Recherche
27 items
-
Conférence électronique - Entretien des infrastructures hydrauliques de petite irrigation - Étude de cas : périmètre de Tillakaina
Cette étude porte sur le périmètre de Tillakaïna, il est le plus petit (3438 ha), d’un ensemble de 4 périmètres réalisés pour la polyculture.
Ce périmètre, à l’instar des autres est confronté à plusieurs problèmes dont le mauvais entretien des différents réseaux d’irrigation, de drainage et de circulation. -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Daibéry : Région de Tillabéri - Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées :
- 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
La promotion des cultures maraîchères à travers des petits périmètres irrigués collectifs féminins ou mixtes
Le projet initial vise à améliorer la sécurité alimentaire et les moyens d’existence de 100 ménages agriculteurs du village de Bala-Gouré (Zinder) à travers la promotion des cultures maraîchères. -
Document de la stratégie nationale de l’hydraulique pastorale
Ce présent rapport porte sur l'élaboration stratégique de l’hydraulique pastorale -
Contrôle et valorisation de Sida cordifolia
Le Sida Cordifolia est une plante envahissante des parcours, des couloirs de passage des animaux et les bordures des routes et dépôts d’ordures au Niger. La présente intervention vise la maîtrise de Sida Cordifolia par sa valorisation en nutrition animale. -
Fiche technique. Reconnaissance des mauvaises herbes en culture du maïs au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique enseigne à reconnaître divers ravageurs habituels du maïs et propose des méthodes de lutte culturale. -
Viabilité des grands périmètres irrigués au Niger. Une analyse en termes de construction des règles et de gouvernance « hybride »
Le désengagement de l’Etat dans de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne au cours de la décennie 1980 a engendré une réorganisation des relations entre des acteurs concernés par la gestion des périmètres irrigués. Dans ce nouveau contexte, une partie significative des fonctions a été transférée aux organisations paysannes et aux associations d’usagers. Il en découle de nouvelles modalités institutionnelles de gestion de l’eau et de nouvelles formes de gouvernance de l’eau au niveau local. L’objet de cette communication vise à analyser, au travers du cas du Niger, la pérennité de tels arrangements et les dynamiques de construction de nouvelles règles de gestion de l’eau au sein des périmètres irrigués dans le contexte de désengagement de l’Etat. Pour approcher l’originalité, la pérennité et le degré d’efficacité de ces arrangements, l’analyse met l’accent sur la manière dont s’articule le local/global. Cette communication développe notamment l’idée d’une co-construction de « règles hybrides » dont rend compte une analyse en termes de « gouvernance hybride ». -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Galmi (Département de Konni - NIGER)
Le Niger est un pays sahélien, situé en Afrique de l’ouest. Il couvre une superficie de 1 267 000 km² dont seulement 12% sont aptes à l’agriculture. C’est un pays qui se caractérise par des conditions climatiques des plus défavorables, avec une pluviométrie faible et très souvent mal répartie dans le temps et dans l’espace. De plus les sols sont pauvres et soumis à une dégradation continue. La conjonction de tous ces phénomènes fait du Niger un pays chroniquement déficitaire au point de vue alimentaire. -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de djirataoua
(Département de Madarounfa - Niger)
Le diagnostic du périmètre hydro-agricole de Djirataoua fait ressortir une panoplie de problèmes aussi bien techniques (hydraulique, agronomique) qu’organisationnels (gestion, finance).
Les producteurs ont identifié puis hiérarchisé trois principaux problèmes ; ce sont :
- L’insuffisance d’eau sur le périmètre : la faible productivité des forages a conduit à l’abandon de parcelles (une réduction de 14 à 70% des surfaces cultivées, selon les GMP) ;
- L’absence de tour d’eau qui conduit à une utilisation anarchique de l’eau et à une facture énergétique très onéreuse qui représente 78,5% des charges de production ;
- La faiblesse des rendements des cultures maraîchères due à la qualité des semences disponibles.
Sur la base de ces trois problèmes qui limitent les performances sur le périmètre ; notamment la production globale et le revenu du producteur, le projet doit mettre en oeuvre un plan d’action permettant d’améliorer ces performances à travers un projet pilote qui s’intéresserait à 4 Groupements Mutualistes de Producteurs (GMP) : GN01, GS02, KM13 et RA09 répartis dans les 4 coopératives. -
Etude APS/APD/EIES/DAO pour la construction des petits périmètres irrigués dans les pôles de développement économique de Chétimari et de Diffa
Rapport provisoire d'avant projet détaillé
Le Niger a sollicité et obtenu de ses partenaires techniques et financiers sous le leadership du Fonds International de Développement Agricole (FIDA), le financement du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans quatre (4) régions dont la région de Diffa -
Projet de construction des petits périmètres irrigués dans les pôles de développement économique de Chétimari et de Diffa.
Rapport de l'étude d'impact environnemental et social
Version provisoire
La région de Diffa renferme d’importantes ressources en eau souterraine qui sont valorisables à travers plusieurs activités de production agro-sylvo-pastorales et halieutiques à condition d’agir de manière optimale sur les autres facteurs limitant la production et la commercialisation des produits agricoles. -
La flore adventice dans le sud du Bassin arachidier (Sénégal) :
structure, dynamique et impact sur la production du mil et de l'arachideLe mil et l'arachide constituent les principales cultures vivrières au Sénégal. Mais leur production est faible à cause de l'impact des adventices qui constituent après l'eau la principale contrainte. Cette étude sur la flore, la germination des graines, la dynamique et la concurrence, a été entreprise pour réunir les informations utiles
permettant de réduire l'impact des adventices sur la production de ces cultures dans le sud du Bassin arachidier. Les résultats obtenus indiquent que la flore adventice est constituée de 125 espèces réparties en 81 genres et 31 familles. Elle est caractéristique des flores et végétations des zones semi-arides. Les espèces les plus représentatives sont essentiellement.des thérophytes (85,6%) appartenant pour plus de 50% aux familles des Poaceae, Cyperaceae, Légumineuses herbacées, Convolvulaceae et Rubiaceae. Les espèces pérennes plus rares (12,8%) sont représentées par des nanophanérophytes, composées de Combretaceae et Mimosaceae arbustives qui sont des témoins de la savane actuelle. En raison de la situation géographique du Sénégal et depuis l'introduction de nouvelles cultures vivrières, cette flore semble avoir subi beaucoup de modifications marquées par l'influence des espèces pantropicales (32,8%) au détriment des espèces africaines (32%). -
Une mauvaise herbe colonise les rizières et les sites maraîchers
On observe depuis quelques années, la prolifération d’une adventice (ou mauvaise herbe) sur la plupart des périmètres irrigués à usage rizicole ou maraîcher. Cette plante, apparemment introduite, est méconnue des producteurs et semble devenir un problème phytosanitaire sérieux. Un échantillon de cette plante, provenant d’un des animateurs de la Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso a été présenté au Dr Baina Danjimo, botaniste de l’INRAN, qui l’a identifié sous le scientifique (latin) de Elatine ambigua Wight. Pour éviter la prolifération de E. ambigua dans un jardin, le maraîcher doit apprendre à gérer cette plante en continue : arrachage précoce avec destruction des plantes, entretien avec les producteurs voisins pour une application collective de cette mesure afin de diminuer les possibilités de ré-infestation. -
Projet de réhabilitation des périmètres irriguées : rapport semestriel n°8 situation au 31 mars 1991
Le présent rapport résume les activités du projet réhabilitation pour la période du 1er octobre 1990 au 31 mars 1991 -
Projet d'aménagement d'un périmètre irrigué à Wondori Commune de Chétimari, Région de Diffa
La vallée de la Komadougou avec un potentiel de plus de 20.000 hectares irrigables, offre d'énormes possibilités de développement de l'irrigation. Plusieurs périmètres de petites dimensions sont réalisées ce qui permet à la population de produire plusieurs spéculations dont la plus importante est le poivron qui procure un revenu substantiel à la population à la population. Le projet consiste à l'aménagement et la mise en valeur d'un périmètre irrigué sur une superficie nette de 50 hectares. -
Diagnostic participatif rapide : Évaluation du fonctionnement des périmètres irrigués de Daïbéri et de Galmi au Niger
Le présent article a pour objectif d’étudier les performances de deux périmètres irrigués du Niger. L’un des périmètres est rizicole et l’autre à polyculture. La méthodologie utilisée est basée sur un diagnostic rapide participatif adapté aux systèmes irrigués. Ce diagnostic rapide des performances se base sur un entretien semi-structuré avec les producteurs des périmètres irrigués et a permis de dégager les principales contraintes, à les hiérarchiser et à proposer des solutions à chacune d’entre elles. Il ressort de cette étude que les contraintes concernent la mise en valeur agricole et sont d’ordre technique et organisationnel. Outre des solutions d’ordre institutionnel consistant à proposer de tenir compte des pratiques de terrain dans la loi sur les coopératives, des solutions, en relation avec la mise en valeur agricole et la gestion de l’eau, ont été proposées. -
Une coopérative de production sur un site irrigué communautaire qui marche bien
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites ont réalisé dans la région de Dosso pour élargir les références sur des exploitations / fermes souvent qualifiées de « type agrobusiness » qui ne sont pas des exploitations agricoles familiales classiques.Ces exploitations se caractérisent, en général, par des investissements importants en équipement et matériel et sont dirigées par des personnes ayant ou ayant eu une autre activité que l’activité agricole. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes, mais également les besoins pouvant être exprimés par ces exploitants afin de mieux cerner leurs attentes. -
Les plantes parasites dans l'agriculture africaine
Cette Note Technique donne un aperçu des plantes parasites d’importance agricole en Afrique. Les herbes parasites provoquent un stress de sécheresse et un retard de croissance au niveau des cultures. Les plantes affectées comprennent les céréales (par exemple, le sorgho [Sorghum bicolor] et le maïs [Zea mays]), ainsi que les légumineuses à grains (par exemple, le niébé [Vigna unguiculata]) dont les agriculteurs dépendent pour leur nourriture. Les dégâts causés à ces cultures et à d’autres cultures sont généralement aggravés par la faible fertilité du sol et le stress de sécheresse, conditions auxquelles de nombreux petits exploitants africains sont confrontés. Les herbes parasites peuvent entraîner de graves pertes de rendement, ce qui fait d’elles un obstacle important à la sécurité alimentaire dans de nombreuses régions. -
Cuscuta campestris (Cuscutaceae) une holoparasite nouvelle et envahissante pour la flore de Tunisie
Le genre Cuscuta (cuscute) contient 180 espèces parasites obligatoires (Yuncker 1932; Mabberley 2008), réparties dans un large éventail d’habitats essentiellement dans les régions tempérées et subtropicales du monde. Des études récentes incluent aujourd’hui le genre Cuscuta dans la famille des Convolvulaceae (Stefanovic & al. 2002). D’autres auteurs l’ont traité dans une famille autonome, les Cuscutaceae, au sein de laquelle ils ont reconnu deux genres, Cuscuta et Grammica, en se basant sur l’aspect et la forme des stigmates (Swift 1996). Ce genre comprenait, dans la flore de Tunisie, 4 espèces (PottierAlapetite 1981; Le Floc’h & al. 2008 et Le Floc’h & al. 2010) à savoir, Cuscuta epithymum (L.) L., C. nivea M. A. Garcia, C. palaestina Boiss., et C. planiflora Ten. avec 3 sous-espè ces (C. palaestina Boiss. subsp. palaestina, C. planiflora subsp. godronii (Des Moul) Kerguélen et C. planiflora subsp. planiflora (Des Moul) Kerguélen). -
Alerte sur la présence de la cuscute sur les cultures de contre-saison au Niger
Lors d’une visite sur le périmètre irrigué de Konni, nous avons remarqué la présence d’une plante parasite dénommée « cuscute » sur certaines espèces végétales. Après des échanges avec le producteur et ses voisins, il est apparu que ces derniers connaissent bien cette plante et l’ont d’ailleurs surnommée « sarka », mot haoussa qui veut dire « chaîne », du fait qu’elle étrangle les tiges des plantes attaquées et qu’elle est dépourvue de racines. Ils ont expliqué que cette plante est d’apparition récente et qu’elle a d’abord été observée sur la dolique (une culture très répandue sur le périmètre en contre-saison). -
Réflexion sur la gestion des pâturages et des points d'eau en zone pastorale
Le Comité Interministériel, après plusieurs séances de travail, a procédé à une analyse critique sur le mode de gestion des pâturages et des points d'eau en zone pastorale et au delà, proposer les mécanismes devant régir la cohabitation entre les arabes Mohamides et les populations autochtones de la région de Diffa. -
De nouvelles attaques sur le riz dans les périmètres irrigués le long du fleuve Niger : des vers de terre incriminés
Si pour la majorité des agronomes les vers de terre sont des animaux bénéfiques pour les sols et les plantes, il existe plusieurs espèces de vers de terre qui sont impliquées dans de attaques du riz dans certaines régions du monde comme l’Australie, l’Inde, les Philippines et l’Afrique du Sud. L’espèce la plus impliquée dans ce genre d’attaques appartient au genre Eukerria. Mais il semble que ces vers sont incapables de se nourrir directement sur les plants de riz, car elles n’ont pas de pièces buccales masticatrices. -
Perceptions paysannes des aléas climatiques sur la production du riz sur le périmètre irrigué de Saga dans la Vallée du Fleuve Niger
L’objectif général poursuivi est d’analyser la perception des aléas climatiques auprès des exploitants en milieu urbain. Pour ce faire, des entretiens semi-structurés et des enquêtes ont été effectués. Au total 140 exploitants disponible ont été enquêtés. Un critère d’âge de sélection des exploitants variant de 15 à 50 ans a permis de s’assurer que les stratégies développées font suite à une perception effective des changements. L’analyse des données a été faite par le logiciel Access et Excel pour le calcul des paramètres statistiques descriptifs et la réalisation de graphiques. Ces derniers observent l’existence des paramètres climatiques qui interviennent dans leur pratique à 90%. Les résultats de la recherche révèlent que 66 % des exploitants ont un niveau d’instruction assez bas. Face aux aléas climatiques les exploitants mettent en œuvre des stratégies durables d’adaptations qui participent à l’amélioration des rendements. -
Approche d'appui conseil à la mise en valeur des petits périmètre irrigués financés par le PIP2 au Niger
L'objectif de la présente étude est de finaliser le travail effectué par l'équipe du projet permettant ainsi de disposer d'un document proposant une approche opérationnelle et durable d'appui - conseil en gestion technique et économique aux irrigants privés et opérateurs d'activités connexes à l'irrigation. -
Projet d'aménagement et de mise en valeur des périmètres irrigués dans la vallée de l'Irhazer et la plaine du Tamesna (PAMPIAA/VI.PT)
Le projet entend développer une agriculture moderne, compétitive, en favorisant l’émergence d’une nouvelle génération d’agriculteurs modernes (Grands, moyens et petits); l’Etat avec l’appui des partenaires au développement prendra les mesures incitatives pour favoriser les investissements (infrastructures de base, faciliter l’accès à la terre): Cadre Partenariat Public Privé Comme on le voit, la phase de développement qui est un programme très ambitieux projet est en parfaite harmonie avec les objectifs de l’I3N, qui vise à transformer radicalement les systèmes de production agricole au Niger afin de mettre les populations rurales à l’abri des affres de la famine et leur garantir les conditions d’une pleine participation à la production nationale globale. LES RESULTATS ATTENDUS :
➢ A court terme
➢ A moyen terme
➢ A long terme -
Définition des mesures de sécurisation foncière des périmètres irrigués au Niger
L’étude sur la procédure de sécurisation foncière des AHA constitue aujourd’hui l’une des « soupapes de sécurité » attendues par nombre d’acteurs du développement rural, dans la mesure où elle contribuera à établir formellement les statuts des terres aménagées et à garantir les conditions de réalisation d’investissements importants et pérennes sur les périmètres irrigués. Si les termes « périmètre irrigué », « périmètre aménagé » et « AHA » sont invariablement utilisés l’un pour l’autre, le concept le mieux approprié dans le cadre de la présente étude est l’AHA, en ce sens qu’il a reçu une définition légale3, mais surtout qu’il rend plus globalement compte de la situation des terres mises sous aménagement par l’État à des fins agricoles. Mais il faut distinguer ces grands AHA des petits périmètres aménagés dans la plupart des cas par des projets et ONG, mais souvent aussi par l’État, pour la petite irrigation à des fins de production maraîchère. Le statut juridique de ces petits périmètres est hybride, dans le sens où souvent la terre est « prêtée » par son propriétaire aux exploitants-maraîchers, ou des fois mise à la disposition de la structure intervenante par l’autorité coutumière locale. Dans tous les cas, le statut foncier de ces espaces est précaire.