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Négocier les conflits d’intérêts liés à l’exploitation de l'eau
Ce document cadre avec le programme RUIG et les besoins du PADEL et du FSIL relatifs à la prise en compte des demandes touchant à l’exploitation des eaux de surface et de subsurface des vallées de Foga et Maouri. -
Comment mieux contribuer à la cohésion sociale et à la paix à l’intérieur des projets comme PAS2P ?
Ce guide a pour point de départ ; les retours de pratiques des professionnels impliqués sur le terrain dans le projet PAS2P, via une série d’entretiens individuels et l’analyse documentaire ; les réflexes de gestion de projet sensible au conflit tels que pratiqués par l’auteur (théorie et pratique). -
Note de synthèse sur la situation pastorale dans la zone transfrontalière Mali/Niger/Burkina Faso
La présente note présente une synthèse des éléments saillants contenus dans les rapports qui ont été élaborés par les points focaux de trois organisations membres des Antennes nationales du Réseau Billital Maroobè (RBM) implantées au Burkina Faso, au Mali et au Niger1. A travers la mise en place d'un dispositif de veille informative, le RBM cherche à apporter un appui à des communautés pastorales qui sont confrontées à une situation de conflit et aux effets induits par le changement et la variabilité climatiques. -
L'accès aux espaces pastoraux et leurs sécurisation
Les droits fonciers des éleveurs sur leur terroir d’attache peuvent être reconnus par la Commission foncière par la délivrance d’un acte attestant d’un droit d’usage prioritaire. Ce droit d’usage prioritaire n’est pas un droit de propriété : il n’exclut pas l’accès des autres éleveurs aux ressources pastorales. Pour se voir reconnaitre un droit d’usage prioritaire : s’adresser à la Commission foncière communale ou départementale. -
Procédure de gestion des conflits foncier ruraux
Cette affiche, ressort les étapes de règlement de conflit, du niveau de règlement du conflit et les étapes à suivre pour parvenir à une conciliation des acteurs. -
L’indemnisation des dégâts champêtres
Les dégâts champêtres restent un problème préoccupant dans le monde rural du Niger. Avec des exemples à l'appui, l'affiche expose les faits et les textes auxquels il faudrait se référer. -
Guide méthodologique de gestion et de prévention des conflits liés aux ressources naturelles
Ce petit manuel est un guide destiné aux agents de développement travaillant dans le cadre des projets de gestion de ressources naturelles ayant participé à une formation de base en gestion des conflits. Il permet de par son contenu d’assimiler et d’approfondir des notions élémentaires et des outils appropriés à une compréhension et une analyse pour une gestion non violente des conflits courants entres acteurs exploitants les ressources naturelles sur un même espace. Il s’articule autour d’un certain nombre de thèmes comme : comprendre le conflit ; l’analyse du conflit ; la résolution des conflits et les techniques de médiation des conflits communautaires. -
Les fourrières
La fourrière est un service public de police rurale qui sert à sécuriser les animaux perdus, égarés ou errants. -
La gestion des conflits dans les organisations
Avant de commencer cette étude sur la gestion des conflits dans les organisations, il faut correctement délimiter notre sujet. Nous ne parlerons donc bien évidemment pas de conflit social mais de conflits internes résultant de la communication de groupe, des tensions qui se forment autour de l’activité de l’organisation. -
Mécanisme de gestion des plaintes : plan de communication et de formation pour le projet d'Appui au Pastoralisme au Sahel, PHASE II (P173197)
Le présent plan de communication, qui ressort les principales lignes directrices pour diffuser les informations et actions effectives à réaliser dans le cadre de l’opérationnalisation du Mécanisme de Gestion des Plaintes du Projet, a été élaboré pour se conformer aux dispositions du PEES. Ce document est dynamique et pourra par conséquent être mis à jour si nécessaire selon les besoins. -
Promouvoir une gestion locale concertée et effective des ressources naturelles et foncières : Les conditions d’effectivité des conventions locales 1) Règles et processus de négociation
Depuis une quinzaine d’années, de nombreux inter venants travaillent à promouvoir des accords négociés sur l’accès et l’exploitation des espaces et des ressources naturelles, souvent connus sous le terme de « codes locaux » ou « conventions locales ». Si le principe d’accords négociés fait sens1, les résultats sont plus mitigés. Nombreuses sont les conventions peu ou pas appliquées. Il n’y a pas de recette miracle pour garantir l’effectivité d’une convention locale, mais on peut identifier un certain nombre de conditions et de facteurs favorables. Un premier ensemble de conditions concerne les règles de gestion (traité dans cette note), un autre l’engagement des autorités2. -
Conflits fonciers liés à la mobilité pastorale dans le nord Dakoro : les facteurs déclenchant et mesure d'atténuation
Le département de Dakoro constitue le lieu de passage privilégié des animaux lors des mouvements de transhumance entre la zone pastorale (l’Azawak, l’Irhazer) et le Nigéria. Il est habituellement secoué par la récurrence des conflits fonciers violents. Ces derniers ont un impact humain, économique et social important qui se répercute sur la mobilité pastorale et la sécurité alimentaire des protagonistes. Les principaux résultats obtenus à l’aide des approches géographiques et socio-anthropologiques, montrent une recrudescence des conflits violents dans le département de Dakoro qui s’explique par un certain nombre des causes. La première est liée à la raréfaction des ressources naturelles (terres de culture, pâturages, mares, etc.) du fait de la forte dégradation dont elles sont l’objet. -
Note conceptuelle sur un programme de réponse intégrée à la problématique des « conflits entre éleveurs et agriculteurs au Niger » liés à la transhumance
La transhumance permet l’occupation, sur un temps limité, des pâturages ce qui assure leur régénération, la diversification des espèces, leur assainissement, la réduction des risques de feux de végétation et a fortiori la fertilité des sols. Malheureusement, celle-ci est dangereusement menacée. En 2020, le CICR estimait que cette mobilité au Niger n’était plus qu’à 36,5 pour cent normale, 41,5 pour cent limitée et déjà 22 pour cent hautement perturbée3. Les défis auxquels elle fait face ont trait à la pression de plus en plus accrue sur les ressources naturelles, au changement climatique, à l’expansion du désert du Sahara vers le Sud, (touchant fortement le territoire nigérien), à la multiplication des conflits de plus en plus violents et à la faible couverture du pays en structures décentralisées d’accompagnement des éleveurs qui effectuent régulièrement la transhumance transfrontalière. Une nouvelle tendance négative s’observe aussi pour limiter les entrées des troupeaux par des quotas d’animaux par saison (ex. le Benin). Tout ceci exacerbe davantage le problème de mobilité pastorale. -
La gestion des puits communautaires dans le centre-sud du Niger : les faces cachées d’une arène locale
La présente recherche met l’accent sur la dynamique des conflits liés à l’usage et la gestion des puits communautaires en milieu rural nigérien. Elle montre que la réalisation de puits dans le département de Mayahi, centre-sud du pays, n’est pas sans conséquence sur les relations entre pasteurs et agriculteurs du fait des intérêts en jeu. Elle occasionne la présence de groupes d’acteurs stratégiques mus chacun par ses propres logiques. Ce qui est source de tensions et conflits en milieu rural. S’inscrivant à la fois dans l’approche stratégique de Crozier (1977) et dans celle socio-anthropologique des conflits (Olivier de Sardan, 1995), cet article apporte un éclairage à la compréhension des comportements et pratiques des acteurs d’horizons divers autour de la gestion des puits communautaires. Ces différents acteurs mus par des intérêts contradictoires développent plusieurs stratégies afin d’avoir l’accès et le contrôle des puits communautaires. Les comportements de ces acteurs constituent une échelle d’observation pour mieux appréhender leurs pratiques et les conflits qui naissent dans l’accès et le contrôle des puits communautaires au sein de cette entité administrative. -
Les dégâts champêtres : comment éviter des abus dans leur gestion?
Les dégâts champêtres sont à la base de conflits souvent dramatiques (mort d'hommes, coups et blessures et pertes de biens) entre les agriculteurs et les éleveurs. Les causes sont : - l'occupation et l'ensemencement des parcours (couloirs de passage, aires de replis...)
- le tarissement précoce des mares des zones pastorales;
- la descente précoce des éleveurs dans les zones des cultures;
- l'ouverture volontaire par certains agriculteurs de leurs champs à la pâture de leurs propres animaux avant même la libération des champs;
- la conduite des animaux par des enfants n'ayant pas l'age requis pour le faire. -
Que faire pour éviter les dégâts sur les cultures de saison sèche (cas des pastèques, calebasses, manioc....) ?
A la fin de la saison des pluies, des cultures de saison sèche (principalement des calebasses, pastèques, manioc...) poursuivent leur cycle sur les espaces abandonnés après les cultures pluviales. -
Que faire quand les champs sont défrichés au delà de la limite nord des cultures?
Au Niger, depuis 1961, une loi détermine la limite nord des cultures. Au delà, de cette limite, il est formellement interdit d'ouvrir des champs de cultures. -
Convoitises et conflits entre ressources pastorales et extractives au Nord-Niger : verts pâturage et yellow cake chez les « hommes bleus »
Cet article évoque les difficultés qu’ont les pasteurs nomades à perpétuer leurs conditions d’existence face aux multiples contraintes auxquelles ils sont confrontés (climatiques, politiques, économiques). Outre les problèmes d’insécurité, de cloisonnement et d’accapare ment des terres pastorales, ils subissent les impacts de l’exploitation minière par des sociétés internationales, notamment de l’uranium dans l’Eghazer, qui fonctionnent selon des logiques extraterritoriales. Aux impacts sanitaires et environnementaux s’ajoutent la confiscation de terrains de parcours ainsi que les entraves mises à la circulation des troupeaux, et ce malgré les droits fonciers et malgré la reconnaissance de la mobilité des pasteurs nomades dans la législation nationale.