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Caractérisation morpho-biométrique du zébu Djelli du Niger
Le zébu peul (zébu Djelli) est l’une des races bovines qui constitue les cinq groupes (5) du cheptel bovin du Niger. Il est très apprécié de par ses aptitudes zootechniques, mais son élevage est plus localisé dans les départements et communes riveraines du fleuve Niger, notamment dans la région de Tillabéry. Ce travail vise l’étude des caractères phénotypiques de cette race du fait que dans le contexte nigérien, le zébu peul a bénéficié de peu d’étude à l’image des autres races du pays. A cet effet, des données morphobiométriques ont été collectées en 2017 dans quatre (4) départements de la région de Tillabéry et dans la zone péri-urbaine de Niamey sur 289 bovins adultes (254 femelles et 35 mâles) âgés de 3 à 19 ans. -
Perceptions et usages socioéconomiques du tamarinier (Tamarindus indica L.) dans le Sud-Ouest du Niger : Implications pour une domestication et une conservation durable
Elle a pour objectif de montrer l’importance ethnobotanique de Tamarindus indica L. à travers l’usage socioéconomique de ses différents organes en vue de contribuer à une meilleure gestion durable de sa population au Niger. La présente étude a été menée dans le département de Torodi, situé dans la région de Tillabéry.
Les résultats de cette étude ont montré que le tamarinier (Tamarindus indica L.) est une espèce forestière à haute valeur socioéconomique. Les différents usages (alimentaires, thérapeutiques, économiques etc.) tant prouvés par les populations doivent susciter une prise en compte de cette espèce dans les différents programmes ou stratégies de conservation et d’amélioration génétique durable des ressources phytogénétiques au Niger. -
Rapport d’analyse des données de l’enquête de la situation référence - RED-SAACC
Le projet de recherche-développement pour la sécurité alimentaire et l’adaptation climatique des systèmes ruraux de production au Niger (RED/SAACC-Niger) a pour objectif d’améliorer d’ici fin 2021, les revenus, la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 15.000 exploitations agricoles familiales fragiles à faible résilience, dans 15 communes des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri.
Le mécanisme de la mise en oeuvre du projet s’articule autour de 6 composantes dont les actions contribueront à l’atteinte de l’objectif global du projet. L’objectif de la composante 5 est de mettre en place un dispositif de gestion des connaissances efficace permettant de capitaliser et de partager les bonnes pratiques.
Pour atteindre cet objectif des d’activités ont été planifiées dont la première est la réalisation d’une étude de référence pour établir la situation de départ des indicateurs clés dans la zone d’intervention du projet, par rapport à laquelle seront mesurés les progrès vers l’atteinte des objectifs du projet RED/SAACC-Niger. -
Projet RED-SAACC - Rapport de la revue interne
L’objectif stratégique du projet REDSAACC vise à appuyer les efforts du gouvernement dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle en contribuant à mettre les populations Nigériennes à l’abri de la famine et à leur garantir les conditions d’une pleine participation à la production nationale et à l’amélioration de leurs revenus.
L’objectif global est qu’en fin 2020, la sécurité alimentaire et nutritionnelle (ainsi que les revenus) de 15.000 exploitations agricoles familiales fragiles à faible résilience est accrue de manière significative, dans 15 communes des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry.
L’objectif global de cette revue interne est de montrer et mesurer les changements opérés du fait des actions du projet REDSAACC à travers l’évaluation des effets/impacts de la mise en œuvre de l’approche du projet dans le transfert des technologies et le partage des innovations locales pour une adaptation des systèmes de production agricole aux changements climatiques. -
Les maladies à virus des courges dans le bassin de production de Niamey / Tillabéri
Il existe de nombreuses maladies virales chez les Cucurbitacées (courges, courgettes, concombre, etc.). Les deux viroses potentielles pouvant attaquer les courges au Niger (et d’autres cucurbitacées dont la courgette) sont dues aux virus dits virus « mosaïques » : - le virus de la mosaïque du concombre (CMV ou Cucumber mosaic virus en anglais) et - le virus de la mosaïque jaune de la courgette (ZYMV ou Zucchini yellow mosaic virus en anglais). Ces viroses sont caractérisées par la présence d’une mosaïque ou alternance de couleur jaune et verte sur les feuilles (photos 1 et 2), mais aussi les fruits (photos 3), constituée de tâches vert clair, vert foncé, jaunes. -
Le sésame au Niger : diagnostique
La relance des cultures de rente en particulier celle du sésame est l'une des priorités du gouvernement du Niger pour la promotion du secteur de l'agriculture. L'Institut de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a donc été saisi pour engager des activités de recherche sur cette culture afin que très rapidement les services de vulgarisation puissent disposer de technologies à transmettre aux agriculteurs. Cependant, avant d'engager toute activité de recherche, il est indispensable de connaître les contraintes et les potentialités liées à la production et à la commercialisation de cette culture au Niger. -
Le sésame au Niger : étude diagnostique
Le sésame est une pédaliacée comprenant une quinzaine de genres dont 60 espèces annuelles ou pérennes vivant en zones tropicales ou subtropicales. L'espèce cultivée (Sesamum indicum L.) est une plante annuelle dont la tige à section carrée peut atteindre 0.60 à 2 m. Les racines pivotantes, munies de peu de radicelles, pénètrent jusqu'à 1 mètre dans le sol. Les feuilles sont de forme variable et un même plant présente normalement des feuilles de types différents. Les fleurs, de couleur blanche ou souvent légèrement violacée ou lie de vin (violet foncé), se forment à l'aisselle des feuilles supérieures sessiles. Le fruit est une capsule allongée, de section carrée, à 4,6 ou 8 loges, contenant une soixantaine de petites graines oléagineuses. -
Profil des risques climatiques des chaînes de valeur des principales cultures de la Région de Tillabéri, Niger
A l’instar des régions du Niger, l’agriculture de la région de Tillabéri fait face à plusieurs conséquences néfastes du changement climatique affectant le développement agricole de la région. Cependant, il existe diverses potentialités pour développer ce secteur agricole afin de mieux supporter les chocs climatiques telles que l’Agriculture Intelligente face au Climat (AIC). C’est ainsi que depuis 2011, le programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l’Agriculture et la Sécurité alimentaire (CCAFS) met en œuvre au Niger, un projet de développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance. Ce projet s’articule autour de trois activités principales, à savoir (i) l’analyse des chaînes de valeur afin d’identifier les risques climatiques et autres contraintes auxquelles font face les chaînes de valeur et qui pourraient être résolues par des options climato-intelligentes, (ii) l’intégration d’options agricoles climato-intelligentes (AIC) fondées sur des évidences dans les chaînes de valeur sélectionnées par le biais des plateformes d’innovation multipartites et (iii) l’élaboration d’un cadre conceptuel pour l’analyse de chaînes de valeur climato-intelligente. -
Évaluation et caractérisation de 14 variétés de manioc en essai de rendement uniforme, dans les conditions agro-écologiques du Niger : cas des sites de Lossa et Bengou
Le manioc (Manihot esculenta crantz), est actuellement dans plus de 80 pays d'Afrique, d'Amérique, de l'Extreme Orient et de l'Océanie sur une superficie d'environ 14 millions d'hectares dont 800.000 hectares en Afrique. -
Note sur l’activité d’embouche pour la radio
Au Niger, les producteurs et les productrices connaissent et pratiquent l’activité d’embouche. Cependant, il nous a semblé important de reprendre certains conseils pour avoir de meilleurs résultats
ou éviter de mauvaises surprises.