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Cadre stratégique 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens »
L'I3N vise comme objectif de mettre les populations Nigériennes à l’abri de la famine et de leur garantir les conditions d’une pleine participation à la production nationale et à l’amélioration de leurs revenus. -
Troisième communication nationale a la conférence des parties de la convention cadre des nations unies sur les changements climatiques
Ce rapport porte sur la troisieme communication nationale a la conference des parties de la conventioncadre des nations unies sur les changements climatiques -
Politique agricole
L’agriculture est le secteur primordial de l’économie du Niger par sa contribution à la formation du PIB (42 % en 2015) et aux recettes d’exportation (44 %). En outre, il est le premier pourvoyeur d’emplois. Les activités dans le secteur agricole (cultures vivrières et de rente, élevage, exploitation des ressources forestières, fauniques et halieutiques) sont pratiquées par la très grande majorité des ruraux qui représentent 83,8% de la population totale. . -
Les villes d’Afrique de l’Ouest et du Centre sont-elles si dépendantes des importations alimentaires ?
Les flambées des prix alimentaires depuis 2007 ont relancé les discussions sur la dépendance alimentaire des pays les plus vulnérables, et en particulier de leurs villes. Peu d’études récentes confirment la stimulation de la production alimentaire par l’urbanisation que nombre d’auteurs avaient annoncé durant les années 1990. Cette étude vise donc à identifier les principales structures de la consommation alimentaire urbaine sur la base de 36 enquêtes nationales de consommation réalisées auprès des ménages dans 15 pays d’Afrique de l’Ouest et centrale. Les résultats de ces enquêtes montrent que le riz et le blé importés dominent largement la ration amylacée des citadins. Les produits amylacés locaux (maïs, manioc, sorgho et, dans une moindre mesure, igname et plantain) ne sont cependant pas marginalisés partout. Ils gardent une place importante dans la consommation alimentaire de certaines villes de la région. Cela dit, les produits amylacés ne représentent qu’environ le tiers de la valeur des dépenses alimentaires des urbains. Un second tiers environ est constitué des produits animaux et le dernier tiers des produits de sauce (légumes, légumineuses, huiles, sucres et condiments), des fruits et des boissons. Au sein de ces deux derniers tiers de la consommation, les produits locaux dominent largement. Sans sous-estimer la dépendance alimentaire des villes, un tel constat révèle la capacité des marchés urbains à entraîner le développement des filières alimentaires locales. De plus, les enjeux nutritionnels ont changé. Les apports caloriques sont de moins en moins des facteurs limitants, laissant place à un double fardeau nutritionnel : une surconsommation calorique combinée à des carences en micronutriments. Ce constat milite pour que les questions alimentaires ne portent pas seulement sur les céréales mais qu’elles englobent l’ensemble des produits alimentaires et notamment ceux qui contribuent à la diversification de la ration. -
Document cadre pour l' amélioration de la résilience de l'élevage face à la variabilité et au changement climatique
au Niger.La variabilité et les changements climatiques (CC) constituent une menace importante pour le développement économique et risquent de compromettre les chances de relever les défis de réduction de la pauvreté. Or, l’intégration des CC au processus de planification du développement représente encore un défi pour les pays de l’Afrique au Sud du Sahara. -
Plan d’action 2016-2020 de l’initiative 3n
Le Cadre stratégique de l’Initiative 3N « les Nigériens Nourrissent les Nigériens » pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle et le Développement Agricole Durables (SAN/DAD), a été adoptée par décret 2012-139/PRN du 18 Avril 2012. Son objectif global à l’horizon 2035 est de « mettre durablement les populations nigériennes à l’abri de la faim et de la malnutrition et leur garantir les conditions d’une pleine participation à la production nationale et à l’amélioration de leurs revenus ». De façon spécifique, il s’agit de « renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d’approvisionnement et de résilience face aux crises alimentaires et aux catastrophes ». -
Quel bilan pour la politique agricole ouest-africaine, dix ans après son adoption ?
En janvier 2005, les chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) adoptaient une politique agricole régionale : l’Ecowap. Dix ans plus tard, où en est-on de cette politique ambitieuse qui visait à la fois l’amélioration de la sécurité alimentaire, le développement économique et social et la réduction de la pauvreté et des inégalités entre les territoires de la région ? Quels programmes et quels dispositifs ont été mis en œuvre ? Ont-ils permis de se rapprocher des objectifs fixés ? Cette note de synthèse aborde ces questions. Elle a été réalisée à la suite du processus de bilan des dix premières années de l’Ecowap, conduit en 2015 par la Cedeao. La première partie de cette note rappelle l’ambition et les objectifs initiaux de l’Ecowap. La seconde vise à dresser un état des lieux de la mise en œuvre de cette politique. La troisième partie fait ressortir quelques éléments de bilan et de débats. -
Plan annuel de travail 2017 de la SDS Sahel-Niger
La mise en œuvre de la SDS SAHEL NIGER se poursuivra en 2017 dans un contexte marqué par la persistance de défis au plan de la sécurité et de développement. Il s'agit notamment de : L'insécurité due aux actions terroristes dans la région de Diffa et zones frontalières avec le Mali dans les régions de Tillabéri,Tahoua et Agadez; la prévention et lutte contre l'immigration irrégulière notamment dans la région d'Agadez; l'impact de la lutte contre le terrorisme sur le budget de l’État. -
Plan de développement: 2016-2020
Le processus de décentralisation, engagé au Niger depuis 1964, est aujourd'hui une réalité avec l'installation de tous les conseils Communaux et Régionaux. Il traduit ainsi dans les faits, la matérialisation du transfert de responsabilité de l’État central aux populations en matière de gestion des affaires locales. -
Plan de gestion des pestes et pesticides
Le Gouvernement du Niger avec l’appui de la Banque mondiale a mis en œuvre depuis octobre 2011,le Projet Filets Sociaux (PFS) dans les cinq (5) régions considérées du pays abritant plus de 94% des ménages les plus vulnérables à savoir Tillabéry, Dosso, Tahoua, Maradi et Zinder. L’objectif du projet PFS était de permettre l’accès des pauvres dans les cinq régions les plus pauvres du pays, à un système de filets sociaux permanent de transfert en espèces et de
travaux communautaires afin de les protéger de l’impact des chocs et réduire leur niveau d’insécurité alimentaire -
2em Forum des parties prenantes du secteur des engrais en Afrique de l'Ouest du 18 au 20 Mai 2016 A NAF conférence centre, Abuja, Nigéria.
Le deuxième Forum des parties prenantes de l'engrais en Afrique de l'Ouest, organisé du 18 au 20 Mai 2016 à l'auditorium du Centre de Conférence des Forces Aérienne Nigérianes (NAF Conference Centre) à Abuja, a regroupé les administrations, les utilisateurs d'engrais,les fabricants et les distributaires d'engrais de la région Ouest africain et d'autres intervenants dans le secteur des autres régions du continents du monde. -
Synthèse de la contribution du Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage à la réunion du CIO du 13 Juillet 2016
Dans le cadre du programme d'appui aux zones déficitaires et aux ménages vulnérables, 10.845 tonnes de semences de qualité des variétés améliorées pour une valeur monétaire de 9.167.987.500 FCFA ont été programmées. Au total à cette date, 3.924 tonnes ont été achetées et placés au niveau des régions dont 3.000 tonnes achetées sur fonds propres de l’État, 825 tonnes de la FAO, et 60,1 tonnes du PIPAS/SA, 39,02 tonnes du ProDAF soit 31,18% des besoins. -
Les pôles de croissance agricole : la panacée aux maux de l'agriculture africaine?
La promotion des « partenariats public-privé » comme stratégie de financement du secteur agricole en Afrique s’amplifie. Elle répond à la volonté d’une transformation de l’agriculture jugée «traditionnelle» en une agriculture à forte mobilisation de capitaux, capable d’accélérer la croissance agricole et de répondre à la demande alimentaire. Cette orientation vers les investissements privés se matérialise par différentes approches dont celle des pôles de croissance agricole ou agropoles. Bien que ces processus connaissent des avancées différentes selon les pays, ils suscitent déjà plusieurs débats autour du modèle agricole entrepreneurial à grande échelle promu et de sa capacité à répondre aux défis actuels des économies et des sociétés africaines. Quelles sont les réalités autour des agropoles? Favorisent-ils réellement le développement de filières compétitives et inclusives des exploitations familiales ? Quels sont les risques induits par ces approches pour l’agriculture familiale ? Après un rappel du processus d’émergence des pôles de croissance en Afrique, ce bulletin présente un état des lieux de leur mise en œuvre dans deux pays, le Burkina et le Cameroun, et analyse leurs premiers impacts et risques potentiels. -
Politique Nationale de Sécurité Nutritionnelle au Niger (2016-2025)
La présente politique de sécurité nutritionnelle reflète l'engagement du Niger à assurer le bien être de de tous les Nigériens. Cette politique guidera la formulation des programmes et action de nutrition, ainsi que les provisions légales requises pour respecter, protéger et accomplir le droit à la sécurité nutritionnelle pour tous. -
Nourrir l'Afrique : stratégie pour la transformation de l'agriculture africaine 2016-2025
La présente Stratégie vise à intensifier les efforts antérieurs, et non à faire double emploi avec ceux-ci, à travers la mise à l’échelle des interventions en cours et couronnées de succès sur le continent, tout en développant davantage les capacités requises des acteurs, tant publics que privés, intervenant dans l’ensemble du système, de façon à pérenniser les impacts positifs de ces interventions. Le Groupe de la Banque africaine de développement est bien placé pour jouer un rôle particulièrement important dans une telle transformation, à travers la présente Stratégie, en agissant comme catalyseur de tels efforts, notamment à travers l’utilisation, entre autres atouts, aussi bien de son levier financier pour mobiliser les investissements nécessaires que de son pouvoir de mobilisation pour amener les différents partenaires autour d’une même table et renforcer l’obligation de rendre compte. -
Formation sur les techniques d'embouche bovine / ovine
L’embouche est une activité qui consiste à fournir aux animaux une alimentation suffisante et de bonne qualité afin de mieux les préparer à l’abattage. L’embouche, quel que soit sa forme, permet de mettre, sur une période relativement courte, une quantité appréciable de viande sur des carcasses maigres et d’améliorer de façon sensible la qualité de cette viande.