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Rapport d'évaluation de la campagne agricole d'hivernage 2020 et Perspectives Alimentaires 2020/2021
Au total, ce sont 2 680 395 chefs de ménage qui ont été dénombrés au titre de la campagne agricole d’hivernage 2020. Les résultats montrent que la majorité des ménages agricoles sont gérés par des hommes soit 93,15% contre 6,85% des ménages gérés par des femmes. La situation pluviométrique comparée à l’année passée reste très excédentaire dans la majeure partie de la zone agricole du pays. Les poches excédentaires sont localisées dans les régions de Tillabéri, Dosso, Zinder et Diffa. Les poches déficitaires à très déficitaires sont apparues dans les régions de Tillabéri, Dosso et Zinder. La production céréalière globale de la campagne agricole d’hivernage est estimée à 5 768 382 tonnes. En comparaison avec les productions de la campagne 2019 on observe une hausse de 9 %. L’évolution de ces productions sont également en hausse voire une stabilité de 1% par rapport à la moyenne des cinq (5) dernières années. Ce sont des hausses de 7%, 12% et 13% qui sont observées respectivement pour le mil, le maïs et le sorgho. Par contre les niveaux de production sont en baisse pour le riz et le fonio respectivement de 4 et 6% par rapport à l’année passée. L’analyse comparée de la production 2020 par rapport à la moyenne quinquennale présente des hausses de production pour le sorgho et le maïs. -
Évaluation préliminaire de la campagne agricole au 31 Aout 1999
Les résultats contenus dans le présent rapport ont été collectés à travers le suivi régulier de la campagne effectué par les services agricoles. Ils ont par la suite été finalisé par les missions conjointes (Direction de l'Agriculture, SAP/GC, Météorologie Nationale) à travers aussi bien des missions de terrain que des réunions de synthèse qui ont regroupé l'ensemble des responsables agricoles des Départements et des Arrondissements. -
Stratégie d'insertion des jeunes dans les métiers liés aux filières agricoles
Le secteur agricole au Niger présente deux facettes contradictoires : le pays est marqué par des crises alimentaires récurrentes tandis que l’agriculture reste l’un des piliers de l’économie nigérienne. Ce paradoxe s’explique par la fragilité d’un grand nombre d’exploitations agricoles en lien avec les difficultés quotidiennes auxquelles elles sont confrontées : dégradation des ressources naturelles, problème d’accès au foncier, au financement, aux intrants et aux équipements, faiblesse du conseil agricole et difficulté de valorisation de productions. -
Expérimentation de prestation de service en Motorisation Agricole dans la vallée de Tarka
L'absence de modernisation de l'agriculture limite considérablement l'engouement des jeunes pour le travail de la terre et donc leur installation dans le milieu rural. En effet la pénibilité du travail exclusivement manuel de la production agricole n'incite guère le jeune rural à trouver une motivation particulière pour le « métier d’agriculteur ». En Afrique l'aide à l'installation des jeunes agriculteurs est chose rare. Les jeunes diplômés de l'agriculture ne sont guère préparés à la gestion d'une exploitation agricole. Combien de ces diplômés connaissent, à la fin de leurs études, labourer avec une paire de bœufs, avec un tracteur ?