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Formation des préposés des Eaux et Forêts - Cours d’apiculture
Depuis toujours les populations africaines ont recueilli le miel en allant le chercher directement dans les nids des abeilles sauvages établis dans les arbres de la forêt en détruisant les colonies. Ainsi, l’apiculteur, au départ était chasseur de miel et de cire et ne s’est intéressé que très peu à l’étude détaillée de abeilles. Les anciens pensaient que le miel venait du ciel. Ce n’est qu’à la fin du xv° siècle que l’on commence à étudier les abeilles. Au début du XVII° siècle, l’invention du microscope change les méthodes et deux italiens publient en 1625 ‘’Apiarium’’ dans lequel on découvre la description microscopique de toutes les espèces d’abeilles connues à cette époque. Le hollandais Schwmmerdam fut le premier à mettre en évidence la présence de la reine, mère de la colonie. L’apiculture est l’art et la Science de l’élevage des abeilles et des soins à donner aux abeilles afin d’obtenir de leur travail dirigé, le miel, la cire, le pollen et la gelée royale ; produits de la ruche. Elle nécessite de l’adresse, de l’habileté, de la patience, des connaissances et de l’expérience. -
L’apiculture
Ce présent guide porte sur l'apiculture et présente une abeille, si peu connue, les produits de la ruche et parle des dangers qui menacent cet insecte essentiel et si symbolique… -
Comment élever des abeilles et produire du miel ?
Ce guide porte sur l’élevage des abeilles et la production du miel -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre C -
Composition et contaminants du mielLe miel est une denrée alimentaire, et à ce titre, ne doit pas présenter de dangers pour le consommateur. En tant que producteur de denrées alimentaires, l’apiculteur est responsable des produits qu’il commercialise et doit mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour que ce produit soit sain. L’apiculteur est libre des moyens qu’il emploie pour atteindre cet objectif. L’apiculteur a également intérêt à connaître le mieux possible son produit (arômes, origine florale…). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre E - Élevage des reines
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide de bonnes pratiques apicoles - Chapitre H -
Hygiène en production de miel, de pollen et de gelée royaleLe Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre M - Connaissance, prévention, surveillance et lutte contre les principales maladies et agresseurs des colonies
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre P - Sécurité et prévention des risques
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre R - Conduite des ruchers
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre S - Santé des colonies
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide de bonnes pratiques apicoles
Ce guide est destiné à tout apiculteur qui produit du miel extrait ou en rayons et/ou du pollen et/ou de la gelée royale, quel que soit son niveau de production. Ce type d’activité doit être considéré comme relevant de la production primaire hormis le séchage du pollen. Cependant, ce guide ne s’adresse pas à l’apiculteur qui produit uniquement pour sa consommation personnelle. -
Guide du débutant en apiculture au Kenya
L’objectif de l’apiculture est de produire et de vendre autant de miel que possible. L’apiculture est un moyen de diversifier ses sources de revenus et d’utiliser le mieux possible des ressources qui sont à notre portée. Avoir plusieurs sources de revenus est un gage de sécurité.
L’apiculture procure aussi des pollinisateurs qui ont l’immense mérite d’accroître les rendements des cultures. Les abeilles sont respectueuses de l’environnement, les apiculteurs aussi. -
Débuter en apiculture
Ce manuel a été conçu comme support de formation de débutant apicole. Il est le premier d’une série de trois manuels de notre programme de formation "pas à pas". Cette méthode est le fruit de trois écoles d’apiculture dont Abeille - Fleurs et Homme (A-FH, Ngaoundéré, 1999), Apiculteurs du Cameroun (APICAM, Yaoundé, 2001) et Apiculture – Formation - Coopération (AFOCO, La Louvière, 2005) et d’une passion enfin dévoilée pour les abeilles. -
L'apiculture en Afrique tropicale
Des expériences menées par l’Association Française des Volontaires du Progrès (AFVP) ont montré qu’il était tout à fait possible d’envisager le développement de l’apiculture en Afrique Tropicale, en améliorant en premier lieu les pratiques traditionnelles avec des moyens simples, peu coûteux, que l’apiculteur assimile rapidement car ils sont concrets et efficaces. Dans cet ouvrage sont abordés le marché international du miel et de la cire, l’abeille africaine, les pratiques traditionnelles en Afrique, des exemples concrets de tentative de développement de l’apiculture en Afrique et les leçons de l’expérience. -
Analyse de l'apiculture au Niger
Au Niger, l’apiculture est pratiquée d’une manière artisanale dans toutes les zones sahéliennes et sahélo-soudaniennes du Pays . La production est orientée essentiellement vers le miel, dont la quantité ne couvre pas la demande intérieure, alors que la cire n’est pas convenablement exploitée. L’apiculture est une activité rentable et constitue une bonne opportunité de diversification de revenus dans les zones rurales, avec des potentialités d’augmentation certaine de la production. Pour le moment, elle est limitée par les techniques utilisées, l’insuffisance de formation professionnelle des apiculteurs et la présence de parasites des abeilles (Apis mellifera), parmi lesquels le petit coléoptère de la ruche Aethina tumida. Des possibilités de développement de l’activité et d’augmentation de la production sont possibles avec une large diffusion des techniques d’apiculture modernes. -
Guide des bonnes pratiques pour une apiculture biologique
L’apiculture est une activité importante pour le développement de l'agriculture par la pollinisation que réalisent les abeilles, par ses diverses productions, des emplois qu'elle génère et des revenus substantiels qu'elle procure. Cependant, l’abeille souffre aujourd'hui de l’usage massif des insecticides directement et indirectement des autres pesticides (herbicides et fongicides) qui affectent la qualité du miel et par conséquent, la santé du consommateur. L’apiculteur, est aujourd’hui responsable des produits qu’il commercialise, il doit tout
mettre en œuvre pour assurer la qualité du miel, depuis la ruche jusqu’au pot. Si malgré tout un problème survenait, il doit pouvoir en trouver l’origine. -
Étude des potentialités mellifères et contribution de l’apiculture à l’économie des ménages dans la commune de Madarounfa au Niger
Conduite dans la commune de Madarounfa, cette étude vise à analyser les potentialités mellifères et la contribution de l’apiculture à l’économie des ménages ruraux. L’étude a concerné six villages à savoir Saulawa, Tsola, Kabobi, Bargaja, Dan Toudou et Garass. Au total 39 apiculteurs ont été identifiés et enquêtés. Outre les entretiens, des visites et observations ont été menées sur les sites de production pour apprécier l’itinéraire technique de production ainsi que la quantité et la qualité du miel obtenues. Bien que la production du miel soit artisanale, cette activité constitue une source de revenus non négligeable. Les résultats de l'étude ont révélé que les apiculteurs de la commune de Madarounfa ont une longue expérience dans le domaine et cela grâce aux potentialités mellifères dont regorge cette zone écologique. En effet, 28 espèces mellifères ont été recensées. Les espèces comme Vitellaria paradoxa et Faidherbia albida sont les plus visitées par les abeilles. -
Manuel visuel des bonnes pratiques apicoles à l’usage des petits apiculteurs d’Afrique
La présente publication est un manuel visuel et pratique sur l’apiculture durable destiné aux petits apiculteurs des régions rurales d’Afrique. Elle a été conçue pour servir de guide de formation sur l’apiculture et a vocation à devenir un document de référence sur les bonnes pratiques apicoles élémentaires à l’usage des petits apiculteurs. Son objectif consiste à transmettre aux producteurs de miel les connaissances nécessaires pour élever des abeilles, mais également produire et récolter du miel de façon durable. Ce manuel ne prétend pas être exhaustif; il est volontairement concis afin de livrer aux petits apiculteurs d’Afrique les informations les plus fondamentales et les plus utiles sur l’apiculture. Il ne donne donc pas d’informations détaillées sur les activités postérieures à la récolte, qui doivent idéalement être réalisées dans un bâtiment spécifique (miellerie). -
Données éthno nutritionnelles et caractérisation (physico-chimiques et polliniques) des miels vendus sur les marchés de marchés de Niamey
Le miel est une substance naturelle très riche en sucres simples directement assimilables par l’organisme et aussi bénéfique pour la santé. L’objectif de cette étude vise à connaitre les perceptions de consommation du miel et la qualité des miels vendus sur les marchés. Une enquête de perception a été menée sur une population de 100 individus à Niamey ainsi que les analyses physico-chimiques et polliniques de 8 échantillons des miels collectés directement chez les apiculteurs de la zone de Parc W par le projet Africa 70 ainsi que 4 échantillons de miels locaux et 4 échantillons de miels importés vendus sur les marchés de Niamey. Les résultats ont montré que la majorité des personnes enquêtées sont des hommes (70%) et sont en grande partie (85%) représentés par des sujets âgés de 16 à 40 ans. 45% des personnes d’enquêtés utilisent le miel comme médicament, 29% comme aliment, 26% comme aliment et médicament, 19% avec les écrits coraniques, 10% dans les cosmétiques et 4% comme pate dentifrices. En moyenne, les personnes enquêtées consomment 0,75 litre par mois. -
L'apiculture en Afrique : les pays du nord, de l'est, du nord-est et de l'ouest du continent
C'est une présentation de l'apiculture des pays de quelques régions d'Afrique: Afrique du Nord (Algérie, Égypte, Libye, Maroc, Tunisie), de l'Est (Kenya, Tanzanie, Ouganda), du Nord-Est (Djibouti, Éthiopie, Somalie, Soudan) et de l'Ouest (Bénin, Burkina, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Côte-d'Ivoire, Liberia, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Togo). La revue concernant ces 26 pays porte sur les races d'abeilles mellifères, y compris les races africaines, les plantes mellifères, la production de miel et d'autres produits de la ruche, les prédateurs et les maladies des abeilles mellifères, la chasse au miel, l'apiculture traditionnelle avec des ruches traditionnelles, l'apiculture moderne qui emploie des ruches modernes. On présente également des données sur l'histoire de l'apiculture, les activités de recherche et les pionniers de la recherche apicole dans ces pays, à l'exception toutefois du Mali, du Niger et de Sierra Leone. Les recherches les plus nombreuses ont été conduites en Égypte, en Tanzanie, en Éthiopie, au Nigeria et au Sénégal. Les projets, les associations professionnelles, les stages de formation, les publications spécialisées, les séminaires, ateliers et conférences organisés dans ces pays sont également cités. L'apiculture de ces pays africains réclame pour son développement plus d'organisation, de coopération, de modernisation, de formation, d'extension et de recherches. -
Étude sur la végétation mellifère de la zone d’intervention du Projet « Lait et miel – AICS - AID 011451 » : liste des espèces végétales
Cette étude dresse une liste des espèces végétales recensée de la zone d'intervention du Projet ACRA dans le cadre du Projet Lait et Miel. -
Étude sur la végétation mellifère de la zone d'intervention du Projet « Lait et miel – AICS - AID 011451 »
Pays enclavé, la population du Niger est estimée à 22 807 272 habitants en 2019 avec un taux d’accroissement annuel évalué à 3,9% (INS, 2018). Ce pays couvreune superficie d’environ 1.267.000 km², dont les ¾ sont désertiques.Au Niger, l’économie est dominée essentiellement par les activités du secteur agricole qui assure l’emploi à 87 % de la population active du pays. Ce secteur contribue pour 35 % à la richesse nationale mais connaît depuis 1970, une situation de crise marquée par un profond déséquilibre entre l’accroissement des besoins et le capital productif. Pourtant, le Niger tire l’essentiel de ses moyens de subsistance de l’exploitation des ressources naturelles. -
Situation typique de production de miel
Manuel de formation sur la production du miel. -
Apiculture biologique
Selon la Fédération internationale des mouvements d’agriculture biologique (IFOAM), l’agriculture biologique est un système de production qui préserve la santé des sols, des écosystèmes et des personnes. Elle s’appuie sur des processus écologiques, la biodiversité et des cycles adaptés aux conditions locales, plutôt que sur l’utilisation d’intrants aux effets néfastes. L’agriculture biologique combine la tradition, l’innovation et la science au profit de l’environnement commun et favorise des relations équitables et une bonne qualité de vie pour toutes les personnes concernées