Recherche
18 items
-
Appui à la formulation concertée de la SPN2A pour la République du Niger : Elaboration des projections climatiques désagrégées pour le Niger
Ce rapport porte sur l'élaboration de projections climatiques désagrégées pour le Niger -
Evolution du système de riziculture intensif (SRI) comparé à la pratique paysanne : expérience d'Africare Mali dans la région de Tombouctou
Diaporama de comparaison des performances respectives du SRI et de pratiques traditionnelles -
Rapport de la mission de l’état de lieu du dispositif d’appui conseil agricole dans la zone d’intervention du promovare
La population du Niger est estimée à plus de 17 129 076 habitants (RGPH, 2012). Une population à plus de 80% rurale avec comme principale source de subsistance les activités agrosylvopastorales. Avec le taux d’accroissement actuel de (3,9%), cette population atteindra 55 millions en 2050. -
Rapport annuel d'activités
campagne de lutte phytosanitaire
Pour contribuer à l'atteinte des objectifs visés par l' initiative "3N les nigeriens nourrissent les nigeriens" la direction générale de la protection des végétaux a engagé des actions permettant d'assurer la couverture phytosanitaire des cultures pluviales et irriguées en 2018. -
Formation des brigades phytosanitaire des régions de Tahoua, Maradi et Zinder
campagne des cultures d'hivernage 2016
financement P2RSLes invasions transfrontalières et locales de ravageurs tels que les acridiens, les oiseaux granivores, les rongeurs sont connues pour causer de sérieux dégâts aux végétaux et aux produits végétaux avec de pertes économiques considérables dans de nombreuses zones du Sahel. -
Formation des brigades phytosanitaires des régions de Maradi, Tillaberi et Zinder Campagne des cultures irriguées 2017
Financement regis-er
Les cultures maraîchères sont attaquées par de nombreux ennemis qui occasionnent des pertes de récolte, souvent très importantes. L’ampleur des dégâts et des pertes sont plus significatives dans les pays ayant un écosystème fragile caractérisé par des sols pauvres et une insécurité climatique marquée par des pluies insuffisantes et irrégulièrement réparties dans le temps et dans l’espace. Dans ces zones les capacités de surveillance et de lutte contre ces ennemis de cultures sont limitées. -
Etude de faisabilité du pisa 2 rapport provisoire
Le Programme de Petite Irrigation et de Sécurité Alimentaire est un programme de la Coopération Nigéro-Allemande financé par la KfW. Il a démarré en 2016 et doit se terminer en 2020. Actuellement dans sa première phase, le PISA devrait se poursuivre lors d’une deuxième phase qui devrait démarrer à la suite de l’actuelle. -
Rapport d'étude évaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des investissements du PISA 1 version finale
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte
lié à des risques multiples dont : les risques climatiques/naturels, les risques sociaux
et les risques d’insécurité alimentaires. A cela s’ajoute la plus forte croissance
démographique du continent (3,9%).La population aura presque doublé en 2030 (par
rapport à 2015) (INS, 2014). Le pays est classé parmi les plus bas sur la quasi-totalité
des indicateurs de développement humain (BM, 2019). Le secteur du développement
rural en général et celui de l’irrigation en particulier fait partie des enjeux majeurs du
pays. -
Rapport technique sur le projet Leptospirose humaine au Niger
Les rongeurs commensaux sont à la fois des réservoirs de virus et des transmetteurs de maladies pour l'homme et certains animaux. La transmission s'effectue par l'intermédiaire de leurs déjections, de leurs morsures et des parasites qu'ils hébergent. -
Lutte contre les acariens ravageurs des cultures maraîchères
Dans le cadre de la poursuite de la mise en œuvre de l’Initiative 3N « les nigériens nourrissent les nigériens » en vue d’atteindre l’objectif « faim zéro » d’ici 2021, un accent particulier est mis sur le développement des cultures irriguées. -
Rapport annuel d’activités
campagne de lutte phytosanitaire 2017
Pour contribuer à l’atteinte des objectifs visés par l’Initiative 3N « Les nigériens nourrissent les nigériens » la direction générale de la protection des végétaux a engagé des actions permettant d’assurer la couverture phytosanitaire des cultures pluviales et irriguées en 2017. -
Rapport annuel 2017
La direction de la logistique et des équipements phytosanitaires a assuré la réception et la ventilation des pesticides et autres matériels en début et au cours de cette campagne. Le suivi de la gestion dans les régions a été assuré par des missions menées à l’intérieur du pays et la réception régulière des documents de gestion. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande - Production de kilichi
A l’origine, le « kilichi » était fabriqué pour pallier au problème de conservation des invendues de viande des bouchers Nigériens. Le temps évoluant, ceux-ci ont pris conscience de sa valeur marchande et ont décidé de le produire à grande échelle, tout en ajoutant à l’assaisonnement des épices et de la pâte d’arachide afin de le rendre facilement comestible.
Il est préparé en découpant la viande en fines lamelles que l’on sèche, assaisonne et grille. C’est un produit qui peut être conservé pendant plus de six mois lorsqu’il bien séché. Le kilichi est produit sous variantes dont de couleur rouge (Kilichi Mai Yagi Ja), le ou kilichi enrobé mais non pimenté (Roumouzou) et le Kilichi de Tessaoua qui est enrobé d’épices et séché sans subir de grillade. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Culture fourragère, cas du bourgou, « Echinochloa stagnina »
La pratique de la culture fourragère de bourgou s’est développée dans des zones agricoles de sol lourd et fertile des vallées. Elle devient actuellement une activité économique importante dans la chaine d’approvisionnement en aliments grossiers des élevages intensif et semi-intensif des exploitations familiales et des entreprises agricoles. Cette activité de culture fourragère contribue à un créneau d’amélioration des revenus des agriculteurs grâce à un circuit de commercialisation bien animé par les différents acteurs (producteurs, commerçants grossistes et détaillants). En cas de surplus de production, les producteurs pratiquent les techniques de stockage et de conservation (foin) dans des meilleures conditions pour rendre disponible le fourrage aux animaux pendant les périodes de soudure. -
Projet réhabilitation de Gouré
Ce document concerne la période du mois de Juillet au mois de Décembre 1990. En outre, il contient un résumé des activités de chaque domaine d'intervention du projet depuis que celui-ci a été lancé. Le projet est financé par l'U.S.A.I.D. ainsi que-par le gouvernement du Niger; le montant total de la première tranche annuelle de financement s'élevait à 295.700.288 FCFA. -
Guide pratique sur les boutiques d'intrants
Ce livret a été développé sur la base du manuel de gestion de boutiques d’intrants (BI) à caractère coopératif (manuel du gérant élaboré en 2006 par le projet Intrants/FAO). Un atelier participatif de révision de ce manuel, organisé en mars 2010, a proposé de le présenter sous forme de trois livrets illustrés pour faciliter sa compréhension. -
Annuaire des statistiques 2009-2019
Le Système Statistique National (SSN) est régi par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 qui organise les activités de production, de traitement, d’édition, de diffusion et d’utilisation des statistiques au Niger. Elle consacre l’indépendance scientifique dans la production et la diffusion des statistiques et fait obligation au secret professionnel, à la neutralité, à l’objectivité, à l’impartialité et à l’anonymat des fournisseurs des informations primaires ou des répondants aux questionnaires. Elle impose également le principe de transparence : accès égal pour tous aux données et compréhension partagée des objectifs et des résultats attendus -
Guide national de mise en place et d'animation de dispositif d'innovations paysanne en élevage (DIPE)
Le dispositif d’appui conseil post indépendance, entièrement exécuté par les services de
l’Etat est essentiellement orienté vers les cultures de rente et le contrôle des épizooties qui ravageaient le cheptel. Le transfert de technologies en direction des producteurs a été assuré par des structures étatiques de formation (centres de perfectionnement technique, centres de promotion rurale, centres de multiplication de bétail).