La présente note brosse l’histoire des techniques de forage à la main et de pompage d’eau introduites au Niger au cours des trente dernières années et que les entreprises locales, les agriculteurs et les ménages ont désormais bien en main. Elle formule également des recommandations pour l’avenir.
La présente note d'informations, élaborée dans le cadre des préparatifs de la revue à mi parcours du projet, vise à faire l'état des lieux de ces investissements à travers l'examen des différents acquis enregistrés au cours des deux années d'exercice du projet.
L'oignon, le niébé et le poivron constituent trois principales cultures de rente au Niger. Cependant, la conservation de ces trois produits est difficile; le niébé doit être conservé dans un milieu anaérobie, l'oignon se conserve dans un milieu moyennement aéré tandis que le poivron frais se conserve dans des chambres froides appropriées. Compte tenu de l'importance de la production, il important de trouver une solution permettant aux producteurs de tirer le maximum de profit. La construction des infrastructures de stockage et de conservation répond parfaitement à cette préoccupation.
La campagne agricole d'hivernage 2005 a démarré à partir de la 3è décade du mois d'avril avec les premières pluies utiles qui ont permis d'effectuer les semis partiels de mil au niveau de certaines localités des régions de Dosso, Tahoua et de Tillabéri. Sur le plan pluviométrique, le cumul pluviométrique au 30 Septembre est supérieur à 300 mm au niveau de la majeure partie de la zone agricole du pays à l'exception d'une poche située dans le centre Ouest de Zinder; comparé à la moyenne 1971-2000, la majeure partie des postes de la zone agricole sont excédentaires; toutefois d'importants déficits ont été enregistrés dans le nord Ouallam, l'Ouest Keita et l'Ouest Tanout.
Le Comité Interministériel, après plusieurs séances de travail, a procédé à une analyse critique sur le mode de gestion des pâturages et des points d'eau en zone pastorale et au delà, proposer les mécanismes devant régir la cohabitation entre les arabes Mohamides et les populations autochtones de la région de Diffa.
Les formations arbustives des plateaux de l’ouest nigérien sont, depuis de nombreuses années, la principale source d’approvisionnement en bois-énergie des populations rurales et urbaines. Niamey consomme près de150 000 t de bois par an (PROJET ÉNERGIE II, 1996). Le principal facteur de dégradation des peuplements ligneux n’est pas seulement dû à ce prélèvement mais aussi à l’extension des défrichements agricoles destinés couvrir les besoins alimentaires d’une population sans cesse croissante.