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Mieux valoriser les foins, les gousses d’Acacia radiana et le son de céréales en embouche ovine au Sahel
L’embouche ovine, activité traditionnelle est réalisée à grand frais de fanes de légumineuses, de grains et son de céréales. Il est nécessaire de mettre au point des rations plus économiques pour l’embouche ovine sans concurrence avec l’alimentation humaine. -
Le traitement de la paille à l’urée Cas de la Région de Diffa
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. Elle est basée sur des entretiens menés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa avec des membres des Services techniques, des éleveurs, des OP et des projets, et complétée par la lecture de documents. Le RECA ne prétend pas avoir fait le tour de la question, ni vu toutes les expériences, ni rencontré tous les acteurs. Les observations et analyses sont provisoires. Cette note sera progressivement complétée et améliorée. Les apports et compléments sont souhaités afin d’enrichir ce travail de capitalisation sur la situation des technologies et techniques générées et/ou diffusées au Niger par l’ensemble des acteurs. -
Bulletin de surveillance pastorale sur le Niger
Un dispositif composé de dix-huit (18) sites sentinelles est mis en place. Ces sites sont répartis dans les régions de Maradi (2sites), Tahoua (6sites), Tillabéry (3 sites), Zinder (2 sites), Diffa (4 sites)et Agadez (1sites). Au niveau de chaque site, unrelaiassure la collecte et faitremonter les informations sur les ressources pastorales. Les relais sont choisis parmi les agents du service d’élevage. La collecte des informations est faite à une fréquence hebdomadaire et en temps réel.Lesrelais collectent les informations avec des téléphonescellulaires utilisés à la foiscomme canal d’envoi et de réception. Le service internet Telerivetpermet la gestion desquestionnaireset des réponses ainsi que l ́envoi des messages.Lesdonnées résultantes sont disponibles au format de fichier .csv sur demande.Les données cartographiées par Action Contre la Faim sont fonction des thématiques reconnues sensibles par la Direction du Développement Pastorale DDP. -
Alimentation des poulets et entretien des poulaillers
Notes prises à partir de la vidéo https://youtu.be/Zn1OXW79eXQ (Vidéo tournée au Centre Régional de Songhaï Porto-Novo au Bénin) -
La pierre à lécher
Cette fiche porte sur la fabrication de la pierre à lécher pour les ruminants -
Comment produire des termites pour nourrir la volaille ?
Ce guide porte sur la production de termites afin de nourrir la volaille -
Technique de reproduction du lapin : fiche technique
Cette fiche technique offre des conseils pour gérer la reproduction dans un élevage de lapins -
Technique d'alimentation des lapins
Cette fiche technique propose des conseils pour gérer l'alimentation d'un élevage de lapins -
La maladie hémorragique virale (VHD) du lapin.
Cette fiche technique apprend comment reconnaître et éviter la maladie hémorragique du lapin -
Répertoire des distributeurs d'intrants agricole du Niger
L'édition de ce premier répertoire des distributeurs d'intrant agricole du Niger par le Consortium Sol a été possible grâce aux bases de données des institutions collaboratrices -
Fiches Maladies Animales Prioritaires – Mallette Pédagogique Santé Animale PRAPS
Les Fiches Maladies Animales Prioritaires de reconnaissance de 27 maladies et syndromes contenues dans le M.U.P.S.A sont également proposées en édition indépendante. Chacune d’entre elles propose un résumé clair, pratique et illustré pour optimiser la reconnaissance des signes cliniques des maladies animales prioritaires du Sahel et les conduites à tenir face à celles-ci par le personnel de santé animale.
Ces fiches ont été conçues et développées par plusieurs vétérinaires et scientifiques du Cirad - UMR ASTRE et des praticiens de terrain, dans le cadre du Projet PRAPS, projet mis en œuvre par l’OIE dans 6 pays Sahéliens. -
Service Vétérinaire Privé de Proximité (SVPP)
Face aux différents défis de santé animale, VSF-B accompagne depuis plus de 15 ans la politique de libéralisation de la profession vétérinaire adoptée par les Etats aussi bien en Afrique centrale, de l’Est que de l’Ouest. La vision de ce dispositif est de permettre aux ménages d’agropasteurs, pasteurs - notamment les transhumants - de sécuriser la santé de leurs troupeaux grâce à un accès permanant et durable aux services de santé animale de qualité et en toute saison au sein des pays de départ, de transit et d’accueil. -
Enquête épidémiologique sur la sensibilité des tiques aux acaricides au Niger : (Cas des tiques du genre hyalomma koch 1844)
Les productions animales occupent une place importante dans les activités socio-économiques des pays sahéliens. Au Niger,elles constituent la deuxième source de revenus à l'exportation après les ressources extractives (uranium) et contribuent de beaucoup à une augmentation notable du produit intérieur brut (P.I.B) et à l'autosuffisance alimentaire, préoccupation majeure des autorités gouvernementales. -
Diversité et conditionnement des résidus de culture commercialisés comme alimentation des animaux dans la communauté urbaine de Niamey
Les résidus de culture jouent un rôle important dans l’alimentation des ruminants, et leur commercialisation prend de plus en plus de l’ampleur dans la communauté urbaine de Niamey. Cependant, ces résidus de culture sont diverses et présentés sous différentes formes de conditionnement. Pour évaluer la disponibilité et les caractéristiques physiques des résidus de cultures utilisées en alimentation des ruminants domestiques à Niamey, un échantillon de 93 acteurs dont 33 grossistes/semi grossistes ; 41 vendeurs revendeurs et 19 vendeurs ambulants a été enquêté et suivi selon les saisons.
Il ressort de ce travail que le type, le prix, le poids et la disponibilité des produits sont fonctions des acteurs et des saisons. Il serait donc important de sensibiliser les éleveurs sur les lieux d’approvisionnement en fonction des périodes de l’année. Ceci permettra une meilleure rentabilité de l’activité. -
La fièvre de la vallée du rift : Enquête sérologique chez les petits ruminants au Niger
Il y a environ 50 ans que la fièvre de la Vallée du Rift (FVR), virose transmise par des moustiques, a été reconnue une affection épizootique importante, frappant les populations de bétail au Kenya, en Ouganda et en Tanzanie. Ultérieurement, la FVR a été observé dans d'autres régions d'Afrique Orientale et Méridionale, du Soudan à l'Afrique du Sud en passant par le Malawi, la Zambie, le Zimbabwe et le Mozambique. -
Le bétail trypanotolérant en Afrique occidentale et centrale : Vol. 3 Bilan d'une décennie
Le volume 1 de cette étude sur le bétail trypanotolérant en Afrique occidentale et centrale présente la zone d'étude et son bétail, une description du bétail trypanotolérant et de sa productivité, et enfin les besoins et localisations intéressantes pour évaluer le potentiel, pour mieux utiliser et conserver ces races. Le volume 2 regroupe, pour chacun des 18 pays étudiés, toutes les informations disponibles sur le bétail trypanotolérant au niveau national. -
Actes de l’Atelier de capitalisation et diffusion des résultats de la recherche vétérinaire et zootechnique au Niger
Les structures de recherches nationales et internationales (INRAN, CRS-EL, CMB, le LABOCEL, AGRHYMET, IEMVT, ILRI etc.) et les facultés d’Agronomie des Universités publiques ont généré de nombreuses technologies et innovations dans les domaines de l’amélioration génétique, la santé animale, les productions animales, productions fourragères, l’alimentation et toutes les autres questions autour de l’étude et la valorisation des filières et de transfert de technologies.
La capitalisation de ces résultats permettra leur meilleure vulgarisation et diffusion au profit des producteurs pour améliorer la production et la productivité.
C’est dans ce cadre que le CNRA en collaboration avec le PRADEL ont organisé un atelier de capitalisation des résultats de la recherche vétérinaire et zootechnique. Cet atelier fait suite à un avis d’appel à proposition qui a permis de retenir 16 communications dans les domaines cités ci-dessus. -
Caractérisation des pâturages naturels au Niger : Diversité et modes d’exploitation. Synthèse bibliographique
Cette étude vise à caractériser la diversité et les modes d’exploitation des pâturages naturels au Niger. Ces derniers regorgent une diversité d’espèces végétales valorisées principalement dans l’alimentation (humaine et animale), la médecine indigène (pour soigner les maladies humaines et animales) et l’artisanat. Cependant, le changement climatique couplé à des activités anthropiques inappropriées a perturbé de manière drastique le fonctionnement de ces écosystèmes. C’est ce qui a entrainé la baisse de la productivité de ces milieux, la raréfaction voire la disparition de certaines espèces fourragères, et surtout la prolifération des espèces végétales envahissantes tel que Sida cordifolia, Cassia mimosoides, Mitracarpus scaber, Fimbristylis hispidula. Cette synthèse bibliographique présente en premier lieu la typologie de ces pâturages ainsi que la richesse floristique en fonction des compartiments phytogéographiques du pays. Ensuite, elle essaie d’énumérer les espèces végétales menacées de disparition et celles réfutées envahissantes et leurs effets sur les pâturages naturels. -
Plan stratégique national pour le contrôle et l'éradication de la Peste des Petits Ruminants (PPR) : 2018-2025
Situé au cœur de l’Afrique de l’ouest dans la marge du sud Sahara, le Niger couvre une superficie de 1 267 000 Km².C’est un pays sahélien à vocation essentiellement agro-pastorale ou 80% du territoire sont en zone aride ou semi-aride. L’économie du Niger repose avant tout sur l'agriculture, qui représente 50 % du PIB. L'industrie y est peu représentée, l'extraction et le traitement du minerai d'uranium constituant sa principale source de revenu. Le pays connait un taux de croissance moyen significatif sur les 10 dernières années, mais il reste l'un des plus pauvres du monde avec un PIB de 2 $ par jour par habitant. -
Plan national stratégique pour le contrôle des médicaments vétérinaires PNS-MV (2020-2025)
Le Niger est un pays sahélien à vocation agro-pastorale. L’élevage est pratiqué par près de 87% de la population active (Rhissa ,2010),soit en tant qu’activité principale, soit comme activité secondaire. L’élevage contribue pour près de 35 % au produit intérieur brut agricole du Niger et à hauteur de 22 % de la valeur totale des exportations. Il constitue également la seconde source de recettes d’exportation du pays après les ressources minières. Son apport est de 15% au revenu des ménages et de 25% à la satisfaction des besoins alimentaires. Cette activité représente également un puissant facteur d’intégration aussi bien économique que sociale. -
Plan stratégique national pour le contrôle de la péripneumonie contagieuse bovine (PNS-PPCB): 2020-2027
Situé au cœur de l’Afrique de l’ouest dans la marge du sud Sahara, le Niger couvre une superficie de 1 267 000 Km².C’est un pays sahélien à vocation essentiellement agro-pastorale ou 80% du territoire sont en zone aride ou semi-aride. L’économie du Niger repose avant tout sur l'agriculture qui représente 50 % du PIB. L'industrie y est peu représentée, l'extraction et le traitement du minerai d'uranium constituant sa principale source de revenu. Le pays connait un taux de croissance moyen significatif sur les 10 dernières années, mais il reste l'un des plus pauvres du monde avec un PIB de 2 $ par jour par habitant. -
Plan stratégique national pour le contrôle de péripneumonie contagieuse bovine (PNS-PPCB) 2019-2025
Situé au cœur de l’Afrique de l’ouest dans la marge du sud Sahara, le Niger couvre une superficie de 1 267 000 Km². C’est un pays sahélien à vocation essentiellement agropastorale ou 80% du territoire sont en zone aride ou semi-aride. L’économie du Niger repose avant tout sur l'agriculture qui représente 50 % du PIB. L'industrie y est peu représentée,l'extraction et le traitement du minerai d'uranium constituant sa principale source de revenu. -
Note de suivi des unités communautaires de fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour bétail dans le département de Mayahi (Région de Maradi)
Pour résoudre le problème crucial de la sous-alimentation et la mortalité d’animaux, des technologies ont été développées dont la fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour le bétail. C’est une technologie simple mise au point par l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) en collaboration avec le PPAAO-Niger et la FAO. Ces blocs sont fabriqués à base de fourrages locaux, de tiges de mil (entières et broyées), de gousses de Faidherbia albida entière et broyées (gao), de tourteaux de coton broyés, de sons de blé, de minéraux (sels, phosphate, calcaire) et de liants (gomme arabique ou farine de manioc).
Le BMND fournit aux ruminants les nutriments dont ils ont besoin pour leur entretien quotidien. Sa consommation favorise l’assimilation rapide des fourrages grossiers, augmente la consommation d’eau et améliore leur état de santé et leur résistance au stress d’origines diverses. La technologie de fabrication de BMND est de plus en plus maitrisée par les organisations paysannes (OP) notamment grâce à l’appui de projets. En effet, depuis 2014, Sahel Bio vulgarise cette technologie dans le département de Mayahi, grâce au financement de la fondation Suisse HEKS-EPER. La production-vente du BMND est, de nos jours, une source de revenu pour les populations des zones concernées. La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi a effectué un suivi au niveau de quatre (4) unités communautaires de fabrication de BMND du département de Mayahi. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (1)
L’offre d’éducation/formation des populations pastorales dans les zones transfrontalières déroulée dans le cadre du PREPP (Programme Régional d’Éducation et formation des Populations Pastorales en zones transfrontalières), depuis fin 2013, est une innovation majeure.
Le présent travail d’ingénierie des référentiels de formation a permis d’élaborer des modules de formation exclusivement conçus pour soutenir la formation accélérée qualifiante (FAQ) des éleveurs pasteurs en zones transfrontalières.
Le choix délibéré est fait de construire des contenus et processus d’enseignement-apprentissage selon la démarche DCTP et l’approche par compétences (APC) afin de « Parvenir à une meilleure intégration sociale, politique et économique des populations pastorales transhumantes des zones transfrontalières par l’éducation et la formation professionnelle ».
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur les productions animales, se focalisent sur le thème de la « Production fourragère » et se déclinent comme suit : 1. les cultures fourragères ; 2. la production du foin ; 3. le traitement de la paille à l’urée. Ces modules d’un volume horaire global de 31 heures sont élaborés selon une organisation pédagogique et andragogique qui privilégie la résolution de situations-problèmes. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Santé animale
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la santé animale, se focalisent sur le thème de la « vaccination et traitement des animaux (ruminants et volaille). -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (2)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Complémentation alimentaire » et se déclinent comme suit : Valorisation des sous-produits agro-industriels et fabrication des Compléments Minéraux Vitaminés (CMV) -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" -Projet pédagogique 1 : les aliments pour bétails - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Les éleveurs pour assurer une alimentation pérenne au bétail doivent pouvoir : identifier les différents types de pâturage dans son environnement et son terroir ; identifier les principales espèces appétées par les animaux dans sa région ; décrire au moins 10 espèces de plantes appétées et leur utilisation ; expliquer le dynamisme des pâturages ; faire du bon foin. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 1 : Les aliments pour bétail - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.1 : Pâturages naturels tropicaux - Le présent document tentera d’apporter des solutions aux préoccupations des éleveurs à travers les points suivants : classer les aliments par rapport à la valeur nutritive (fourrage, concentrés, groupes d'aliments) ; gérer les ressources fourragères (pâturage naturel, résidus de récoltes et fourrages cultivés) ; traiter chimiquement et mécaniquement les fourrages ; traiter la paille à l’urée, faire la fenaison) ; citer d'autres aliments (tels que les gousses et fruits de ligneux) ; répertorier les différentes sources d'eau ; énumérer les contraintes majeures de la gestion des ressources hydriques ; citer les éléments clés d’un contrat d'utilisation des résidus de récolte entre agriculteur et éleveur.
Module 1.2 Compléments alimentaires - En période de sécheresse où les fourrages sont rares et que ceux restant perdent une bonne partie de leurs qualités nutritives, l’apport de compléments alimentaires devient nécessaire pour couvrir les besoins des animaux. Il est donc nécessaire que les éleveurs connaissent une meilleure utilisation de ces compléments.
Le module suivant abordera dans son contenu les points ci-après : l’importance des compléments alimentaires ; la composition de la ration alimentaire ; la fabrication des pierres à lécher et des blocs multi nutritionnel. -
Techniques rurales en afrique
Cette brochure, qui porte le N°7 de la collection "Techniques rurales en Afrique" a été réalisée le Bureau Central d’Études pour les Équipements d'Outre-Mer (B.C.E.O.M) avec le concours de l'Institut de l’Élevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux (E.M.V.T ) à l'initiative du Secrétaire d’État aux Affaires Étrangères. -
Comparaison du commerce des fanes de niébé et arachide dans le marché de fourrage en zone urbaines et rurales au Niger
En Afrique de l'ouest 80% des petits exploitants agricoles vivent dans des systèmes de culture-élevage / agro-pastorales mixtes. Les agriculteurs peuvent obtenir un revenu supplémentaire important de la vente des fanes de niébé, et d'arachide et ils doivent porter attention au rendement des fanes et la résistance aux maladies . -
Amélioration de la conduite alimentaire des troupeaux allaitants
L'élevage laitier en dépit de sa proximité de la ville et des dépenses importantes engendrées par l'alimentation, est confronté à un faible niveau de performance de production. Ceci est du à plusieurs raisons, à savoir notamment le bas niveau nutritionnel, le faible potentiel génétique des animaux, la non maitrise de santé animale et le faible niveau technique des éleveurs. -
Développement des stratégies d'utilisation efficiente des résidus de cultures, des sous-produits agro-industriels et des fourrages cultivés dans l'alimentation du bétail
Les résidus de cultures et les sous-produits agro-industriels constituent une source vitale de suppléments alimentaires pour le bétail, notamment durant la saison sèche lorsque le disponible fourrager est faible et de mauvaise qualité. Malgré leur utilisation courante par les éleveurs et leur valorisation par les projets de développement de l'élevage, force est de reconnaître que les diverses pratiques de supplémentation du bétail, n'ont pas eu d'impact perceptible sur la productivité des troupeaux. -
Rapport de mission à Niamey (Niger) du 18 au 24 novembre 1987
Le Niger n'a connu aucun foyer de peste bovine et de péripneumonie contagieuse bovine en 1986-1987. 1 257 199 bovins et 2 280 095 petits ruminants ont été vaccinés contre la peste bovine, ce qui représenterait 70 % de l'effectif bovin et 45 % de l'effectif des petits ruminants. Un contrôle sérologique réalisé sur 623 prélèvements en 24 lieux différents et sur des animaux de tout âges, principalement issus de l'élevage' nomade, révèle que 80 à 90 % de la population bovine vaccinée est porteuse d’anticorps antiseptiques à 95 %. La couverture immunitaire
est donc bonne mais tout, de même insuffisante. -
Effets de la complémentation avec des blocs multi nutritionnels concentrés à base de Sida cordifolia L., une plante invasive, sur les performances zootechnico-économiques des antenais de race Balami à Déréki / Dosso (Niger). [2016]
Au Niger, comme dans la plupart des pays sahéliens, l’élevage joue d’énormes rôles socioculturel, économique et de sécurité alimentaire pour les populations. Classé comme la deuxième activité socio-économique après l’agriculture, il représente le deuxième produit d’exportation du pays après les ressources minières [1]. Ainsi, le cheptel bétail nigérien toutes espèces confondues, estimé à 39 413 500 têtes dont 27,23% de bovins, 27,24% d’ovins, 36,31% de caprins et 4,31% de camelins, contribue pour 11% au PIB national, 24% au PIB agricole et 25% au budget des ménages [2]. Cependant, plusieurs facteurs limitent encore son essor et son développement au Niger, dont les plus importants sont les maladies, mais surtout les déficits alimentaires quantitatifs et qualitatifs, avec comme corollaire l’insuffisance de la couverture des demandes en produits carné et laitier de la population jadis croissante. -
Commercialisation et valeur nutritive des fourrages dans les centres urbains au Niger : cas des villes de Maradi et de Niamey
Dans les pays du Sahel, la population vit essentiellement de l’agriculture et de l’élevage dont la productivité est dépendante des aléas climatiques, de la fertilité des sols, de la disponibilité des terres et de l’eau. Face à une demande croissante de nourritures liées à une démographie galopante et à l’urbanisation, les systèmes actuels de production s’avèrent peu efficaces. La tendance à l’intensification du secteur primaire rend les exploitations agricoles dépendantes des marchés pour l’acquisition des intrants agricoles,zootechniques et vétérinaires, et l’écoulement de la production. En zones urbaine et périurbaine, les terres qui sont les premiers facteurs de production primaire, s’amenuisent progressivement [1]. L’agriculture urbaine est définie en Afrique comme une variété d’activités agricoles et pastorales pouvant prendre place dans les limites ou en périphérie des agglomérations urbaines. L’agriculture urbaine contribue à l’autosuffisance alimentaires des pays d’Afrique occidentale [2]. Pour satisfaire la demande en nourritures des populations citadines, l’agriculture et l’élevage périurbains connaissent un essor important ces dernières année. -
Effets du ramassage des fourrages sur l'environnement et sur les activités agro-sylvo-pastorales et commerciales dans les régions sahéliennes au Niger
Au Sahel, pour répondre à la demande croissante en produits animaux, les éleveurs utilisent essentiellement les fourrages naturels sur pieds et récoltés. Cette pratique affecte surtout les écosystèmes péri-urbains. La présente étude vise à évaluer les effets visibles du prélèvement des fourrages sur l’environnement et sur les activités rurales en zones périurbaines. Une enquête de perception des populations sur les effets de la collecte de paille, conjuguée à la mesure de la matière organique, à l’inventaire forestier, au comptage de surfaces dénudées et de ravins sur un hectare en deux répétions, a été réalisée dans les sites de collecte de 12 villages des régions de Maradi et Tillabéry. -
Bulletin de surveillance pastorale sur le Niger
Au cours de cette période de décembre 2021 à janvier 2022, des arrivées massives d’animaux ont été répertorié dans les zones de Gouré et Tanout ainsi que de forts mouvements précoce d’animaux dans la zone de Mayayi en provenance de la région d’Agadez. Ce déplacement précoce d’animaux en quête de pâturage pourrait s’expliquer par la libération en avance des champs du fait de la faible production agricole ou pour quitter les zones ravagées par les feux de brousse. Quant au départ massif des animaux, ils ont été recensés dans les zones de Ouallam et de Banibangou, probablement pour fuir l’insécurité armée. -
Apport d’un fourrage vert tropical, Centrosema pubescens, en complément au granulé : effet sur les performances de croissance et sanitaire du lapin (Oryctolagus cuniculus)
L’objectif de ce travail est d’évaluer la digestibilité du fourrage vert, C. pubescens, et son impact sur la croissance ainsi que la santé digestive du lapin de chaire en élevage artisanal. Deux lots de 15 lapins sevrés à 35 jours, élevés en cage individuelle et nourris à l’aide de deux aliments complémentés ou non avec du C. pubescens ont été constitués. La digestibilité des nutriments à 50 jours d’âge de la ration contenant le fourrage C. pubescens est supérieure à la ration sans fourrage. Ainsi, la digestibilité de la MS, MO, MAT, ADF, NDF, Hc est respectivement de 1,6, de 1,5, de 1,8, de 2,2, de 1,6 et de 1,3 fois plus élevée dans la ration ayant reçu le fourrage C. pubescens en complément par rapport au témoin sans fourrage. L’indice de risque sanitaire est réduit de moitié avec l’apport de fourrage. Cependant, l’ingestion des 2 rations est équivalente, la moyenne est de 68 g/j entre le sevrage et 70 jours. Le gain de poids quotidien est également identique avec l’apport ou non de C. pubescens. La moyenne entre 35 et 70 jours d’âge est de 26,5 g/j. -
Analyse de la structure et du fonctionnement de la filière fourrage dans les villes de Ouagadougou et Bobo-Dioulasso au Burkina Faso
Cette étude a été conduite dans les deux grandes villes du Burkina Faso (Ouagadougou et Bobo-Dioulasso), dans le but d’analyser la structure et le fonctionnement de l’activité de commercialisation du fourrage qui est en pleine expansion, en vue de proposer des actions d’amélioration et de sauvegarde de l’environnement. Elle a consisté dans un premier temps à faire un inventaire des sites de vente de fourrage, puis à conduire des enquêtes auprès des vendeurs de fourrage et accessoirement auprès des éleveurs acheteurs de fourrage. Douze (12) sites ont été recensés dans la ville de Ouagadougou et 15 sites dans la ville de Bobo-Dioulasso. La date d’implantation des sites est variable, les plus anciens ont 27 ans et 30 ans respectivement à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso. Les fourrages vendus sont de divers types : le fourrage vert, le foin, la paille de céréale, les fanes de légumineuse et des fourrages ligneux. -
Connaissances ethnovétérinaires des pathologies camélines dominantes chez les Touaregs de la région d’Agadez (Niger)
Depuis des générations, les éleveurs nomades ont appris à gérer la santé de leurs troupeaux, et particulièrement de leurs dromadaires du fait de la grande valeur financière de ceux-ci et du capital qu’ils représentent. Ils ont ainsi acquis une connaissance très fine des signes de maladies dans cette espèce, qu’ils classent et nomment selon des systèmes spécifiques. La présente étude s’intéresse à ces connaissances ethnovétérinaires par le biais d’une enquête réalisée auprès d’éleveurs Touaregs du Niger vivant dans les alentours d’Agadez et vise à en rechercher la correspondance avec les connaissances scientifiques actuelles. Les dominantes pathologiques ainsi signalées par les éleveurs comme les plus préoccupantes à leur sens sont les verminoses gastro-intestinales (izni), la diarrhée du chamelon (efay), les infestations par les tiques chez le chamelon (igardan), la variole (erk echik), la gale sarcoptique (ajoud) et les broncho-pneumonies (toza). La présence d’entités mal identifiées est également signalée. -
Cultures fourragères : Panicum maximum
Le panicum est une haute graminée vivace qui peut atteindre 1 à 3 m et qui produit des feuilles de 10 mm à 25mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule qui atteint 50 cm. Elle produit des feuilles larges de 10 mm à 25 mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule de 30 cm à 50 cm. -
Plan de Gestion des Pestes, des Produits et des Déchets Dangereux (PGPPDD)
Au regard de l’importance du pastoralisme dans la vie socio-économique des populations pastorales, dans le cadre de « l’Initiative en faveur du Sahel », le Groupe de la Banque Mondiale s’est engagé depuis novembre 2013, à apporter un appui financier pour le développement des activités pastorales au niveau des six pays de la bande Sahélo saharienne où la situation sécuritaire est devenue une source de vive préoccupation. Ainsi naquit le PRAPS 1 avec comme objectif, « Améliorer l’accès à des moyens et services de production essentiels et aux marchés pour les pasteurs et agro-pasteurs dans des zones transfrontalières et le long des axes de transhumance et améliorer la capacité du pays à répondre à temps et de manière efficace en cas de crises pastorales ou d’urgences ». Le présent projet constitue la phase 2 du PRAPS et a pour objectif de développement du projet proposé est "d'améliorer la résilience des pasteurs et des agropasteurs dans certaines zones de la région, et de renforcer les capacités des pays à répondre rapidement et efficacement aux crises ou aux urgences pastorales”. Préparé conjointement avec les autres instruments d'engagement exigés par le Cadre environnemental et social (CGES, PEES), l'élaboration du présent PGPPDD a été faite suivant méthodologie classique alliant revue documentaire aux investigations de terrain et au traitement/analyse des informations collectées. -
Caractérisation des poulets locaux au Niger : étude biométrique et phanéroptique des poulets Kolonto en station
Cette étude est le fruit de la collaboration et du travail de nombreuses personnes. De ce fait, je tiens ici à exprimer ma profonde reconnaissance au Docteur Salissou Issa pour m’avoir proposé ce sujet combien intéressant et d’avoir accepté d’encadrer mon travail et pour sa disponibilité constante. Je tiens ici à lui exprimer toute ma gratitude pour sa rigueur et ses conseils scientifiques judicieux. -
Impact of antibiotics residues on food microbiological quality in Togo: cases of chicken meat and eggs
The use of antibiotics in veterinary medicine has greatly promoted the intensification of animal production in recent decades. However, the improper use of these veterinary antibiotics causes their residues to be present in foodstuffs of animal origin and thus creates public health issues. Thus, the aim of this study is to assess the impact of the presence of antibiotic residues on bacteriological quality of meat and chicken eggs in Togo. -
Activity report of the animal production adviser
This report concerns the activities we carried out from March through September 1996, as animal production adviser in the "Institut National de Recherche Agronomique du Niger" (INRAN). These activities are mainly in line with the first point of our Terms of Reference (TR) :
" While working in close collaboration with the scientists of the "Programme d'Amélioration des Productions Animales" (PAPA), to identify feeding and nutritional constraints in order to enhance the zootechnical performance of local breeds, and to propose simple' and cheap technologies which can easily be transferred to herders". Based on that TR, we were motivated to implement the operation titled: " Development of strategies for the efficient use of crop residues, agro-industrial by products and cultivated fodders by ruminants " An overall approach to animal feeding, in general, and to supplementary feeding, in particular, was used. The methodology consisted of carrying out surveys on feed resources and animal numbers and husbandry in rural and urban zones. The investigation concemed also the successes and failures of projects operating in livestock sector as weil as the constraints and solutions to Livestock development from herders perspectives. The objectives are to describe and assess most parameters of animal production systems. -
Estimation des bilans fourragers dans la région du Sahel d’Afrique de l’Ouest et Centrale
Un bilan fourrager évalue les ressources en aliments pour animaux, y compris les fourrages, et les compare aux besoins des animaux d’élevage. Ces ressources comprennent la masse fourragère - ou biomasse - pâturée ou broutée par les animaux (par exemple, l’herbe des pâturages et des parcours), ainsi que les résidus et sous-produits de la production et transformation des cultures (par exemple, pailles, son, tourteaux d’oléagineux ou mélasse), mais également les denrées pour animaux conservées et stockées par les éleveurs, avant l’hiver dans les zones à climat tempéré et avant la saison sèche dans la région sahélienne. -
Comment cultiver des herbes comme andropogon gayanus pour lutter contre l’érosion et pour mieux nourrir les animaux
Ce document est un manuel de formation. Il a été élaboré dans le but d’informer et de former les producteurs agricoles qui font face au phénomène de la dégradation de la nature et dont leurs sols sont devenus pauvres. Ce manuel peut les aider à récupérer et à restaurer ces sols nus pour l’agriculture et l’élevage à travers l’utilisation de la technique du tapis herbacé. -
Appui à la définition du dispositif de suivi-évaluation du PAFRIZ
Le Programme d'appui à la filière riz au Niger (PAFRIZ) a demandé un appui méthodologique pour la mise en place de son dispositif de suivi-évaluation.
Le dispositif est destiné à assurer le pilotage de l'opération, et améliorer les différents modes d'intervention testés, ce qui facilitera leur diffusion. Il est prévu que l'animation de ce dispositif soit réalisée par le responsable suivi-évaluation du programme.
Un premier appui méthodologique a été apporté à l'UGP par Marie-Jo Demante de l'IRAM du 14 au 25 février 2003, puis par Etienne Beaudoux et Jérôme Coste, également de l'IRAM, du 6 au 8 mai 2003 pour l'animation d'un atelier visant la validation des propositions du premier appui.
Le présent document constitue la synthèse des travaux suivants : ceux réalisés lors du premier appui avec l'Equipe du PAFRlZ à Niamey, sur la base des propositions préliminaires du responsable suivi-évaluation du projet, les résultats de la réflexion conduite en Europe par les différentes personnes chargées du suivi du PAFRIZ à l'IRAM, les travaux de l'atelier de validation.
Ce document donne :
- une description succincte du programme,
- des propositions pour un dispositif de suivi-évaluation adapté au programme comprenant la description d'indicateurs aux différents niveaux, la présentation d'outils de collecte, de traitement et de présentation des données
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L'alimentation de la poule
Lorsque notre élevage de poules grandit, on est rapidement confronté au problème de la nourriture qu’il faut donner. L’aliment complet ne se trouve pas partout et coûte cher. Voici des idées qui devraient vous permettre de composer vous-même votre aliment. Vous adapterez le mélange en fonction de ce que vous trouverez dans votre région. -
Liste des éléments vocaux sur les thèmes « élevage » disponibles en langue Haoussa et Zarma
Que cela soit pour l’agriculture ou pour l’élevage, les Chambres Régionales d’Agriculture et le RECA préparent des supports techniques à destination des agents des dispositifs de conseil Agricole ou des producteurs et productrices. Ces supports techniques sont partagés via des envois mail et sur les sites Web RECA-Niger et DUDDAL Niger. Les écrits sont plus destinés aux conseillers en agriculture et élevage.