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Module de formation à l'approche "bassin versant"
Le concept « aménagement de bassins versants » regroupe l’ensemble des actions conduites et mesures prises en amont d’un bassin de production (généralement une vallée ou un bas fond) pour le protéger d’une dégradation liée à l’érosion hydrique et éolienne. . Le présent module est une capitalisation des expériences pour l’aménagement des bassins versants en vue de protéger et de valoriser durable les bassins de production des cultures irriguées... -
Techniques de production des cultures irriguées -- Agroforesterie
Ce manuel est destiné aux prestataires de services en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite irrigation. Il donne aux formateurs des références théoriques et pratiques. L'agroforesterie est la pratique culturale, ancienne, qui consiste à mettre en valeur l'espace agricole en associant les cultures ou les pâturages avec des arbres isolés ou groupés.
Ce manuel est complété par un support pédagogique à destination des prestataires de services et un cahier de formateur. -
Techniques de production des cultures irriguées
Ce présent manuel porte sur les Techniques de production des cultures irriguées -
Bonne pratique sur l’approche participative basée sur la logique « bassin versant » : Karkara un cas pratique
Le terroir de Karkara dans la commune de convergence d’Allakaye département de Bouza compte une population de 36 295. Il est confronté aux effets néfastes du changement climatique qui se traduisent, entre autres, par la perte du potentiel productif et l’accélération de la dégradation des ressources agro-sylvo-pastorales qui affectent de manière significative les conditions de vie de la population et du cheptel. Les populations y adoptent des stratégies d’adaptation négatives, comme l’émigration dite de « détresse » ou forcée ou des pratiques préjudiciables à l’environnement, comme la coupe abusive de bois, la mise en culture de terres marginalisées sans apport de fumure, etc. L’occupation incontrôlée de terres engendre très souvent des conflits relatifs à l’utilisation des ressources naturelles, comme l’eau et les pâturages, opposant ainsi les agriculteurs, les éleveurs et les pasteurs. -
Développement des cultures irriguées : Rôle des organisations paysannes et modalités d’appui à la petite irrigation familiale
Sur la base des expériences acquises par les organisations paysannes partenaires du PADIP, cet article présente les différents instruments et/ou stratégies d’intervention mises en oeuvre en matière d’appui au développement de la petite irrigation familiale au Niger. Il vise ainsi à établir un état des lieux des actions réalisées en mettant en évidence les contraintes qui continuent à peser fortement sur les petits producteurs et qui limitent considérablement leurs capacités à mettre en valeur les ressources en eau existantes et à tirer pleinement avantage des cultures de contre-saison. -
Approche bassin versant
Bassin versant : c'est une zone topographiquement délimitée, drainée par un cours d’eau et ses affluents. Il correspond à la superficie totale des terres drainées en un point donné
d'un fleuve ou d'une rivière. Il s'agit enfin d'une entité hydrologique qui a été décrite et utilisée comme entité socioéconomique, politique en vue de la planification et de la gestion des ressources naturelles (SHENG, 1993), cité par ULYSSE (2001). -
Cahier du formateur « techniques de production des cultures irriguées »
(cultures fourragères)
Le présent document est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui financier de la Coopération Allemande. Il s’inscrit dans les activités delà composante 2du PromAP: Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine delà petite irrigation. -
Cahier du formateur
« techniques de production des cultures irriguées »
(carotte)
Le présent document est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan
Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation
(PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui financier de la
Coopération Allemande. Il s’inscrit dans les activités de la composante 2du PromAP :
Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui
a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés
dans le domaine de la petite irrigation. -
Cahier du formateur « techniques de production des cultures irriguées »
(cultures fruitières)
Le présent document est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui financier de la Coopération Allemande. Il s’inscrit dans les activités delà composante 2du PromAP: Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine delà petite irrigation. -
Culture irriguée d’une graminée fourragère : Echinochloa stagnina (bourgou)
Le bourgou est une graminée vivace bien connue des populations riveraines du fleuve Niger où elle est exploitée traditionnellement depuis longtemps -
Rapport de mission de l’état de référence du Bassin Versant de Badaguichiri - Flore et végétation
Cette étude vise à accélérer la finalisation du document de la situation de référence de la zone d’intervention du PGBV/B à travers la collecte et l’analyse des données plus précisément, il s’agit de : collecter les données relatives au taux de recouvrement des espèces ligneuses, la biomasse, la diversité biologique (l’abondance et fréquence des herbacées) et, analyser et consolider les données collectées eu vue d’établir une situation de référence.
La zone d’étude correspond à au bassin versant de Badaguichiri apparaissant de fait comme une extension de l’observatoire de Tahoua-Keita-Tillabéri Nord. -
Etude complémentaire sur la diversité de la faune dans le bassin versant de Badaguichiri et analyse des expériences de gestion
Cette étude tente de tracer à travers la documentation existante, la présence, la dynamique et la diversité de la faune dans le bassin versant de la vallée de Badaguichiri, principalement dans les Départements de Illéla, Bagaroua, Keita et Bouza concernés par le projet. Sur la base de documentations de politique nationale ou de mise en oeuvre de différentes interventions de gestion ayant eu cours durant les trente dernières années, elle met l’accent plus particulièrement sur : une analyse de la présence, de l’état et de la diversité de la faune terrestre et aquatique dans le bassin versant de Badaguichiri étendu à toute la région de Tahoua, une analyse des expériences de gestion locale appliquées en y relevant les forces et les faiblesses, l’identification des besoins d’amélioration de la gestion appliquée, une proposition de gestion des ressources fauniques propre au bassin versant de
Badaguichiri. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions horticoles 2018/2019
Dans le cadre de la mise en œuvre du programme stratégique « Accroissement et diversification des productions agricoles » de l’Initiative 3N, le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage met en œuvre et suit le programme de campagne irriguée 2018–2019.
L’évaluation des résultats de cette campagne irriguée s’est faite à travers une enquête appelée Enquête Horticole.
Ce document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2018-2019.
Les principaux résultats de l’enquête horticole 2018-2019 se présentent comme suit : Les superficies mises en valeur sont de 188 837,91 ha soit une augmentation de 17,12% par rapport à 2017-2018. Trois régions occupent à elles seules 62% des superficies emblavées, à savoir : Tahoua 31,47% soit 59 420,5 ha, Dosso 15,46% soit 29 188,03 ha ; Maradi 15,02% soit 28 364,75 ha. Les autres régions partagent les 38% respectivement Tillabéry 12,12%, Zinder 11,88%, Diffa 5,19%, Agadez 4,98 % et Niamey avec 3,89%.
La répartition entre les différents groupes de produits alimentaires est la suivante : le groupe des légumes, le groupe des racines et tubercules, le groupe des légumineuses, le groupe des céréales, le groupe des épices et stimulants, le groupe des plantes à sucre, le groupe des fruits, le groupe des oléagineux, le groupe des autres cultures. -
Axes d'intervention sur quelques filières porteuses
Depuis une dizaine d'années,la République du Niger continue de subir des revers économiques qui perturbent sérieusement le processus de son développement économique et social. Ces difficultés résultent notamment des termes de l'échange, de la dégradation des écosystèmes, sous les effets combinés des facteurs naturel, anthropiques et des insuffisances de la gestion de l'économie nationale. En dépit de certains résultats découlant des programmes économiques déjà exécutés, la situation économique nationale n'a cessé de se dégrader . C'est pour y faire face que les autorités ont décidé de prendre les dispositions qui s'imposent afin de relancer la croissance de l'économie. -
Bilan provisoire : Mise en œuvre du programme d'urgence des cultures irriguées
Au regard du déroulement non satisfaisant de la campagne agricole d'hivernage 2011/2012, le Gouvernement a décidé de prendre des dispositions pour mettre en oeuvre des actions d'urgences. Ceci a conduit à l'élaboration et l'adoption d'un programme d'urgence axé sur le développement des cultures irriguées, l'appui à la sécurisation des stock natioanl de sécurité. Le programme d'urgence des cultures irriguées a été adopté suite au conseil des Ministres du 24 aout 2011 et a fait l'objet d'un lancement officiel le 25 octobre 20111 à Sargane (Ouallam) région de Tillabéry. -
Note sur la production de blé au niveau du périmètre irrigué de Djirataoua et du site de Madarounfa
Au Niger, les bassins de production de blé sont : les vallées de la région d’Agadez, le périmètre de Konni (Tahoua) et le périmètre de Djirataoua (Maradi). La production de blé est faible ; elle est de 4807 tonnes par an (FAO, 2018). Le blé est surtout cultivé avec des faibles superficies variant de 0,1 à 0,5ha par exploitation (AcSSA-Afrique Verte, 2011). Au niveau de la région de Maradi, le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa sont des ‘’anciens’’ bassins de production de blé.
Cette note présente des informations sur les itinéraires techniques de production de blé collectées sur le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa suite aux entretiens avec 11 producteurs et les comptes d’exploitation de 5 producteurs -
Projet d'aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri
Dans le cadre de ses priorités de développement, le Gouvernement de la République du Niger a formulé une requête auprès de l'Agence Française de Développement qui a manifesté son intérêt à contribuer à la préservation des ressources naturelles et à l'inversion des tendances à la dégradation du bassin versant de Badaguichiri. L'appui de l'AFD s'opérera conjointement avec la GTZ-Niger, qui dispose d'une expérience dans la région de Tahoua et s'inscrit dans le cadre de la Stratégie de Développement Rural (SDR), unique cadre de référence en matière de politique en économique et social dans le secteur rural. -
Études et modélisation hydrologique du bassin versant du Dargol
Le bassin versant du Dargol est situé à l’extrême Ouest du Niger et couvre une superficie d’environ 7 330 km². Il fournit une part importante des apports internes du Niger et est responsable avec le Goroual et la Sirba, des inondations récurrentes qui surviennent à Niamey ces dernières années. L’étude morphométrique du bassin à l’aide d’outils SIG et de données Aster GDEM apermis d’estimer les caractéristiques physiques et hydrographiques du bassin. L’analyse de la dynamique d’occupation de sol entre 1972 et 2014 fait ressortir une augmentation de la surface dénudée au détriment de la végétation. -
Études et Modélisation Hydrologiques du Bassin Versant de la Sirba
La Sirba est l’un des affluents les plus importants du Fleuve au Niger. Son bassin versant d’une superficie de 39 091 km² draine environ 4 milliards de m3 par an à Garbé Kourou, entre les mois de juin à octobre. Le réseau hydrographique est constitué de deux (02) affluents principaux que sont le Faga, et le Yéli dont la confluence près de la frontière Niger-Burkina forme la Sirba. La Sirba est confronté ces dernières décennies au phénomène de l’ensablement des lits, la pression démographique et l’extension des terres cultivées au détriment du paysage naturel. -
Études et Modélisation Hydrologiques du Bassin Versant du Goroual
Le bassin versant du Gorouol (53660 km2) est un bassin frontalier partagé entre le Mali, le Burkina Faso et le Niger. Dans un premier temps il a été d’abord cherché à déterminer les caractéristiques physiques, géologiques et climatiques du bassin versant. En suite une étude hydrologique basée sur le traitement des données pluviométriques 25 ans pour le polygon de Thiessen et 82 ans pour la station de Tillabéry) et hydrométrique relative à une période de 55ans ont été utilisées. La dernière partie de ce travail consiste à l’élaboration des modèles pouvant rendre compte de la relation pluie-débit. Nous avons également utilisé le modèle RCP4.5 pour reconstituer le climat aux horizons futurs (horizon2050s, horizon2080s et horizon2100s). L’objectif de l’étude est de contribuer à une compréhension du comportement hydrologique du bassin versant du Gorouol à travers un modèle de type pluie-débit. -
Projet d'aménagement et de gestion du Bassin de Badaguichiri (PGBV/B) / Rapport annuel 2015
Le présent document constitue le rapport annuel 2015 du projet, qui couvre douze (12) mois (janvier décembre) de mise en œuvre des activités du PTBA 2015 par le projet. Il décrit l’état d’avancement des activités du Projet par rapport aux activités prévues sur la période considérée, les résultats obtenus, les difficultés rencontrées et les recommandations pour lever les difficultés. Il se situe dans le cadre de la convention de financement, où la Coordination du projet doit soumettre au Maitre d’Ouvrage (MESU/DD) et à l’AFD des rapports semestriels et annuels relatifs à la mise en œuvre des activités. -
Projet d'aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri (PGBV/B) / Rapport annuel 2012
Le Projet d’Aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PGBV/B), fruit de la coopération entre le gouvernement de la République du Niger et l’Agence Française de Développement (AFD), pour la mise en œuvre d’un programme de gestion durable des ressources naturelles de la vallée de Badaguichiri achève dans sa deuxième année d’exécution. -
Projet d'Aménagement et de Gestion du Bassin versant de Badaguichiri / Rapport annuel 2013
Le présent document constitue le rapport annuel 2013 du projet, qui couvre douze(12) mois (janvier –décembre 2013) de mise en œuvre des activités. Il décrit l’état d’avancement des activités du Projet par rapport aux prévisions sur la période considérée : les résultats obtenus, les difficultés rencontrées et les recommandations pour lever les difficultés. Il se situe dans le cadre de la convention de financement, où la Coordination du projet doit soumette au Maitre d’Ouvrage (ME/SU/DD) et à l’AFD des rapports semestriels et annuels relatifs à la mise en œuvre des activités. -
Projet d'aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri (PGBV/B) / Rapport annuel 2014
Le présent document constitue le rapport annuel 2014 du projet, qui couvre douze (12) mois (janvier décembre) de mise en œuvre des activités du PTBA 2014 par le projet. Il décrit l’état d’avancement des activités du Projet par rapport aux activités prévues sur la période considérée, les résultats obtenus, les difficultés rencontrées et les recommandations pour lever les difficultés. Il se situe dans le cadre de la convention de financement, où la Coordination du projet doit soumettre au Maitre d’Ouvrage (ME/SU/DD) et à l’AFD des rapports semestriels et annuels relatifs à la mise en œuvre des activités. -
Evaluation quantitative et qualitative des ressources en eau de la nappe alluviale et analyse des impacts des changements climatiques dans le bassin versant de Dallol Bosso, dans les départements de baleyara et de filingué
La présente étude qui porte sur l’évaluation quantitative et qualitative des ressources en eau de la nappe alluviale et analyse des impacts des changements climatiques dans le bassin versant du Dallol Bosso, dans la partie des départements de Baleyara et de Filingué est menée dans le cadre des activités de la sous composante « prise en compte des impacts des changements climatiques dans les stratégies nationales » du Projet PAC RC. -
Manuel pour la promotion du maraichage en saison sèche en utilisant les ressources en eau des mares naturelles
Le présent manuel, fruit du projet cité ci-dessus, est une compilation d'étude des cas des villages de Maourey Koara Zeno, Bokssay et Yérimadeye ayant fait modèles d'étude empiriq sur les es « Techniques pour promouvoir le maraîchage en saison sèche ». -
Contribution des cultures maraichères dans le renforcement de résilience sociale : cas de commune de Malbaza dans la Région de Tahoua
Le maraichage est une activité très pratiquée dans la commune de Malbaza. Dans cette étude l’effet de maraichage dans le renforcement de la résilience sociale a été étudié. Des fiches d’enquêtes ont été administrées auprès des producteurs maraichers de site de Malbaza. Au total 40 producteurs ont été enquêtés. L’ensemble des données collectées est soumis à des traitements. L’analyse des données collectées a permis de faire l’état de lieu de la contribution de maraichage à la sécurité alimentaire. Ainsi cette activité présente des incidences socioéconomiques non négligeables. Le revenu annuel moyen généré par cette activité s’élève à 434328, 75FCFA, ce qui montre que le maraichage est non négligeable dans la commune. L’oignon, tomate et chou sont les spéculations les plus faites dans la commune. Ainsi les maraichers rencontrent des problèmes dans la pratique de cette activité, ces problèmes sont liés à la source d’eau, d’écoulement des produits maraichers, insuffisance de l’encadrement, l’accès aux crédits agricoles et les attaques des ravageurs. Par ailleurs pour bonne marche de cette activité la création des marchés agricoles, encadrement techniques, l’approfondissement des puits et l’accès aux crédits agricoles afin d’accroitre leurs productions sont les recommandations proposées par les producteurs. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Fiche technico-économique pour la culture de riz en hors aménagement de la campagne sèche : région de Dosso
Le riz est la première culture irriguée dans la région de Dosso avec une superficie estimée à 7 500 hectares (MAG, résultat cultures irriguées 2020-2021). La riziculture se pratique dans les aménagements hydro-agricoles (AHA) ou individuellement hors aménagement. Les producteurs de la région de Dosso font deux cycles de production de riz, en saison sèche (saison sèche froide et saison sèche chaude). -
Étude d'identification des filières porteuses
L'étude d'identification des filières porteuses a pour objectif de faire une analyse détaillée relative aux principales étapes de la vie des différents produits agricoles irrigués (production, transformation, commercialisation, consommation/demande), tout en mettant l’accent sur les potentialités et contraintes des principales filières, ainsi que celles de nouvelles filières susceptibles d’être introduites au Niger. -
Rapport général du module maraîchage
Les caractéristiques des sites de production, les caractéristiques socioéconomiques des exploitants, les superficies, les productions, le chiffre d’affaires, les difficultés sont autant d’informations utiles à l’élaboration des politiques dans le maraîchage. Pour ce qui concerne, les caractéristiques des sites, on comptait en 2008 environ 4 844 sites maraîchers. La majorité (79,5 %) de ces sites est exploitée de façon saisonnière. Sur plus de 68 % des sites maraîchers, les exploitants ne sont pas organisés et seulement 29,8 % des sites maraîchers abritent des groupements d’exploitants maraîchers. -
Aménagement des bassins versants pour une protection et une valorisation durable des bassins de production des cultures irriguées dans les régions de Tahoua, Maradi et Zinder
Le PPI RUWANMU est un projet de développement qui fait la promotion d’une agriculture familiale centrée sur la petite irrigation et exploitant de manière rationnelle et durable le potentiel terre et eau. Il s’appuie sur les bonnes pratiques des projets antérieurs et les dispositions de la Stratégie de Petite Irrigation au Niger (SPIN). Financé par le FIDA, le Fonds Fiduciaire Espagnol et l’Etat du Niger, son objectif de développement est d’augmenter les revenus de 65 000 ménages ruraux de 30 communes des régions de Maradi, Tahoua et Zinder dans le but de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle de la population rurale de ces régions. -
Caractérisation de la végétation ligneuse du bassin versant de la Maggia dans la commune rurale de Bagaroua (région de Tahoua)
Le bassin versant de la Maggia est situé dans la région de Tahoua. La présente étude vise à caractériser la végétation ligneuse du bassin versant sur le plan de sa composition floristique et de sa structure. Les données ont été collectées au moyen des relevés floristiques, de mesures de diamètres à 1,30 m pour les arbres et 0,5 m pour les individus ayant un diamètre inférieur à 5 m. La richesse spécifique de ce bassin versant est de 22 espèces réparties en 10 familles et 18 genres dont les plus importants sont les Leguminoseae Mimosoideae et les Combretaceae. L’analyse des structures en diamètre et en hauteur montre que le peuplement ligneux de cette zone est dominé par des individus jeunes, les individus âgés sont très rares. En ce qui est des types biologiques, la flore du bassin versant de la Maggia est dominée par des microphanérophytes suivis des nanophanerophytes. Pour les types phytogéographiques ce sont les espèces Soudano-Zambéziennes (SZ) suivis des espèces Soudano-Zambéziennes-Saharo-Sindiènnes (SZ-Sah.S) qui sont dominantes dans cette zone ensuite viennent les Guinéo-Congolaises-Soudano-Zambéziennes-Saharo-Sindienne ((GC-SZ-Sah.S). -
Aménagement et mise en valeur des vallées de Badaguichiri : Quelques observations sur les images satellite Google Earth disponibles
Les dates des images (décembre et janvier) étant proches dans le calendrier, les images sont comparables pour la mise en valeur des parcelles : faire le parcellaire, identifier propriétaire et agriculteur/-trices, comparer les variations... Et enquêter sur leurs raisons. -
Impact de la diversification de cultures irriguées sur l'amélioration de revenus
Il a été constaté ces dernières années un engouement des producteurs vers certaines cultures jugées plus rentables. Ainsi le souci effréné chez un grand nombre de producteurs à gagner plus de revenus, les poussent à abandonner toutes les autres cultures pour se tourner vers les cultures de rente. Cette situation se traduit ainsi par l’inondation des marchés des mêmes produits agricoles ce qui se traduit par une baisse des prix entrainant les producteurs dans une situation de perte. Or, en diversifiant leurs cultures, les producteurs se mettraient à l’abri de cette situation inconfortable et, c’est ce constat qui a conduit le PromAP dans sa deuxième phase à prendre en compte la diversification des cultures irriguées comme une bonne pratique à introduire dans le paquet d’activités livré au groupe cible. Ainsi, diverses actions ont été menées à l’endroit des producteurs pour les amener à adopter la diversification des cultures. -
Traitement du bassin versant et du kori1 de Youri / Quels enseignements 5 ans après la réalisation des aménagements
Cette note fait un point sur un projet qui s’est déroulé de 2006 à 2008 sur le kori de Youri. Il a été financé dans le cadre des projets de l’Initiative régionale de lutte contre la désertification du CILSS (IREM/LCD) grâce à des fonds du Fonds français pour l'environnement mondial (FFEM) et il a été réalisé par la Fédération Marhaba. -
Adaptation de l'agriculture au changement climatique au Sahel : profils agronomiques de quinze cultures dominantes au Sahel
Le présent document fait partie d’une série d’études publiées par le projet Résilience africaine et latino-américaine au changement climatique (ARCC) visant à répondre aux besoins d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest. Dans le cadre des études ARCC pour l’Afrique de l’Ouest, le présent document fait partie de la sous-série portant sur l’Adaptation de l’agriculture au changement climatique dans le Sahel. L’ARCC a également produit une sous-série sur le Changement climatique et les ressources en eau d’Afrique de l’Ouest, le Changement climatique et les conflits en Afrique de l’Ouest et le Changement climatique au Mali. -
Fiche pratique Culture de la corète potagère Fakou Malohia
Cette fiche élaborée par la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey n’est pas simplement une fiche de « recettes » (comment il faut faire). Elle présente les pratiques des producteurs, des connaissances issues de la recherche et des observations de terrains. Elle est destinée aux conseillers agricoles pour leur servir de support afin de leur permettre de réfléchir avec les producteurs sur la conduite de leurs cultures et les améliorations possibles. Elle met également en avant les points à travailler par manque de références.