Recherche
136 items
-
Impacts des changements d'usage des sols sur les ressources en eau souterraine au Sahel nigérien
La forte croissance démographique (~3%.an-1) observée au cours des dernières décennies en Afrique subsaharienne a engendré la conversion de grandes étendues de savane arborée en cultures pluviales ou irriguées et la diminution de la durée des jachères. Afin de déterminer l'impact de tels changements d'usage du sol sur la recharge des nappes phréatiques, la zone non saturée a été investigué pendant trois ans (2009-2011) pour deux régions du Niger (sud-ouest et sud-est) aux conditions climatiques et géomorphologiques différentes. -
Schéma Directeur de mise en valeur et de gestion des ressources en eau du Niger: Le Référentiel du secteur de l’eau et de L’assainissement au Niger
Ce document fait la synthèse des rapports des commissions constituées pour effectuer des analyses sectorielles sur neuf thèmes :
1 -- Connaissance et gestion des ressources en eau;
2 -- Hydraulique villageoise et pastorale;
3 -- Hydraulique urbaine et assainissement ;
4 -- Hydraulique agricole;
5 --Aménagements anti-érosifs (CES/DRS) et protection des terroirs;
6 -- Ressources halieutiques (Pêche, Pisciculture) et protection des zones humides
7 -- Hydroélectricité;
8 -- Hygiène et Santé;
9 -- Hydraulique industrielle et minière -
Etude socio-économique des mares permanentes dans l’arrondissement de Gaya
Ce projet de recherche, a pour objectif d’analyser les conflits liés à l’exploitation de l’eau et les potentialités dans l’arrondissement de Gaya, au sud du Niger. Le présent rapport est le fruit d’un séjour de trois mois, entre novembre 2002 et février 2003 au Niger. -
Disponibilité en eau du fleuve Niger -- enjeux et perspectives pour les aménagements hydro-agricoles : cas du Niger
Etude réalisée afin d'identifier les contraintes dans la disponibilité en eau du fleuve Niger et les contraintes dans l' exploitation des AHA relatives à la gestion de l'eau. -
Schéma directeur d'aménagement hydraulique du Dallol Bosso
Cette étude sur le scéma directeur d'aménagement hydrolique du Dallol Bosso traite de la la géographie, du cadre hydrogéologique, du schéma géologique d'ensemble, de la climatologie de la pédologie et aptitude des sols, de la végétation etc; -
Réunion de concertation entre les intervenants du secteur de l'eau et de l'assainissement : Rapport général
Ce document est le rapport de la Réunion de concertation entre les intervenants du secteur de l’Eau et l’Assainissement, organisée par le Gouvernement du Niger.
Le Niger, à l’instar de la Communauté Internationale, entend imprimer une marque particulière à cette année proclamée ‘’Année Internationale de l’Eau Douce’’ par l’Assemblée Générale des Nations Unies, pour sensibiliser davantage l’opinion nationale et internationale sur les enjeux qui entourent la gestion de l’eau. -
Etude diagnostique sur la qualité de l'eau dans le département de Gaya
Ce document traite de l'accès à l'eau potable pour la population dans le département de Gaya. il concentre la problématique de la qualité de l'eau et de son suivi dans ce département. -
Étude documentaire sur la gestion de l’eau en Afrique sub-saharienne et région Caraïbes
Cette étude fait une analyse de l’Afrique sub-saharienne traversée par de graves crises et des profondes mutations au niveau de ses systèmes irrigués. Elle devra résoudre la fois des questions de connaissances de la ressource, d’aménagement et de réhabilitation, d’amélioration des performances et d’adaptation aux ouvertures des frontières. -
Récupération de l’eau de pluie pour accroître la production
fourragèreFiche technique pour créer des demi-lunes -
La dynamique accélérée des koris de la région de Niamey et ses conséquences sur l'ensablement du fleuve Niger
L’Afrique de l’Ouest est soumise depuis quelques décennies à un rapide changement d’usage des sols, lié à la très forte pression démographique. La région de Niamey en particulier, avec de très nombreux oueds exoréiques appelés localement, « koris » participe de cette dynamique. Il semblerait que l’endoréisme recule à l’échelle des koris comme celui de Boubon, Gorou Kirey etc. L’objectif de cette recherche est de mettre en évidence cette évolution et à l’expliquer, ainsi qu’à insérer cette évolution dans le contexte régional, d’un Sahel où l’endoréisme est très répandu. On essaie de montrer la part des responsabilités entre et facteurs anthropiques et climatiques. On utilise pour cela des relevés de terrain ainsi que des études diachroniques. L’accent est mis sur des suivis cartographiques et diachroniques de l’hydro - morphométrie du bassin, des mesures topographiques in situ sont effectuées à l’aide d’une station totale, des prélèvements ponctuels de matières en suspension dans les koris. Ces suivis sont couplés aux mesures de ruissellement et de pertes en terre sur un de ses versants, selon les états de surface les plus représentatifs de la région. -
De l’eau pour le maraîchage : expériences et procédés
Cet ouvrage propose une méthode pour guider les maraichers dans l’évaluation de leurs besoins et de leurs contraintes et les aider à choisir un système d’irrigation adéquat. Chacune des questions destinées à guider le choix est approfondie et illustrée dans les chapitres suivants. Le premier chapitre explique comment calculer les besoins en eau des cultures. Le deuxième chapitre présente les systèmes de distribution de I ’eau dans les champs et leurs avantages et inconvénients respectifs. Le troisième chapitre présente les différents systèmes de pompage qui sont ensuite comparés, notamment sur le plan économique. Enfin sont définies des notions plus complexes qui permettent de bien comprendre les mécanismes du pompage. Des fiches de présentation de matériels et une bibliographie permettront à ceux qui veulent en savoir plus de s’orienter dans leur recherche d’information. -
Changements climatiques : Impacts sur l’eau et l’agriculture en Afrique de l’Ouest
Les changements climatiques se manifesteront sur toutes les composantes du cycle de l’eau, comme par exemple, la quantité et la distribution des précipitations, la fréquence et la durée des sécheresses, ainsi que l’évaporation et le bilan hydrique à la parcelle. La mousson africaine, qui rythme la vie des 300 millions d’Africains de l’Ouest, devrait se modifier : la variabilité interannuelle des précipitations liées à cette mousson devrait augmenter, tout comme l’occurrence des précipitations extrêmes. Les activités agricoles seront plus ou moins fortement affectées par ces changements, en fonction des zones agroécologiques et des spéculations. Dans tous les cas, différents travaux estiment que le ruissellement moyen et la recharge des nappes baisseront ; que la concurrence pour l’eau sera exacerbée suite à des demandes croissantes pour d’autres usages comme la production d’hydro-électricité. Les travaux menés par le Programme international de recherche sur la mousson africaine (AMMA) établissent sans ambiguïté que la variabilité spatio-temporelle excessive des précipitations est un réel frein à la production agricole. Les sociétés devront s’adapter. Néanmoins, il convient de ne pas sous-estimer la complexité de l’approche. Ainsi les plans d’irrigation sont à raisonner avec l’ensemble des acteurs et utilisateurs d’un territoire, voire d’autres pays, placés en aval des prélèvements pour l’eau d’irrigation. De nombreuses techniques, et leurs variantes locales, existent pour faire face à l’aléa hydrique. Elles visent en général à accroître la production, tout en minimisant sa dépendance aux intrants et en limitant les impacts négatifs sur l’environnement, et leur vulnérabilité. Ces techniques incluent la gestion conservatoire de l'eau, de la biomasse et de la fertilité des sols. -
Rapport annuel 2017 : les statistiques du secteur de l’élevage
Le Ministère de l’Élevage est le Ministère chargé de la conception, de l’élaboration, de la mise en oeuvre du suivi et de l’évaluation de la politique nationale en matière de développement de l’élevage, conformément aux orientations définies par le gouvernement. Le Ministère de l’Élevage emploie environ 1500 agents tous grades confondus, répartis dans les différents services aussi bien à Niamey qu’à l’intérieur du pays. -
La crue de 2012 à Niamey : un paroxysme du paradoxe du Sahel ?
Cette note présente des extraits d’un article sur la crue du Niger de 2012 paru dans la revue « Sécheresse », volume 24, n°1, janvier-février-mars 2013. L’article original est accessible sur le site web de la revue Sécheresse (11 pages et 5,96 Mo). Ces extraits sélectionnés doivent permettre aux personnes ayant une connexion de faible débit de prendre connaissance de ce travail. Autrement, nous vous recommandons de lire l’intégralité de l’article avec ses références. Le fleuve Niger a connu lors de la mousson 2012 sa plus forte crue jamais enregistrée à Niamey, et une inondation de vastes secteurs y compris dans la capitale du Niger. A une tendance de fond à l’augmentation des coefficients de ruissellement en zone sahélienne, liée à l’encroûtement des sols, s’est ajoutée une pluviométrie exceptionnelle (la plus forte depuis le début de la sécheresse du Sahel en 1968). Les dégâts ont été très importants, et cet évènement doit faire prendre conscience aux décideurs de l’augmentation des écoulements qui a pour corollaire l’accroissement du risque d’inondation. -
Les institutions et organisations intervenant dans la gestion de l’eau
L’ordonnance n° 2010-09 portant Code de l’Eau au Niger vise à promouvoir la « gestion intégrée des ressources en eau » (GIRE). Un des principes clés de cette approche est que la gestion des ressources en eau doit être participative : elle doit associer les usagers, les planificateurs et les décideurs. -
Les outils de planification de la gestion de l’eau et les principes de gestion
Le développement de l’irrigation au Niger impose de mieux gérer les ressources en eau. C’est tout l’objectif de l’ordonnance n° 2010-09 portant Code de l’Eau au Niger qui vise à promouvoir la « gestion intégrée des ressources en eau » (GIRE). La mise en oeuvre de la GIRE repose sur certains principes et nécessite des outils de planifications de la gestion de l’eau. Cette note présente ces outils et principes de gestion. -
Document de la stratégie nationale de l’hydraulique pastorale
Ce présent rapport porte sur l'élaboration stratégique de l’hydraulique pastorale -
Elaboration du Plan d’Action National de Gestion Intégrée des Ressources en Eau (PANGIRE) et du Programme d’Investissement Prioritaire (PIP)
Ce rapport porte sur l'élaboration du Plan d’Action National de Gestion Intégrée des Ressources en Eau (PANGIRE) et du Programme d’Investissement Prioritaire (PIP)
-
Mise en œuvre de la GIRE à Madagascar et WASH -partout
« Il devient impérieux de protéger, conserver et utiliser d’une façon rationnelle et intégrée les ressources en eau du pays. » • « L’eau est une ressource vitale, indispensable à l’homme pour se maintenir en vie, et il faut donc permettre à tous, notamment les plus pauvres et les plus démunis d’y accéder. » -
Ressources en eau dans la région de Tillabéri (Niger) - Potentiel de mise en valeur par l’agriculture irriguée
Le Sahel sub-saharien dispose de ressources en eau considérables, essentiellement portées par de grands systèmes aquifères régionaux (aquifères du Sénégal, de Taoudenni au Mali, des Iullemmeden au Niger, du Tchad. Larégion de Tillabéri au sud-ouest du Niger présente des caractéristiques favorables à l’irrigation : en eau de surface tout d’abord, avec des eaux de surface mobilisables le long des koris (ou vallées sableuses) et des affluents du fleuve Niger aux débits importants. -
Les bassins de collecte d'eaux de ruissellement (BCER)
Brève analyse des bassins de collecte des eaux de ruissellement -
Bulletin de surveillance pastorale sur le Niger
Un dispositif composé de dix-huit (18) sites sentinelles est mis en place. Ces sites sont répartis dans les régions de Maradi (2sites), Tahoua (6sites), Tillabéry (3 sites), Zinder (2 sites), Diffa (4 sites)et Agadez (1sites). Au niveau de chaque site, unrelaiassure la collecte et faitremonter les informations sur les ressources pastorales. Les relais sont choisis parmi les agents du service d’élevage. La collecte des informations est faite à une fréquence hebdomadaire et en temps réel.Lesrelais collectent les informations avec des téléphonescellulaires utilisés à la foiscomme canal d’envoi et de réception. Le service internet Telerivetpermet la gestion desquestionnaireset des réponses ainsi que l ́envoi des messages.Lesdonnées résultantes sont disponibles au format de fichier .csv sur demande.Les données cartographiées par Action Contre la Faim sont fonction des thématiques reconnues sensibles par la Direction du Développement Pastorale DDP. -
Accès à l’eau au Niger : Quelles ressources pour quels besoins ?
Ce présent guide porte sur l'accès à l’eau au Niger -
Au Niger : Kawara-Débé, village de mares
Cette étude présente les caractéristiques géomorphologiques et sociales du terroir Kawara-Débé, village de mares -
Les crues dans le massif de l'Aïr (Niger)
Ce présent guide porte sur les crues dans le massif de l'Aïr (Niger) -
L'Aïr, « château d'eau » de la bande désertique des Ténérés (Niger)
Ce présent guide porte sur l'Aïr, « château d'eau » de la bande désertique des Ténérés (Niger) -
Données hydrologiques essentielles concernant le Niger
Ce document présente les données hydrologiques essentielles concernant le Niger. -
Présentation du fleuve Niger
Les éléments géographiques et climatiques présentés ici sont directement liés au fonctionnement hydrologique du fleuve Niger nécessaire à cette étude. Enfin, cette rédaction est très orientée sur le delta du fleuve Niger. -
L’élevage camelin, un apport important dans la lutte contre la pauvreté au Niger
Présentation de données de synthèse sur l'élevage camelin au Niger -
Études préliminaires de caractérisation de l’état initial A0
La thématique abordée dans le cadre de ce travail porte sur la caractérisation biophysique, plus spécifiquement la caractérisation et l’évaluation des ressources en eau au niveau de chacune des dix (10) communes précitées. -
Lutte contre l’ensablement des cuvettes oasiennes : cas de Yari (Gouré, Zinder)
Situé au coeur du sahel ouest africain, le Niger s’étend sur une superficie de 1 267 000 km2 dont près de 500 000 km2 sont désertiques. A la lisière de ces zones désertiques du nord se trouvent les terres marginales de la bande intermédiaire sahélo-saharienne (nord des régions de Tillabéry, Tahoua, Maradi, Zinder et Tahoua), représentant près de 300 000 km2, qui subissent de manière permanente et continue les effets de l’érosion éolienne avec la formation de dunes de sable sur plusieurs milliers de Km2. -
Schéma directeur de mise en valeur et de gestion des ressources en eau du Niger
Le schéma directeur de mise en valeur et de gestion des ressources en eau du Niger, élaboré par le Ministère de l’Hydraulique et de l’Environnement avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement, a été approuvé par le conseil des Ministres du 18 février 1993 -
Projet de mobilisation des eaux dans le département de Tahoua (PMET)
Pour faire face aux aléas climatiques et aux graves menaces qui pèsent sur la sécurité alimentaire, le Gouvernement nigérien a placé la maîtrise de l’eau au coeur des actions à promouvoir pour lutter contre la pauvreté. Le projet de mobilisation des eaux dans le département de Tahoua (PMET), identifié en 1990, figure parmi les premières tentatives du Gouvernement visant la mise en oeuvre de cette politique. Ce Projet a été préparé avec l’appui de la Banque qui a financé l’étude de mobilisation des eaux de ruissellement dans les trois départements du Niger les plus éprouvés par la sécheresse : Tahoua, Zinder et Agadez. Les populations ont été étroitement associées dès la phase de préparation du Projet, dont la conception était basée sur la réalisation de protections anti-érosives et de petits ouvrages hydrauliques (barrages ou seuils) de gestion facile. Le PMET, d’une durée de cinq ans, visait à terme l’aménagement et la mise en valeur de 720 ha de cultures irriguées et de 11.490 ha de cultures pluviales, et l’accroissement du cheptel. Le prêt FAD, d‘un montant de 7,95 millions d’UC, a été approuvé le 15 juillet 1998 et mis en vigueur le 7 avril 1999. Les activités sur le terrain n’ont cependant pu réellement commencer qu’en mars 2001, du fait de la suspension des décaissements qui a frappé le Niger d’août 1999 à février 2001.
-
Projet de valorisation des eaux dans les régions de Dosso et de Tillabéri
Pour faire face aux aléas climatiques et aux graves menaces qui pèsent sur la sécurité
alimentaire, le Gouvernement nigérien a placé la maîtrise de l’eau au coeur des actions à promouvoir pour lutter contre la pauvreté. L’eau constitue également pour la Banque, depuis plusieurs années, une orientation privilégiée, largement mise en relief dans le dernier DSPAR pour le Niger (2005- 2009). La Banque a notamment financé en 2001, l’étude de mobilisation des eaux de ruissellement dans les régions de Dosso et de Tillabéri, et en 2004, avec l’appui du centre d’investissement de la FAO, l’étude de préparation du projet de développement agro-sylvo-pastoral du dallol Bosso. Ces deux études concernent les régions de Dosso et de Tillabéri, caractérisées par une très grande pauvreté et une forte dégradation du milieu naturel. Ces études ont mis en relief un potentiel intéressant mais sous-exploité, en matière d’écoulements de surface et souterrains, et ont proposé de valoriser ces eaux en favorisant la création de nouvelles infrastructures hydro-agricoles (petits barrages, puits, forages, jardins, etc.). Dix sites ont fait l’objet d’études d’avant projet détaillé, à l’issue d’un processus participatif associant les populations concernées. Ces études ont également mis en exergue la vocation agro-pastorale des deux régions, la nécessaire protection des bassins versants, et l’implication des organisations de producteurs, dont spécifiquement les femmes, dans les actions à mettre en oeuvre. Au terme de ces études, les autorités nigériennes ont transmis une requête à la Banque pour le financement d’un projet global axé sur la maîtrise des eaux et la régénération du milieu naturel, touchant les régions de Dosso et de Tillabéri. Le rapport ici proposé s’appuie sur les résultats des études préparatoires et fait suite à une mission d’évaluation de la Banque qui s’est rendue au Niger en novembre 2005.
-
La gestion de l'eau dans la commune de Dantiandou: Etude de cas des villages de la zone d'intervention de la Fédération des Unions des Groupements Paysans du Niger
Le Niger est un pays de la zone tropicale sèche. Il s'étend sur une superficie de 1267000 km2 et se situe entre 11°33' et 23°33' de latitude nord ; 0°37' et 16°37' de longitude Est. C'est un pays continental et aride dont les 3/4 sont désertiques. Il a connu des sécheresses répétitives notamment en 1973-74, 1984-85, 1997-98 et en 2004-05. Selon une étude menée par SIVAKUMAR M.V.K (1993) les isohyètes se sont déplacées de 100 à 150 km après I960 et la pluviométrie moyenne annuelle a considérablement diminué. Les statistiques actuellement disponibles font ressortir que la superficie du territoire national recevant une pluviométrie annuelle supérieure à 200 mm/an ne dépasse guère 17,2 % de la superficie totale du pays, soit environ 354000 km2 (ISSA S, 2005). La température moyenne annuelle est de 29,5°C. Les hautes températures combinées avec l'augmentation du rayonnement solaire pendant la saison des pluies entraînent un accroissement de l'évapotranspiration potentielle (ETP) dont les valeurs moyennes mensuelles les plus élevées du pays sont enregistrées en zone sahélienne. L'ETP annuelle moyenne varie entre 1950 mm dans la zone soudanienne et plus de 2700 mm dans la zone saharienne (ISSA.I 2004). -
Choix des mares pour une étude approfondie
Le nombre de mares diffère selon les sources à cause la divergence des critères pris en compte. Géoconseil citant le plan de développement économique et social de la région de Dosso annonce 91 mares alors que le rapport de Kader dresse une liste de quarante sept (47) mares. Tout laisse à croire que dans le premier cas il sʼagit dʼun inventaire des mares et dans le second de celui des terroirs disposant de mares.
Lʼun dans lʼautre, lʼimportance quantitative des mares et la diversité de celles-ci sur le plan physique et humain commandent un échantillonnage pour une étude beaucoup plus détaillée visant à faire ressortir de façon représentative les facteurs de mise en valeur pour mieux orienter les interventions. -
Etude sur l'évaluation du potentiel productif irrigué des sites pilotes
Le Programme Moyen Niger 1 est élaboré et mis en oeuvre par le WWF sur mandat de la DDC. Il est placé sous la tutelle du Ministère de l'Environnement et de la Lutte Contre la Désertification. Ce programme vise à améliorer la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté des communautés locales riveraines des zones humides du Moyen Niger 1 à travers une gestion équitable, concertée et durable des ressources naturelles, diffuser ce mode de gestion au niveau national et contribuer à garantir des conditions favorables à sa pérennisation. -
Evaluation des Ressources en Eau des vallées fossiles Maouri et de Foga (Gaya)
La présente étude s’inscrit dans le cadre du Programme de Réseau Universitaire International de Genève "Négocier les conflits d’intérêts liés à l’exploitation de l’eau ". L’objectif de l’étude est de réaliser une analyse des ressources en eau des vallées fossiles (dallols) de Maouri et de Foga dans l’arrondissement de Gaya, sur la base des données disponibles, en vue d’évaluer les ressources en eau.
Cette évaluation s’articulera autour de points principaux :
- l’inventaire des ressources en eau de surface (cours d’eau, mares),
- l’inventaire des eaux souterraines,
- la gestion de la ressource exploitable.
Les enseignements tirés de cette analyse, des recommandations seront formulées pour rendre la synthèse plus exhaustive. Mais au préalable, la région d’étude sera abordée par le cadre climatologique et géologique. -
Evaluation à mi-parcours du recensement général de l'agriculture et du cheptel (RGAC)
La mission de la société COWI A/S chargée de réaliser ' l'évaluation à mi-parcours du recensement général de l'agriculture et du cheptel. -
Etude de la mobilisation des eaux de ruissellement superficiel dans trois départements : phase II étude de factibilité
L'objectif de l'aménagement venvisagé sur le site Z9 est de creér un ouvrage favorisant l'épandage des crues à l'amont du site -
Etude de la mobilisation des eaux de ruissellement superficiel dans trois départements ( tahoua-zinder-agadez)
etude de factibilité voulume XIL'objectif de l'aménagement envisagé sur le site A8 est de réaliser les seuils favorisant la recharge de la nappe -
Cartographie des paysages sur aquifères peu profond (moins de 10m) dans le département de Maradi
Cartographie des paysages sur aquifères peu profond (moins de 10m) dans le département de Maradi -
Etude sur la Dynamique de l’Ensablement dans le Département de Maïné-Soroa
Le Projet d’Appui à la Gestion des Ressources Naturelles (PAGRN) a entrepris de réaliser, dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités, une étude sur la dynamique de l’ensablement dans le département de Maïné-Soroa. Cela a été possible grâce au partenariat traditionnel qui existe entre l’Association Française des Volontaires du Progrès (AFVP) et l’ONG KARKARA.
L’étude couvre plus précisément la partie sud des cantons de Maïné-Soroa et Goudoumaria sur une superficie de 5764 km2 soit 38,43% de la superficie du département de Maïné-soroa.
Cette étude consiste principalement à établir des produits cartographiques sur l’occupation des sols et de l’ensablement à partir des données spatiales multidates (1975, 1986, et 2003) afin d’analyser la dynamique de l’ensablement des unités paysagères et de déterminer les zones à risque. -
Schéma d’aménagement de la mare de Tabalak - Région de Tahoua – Rapport final
L’étude du schéma d’aménagement des terres, dans le bassin versant de la mare de Tabalak, a été demandée par l’URGP ProDAF -Tahoua au profit du PDE de la commune de Tabalak, dans le but d’asseoir les bases d’un développement économique durable dont les différents axes sont en harmonie avec les ressources naturelles et humaines de cette localité.
Le diagnostic mené à travers cette étude révèle que le bassin versant de la mare couvre une superficie de 2238 km2 s’étalant essentiellement sur trois (3) communes, notamment, la commune de Tabalak, de Keita et de Kalfou. -
Dispositif de suivi du niveau de nappe phréatique dans les vallées équipées de seuil d’épandage du bassin versant de Badaguichiri
La non durabilité de l'usage des eaux souterraines pour l'irrigation est un problème important non seulement pour les pays qui font un usage intensif des eaux souterraines, mais aussi pour le monde dans son ensemble. La disponibilité et la mobilisation des eaux souterraines constituent un facteur constituent un préalable pour la pratique et la promotion des cultures irriguée. Dans les vallées du bassin versant la pratique des cultures maraichères est possible du fait de l’existence de nappe alluviale dont la profondeur du niveau statique n’excède pas les 15m. La recharge se fait par infiltration des eaux de pluies et de ruissèlement. Elle dépend fortement du temps de résidence sur les surfaces des zones de recharge. Pour accroitre ce temps dans les vallées, le projet Badaguichiri construira des seuils d’épandage au niveau de plusieurs vallées.
Le CNSEE responsable du volet suivi écologique et environnement au niveau dudit projet envisage de suivre l’effet des seuils qui seront construit sur la recharge de la nappe phréatique. Cette information constituera un outil d’aide à la décision pour la promotion des cultures irriguées en général. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) - VOLUME III - Résultats définitifs (Volet agriculture)
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) a été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère de l’Economie et des Finances (ME/F), avec l’assistance technique de la FAO. Compte tenu de l’approche modulaire retenue pour le RGAC, la période de référence choisie a concerné deux campagnes agropastorales 2005/2006 et 2006/2007. Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental). Le présent document intitulé Volume III ‘‘Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel : Résultats Définitifs – Volet Agriculture’’ constitue un travail de synthèse de cette importante investigation statistique qui est le RGAC 2005/2007. Des études générales ou spécifiques seront réalisées et des informations à la demande pourraient aussi être fournies. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Volume VI - Résultats définitifs - Productivité des exploitations agricoles
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Le présent document intitulé Volume VI ‘‘Productivité des exploitations agricoles’’ une des publications du Recensement Général de l'Agriculture et du Cheptel 2005/2008, est consacré à la présentation des résultats des enquêtes sur la productivité des principales spéculations cultivées en zones d’agriculture pluviale à savoir : le mil, le sorgho, le niébé et l’arachide. Cette publication est structurée autour des quatre parties ci-après : Première partie : organisation et mise en œuvre de la productivité des exploitations agricoles ; Deuxième partie : présentation des résultats de la productivité des cultures pratiquées en zone d’agriculture pluviale ; Conclusions et Annexes. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Résultats définitifs – Volet Agriculture (Niveau Régional) – Volume IV
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Cette analyse des données du RGAC permettra aux acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général de bien connaître le secteur des productions végétales à l’échelle du pays comme des régions, notamment concernant les caractéristiques climatiques, ethniques, démographiques, hydrologiques et pastorales. On insistera plus en détails sur les superficies agricoles selon les spéculations, leur importance en pur et en association, les structures des exploitations agricoles et les différents systèmes agricoles mis en œuvre. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Méthodologies
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Le présent document intitulé Rapport Technique et Méthodologique du ‘‘Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel au Niger 2004/08 constitue un travail de synthèse des approches techniques utilisées dans la préparation des enquêtes, la collecte et le traitement des données statistiques entreprises dans le cadre du projet GCP/NER/041/EC (recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel au Niger. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Volume I - Résultats du pré recensement
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC) est le résultat d’une coopération fructueuse entre le Gouvernement du Niger, l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO.
Le présent document, un volume parmi tant d’autres fourni par le RGAC, consacré au pré recensement s’intéresse aux résultats issus des enquêtes relatives à l’actualisation du nombre de ménages agricoles (Q1), au recensement des sites de production horticole (Q12), des points d’eau au niveau des zones de concentration en saison sèche (Q7), des passages terminaux des couloirs de transhumance (Q8) et l’inventaire des organisations paysannes opérant dans les domaines agricoles et de l’élevage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume V - Productivité du cheptel - Enclaves pastorales et transect
Le Niger avec l’appui des partenaires techniques et financiers (Banque Mondiale, Union Européenne et Fao) a entrepris depuis 2001 une opération de recensement du recensement général de l’agriculture et du cheptel, nommée « RGAC » et consistant en des enquêtes d’effectifs d’animaux et autres activités agricoles.
Les paramètres démographiques du cheptel (taux de reproduction, de mortalité naturelle, d’exploitation, etc.) sont des données de base nécessaires pour quantifier la production et la dynamique du cheptel. L’estimation de ces paramètres était une activité importante à mettre en œuvre. Cette activité a été programmée dans le cadre de la mise en œuvre des modules du projet RGAC et a été réalisée en mai 2007 avec la participation active de la Direction des statistiques du Ministère des Ressources Animales.
L’enquête démographique réalisée dans le cadre du RGAC avait pour objectif de fournir un diagnostic rapide sur les caractéristiques démographiques actuelles des cheptels de bovins, de caprins, d'ovins et de camelins au niveau des deux zones agro écologiques du Niger : la zone pastorale et la zone agropastorale.
Cette enquête, réalisée à grande échelle, avait également pour objectif de familiariser la direction des statistiques d’élevage à la planification et l’organisation des enquêtes sur la démographie du cheptel. Ce qui au demeurant participe au renforcement des capacités techniques et organisationnelles des structures nationales en charge des statistiques d’élevage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume VIII a – Résultats définitifs – Dimension genre « Elevage sédentaire »
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. En ce qui concerne l’élevage, le RGAC a concerné les trois différents modes pratiqués au Niger : Elevage sédentaire, Elevage nomade et Elevage transhumant. Le RGAC a intégré la dimension genre dans le processus de production et d’analyse des données statistiques. Grâce aux résultats du RGAC, l’ensemble des utilisateurs, y compris le Gouvernement et les partenaires au développement, dispose des indicateurs pertinents pour mieux saisir les mutations du monde rural.
Le présent document intitulé Volume VIII ‘‘Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel : Résultats Définitifs – Dimension Genre – Elevage Sédentaire’’ constitue un travail spécifique de prise en compte de l’aspect genre dans le cadre de cette importante investigation statistique qui est le RGAC 2005/2007. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume VIII b – Résultats définitifs – Dimension genre « Agriculture »
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey.
Le présent document constitue un travail spécifique de prise en compte de l’aspect genre dans le cadre de cette importante investigation statistique qui est le RGAC 2005/2007. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume II – Résultats définitifs – Volet cheptel
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. Ce document présente un travail de synthèse de cette importante investigation statistique et comporte les parties suivantes : organisation et mise en œuvre du Recensement du Cheptel et présentation des principaux résultats. A la suite de la présentation des principaux résultats du cheptel nigérien, le document présente dans la partie ‘‘ANNEXES’’ les tableaux détaillés, les graphiques et cartes, les questionnaires et la liste des participants au recensement du cheptel. Les résultats présentés dans le présent Volume II ne sont qu’une partie de la grande masse d’informations contenues dans le RGAC. Ainsi donc, des analyses thématiques pourront être faites ultérieurement soit par le Ministère des Ressources Animales (MRA) et le Ministère du Développement Agricole (MDA), soit par les chercheurs ou encore par tout autre utilisateur. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume IX – Résultats définitifs – Horticulture
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2008) a été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère des Finances et de l’Economie (MFE), avec l’assistance technique de la FAO et l’appui financier de l’UE.
Ce volet du RGAC vise à mettre en place un système de production de données régulières et fiables sur le secteur horticole, afin d’assurer de manière durable sa relance. En outre, ce recensement horticole à comme objectif, la constitution d’une base de sondage riche et variée sur le secteur horticole à travers l’identification et le dénombrement des sites de production et des exploitations horticoles. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel 2005–2007 - Analyse des résultats des enquêtes sur les marchés à bétail et le cheptel aviaire
Toute la commercialisation du bétail prend ancrage au niveau des marchés à bétail traditionnels La Direction de la Statistiques savait approximativement que le Niger dispose de plus de 500 marchés à bétail ; aujourd’hui l’enquête a démontré avec exactitude que leur nombre est de 635. Les présentes enquêtes marchés qui viennent d’être menées par le RGAC permettront de mieux préciser certaines caractéristiques de ces marchés et des transactions commerciales qui s’y déroulent afin de tirer des enseignements qui pourraient être opportunément exploités par le pouvoir décisionnel.
La deuxième enquête qui a trait à l’enquête complémentaire des effectifs du cheptel aviaire s’est penchée sur l’évaluation du cheptel aviaire villageois mais également sur l’état de la consommation de la volaille locale et des circonstances coutumières et culturelles de la consommation de la volaille ainsi que de la détermination du nombre moyen des effectifs élevés par espèce volaille et par ménage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel 2005–2007 – Résultats définitifs production animale - Répartitions régionales - Analyse - Perspectives
Il faut rappeler que depuis les indépendances, le Niger n’a connu aucun recensement de son cheptel, les effectifs utilisés dans les statistiques étaient déterminés par extrapolation par rapport aux taux de fécondité.
C’est ainsi que grâce à la coopération fructueuse entre le gouvernement du Niger et les partenaires au développement notamment l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO, le projet de Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel s’est concrétisé en 2004, sous la responsabilité des deux ministères en charge de l’agriculture et de l’élevage.
La présente communication a pour objet d’informer les acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général, des énormes potentialités dont dispose le pays dans le domaine de l’élevage, mais aussi de faire ressortir quelques axes de réflexion sur les contraintes et les perspectives qui peuvent découler de la gestion de ce cheptel. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC) – Niger - Conclusions et recommandations du projet
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) à été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère des Finances et de l’Economie (MFE), avec l’assistance technique de la FAO.
Le lancement officiel du projet « Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC » s’est effectué le 5 août 2004 par les ministres en charge du projet RGAC à savoir, le ministre du développement agricole et son homologue des ressources animales, en présence du Délégué de l’Union
Européenne, de la Représentante de la FAO et d’un Représentant de la Banque Mondiale au Niger. Le
RGAC a été conjointement financée par le gouvernement du Niger à hauteur de 1,5 millions FCFA et l’Union Européenne pour 4,2 milliards FCFA (6.371.000 Euros, soit 7.900.039 Dollars EU), avec la FAO comme agence d’exécution. Le RGAC s’est étalé sur 48 mois.
-
Annuaire statistique régional 2011 - 2015
La Direction Régionale de la Statistique (DR/INS) de Niamey a le plaisir de vous présenter la quatrième (4ème) édition de l’annuaire statistique régional. Ce document qui présente les principales données socio-économiques de la région de Niamey sur la période 2011-2015, comporte 18 chapitres qui portent notamment sur les informations générales de la région, la climatologie, l’hydraulique, la démographie, l’emploi, la santé, l’éducation, l’agriculture, l’élevage, l’environnement, l’énergie, le transport, le tourisme et l’hôtellerie, les prix, la justice, la jeunesse et le sport, la gouvernance et le développement local. Il a été élaboré à partir des données collectées auprès de différentes structures de l’administration publique et para-publique, de celles produites par l’Institut National de la Statistique (INS) et la Direction Régionale de l’INS. Les informations publiées dans ce document les sont à un niveau agrégé. Le lecteur désireux d'avoir plus de précisions par rapport à un domaine spécifique, peut s'adresser à la Direction Régionale de l’INS ou à la source des données indiquées en bas des tableaux. Aussi, accueillerons-nous, bien volontiers, vos observations, remarques et suggestions pour l’amélioration de nos prochaines éditions. Nous adressons enfin, nos plus vifs remerciements aux autorités régionales pour leur engagement personnel dans la promotion des activités statistiques, à toutes les administrations, services publics, parapublics et organismes qui nous ont apporté leur précieux concours pour l'élaboration du présent document, et les encourageons à persévérer davantage dans les efforts, en vue de rendre disponibles et fiables les données statistiques au niveau de la région de Niamey. -
Étude géochimique et hydrodynamique de la nappe libre du bassin du Lac Tchad dans les régions de Diffa (Niger oriental) et du Bornou (nord-est du Nigeria)
Avec près de 2,5 millions de km², le Bassin du Lac Tchad (BLT) est le plus vaste bassin endoréique au monde. Situé dans une zone sub-humide à aride contrôlée principalement par les fluctuations latitudinales des flux de mousson, le BLT est soumis à des aléas extrêmes des facteurs environnementaux. Son endoréisme et son caractère semi-aride amplifient sa sensibilité face à ces aléas. -
Rapport annuel 2015 : Les statistiques du secteur de l'élevage
Le Ministère de l’Élevage a été invité à la deuxième édition du Salon International de l'Agriculture du Maroc (SIAM) à Meknès sur le thème " les Produits de terroir". La délégation du Niger a participé à cette édition dans l'objectif de s'enquérir de l'expérience marocaine dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Maroc Vert, Plan similaire à l'Initiative 3N "Les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Rapport annuel 2016 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité par la grande diversité d'espèce et race élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière deccenie. En 2016, le cheptel est estimé à 44.595.672 tetes toutes espèces confondues soit 17.340.539 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 3.700 milliards de francsFCFA. -
Rapport annuel 2017 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2017, le cheptel est estimé à 46.484.539 têtes toutes espèces confondues soit 18.156.652 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Rapport annuel 2018 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger pour la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution vivant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2018, le cheptel est estimé à 48.460.804 têtes toutes espèces confondues soit 19.016.316 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 4.100 milliards de francs CFA. -
Recensement général de l'agriculture et du cheptel (RGAC)
Le Niger est l’un des pays les plus vastes du Sahel. Il s’étend sur une superficie de 1.267.000 km2 dont les trois quarts sont constitués d’un désert chaud situé dans la zone septentrionale du pays. Il est frontalier à l’Algérie et la Libye au Nord, au Tchad à l’Est, au Nigeria et au Bénin au Sud, le Burkina Faso et le Mali à l’Ouest. Le seul cours d’eau permanent est le fleuve Niger qui traverse le Sud Ouest du pays sur une longueur de 550 km, depuis la frontière avec le Mali jusqu’au Bénin et le Nigeria. La population du pays estimée à 13 millions avec un taux de croissance démographique de 3,3%. -
Recensement de l'agriculture et du cheptel : (RGAC 2005/2007)
Le Recensement du Cheptel, un des deux volets du Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007), décidé par le Gouvernement est le résultat d’une coopération fructueuse entre le Gouvernement du Niger, l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO. Grâce à un financement de l’Union Européenne, de la Banque Mondiale à travers un prêt de l’IDA, et la FAO, à travers son Programme de Coopération Technique, les travaux préparatoires du recensement relatifs aux volets ‘Agriculture’ et ‘Élevage’ ont été réalisés de 2001 à 2003. -
Statistiques de l'éducation de base et alphabétisation : Annuaire 2016-2017
La présente publication de l'annuaire des statistiques du Ministère de l'Enseignement Primaire, de I'Alphabétisation, de la Promotion des Langues Nationales et de l’Éducation Civique (MEP/A/PLN/EC), comme toutes les précédentes porte sur les données statistiques de l'enseignement du cycle de base 1, de I'Alphabétisation et de l’Éducation Formelle(AENF).
-
Statistique de l'éducation de base : 2010-2011
La présente publication de l'annuaire des statistiques du Ministère de l’Éducation Nationale, de l'Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales (MEN/A/PLN), comme toutes les précédentes, fait une analyse des principaux indicateurs et fournit les données statistiques de l4enseigneemnt de base 1 et de la campagne d'alphabétisation. -
Étude du milieu : étude dans les arrondissements de Konni et de Madaoua
L'arrondissement de Birni N'Konni s'étend sur une superficie de 4.661 km2, soit 4,57% de la superficie du département de Tahoua, dont il fait partie. L' arrondissement de Madaoua couvre 4.800 km2, soit 4,5% du même département. Les arredissements de Konni et de Madaoua font parti d'un ensemble dit AderDoutchi- .aggia (ADM) , situé dans la zone sud du pays aux frontières du Nigéria. C'est un plateau latéritique A faible pente en général, dans lequel plusieurs systèmes de vallées se découpent. Celles-ci peuvent avoir par endroit profondeur qui dépasse le 100m. Au centre des vallées s'écoulent des koris, ne conduisant l'eau que temporairement. Parmi les vallées, celles de la maggia et de la Tarka sont les plus importantes. -
Eau, assainissement et développement durable : Les enjeux dans les villes des pays en développement
La gestion de l’eau est dans une phase de révolution sans précédent. Un corpus de connaissances s’organise actuellement en empruntant à des disciplines diverses. A la fois ingénierie technique,économique, financière, sociale et culturelle, c’est à la naissance d’une nouvelle science que nous assistons. La vocation première de cette nouvelle science relève de l’écologie humaine.L’objectif est de mieux comprendre les interactions entre les humains et leur environnement, afin d’améliorer leur bien-être et leur manière de gérer et d’utiliser les ressources naturelles de la planète. Sa forte dimension culturelle l’expose à des polémiques de plus en plus nombreuses et de plus en plus vivantes, aussi bien sur les scènes locales (celles des collectivités et des communautés d’habitants qu’elles représentent) que sur la scène internationale (celle des gouvernements et des grandes organisations publiques, privées ou non gouvernementales). -
Les statistiques sur l'élevage au Niger : Situation et perspectives; 28 au 30 octobre 2013, Hôtel Terminus Niamey, Niger
Du 28 au 30 octobre 2013 s’est tenu à l’Hôtel Terminus à Niamey au Niger, l’atelier sur "Les Statistiques de l'Elevage au Niger: Situation et perspectives''. Ont pris part à cet atelier, les délégués du Burkina Faso, du Mali et de la Mauritanie mais aussi les représentants des Coopérations Belge (CTB) et Suisse, et les représentants d’organisations internationales ou centres étrangers de recherche tels que : l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Observatoire Economique et Statistique d’Afrique Subsaharienne(AFRISTAT), le Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO), Vétérinaires Sans Frontière (VSF), le Centre National français de la Recherche Scientifique (CNRS). -
Évaluation du potentiel en terre irrigable au Niger : Rapport de synthèse générale
Le secteur agricole est fortement dépendant de la pluie, mais du fait de son insuffisance et de sa mauvaise répartition dans le temps et dans l’espace, le Niger enregistre fréquemment d’importants déficits dans la production agro-pastorale, et le pays se trouve confronté à une insécurité alimentaire chronique. -
Évaluation de la contamination des eaux souterraines par les résidus de pesticides dans les jardins maraichers, département de Madaoua –Niger (extraits)
Dans le département de Madaoua-Niger, l’intensification du maraîchage et l’utilisation incontrôlée de pesticides non homologués dans la majorité des cas sont des sources de pollution des ressources en eau qui sont également utilisées pour la consommation humaine, l’arrosage des animaux et les besoins des ménages. L’objectif de cette étude est de quantifier les résidus de pesticides dans l’eau du maraîchage afin de montrer leur niveau de contamination par ses résidus et les risques pour la santé associés à sa consommation. Quinze (15) échantillons d’eau provenant de forages maraîchers ont été prélevés à la fin de la saison sèche 2019 et analysés selon la méthode QuEChERS. -
Projet de mobilisation et de valorisation des ressources en eau (PROMOVARE)
L’objectif principal du PROMOVARE est d’améliorer la résilience de la population face à la variabilité et au changement climatique par la maitrise de l’eau pour les différents usages. De façon spécifique, le PROMOVARE vise à (i) augmenter et à intensifier les cultures irriguées et de décrue ; (ii) promouvoir le développement des nouvelles techniques d’irrigation ; (iii) mettre en oeuvre une série d’actions permettant d’améliorer les conditions de vie des populations bénéficiaires et à assurer un meilleur suivi des ressources en eau. Il fait partie des projets du programme stratégique pour la résilience climatique (PSRC). -
Usages de l'eau à Gaya (Niger) : entre fortes potentialités et contraintes majeures
Le département de Gaya, cadre de notre étude, est situé au sud-ouest de la république du Niger. Il dispose d‘un important potentiel hydrique composé des eaux de surface (une centaine de mares permanentes, le fleuve Niger sur 106 km) et de sept aquifères superposés comprenant des nappes de subsurface (affleurantes par endroit) et des nappes artésiennes. L’étude sur les usages de l’eau à Gaya a été menée à travers plusieurs axes centrés sur l’estimation et la répartition spatiale des ressources en eau, le cadre juridique et institutionnel régulant leur mise en valeur, les différents secteurs d’utilisation de l’eau ainsi que les contraintes affectant cette utilisation. L’usage de la cartographie à travers les SIG dans le traitement et l’analyse des données, couplée à notre expérience d’une dizaine d’année de
travaux dans la région, a permis de dresser des synthèses richement illustrées permettant de mieux comprendre tous les enjeux liés à la problématique des usages de l’eau dans cette partie du Niger. Contrairement à la vision que l’on a traditionnellement du Sahel où le manque d’eau constitue une des contraintes majeures au développement, ici des conditions locales particulières contredisent ce cliché et transposent le débat sur un autre plan. Il s’agit de la maîtrise de l’eau au niveau local à travers l’élaboration d’une politique appropriée qui tienne compte non seulement des spécificités locales de la ressource, mais aussi des différents types d’usages. La politique de l’eau au Niger, définie selon le Schéma directeur de mise en valeur et de gestion des ressources en eau, à travers la mise en place d’un important arsenal juridique et institutionnel, a eu le mérite de tracer un canevas sur la question, mais a montré ses limites au niveau pratique après dix ans d’essai. En effet au niveau de Gaya, ni l’Etat ni les partenaires au développement (bailleurs de fonds extérieurs) n’ont tenu compte des caractéristiques locales de la ressource ou du contexte socioéconomique particulier de la région. Ce qui a entraîné la réalisation d’infrastructures inadaptées aux réalités hydrogéologiques locales ainsi que des choix inappropriés au niveau de certains aménagements.
-
Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2020 : l'eau et les changements climatiques
Le rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2020 est le fruit d'une collaboration entre agences des Nations Unies sous pilotage UNESCO et UNWater. Cette année l'accent a été porté sur la disponibilité des ressources en eau, les effets des changements climatiques (CC) sur le cycle de l'eau, l'atténuation des CC et l'adaptation pour ce qui relève du secteur de l'eau. Le contexte international (conventions, traités, etc.) est présenté, avec une attention particulière au plan de développement durable 2030 et les Objectifs du Développement Durable, notamment l'ODD 6 relatif à l'accès à l'eau et à l'assainissement. -
Gestion stratégique d'un système de ressources en eau : l'exemple du système NESTE
L'article que nous proposons s'inscrit dans le cadre des problèmes d'optimisation dimensionnelle (irrigation & salubrité) des ressources en eau durant la période d'étiage. Sur le cas du système NESTE, la résolution est effectuée selon deux approches : - un modèle de programmation dynamique avec état de dimension deux (niveau des réserves, niveau dans la rivière) où, dans la solution numérique, les variables sont discrétisées ; -un modèle « synthétique » où l'on calcule une probabilité de non dépassement caractérisant l'état hydrique des ressources du système. Une règle empirique permet d'associer à cette grandeur une décision de consigne à effectuer. -
Étude de mobilisation des eaux dans la région de Maradi : diagnostic et analyse de propositions
Le présent rapport est une étude sur la mobilisation des eaux de la région de Maradi. -
Étude de mobilisation des eaux dans la région de Maradi - rapport de synthèse
La région de Maradi est la région qui est la plus densément peuplé du pays avec une densité de 53,5 habitants/km² pour une population totale de 2.236.000 habitants au recensement de 2001. La croissance démographique est relativement élevée avec un taux de 3,7% en moyenne. -
Étude de mobilisation des eaux dans la région de Maradi - rapport définitif
Le contexte actuel au Niger est marqué par la difficulté des conditions naturelles qui confinent la grande majorité des 12 millions d'habitants, essentiellement des ruraux, dans une bande de 1.500 km de long et 150 km de large situé au Sud du pays. Même si quelques potentialités d'exportation (bétail, oignon, niébé) ou de développement de l'irrigation existent, l'agriculture reste essentiellement vivrière et plus et pluviale et donc vulnérable aux risques de sécheresse. -
Etude de mobilisation des eaux dans la région de Maradi : phase 2; impact environnemental et social
Le Niger, pays sahélien fait face à d'importantes contraintes climatiques qui pèsent lourdement sur le développement de sa production vivrière et la préservation de ses ressources naturelles. Les eaux issues du ruissellement pluvial, concentrées sur quelques mois dans l'année, sont non seulement très peu exploitées (environ 1%), mais constitue de surcroit un facteur d'érosion et de dégradation intense. -
La gestion de l'eau en Algérie
La gestion de l'eau en Algérie pose un problème épineux aux autorités. Les ressources disponibles sont en deçà des besoins. La vétusté des réseaux d'adduction et la capacité de stockage déficiente entravent la bonne distribution de l'eau aux consommateurs. La dotation journalière par habitant reste faible par rapport aux normes internationales. Les instruments de gestion de l'eau ne sont pas efficaces. -
Logique floue appliquée à la gestion à long terme des ressources en eau
La gestion optimale des opérations d'un système de stockage/transfert/distribution d'eau (STDE) est une tâche complexe depuis que l'agriculture irriguée est devenue une activité très importante pour les sociétés humaines. C'est pourquoi ces sociétés ont déployé des efforts et de l'ingéniosité, grâce à l'évolution des techniques du génie civil et l'avènement de l'ère informatique, pour maîtriser les ressources en eau. -
Risque et décisions en gestion de l'eau. Essai d'analyse de la rationalité du dialogue entre hydrologue et gestionnaire
Le concept de risque, trop souvent imprécis, est analysé et un essai de définition rationnelle est tenté pour tenir compte à la fois des aspects de probabilité et de conséquences dommageables. On montre que toute analyse de risque en sciences de l'eau doit résulter d'un dialogue entre hydrologue et gestionnaire qui doit respecter des critères de clarté, d'efficacité et de cohérence. On insiste particulièrement sur la nécessaire prise en compte par l'hydrologue d'une expression, même simplifiée, des conséquences dommageables réelles pour le gestionnaire ou les membres de la cible du risque. -
SLAPIS : Système d'Alerte Précoce contre les Inondations de la Sirba
SLAPIS est un système intégré qui a l’objectif de promouvoir des changements décisionnels et comportementaux de l’attitude réactive à celle proactive à plusieurs niveaux, de la communauté à l’administration, pour la réduction du risque d’inondation dans les Communes de la Sirba (principal affluent du Fleuve Niger et cause des principales inondations dans la région). -
Recensement Général de la population et de l'habitat 2012
L'objectif de ce rapport est d'étudier les caractéristiques sociodémographiques des ménages nigériens. Ceux-ci ont connu un taux d’accroissement annuel moyen de 3,7% entre le RGPH de 2001 et celui de 2012, passant de 1 632 344 à 2 430 440 ménages au cours de la période intercensitaire. Les ménages ordinaires représentent 99,6% de l’ensemble des ménages dénombrés. -
Gestion de l'eau et décentralisation au Niger : cas de la mare de Tashi (Bonkoukou et Filingué)
La gestion de ressources limitées d’eau mais d’accès libre, telles que les mares, offre sans aucun doute les cas d’exemples de plus forts cumuls de problèmes de gouvernance territoriale en milieux semi-arides sahéliens. C’est que par la forte attraction qu’ils y exercent, les plans d’eau de surface (mares, retenues, lacs, etc.) polarisent plusieurs territoires enchâssés et à géométries variables selon les saisons. Leur exploitation met ainsi en compétition des groupes d’origines diverses et de statuts bien différents. La gestion de l’eau au Sahel est de ce fait un défi permanent auquel il faut faire face par des dispositifs adaptés à chaque territoire. -
Inventaire des variables disponibles dans le système d'informations environnementales SIREM concernant le Goulbi de Maradi
Le présent catalogue regroupe les informations hydrométriques et climatologiques de la rivière GOULBI DE MARADI AU NIGER. Elles sont regroupées dans la base de données chronologiques du système d’informations environnementales SIEREM. -
Les surfaces potentielles pour le développement de la grande irrigation dans la vallée supérieure du Niger
Si l'on réserve l'appelation de la Vallée Supéreiure du Niger, à la partie de la vallée de ce grand fleuve et de ses affluents qui se situe en amont de la frontière nord-ouest du Nigeria, on constate que cette vallée est située sur le Territoire de cinq États africains, dont la superficie totale approche de 3.200.000 km². -
La politique nationale de l'eau et de l'assainissement du Niger : Approche de gestion intégrée des ressources en eau à l'échelle locale, régionale, nationale et internationale
Le Niger dispose d'un potentiel hydraulique considérable mais difficilement mobilisable et se trouve confronté à d'importants problèmes de gestion de la maintenance des ouvrages mis en place. Il en résulte que ses besoins (domestiques, agricoles et industriels) sont loin d’être avec comme corollaire une dégradation accélérée de son capital productif. Les ressources en eau sont constituées des eaux météoriques et des eaux superficielles et souterraines. -
Recensement Général de l'Agriculture et du Cheptel 2005-2007 : Résultats définitifs; production animale
La présente communication a pour objet d’informer les acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général, des énormes potentialités dont dispose le pays dans le domaine de l’élevage, mais aussi de faire ressortir quelques axes de réflexion sur les contraintes et les perspectives qui peuvent découler de la gestion de ce cheptel. -
Présentation des résultats préliminaires du quatrième (4ième) Recensement Général de la Population et de l'Habitat (RGP/H) 2012
L’Institut National de la Statistique (INS) a réalisé le dénombrement général du Quatrième (4ème) Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH) 2012, du 10 au 24 décembre 2012. -
Études et modélisation hydrologique du bassin versant du Dargol
Le bassin versant du Dargol est situé à l’extrême Ouest du Niger et couvre une superficie d’environ 7 330 km². Il fournit une part importante des apports internes du Niger et est responsable avec le Goroual et la Sirba, des inondations récurrentes qui surviennent à Niamey ces dernières années. L’étude morphométrique du bassin à l’aide d’outils SIG et de données Aster GDEM apermis d’estimer les caractéristiques physiques et hydrographiques du bassin. L’analyse de la dynamique d’occupation de sol entre 1972 et 2014 fait ressortir une augmentation de la surface dénudée au détriment de la végétation. -
Études et Modélisation Hydrologiques du Bassin Versant de la Sirba
La Sirba est l’un des affluents les plus importants du Fleuve au Niger. Son bassin versant d’une superficie de 39 091 km² draine environ 4 milliards de m3 par an à Garbé Kourou, entre les mois de juin à octobre. Le réseau hydrographique est constitué de deux (02) affluents principaux que sont le Faga, et le Yéli dont la confluence près de la frontière Niger-Burkina forme la Sirba. La Sirba est confronté ces dernières décennies au phénomène de l’ensablement des lits, la pression démographique et l’extension des terres cultivées au détriment du paysage naturel. -
Études et Modélisation Hydrologiques du Bassin Versant du Goroual
Le bassin versant du Gorouol (53660 km2) est un bassin frontalier partagé entre le Mali, le Burkina Faso et le Niger. Dans un premier temps il a été d’abord cherché à déterminer les caractéristiques physiques, géologiques et climatiques du bassin versant. En suite une étude hydrologique basée sur le traitement des données pluviométriques 25 ans pour le polygon de Thiessen et 82 ans pour la station de Tillabéry) et hydrométrique relative à une période de 55ans ont été utilisées. La dernière partie de ce travail consiste à l’élaboration des modèles pouvant rendre compte de la relation pluie-débit. Nous avons également utilisé le modèle RCP4.5 pour reconstituer le climat aux horizons futurs (horizon2050s, horizon2080s et horizon2100s). L’objectif de l’étude est de contribuer à une compréhension du comportement hydrologique du bassin versant du Gorouol à travers un modèle de type pluie-débit. -
Dynamique de la nappe alluviale et évaluation des potentiels en eau pour la petite irrigation dans la partie nord du Dallol Bosso : départements de Balayara et Filingué (Région de Tillabéry).
La présente étude porte sur la dynamique de la nappe alluviale du Dallol Bosso et évaluation du potentiel en eau pour la petite irrigation dans la partie nord du Dallol Bosso (départements de Filingué et de Balayara). Les départements de Filingué et de Balayara, zone de l’étude, sont localisés dans la partie Nord du Dallol Bosso, région de Tillabéry à l’Ouest du Niger. Cette zone d’étude est circonscrite entre13°30’et 14°40’ de latitude Nord et 2°55’ et 3°15’ de longitude Est.Au Niger, le développement de l’irrigation est plus que jamais indispensable pour garantir la sécurité alimentaire. Les ressources en eaux souterraines en particulier celles de la nappe alluviale du Dallol Bosso Paléo-affluent de la rive droite du fleuve, est fortement sollicitées pour l’approvisionnement en eau potable de la population, l’abreuvement des animaux, et surtout l’agriculture. -
Cartographie thématique des cuvettes oasiennes de Mainé-Soroa et de Goudoumari
L’objectif de l’étude est de cartographier les cuvettes oasiennes dans les cantons de Mainé Soroa et de Goudoumaria. L’étude est basée principalement sur l’exploitation de données satellitales haute résolution, complétée par des observations de terrain. Le recours à l’imagerie satellitaire pour la réalisation de cartes thématiques implique, des choix méthodologiques par essence, robustes, opérationnels et reproductibles, afin de constituer un tissu
cohérent d'informations spatialisées ou statistiques. -
Evaluation quantitative et qualitative des ressources en eau de la nappe alluviale et analyse des impacts des changements climatiques dans le bassin versant de Dallol Bosso, dans les départements de baleyara et de filingué
La présente étude qui porte sur l’évaluation quantitative et qualitative des ressources en eau de la nappe alluviale et analyse des impacts des changements climatiques dans le bassin versant du Dallol Bosso, dans la partie des départements de Baleyara et de Filingué est menée dans le cadre des activités de la sous composante « prise en compte des impacts des changements climatiques dans les stratégies nationales » du Projet PAC RC. -
Schéma directeur actualisé de mise en valeur et de gestion des ressources en eau
Depuis l’adoption du Schéma Directeur, voilà bientôt une vingtaine d’années, la situation des ressources en eau a considérablement évolué. En effet, au plan climatique, on assiste à un retour d’années humides voire exceptionnellement pluvieuses dans la région sahélienne ouest-africaine en général et au Niger en particulier, à partir de la seconde moitié des années 1990. Par ailleurs, on doit relever une meilleure connaissance des éléments scientifiques des changements et des variabilités climatiques avec les importants travaux de recherche réalisés sous l’impulsion du Groupe d’experts Inter-Gouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC). -
Assistance technique en statistiques de l'élevage au Niger : une analyse descriptive des résultats des enquêtes tests sur le recensement du cheptel nomade et transhumant et la productivité du cheptel dans les communes de Kao et Kornaka
L'élevage est l'un des secteurs clés du Niger, représentant 40% du Produit Intérieur Brut (PIB) agricole et 11% du PIB global. Il emploie environ 87% de la population active et est pratiqué par presque tous les ménages en zone rurale. Par conséquent, disposer de statistiques plus précises sur le cheptel au Niger aiderait à mettre en œuvre de meilleures politiques et à suivre les différents programmes mis en place par le gouvernement et les autres partenaires internationaux. -
Rapport de synthèse de l'analyse diagnostique transfrontalière : partie nigérienne du Bassin du Lac Tchad
Ce document sur les ressources en eau de la portion nigérienne du bassin du Lac Tchad doit contribuer à l’élaboration de la partie consacrée aux Données de Base dans le Bassin Conventionnel, tel que décrit dans les grandes lignes de l’ADT. L’élaboration de l’ADT est un processus participatif impliquant les acteurs locaux, nationaux et régionaux. Aussi, ce rapport a-t-il servi de base de discussions à l’atelier national ADT/PAS auquel ont pris part les membres du Comité National Inter-Ministériel de Pilotage tenu les 28 et 29 juin 2006. -
Évaluation des potentialités des ressources en eau de la nappe alluviale du Dallol Bosso et de leurs évolutions dans le degré carré de Filingué (Région de Tillabéry au Niger)
Les départements de Filingué et Balleyara, zone de l’étude, sont localisées dans la partie Nord du Dallol Bosso, région de Tillabéri à l’Ouest du Niger. Cette zone d’étude est circonscrite entre 13°35’ et 14°40’ de latitudes Nord et 2°50’ et 3°30’ de longitude Est. Les eaux souterraines en particulier celles de la nappe alluviale du Dallol Bosso, sont fortement sollicitées pour l’alimentation en eau de la population, l’abreuvement des animaux, et surtout l’agriculture. En effet, cette ressource facilement mobilisable compte tenu de sa faible profondeur, les importantes potentialités en terres irrigables de la zone, contribuent au développement important de l’irrigation. Ces différents éléments associés aux effets de la variabilité et des changements climatiques survenus dans la région à partir des années 1970, ont eu aussi des impacts sur les écosystèmes locaux. Ainsi, l’objectif principal de cette étude est d’améliorer les connaissances sur les eaux de la nappe alluviale afin de contribuer à assurer une adéquation entre cette ressource et les multiples usages qui en sont faits. La méthodologie utilisée basée sur : i) l’analyse de la répartition spatiotemporelle des paramètres climatiques, ii) la réalisation de sondages géophysiques, iii) la détermination des caractéristiques hydrodynamiques, physicochimiques, bactériologiques, isotopiques de la nappe, iv) la connaissance de l’aptitude des eaux aux différents usages, iv) l'estimation de la réserve en eau de la nappe et sa recharge potentielle. -
Impacts des facteurs climatiques et anthropiques sur les ressources et la qualité des eaux de la mare de Tabalak
Au Niger, les facteurs climatiques et anthropiques influencent les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche et la qualité des eaux de surface. Cette étude a pour objectif d’identifier les impacts des aléas climatiques et de l’action de l’homme sur les ressources et la qualité de l’eau de la mare de Tabalak. A terme, cette étude devrait permettre de poser les jalons pour des actions, afin de réduire les risques liés à l’exploitation des ressources de cette zone humide. Pour réaliser cette étude, des enquêtes, des visites de terrain et des prélèvements d’échantillons d’eau ont été effectuées. Ces derniers ont été analysés au laboratoire. L’analyse des données météorologiques et des perceptions de la population sur la variabilité climatique indiquent une tendance à la baisse des précipitations contre une hausse des températures et de la force des vents. En ce qui concerne la dynamique d’occupation des sols, toutes les unités ont subi des transformations. Selon 80% des personnes enquêtées, cette tendance est causée par des facteurs climatiques et anthropiques. Les impacts de ces aléas sont : une perturbation dans le déroulement des saisons, une baisse de la productivité, une perte des terres par ravinement ; la formation de dunes vives ; l’ensablement et l’assèchement fréquent de la mare, la pression parasitaire et la persistance des épizooties. Les résultats sur la qualité des eaux montrent que les paramètres physico-chimiques étudiés se situent dans les normes requises. -
Niger : Lac de Guidimouni
Le lac de Guidimouni est situé dans la région de Zinder, département de Damagaram-Takaya, plus précisement dans la Commune rurale de Guidimouni. Il parcourt le long de la RN2 dans les environs de 2000 m sur sa rive droite. Le lac de Guidimouni est situé en zone sahélienne et reçoit en moyenne 300 à 400mm de pluie par an, ce qui fait de lui une zone aux contraintes climatiques moyennes. Il couvre une superficie de 338, 39 ha et forme une dépression endoréique allongée (SW-NE) sur près de 3 km de long et large de 700 m. Le plan d’eau est formé par deux grands étangs dont la profondeur moyenne dépasse rarement 1,5 m. Le lac évolue sur une plaine sableuse légèrement ondulée avec des altitudes variantes entre 390 et 395 m. Il est entouré de collines dont la hauteur maximum dépasse 590 m. Ce Lac, qui a une caractéristique morphologique d’une dépression accentuée, est alimenté de façon permanente par l’eau superficielle et de nappe à travers diverses sources dont la plus importante est la source de ʺGouzgourouʺ. Il a un haut potentiel de mise en valeur. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Recensement Général de la population et de l'habitat 2012 (Décret N° 2011-059/PCSRD/ME/F DU 27 Janvier 2011) : monographie régionale de Zinder
Le présent document présente la monographie des populations de la région de Zinder. Les données utilisées sont celles du quatrième (4ième) Recensement Général de la Population et de l’Habitat du Niger réalisé en 2012. Elle a pour but de donner la photographie de la situation des populations vivant dans la région de Zinder. Il s’agit spécifiquement d’avoir la répartition de l’effectif des populations de la région par âge, sexe et niveau géographique. A cela s’ajoute les informations relatives à l’éducation, à la nuptialité, à la fécondité, à la mortalité, à la participation économique des populations et à la situation de l’habitat ; ce qui permet de mettre à la disposition des utilisateurs des données (gouvernement, ONG,…etc.), des indicateurs de suivi des politiques et programmes spécifiques à cette frange de la population. -
Dynamique d’occupation et d’utilisation des sols et la hausse de la nappe dans la basse vallée du Dallol Maouri
L’état de surface de la zone sahélienne a subi plusieurs mutations ces dernières années suite au changement climatique et aux activités anthropiques, ce qui amplifie les évènements extrêmes. L’analyse de la dynamique d’occupation et d’utilisation des sols s’avère un outil excellent pour renforcer la résilience de la population. L’état de surface de la basse vallée du Dallol Maouri, qui constitue un affluent fossile du fleuve Niger, a subi plusieurs modifications depuis les années 70. L’objectif de cet article est d’évaluer l’impact de la dynamique d’occupation des sols sur la hausse du niveau piézométrique de la nappe libre de la basse vallée du Dallol Maouri. L’analyse de la dynamique d’occupation et d’utilisation des sols montre une nette régression de la classe de savanes arborées et arbustives, et nette progression de mosaïque cultures-jachères. -
Évaluation du potentiel en terre irrigable du Niger : rapport général
Le gouvernement du Niger avec l’appui de ses partenaires a initié une étude sur l’actualisation du potentiel en terres irrigables du pays. En effet, l’irrigation représente un facteur principal de développement agricole. Compte tenu de la place qu’occupe l’agriculture et du poids de la facture alimentaire, la recherche des terres aptes à l’irrigation, des eaux nécessaires à cette opération et leur meilleure gestion est une préoccupation constante des services techniques. Cette étude visait à
- faire l’inventaire des ressources en terres irrigables et irriguées des différentes régions et dresser leurs cartographies ;
− identifier et estimer les ressources en eau mobilisables et mobilisées pour l’irrigation ;
− dresser un état exhaustif de mise en valeur des terres irriguées. -
L’accès à l’eau
En zone rurale, l'accessibilité au point d'eau est réglementée. Ce poster décrit les étapes pour creuser un puits public ou privé ou un forage, l'accessibilité à ces points d'eau, comment les sécuriser et comment les gérer. -
Site Institutionnel de l'Institut National de la Statistique (INS)
Site nigérien d'information sur la statistique crée par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 portant sur l’organisation de l’activité statistique et créant l’Institut National de la Statistique (INS), modifiée et complétée par la loi N°2014-66 du 05 novembre 2014. Ce site web vous donne accès aux différentes publications du SSN, ainsi que plus de quarante (40) bases de données anonymisées à travers les Archives Nationales des Données (ANADO). Vous y trouverez également la plateforme des projections démographiques 2012-2024, les résultats des recensements de la population, les rapports d’enquêtes et certaines études approfondies, etc. -
RAPPORT ANNUEL DES STATISTIQUES DE L’ELEVAGE
1.1. SITUATION DU PERSONNEL
1.2. INFRASTRUCTURES SANITAIRES ET MATERIEL DE FROID
1.3. SITUATION DU PARC AUTOMOBILE AU 31 Décembre 2011
1.4. SITUATION DU PARC MOTOS AU 31 Décembre 2011
ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL
2.1. ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR DEPARTEMENT
2.2. ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR REGION
2.3. EVOLUTION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR ANNEE DE 1970 à 2011 -
Deuxième Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS II) 2014-2018
La mise en œuvre de la première(1ère) Stratégie Nationale de Développent de la Statistique (SNDS I) du Niger est arrivée à terme en 2012. En conséquence, et sur la base des nouvelles orientations politiques de développement du pays notamment : le Plan de Développement Economique et Social (PDES) 2012-2015, l’initiative 3N : « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens », le Niger s’est engagé dans le processus d’élaboration de sa deuxième(2ème) Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS II) pour la période 2014-2018. Cette élaboration est basée sur l’approche de la Gestion Axée sur les Résultats (GAR) et la méthode d’analyse des Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces. Les étapes de ce processus sont les suivantes : (i) travaux préparatoires, (ii) élaboration du diagnostic, (iii) élaboration du document provisoire et (iv) production du document final. -
Évaluation de la gouvernance de l'eau au Niger
L’utilisation et la protection des ressources en eau au Niger sont réglementées par la loi 98-41 du 07 décembre 1998 portant régime de l’eau et son décret d’application (Décret n°97-368 / PRN/MHE du 2 octobre 1997). Comme indiqué dans les fiches de renseignements, il existe beaucoup de textes qui font directement ou indirectement référence à la gestion des ressources en eau. Cependant, l’analyse du cadre juridique et réglementaire laisse apparaître des problèmes de plusieurs ordres : la non application des textes juridiques, l’insuffisance voire même la quasi-inexistence des textes complémentaires d’application au niveau de certaines lois et la méconnaissance de la législation par la plupart des acteurs. -
Catalogue des bonnes pratiques de collectes et de valorisation des eaux pluviales
Ce catalogue, qui englobe aussi bien des techniques ancestrales que modernes et innovantes, est le fruit d’une recherche bibliographique très large et d’un processus participatif impliquant plusieurs experts représentants les différents partenaires institutionnels concernés. Il constitue par conséquent un référentiel de techniques et de pratiques de CEP capitalisées de par le monde et présente les grandes lignes de leur application dans le contexte marocain. Le catalogue est destiné à tous les acteurs de l’eau au Maroc, en plus des urbanistes architectes gestionnaires des villes, particuliers, intervenants impliqués dans les systèmes de collecte des eaux pluviales et concepteurs de systèmes de drainage. Il est un recueil d’informations utiles, ainsi que des fiches techniques détaillées destinées à apporter des réponses et accompagner la mise en place des projets de CEP à différentes échelles. -
Les techniques de conservations des eaux et des sols dans les pays du Sahel
Le présent rapport est le résultat de plusieurs années de collecte de données par le Comité Interafricain d’Études Hydrauliques (C1EH), et l'Université Agronomique de Wageningen (UAW, Pays-Bas). Dans le cadre d'un programme de collaboration qui a débuté en 1987, cette Université avait mis à la disposition du CIEH Monsieur J.C. J. Vlaar, qui avait pour tâche de réaliser, entre autres cette étude. -
Évaluation du potentiel irrigable du Niger : région d'Agadez
Cette carte décrit le potentiel irrigable de la région d'Agadez -
Evaluation du potentiel irrigable du Niger : région d'Agadez (zone de l'Air)
Cette carte présente le potentiel irrigable du Niger dans la région d'Agadez, zone de l'Air. -
La politique de l'eau au Niger
Pour l'homme du Sahara, pour le voyageur venu du nord, le Sahel « c'est le pays de ré abondance » le où les arbres, l’herbe, les mares font partie du paysage, où la pluie tombe chaque année quand vient l'été. Pour l'Occidental comme pour le paysan du Sud, sols fissurés, bétail efflanqué, mares asséchées, cultures rachitiques, populations amaigries et assoiffées, telles sont les images qui viennent le plus souvent à l'esprit lorsqu'on évoque le Sahel. Ces images - qui se mêlent, dans les mémoires, à celles venues du Soudan ou de l'Ethiopie frappés par la famine - ont en effet été abondamment véhiculées par les médias occidentaux, en particulier lors des importantes sécheresses qu'a connues le Sahel dans les années 1968-1974 et 1983-84. Elles furent aussi fréquemment exploitées par certaines ONG orientées vers ce que d'aucuns nomment un « tropisme sahélien}) et soucieuses de mobiliser les populations du Nord aux problèmes de la faim et de la soif dans le Sahel. Le mot Sahel vient d'un terme arabe qui signifie « rivage). -
Loi portant le régime de l'eau (haoussa)
Ce document fait état de la loi portant le régime de l'eau. -
Évolution des eaux de surface et des systèmes de ruissellement à l'échelle de la commune, site Niger
Le Sahel est la région semi-aride emblématique par excellence, la plus médiatisée ces dernières décennies en lien avec les processus de « désertification » et la sévère sécheresse que connaît cette région, comme une grande partie de l’Afrique de l’Ouest, depuis la fin des années 1960. Les deux pics de sécheresse des années 1973-74 et 1984-85 ont été dramatiques pour les sociétés mais également pour le milieu. Et pourtant, le modelé et la topographie sont entièrement dessiné par le cycle de l’eau et s’il est un élément qui est vraiment typique des paysages, des usages et de la structuration de l’espace au Sahel, c’est bien les mares ; du fait de la péjoration climatique ayant suivi la phase humide Atlantico-Boréale (Faure, 1986), de nombreuses vallées ont été fermées par des cordons dunaires, ou bien souvent les cours d’eau n’ont plus eu le débit suffisant pour s’extraire des accumulations sableuses ; des vallées se sont fermées et l’endoréisme s’est généralisé dans les secteurs sédimentaires. Les zones de socle comme le Liptako Gourma ont, elles, continué à « produire » suffisamment d’eaux de ruissellement pour assurer une pérennisation des cours d’eau, la plupart étant d’ailleurs intermittents (écoulement saisonnier durant la mousson et les semaines ou les mois suivants, en fonction de la taille du bassin). -
Bilan de la mise en œuvre des activités 2016 du projet de mobilisation et de valorisation des ressources en eau (PROMOVARE)
Le Projet de Mobilisation et de valorisation des ressources en eau (PROMOV ARE), vise la maîtrise
de l'eau pour les différents usages en vue de l'adaptation aux impacts avérés des changements
climatiques. Spécifiquement, le PROMOVARE vise une augmentation et une intensification des
cultures irriguées et de décrue en valorisant les ressources en eau, la promotion du développement
des nouvelles techniques d'irrigation permettant une meilleure adaptation aux changements
climatiques et la mise en œuvre d'une série d'actions permettant d'améliorer les conditions de vie
des populations bénéficiaires et un meilleur suivi des ressources en eau. Ainsi, le PROMOVARE est
en cohérence parfaite avec principalement les axes 1 et 3 de l'Initiative 3N à savoir « accroissement
et intensification des productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques» et « amélioration de la
résilience des populations nigériennes face aux crises »
-
Rapport annuel 2011
Le présent rapport qui respecte ces priorités s'articule sur les parties suivantes :
I. Information de Base
II. Programme d'activité 2011
III. Programme de Budget 2011
IV. Etat d'exécution du programme d'activités 2011
V. Etat D'exécution financière du programme de budget au 31 décembre 2011
VI. Etat de mise en œuvre des recommandations
VII. Conclusion
-
Annuaire des statistiques 2009-2019
Le Système Statistique National (SSN) est régi par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 qui organise les activités de production, de traitement, d’édition, de diffusion et d’utilisation des statistiques au Niger. Elle consacre l’indépendance scientifique dans la production et la diffusion des statistiques et fait obligation au secret professionnel, à la neutralité, à l’objectivité, à l’impartialité et à l’anonymat des fournisseurs des informations primaires ou des répondants aux questionnaires. Elle impose également le principe de transparence : accès égal pour tous aux données et compréhension partagée des objectifs et des résultats attendus -
Plan d’Action National de Gestion Intégrée des Ressources en Eau,PANGIRE Niger
L’objectif global du PANGIRE est de définir le cadre national de gestion des ressources en eau et de servir d’outil opérationnel pour la mise en œuvre de la Politique nationale de l’eau, tout en permettant de mieux intégrer les actions projetées des différentes stratégies et programmes sectoriels et intersectoriels de l’eau. -
Étude du cadre juridique et institutionnel relatif aux unités de gestion des eaux
Au Niger, « Etat le plus sahélien des pays du Sahel », les ressources en eau constituent un facteur primordial de développement socio-économique. On observe que les consommations et les pollutions augmentent et les précipitations se réduisent. Les potentialités en eau de surface sont estimées à quelque 32 milliards de m3, tandis que les réserves en eau souterraines sont-elles évaluées à environ 2000 milliards de m3. -
Système aquifère transfrontalier d'Iullemenden, Taoudéni-Tanerzrouft : Atlas des ressources en eau
Les bassins sédimentaires d’Iullemeden et de Taoudéni-Tanezrouft couvrent une superficie d’environ 2,5 millions de km². Ils sont en continuité géologique et hydrogéologique et constituent un seul ensemble qui contient plusieurs nappes d’eaux souterraines logées dans des formations géologiques aquifères datées de l’ère Primaire jusqu’au Quaternaire. -
Résumé des études sur les eaux souterraines de 3 communes de la région de Maradi : Guidan Roumdji, Guidan Sori et Chadakori : mieux connaitre les eaux souterraines pour prendre des décisions informées sur la ressource au niveau communal
Dans la perspective de fournir des données et des informations fiables et actualisées, permettant une meilleure prise de décision pour les planifications des communes rurales sur la gestion durable des ressources en eau, TerresEauVie s’est focalisée sur l’évaluation de la sécurité physique de l'Eau (qualitative, quantitative et bilan hydrique) en vue d’aboutir à un Programme de Gestion des Ressources en Eau Souterraine. -
La gestion des puits communautaires dans le centre-sud du Niger : les faces cachées d’une arène locale
La présente recherche met l’accent sur la dynamique des conflits liés à l’usage et la gestion des puits communautaires en milieu rural nigérien. Elle montre que la réalisation de puits dans le département de Mayahi, centre-sud du pays, n’est pas sans conséquence sur les relations entre pasteurs et agriculteurs du fait des intérêts en jeu. Elle occasionne la présence de groupes d’acteurs stratégiques mus chacun par ses propres logiques. Ce qui est source de tensions et conflits en milieu rural. S’inscrivant à la fois dans l’approche stratégique de Crozier (1977) et dans celle socio-anthropologique des conflits (Olivier de Sardan, 1995), cet article apporte un éclairage à la compréhension des comportements et pratiques des acteurs d’horizons divers autour de la gestion des puits communautaires. Ces différents acteurs mus par des intérêts contradictoires développent plusieurs stratégies afin d’avoir l’accès et le contrôle des puits communautaires. Les comportements de ces acteurs constituent une échelle d’observation pour mieux appréhender leurs pratiques et les conflits qui naissent dans l’accès et le contrôle des puits communautaires au sein de cette entité administrative.