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PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures -
Techniques de production des cultures irriguées -- Moringa (cahier du formateur)
Destiné aux prestataires publics et privés chargés du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite, ce cahier de formateur qui traite des techniques de production du moringa à savoir:
1 -- Généralités sur la culture de Moringa au Niger;
2 -- Conduite d’une pépinière de culture de Moringa;
3 -- Opérations de conduite de la culture du Moringa;
4 -- Description des techniques de production locale de semences de moringa
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Le moringa Oleifera
Cette fiche présente le Moringa un arbre tropical appelé aussi Mouroungeré, Ben aildé, moringa ailé, benzolive, pois quenique, neverdié Famille MORIN GACEAE
la fiche traite des caractéristiques, de l’intérêt alimentaire et de quelques vertus. -
Fiche technique A.S.E. N° 10 moringa oleifera « l'arbre de vie »
Cette fiche technique présente l'importance de la production et de la transformation des produits du moringa. Le choix pour planter le Moringa oleifera est double :
1) une multitude de ses produits peut assurer aux femmes des revenus pendant toute l'année.
2) quelques vertus ont des qualités dans le domaine de la propreté et de la santé. -
La lutte contre le flétrissement de la tomate : Ralstonia solanacearum
Ralstonia solanacearum est une bactérie tellurique Gram - ; elle est présente surtout dans les régions tropicales, semi-tropicales et tempérées chaudes. Comme son nom l'indique, Ralstonia solanacearum conduit au flétrissement rapide des jeunes feuilles aux moments les plus chauds de la journée, souvent réversible durant la nuit dans un premier temps. Par la suite, les flétrissements se manifestent soudainement et deviennent permanents. Il faut noter l'absence totale de symptômes sur fruits. Assez rapidement, les tissus affectés se nécrosent et se dessèchent, et de nombreuses plantes finissent par mourir. -
Diversité des pesticides et leur utilisation dans la lutte contre les ennemis des cultures maraichères dans la zone périurbaine de Niamey, Niger
Les cultures horticoles, constituent un des maillons importants de l’agriculture nigérienne. Leur importance s’est surtout accrue à partir de 1984, l’année du lancement de la campagne dite de « cultures de contre saison ». Mais malgré cela, peu d’intérêt a été accordé à la lutte contre leurs bio-agresseurs. Pourtant, ces cultures subissent une forte pression parasitaire entrainant parfois l’échec de certaines cultures. Le cortège parasitaire est composé de ravageurs (insectes, acariens, nématodes, rongeurs, etc.), d’agents de maladies (champignons, bactéries, virus) et de mauvaises herbes. Pour minimiser l’impact de ces ennemis des cultures sur la production horticole, les producteurs nigériens font le plus souvent recours aux pesticides de synthèse dont certains sont d’origine douteuse. Pour appréhender la problématique d’utilisation de ces pesticides, une enquête a été menée dans la zone périurbaine de Niamey auprès des producteurs et des vendeurs de pesticides sur les modes d’utilisation de ces produits, la nature des pesticides utilisés, et leur conservation, etc. -
Gestion de la chenille mineuse de l’épi du mil par des lâchers du parasitoïde Habrobracon hebetor Say au Niger
La chenille mineuse de l’épi du mil, Heliocheilus albipunctella De Joannis, est l’un des principaux ravageurs du mil en zone sahélienne. En 2015 et 2016, une démarche de lutte biologique de grande envergure a été initiée par des lâchers du parasitoïde antagoniste ectolarvaire Habrobracon hebetor Say dans les cinq régions du Niger. Des équipes incluant les organisations de producteurs ont été mises en place pour la sensibilisation des agriculteurs, l’identification des zones d’infestation du ravageur et la mise en place de 9177 sacs de lâcher. Les surfaces couvertes ont été estimées à 1 417 680 ha en 2015 et 1 521 330 ha en 2016 soit 21% des surfaces en mil dans les régions concernées. Les évaluations menées au cours des deux années ont permis de noter une augmentation des taux de parasitisme de la chenille mineuse de 168 à 1398% dans les villages de lâcher par rapport aux villages témoins. L’enquête sur la perception a révélé une appréciation positive de 77% des répondants. Ils ont estimé la mortalité moyenne des larves du ravageur à 76% et les gains de rendement à 50%. -
Guide de bonnes pratiques phytosanitaires pour la production de tubercules et de feuilles de manioc (Manihot esculenta) en pays ACP
Le document « Guide de Bonnes Pratiques Phytosanitaires » (fruit ou légume) détaille toutes les pratiques phytosanitaires liées au (fruit ou légume) et propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des pesticides dans le cadre de la Directive Européenne 91/414 et devant respecter les normes Européennes en matière de résidus des pesticides. Au stade actuel ces substances actives n’ont pas été testées en pays ACP par le PIP pour vérifier la conformité avec les LMR européennes.Les informations données sur les substances actives proposée est donc et sera adaptée en continu selon les nouvelles informations que rassemblera le PIP. Il est évidemment entendu que seules les formulations légalement homologuées dans leur pays d’application sont autorisées à l’usage. Chaque planteur aura donc le devoir de vérifier auprès de ses autorités réglementaires locales si le produit qu’il souhaite utiliser figure bien sur la liste des produits homologués. -
Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche technique porte sur les techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale -
Fiche technique Moringa
Fiche technique du moringa -
Fiche technique de la poudre de Feuilles de Moringa
Cette fiche technique explique comment réaliser et utiliser la poudre de feuilles de Moringa -
Culture et entretien du moringa
Cette fiche porte sur la culture et l'entretien du moringa -
Culture et entretien du moringa
Le moringa (Moringa oleifera Lam), connu à Maurice comme le « mouroum », est un arbre originaire de l’Inde. Autrefois cultivé en arrière-cour pour ses feuilles et ses gousses afin de subvenir aux besoins alimentaires de la famille, le moringa connait aujourd’hui un intérêt grandissant au niveau mondial, en raison de ses vertus exceptionnelles environnementales, médicinales, industrielles et nutritionnelles.
Le moringa est considéré comme un super aliment car il est très riche en protéine, calcium, fer, potassium et en vitamines A et C. Une comparaison de ses valeurs nutritives avec d’autres aliments est présentée dans le
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Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche d'information présente les conditions générales de culture du moringa (semis, espacement, irrigation, fertilisation, sarclage, taille, lutte contre les ravageurs, récolte , production de graines ) -
Moringa : prévention des maladies chroniques dégénératives
On l’appelle le Moringa, c’est un arbre qui pousse dans les zones tropicales. On le connaît bien en Inde et en Afrique.
Aujourd’hui, on va vous le vendre comme plante miracle.
Qu’en est-il exactement ?
Voici mon point de vue sur le sujet, comme toujours ancré dans la science et la tradition plutôt que dans le marketing gonflé à l’hélium.
www.altheaprovence.com/moringa-prevention-maladies-chroniques-degeneratives/ -
Préparer une décoction d'ail pour lutter contre les chenille
Fiche technique pour la préparation d'une décoction d'ail -
Production et transformation du moringa
Ce guide porte sur la production et transformation du moringa -
Utiliser le piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes
Cette note porte sur la fabrication du piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes -
Réduction des doses de cuivre : Vigne, Pêcher, Pommier-Poirier, Olivier
Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Il permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. -
Utiliser le tabac pour lutter contre les mouches blanches ainsi que la rouille du haricot et du blé
Cet article porte sur la fabrication d'insecticide à base de Tabac contre les pucerons mineuses des feuilles, les charançons, la mouche blanche, les chenilles, la rouille du haricot et du blé -
Utiliser les feuilles et tiges de tomate contre la piéride du chou et la teigne
Cette note montre comment fabriquer des insecticides / répellents naturels à base de feuilles et tiges de tomate -
Traitement phytosanitaire naturel
Cette fiche présente des traitements phytosanitaires naturels -
Fiche maraîchage n°5 : filets de protection
Le filet de protection permet de protéger les cultures des agressions extérieures telles que les insectes nuisibles et les oiseaux. Grâce à celui-ci, les traitements insecticides sont supprimés ou diminués. -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Ce présent document porte sur les méthodes pour lutter contre les ravageurs du chou
en maraîchage biologique -
Les auxiliaires entomophages
Les insectes nuisibles sont régulés par leurs ennemis naturels (prédateurs, parasitoïdes et pathogènes) appelés auxiliaires des cultures. Le préfixe « entomo - » désigne les insectes, les auxiliaires sont donc qualifiés d’entomophages s’ils consomment les insectes (araignées, insectes prédateurs et parasitoïdes), ou d’entomopathogènes s’ils les rendent malades (micro-organismes). -
Guide technique sur les nuisibles de la banane plantain, le maïs, le manioc et la tomate.
Une bonne connaissance des nuisibles des cultures est nécessaire pour permettre une meilleure gestion de leurs effets néfastes. La maîtrise des nuisibles nécessite par ailleurs la mise en place d’une stratégie de protection
intégrée et d’utilisation rationnelle des pesticides, afin de préserver l’environnement et de réduire les cas d’intoxication des utilisateurs et des consommateurs. -
La Production et Protection Intégrées appliquée aux cultures maraîchères en Afrique soudano-sahélienne
Ce document est destiné aux ingénieurs agronomes et aux vulgarisateurs. Il propose une stratégie pour la production de légumes « sains » afin de les guider vers la constitution de protocoles de cultures ou de référentiels techniques qui permettraient de donner aux maraîchers les connaissances pour produire des légumes bénéficiant d’un label assurant des produits de qualité. -
Guide des ravageurs de sol en grandes cultures
Ce présent document porte sur des ravageurs de sol en grandes cultures -
Guide de gestion des nuisibles du sorgho à l’usage des coopérateurs
Ce document porte sur la gestion des nuisibles du sorgho à l’usage des coopérateurs -
Synthèse par culture des méthodes de lutte disponibles
Ce document constitue un recensement des méthodes de lutte applicables immédiatement (I) et des méthodes de lutte potentielles (P). Pour chaque méthode de lutte, il est indiqué le pays ou l’organisme où l’on peut obtenir de plus amples informations. -
Gestion intégrée de la chenille légionnaire d’automne sur le maïs : Un guide pour les champs-écoles des producteurs en Afrique
La chenille légionnaire d’automne (Spodoptera frugiperda), CLA, est un insecte originaire des régions tropicales et subtropicales des Amériques. Les larves de la CLA (photo) se nourrissent sur plus de 80 espèces de plantes, dont le maïs, le sorgho, le millet, la canne à sucre, les cultures maraîchères et le coton. La CLA peut entraîner d’importantes pertes de rendement si elle n’est pas bien gérée.
Elle peut avoir plusieurs générations par an et la noctuelle peut parcourir
jusqu’à 100 km par nuit. -
Lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre
Ce guide porte sur la lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre -
Le citrus greening : détection et moyens de lutte envisageables
Le Citrus Greening ou Huanglongbing est causé par Candidatus Liberibacter, une 'bactérie' du Phloème. La maladie fut détectée pour la première fois en Guadeloupe en avril 2012. Cette maladie est mortelle pour les agrumes et aucun traitement n’existe. Elle est transmise par un insecte vecteur, le psylle (Diaphorinia citri) qui s’attaque aux jeunes pousses. -
Fiches descriptives des maladies et ravageurs de la pomme de terre
Ce guide inclut un ensemble de fiches descriptives permettant de reconnaître et lutter contre les maladies et ravageurs de la pomme de terre -
Fiche technique : Reconnaissance des ravageurs du maïs en culture au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique montre comment reconnaître et lutter contre les principaux ravageurs du maïs -
La cochenille farineuse des racines
Cette fiche technique montre comment reconnaître et lutter contre les cochenilles farineuses des racines -
Noorda blitealis Walker, un ravageur majeur du Moringa au Niger (Lepidoptera, Crambidae)
La pyrale défoliatrice qui constitue au Niger, le principal ravageur du Moringa, a pu être identifiée, pour la première fois, comme Noorda blitealis Walker. Des observations originales ont été faites sur la biologie de cet insecte, permettant d'envisager des méthodes de gestion durable des plantations de moringa. -
Ravageurs des planches maraîchères de Moringa oleifera dans la région du centre (Burkina Faso)
Etude ayant comme objectif l'identification et la caractérisation des ravageurs des feuilles de moringa oleifera, ainsi que la détermination de l'ampleur de la défoliation sur les jeunes plants en culture maraîchère -
Recueil de quatorze fiches techniques du domaine Agro-Sylvo-Pastoral
Le présent recueil comprend quatorze (14) fiches techniques :
- Production du fourrage de Medicago sativa (Luzerne) au Niger
- Production d’Echinochloa stagnina (Bourgou) au Niger
- Amélioration de la disponibilité du fourrage par la culture de Dolichos lablab (dolique)
- Amélioration de l’aviculture familiale au Niger
- Mise au point des rations alimentaires pour les ruminants à base des ressources locales au Niger
- Contrôle et valorisation de Sida cordifolia au Niger
- Production de l’oignon d’hivernage : conduite d’une pépinière en saison de pluie avec le Violet de Galmi
- Techniques de production de bulbilles d’oignon Violet de Galmi
- Production de bulbes d’oignon de conservation au Niger
- Production de riz hors aménagement au Niger
- Banque alimentaire à base de Moringa par semis direct au Niger
- Banque alimentaire à base de Adansonia digitata (Baobab) au Niger
- Banque alimentaire à base de jujubier amélioré au Niger
- Conduite de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) au Niger
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Rapport de l'atelier de formation des encadreurs de la zone d'intervention de promovare en protection des cultures, itinéraire tecnique des cultures et en vie associative tenu du 17 au 21 décembre 2016 à konni
La population du Niger est estimée à 17 138 7 07 habitants (RGPH, 2012). Une population à plus de 80% rurale avec comme principale source de subsistance les activités agro-sylvo-pastorales. Avec le taux d’accroissement actuel de (3,9%), cette population atteindra 55 millions en 2050. Et le secteur agricole considéré comme le principal pilier pour l’alimentation et source d’emploi de cette population a une contribution en deçà du potentiel existant pour diverses raisons dont entre autres les risques climatiques, écologiques, la pression parasitaire et même sociaux et parfois l’insuffisance dans les politiques et stratégies mises en place pour accompagner les producteurs. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection du moringa
Au Niger le moringa est sujet aux attaques de deux ravageurs et d'une maladie -
Fiche technique pour la culture du moringa
Le moringa aime les sols bien drainés. Le sol ne doit pas s’engorger car le moringa est sensible à une présence de l’eau au niveau des racines. On pense que l’excès d’eau favorise le développement de maladies du moringa.
Il faut utiliser une matière organique bien décomposée, obtenue par un compostage à chaud. -
Manuel sur la gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger
Le présent document est élaboré dans le cadre des activités du Programme de Promotion de l'Agriculture Productive (PromAP) financé par la Coopération Allemande. Il s'inscrit dans les activités de la composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d'améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Evolution des prix de gros du moringa sur les 5 dernières années sur le marché de Djémadjé / Niamey
Cette note présente l’évolution des prix moringa sur le marché de Djémadjé (Niamey) depuis avril 2015 (semaine 17) à mars 2020 (semaine 10) et une comparaison des prix sur les cinq périodes de Ramadan.
Les prix sont fournis par des « informateurs » qui sont des professionnels de la commercialisation des produits maraîchers et travaillent depuis plusieurs années avec le RECA.
Le moringa commercialisé sur les marchés de Niamey est produit principalement dans la ceinture maraîchère de Niamey (Région de Niamey et Région de Tillabéri), dont une grande partie sur la rive droite du fleuve. Il n’y a pas d’importations des pays voisins. -
Projet NER : "Systèmes de Surveillance et d'Avertissement des Principaux Ennemis des Cultures"
Dans le cadre de la réalisation de l'objectif prioritaire de recherche de l'autosuffisance alimentaire, fixé par le Gouvernement, le projet vise à renforcer la capacité de la Direction de la Protection des Végétaux à entreprendre une lutte préventive contre les principaux ravageurs des cultures fondée sur une évaluation préalable du risque phytosanitaire. -
Rapport annuel d'activités 2016 et programmation 2017 de la DRP/SE
Les activités conduites par la Direction de la Réglementation Phytosanitaire et du Suivi Environnemental ont porté sur : la réglementation phytosanitaire;le suivi des pesticides et denrées stockées; le suivi environnemental et sanitaire; autres activités. -
Rapport d'activités 2014 et plan d'actions 2015
La Direction de Règlementation Phytosanitaire et du Suivi Environnemental (DRP/SE) a élaboré le bilan annuel de ses activités de 2014 et procédé à la répartition aux différentes divisions des activités retenues dans le plan d'action 2015 de la Direction Générale de Protection des Végétaux (DGPV). -
La culture du moringa oleifera, un outil de développement local : cas de la Commune rurale de Liboré/Niger
La culture du moringa peut-elle contribuer au développement ? Cette question de recherche est secondée par l’hypothèse selon laquelle le moringa est un moyen d’intégration sociale pour les exploitants. L’objectif de cet article est de démontrer l’importance du moringa dans le développement de la commune de Liboré. L’étude a été réalisée sur trois sites de la commune (Yaboni, Galbal et Gonzaré). L’enquête s’est effectuée entre juillet et octobre 2016. Elle a étudié 72 acteurs dont, 42 producteurs et 30 ouvriers. La collecte des données a été facilitée par un guide d’entretien qui est adressé aux différents sujets étudiés. Cette a également été suivie par une recherche documentaire dans les bibliothèques de l’Institut de recherche en sciences humaines (IRSH) de Niamey et du ministère de l’agriculture et de l’élevage du Niger. -
Analyse structurelle des systèmes agroforestiers à base de Moringa oleifera Lam. dans les vallées du fleuve Niger et du Goulbi de Maradi (Niger)
Les structures des systèmes agroforestiers à base de Moringa oleifera ont fait l’objet de suivi et d’analyses approfondies sur les sites de la vallée du fleuve Niger et du Goulbi de Maradi. Le suivi a porté sur la détermination des cultures maraîchères associées au M. oleifera, la durée ainsi que l’arrangement spatial des composantes de cette association. Les données ont été collectées à l’aide d’une fiche qui renseigne sur les paramètres à étudier. Aussi, des interviews semi-structurées ont été organisées avec les exploitants pour appréhender les motivations qui sous-tendent leur choix d’associer telle ou telle culture au M. oleifera. Il ressort de cette étude que sur les deux (2) sites, l’agrosylviculture domine avec plusieurs formes d’association du M. oleifera avec les cultures maraichères notamment Solanum melongena (24% des cultures associées au M. oleifera dans la vallée du fleuve) et Lycopersicon lycopersicum L (50% des cultures associées au M. oleifera dans le Goulbi de Maradi). Les raisons avancées par les exploitants pour choisir les cultures associées au M. oleifera sont d’ordre édaphique ou socioéconomique. Les superficies moyennes exploitées représentent 0,1915 ± 0,1707 ha/exploitant et 0,185 ± 0,0766 ha/exploitant respectivement dans la vallée du fleuve Niger et le Goulbi de Maradi. -
Moringa oleifera dans la résilience et la sécurité alimentaire des populations de la commune urbaine de Tibiri Gobir au Niger
L’objectif de notre travail est d’identifier les combinaisons alimentaires à base de Moringa, leurs fréquences de consommation journalière ainsi que sa contribution dans la sécurité alimentaire. L’enquête à ainsi permis d’identifier cinq combinaisons alimentaires faites de feuilles cuite du Moringa dans cette zone. Il s’agit de feuilles cuites du Moringa avec du piment, du tourteau, de la farine de manioc, du riz et du couscous. -
Le moringa, en plus des feuilles, les graines et l’huile sont de plus en plus demandées
Le RECA a reçu la visite de Monsieur Philippe Arnold, Secrétaire Général de la Fondation Dreyer, une ONG allemande installée au Burkina Faso. Il était en visite au Niger pour rencontrer des structures ou personnes ayant des informations ou des connaissances sur le moringa et sur son marché au Niger. Cette note est écrite pour partager les informations et échanges que le RECA a eu avec ce visiteur. -
Le moringa, une demande forte, une offre insuffisante
Le moringa c’est el maka en haoussa et windi boundou en djerma. En ce mois de septembre, il faut voir les véhicules chargés de sacs de feuilles de moringa pris d’assaut par les détaillantes sur les marchés de Niamey. Pourtant c’est la saison des pluies, la pleine saison de production. Il faut dire que les habitants de Niamey sont de très gros consommateurs de cette feuille riche en vitamines, fer et autres éléments minéraux, et aussi en protéines. Ils ont raison, car 100 grammes de feuilles fraîches de Moringa apportent autant de protéines qu’un œuf, autant de calcium qu’un grand verre de lait et autant de fer qu’un morceau de viande. Et 100 grammes de feuilles de moringa ce n’est pas beaucoup. Fin août 2010 un tas de feuille fraiche de moringa se vend à 400 F.CFA au petit marché de Niamey, un tas qui pèse… 2,5 kg environ. Cela en fait des œufs et des verres de lait ! -
La protection phytosanitaire du Moringa / Quels conseils aux producteurs ?
Le moringa (el maka en Haoussa et windi boundou en Zarma) est une culture très importante au Niger avec deux grands bassins de production, autour de Niamey et dans la région de Maradi. La production du moringa a augmenté régulièrement ces dernières années. Les visites et échanges avec des producteurs des différents sites de production, autour de Niamey, indiquent une pression parasitaire de plus en plus forte avec des pertes de production importantes. Les producteurs se plaignent particulièrement d’un ravageur qui mange les feuilles. Celles-ci peuvent entièrement disparaitre de l’arbuste laissant les branches nues. Sur la photo ci- dessous, le vert des feuilles a été mangé et il ne reste que le « squelette » blanc. -
Plan de travail et budget annuels
Le plan de travail et budget annuels (PTBA) exercice 2006 du Projet de Lutte d'Urgence contre le Criquet Pèlerin couvre la période allant du 1er janvier au 31 décembre 2006. Il est issu d'une mise à jour du premier plan de travail 2005/2006 et présente toutes les activités programmées e, 2006 par la cellule nationale de coordination (CNC) dont la mise en oeuvre se fera avec la participation des différents partenaires : les services de l'Etat, les instituts de recherches ou de formation, les ONG; etc... qui ont en charge l'exécution d'une partie des activités du projet. -
Fiche technico-économique pour la culture du Moringa en saison sèche : Région de Dosso
Le Moringa est la 5 e culture irriguée pratiquée dans la région de Dosso avec 2 700 ha de superficie (MAG / Direction des Statistiques 2021). Appelé localement (« TAMAKA » ou encore « ITCHE MAI ALBARKA » en Haoussa ou « WINDI BOUNDOU » en Zarma, il est cultivé aussi bien en campagne sèche qu’en hivernage au niveau de tous les bassins de production de la région. -
L'arbre moringa
Le Moringa est l'un des plantes plus utiles et les plus polyvalents qui existe. En raison de sa richesse en vitamines, minéraux et protéines de Moringa est une riche source d'éléments nutritifs. Par gramme, les feuilles fraîches de Moringa contiennent 7 fois la vitamine C des oranges, 4 fois le calcium de lait, 4 fois la vitamine A de la carotte, le potassium 3 fois de bananes, 3 fois fer de l'épinard et autant de protéines que dans des oeufs. -
Analyse des Potentialités de l’Exploitation du Moringa en Haïti
Le Moringa, un arbre à usages multiples, est passé en une décennie du statut de plante marginale, voire inconnue, à celui de nouvelle ressource alimentaire et économique. En effet, chaque partie de l’arbre de Moringa possède un énorme potentiel et a des propriétés bénéfiques pour l’humanité. Il est très riche en éléments nutritifs (vitamines, minéraux et protéines). Il a des vertus diététiques, agronomiques et médicinales et peut servir à la purification de l’eau pour la rendre potable. Les médecins utilisent l’arbre Moringa pour traiter le diabète et l’hypertension ; il est également efficace contre les infections de la peau. Il peut aider à reconstruire les os fragiles, combattre les anémies et la malnutrition, et permettre à une mère d’allaiter son nourrisson. Le Moringa sert également de fourrage pour les animaux et elle produit également une huile de haute qualité. De plus, le Moringa peut assurer la protection du sol quand il est produit dans des zones de pente. -
Banque alimentaire à base de moringa et production continue de moringa
Les banques alimentaires à base de moringa sont des plantations en bloc avec la seule espèce. Ce concept est conçu parce que de nos jours, les espèces ligneuses alimentaires constituent un important apport alimentaire notamment aux populations sahéliennes. -
Défrichement amélioré
Cette technologie agroforestière traditionnelle consiste à protéger les espèces ligneuses poussant naturellement afin d’éviter leur destruction pendant les travaux champêtres et le pâturage et de favoriser leur croissance. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : fiche sur le moringa
Le moringa est l'un des arbres vivaces à croissance rapide, à feuilles caduques de taille moyenne d'environ 10 m à 12 m de hauteur. L'écorce a une couleur gris blanchâtre et est entourée de liège épais. Les jeunes tiges ont une écorce violacée ou blanc verdâtre. Les fleurs sont blanc crème jaunâtre et odorantes. Le fruit mûr est une capsule pendante de 20 à 45 cm contenant 15 à 20 graines globuleuses brun foncé de 1 à 1,2 cm de diamètre (voir Mallenakuppe et al. 2019). -
Analyse approfondie de la chaine de valeur moringa au Niger
Le Moringa est un arbre assez exceptionnel, résistant à la sécheresse mais de croissance très rapide sous pluie en saison (les feuilles tombent en saison sèche) et sous irrigation toute l’année. Il est très riche en éléments nutritifs essentiels (protéines et acides aminés, vitamines, sels minéraux) dans toutes ses parties (feuilles, graines, racines, branchettes et écorce), et est utilisé comme légume (consommable cru ou cuit), complément alimentaire (poudre, épice) ou sous forme de thé / infusion. De plus, une huile fine est extractible de l’amande de la graine et a des vertus officinales et cosmétiques reconnues et recherchées. -
Techniques de production du moringa
Moringa oleifera est une plante originaire du sous-continent indien. De là, il s’est propagé dans toutes les zones tropicales et subtropicales du monde. Il s’agit d’un arbre à usages multiples qui attire de plus en plus l’attention des populations tant rurales que citadines. En effet, toutes ses parties sont utilisées pour leurs propriétés nutritionnelles et pharmacologiques. Il peut aussi être utilisé dans l’artisanat et pour la purification de l’eau de boisson. Le moringa peut également jouer un rôle important dans la conservation des sols et de l'eau et dans l'atténuation des effets du changement climatique. Il génère des revenus importants pour les producteurs et sa commercialisation à grande échelle lui fait jouer un rôle économique croissant (Bibata et al., 2023). -
Effets de modèle de fertilisation bio sur la croissance de deux cultivars de Moringa oleifera Lam.
La culture de Moringa oleifera au Niger constitue une activité d’appoint à l’agriculture pluviale caractérisée par une baisse des rendements due à la dégradation du sol. L’étude a été conduite dans la Commune de Kanembakaché avec l’objectif d’évaluer les effets des modèles de bio-fertilisation sur la performance agronomique et foliaire de deux variétés de M. oleifera.