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Interrelations entre agro-industrie et agricultures familiales vues par le prisme du système agraire
Quels sont les impacts du développement d’exploitations agricoles à grande échelle pour les populations locales ? Cette question, pourtant récurrente, est souvent traitée sans être argumentée par des études de cas approfondies -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Embouche ovine
L’embouche ovine est une activité génératrice de revenus pratiquée généralement en saison sèche après les récoltes par toutes les couches socio-culturelles en les occupant en cette période de contre saison. Les principales contraintes de l’embouche ovine sont la cherté des fourrages et des sous-produits agro-industriels (SPAI), la faible disponibilité des jeunes animaux d’embouche au cours de certaines périodes l’année car ils sont aussi recherchés pour l’exportation, le faible professionnalisme des commerçants de bétail, la forte variabilité des prix des animaux sur le marché du fait de l’intervention des commerçants des pays de la sous-région (Bénin, Nigeria, etc.). -
A quoi sert une association d’usagers de l’eau (AUE) ? Exemple de l’AUE Hadin Kaï autour de la mare de Falki
La mare de Falki se situe dans le département de Mirriah à 4 km au sud de cette localité. Elle a une surface de plus de 100 ha dans sa plus forte extension. Cette mare est utilisée par les populations riveraines pour l’irrigation d’environ 300 ha de cultures maraîchères en saison sèche, pour l’abreuvement des animaux, la pêche mais aussi des usages domestiques (lessive, fabrication de briques, etc.). Toutes ces activités peuvent avoir des répercussions sur la ressource en eau et nécessitent une gestion concertée, de plus en plus indispensable compte tenu des changements climatiques et de l’augmentation des besoins des différentes familles d’usagers. Pour lancer la concertation de tous les usagers sur la gestion de cette ressource, les programmes du FIDA et la Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder ont lancé une concertation avec les populations des villages autour de la mare de Falki. A la suite de cette concertation, les populations ont choisi de se réunir en association d’usagers de l’eau (AUE). Cette association réunit les différentes familles d’usagers de l’eau qui ont été identifiées dans des réunions préalables : les maraîchers, les pêcheurs, les éleveurs, les usagers domestiques. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Elevage naisseur des petits ruminants
Au Niger, on note une proportion de la population pratiquant l’élevage de reproduction des petits ruminants entre 70 et 85% dont les femmes sont attirées par celui des caprins.
L’élevage naisseur de petits ruminants, est pratiqué sous forme l’extensive, semi-extensive et l’intensive. C’est un élevage de reproduction ou de multiplication par monte naturelle car pour l’instant, l’insémination artificielle n’est pas encore pratiquée sur ces animaux. La taille des élevages varie entre cinq (5) et vingt (20) têtes par troupeau chez ces transhumants mais peut-être de 5 à 15 têtes chez les agro éleveurs sédentaires.
Les contraintes majeures liées à l’élevage de reproduction des petits ruminants sont les maladies telles que la peste de petits ruminants et la fièvre aphteuse, aussi la réduction progressive des ressources fourragères, la cherté des résidus de culture et les sous-produits agricoles et agroindustriels. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande - Production de kilichi
A l’origine, le « kilichi » était fabriqué pour pallier au problème de conservation des invendues de viande des bouchers Nigériens. Le temps évoluant, ceux-ci ont pris conscience de sa valeur marchande et ont décidé de le produire à grande échelle, tout en ajoutant à l’assaisonnement des épices et de la pâte d’arachide afin de le rendre facilement comestible.
Il est préparé en découpant la viande en fines lamelles que l’on sèche, assaisonne et grille. C’est un produit qui peut être conservé pendant plus de six mois lorsqu’il bien séché. Le kilichi est produit sous variantes dont de couleur rouge (Kilichi Mai Yagi Ja), le ou kilichi enrobé mais non pimenté (Roumouzou) et le Kilichi de Tessaoua qui est enrobé d’épices et séché sans subir de grillade. -
Politique industrielle dynamique en Afrique
L’un des paradoxes les plus déconcertants de la dernière décennie, c’est que l’Afrique a enregistré une croissance sans précédent mais qu’une bonne partie de sa population végète dans la pauvreté économique, et pâtit d’un chômage rampant et de l’inégalité. Le continent à enregistré une croissance moyenne de 5 % durant la dernière décennie, certains pays réalisant même plus de 7 %. -
Possibilités de création d'industrie exportatrices dans les États africains et malgaches associés
On estime que plus de de 70% de la population mauritanienne tire l'essentiel de ses ressources de l'élevage. Il s'agit donc pour le pays,d'une activité d'importance primordiale. -
Étude sur la compétitivité des filières viandes rouge/cuirs et peaux
Situé en plein cœur du Sahel, le Niger est un pays d’élevage par excellence. Sa vocation d’exportateur de viande, tous circuits confondus est très bien connue sur le plan régional, voire international. Si le circuit mort s’est arrêté dans les années 90 avec la liquidation de la Société Nationale d’exploitation des ressources animales du Niger (SONERAN), le circuit vif est resté très actif,représentant la deuxième source de devises pour le pays,après les industries extractives. -
Projet de modernisation des circuits de conservation, de transformation et de distribution de la viande et du lait, et promotion de la transformation artisanale et industrielle du niébé
L'objectif principal du projet est de soutenir le Gouvernement du Niger à créer une résilience durable face à l'insécurité alimentaire, ainsi qu'à créer des emplois à travers l'expansion des filières viande, lait et niébé. Ces chaines de valeurs représentent une opportunité réelle pour combattre la malnutrition et pour générer de la richesse au niveau rural, compte tenu de leur importance économique pour les populations vulnérables ainsi que les potentialités peu exploitées de ces produits agro-alimentaires. -
Note de capitalisation du processus d’émergence des associations d’usagers de l’eau : AUE
La gestion efficiente et durable des ressources en eau dans les zones d’intervention fait parti des préoccupations majeures d’intervention du projet petite irrigation PPI RUWANMU. Cette gestion durable passe avant tout par une responsabilisation des usagers à travers un appui à leurs structurations et un transfert de compétences dans le domaine de la gestion et du suivi de la ressource. Le mot «RUWANMU » en langue Haoussa qui consacre le nom du projet, trouve sa signification dans ce souci permanent de cette responsabilisation des usagers dans l’utilisation, la gestion des ressources en eau qui, il faut le rappeler conditionne leur exploitation de manière durable à des fins diverses, particulièrement dans les domaines des productions agro-sylvo pastorales et halieutiques. -
The role of agriculture in economic development
The present article deals with issues that have too often been discussed in terms of the false dichotomy of agricultural vs. industrial development. The approach adopted here is to examine the interrelationships between agricultural and industrial development and to analyze the nature of agriculture's role in the process of economic growth. -
Rapport de diagnostic de la filière bétail, viande, cuirs et peaux (BVCP)
Le Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-Sylvo-Pastoraux (PRODEX) a pour objectif d’accroître la valeur de certains produits commercialisés par des producteurs soutenus par le projet. Le bétail, viande, cuirs et peaux font partis de ces produits. En effet, le PRODEX intervient au niveau des maillons faibles des filières d’exportation et de mise en marché. Le projet vise à promouvoir les produits d’exportation et à améliorer leur compétitivité grâce à des investissements ciblés et au renforcement des capacités organisationnelles et institutionnelles publiques et privées. Il renforcera le fonctionnement d’un nombre de chaînes de valeurs agro- pastorales afin d’augmenter les volumes exportés sur les marchés sous-régionaux et internationaux et d’améliorer le revenu des petits producteurs. -
Termes de référence numéro agexbvcp/6/2012 du 20 janvier 2012 pour la phase 1 de la structuration professionnelle de la filière bétail, viande, cuirs et peaux en 2012
Dans le cadre de la mise en œuvre des activités de la sous composante A1 « Appui à la coordination et à la concertation sur les chaines d’approvisionnement des filières » du Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-sylvo-pastoraux (PRODEX), l’AGEX BVCP va débuter la structuration interprofessionnelle à la base en appuyant la mise en place et la tenue des réunions des Comités Professionnels Régionaux (CPR) de la filière Bétail, Viande, Cuirs et Peaux (BVCP). Ces comités seront composés des représentants des Opérateurs de la Filière (OF), pour les 4 maillons de la filière dans les 8 régions du Niger : Production, Fourniture de biens et services, Transformation et Commercialisation. -
Les industries de l'agro-alimentaire : un pilier de l'économie des Hauts-de-France
Le monde change. Face aux défis à la fois économiques, sociaux et environnementaux, les Hauts-de-France ont choisi de s’engager dans la Troisième révolution industrielle. Après avoir été championne de la première révolution industrielle (développement de l’usage du charbon et de la machine à vapeur), la région a dû trouver les ressources nécessaires pour surmonter les conséquences de la deuxième révolution industrielle (usage du pétrole et de l’électricité). Anticiper et gérer ces changements et ces défis, faire preuve d’esprit novateur et imaginer des solutions innovantes ont ainsi forgé son ADN. C’est aujourd’hui en Hauts-de-France que la Troisième révolution industrielle est en marche. -
Panorama des industries agroalimentaires
Le secteur agroalimentaire français est constitué en grande majorité d'entreprises de moins de 10 salariés (79 %). Les grandes entreprises de plus de 250 salariés représentent moins de 2 % des entreprises du secteur, mais réalisent plus de 45 % de son chiffre d’affaires. Si le nombre d’emplois dans les industries manufacturières décline, celui dans les industries agroalimentaires augmente depuis 2013. En 2017, parmi les secteurs les plus pourvoyeurs d’emplois, le secteur de la viande et préparation à base de viande employait 106 436 salariés, les produits laitiers comptaient 78 000 salariés, et la fabrication de boissons employait 74 298 salariés10. À cette disparité sectorielle s’ajoute une forte disparité régionale. En effet, en 2017, le secteur agroalimentaire employait 61 002 salariés (ETP) en Bretagne, 47 979 en Pays-de-la-Loire, 39 334 en Auvergne-Rhône-Alpes et 37 876 en Hauts-de-France. La même année, il comptait 333 salariés en Guyane, 984 en Corse, 1 425 en Martinique et 1 650 en Guadeloupe11. -
L'industrie agroalimentaire : un secteur alliant qualité et de diversité en Centre-Val de Loire
L’industrie agroalimentaire (en abrégé IAA) est l’ensemble des activités industrielles qui transforment des productions alimentaires issues de l’agriculture ou de la pêche en aliments industriels destinés essentiellement à la consommation humaine. Elle concerne 2 activités : - les industries alimentaires; - la fabrication de boissons. -
Développement de l'Industrie agroalimentaire pour la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté
L’ONUDI, qui est l’un des parrains de la Facilité d’Assistance Technique (TAF) du Fonds Africain pour l’Agriculture (AAF), encourage une offre de services d’assistance technique de qualité dans le secteur de l’industrie agroalimentaire en Afrique. La TAF a été créée pour étendre la portée, en matière de développement, des investissements privés de l’AAF, un fonds de capital investissement équitable créé pour accroître et diversifier la production et la distribution alimentaire en Afrique. L’ AAF est financé par des institutions financières européennes et africaines pour le développement et géré par Phatisa, une compagnie de gestion de fonds privés basée en Afrique du Sud. -
Les industries de l'alimentation dans les iles antillaises
Les industries alimentaires antillaises, qui ont débuté à l'époque coloniale principalement avec le sucre, sont maintenant amenées à se développer en se diversifiant. La transformation de produits locaux pour l'exportation a gardé le premier rang. Mais parallèlement, de nombreuses industries fournissent le marché caraïbéen en produits locaux ou importés. Le but de chaque île est de s'assurer une meilleure indépendance alimentaire en renforçant ce nouveau secteur industriel. -
Agro-alimentaire et qualité : questions aux sciences sociales
Qu'il s'agisse de la conception et de la spécification des produits, de leur production et de leur contrôle, ou encore de l'identification et de la garantie des marchandises, les critères d'évaluation, les méthodes de mesure et d'analyse, les principes et les instruments de gestion de la qualité sont en pleine mutation. La réactivation des débats et des réflexions autour de ces questions depuis quelques années dans les milieux économiques, politiques et sociaux, indique un profond renouvellement de la problématique de la qualité. L'article vise à engager les sciences sociales dans une réflexion interdisciplinaire sur ce
renouvellement dans le secteur agro-alimentaire. Il indique les grands enjeux économiques de la qualité et propose d'aborder l'analyse de cet objet aux multiples facettes à travers cinq thèmes. -
Profil pays Niger sur l'enrichissement des aliments
Ce document donne un aperçu de l’enrichissement des aliments au Niger. Il fait partie d’une série de documents similaires sur l’enrichissement des aliments préparés pour un certain nombre de pays par le « Food Fortification Advisory Services », 2FAS. Ces profils couvrent un large éventail d’approches d’enrichissement des aliments incluant la bio fortification l’enrichissement à domicile, ainsi que des véhicules potentiels pour l’enrichissement. -
Aspects socioéconomiques de l’utilisation des résidus de cultures et sous-produits agroindustriels dans l’alimentation des ruminants domestiques à Niamey (Niger)
Une étude a été menée durant sept semaines (Août-Octobre 2013) dans la communauté urbaine de Niamey au Niger, afin d’évaluer les aspects socioéconomiques de l’utilisation des résidus de cultures et des sous-produits agroindustriels sur le développement de l’élevage urbain et périurbain de Niamey. En plus des directeurs des services techniques en relation avec ces secteurs, l’étude a intéressé 49 vendeurs de résidus de culture (RC), 19 vendeurs de sous-produits agroindustriels (SPAI) et 205 éleveurs qui ont été interviewés. Il a été identifié 113 sites de vente de RC pour 415 points de vente (285 actifs et 130 inactifs), 16 sites de vente de SPAI pour 72 points de vente (63 actifs et 9 inactifs) et les acteurs impliqués dans ces 2 chaînes. -
L'emploi dans l'agroalimentaire
La connaissance du secteur agroalimentaire, et plus particulièrement du secteur d’activité de l’entreprise, est indispensable pour les postes qualifiés. Les compétences exigées varient ensuite en fonction du poste : en production, les recruteurs sont notamment en demande de compétences managériales, mais aussi de rigueur et de bonnes aptitudes physiques et relationnelles. En R&D, on demandera avant tout une ouverture d’esprit, de la créativité, une capacité d’adaptation et de communication mais également de la rigueur scientifique. Dans le domaine de la qualité, de l’hygiène et de la sécurité, le candidat devra bien connaître les différentes normes (ISO, IFS, HACCP), posséder des compétences liées au process, aux produits, et maîtriser parfaitement les outils informatiques. -
Valorisation des résidus agro-industriels
L’industrie agroalimentaire constitue un réceptacle de premier choix pour les déchets qu’elle génère. Jadis, Les processus de valorisation étaient abandonnés au profit des techniques d'élimination simples et rapides : l'incinération et la mise en décharge, Le règne de la décharge s'est installé pour atteindre son apogée dans les années 60-70. Aujourd'hui cette situation n'a plus cours. La prise en compte de l'intérêt croissant des populations pour la préservation de l'environnement a conduit à modifier cette gestion des déchets. La valorisation des résidus agroindustriels revient à l'ordre du jour et la notion de déchet a bien évolué pour être remplacée par le terme coproduit. Cet ouvrage pédagogique traite la valorisation de quelques coproduits de l’industrie agroalimentaire, il est essentiellement destiné aux étudiants de master de biotechnologie et les étudiants inscrits en ingéniorat « génie biologique ». Pour une meilleure compréhension des cours, les étudiants doivent avoir des prérequis concernent la connaissance des procédés industriels de fabrication de produit. -
Transformations agricoles et agroalimentaires : entre écologie et capitalisme
À l’heure des robots et du numérique, la terre (habitat, agriculture, paysage, planète) et la nourriture (du corps et de l’âme) sont parmi les préoccupations majeures dans les espaces médiatiques et politiques. L’industrie et les promesses d’abondance avaient peut-être fait oublier qu’elles sont au fondement des sociétés humaines. La crise alimentaire de 2008, qui a secoué plusieurs continents, a rappelé aux gouvernements l’enjeu de la sécurité alimentaire. Après des décennies d’abondance et une baisse tendancielle du prix des produits agricoles de base, de nouvelles fictions économiques, de la bioéconomie aux circuits courts, qui au-delà des médias paraissent influencer les milieux financiers, ont conduit à un retour de la question de la valeur de la terre et de l’agriculture en ces différentes composantes. La question de la santé, qui va avec celle des droits humains, prend également une place élargie, tant dans les politiques publiques (dont la recherche) que dans la production de normes alimentaires. Enfin, des mouvements sociaux transnationaux se sont emparés de la question de l’avenir de l’agriculture et de l’alimentation et de celle de la « bonne vie » (Monni et Pallottino, 2015). -
Revue des filières bétail/viande et lait et des politiques qui les influencent au Niger
La filière bétail/viande se définit comme l’ensemble des actes de production, transformation, commercialisation et consommation relatifs au bétail (bovins, ovins, caprins, camelins), ainsi qu’aux produits carnés issus de ces animaux. En prenant en compte la nature du produit incriminé (animaux vivants ou viande), la filière bétail/viande est structurée autour de deux circuits : le circuit vif qui concerne le bétail sur pied ou vivant et le circuit mort ou circuit de la viande proprement dit. Les interrelations entre ces deux circuits sont très développées. En effet, le circuit mort est alimenté par le circuit vif qui fournit les marchés domestiques et extérieurs de bétail. S’agissant de l’approvisionnement du marché extérieur en bétail, il convient de souligner que le circuit vif est très actif et représente la deuxième source de devises pour le pays, après les industries extractives. Malgré la forte contribution de ce circuit vif à l’équilibre de la balance commerciale, force est de reconnaître que son exploitation génère de nombreux désavantages notamment la non création de valeur ajoutée, la perte des cuirs et peaux et surtout du cinquième quartier. -
Usines de production du sucre TCD 2500 & de cogénération 12,0 MW & d'éthanol klpd 30 à Gaya (région de Dosso)
Le rapport est préparé selon les conseils du Ministère de l'agriculture et du Ministère de l'industrie de la République du Niger, en Afrique. Il s'agit du rapport détaillé du projet (RDP) de l'usine de production de sucre 2500TCD proposée et de l'usine de cogénération de 12,0 MW, ainsi que de l'usine d'éthanol 30 KLPD au Niger, en Afrique. Actuellement, le Niger importe le sucre d'autres pays principalement du Brésil et de Cuba. La consommation de sucre augmente constamment et le coût des importations à plusieurs fois augmenté. Le gouvernement du Niger est confronté à une crise économique rigoureuse qui s'est aggravée en raison de l'importation de sucre. C'est évidemment une étape appréciée du gouvernement du Niger pour prendre l'initiative de la croissance de la canne à sucre et mettre en place une usine de sucre pour rendre la nation autonome dans le sucre. Après un sondage intensif sur le site dans plusieurs régions, un lieu situé à environ 10 km de Gaya, l'un des principaux centres commerciaux du Niger, a été choisi comme le site de projet le plus approprié et approprié. Gaya est situé à 245 km du sud-est de la capitale, Niamey. La superficie d'environ 7000 hectares de terres de culture a été identifiée près de la rive du fleuve Niger. L'étude a été réalisée conjointement par le ministère de l'Agriculture et le Ministère de l'Industrie du Gouvernement du Niger et des Représentants principaux des hauts représentants de Dimension Engineering Consultants (DECPL). La zone identifiée a été témoignée par de haut rang des fonctionnaires du ministère qui ont approuvé la mise à disposition des terres et la ressource en eau sur ce site. -
Analyse prospective de la chaine de valeur bétail viande (bovins, ovins, caprins) au Niger 2021-2030
La promotion des chaînes de valeur alimentaire représente l’une des stratégies permettant d’améliorer directement la sécurité alimentaire et de réduire significativement la pauvreté en Afrique. La Délégation de l'Union européenne au Niger compte développer pour 2022-2027 un programme de soutien aux chaînes de valeurs agro-sylvo-pastorales les plus porteuses en ligne avec la « Déclaration de Malabo sur l'accélération de la croissance et de la transformation agricoles pour une prospérité partagée et de meilleures conditions de vie ». La présente étude vise à fournir un état des lieux actualisé de la chaîne de valeur bétail-viande, tout en analysant l’impact d’un scénario prospectif à l’horizon 2030. -
Étude sur les filières agro-alimentaires au Niger : bétail - viande -oignon - niébé
Au Niger, le secteur rural demeure l'un des plus importants secteurs de l'économie, il assure l'emploie de plus de 80% de la population active et représente environ 40% du Produit Intérieur Brut (PIB). -
Étude du marché régional de l'oignon, du niébé et de bétail-viande
La présente étude a pour objectifs d'analyser le marché régional de l'Oignon, du Niébé, du BétailNiande, d'identifier ses contraintes et de dégager les mesures
d'amélioration des conditions de promotion et d'exportation des produits. Elle concerne principalement le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Nigéria et le Togo.