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PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Module de formation à l'approche "bassin versant"
Le concept « aménagement de bassins versants » regroupe l’ensemble des actions conduites et mesures prises en amont d’un bassin de production (généralement une vallée ou un bas fond) pour le protéger d’une dégradation liée à l’érosion hydrique et éolienne. . Le présent module est une capitalisation des expériences pour l’aménagement des bassins versants en vue de protéger et de valoriser durable les bassins de production des cultures irriguées... -
Adaptation au changement climatique : module de formation
Ce module aborde la notion du changement climatique, la définition de quelques concepts, les effets du changement climatique sur les secteurs clés et quelques stratégies d’adaptation. -
Lutte contre l'érosion éolienne
Ce module 3 traite de la lutte contre l' érosion éolienne; il aborde l a définition, l'origine, les signes et les effets néfastes de l'érosion éolienne. L’objectif de ce module est de renforcer les capacités des formateurs-encadreurs à comprendre les phénomènes de l’érosion éolienne, les mesures de luttes et l’organisation d’un chantier de récupération des terres. -
Production et vente de la nigelle à Atkaki au Niger
Cette fiche explique l'itinéraire technique sur la culture de la Nigelle. Elle explique les travaux du sol , la qualité des gousses et la facilité à la récolte. le choix des semences, la meilleure période de semis, le type et le dosage d'engrais par hectare, le respecter la fréquence des arrosages. -
Production de l'ail en irrigué
Cette fiche présente l'itinéraire technique de la production de l' ail ; elles explique les dispositions à prendre pour réussir la production de l’ail en culture irriguée
selon Mr Assoumana Moussaproducteur du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. -
Production du gombo en irrigué
Cette fiche d'innovation présente les différentes techniques de production du gombo en irrigué au niveau du village de Chacott, Région de Tahoua. Originaire de l’Ethiopie le gombo est une plante de saison sèche, très exigeante en chaleur, lumière et humidité. Produit en irrigué pour La commercialisation cette culture est une innovation endogène initiée en 2009 par des femmes du village de Guidoma, Région de Tahoua au Niger. -
Production de la tomate dans les zaї en hivernage
La culture de la tomate dans les Zaï en hivernage est une innovation endogène initiée en 2016 par Mr Tahirou Sabo, natif de village de Magou, département de Torodi.
La période propice est la saison sèche fraiche ; l'itinéraire technique décrit pas à pas les différentes étapes de cette technique. -
Étude des effets et des impacts de la formation des brigadiers phytosanitaires dans la zone d'intervention de PromAP
La formation des brigadiers phytosanitaires constitue, une activité de haute importance pour la gestion des attaques récurrentes des ennemis des cultures sur les sites maraîchers. Des brigadiers ont été formés par le PromAP pour renforcer et améliorer le dispositif existant sur le terrain.
Cette étude a permis de disposer de données quantitatives et qualitatives tout en appréciant les effets et changements déjà produits. Ce qui a amené le PromAP à envisager la formation et l’équipement des brigadiers phytosanitaires dans sa zone d’intervention. -
Étude d’évaluation des capacités des institutions de formation à assurer le renforcement des compétences des agents prestataires de services
La présente étude menée par une équipe composée d’un consultant international et d’un consultant national vise à déterminer les capacités réelles des institutions de formations à assurer cette activité de formation continue.
le résultat a permis d’évaluer les capacités des institutions de formation agricole dans les trois régions d’intervention du PromAP (Agadez, Tahoua et Tillabéry) et de la communauté urbaine de Niamey, à animer des sessions de formation des agents PDS et autres acteurs dans la petite irrigation sur la base des curricula et modules standardisés. -
Rapport de formation des producteurs de riz hors aménagement sur le système de riziculture intensive (sri)
Dans le cadre de la mise à l’échelle de l’approche SRI (Système de Riziculture Intensive) par le PPAAO au Niger, une formation pratique des producteurs de riz hors-aménagement s’est tenue du 13 au 14 Aout 2018 sur le périmètre rizicole de Sébéri. L’objectif principal était de former des champions SRI capables à leur tour de disséminer l’information à d’autres producteurs de riz de leur zone. De façon spécifique, il s’agissait d’augmenter le nombre de producteurs spécialisés en SRI qui peuvent être utilisés comme des facilitateurs dans les champs écoles paysans en vue d’une vulgarisation à grande de cette nouvelle approche écologique de produire du riz. -
Contribution de la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-niya) au renforcement des capacités des producteurs maraîchers de l’arrondissement communal Niamey 5
Ce travail est consacré à la problématique de renforcement des capacités des producteurs maraîchers dans un contexte d’usage concurrentiel du foncier entre activité maraîchère et habitation. Dans cette situation où la dynamique foncière se développe en défaveur du maraichage urbain, la FCMN-Niya mène des actions en collaboration avec ses partenaires techniques et financiers (appui-conseil de proximité, accès aux intrants) pour la sauvegarde et le développement du maraichage. Pour montrer l’usage concurrentiel du foncier qui caractérise le maraichage urbain ainsi que le rôle de la FCMN-Niya dans le développement des activités maraîchères. -
L’insémination artificielle et la gestion de troupeaux de sélection
Ce petit manuel de formation à l’insémination artificielle (I.A.) a été préparé dans le but de donner les connaissances essentielles pour les personnes débutant dans ce domaine. On donnera d’abord des rappels d’anatomie et de physiologie de l’appareil reproducteur, ensuite on décrira comment collecter et conserver la semence et enfin comment inséminer artificiellement les femelles. Par ailleurs, on voudrait également atteindre un autre objectif : la sensibilisation des personnes travaillant dans ce domaine et dans celui de l’élevage au sujet des avantages de l’I.A., en vue de favoriser l’amélioration du cheptel animal en milieu tropical et subtropical. L’amélioration du rendement et de l’efficience reproductrice sont certainement les deux objectifs principaux de l’insémination artificielle. -
Note visite des sites maraichers de Tiss et Midick
La CRA a initié le lundi 22 janvier 2017 une sortie sur les sites maraichers de Tiss et de Midick en périphérie de Zinder. La Direction Régionale de l’Agriculture et la Fédération de Coopératives Maraichères du Niger (FCMN-Niya) ont été associées à cette visite dont l’objet est d’observer les pratiques de production maraîchère et d’échanger avec les producteurs sur les techniques de production, l’approvisionnement en intrants, l’accès à l’eau, les problèmes phytosanitaires rencontrés et le crédit agricole. -
Fiche technico-économique pour la culture de la courge Bagobira
La courge, Kabewa en Houassa, est une culture que l’on retrouve sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder, particulièrement dans les départements de Mirriah (sites de Falki et Mirriah), DamagaramTakaya (site de Guidimouni), Kantché (sites de Doungou et Massassaka Haousa), Magaria (site de Bandé), Doungass (sites de Wacha, Kakibaré et Gayi), Gouré (site de Gassafa) et à Zinder (site de Tiss). Les parcelles exploitées varient de 250 m2 à 2 500 m2. En moyenne, pour 2 500 m2, un cycle de production de la courge dure 90 jours et donne un rendement de 24 Kwarya (12 tonnes) avec des récoltes pouvant s’échelonner sur 6 mois. Elle permet de dégager une marge brute de 1.668.500 F.CFA pour 131.500 F.CFA de charges. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche froide
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. Dans la région de Dosso, la principale zone de production est le Dallol Maouri, Département de Tibiri, avec des surfaces cultivées variant de 0,05 ha à 1 ha par producteur. Elle est souvent cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 9,24 tonnes (42 korya) de pastèque permet de dégager des revenus de 840.000 F.CFA pour 230.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 610.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour l’oignon rouge
L’oignon rouge de Sokoto ou encore appelé Dan Yaouri en haoussa est une des principales cultures irriguées de la commune de Gaya. Cet oignon a un cycle de 90 à 115 jours du repiquage à la récolte. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 0,1 ha et 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 7 tonnes permet de dégager des revenus de 788.000 F.CFA pour 158.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 630.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon blanc
L’oignon blanc appelé « albassa koiraye » en Djerma ou « faral albassa » en Haoussa est cultivé principalement dans la Commune rurale de Soucoucoutane, département de Doutchi. Cela reste une variété peu connue, avec une production limitée, mais qui pourrait trouver une meilleure place sur les marchés dans les années à venir (diversification). Le cycle de la culture varie entre 90 à 120 jours quand les bulbes produits sont destinés à la vente directe sur le marché, et entre 120 et 150 jours quand il s’agit des bulbes de conservation. En moyenne, pour 1000 m², on obtient une production d’environ 3.640 kg qui permet de dégager un produit de 448.000 F.CFA pour 130.000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 318.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la laitue
La laitue ou « salati » en haoussa est l’une des principales cultures irriguées du département de Doutchi (région de Dosso). Les bassins de production sont Matankari, Kiéché et Doutchi. Au cours de l’année, un producteur peut effectuer 5 à 6 cycles de production. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 500 à 1 500 m2. En moyenne pour une surface de 1000 m² on obtient une production de 1 650 kg (64 planches de 10 m²) qui permet de dégager par cycle de production 272 000 F.CFA pour 23 410 F de charges opérationnelles et une marge brute de 248 590 F. -
Fiche technico-économique pour la culture de la carotte
La carotte est une production très cultivée sur le site de Soumarana situé à 5 km de Maradi. La production se fait en une campagne en saison sèche froide. La variété la plus cultivée est la carotte « Touchon » en provenance du Nigeria. Elle est vendue sur le site et acheminée par les acheteurs sur les marchés de Maradi pour sa commercialisation. Le cycle de la carotte varie de 90 à 120 jours avec un rendement de 19 à 49 tonnes à l’hectare, soit près de 290 planches de 3 m2. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 3,5 tonnes permet de dégager des revenus de 159.500 F.CFA pour 89.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 70.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds autour des puits et forages. Les principales zones de production sont : Mafalia (Maradi), Garin Daouré (Tibiri), Gourjia et Laouni (Gazaoua). Le chou est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou dure 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 1.680 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un revenu de 118.600 F.CFA pour 39.100 F.CFA de charges et donc une marge brute de 79.500 F.CFA. -
Comment l'utilisation des technologies de l'information transforment-elles les dispositifs de conseil ?
Une enquête auprès des 17 16 services au Burkina -FasoLe Groupement Inter-réseaux Développement Rural – IRAM – CERFRANCE – CIRAD a été mobilisé par l’Agence Française de Développement (AFD) pour engager une réflexion sur le conseil agricole. Ce processus s’inscrit dans le cadre de la formulation d’une stratégie qui guidera l’AFD dans le dialogue avec les pays partenaires et dans les réflexions internationales sur le conseil agricole. C’est dans ce contexte que le CIRAD a été mandaté pour la réalisation de la présente fiche de capitalisation. -
Guide pour la conduite des tracteurs
Ce présent document est composé d’une présentation des organes et des rôles du tracteur, mais aussi des conseils élémentaires sur la conduite. Il présente également les principales opérations d’entretien de base et les quelques bons réflexes à adopter.
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Le maraîcher de Boulmiougou
Histoire d'un maraîcher producteur de fraises à Boulmiougou -
Pierre Besse : le maraîchage sous mulch
La maîtrise des adventices, une préoccupation majeure pour les maraîchers. Pierre Besse nous explique la combinaison de techniques qu’il utilise et nous fait découvrir l’intérêt du maraîchage sous mulch, sa mise en œuvre pratique ainsi que les points clés de réussite.
Pour tout savoir sur le projet et retrouver les témoignages de ces agriculteurs, et d'autres, sur leurs pratiques, rendez-vous sur osez-agroecologie.org -
Sahel Agro Formation Mali/Niger
De paysan à paysan : la formation endogène, des racines jusqu'aux feuillesTémoignages sur les innovations agricoles -
Étude de faisabilité pour l'investissement dans le système d'accès à l'information au Niger
Aujourd’hui, il est clairement établi que l’information, tout comme les services financiers,
sont des intrants agricoles au même titre que les produits phytosanitaires ou les engrais, et
l’exploitation par les petits producteurs d’informations techniques, climatiques, ou
commerciales peut avoir un impact considérable sur leurs récoltes, leur niveau de vie et leur
sécurité alimentair -
Comment bien manipuler les tomates
Cette vidéo montre comment réduire les pertes post-récoltes liées à une mauvaise manipulation des tomates
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Réaliser une pépinière d'oignon
Cette vidéo montre comment réaliser une pépinière pour la culture de l'oignon
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Trier et stocker les courges
Cette vidéo montre comment trier et stocker dans de bonnes conditions les courges
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Guide d'élevage sur l'embouche ovine pour la Tabaski - module 1 - généralités
Ce premier module est destiné à répondre aux préoccupations d’ordre général sur l’opération d’embouche ovine à savoir les différents types d’embouche ovine, ses intérêts pour l’entrepreneur et le consommateur, etc. -
Module de formation : irrigation au goutte à goutte
Ce module porte sur l'installation et la maintenance d'un systèmes d'irrigation en goutte à goutte. L'irrigation au goutte-à-goutte est, par définition une agro technologie globale, modifiant les techniques agronomiques et élargissant les horizons de l'agriculture moderne. Le goutte-à-goutte a amélioré l'efficacité de l'utilisation de l'eau en irrigation et amorcé l'introduction et le développement de la fertigation, et la distribution intégrée d'eau et d'engrais. -
Guide du Formateur sur « Les techniques de CES-DRS dans la petite irrigation »
Le présent guide s’inscrit dans le cadre des activités du programme de promotion de l’agriculture productive (PromAP) finance par la coopération allemande. Le PromAP à travers la composante 2, a prévu : « le renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation pour améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et prives dans le domaine de la petite irrigation. La composante 2 du PromAP appuie le développement des curricula conformément a la spin, a travers son plan stratégique de renforcement des compétences des acteurs de la petite irrigation pour une validation par le comite technique pluri institutionnel -
Rapport trimestriel n°5
Ce rapport porte sur toutes les activités technique et financière de mise en œuvre de PISA , de gestion administrative , de passation des marchés de suivi-évaluation et reportage -
Rapport trimestriel n°6
Le rapport trimestriel n°6 porte sur l'état d'avancement du programme sur la période d'août 2018. Il traite sur le contexte des interventions de l'état d'exécution des activités des résultats obtenus , des difficultés rencontrées et des mesures prises pour les surmonter ; des modifications apportées à la mise en œuvre du programme ; de la gestion financière sur la base des appels de fonds en rendant compte d' utilisations qui a été faite des fonds reçus -
Compte rendu de la formation des producteurs de la culture fourragère bourgou à Wacha et Dan Barto sur la coupe et le stockage
Cultures fourragères, des avancées par petites étapes, rappel de l’épisode précédent : En mai 2018, la Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont réalisé une émission sur les productions fourragères et notamment la possibilité d’essayer la culture du bourgou dans les sites inondables. Si des producteurs étaient intéressés, il était proposé qu’ils contactent la CRA. Ce sont 5 producteurs, 3 producteurs de la commune de Wacha et 2 producteurs de la commune de Dan Barto qui se sont portés volontaires pour l’expérimentation de cette culture.
Ils ont reçu une formation pour la préparation du terrain et l’implantation de la culture. Le repiquage a eu lieu début juin. La culture a pu s’implanter juste avant les inondations de leurs parcelles en juillet. Les parcelles font entre 300 et 600 m2 selon les producteurs.
Une nouvelle étape : En octobre, les producteurs viennent de suivre une seconde formation pour la coupe et le séchage du bourgou. Là où l’eau s’est retirée les producteurs ont commencé leur première coupe. -
Note sur la visite des parcs d’élevage « Garké » de la ville de Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont effectué les 25 et 26 juillet 2018, la visite de 5 Garké dans la commune urbaine de Zinder (carte ci-dessous) afin de comprendre leur mode de fonctionnement et d’évaluer leur disponible en lait cru en vue d’une mise en relation avec la laiterie Darido qui va démarrer ses activités. Les Garké, ou parcs, sont des espaces mis à la disposition des associations d’éleveurs des quartiers de Zinder par la mairie pour y abriter les bovins des riverains notamment les vaches laitières. Les animaux sont surveillés, conduits aux pâturages et traits par quelques éleveurs couramment appelés « Makiyayi ». Les Makiyayi sont rémunérés selon des modalités bien définies avec les propriétaires d’animaux du parc. La mairie, quant à elle, ne perçoit aucune taxe au niveau des Garké. -
Diagnostic des pépiniéristes maraîchers dans la Communauté Urbaine de Niamey
Depuis plusieurs années, le suivi des producteurs maraîchers de Niamey, mais aussi des communes limitrophes de la région de Tillabéry indique que des producteurs achètent de plus en plus des plants maraîchers des différentes cultures « prêts à être repiqués » plutôt que de les produire eux-mêmes en pépinières. Cela semble une évolution « normale », rencontrée dans d’autres pays, qui correspond à une spécialisation de certains producteurs dans la production des plants. Cette pratique doit permettre aux producteurs d’acheter des plants de qualité, élevés dans des conditions optimales.
La Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey en partenariat avec la Fédération des coopératives maraichères du Niger (FCMN Niya), a lancé une première enquête pour mieux cerner cette pratique qui se développe rapidement. -
Fiches Maladies Animales Prioritaires – Mallette Pédagogique Santé Animale PRAPS
Les Fiches Maladies Animales Prioritaires de reconnaissance de 27 maladies et syndromes contenues dans le M.U.P.S.A sont également proposées en édition indépendante. Chacune d’entre elles propose un résumé clair, pratique et illustré pour optimiser la reconnaissance des signes cliniques des maladies animales prioritaires du Sahel et les conduites à tenir face à celles-ci par le personnel de santé animale.
Ces fiches ont été conçues et développées par plusieurs vétérinaires et scientifiques du Cirad - UMR ASTRE et des praticiens de terrain, dans le cadre du Projet PRAPS, projet mis en œuvre par l’OIE dans 6 pays Sahéliens. -
Note de capitalisation l’approche champs école pastoral : quelles opportunités pour les pays du PRAPS ?
Dans le cadre de ses missions de capitalisation et diffusion des bonnes pratiques et des innovations pertinentes pour améliorer la durabilité, la résilience et la productivité des systèmes pastoraux sahéliens, l’URC/PRAPS a entrepris de capitaliser les expériences de champs écoles pastoraux ou agro-pastoraux (CEAP) dans les pays du Sahel et en Afrique de l’Est. L’objectif de la capitalisation était de faire une analyse critique des premières expériences de champs écoles pastoraux ou agro-pastoraux (CEAP) dans les pays du Sahel, mais aussi de tirer des enseignements des CEAP en Afrique de l’Est y compris dans la Corne de l’Afrique, afin de juger de la pertinence de l’approche avant que le PRAPS en fasse la promotion auprès des pasteurs et agro-pasteurs dans sa zone d’intervention.
Les champs écoles agro-pastoraux sont une adaptation de l’approche Champs Ecole Producteurs (CEP) développée par la FAO dans les années 80. Les CEAP sont une approche novatrice de vulgarisation auprès des pasteurs et agro-pasteurs qui, se basent sur la pratique et un apprentissage axé sur les problèmes diagnostiqués au sein des systèmes de production agricoles de la localité. L’approche CEAP est relativement récente au Sahel et en Afrique de l’Ouest. Elle a été introduite à partir des années 2010. -
Étude diagnostique du dispositif de formation agricole et rural du Niger
La présente étude s’inscrit dans l’appui du réseau international FAR et de l’AFD à la rénovation du dispositif de formation agricole et rurale du Niger, dans le cadre du programme ADEX -FAR 2. L’étude a permis de réaliser un état des lieux du dispositif de formation agricole, public et privé du Niger et de proposer un plan d’action visant à améliorer le dispositif FAR du Niger. -
Fiche technico-économique pour la culture de la patate douce en saison sèche-froide
La patate douce (Ipomoea batatas), « dankali » en Haoussa ou encore « koudakou » en Zarma est une plante tropicale, cultivée pour ses tubercules qui ont une chaire sucrée ou encore pour ses feuilles servant de légume feuille dans la sauce et de fourrage pour l’alimentation des animaux. Elle peut être cultivée toute l’année. Toutefois, pour une bonne tubérisation, la période recommandée est la saison sèche. Dans la Région de Dosso, la patate douce est principalement cultivée dans les dallols Maouri (Département de Gaya) et Bosso (Harikanassou, Falmèye et Ngonga).Pour 2.500m2, une production de 7.200 kg permet de dégager un produit de 450.000 F.CFA pour 172.600 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 277.400 F.CFA. -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Prévention des risques des pesticides : Module 2
Le terme pesticide comprend le suffixe -cide qui vient du latin cida signifiant tuer et de l’anglais pest signifiant nuisible (NB : en latin, pestis signifie maladie contagieuse). Les pesticides sont donc par définition des produits toxiques pour certains organismes vivants. Ils détruisent des organismes considérés comme nuisibles que ce soit dans les champs, les jardins, les élevages, les lieux de stockage des récoltes et les maisons. Selon les organismes tués, on distingue les insecticides, les fongicides, les herbicides, les molluscicides, nématicides, bactéricides, rodenticides, virucides, etc… Certains pesticides utilisés contre les insectes des cultures sont aussi utilisés chez les animaux domestiques et les humains (C’est, par exemple, le cas de plusieurs insecticides utilisés pour tuer les poux). -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Promotion d'alternatives au pesticides : Module 3
L’objectif de ce module est de permettre de développer la lutte biologique et une meilleure connaissance des ravageurs et auxiliaires afin de mettre en place une stratégie de protection des cultures sans pesticides. Concernant les principes globaux, la pyramide ci-dessous présente les différents outils et méthodes pouvant être mis en œuvre par les paysans afin de leur permettre d’éviter au maximum l’utilisation de pesticides. Pour obtenir des cultures les plus saines possibles, les principes de base de l’agroécologie se situent en socle avec une diversité de pratiques, de systèmes de culture et de paysages. Ensuite interviennent les observations, étape déterminante pour établir le bon diagnostic et choisir la stratégie. -
Pratiques d’éleveurs et résultats économiques d’élevage dans les exploitations urbaines et périurbaines de Niamey
Cette étude a été conduite afin de caractériser les pratiques d’élevages dans la communauté urbaine de Niamey. Il a été réalisé une enquête transversale à l’issue de laquelle 344 éleveurs ont été enquêtés dans 27 quartiers et 9 villages agricoles. Les résultats ont montré que la pratique d’élevage repose le plus souvent sur la passion (50,19%) et l’héritage (45,65%) respectivement en milieu urbain et périurbain. L’élevage ovin prédomine et l’allotement est quasi inexistant. Les animaux sont majoritairement élevés soit dans des habitats couverts en matériaux provisoires, soit sans habitat. La main d’œuvre utilisée est principalement familiale (86,51%) en milieu urbain et (58,06%) en périurbain. -
Determination of the Optimal Dose of Tomato Irrigation in the Maraicher Site of Falki / Zinder (Republiqued of Niger)
The objective of this study is to determine the optimal irrigation dose of tomato through a test by varying the doses by the restrictive method of irrigation, 100% Db, 90% Db and 80% Db respectively for D1; D2 and D3. It is conducted in microirrigation at the Falki / Mirriah / Zinder vegetable site in Niger. The estimation of the dose is based on the knowledge of the ETo, the SEM knowing the crop coefficients and the useful reserve knowing the soil data. These calculations are done by the FAO CROPWAT 8.0 software. Irrigation water intakes during the experiment were 1517.45; 1365.73 and 1213.99 mm respectively for D1; D2 and D3. During this test on the device Full Block Reassonated (BCR 3x3); observations and measurements are made on the parameters taken into account (HMP; NMF/P; PMF and the yield per unit plot and per hectare). The statistical analysis of yield showed a significant effect for the treatments and describes the influence of the variation of the irrigation doses as such: the yield given by the D2 (46.69 t/ha) is superior compared to the D1 (36.04 t/ha) and D3 (37.80 t/ha). This variation shows that the optimal dose under local climatic conditions is D2 which gives the best yield and is water efficient with the use of 90% of the calculated gross dose. -
Panorama of Onion Production in Tillabéri, A Region of the Far West of Niger
The objective of this study was to evaluate onion production systems in four municipalities along the Niger River. A cross-sectional survey was carried out among seventy-five onion producers distributed over ten perimeters. The results obtained reveal that onion is mainly grown by women (95%). 70% of the farmers own the farmed land, 20% rent and 10% borrow. The cultivation takes place between September and March. The cultivated varieties are ‘Galmi violet’ and ‘Gothèye white’, Onions are essentially transformed into Gabou, a traditional condiment. The areas exploited are generally less than half a hectare. Irrigation relies mainly on the gravity system. NPK fertilizer and urea in combination with manure are the most commonly used. For phytosanitary treatments, producers use pesticides and/or natural products based on aqueous extract. At harvest time, the price per 100 kg bag varies from 8 000 to 15 000 FCFA (12 to 23 €) and from 40 000 to 50 000 FCFA (61 to 76 €) after four months of storage. The average production cost per hectare is 1 208 564 FCFA (1844 €) and that of the net margins 551 857 FCFA (840 €). -
Analyse des contraintes foncières et culturales du
maraichage dans le département de Kantché au Niger: cas du périmètre irrigué de Tassaou
Les cultures irriguées constituent une alternative crédible lorsqu’il s’agit de libérer la production agricole des aléas pluviométriques. Outre l’irrégularité et la mauvaise répartition des précipitations, le département de Kantché souffre d’énormes problèmes liés à l’environnement, aux contextes socioéconomiques et démographiques. Ce travail propose d’analyser les contraintes foncières et culturales dans le but de promouvoir l’économie locale. L’objectif consiste à diagnostiquer la question de répartition et de mode d’accès à la terre. Il s’agit de faire un examen critique sur l’évolution des cultures et les principales contraintes. Pour atteindre cet objectif, la démarche méthodologique s’est appuyée sur des enquêtes socioéconomiques. Les principaux résultats montrent qu’il existe des disparités dans la disponibilité foncière entre les paysans. -
Stratégie d'insertion des jeunes dans les métiers liés aux filières agricoles
Le secteur agricole au Niger présente deux facettes contradictoires : le pays est marqué par des crises alimentaires récurrentes tandis que l’agriculture reste l’un des piliers de l’économie nigérienne. Ce paradoxe s’explique par la fragilité d’un grand nombre d’exploitations agricoles en lien avec les difficultés quotidiennes auxquelles elles sont confrontées : dégradation des ressources naturelles, problème d’accès au foncier, au financement, aux intrants et aux équipements, faiblesse du conseil agricole et difficulté de valorisation de productions. -
Analyse des variétés des cultures introduites en période de grande chaleur
Le maraîchage en irrigué constitue une activité qui occupe une grande partie de la population d’Agadez. Il se pratique le long des vallées, sur toute l’année avec trois (3) campagnes principales. Chaque campagne a ses spécificités en termes de caractéristiques climatiques et, la plus difficile pour les producteurs est la campagne sèche chaude qui se caractérise par :
• un problème d’eau dans les puits ne permettant pas de mettre en valeur des grandes superficies
• une grande chaleur qui ne permet pas aux producteurs de produire toutes sortes de cultures. -
Analyse des nouvelles variétés des cultures introduites par le PromAP
Dans le cadre de ses activités du conseil agricole, le programme de Promotion de l’Agriculture Productive (PromAP) a initié en 2016 et 2017, l’introduction au niveau des sites d’intervention des nouvelles variétés améliorées des cultures. Cela fait suite au constat sur la rareté ou l’absence des produits agricoles pendant certaines périodes de l’année, notamment pendant la saison sèche chaude et la saison d’hivernage. Pour le cas de la saison sèche chaude, cette situation est liée aux difficultés que les producteurs rencontrent pour assurer la production maraîchère, dont la chaleur intense ne favorisant pas le développement des cultures et la non-adaptabilité des semences locales utilisées. Par contre pour le cas de la saison d’hivernage, les producteurs se concentrent beaucoup plus sur les cultures pluviales au détriment des cultures maraîchères alors que les deux (2) peuvent se pratiquer ensemble. Le but visé à travers l’introduction des nouvelles variétés est d’une part de démontrer aux producteurs et productrices, la possibilité de produire toute sorte de culture pendant la période de chaleur et d’autre part, la possibilité de pratiquer le maraîchage en hivernage. Ainsi, au niveau des trois (3) régions, 16 nouvelles variétés et deux (2) cultures ont été introduites. -
Visite d’un professionnel de l’embouche ovine à Kilakam
L’équipe technique de la CRA a visité le mardi 16 mai 2018, un professionnel de l’embouche ovine à Kilakam dans la commune de Goudoumaria. En rappel, l’embouche est une technique d'élevage intensif des bovins ou ovins maigres afin de les engraisser en un temps relativement court (3 à 7 mois) et les vendre sur les marchés.