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Etude de faisabilité pour investissement : contrat à terme et le réseau du warrantage en appui aux stratégies nationales
Au Niger, le plan d’investissement 2012-2015 de l’initiative « les Nigériens nourrissent les Nigériens (I3N) a visé principalement le financement de projets d’irrigation, avec un certain succès (production irriguée en hausse de 30% par an en moyenne). Ce choix a été conforté par une évaluation des risques agricoles de la Banque Mondiale (2013) qui avait identifié comme prioritaires les risques liés aux aléas climatiques, les invasions acridiennes et les risques de hausse des prix pour les consommateurs. En 2014, le Haut-Commissariat I3N et PARM sont convenus d’intégrer les petits producteurs dans le cadre du Plan d’Action pour la Gestion des Risques Agricoles (PAGRA). Trois domaines stratégiques ont été identifiés : l’accès des petits producteurs aux services financiers (crédits et épargnes), aux marchés et à l’information. Cette orientation est cohérente avec une étude de l’IRAM (2016) qui identifiait la dépendance de la production au climat, le risque prix, le risque de marché et le risque de conservation physique des stocks comme des risques agricoles majeurs. C’est dans ce contexte que PARM a suscité la présente étude sur les contrats à terme et le warrantage, et leur rôle en appui au Dispositif National de Prévention et de Gestion et des crises alimentaires (DNPGCA). Le warrantage et les contrats à terme sont en effet les deux principaux ensembles d’outils de gestion des risques de marché au Niger, qui peuvent également jouer un rôle dans la politique nationale de sécurité alimentaire. -
Evaluation des risques agricoles - Focus sur l’accès des petits producteurs aux services financiers, aux marchés et à l’information
Inventaire des initiatives existantes en matière de gestion des risques agricoles, avec une étude approfondie dans les domaines suivantes : accès aux services financiers (crédits et épargnes), accès aux marchés et l’accès et utilisation des systèmes d’information par les petits producteurs agricoles. -
Qualité des antibiotiques vétérinaires utilisés en Afrique de l’Ouest et méthodes de détection de leurs résidus dans les denrées alimentaires
L’usage des antibiotiques en médecine vétérinaire pour la prophylaxie, métaphylaxie et des traitements thérapeutiques a beaucoup favorisé l’intensification de la production animale au cours des dernières décennies. Mais, la mauvaise utilisation de ces antibiotiques vétérinaires surtout de qualité douteuse en Afrique de l’Ouest occasionne la présence de leurs résidus dans les denrées alimentaires d’origine animale et crée ainsi des problèmes de santé publique. Cet article passe en revue la qualité des antibiotiques vétérinaires et leur usage en Afrique de l’Ouest d’une part, et d’autre part les sources des résidus d’antibiotiques dans les aliments avec leurs conséquences sur la santé des consommateurs. Les méthodes de contrôle de qualité des médicaments d’antibiotiques et les méthodes de détection et de dosage de leurs résidus dans les aliments sont aussi passées en revue avant une synthèse sur la législation en vigueur dans l’espace Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine sur les produits vétérinaires et l’exercice de la profession vétérinaire. Il en résulte que beaucoup de médicaments vétérinaires commercialisés sur le marché ouest africain sont de mauvaise qualité. Le non-respect des exigences d’utilisation de ces médicaments engendre la présence de leurs résidus dans les aliments d'origine animale et peut occasionner des effets délétères sur la santé des consommateurs. -
Définition d’une stratégie de subvention dans le cadre de la Facilité 1 du Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (FISAN)
Le présent rapport provisoire vise l’élaboration d’une stratégie de subvention dans le cadre de la facilité 1 du Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et nutritionnelle (FISAN), qui s’inscrit elle-même dans le processus d’institutionnalisation progressive du FISAN. Cette étude, sous la responsabilité du HC3N, a été confiée à l’IRAM (cf. termes de référence en annexe).