Recherche
15 items
-
Évaluation du potentiel et des contraintes de la petite irrigation au Niger -- renforcement des capacités d’élaboration d’un plaidoyer et de dialogue politique des organisations paysannes
Ce document est une synthèse du rapport d' évaluation du potentiel et des contraintes de la petite irrigation au Niger : renforcement des capacités d’élaboration d’un plaidoyer et de dialogue politique des organisations paysannes . il traite des points ci-dessous:
-- Investissements, charges d’exploitation et résultats économiques;
-- Risques économiques, maîtrise de la production et de la commercialisation a traité des points ci-dessous:
-- Financement de la petite irrigation;
-- Sécurisation foncière et marché des terres;
-- Ressource en eau et potentiel irrigable;
-- Renforcement des capacités des Organisations paysannes. -
Note de présentation du microprojet d’équipement du groupement féminin Kila Kil de Diffa pour la transformation du poivron - perspectives d’appui et d’accompagnement
Le document du microprojet commence par la phrase « la transformation du poivron est une activité prometteuse ». C’est sans doute vrai car c’est écrit dans tous les rapports sur la filière poivron de la région de Diffa… depuis des années. Il est également régulièrement signalé que la transformation en poudre reste marginale, la majorité du poivron produit chaque année dans la région est vendue séchée (5.000 à 8.000 tonnes de poivron sec suivant les sources) et la plus grande partie prend la direction du Nigeria pour y être transformée… en poudre. Cette part modeste de poivron transformé en poudre ravitaille le marché local de Diffa et aussi les villes de l’ouest jusqu’à Niamey. -
Les microprojets des GF avec une activité dite de transformation des produits agricoles
Cette note concerne uniquement les dossiers de microprojets (MP) présentés par des groupements féminins et contenant une activité dite de transformation des produits agricoles, soit au total 10 MP plus un dernier concernant la construction d’un magasin de stockage (soit 11 MP sur un total de 45 pour la région et le financement 2010). Cette note est destinée à aider les responsables de la CRA et les autres acteurs impliqués dans la définition, la rédaction, l’analyse et la sélection des futurs microprojets. Les cas présentés pourront servir aux prochaines formations des équipes chargées de la sélection et celles chargées de faire l’analyse technique et financières des dossiers. -
Visite du plateau de Ounoufa, aménagé en 2007 par le Programme de lutte contre l’ensablement dans le bassin du fleuve Niger (PLCE – BN)
Cette note a été rédigée à partir d’une visite du site de Ounoufa, le samedi 11 décembre 2011. Les actions du PLCE ont démarré en 2005. Pour faire face à la dégradation des terres, suite à l’érosion hydrique et éolienne et à l’ensablement du Bassin du Niger, des techniques de Conservation des Eaux et des Sols et de Défense et Restauration des Sols (CES/DRS) sont proposées et expérimentées en partenariat avec les villages concernés. -
Les microprojets d’équipement pour les productions maraîchères irriguées
Cette note présente une première synthèse des microprojets (MP) ayant été financés par le Fonds d’Appui Régional avec un objectif de production maraîchère / développement de l’irrigation par des coopératives (hommes) et des groupements féminins. Ce sont les appellations utilisées et qui ont l’utilité de faire la distinction même si les groupements féminins (GF) ont aussi un statut coopératif. -
Gestion des risques agricoles par les petits producteurs. Focus sur l'assurance récolte indicielle et le warrantage (partie 1)
En août 2010, un atelier régional de validation des résultats de l'étude de faisabilité pour la mise en place d'un mécanisme d'assurance récolte dans la zone UEMOA s’est tenu au siège de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) à Lomé. Cette étude devait permettre d’identifier et caractériser les différents risques dans la zone UEMOA, de définir un ou des mécanisme(s) d’assurance récolte pour la zone, d’évaluer le potentiel d’application de ces mécanismes, d’identifier les conditions de succès et de proposer une stratégie d’implantation.Des participants du Niger ont suivi cet atelier, dont des membres d’organisations paysannes. Dommage que ces « délégués » n’aient pas pu faire de restitution de ces travaux et des éléments ce pourrait être utile pour le Niger. Cela reste une affaire à suivre ! -
L’importance de l’oignon dans la vie socioéconomique du Niger : contexte et agendas d’action
Depuis l’Indépendance, la production et la valeur marchande de l’oignon nigérien ont connu une croissance impressionnante. La production nationale tend vers le cap de 500.000 tonnes1. Le chiffre d’affaires des producteurs est autour de 47 milliards FCFA. C’est pourquoi on l’appelle l’or violet nigérien : il a conquis le marché sous-régional et constitue un des piliers économiques les plus importants du pays. D’une manière directe et indirecte, la filière procure des revenus importants pour une multitude acteurs. La filière contribue ainsi à l’emploi et au cadre de vie de plus d’un million de personnes, dont les producteurs sont les plus nombreux. Bien que les évolutions économiques soient impressionnantes, la filière se trouve toutefois devant de multiples d’enjeux qui requièrent des actions concertées de l’ensemble des parties prenantes. -
Semences d’oignon : le point de la situation fait au cours de la quatrième journée nationale de l’oignon, juin 2011
Dans les schémas des organismes de multiplication, la production de semences vise à fournir un produit conforme au matériel de départ mis au point par le sélectionneur et respectant les normes de qualité technique. Afin de limiter les risques de dérives des variétés, du sélectionneur à l’agriculteur. -
Le point sur les semences d’oignon pour la campagne 2010 - 2011
Cette note (3ème édition de la journée nationale de l'oignon) relève des constats sur les semences d'oignon pour la campagne 2010-2011. -
Note sur la variation du prix du Moringa à Maradi
Le marché de Maradi est le plus grand marché de Moringa séché et précuit au Niger. Le Moringa séché provient d’une part du bassin de production de Maradi, constitué de la vallée du «Goulbi Maradi» et des 512 ha d’aménagements hydro agricoles, et d’autre part du Nigeria. La production de Maradi est importante. Elle est destinée à la commercialisation et à la consommation locale. Le Moringa est commercialisé sous deux formes : le « séché » et le « précuit ». Cette note ne traite que du Moringa séché, produit et commercialisé dans le bassin de production de Maradi. -
La protection des variétés végétales en Afrique de l'Ouest et Centrale
Les méthodes agricoles traditionnelles et les variétés végétales sont chargées de couvrir la grande majorité des besoins nutritionnels et médicinaux des populations de l'Afrique de l’Ouest et centrale. Les régimes du droit international et régional de la propriété intellectuelle sont analysés comme une possibilité d'instrument juridique pour la protection de ces méthodes traditionnelles agricoles et des variétés végétales. Toutefois, comme le document le démontre, ces moyens conventionnels de protection juridique ne peuvent pas nécessairement satisfaire les besoins des gens qui tentent d'assurer l'accès et la capacité à fournir de la nourriture et des médicaments suffisants pour leurs communautés. -
Livret sur les techniques de conservation et gestion des matières premières et des produits transformés
Généralement, le traitement est fonction du type d’infestation ou d’attaque. Il existe des traitements traditionnels qui donnent de bons résultats mais qui ont aussi leurs contraintes. Ce que l’on peut dire au sujet des traitements curatifs modernes, c’est que pour y procéder, il faut s’entourer de ces précautions : demander les services de personne qualifiée (par exemple les services de l’agriculture) ; lorsqu’un produit est utilisé, lire attentivement la notice et s’y conformer ; si le traitement l’exige, il faut respecter le délai requis avant de consommer les céréales traitées sinon ils peuvent occasionner des drames (maladies, décès) ; d’une façon générale, au cours des traitements, il est déconseillé de boire, fumer, manger, chiquer. Il est conseillé de bien se protéger (port de gants, casques, masques pour le nez…) de bien se laver après le traitement, de détruire ou d’enfouir assez profondément dans le sol, les contenants des produits utilisés (bidons, sachets…), de se rendre immédiatement au poste de santé le plus près en cas de malaise avec la notice du produit utilisé pour aider rapidement à identifier le mal et à le traiter. -
Les interprofessions des filières agricoles dans la Loi d’orientation agricole du Mali
Cette note présente les articles de la LOA du Mali qui concernent spécifiquement la création et le rôle des interprofessions des filières agricoles. Elle est complétée par une note présentant le décret d’application fixant les modalités de création et d’enregistrement des organisations professionnelles (31 décembre 2008). -
Les interprofessions des filières agricoles : qui peut (doit) participer à une interprofession ? Comparaison des textes sur les interprofessions : France, Mali, Sénégal et l’avant projet du Burkina Faso
Cette note présente une comparaison des textes de loi sur les interprofessions (IP) de France, du Mali et du Sénégal, sur la question des membres et de la composition des interprofessions, à travers les textes réglementaires de ces trois pays qui ont élaboré une loi relative aux interprofessions agricoles1. -
Les OP passent leurs « marchés » dans la région de Diffa
Le Fonds d’Appui Régional (FAR) s’inscrit dans la composante 2 du programme « Appui au secteur rural des régions de Diffa et de Zinder (PASR) ». Une grande partie du financement est dirigée en subventions à l’endroit des organisations de producteurs, sous forme de microprojets. Les porteurs de ces projets assurent un certain nombre de tâches liées à la maîtrise d’œuvre de leur projet, notamment la passation des marchés et la signature de contrats de prestations. Cette note présente les premières passations de marché réalisées par une coopérative de producteurs et un groupement féminin dans la région de Diffa.