganda et l’Ethiopie. Dans la sous-région Ouest africaine, le Burkina Faso occupe la deuxième place après le Nigeria avec une production de 25 000 tonnes pour la campagne 2006/2007. Quatre variétés de sésames sont cultivées au Burkina Faso. Ce sont : la S.42 (90 jours), la Cross nº3 (90 jours), la Yendev 55 (100 jours) et la S38-1-7 (95 jours). -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche froide
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. Dans la région de Dosso, la principale zone de production est le Dallol Maouri, Département de Tibiri, avec des surfaces cultivées variant de 0,05 ha à 1 ha par producteur. Elle est souvent cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 9,24 tonnes (42 korya) de pastèque permet de dégager des revenus de 840.000 F.CFA pour 230.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 610.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour l’oignon rouge
L’oignon rouge de Sokoto ou encore appelé Dan Yaouri en haoussa est une des principales cultures irriguées de la commune de Gaya. Cet oignon a un cycle de 90 à 115 jours du repiquage à la récolte. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 0,1 ha et 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 7 tonnes permet de dégager des revenus de 788.000 F.CFA pour 158.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 630.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon blanc
L’oignon blanc appelé « albassa koiraye » en Djerma ou « faral albassa » en Haoussa est cultivé principalement dans la Commune rurale de Soucoucoutane, département de Doutchi. Cela reste une variété peu connue, avec une production limitée, mais qui pourrait trouver une meilleure place sur les marchés dans les années à venir (diversification). Le cycle de la culture varie entre 90 à 120 jours quand les bulbes produits sont destinés à la vente directe sur le marché, et entre 120 et 150 jours quand il s’agit des bulbes de conservation. En moyenne, pour 1000 m², on obtient une production d’environ 3.640 kg qui permet de dégager un produit de 448.000 F.CFA pour 130.000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 318.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la laitue
La laitue ou « salati » en haoussa est l’une des principales cultures irriguées du département de Doutchi (région de Dosso). Les bassins de production sont Matankari, Kiéché et Doutchi. Au cours de l’année, un producteur peut effectuer 5 à 6 cycles de production. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 500 à 1 500 m2. En moyenne pour une surface de 1000 m² on obtient une production de 1 650 kg (64 planches de 10 m²) qui permet de dégager par cycle de production 272 000 F.CFA pour 23 410 F de charges opérationnelles et une marge brute de 248 590 F. -
Fiche technico-économique pour la culture de la carotte
La carotte est une production très cultivée sur le site de Soumarana situé à 5 km de Maradi. La production se fait en une campagne en saison sèche froide. La variété la plus cultivée est la carotte « Touchon » en provenance du Nigeria. Elle est vendue sur le site et acheminée par les acheteurs sur les marchés de Maradi pour sa commercialisation. Le cycle de la carotte varie de 90 à 120 jours avec un rendement de 19 à 49 tonnes à l’hectare, soit près de 290 planches de 3 m2. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 3,5 tonnes permet de dégager des revenus de 159.500 F.CFA pour 89.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 70.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds autour des puits et forages. Les principales zones de production sont : Mafalia (Maradi), Garin Daouré (Tibiri), Gourjia et Laouni (Gazaoua). Le chou est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou dure 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 1.680 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un revenu de 118.600 F.CFA pour 39.100 F.CFA de charges et donc une marge brute de 79.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour le piment vert
Le piment appelé Tonka en Haoussa comme en Zarma, est une culture que l’on pratique sur presque tous les sites maraîchers du département de Gaya. Les superficies exploitées se situent entre 0,25 ha et 0,75 ha. Un cycle de production de piment vert dure 5 à 6 mois. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 4 tonnes permet de dégager un produit brut de 650.000 F.CFA pour 72.000 FCFA de charges et donc une marge brute de 578.000 F.CFA et un ratio produits/charges de 9. Ce résultat est obtenu par les exploitations agricoles employant principalement de la main d’oeuvre familiale -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du poivron
Le poivron est la culture principale pratiquée le long du Goulbi Kaba situé au Sud du chef-lieu du département de Gazaoua dans la région de Maradi. Selon une estimation de la CRA réalisée en 2014, plus de 12.000 tonnes de poivron frais sont produits par an dans la région. Le poivron a un cycle de 120 à 150 jours avec 5 à 8 récoltes par campagne pour un rendement évalué entre 10 et 15 tonnes/ha. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 1,5 tonne permet de dégager des revenus de 284.000 F.CFA pour 93.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 190.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche chaude
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une Cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. La principale zone de production concernée est le Dallol Maouri département de Tibiri avec des surfaces cultivées variant de 0,05 à 1 ha par producteur. Elle est principalement cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 11 tonnes permet de dégager un produit brut de 1.785.000 F.CFA pour 235.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 1.550.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon feuilles
L’oignon-feuilles, encore appelé en haoussa Albassa mai gangné ou shafa, est une des principales cultures irriguées de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Damagaram Takaya, Kantché, Magaria, Doungass et Gouré. L’oignon-feuilles a un cycle de 90 à 110 jours du repiquage à la récolte. Les surfaces cultivées sont disparates et varient souvent de 0,1 à 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 9 tonnes permet de dégager des revenus de 1.700.000 F.CFA pour 250.000 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.450.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 6. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est l’une des cultures principales du département de Tibiri qui constitue l’un des plus grands bassins de production de la zone. Les superficies moyennes cultivées par producteur varient de 100 m² à 5.000 m2. Une production moyenne de 2500 m2 permet de générer des revenus de 275.000 F.CFA pour 77.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 198.000 F.CFA et un ratio (produits/charges opérationnelles) supérieur à 2. -
Fiche technico-économique du poivron rouge
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatasay », est cultivé en irrigué dans la vallée de la Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Rendement : meilleurs producteurs 1.800 kg par ha de poivron sec, producteurs moyens 1.300 kg par ha de poivron sec. En année normale, les superficies emblavées en poivron sont estimées à environ 7.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 11.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou avec environ 5.000 producteurs. -
Fiche technico-économique pour la culture pure de l’arachide
En quelques mots : L’arachide appelée en haoussa Guiada ou Gougia est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Kantché et Magaria. Elle est cultivée sur des sols sableux pauvres en matière organique, le plus souvent en association avec plusieurs autres cultures (mil, sorgho, sésame, niébé) dans la logique de garantir des récoltes minimums pour les producteurs. La présente fiche technico-économique porte sur la culture de l’arachide en culture pure. En quelques chiffres : Selon les résultats de la campagne agricole 2015 du MAG/EL, la production d’arachide de la région de Zinder est estimée à plus de 120.000 tonnes avec un rendement de l’ordre de 670 kg à l’hectare. L’arachide produite est commercialisée vers le Nigeria mais aussi, transformée par les groupements de femmes en huile, tourteaux et pâte. Une femme transformatrice peut transformer jusqu’à 300 kg d’arachide par mois (données du conseil de gestion aux transformatrices d’arachide 2016 - 2017 de la CRA de Zinder). -
Module sur l’utilisation des bio pesticides et méthodes de lutte intégrée
Un biopesticide est un pesticide dérivé des matériaux naturels comme les bactéries, les plantes, … Kiota avec une solution d’ail et Djoga (Torodi) avec un mélange feuille de neem + piment + tabac. Les produits à base de neem se vendent aux Etats Unis (homologué en « bio ») ou en Europe. Pas d’arbres de neem dans ces pays Au Niger nous en avons. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : préparation et application des bio pesticides
L’objectif de ce module de formation est de sensibiliser les producteurs aux méfaits des pesticides sur la santé de l’homme et de l’environnement, connaitre les plantes à vertus pesticides sur les quels des travaux de recherche ont permis de voir leur efficacité, apprendre à fabriquer eux même les produits à base de ces plantes, les intégrer dans un programme de lutte intégrée sur leur parcelle. -
Fruits et légumes biologiques des régions tropicales : Information de Marché, Certification et Production pour Producteurs et Sociétés de Commerce Internationales
Ce rapport porte sur la production et principes de base de l’agriculture biologique -
Raisonner sa fertilisation en maraîchage biologique
Cette fiche technique porte sur la fertilisation en maraîchage biologique -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate Région d’Agadez
La tomate est l’une des principales cultures maraichères pratiquées dans la région d’Agadez. Elle est produite toute l’année. Le cycle de production par campagne dure entre 100 et 120 jours. Les superficies exploitées par producteur varient entre 160 et 6.700 m²1. Le rendement moyen est près de 11 tonnes à l’hectare (variant entre 2 et 29 T/ha). Avec une superficie moyenne de 1.000 m², on obtient un produit de 210.000 F.CFA pour 47.400 F.CFA de charges opérationnelles, soit une marge brute de 162.600 F.CFA. -
CNABIO
Le site CNABio, est géré et administré par le Conseil National de l'agriculture Biologique, association pour la promotion de l'agriculture biologique au Burkina Faso. -
Burkinadoc - Mil école
L’association Mil’Ecole souhaite initier des actions de développement dans des villages du Burkina Faso en concertation avec les populations concernées (agriculteurs, enseignants, responsables locaux, etc.). Les actions de 2008 à 2013 présentées sur ce site ont été réalisées notamment par des membres de Mil’École lors de leur participation à l’association Les Puisatiers. Ce site veut montrer nos actions au Burkina Faso sous la forme de leurs cheminements : les blocages, les impasses et parfois des échecs, les réussites. Monter des projets d’aide au développement n’a rien d’un long fleuve tranquille ! -
Utilisation des Pesticides – alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures (Version française)
Ce module de formation des producteurs sur l’utilisation des pesticides est un support essentiellement adressé aux producteurs analphabètes. C’est un module qui donne les pistes d’une bonne utilisation des pesticides dans la vie courante des producteurs. Malgré toutes les sensibilisations menées jusque-là, les contaminations par les pesticides et les risques de mauvaises pratiques persistent. L’une de nos préoccupations majeures est de tendre vers les bonnes réponses aux questions que se posent tous les acteurs agricoles en général et les maraichers en particulier suite aux risques énormes auxquels s’exposent les manipulateurs des pesticides. -
La culture fruitière sous les tropiques
Ce guide technique du CTA montre comment réussir une culture fruitière sous les tropiques -
Guide pratique sur la culture du niébé pour le Burkina Faso
L’Institut international d'agriculture tropicale (IITA) est le principal acteur de la recherche en Afrique pour la résolution de la faim et de la pauvreté. Notre recherche pour le développement (R4D) s’intéresse aux besoins de développement des pays tropicaux. Nous travaillons avec nos partenaires pour améliorer la qualité, la productivité des cultures et réduire les risques afin de générer des richesses venant de l’agriculture à la fois pour les consommateurs et les producteurs. L’IITA est une organisation à but non lucratif fondée en 1967, dirigée par un conseil d’administration et financée par plusieurs pays. L'IITA est membre du consortium CGIAR. -
Guide de formation sur l'arboriculture fruitière
Ce guide de formation sur les techniques de l’arboriculture fruitière est destiné aux agents d’encadrement des exploitants agricoles pratiquant ou désirant pratiquer l’arboriculture pour une plus grande efficacité dans la conduite des opérations culturales. L’objectif visé à
travers ce document est d’amener ces agents à maîtriser les techniques de l’arboriculture fruitière principalement en zone sahélienne afin qu’ils puissent mieux encadre les exploitants
agricoles. -
Bouse de vache pour la protection et la fertilisation des végétaux
Insecticides – fongicides : des méthodes naturelles pour protéger les plantes contre les ravageurs -
Astuces pour cultiver le poivron 1/2 : Morphologie et exigences pédoclimatiques
Morphologie et exigences pédoclimatiques de laculture du poivron -
Itinéraire technique de la papaye "Carica papaya"
Le PIP est un programme de coopération européen géré par le COLEACP. Il est fi nancé par l’Union européenne et a été mis en œuvre à la demande du Groupe des Etats ACP (Afrique, Caraïbes et Pacifi que).
En accord avec les Objectifs du Millénaire, l’Objectif global du PIP est de « Préserver et, si possible, accroître la contribution de l’horticulture d’exportation à la réduction de la pauvreté dans les pays ACP ». -
Prendre soin du gombo
Vidéo illustrant les techniques de production du gombo
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Astuces pour cultiver le poivron 2/2 : gestion de la culture
Techniques de culture du poivron -
Comment fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter contre l'Oidium ?
Conseils d'un horticulteur pour fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter naturellement contre l'oidium et le mildiou -
Le greffage : bonnes pratiques
Vous trouverez dans cette vidéo des conseils techniques pour réaliser correctement vos greffes végétales -
Comment réaliser un extrait de graines de neem pour lutter contre les ravageurs ?
Cette vidéo montre comment fabriquer et utiliser de l'extrait de graines de neem pour lutter naturellement contre les ravageurs -
Les grandes cultures et fourrages en agriculture biologique
« Combien ça coûte de produire un hectare de blé tendre en bio ? Et un hectare d’abricotier ? De grenache ? ». Tout conseiller ou animateur a entendu au moins une fois ce genre de question, posée à juste titre par tout agriculteur qui se renseigne sur l’agriculture biologique. Nous aurions aimé apporter au travers de ce recueil une réponse unique et définitive, mais elle n’aurait pas tenu compte de la complexité des systèmes régionaux et de leur contexte particulier. Les références technico-économiques proposés ici offrent toutefois un éclairage utile et des bases de réflexion indispensables avant et après une conversion bio. Réflexion qui peut déboucher sur d’autres questions liées à l’organisation de l’exploitation ou à l’assolement ou aux débouchés commerciaux… Ce recueil de fiches de coûts de production est le fruit de l’observation et de l’analyse de cas concrets depuis 2012. Les experts sollicités sont conseillers en Chambres d’agriculture ou référents techniques régionaux.Les données présentées ont fait l’objet d’une validation par des techniciens spécialisés et/ou des agriculteurs pour constituer un outil d’aide à la décision le plus fiable possible. -
Le méteil (mélange fourrager) : un itinéraire technique simple
Cette fiche propose un itinéraire technique pour la culture d'un mélange fourrager -
Jardin hors-sol en sac
Cette fiche technique présente des techniques de mise en place de jardins hors-sol en sac -
Fertilisation en arboriculture
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés. -
Norme burkinabé en agriculture biologique
Ce guide porte sur l’élaboration des normes de l’agriculture biologique et écologique au Burkina Faso -
Le poivron - Capsicum annuum L.
Ce guide porte sur le poivron (Capsicum annuum L.), qui est une plante de la famille des Solanacées, il est de la même espèce que le piment cultivé mais est issu de la sélection de variétés dites "douces". -
Réduction des doses de cuivre : Vigne, Pêcher, Pommier-Poirier, Olivier
Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Il permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. -
Rappels Réglementaires
L’utilisation des engrais et amendements organiques en agriculture biologique repose sur le règlement communautaire (CE) n°889/2008 comprenant une liste «positive» dont le principe est que seuls les produits qui y sont listés, sont autorisés, les autres étant par défaut interdits. L’utilisation de ces produits ne doit cependant pas conduire à négliger l’entretien des principales propriétés du sol. -
Utiliser les feuilles et tiges de tomate contre la piéride du chou et la teigne
Cette note montre comment fabriquer des insecticides / répellents naturels à base de feuilles et tiges de tomate -
Traitement phytosanitaire naturel
Cette fiche présente des traitements phytosanitaires naturels -
Les cultures légumières en agriculture biologique
Ces fiches ont pour objectif d’éclairer le maraîcher débutant sur la programmation des mises en culture, puis de l’aider à réaliser les différents travaux d’entretien depuis la fertilisation jusqu’à la vente. Elles peuvent aussi aider l'‘apprenant à élaborer son projet d’installation, en apportant un complément aux connaissances de base acquise par ailleurs. -
Guide du Jardinage Ecologique : Alternatives aux Pesticides pour les Particuliers
Pesticides, on peut faire autrement ! Le présent guide propose des alternatives à l'utilisation de pesticides pour les particuliers -
Mangue : itinéraires techniques
Ce guide technique très complet aborde l'ensemble des aspects de la culture de mangues -
Conversion à l'agriculture biologique : Défis pour le futur
On appelle conversion à l’agriculture biologique, ou parfois transition, le processus de changement entre la situation initiale d’agriculture dite conventionnelle, et la situation finale d’agriculture biologique certifiée dénommée «agriculture biologique ou écologique ou organique».
Durant cette phase l’agriculteur doit respecter la réglementation de l’agriculture biologique. Le passage à l’agriculture biologique implique un changement de gestion des ressources mais aussi un changement de raisonnement qui considère la ferme dans sa globalité. -
École paysanne en agriculture biologique : approche et expérience Tunisienne
L’école paysanne est une façon de renforcer les capacités des agriculteurs et des communautés rurales afin qu’ils prennent en main les conditions de vie de leur champ et de leur milieu social -
Fiche maraîchage n°3 : le greffage en maraîchage
Cette fiche montre différentes techniques de greffage en arboriculture -
Produire des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique
La présente fiche porte sur la production des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique
Cette présente fiche porte sur la production des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Ce présent document porte sur les méthodes pour lutter contre les ravageurs du chou
en maraîchage biologique -
Produire des semences de laitue dans un itinéraire agrobiologique
Ce guide porte sur la production des semences de Laitue dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences fourragères en agriculture biologique : Des techniques en évolution
Ce document porte sur la production des semences fourragères en agriculture biologique -
La culture des agrumes au Sénégal
Description d'itinéraires techniques pour la culture des agrumes au Sénégal -
Agriculture du carbone : Couverts végétaux, Techniques superficielles, Agriculture Biologique et Agroforesterie
Synthèse des deux journées de rencontre et d’échanges entre agriculteurs du Sud-Ouest de la France -
Produire des agrumes en agriculture biologique
Cette fiche technique propose différentes solutions techniques pour produire des agrumes en production biologique -
Accroître durablement la production végétale : la perspective des processus biologiques
Cette synthèse montre les enjeux de la mobilisation de processus biologique pour accroître les rendements -
Cultiver l’oignon de plein champ en agriculture biologique - repères technico-économiques
Cette fiche technique porte sur la culture de l’oignon de plein champ en agriculture biologique -
Oignon
Fiche technique de base destinées aux techniciens agricoles portant sur la culture de l'oignon -
Produire des semences en agriculture biologique : connaître les principes techniques de base
Ce document présente les principes techniques de base pour la production de semences en agriculture biologique -
Assurer la bonne santé des volailles de chair en élevages biologiques
Ce document a été rédigé à partir des informations recueillies en 2014 lors de 18 entretiens socio-techniques d’éleveurs de volailles de chair biologiques en filières longues (8 éleveurs) et courtes (10 éleveurs), en Bretagne, Pays de la Loire et Drôme. L’objectif de ces enquêtes, sans être représentatifs des types d’élevage, était de montrer la diversité des situations et des pratiques autour de l’élevage de volailles de chair biologiques. -
Caractérisation des produits organiques
Ce présent guide est élaboré lors de la Rencontre Technique Agriculture Biologique fruits pour montrer la caractérisation des produits organiques -
Efficacité des huiles essentielles contre la tavelure: Point d'étape du projet Casdar
Ce document porte sur l'efficacité des huiles essentielles contre la tavelure du pommier. -
La conduite d'un verger en agriculture biologique principes de base
Ce présent document porte sur la conduite d'un verger en agriculture biologique principes de base -
Catalogue des engrais et amendements du sol autorisés en agriculture biologique en Tunisie
Ce catalogue liste les fertilisants autorisés en agriculture biologique en Tunisie. -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou. -
Guide de l'animateur en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : Mathématiques / Haoussa - Lissafi / Littafin malami/malama
Le présent guide est un support pédagogique destiné à l’utilisation des animateurs pour les enseignements/apprentissages des calculs mathématiques dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1, au profit des acteurs de la petite irrigation. -
Manuel de l'apprenant en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : mathématiques / Haoussa - Lissafi, littafin dalibi/daliba, Aji na daya
Le présent manuel est un support pédagogique destiné à l’utilisation des apprenants pour suivre les enseignements/apprentissages en calculs mathématiques dans la langue haoussa au niveau des centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1. -
Programme d'études de la campagne d'alphabétisation et de formation des adultes
Le présent programme d’études de la campagne pour les centres d’alphabétisation et de formation des adultes a été élaboré conformément aux directives du Cadre d’Orientation du Curriculum (COC) et validé techniquement. Ce programme d’études donne des informations sur les éléments suivants :
-les textes officiels de référence
-les finalités et les orientations
-la banque de situations
-le profil de sortie
-le régime pédagogique
-les conseils pédagogiques
-les domaines et les sous-programmes
-les contenus des sous-programmes -
Manuel de l'apprenant en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : lecture et écriture / Haoussa - Karatu da rubutu, Litafin dalibi/Daliba, Aji na Daya
Le présent manuel est un support pédagogique destiné à l’utilisation des apprenants pour suivre les enseignements/apprentissages en langue haoussa dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1. Il contient des illustrations en images pouvant faciliter la compréhension de l’apprenant. -
Manuel de l'apprenant en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : lecture et écriture / Zarma - Caw nda hantum, cawka tiraa, jiiri sintina
Le présent manuel est un support pédagogique destiné à l’utilisation des apprenants pour suivre les enseignements/apprentissages en langue zarma dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1 au profit des acteurs de la petite irrigation. -
Manuel de l'apprenant en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : mathématiques / Zarma - Laasaabu, cawka tiraa, jiiri sintina
Le présent manuel est un support pédagogique destiné à l’utilisation des animateurs pour les enseignements/apprentissages des calculs mathématiques dans la langue zarma dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1, au profit des acteurs de la petite irrigation -
Guide de l'animateur en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : lecture et écriture / Tamasheq - Ǝlkittab n Ǝməsəssəɣri, Teɣare d Akatab
Le présent guide est un support pédagogique destiné à l’utilisation des animateurs pour les enseignements/apprentissages de la lecture et de l’écriture de la langue Tamasheq dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1, au profit des acteurs de la petite irrigation. -
Guide de l'animateur en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : mathématiques / Zarma-Laasaabu, cawandika tiraa, jiiri sintina
Le présent guide est un support pédagogique destiné à l’utilisation des animateurs pour les enseignements/apprentissages des calculs mathématiques dans la langue zarma dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1, au profit des acteurs de la petite irrigation -
Guide de l'animateur en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : Lecture et écriture / Zarma-Caw Nda Hantum, cawandika tiraa, jiiri sintina
Le présent guide est un support pédagogique destiné à l’utilisation des animateurs pour les enseignements/apprentissages de la lecture et de l’écriture de la langue zarma dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1, au profit des acteurs de la petite irrigation. -
Fascicule de cours : gestion intégrée de l'arboriculture fruitière
L'arboriculture fruitière comme le maraichage constitue une activités complementaire de la protection vivrière qui est le fondament de toute politique d'autosuffisance alimentaire. -
Itinéraires techniques de production de niébé de qualité
Le raccourcissement de la saison pluvieuse et la mauvaise répartition des pluies au Niger dû aux manifestations des changements climatiques, exigent que les pratiques agricoles soient revues et adaptées à ces nouvelles conditions afin d’assurer une résilience des agriculteurs. Ces pratiques d’adaptation peuvent se faire à travers une bonne maîtrise des itinéraires techniques des principales cultures (mil, sorgho, niébé, etc…). C’est dans ce cadre que cette fiche a été élaborée pour décrire ainsi les itinéraires techniques à suivre par les producteurs pour une production de niébé de qualité au Niger. -
Efficacité de l’huile de neem (Azadirachta indica) et de Bacillus thuringiensis (Biobit 2X) sur la dynamique de la population de Bemisia tabaci (Gennadius 1889) et Helicoverpa armigera (Hubner, 1808) dans une plantation de tomate au Niger
Dans un champ école paysans à Dogaraoua, zone de production de tomate au Niger, lors d’une séance de réunion hebdomadaire, un facilitateur et son groupe de 25 producteurs apprenants décident de mettre en place un essai GIPP (Gestion Intégrée Protection Production) de la tomate sous la supervision d’un entomologiste.
Les résultats obtenus montrent que l’huile de neem permet de contrôler Bemisia tabaci à 70% et le biobit réduit l’infestation de Helicoverpa armigera de 50% par rapport au témoin non traité. Les producteurs peuvent utiliser l’huile de neem pour contrôler la mouche blanche afin de réduire à 80% le cas d’attaque du TYLC et le biobit dans le contrôle de la noctuelle de la tomate. -
Potentiel agrumicole de Timia
Au Niger, quatre régions produisent 95% de la production du pays en agrumes. Il s'agit de la région d'Agadez qui produit 41%, suivie de Zinder, de Maradi et Tillabéry 5% (MDA, 2008).
L’essentiel de la production d’agrume qui place la région d’Agadez première en agrumiculture provient essentiellement des communes de Timia, Tabelot, Dabaga et Tchirozerine.
C’est dans ce cadre que cette étude sur le potentiel de production de Timia et diagnostic de la filière agrumicole, a été initiée par l’ONG HED Tamat et exécuté conjointement par la Direction régionale de l’Agriculture (DRA) d’Agadez et le GIE Tagazt. Elle a pour objectif global de guider les acteurs locaux et nationaux pour la mise en œuvre de politiques efficaces et cohérentes de valorisation des productions d’agrumes de Timia. De façon spécifique, l’étude doit permettre une meilleure connaissance du potentiel productif de la commune et faire le diagnostic de la filière.
Le présent rapport est la synthèse des travaux de recherches documentaires et une enquête terrain réalisés dans les communes dans une dizaine de sites et dans 382 vergers d’agrumes. Il rappelle le contexte de l’étude, la méthodologie de travail et les résultats de l’étude. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre - Région de Tillabéri
Les éléments techniques et économiques suivants découlent du conseil de gestion aux exploitations familiales (CGEF) réalisé par la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Tillabéri au niveau de 19 producteurs de pomme de terre issus de deux bassins de production dans la commune d’Imanan. Selon les résultats du conseil de gestion, dans la commune d’Imanan, les superficies exploitées sont comprises entre 150 et 10.100 m2 avec une moyenne par exploitation agricole (EA) de 1700 m2. Avec des charges opérationnelles de 370.000 F.CFA/EA, on obtient une production de 4.528 kg/EA. Ce qui permet d’avoir un produit brut de 1.130.000 F.CFA/EA pour une marge brute 760.000 F.CFA/EA. Pour une superficie de 1000 m2, la production de pomme de terre est de 2.664 kg (26,64T/ha). Ce qui permet de générer des produits bruts de 666.000 FCFA pour 216.500 de charges opérationnelles, soit une marge brute de 449.500 FCFA et un ratio (Produits/ charges opérationnelles) de 3,08. Autrement dit, chaque franc investi dans la production de pomme de terre permet de générer trois (3) francs. -
Guide de formation à l’agriculture biologique
L'agriculture biologique correspond à un système de gestion intégrée de la production, visant à favoriser la santé des écosystèmes agricoles (ou agro-écosystèmes), y compris de la biodiversité, des cycles biologiques et de l'activité biologique des sols [Commission du Codex Alimentarius, FAO et OMS, 2007]. Ce type d’agriculture met l'accent sur l'utilisation des intrants naturels (minéraux et/ou produits dérivés de plantes), dont l’utilisation est préférable à l’usage d’engrais et de pesticides de synthèse.
La réalisation de ce guide résulte de la collaboration entre la Division du Climat, de l’Énergie et des Régimes Fonciers (NRC) et l’équipe TECA (Technologies et pratiques pour les petits producteurs agricoles) de la Division de la Recherche et de la Vulgarisation (DDNR) du siège de la FAO à Rome (Italie). -
L'ABC du verger
Livre grand public vulgarisant des techniques arboricoles, principalement à destination d'un public occidental. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon en hivernage / Région d’Agadez
L’oignon est l’une des principales cultures maraichères pratiquées dans la région d’Agadez. Il est produit deux fois dans l’année. Toutefois, dans la région d’Agadez, la grande production est réalisée pendant la saison d’hivernage.
Il ressort des résultats issus du suivi des producteurs en conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) par la CRA dans les communes de Dabaga, Tabélot et Tchirozérine pendant les trois campagnes d’hivernage 2018, 2019 et 2020, que les superficies exploitées variant entre 500 m² et 21 000 m² par producteur avec une moyenne cultivée de 3 370 m2 par exploitation agricole (EA) pour une production moyenne de 140 sacs /EA. A l’issue de ces trois années de suivi CGEF, le rendement moyen est évalué à près de 21T/ha pour la région d’Agadez. Ainsi, pour une superficie de 2.500 m², on obtient une production de 113 sacs (5 200 kg, soit 5,2 tonnes). Cette production correspond à un produit de 1 380 000 F.CFA pour 576 800 F.CFA de charges opérationnelles, soit une marge brute de 779 000 F.CFA. -
Aliments issus de l'agriculture biologique
Ce manuel a été préparé dans le but de fournir une approche concertée en ce qui concerne les exigences qui étayent la production des denrées alimentaires par des méthodes biologiques ainsi que l'étiquetage et les allégations à leurs sujet. L'agriculture biologique fait partie d'un large éventail de méthodes qui soutiennent l’environnement. Les systèmes de production biologiques reposent sur des normes spécifiques et précises dont l'objectif est de réaliser les agrosystèmes les meilleurs possible qui demeureront durables sur le plan social,écologique et économique. Des termes tels que "biologique" et "écologique" sont également employés pour tenter de définir plus clairement le système biologique. -
Fiche technique des bonnes pratiques de production d’oignon dans la zone des Niayes au Sénégal
Cette fiche technique capitalise les résultats du Centre pour le Développement de l’Horticulture (CDH) de l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA) de la pépinière à la récolte. -
Guide de bonnes pratiques de production de l’oignon au Mali - Vol.2 Conduite de la culture
Contrairement à l’échalote, la culture de l’oignon est récente au Mali. Fort de l’expérience acquise au cours des premières sessions de formation, le Projet d’Appui aux Filières Agricoles (PAFA) a décidé de capitaliser les acquis sous la forme de guides et d’affiches couvrant différents maillons critiques dans la production de l’oignon au Mali que sont la conduite de la pépinière, la conduite de la culture et la conservation. Ces outils didactiques visent à compléter le dispositif de formation existant avec des supports voués à une large diffusion, et accessibles aux producteurs et productrices peu ou pas alphabétisés.
Richement illustré, ce guide fait suite à celui consacré à la conduite d’une pépinière d’oignon au Mali. Il fournit des conseils sur les bonnes pratiques à adopter dans la conduite de la culture de l’oignon. Les bonnes pratiques y sont abordées et traitées comme une série d’opérations consécutives (étapes).
Le deuxième volume du guide (VOL. 2) publié dans la même série
s’attache quant à lui à véhiculer des informations et des
recommandations importantes sur les pratiques à adopter dans
la conduite de la culture de l’oignon au Mali (étapes 6 à 9). Il
s’agit précisément des étapes allant de la préparation du sol au
champ à la récolte en passant par le repiquage, l’entretien de la
culture, le ressuyage et la récolte des bulbes de consommation
ou des bulbes mère selon l’objectif de production. -
Guide de bonnes pratiques de production de l’oignon au Mali - Vol.1 Conduite de la pépinière
Contrairement à l’échalote, la culture de l’oignon est récente au Mali. Fort de l’expérience acquise au cours des premières sessions de formation, le Projet d’Appui aux Filières Agricoles (PAFA) a décidé de capitaliser les acquis sous la forme de guides et d’affiches couvrant différents maillons critiques dans la production de l’oignon au Mali que sont la conduite de la pépinière, la conduite de la culture et la conservation. Ces outils didactiques visent à compléter le dispositif de formation existant avec des supports voués à une large diffusion, et accessibles aux producteurs et productrices peu ou pas alphabétisés. Richement illustré, ce guide fait suite à celui consacré à la conduite d’une pépinière d’oignon au Mali. Il fournit des conseils sur les bonnes pratiques à adopter dans la conduite de la culture de l’oignon. Les bonnes pratiques y sont abordées et traitées comme une série d’opérations consécutives (étapes). Le premier volume du guide sur les bonnes pratiques de production de l’oignon au Mali (VOL. 1) couvre en 5 étapes les aspects critiques à la réussite de la mise en place et de la conduite d’une pépinière. Il s’agit des étapes liées aux prises de décisions et choix agronomiques, à la préparation des planches et du sol, au semis et à l’entretien de la pépinière. La dernière étape (étape 5) couvre les pratiques d’arrachage, de transport et d’habillage au champ des jeunes plantules. -
Lutte biologique contre la MEM
General objective: to determine the level of millet resistance varieties to millet head miner damage. For this purpose, 25 varieties of millet were tested to assess their behavior to the pest. The study was in Burkina Faso, Mali and Niger. He infestation varied from 10.20 to 86.98% with an average of51.37%. -
Manuel de commercialisation des produits biologiques
À l’heure actuelle, les changements climatiques ont de graves impacts sur les rendements agricoles de nombreux pays, souvent à faible revenu. C’est le cas du Sénégal, qui a vu sa production agricole chuter au cours des dernières années. Cette situation tend à accroître
la pauvreté et à menacer la sécurité alimentaire du pays. Dans ce contexte, il est urgent de se tourner vers de nouvelles alternatives, comme l’agriculture biologique et la commercialisation de ses produits. En effet, il est démontré qu’un mode de production
biologique permet de mitiger les effets des changements climatiques. -
Principaux insectes ravageurs du riz en Afrique et méthodes de lutte non chimiques
En Afrique, les ravageurs de culture posent assez de problèmes pour la production agricole. C'est dans ce cadre que cette étude a été réalisée pour apporter des méthodes de lutte biologique aux insectes qui s'attaquent aux cultures de riz dans certains pays de l'Afrique. -
Qu'est ce que l'agriculture biologique?
En tant qu’agricultrice ou agriculteur en Afrique, vous pouvez faire face à certains défis, par exemple la perte de terres arables, une fertilité diminuée des sols, une sécheresse fréquente et une augmentation des frais de semences, d’engrais, de pesticides ou de médicaments vétérinaires. De tels défis mènent généralement à des difficultés récurrentes lorsqu’il s’agit de produire suffisamment pour nourrir la famille et la communauté. Il est donc important d’établir des méthodes agricoles à bas coûts qui respectent l’environnement et vous permettent d’affronter les problèmes urgents de sécurité alimentaire. -
Comment gérer au mieux la fertilité de mes sols?
Un sol peut être vivant ou mort. Un sol vivant nécessite en permanence suffisamment d’air, d’eau et de matière organique pour offrir aux plantes et aux organismes du sol un bon environnement de croissance. Si on lui fournit ces éléments, même un sol mort peut réussir à revivre. -
Comment augmenter la teneur en matière organique du sol ?
La matière organique du sol est essentielle, car elle permet au sol de retenir l’eau et les nutriments et fournit ces derniers aux plantes quand elles en ont besoin.
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Comment compléter les besoins en nutriments de mes cultures?
Les engrais peuvent être utiles pour répondre aux besoins en nutriments à court terme des cultures et stimuler la croissance des plantes, mais ils doivent être utilisés en dernier recours. -
Gestion de la fertilité des sols
La durabilité à long terme de l’agriculture suscite de plus en plus de préoccupations. Des terres fertiles et de l’eau en quantité suffisante sont indispensables pour maintenir l’agriculture et assurer les moyens d’existence. Toutefois, en Afrique, la productivité a diminué en raison de l’intensification de l’agriculture qui dégrade les terres. Les causes majeures de la dégradation des terres sont les pratiques agricoles non durables telles que l’agriculture sur les pentes raides sans prendre de mesures suffisantes de conservation du sol et de l’eau, la monoculture, le travail excessif du sol, l’abandon de la jachère sans réapprovisionner le sol en nutriments, la culture sur brûlis, la conversion des forêts, des bois et des brousses en zones agricoles permanentes ou leur exploitation excessive en bois de chauffe et de construction, le surpâturage des prairies et le manque de gestion de la matière organique des sols. -
Gestion de la fertilité des sols en agriculture biologique
Cette note d’orientation fournit des conseils pour utiliser le poster dans le cadre d’une formation. Elle détaille les différents éléments du poster, offre des informations pour leur présentation et des suggestions pour leur mise en œuvre didactique. Pour plus d’informations, voir les ressources proposées à la fin de la note. -
Comment faire du compost de qualité?
Cette note d’orientation fournit des conseils pour utiliser le poster dans le cadre d’une formation. Elle détaille les différents éléments du poster, offre des informations pour leur présentation et des suggestions pour leur mise en œuvre didactique. Pour plus d’informations, voir les ressources proposées à la fin de la note. -
Planifier une bonne rotation des légumes
Cette note d’orientation fournit des conseils pour utiliser le poster dans le cadre d’une formation. Elle détaille les différents éléments du poster, offre des informations pour leur présentation et des suggestions pour leur mise en œuvre didactique. Pour plus d’informations, voir les ressources proposées à la fin de la note. -
Pourquoi la matière organique est-elle si importante?
Les pratique agricoles sont diverses et variées. L'agriculture biologique en est une illustration pratiquée par beaucoup de producteurs. Cette technique comporte assez d'avantage pour les producteurs agricoles afin de leurs permettre d'avoir un rendement agricole plus sain et moins coûteux. -
Comment gérer les ravageurs et les maladies de façon naturelle?
Il est important de savoir quels agents pathogènes causent des dégâts dans les champs. L’identification de l’agent pathogène constitue la première étape d’une gestion efficace des ravageurs et des maladies. -
Comment gérer les mauvaises herbes?
Les mauvaises herbes peuvent jouer un rôle crucial dans l’écosystème de la ferme. Mieux vous connaissez leurs caractéristiques, plus elles peuvent contribuer à la réussite de l’exploitation sans devenir nuisibles.
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Comment gérer les ravageurs des stocks de grains?
Une partie considérable des grains est perdue après la récolte en raison d’une mauvaise gestion et de mauvaises pratiques de stockage, qui exposent les grains stockés aux insectes nuisibles et aux maladies. -
Gestion des adventices dans les champs bio
Les adventices sont des mauvaises herbes qui empêchent les cultures de se développer. Cette affiche propose des pratiques simple pour les éliminer et les réutiliser à des fins de composte. -
Influences environnementales sur la santé des plantes
L'agriculture et l'environnement ne font qu'un. Cependant, toutes les terres ne sont pas bonnes pour développer une activité culturale. Il est important de choisir un endroit naturel et sain pour permettre aux planter de mieux pousser. -
Élevage
L’élevage animal bio implique que les animaux soient détenus de manière naturelle et favorisant leur bien-être de même que leur santé. Cela ne signifie pas que les animaux doivent être détenus dans un environnement entièrement naturel, mais qu’il faut leur offrir la possibilité d’exprimer des comportements et un mode de vie naturels. Chaque espèce animale possède des organes spécialisés qui leur donnent des capacités fonctionnelles et des caractéristiques spécifiques ainsi qu’un mode de vie particulier. Ces différences sont intrinsèques, immuables, et il convient de les respecter. -
Comment gérer ma ferme biologique?
La gestion d’une exploitation biologique poursuit le même objectif sous-jacent que toute autre entreprise : elle vise à améliorer les bénéfices de l’agricultrice ou de l’agriculteur et à l’aider à surmonter les principales difficultés. -
Gestion d'une ferme biologique
La gestion d’une ferme biologique poursuit le même objectif sous-jacent que toute autre entreprise : elle vise à augmenter les bénéfices pour l’agriculteur/ agricultrice ou le groupe d’agriculteurs. Cela se fait généralement en suivant deux approches. Premièrement, les agricultrices et agriculteurs biologiques se concentrent sur la réduction des dépenses en optimisant l’utilisation des ressources propres de la ferme. -
Défis typiques de la gestion d’une ferme
La ferme biologique renferme beaucoup pour les paysans. Dans un premier temps, elle leurs procure des revenus financières et permet aussi d'accroitre la valeur des produits agricoles. -
Comment procéder pour vendre des produits biologiques?
Le marketing a pour but d’augmenter les ventes et les revenus d’une
entreprise agricole tout en créant de la valeur pour vos produits. -
Comment prouver que ma production est biologique?
La certification biologique est un outil de marketing. Elle garantit
que tous les membres de la chaîne d’approvisionnement adhèrent aux réglementations bio. Elle instaure la confiance chez le consommateur et protège des fraudes.