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Le moringa Oleifera
Cette fiche présente le Moringa un arbre tropical appelé aussi Mouroungeré, Ben aildé, moringa ailé, benzolive, pois quenique, neverdié Famille MORIN GACEAE
la fiche traite des caractéristiques, de l’intérêt alimentaire et de quelques vertus. -
Mise en défens d’un champ avec une haie vive antiérosive
Cette fiche technique montre comment opérer la mise en défens d’un champ avec une haie vive antiérosive -
Technique de mise en place et de gestion d’une pépinière agroforestière
avec l’APAFCette note donne des conseils sur les modalités de réalisation de pépinières agroforestières -
Rapport de formation sur "l'apport de l'agroforesterie dans l'agroécologie : cas des arbres fertilitaires"
Présentation illustrée d'une séance de formation dédiée à l'utilisation des arbres fertilitaires en agroécologie -
L'aménagement d'un périmètre bocager au Sahel - Manuel technique
Un périmètre bocager (wégoubri en mooré) consiste en un regroupement de parcelles agricoles au sein d’un même site protégé de l’érosion et du bétail. Chaque paysan reçoit un lot de parcelles dont il devient propriétaire, l’ensemble des zones communes étant géré par un système de copropriété, au sein d’un groupement foncier formé par le rassemblement des différents propriétaires.
Un périmètre bocager consiste d’abord en la désignation d’une zone particulière destinée à la production agricole. Cette zone pourra alors être facilement défendue et valorisée, au travers de plusieurs aménagements, tels que haies protectrices, diguettes antiérosives, mares pour la récupération des eaux, etc... Au sein de ces périmètres protégés, chacun des paysans bénéficiaires possède plusieurs parcelles sur lesquelles il lui est possible de mettre en place une rotation culturale permettant de participer à un maintien durable de la fertilité du sol.
En regroupant les zones de culture sur une zone concentrée et pérenne, il devient cohérent et financièrement soutenable de protéger ce site contre les différentes menaces pesant sur l’agriculture. Cette sécurité dans la production est un préalable à une politique d’intensification durable de l’agriculture paysanne, visant à l’enrichissement des sols plutôt qu’à leur appauvrissement. -
Rapport de la formation sur « l’apport de l’agroforesterie dans l’agroécologie : cas des arbres fertilitaires
Du 16 au 19 juin 2015, le Conseil National de l’Agriculture Biologique du Burkina Faso (CNABio) a organisé un atelier de formation à l’intention de ses membres à Koudougou, capitale de la région du Centre - ouest. Le thème principal de cette formation portait sur « l’apport de l’agroforesterie dans l’agro-écologie », mais l’atelier a aussi été l’occasion de renforcer les connaissances des participants sur les techniques de réalisation du Zaï, des demi-lunes et du cordon pierreux.
Cette formation s’insère parmi les multiples actions que le CNABio conduit depuis sa création pour développer et accroitre les performances de l’agriculture biologie au Burkina. Elle visait à renforcement les capacités des membres sur l’agroforesterie et plus particulièrement l’utilisation et la gestion des arbres fetilitaires dans des champs agro-forestiers. -
Plan d’actions participatif pour une gestion inclusive des parcs à karité dans les communes de Bougnounou et Nébiélianayou
En Afrique subsaharienne, les ressources naturelles (RN) contribuent énormément à l’économie, notamment domestique. Elles « constituent un élément central des moyens de subsistance des populations rurales ». Pendant longtemps, l’utilisation des RN par les populations rurales au Burkina Faso a été influencée par des modes de gestion traditionnels, soumis aux normes et coutumes locales. A côté de cette forme motivée essentiellement par la satisfaction des besoins de sécurité alimentaire et nutritionnelle, on note une autre forme de gestion par l’État, à travers ses services techniques qui ont pour mandat de réguler l’exploitation des RN et d’en assurer leur durabilité notamment lorsqu’il s’agit des besoins d’utilisation commerciale. -
Eucalyptus : essence singulière
Le présent document est notre modeste contribution à faire la lumière sur l'influence de l'Eucalyptus dans son environnement. Nous faisons un résumé, avec des chiffres à l'appui, des potentialités et des faiblesses de Eucalyptus camaldulensis comme espèce de reboisement et de restauration de la fertilité dessols en comparaison avec d'autres essences locales et exotiques. -
Borassus aethiopum
Le fruit du rônier mûrit au Niger en juillet. Sur le plan de la santé, il regorge de vitamine A bonne pour la vision, la peau et le système immunitaire, de vitamine C qui donne l'énergie et aussi de calcium qui nourrit les os.
Au Sud-Ouest du Burkina Faso et en Côte d’Ivoire les fruits sont délaissés au profit de l’extraction de la sève du Rônier pour en faire du vin de Palme extrêmement prisé. Mais aujourd’hui trop exploitées, les rôneraies de ces régions tendent à disparaître. -
Diospyros mespiliformis
Le fruit, mûr en mars-avril, est comestible et mangé frais ou séché. Avec la pulpe du fruit Sahara Sahel Foods fait du jus, du sirop et de la confiture. Il est également utilisé dans la fabrication d'une eau de vie qui peut être stockée et consommée en temps de pénurie alimentaire.