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Impacts des changements d'usage des sols sur les ressources en eau souterraine au Sahel nigérien
La forte croissance démographique (~3%.an-1) observée au cours des dernières décennies en Afrique subsaharienne a engendré la conversion de grandes étendues de savane arborée en cultures pluviales ou irriguées et la diminution de la durée des jachères. Afin de déterminer l'impact de tels changements d'usage du sol sur la recharge des nappes phréatiques, la zone non saturée a été investigué pendant trois ans (2009-2011) pour deux régions du Niger (sud-ouest et sud-est) aux conditions climatiques et géomorphologiques différentes. -
# Dossier photographique : mise en place de demi-lunes
Tutoriel en images sur la réalisation de demi-lunes -
La lutte contre la pourriture blanche et sèche -- Fusarium oxysporum
Cette affiche présente les symptômes de la maladie "Fusarium oxysporium"et les méthodes de luttes appropriées -
Module de formation à l'approche "bassin versant"
Le concept « aménagement de bassins versants » regroupe l’ensemble des actions conduites et mesures prises en amont d’un bassin de production (généralement une vallée ou un bas fond) pour le protéger d’une dégradation liée à l’érosion hydrique et éolienne. . Le présent module est une capitalisation des expériences pour l’aménagement des bassins versants en vue de protéger et de valoriser durable les bassins de production des cultures irriguées... -
Adaptation au changement climatique : module de formation
Ce module aborde la notion du changement climatique, la définition de quelques concepts, les effets du changement climatique sur les secteurs clés et quelques stratégies d’adaptation. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Ce manuel a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Il est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des compétences des producteurs dans le domaine de la PI. Il donne aux fmateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en oeuvre des actions de formations. LE MANUEL Structuré autour des dix module dont (6 sur les maladies , les ravageurs et les actions de lutte; et 4 autres sur :
la gestion des nématodes parasites des cultures . -
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures -
Protégeons nos enfants des pesticides -- Guide visuel d’animation
Ce guide visuel présente comment réduire l’exposition des enfants aux pesticides; comment identifierque les enfants sont exposés aux pesticides, la description des effets négatifs des pesticides sur la santé et pourquoi les enfants sont plus exposés; il aborde aussi ce qu'il faut faire pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides .
Il aide à partager l’information au sein de la communauté pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides. -
Bonnes pratiques avant le traitement : Traiter ou ne pas traiter ?
Une pluie qui survient après le traitement d'une surface peu ou pas perméable peut avoir des conséquences graves sur la contamination des eaux superficielles (entraînement des substances actives vers le réseau d'eau pluviale par exemple). C 'est essentiellement le désherbage qui représente le plus gros facteur de risque. -
Capitalisation sur l'expérience du Code rural au Niger ensemble pédagogique pour l'animation de projection-débats
Cet ensemble pédagogique est constitué d’un film
documentaire et d’une série de fiches thématiques. Il contient :
- Un film documentaire , disponible en versions française, anglaise, wolof, dioula, fulfulde et haoussa.
- Une série de 5 vidéos bonus coutes traitant du contexte national d’élaboration du Code Rural, de la loi sur le pastoralisme, du cas particuliers de l’accès aux points d’eau, des différents types de conflits fonciers rencontrés en zone pastorale, et de trois exemples de résolution des conflits fonciers.
- Neuf fiches thématiques rédigées par Clara Jamar en français et en anglais.
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Etude sur l’approfondissement du diagnostic et l’analyse des systèmes de production agro-sylvo-pastoraux dans le cadre de la mise en oeuvre de la Stratégie de Développement Rural
Ce document précise les programmes et les propositions techniques de leur mise en oeuvre.
La présente étude propose :
- La revue régionale et nationale du zonage agro-écologique ;
- L’analyse et la typologie des systèmes de production pratiqués par les ruraux ainsi que les différentes stratégies développées face aux risques qui pèsent sur la production, face à l’insécurité alimentaire et à la pauvreté ;
- Le diagnostic des filières agro-sylvo-pastorales assorti des orientations d’amélioration des
performances ; - Les orientations et perspectives de développement agro-syslvo-pastoral tenant compte des potentialités et contraintes inhérentes aux systèmes de production, à la valorisation et à la commercialisation des productions. -
Comment lutter contre le Striga et les foreurs de tige du maïs ?
Cette fiche technique offre quelques conseils pour lutter contre le striga -
L’économie de la dégradation des terres en Afrique: Les bénéfices de l’action l’emportent sur les coûts
Le rapport passe en revue les données au niveau régional relatives aux coûts économiques de l’érosion des sols relative à la dégradation des sols. Il analyse également les limites et les défis de l’utilisation de ces données et les divergences qu’entrainent les diverses méthodologies. Le rapport aborde également l’approche méthodologique utilisée pour les estimations au niveau régional et l’analyse des coûts du bénéfice de l’action entreprise contre les pertes des nutriments induites par l’érosion des sols sur les terres arables exploitées pour la production des céréales et qui est un des aspects de la dégradation des sols. -
Économie de la dégradation des terres à Tahoua, Niger : Analyse coût-bénéfice des activités de récupération des terres (banquettes, demi-lunes et cordons pierreux) des quatre sites de la commune rurale de Badaguichiri
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Évaluation économique des pratiques de gestion durable des terres à Maradi, Niger - Régénération naturelle assistée, demi-lunes agricoles et tassa/zaï
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Évaluation économique de la récupération des terres dégradées dans les communes rurales de Simiri et de Namaro au Niger
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Rentabilité de la fixation des dunes au Niger
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Comment lutter contre l'acarien rouge
l'audio traite des mesures préventives de luttes. l’identification de l'acarien. le traitement conventionnel contre l’araignée rouge. conseil et orientation -
Comment reconnaitre l'araignée rouge et ses symptômes
Les signes qui permettent de reconnaitre l'attaque de l'araignée rouge -
Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge. Document 5
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ? Haoussa Document 5
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
C’est quoi Tuta (ou à quoi ressemble cette chenille) ?
description de l'ennemi TUTA ABSOLUTA.
1. stade larvaire de la TUTA
2. stade papillon -
Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ? Haoussa Document 1
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ? Haoussa Document 2
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
D’où vient Tuta ?
La Tuta viendrait de l’Amérique puis en Europe (Espagne et France) puis en Afrique par le Sénégal. Elle est identifié pour la première au périmètre irrigué de Burburkadé dans la comme 1 de Niamey -
Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge Haoussa Document 3
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Comment Tuta est entrée au Niger ?
Les voies d'entrée de la TUTA au Niger. les voies d'entrées sont incertaines. Mais trois pistes sont évoquées:
1. Algérie
2. Maroc
3. Libye -
Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ? Haoussa Document 4
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ? Zarma Document 1
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Quand commence l’araignée rouge où la trouve–t-on au Niger ?
- 4. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ? Zarma Document 2
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Quand commence l’araignée rouge où la trouve–t-on au Niger ?
- 4. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Gommose sur tronc du pamplemoussier à Timia
La gommose est l’une des maladies répandues sur les agrumes à Timia. C’est une maladie due à un champignon Phytophthora. Elle se caractérise au niveau du collet par une pourriture de l’écorce et du cambium. Secondairement, il y a une forte exsudation de gomme sur le tronc et les branche. Ultérieurement l’écorce nécrosée se fend longitudinalement et laisse apparaitre des lésions brunes sous le bois. -
Quand commence l’araignée rouge et où la trouve–t-on au Niger ? Zarma Document 3
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Quand commence l’araignée rouge où la trouve–t-on au Niger ?
- 4. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ? Zarma Document 5
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Quand commence l’araignée rouge où la trouve–t-on au Niger ?
- 4. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Biopesticides - Pourquoi le produit ? Haoussa Document 1
Biopesticides ou pesticides naturels (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Aujourd’hui, les producteurs au Niger utilisent beaucoup trop de pesticides chimiques. Ce sont des produits dangereux pour la santé des producteurs et de leur famille mais aussi des consommateurs qui achètent les produits maraîchers. De plus, les règles d’utilisation de ces pesticides ne sont pas souvent respectées.
Pour protéger leurs cultures et diminuer l’utilisation des pesticides chimiques, les producteurs ou les productrices peuvent utiliser des pesticides naturels, faits avec des plantes, que l’on appelle biopesticides.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Pourquoi le produit ?
- 2. C’est quoi ce nouveau produit ?
- 3. Quels sont les ingrédients et matériels utilisés ?
- 4. Que faire avec le résidu ?
- 5. Comment appliquer le biopesticide ?
- 6. Quels sont les avantages ?
- 7. Est-ce que les composants du produit peuvent être utilisés séparément ?
Les fichiers des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
# Dossier photographique : Attaque de puceron (Aphis fabae), un piqueur suceur, sur l'ail à Abarakan.
Attaque du puceron (Aphis fabae), un piqueur suceur, sur l'ail à Abarakan. Le puceron noir de la fève est une espèce de petits insectes de l'ordre des hémiptères, de la famille des aphididés, qui parasite de nombreuses plantes cultivées. Ses dégâts sont souvent aggravés par la production de fumagine due au miellat sécrété par les pucerons -
Genesys (ressources phytogénétiques)
Genesys est une plate-forme en ligne sur laquelle vous pouvez trouver des informations concernant les ressources phytogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture (PGRFA) conservées dans les banques de gènes du monde entier. -
WOCAT (World Overview of Conservation Approaches & Technologies)
WOCAT is a global network on Sustainable Land Management (SLM) that promotes the documentation, sharing and use of knowledge to support adaptation, innovation and decision-making in SLM. -
Comment reconnait-on la chenille du maïs ?
Cet élément vocal est tirée d'une émission radio diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Comment reconnaît-on la chenille du maïs ?
- 2. Quels sont les dégâts provoqués par Spodoptera ?
- 3. D’où vient Spodoptera et où se trouve-t-elle au Niger ?
- 4. La chenille du maïs est aussi un danger potentiel pour nos céréales
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre la chenille du maïs ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Clinique des plantes
Le site de la clinique des plantes est le premier site gratuit de diagnostic pour les plantes.
Il permet d' identifier les maladies, les insectes, les carences de vos plantes, et obtenir des conseils simples et pratiques pour vous aider à les soigner. -
Bonnes pratiques villageoises dans les activités food for assets pour la résilience et la gestion durable des terres
La dégradation des terres réduit ou détruit la capacité des terres à produire (agriculture, foresterie, pastoralisme). Elle résulte d’activités humaines excessives ou inadaptées (surpâturage, mauvaise gestion des terres, prélèvement excessif de bois de feu et feu de brousse) entraînant ainsi l’érosion, la perte de fertilité et la salinisation des sols. La baisse de la productivité des sols en un mot.
Pour apporter une réponse au problème de la dégradation des ressources naturelles et améliorer leurs productions agro-sylvo-pastorales, les populations et les acteurs de développement estiment qu’il convient d’appliquer les techniques de récupération des terres à savoir :
• Les cordons pierreux;
• Les demi-lunes (agricoles et pastorales);
• Les banquettes (agricoles et pastorale)
• L’amendement à travers la fumure organique , les ordures ménagères; -
Bonnes pratiques agro-sylvo-pastorales d’amélioration durable de la fertilité des sols au Burkina Faso
La gestion de la fertilité des sols est un facteur moteur pour le succès de la production agricole dans les pays du Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS). Aussi de nombreux chercheurs se sont investis depuis des années dans ce domaine d’amélioration de la production agricole. Cependant le constat actuel est que les résultats de ces recherches restent encore faiblement diffusés et difficilement accessibles aux utilisateurs principaux.
Le CILSS avec l’appui de l’Union Européenne a entamé en 2008 « l’Initiative FERSOL», sur la capitalisation des actions d’amélioration durable de la fertilité des sols pour l’aide à la décision au Burkina Faso. Cette initiative s’inscrit dans une logique de développement de la production de connaissances et de renforcement des capacités des acteurs en matière de gestion des ressources naturelles et d'adaptation aux changements climatiques. Elle devrait ainsi contribuer à l’amélioration de la gestion des connaissances, de l’information et au renforcement des capacités des acteurs à travers la production et la mise à disposition des acteurs d‘outils d’information en Gestion Durable de la Fertilité des Sols (GDFS) -
La lutte contre l’alternariose sur l’oignon: Alternaria porri
L'alternariose, ou brûlure alternarienne, est le nom générique d'une série de maladies fongiques dues à diverses espèces de champignons des genres Alternaria ou Ulocladium. La tache pourpre est une maladie des climats chauds et humides. C’est une maladie commune de l’oignon qui peut être très destructive. Elle cause également de grandes pertes économiques chez les porte-graines lorsque les hampes florales sont affectées et détruites. La tache pourpre affecte principalement l’oignon et le poireau, plus rarement l’ail. Les oignons espagnols sont plus sensibles que les oignons jaunes. -
La lutte contre l’araignée rouge : Tetranychus urticae
Appelés aussi tétranyques, araignées jaunes selon les espèces et le stade, révélant d'autres couleurs (orange, verdâtre). On les appelle aussi tétranyques tisserands car ils tissent de fines toiles.
• L’arraignée rouge produit des minuscules taches punctiformes* chlorotiques plus ou moins dispersées apparaissant sur et sous le limbe des feuilles. Ce dernier jaunit progressivement et la feuille finit par roussir, voire se dessécher lors d'attaques sévères. Des nombreuses espèces de Tetranychus présentes dans le monde. On rencontre T. urticae (= T. cinnabarinus), T. neocaledonicus, T. gloveri, T. evansi. Ces espèces se ressemblent beaucoup et ne sont identifiables que par des spécialistes.
• Très polyphages, elles se développent sur plusieurs centaines d'hôtes cultivés ou non, dont la plupart des cultures maraîchères, notamment la tomate, l'aubergine, les cucurbitacées, et le haricot.
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La lutte contre le flétrissement de la tomate : Ralstonia solanacearum
Ralstonia solanacearum est une bactérie tellurique Gram - ; elle est présente surtout dans les régions tropicales, semi-tropicales et tempérées chaudes. Comme son nom l'indique, Ralstonia solanacearum conduit au flétrissement rapide des jeunes feuilles aux moments les plus chauds de la journée, souvent réversible durant la nuit dans un premier temps. Par la suite, les flétrissements se manifestent soudainement et deviennent permanents. Il faut noter l'absence totale de symptômes sur fruits. Assez rapidement, les tissus affectés se nécrosent et se dessèchent, et de nombreuses plantes finissent par mourir. -
Pratique des haies vives dans la Région de Zinder - Note n°1
Déjà handicapés par une pression foncière croissante et une dégradation continue des terres, les producteurs nigériens font face à un défi supplémentaire : adapter leurs pratiques aux changements climatiques. Pour cela, un ensemble de techniques dites « AIC » (adaptation aux changements climatiques) est préconisé dans de nombreux rapports et documents. Parmi ces techniques, une large place est donnée aux techniques agroforestières comme la régénération naturelle assistée, la mise en place de bandes enherbées, de brise-vents et de haies vives. Ces techniques ont différents buts dont celui de réduire les effets de l'érosion causée par le vent ou les fortes pluies, en introduisant des barrières physiques dans les champs. -
Pratique des haies vives dans la Région de Zinder : Note n°2
Les haies vives sont des techniques agro-forestières et d’agriculture intelligente face au climat (AIC), mises en œuvre par les producteurs pour la délimitation foncière, la protection des cultures contre le vent et les animaux ou pour la production (bois, fourrage, etc.). La CRA a rédigée cette note sur ces techniques pour permettre une meilleure connaissance des pratiques locales existantes. Les haies vives qui ont fait l’objet de cette note ont été retrouvées sur les sites maraichers des communes de Droum, Dogo et Gouna. Les espèces ligneuses principalement utilisées pour leur installation sont Euphorbia balsamifera, Jatropha curcas, Commiphora africana, Prosopis juliflora et Acacia ataxacantha. -
Le mouton Koundoum au Niger
Le mouton Koundoum représente le principal mouton à laine du Niger. Il est élevé sur les bords du fleuve Niger et dans les îles qui jalonnent le fleuve, depuis la frontière du Mali jusqu’à Kollo. C’est un mouton de petite taille (60 cm de hauteur et 30 kg de poids pour le mâle). La couleur noire est la plus fréquente. La viande est réputée de qualité car ce mouton produit une viande « maigre » c’est-à-dire sans graisse et très tendre. -
Lutter contre la mineuse de l’épi du mil sans pesticides, c’est possible !
Tous les producteurs du Niger redoutent le ravageur du mil qui est appelé en français la chenille mineuse de l’épi, en Haoussa murzouna et en Zarma guéri-guéri. Cette chenille s’attaque au mil quand les chandelles sont sorties et que les producteurs espèrent une bonne récolte. Elle
est capable de détruire une bonne partie de la récolte ou même de la totalité.
Les années où cette chenille s’attaque au mil, elle peut être présente dans tous les champs d’un terroir et il est impossible de la traiter en utilisant des pesticides. Mais il existe un autre moyen de lutter contre la mineuse de l’épi.
Nous allons partager avec vous l’expérience de l’élevage d’un de ses plus redoutables ennemis qui se nomme Habrobracon. -
Récupération de terres : Le site de Guidda pour tirer des enseignements. Note de travail
Le site présenté est sur un plateau situé dans la Commune de Hamdalaye à 45 km de Niamey sur la route de Filingué, après Hamdalaye. La plaque routière porte le nom de Guidda. Il comprend des réalisations du Programme d’Actions Communautaires (PAC) -
La chenille légionnaire du maïs Spodoptera frugiperda
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger. Encore plus grave, cette chenille a attaqué le mil en saison des pluies à Maradi (plusieurs milliers d’hectares) mais aussi à Torodi. Elle est donc un véritable danger potentiel pour les cultures céréalières et il faut la connaître pour pouvoir lutter contre elle. -
Tsutsar masara da ake cema da turanci : Spodoptera frugiperda
A shekara ta 2016, wata sabuwar tsutsa ta bayana a kasar africa,wanan tsutsar.ta.mamaye.kasashen.africa da dama kamar su nigeria,benin,togo,africa ta kudu da sauran su ; tsutsar masara.spodoptera frugiperda tayi banna sosai a cikin gonankan masara. Wannan tsutsar masara ana.ce mata spodoptera frugiperda a turance,an ganota ne a karon farko jikin masara a garin torrodi.da maradi shekara ta 2016 ;tun daga wanan lokaci sai ta bazu a dukan fadin kasa. Abun.al’ajabi wanan tsutsar bata tsaya ga masara kadai ba, a lokacin daminar bara a garin maradi da.torodi ta apkama gonankan hatsi inda tayi bana sosai ;wanan tsutsa dai babbar matsala ce ga hatsi.da dawa, ya kamata manoma su nemi saninta don su yaketa. -
Kolkoto noonizo kan si gane annasarakine ga spodoptera frugiperda
Annasara jiiri 2016 nga no noonize tagi fo bangay iri africa laabu bobo yan ra,laabey kan yan ra a go nga gati(nigeria,benin,togo afrique du sud,kala ama koy laabu gerey ra) nankanyan ana hasarawo bobo te kolkoto ga. I sintin ga diya Torodi nda Maradi gandara novembre hando 2016, sonhon nango bobo na go iri niijer laabo ra. Nankan haya ga hunburandi koyne noonizo din halada haynay nadi manan kayidiya wate, Maradi Torodi batama beeri yan ra yadin ga hasarawo bobo no aga te dumizey kan yan I ga fare bon ihima no ga fondo konno sanbu ga duga tangame nda. -
Alternariose sur oignons à Gotheye
Le périmètre irrigué du groupement féminin Wafakeye de Gotheye compte 12 ha cultivés par 113 femmes en bordure du fleuve Niger. L’oignon représente 80% des cultures. En janvier, l’oignon a subit des attaques sévères des feuilles, celles-ci se dessèchent à partir des extrémités.
L’attaque a commencé dans les pépinières et s’est étendue rapidement sur les planches d’oignons à proximité. Les productrices dont les parcelles sont atteintes sont obligées d’arracher leurs oignons même s’ils ne sont pas à maturité, sinon la récolte est détruite. C’est donc très grave. Ces attaques sont fréquentes depuis au moins 10 ans. -
Reconnaître les ravageurs au stade larvaire : araignée rouge, mouche blanche, puceron, thrips.
Lors des formations des animateurs et conseillers en maraîchage sur la protection phytosanitaire, les ravageurs sont abordés les uns après les autres. Pour chaque ravageur, il est examiné les différents stades : larves, pupes ou nymphes et adultes. Lors du suivi des animateurs, il est apparu des difficultés à identifier les ravageurs les plus petits, notamment aux stades larvaires. Or, identifier précocement les ravageurs est très important pour intervenir rapidement surtout pour les ravageurs ayant une très forte capacité de multiplication. C’est le cas de l’araignée rouge, la mouche blanche, les pucerons et les thrips. Le premier est un acarien, les trois autres sont des insectes. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur le moringa au Niger
Au cours d’entretien avec les revendeurs des produits maraîchers du « petit marché » de Niamey en début décembre, ceux-ci ont expliqué que cette année le prix du moringa n’avait pas baissé après la fête du Ramadan car le moringa était « attaqué », ce qui entraine une baisse de la production. -
ALERTE / Tuta absoluta a refait son apparition sur les tomates
En février 2013, les premières attaques de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) avaient été signalés dans des parcelles du village de Bourbourkabé situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. Par la suite, il est apparu que ce nouveau ravageur était également présent dans les régions d’Agadez, Niamey et Tillabéri. Les dégâts enregistrés par les producteurs ont été très importants dans de nombreuses localités. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur les agrumes au Niger
A 100 km au sud de Niamey, dans une ferme isolée (20 km de la route bitumée), les orangers sont malades. Cette maladie attaque différents agrumes. Les orangers, citronniers et pomelos sont considérés comme très sensibles. Les tangelos, dont la production est très importante au Niger, sont considérés comme sensibles à moins sensibles. -
Suivi de demi-lunes forestières dans la commune de Guéladio : la nécessité de changer de pratiques pour améliorer les résultats
Cette note est écrite après des visites sur plusieurs sites de récupération des terres de la commune de Guéladio, visites réalisées entre 2012 et 2016. Elle sert à présenter un cas et à poser des questions. La commune de Guéladio se situe dans la région de Tillabéri, sur la piste qui relie Say à Kobadjé. -
Note sur les travaux d’aménagement des terres du village de Makaouraci dans la commune rurale de Wacha (Zinder)
Le Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible au Climat (PASEC) vise à accroître la résilience de la communauté face aux risques climatiques et à améliorer la productivité agricole. Pour les travaux d’aménagement des terres, le PASEC cible pour ses interventions les populations vulnérables afin d’améliorer leurs revenus et leur sécurité alimentaire en périodes de soudure1. En 2018, ce projet a financé ces travaux dans le village de Makaouraci (commune de Wacha) à travers le Sous Projet Intégré Communautaire d’Agriculture Intelligente face au Climat (SPIC-AIC) élaboré par la commune et mis en oeuvre avec l’appui des services techniques de la région. -
Lutte intégrée contre les nématodes parasites des cultures maraîchères
Dans les pays du Sahel, les nématodes parasites des cultures constituent un facteur limitant à la production maraîchère. Pour minimiser les pertes de rendements qu’ils occasionnent, les producteurs ont à leur disposition plusieurs méthodes de lutte. Mais aucune d’elles n’est efficace si elle est utilisée individuellement. D’où est né le concept de lutte intégrée. -
Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation ?
Au sahel, les cultures subissent une pression parasitaire très importante, surtout celle exercée par les nématodes sur les cultures maraichères. Avec l’intensification de l’irrigation, ces ravageurs sont actuellement devenus un des problèmes phytosanitaires les plus préoccupants sur les cultures, à tel point que certains n’hésitent pas à les qualifier d’ennemis des maraichers ou de ravageurs sournois car leurs attaques passent le plus souvent inaperçues. -
Savoirs locaux et gestion des écosystèmes sahéliens
La notion de savoir local s’est imposée dans la recherche scientifique et l’aménagement du territoire depuis plus de deux décennies, à la suite de la sonnette d’alarme tirée par de nombreux auteurs (Blanc-Pamard, 1986 ; Roose, 1988 ; Bouzou, 1988 ; Luxereau, 1994 ; Fairhead et Leach, 1994 ; Luxereau et Roussel, 1997 ; Garba et al., 1997 ; Jouve, 1997…) pour un changement de cap, suite aux échecs relatifs des projets de développement en Afrique afin d’asseoir les bases d’un véritable développement durable. Il était reproché aux projets de développement et à leurs concepteurs leur approche techniciste et l’absence de participation des populations et de partenariat. -
Récupération de terres : tranchées forestières… une évolution intéressante
Le site visité est sur un plateau situé dans la commune de Hamdallaye à 35 km de Niamey sur la route de Filingué, 4 km après Hamdallaye en arrivant sur le plateau, à gauche de la route. C’est un site de récupération de plusieurs centaines d’ha. -
Installation des haies vives pour la protection des jardins à Yoreizé koira
Par définition, les haies vives défensives sont composées de buissons, des plantations denses et alignées d’arbres ou d’arbustes à branches nombreuses et impénétrables dans un but de délimitation, de défense ou de protection. Le village de Yoreyzé Koira est situé à une cinquante de kilomètres de Niamey sur la route de Namaro et sur la rive droite du fleuve Niger. La haie vive a été introduite dans la commune rurale de Namaro dans les années 90 par les Japonais à travers un projet financé par Japan International Cooperation Aency (JICA). Ce projet a incité des producteurs à clôturer leurs parcelles de culture maraîchère ou fruitière, et à installer des haies vives sur les dunes pour lutter contre l’érosion éolienne. -
Etude économique de la culture du poivron dans les exploitations agricoles familiales de la région de Diffa, cas du village de Kayowa.
La présente étude économique de la culture du poivron dans la région de Diffa a duré 6 mois de Juillet 2012 à Janvier 2013. Elle a pour objectif de déterminer les avantages et les coûts occasionnés la culture afin d’en déduire la rentabilité au plan économique, cela par l’analyse et la comparaison des comptes d’exploitation de différents types des producteurs choisi au hasard selon la méthode de tirage aléatoire. Ainsi au total 30 producteurs sont concernés. Les informations collectées à l’aide des questionnaires sont analysées avec le classeur EXCEL et logiciel Arc-view. Les résultats issus de cette étude montrent que les producteurs du village de Kayowa sont classés en trois (3) catégories : Petits producteurs, ceux qui exploitent moins de 2 ha (67%), producteurs moyens, qui exploitent entre 2 et 3 ha (23%) et grands producteurs qui exploitent plus de 3 ha (10%). La superficie totale exploitée par l’ensemble des producteurs enquêtés est de 53,43 ha. Les dépenses culturales sont liées à la réalisation des moyens d’exhaure et achat des matériels de captage d’eau, aux travaux d’entretiens et achat des matériels agricoles, aux intrants agricoles, aux carburants et à la main d’œuvre. -
Gestion de la chenille mineuse de l’épi du mil par des lâchers du parasitoïde Habrobracon hebetor Say au Niger
La chenille mineuse de l’épi du mil, Heliocheilus albipunctella De Joannis, est l’un des principaux ravageurs du mil en zone sahélienne. En 2015 et 2016, une démarche de lutte biologique de grande envergure a été initiée par des lâchers du parasitoïde antagoniste ectolarvaire Habrobracon hebetor Say dans les cinq régions du Niger. Des équipes incluant les organisations de producteurs ont été mises en place pour la sensibilisation des agriculteurs, l’identification des zones d’infestation du ravageur et la mise en place de 9177 sacs de lâcher. Les surfaces couvertes ont été estimées à 1 417 680 ha en 2015 et 1 521 330 ha en 2016 soit 21% des surfaces en mil dans les régions concernées. Les évaluations menées au cours des deux années ont permis de noter une augmentation des taux de parasitisme de la chenille mineuse de 168 à 1398% dans les villages de lâcher par rapport aux villages témoins. L’enquête sur la perception a révélé une appréciation positive de 77% des répondants. Ils ont estimé la mortalité moyenne des larves du ravageur à 76% et les gains de rendement à 50%. -
Les principaux arthropodes nuisibles des céréales, des légumineuses et du cotonnier au Sahel et leur contrôle
Cette note technique répertorie les principaux ennemis de cultures au Sahel et en propose une méthode de contrôle et de lutte en fonction de la phénologie de la culture. -
Fiche technique : les pucerons du poivron
Les agents responsables des principales attaques sur les cultures de poivrons sont des insectes phytophages (qui se nourrissent des plantes), des acariens, les nématodes et des virus. Une lutte efficace contre ces ennemis des cultures implique la connaissance de leur biologie (mode de vie, caractéristiques naturelles, …). -
Vulnérables mais résilientes : 15 bonnes pratiques développées par les populations du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.
En Afrique de l’Ouest, les producteurs agricoles évoluent dans un contexte climatique et économique souvent instable. Leur activité agricole, source principale de leur revenu et de leur alimentation, dépend de nombreux facteurs, plus ou moins maitrisables à leur échelle. Au fil du temps, la plupart ont mis en place des stratégies de gestion de ces aléas aussi appelés risques. Le risque lié à l’activité agricole peut prendre plusieurs formes : climatique et sanitaire, lié au prix ou au marché, institutionnel, financier, humain. La façon dont les populations rurales agricoles font face aux risques dépend d’une multitude de facteurs tels que leur décision en matière de production, la répartition du travail dans le ménage ou encore l’intervention de programmes publics. C’est pourquoi tous les productions ne sont pas égaux face aux risques. Une bonne gestion des risques dépend de la capacité de réaction de ces derniers et de leur exploitation et permet d’atteindre un état résilient qui se définit comme ‘’ la capacité d’un système, une communauté ou une société exposée aux risques de résister, d’absorber, d’accueillir et de corriger les effets d’un danger, en temps opportun et de manière efficace, notamment par la préservation et la restauration de ses structures essentielles et de ses fonctions de bases ‘’ (UNISDR ; 2009). -
Capitalisation d’expériences sur le développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée en Afrique de l’Ouest
L’irrigation est considérée comme un moyen d’intensification de l’agriculture. Elle contribue à en augmenter la productivité tout en la sécurisant contre les risques de sécheresse. C’est un outil de lutte contre la pauvreté et la faim qui sévissent de façon endémique en Afrique subsaharienne, et plus particulièrement en Afrique de l’Ouest. Malgré le potentiel disponible et malgré les efforts consentis par les gouvernements de la sous-région pour développer l’irrigation, les résultats sont restés en deçà des attentes. On avait oublié qu’à l’origine, dans la sous-région, l’irrigation était privée, familiale. Elle est mieux maîtrisée à petite échelle. Pour capitaliser toutes ces expériences de développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée, la Banque Mondiale, en collaboration avec l’ARID, la FAO, l’IWMI, l’UE et les ACP, a initié l’étude dont le présent rapport fait la synthèse. L’objectif de l’étude est d’identifier, de caractériser et d’évaluer certaines pratiques (individuelles et collectives) performantes en matière de techniques et de technologies de petite irrigation privée sur la base d’une analyse comparée de ce sous-secteur au Burkina Faso, Mali, Niger et Nigeria. -
Tome 1 : Capitalisation des technologies de captage, d’exhaure et de distribution dans le cadre de la petite irrigation au Niger
Dans le cadre de l’étude commanditée par le PSEAU au profit des dix (10) coopératives maraîchères de la FCMN/NIYYA, il a été prévu de faire une synthèse des expériences de technologies dans le domaine de l’irrigation au Niger. Cette synthèse devait déboucher sur un référentiel d’investissement type en matière d’équipement de captage, d’exhaure et de distribution de l’eau validé par les maraîchers, en précisant l’ensemble des aménagements et matériels (y compris leur coût). A ce titre, le consultant a réalisé une revue des documents disponibles au niveau des projets et institutions œuvrant dans le domaine de la petite irrigation. Cette revue a permis de faire le point sur les modèles d’aménagements testés en mettant l’accent sur les avantages, contraintes et les leçons apprises. -
La barrière mécanique anti-érosive influence la colonisation des dunes par les espèces végétales
Le Sud-est du Niger est soumis au phénomène d’érosion éolienne. Dans la zone de Gouré, les cuvettes oasiennes, principales sources de productions agricoles et de revenus, sont menacées de disparition à cause de l’ensablement. Plusieurs méthodes de fixation des dunes ont été testées mais les résultats restent mitigés. Dans cette étude, une barrière mécanique, à base des palissades confectionnées avec des branchages de Leptadenia pyrotechnica est utilisée pour évaluer son efficacité dans la lutte contre l’érosion du sol et dans la restauration de la végétation. Trois années après la mise en place de cette barrière anti-érosive, une végétation spontanée de 58 espèces appartenant à 20 familles dont 17 pérennes, s’était installée à l’intérieur du clayonnage, soit 42 espèces de plus que dans les zones non traitées. Au fil des ans, la composition floristique s’est progressivement stabilisée, témoignant ainsi d’une réduction notable des perturbations du milieu engendrées par le vent. -
Les arbres dans les systèmes agraires en zone sahélienne du Niger : mode de gestion, atouts et contraintes
Au Sahel, l’arbre fait partie intégrante du système de production. La présente étude s’est penchée sur son mode de gestion, ses atouts et ses contraintes. Une enquête a été conduite dans 7 terroirs villageois de la partie sud-ouest du Niger suivant un gradient d’aridité sud-nord afin de comprendre le comportement des populations dans la gestion des arbres. L’objectif était d’analyser les systèmes, les modes de gestion de l’arbre, les bénéfices tirés et certaines contraintes. Les résultats montrent que les populations de la zone aride gèrent et préservent mieux les arbres dans leurs champs. La jachère est pratiquée par 87,91% des producteurs et la durée moyenne est de 4,4 ans. Le défrichement est pratiqué à plus de 98,9% et les pieds des arbres épargnés par champ, varient entre 8 dans la zone semi-aride et une vingtaine dans la zone aride. Les arbres sont utilisés pour la délimitation des champs, l’amélioration de la fertilité des sols, la pharmacopée traditionnelle et, la fourniture d’énergie, de bois d’œuvre et de service. Les habitudes socio-culturelles des populations constituent la principale contrainte de la gestion des arbres. Un effort de sensibilisation et de vulgarisation des nouvelles techniques de gestion de l’arbre doit être consenti surtout dans la zone semi-aride. -
Caractérisation des systèmes de production agricole dans la région de Tillabéri
Le Niger de par sa localisation est soumis à un climat de type sahélien dont les principales caractéristiques sont une pluviométrie faible, variable dans le temps et dans l’espace, des températures élevées et des vents violents, tendant à accentuer son aridité (PANA, 2005). Il fait partie des pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement (Banque mondiale 2013). L’Agriculture nigérienne, mis à part les cultures de rente, est une agriculture vivrière de subsistance, essentiellement céréalière occupant 85% de la population. Elle contribue à 40% au PIB, mais repose sur des équilibres écologiques et sociaux de plus en plus fragiles (FAO 2012). La présente étude consiste à une analyse préliminaire de l’exposition et de la vulnérabilité à la sécheresse des systèmes de production en caractérisant les quatre cultures principales de chaque Caractérisation des systèmes de production agricole de la Région de Tillabéri département de la région de Tillabéri. -
Stratégies et mesures d’adaptation réussies en Afrique de l’Ouest
Déjà handicapés par une pression foncière croissante et une dégradation continue des terres, les producteurs ouest-africains font face à un défi supplémentaire : adapter leurs pratiques aux changements climatiques. En Afrique de l'Ouest, ces changements devraient se traduire par une augmentation du stress hydrique, l'extension des zones arides et, au bout du compte, une baisse des rendements agricoles (GIEC, 2013). Les rendements en céréales devraient baisser de 10 à 15% d’ici 2025, alors que 20% des populations sont déjà structurellement vulnérables et que les crises alimentaires sont régulières (CILSS, 2013). La situation est difficile, mais des techniques simples et efficaces peuvent être mises en oeuvre pour adapter les pratiques agricoles. -
Exploitations agricoles familiales en Afrique de l’Ouest et du Centre : enjeux, caractéristiques et éléments de gestion
Les agricultures africaines étant généralement centrées sur la famille, les productions sont d’abord mobilisées pour assurer les besoins des ménages et ne permettent pas toujours de réaliser les investissements nécessaires à l’amélioration des systèmes de production. En outre, les contraintes des exploitations agricoles africaines, telles que la difficulté d’acquisition des intrants, le recours à l’énergie
humaine et, parfois, à l’énergie animale, concourent à en limiter la productivité. Pourtant dans bien des situations, les paysans innovent, diversifient leurs productions et valorisent de nouvelles opportunités de commercialisation liées à l’accroissement de la demande des villes. -
La maladie du rabougrissement de l’arachide : observations sur champ
En Afrique deux maladies virales peuvent entrainer une baisse de production, il s'agit du rabougrissement de l'arachide et de la rosette de l'arachide. -
Atlas des évolutions des systèmes pastoraux au Sahel, Atlas of Trends in pastoral systems in Sahel
L’élevage pastoral sahélien joue un rôle prépondérant dans l’économie des pays de l’Afrique de l’Ouest. Avec une grande diversité d’espèces élevées, il contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages ruraux et urbains. De par sa nature extensive, l’élevage pastoral est largement dépendant des conditions environnementales. A ce titre les interactions avec l’environnement sont intimes, nombreuses et ambivalentes. En effet, les systèmes d’élevage mobile apparaissent comme la principale activité agricole de valorisation durable d’une ressource naturelle fragile et éparse dans les zones sèches sahéliennes. Malgré ce rôle très important, les systèmes pastoraux se trouvent confrontés à de nombreux défis liés, et notamment, à la marginalisation des populations pastorales et à la compétition croissante avec les autres groupes d’utilisateurs e particulier les agriculteurs pour l’accès aux ressources naturelles (pâturages, points d’eau etc.). Le présent Atlas fait la synthèse des informations disponibles sur les transformations des systèmes pastoraux au Sahel, collectées dans le contexte du SIPSA ou par d’autres initiatives. Partant d’une analyse des besoins en information conduite dans le cadre du SIPSA, l’atlas analyse les grandes tendances de l’élevage pastoral et de son contexte. Au regard des impacts des conditions climatiques sur les économies au Sahel, il apparait indispensable de disposer d’analyse prospective sur les différents secteurs des économies des pays du Sahel. Tel est le mérite de cet atlas, un excellent outil qui permettra la prise de décision fondée sur des bases objectives et assurera l’amélioration certaine de la gouvernance du secteur de l’élevage pastoral sahélien. -
Caractérisation de la brousse tigrée du Niger occidental
Dans la zone semi-aride, les formations végétales tendent à se contracter chaque fois que des conditions particulières du milieu interviennent pour modifier la circulation et la distribution de l’eau à la surface du sol (dépressions inter dunaires, fonds de vallées sèches, etc.). La brousse tigrée est le faciès le plus caractéristique des formations contractées. Sur les photos aériennes, elle forme des bandes alternativement claires et foncées à l’image du pelage d’un tigre. Au Niger, elle est inféodée aux plateaux gréseux du Continental Terminal, parcourue par les troupeaux pendant l’hivernage, habitat du dernier troupeau de girafes d’Afrique de l’Ouest, elle constitue la réserve essentielle de bois de feu et est menacée par : La coupe du bois de feu pour l’approvisionnement des centres urbains ; La recherche de nouvelles terres de culture. -
Récupération de terres, visite de deux sites sur le plateau de Guelielh
Une note de travail sert à présenter un cas et à poser des questions, c’est donc une note provisoire qui sera reprise avec les éléments complémentaires qui pourront être récupérés. Cette note est écrite après plusieurs visites sur les sites entre 2015 et 2018. Le contenu de cette note n’engage que l’équipe technique du RECA et de la CRA Tillabéri. Les sites de « récupération des terres » visités sont sur un plateau se trouvant sur la commune de Youri (Région de Tillabéri), à l’Est de la route goudronnée au niveau du marché de la commune. La photo satellite ci-dessous indique quatre types d’aménagement réalisés entre 2014 et 2016. Ces quatre sites de récupération représentent une surface totale d’un peu plus de 350 ha. -
Stratégie nationale et plan d’actions pour la conservation durable des éléphants au Niger
Au Niger, les populations d’éléphants d’Afrique (Loxodonta. africana) estimée entre 1000 et 1100 individus, sont confinées d’une part dans le parc W qu’il partage avec le Bénin et le Burkina et d’autre part dans la partie sud de la réserve de Faune de Tamou et dans le centre- sud du pays (Madarounfa) en partage avec le Nigéria. Les éléphants symbole de puissance et de force, jouent un rôle important dans divers domaines, notamment l’écologie, l’économie, les arts et les cultures. Ils sont reconnus pour leur contribution significative dans le maintien de la physionomie des écosystèmes forestiers et savanicoles et dans la régénération des espèces végétales. Ils constituent également un potentiel important pour le développement du tourisme surtout dans les zones de savanes et dans les clairières des zones forestières. Cependant cette espèce est sujette à plusieurs problèmes liés à sa conservation qui sont, entre autre le braconnage et la diminution de son espace vital ainsi liée particulièrement à la croissance démographique, aux défrichements, aux déboisements, aux sécheresses récurrentes et aux changements climatiques. Ces phénomènes font que l’homme et l’éléphant se partagent le même espace, ce qui entraine des conflits de cohabitation. Les dégâts causés aux cultures, aux greniers, aux bétails et autres infrastructures sans oublier les blessures ou la perte de vies humaines poussent les populations à percevoir l’éléphant comme un fardeau économique et social qui pèse sur eux. La survie à long terme de l’éléphant ne dépendra pas seulement de la science, mais aussi des solutions qui tiennent compte de la dimension politique, économique et sociale. -
Evolution des paysages Sahéliens au cours des six dernières décennies dans la région de Niamey : de la disparition la de brousse tigrée à l'encroûtement de surface des sols.
Au Sahel, l’explosion démographique de ces dernières décennies et les variations climatiques ont provoqué d’importants changements environnementaux. L’objectif de ce travail, est de mesurer les impacts de la pression anthropique sur les écosystèmes dans la région de Niamey au cours des six dernières décennies. L’étude est fondée sur une cartographie diachronique d’une aire de 100 km2 près de Niamey au moyen de photographies aériennes (1950 et 1975) et relevés au GPS (2009). Il est apparu ainsi qu’entre 1950 et 2009, la végétation de la brousse tigrée a été complètement déboisée. Dans les vallées sableuses, les surfaces cultivées ont connu une extension passant de 20.7 % à 69.4 % entre 1950 et 1975. Ceci a favorisé l’emprise des érosions éolienne et hydrique qui ont abouti à une dégradation des terres par encroutements des sols. Celui-ci est à l’origine de la baisse des surfaces cultivées entre 1975 et 2009 (de 69.4 % à 54.4 %). Dans les bas-fonds, la tendance est au comblement du fait d’un taux de sédimentations de plus de 4 cm par an. -
Fiche technique de mise en place de haies vives avec Commiphora africana (dashi)
Commiphora africana, appelé en haoussa ‘’dashi’’, est un arbuste qui peut atteindre environ 5 m de hauteur, dont les feuilles se développent au début de la saison pluvieuse ou peu de temps avant, et se perdent au début de la saison sèche. C’est une espèce très utilisée pour l’installation des haies vives dans la région de Zinder. Sa plantation se fait par bouturage en saison sèche, avec des écartements de 0,25 à 0,5 m entre les boutures. Le besoin est donc de 1.600 ou 800 boutures pour délimiter 1 ha selon les écartements. La mise en place des haies vives de cette espèce ne demande forcément pas des dépenses financières. Les haies vives de Commiphora africana protègent les cultures contre le vent, les animaux et procurent du fourrage pour l’alimentation animale. Elles jouent ces rôles après 1 à 2 ans de plantation. Cette espèce végétale ne demande pas des travaux d’entretien pour les haies vives. -
Guide de bonnes pratiques phytosanitaires pour la production de tubercules et de feuilles de manioc (Manihot esculenta) en pays ACP
Le document « Guide de Bonnes Pratiques Phytosanitaires » (fruit ou légume) détaille toutes les pratiques phytosanitaires liées au (fruit ou légume) et propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des pesticides dans le cadre de la Directive Européenne 91/414 et devant respecter les normes Européennes en matière de résidus des pesticides. Au stade actuel ces substances actives n’ont pas été testées en pays ACP par le PIP pour vérifier la conformité avec les LMR européennes.Les informations données sur les substances actives proposée est donc et sera adaptée en continu selon les nouvelles informations que rassemblera le PIP. Il est évidemment entendu que seules les formulations légalement homologuées dans leur pays d’application sont autorisées à l’usage. Chaque planteur aura donc le devoir de vérifier auprès de ses autorités réglementaires locales si le produit qu’il souhaite utiliser figure bien sur la liste des produits homologués. -
La race de mouton Koundoum au Niger : étude morpho biométrique et description du système de production
La diffusion des races très productives entre les pays en développement va de pair avec une négligence des races locales, qui sont bien adaptés à leur milieu, mais souvent montrent de faibles rendements. Ainsi, au Niger, le troupeau de moutons Koundoum diminue rapidement. Le Koundoum est l'un des rares races de moutons de laine d'Afrique et montre d’importantes qualités d'adaptation à son milieu d’origine, à savoir les pâturages humides sur les rives du fleuve Niger. -
" Le Parfait Aménagiste Forestier " Gestion des espaces nus dans les systèmes forestiers de plateaux, de bas-fonds et de plaines sableuses : ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut surtout pas faire !
Ce guide propose une aide méthodologique et technique pour les intervenants en gestion simplifiée des forêts villageoises au Niger. Il répond à un besoin et à une demande exprimée par de nombreux agents forestiers et opérateurs techniques privés des ONG. Ces dernières années, la gestion des espaces nus (dans les formations forestières de plateaux, de bas-fonds et de plaines) se pratique de plus en plus de manière intensive sans que les intervenants disposent toujours des références scientifiques, techniques et méthodologiques nécessaires pour augmenter l’efficacité des actions mécaniques et de la réactivation des processus biologiques. -
Lexique illustre de quelques plantes du Niger
Le développement durable, la gestion durable des ressources naturelles, etc. sont actuellement des notions courantes dont l’application passe par un minimum de connaissances des espèces végétales. Les agents du développement rural notamment les services techniques de l’Etat, les ONG et parfois les scientifiques (nationaux ou d’autres pays) qui interviennent sur la diversité biologique éprouvent le besoin d’identifier les espèces qu’ils rencontrent. Mais très souvent ils manquent d’outil pratique de cette identification Devant les nombreuses demandes émanant d’organismes ou de personnes intéressés, l’Institut National de Recherches Agronomiques du Niger a assuré la 2e réédition du lexique des plantes du Niger de M. PEYRE de FABREGUES. Du fait des légères modifications apportées, il est intitulé lexique illustré de quelques plantes du Niger (3e édition). Il s’agit surtout de photographies en couleur de certaines espèces pour faciliter une meilleure identification car lorsque sur le terrain on a le plant et un nom local, la vérification à l’aide du lexique peut confirmer avec plus de certitude l’identification faite. -
La mosaïque africaine du manioc, une maladie ignorée des producteurs au Niger
Le manioc (Manihot esculenta Crantz) est cultivé dans près d’une quarantaine de pays d’Afrique. En 2012, la production au Niger se chiffre à plus de 100 000 tonnes obtenues sur environ 7 000 hectares. Cette production représente près de 45 482 tonnes en équivalents céréaliers (Rép. Niger, 2012). Au vu de cette importance dans l’alimentation des Nigériens, toute menace sur la production doit être considérée comme une atteinte à la sécurité alimentaire, et de ce fait être sérieusement combattue. La plus grande contrainte biotique1 à la production de manioc au Niger est sans contexte la Mosaïque Africaine du Manioc (ou African cassava mosaic disease, ACMD), maladie qui sévit dans toutes régions productrices de notre pays. -
Ovins de race koundoum
Dans le cadre du projet développement des petits ruminants au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les races ovines du Niger dont le mouton Koumdoum qui est une race menacée et localisée dans la région de Tillabéri. -
Ovins de race ara ara
Dans le cadre du projet développement des petits ruminants au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les races ovine du Niger dont la ovine Ara Ara. -
Ovins Oudah variété bicolore
Dans le cadre du projet développement des petits ruminant s au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les race ovine du Niger dont la race peulh Oudah de variété bicolore -
Ovins de race peulh oudah blanc
Dans le cadre du projet développement des petits ruminants au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les races ovines du Niger dont le mouton peulh Oudah blanc. -
Suivi des sites PASEC Site de Tokaraoua (commune de Gabi)
Le site de Tokaraoua se situe dans la commune de Gabi dans une forêt classée à une distance d’environ 5 km de la ville de Gabi. Il une vocation pastorale. Cinq villages sont riverains et bénéficiaires de ce site, à savoir : Tokaraoua Tabodi, Takaraoua Tagabas, Tokaraoua Tajaé, Hassaou, Dan Takobo. Ce site était envahi par le Sida cordifolia qui est une plante non appétée par les animaux. Ce fléau a pu bien se développer dans la zone et a couvert les espaces d’aires de pâturage pour les animaux. Les peuplements de cette espèce sont parvenus à dominer les autres espèces herbacées appétées par les animaux. -
Pratique et Gestion de la Régénération Naturelle Assistée
Ce travail a été rendu possible grâce à la subvention d’assistance technique du FIDA accordée au World Agroforestry Centre (ICRAF TAG 1225) en collaboration avec les Instituts Nationaux de Recherches Agronomiques du Burkina Faso (INERA), du Mali (IER) et du Niger (INRAN), dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet « Les Arbres des Parcs Agro forestiers et les Moyens de Subsistance : Adaptations aux Changements Climatiques dans le Sahel Ouest Africain ». Au cours des cinquante dernières années, le Sahel a connu des changements dans le régime des précipitations qui se sont traduits par une répartition irrégulière, de graves sécheresses se sont succédées, les conséquences pour les précipitations et la végétation devraient être brusque et rapide (Foley et al. 2003, Wang et Eltahir 2000), avec des implications énormes pour la productivité, les moyens de subsistance et la vulnérabilité socio-écologique. La plupart des espèces d’arbres ont l’aptitude de régénérer à partir des souches et des racines après une coupe à ras du sol. Ce sont des millions d’hectares de champs et d’aires de pâturages qui renferment des souches d’arbres vivantes avec une aptitude de fournir de nouveaux rejets. Beaucoup des espèces d’arbres ont aussi une capacité de régénérer à partir des stocks de semences qui sont dans le sol. -
Suivi et évaluation de la mise en valeur des sites récupérés du programme PAM / FAO sur financement de la Coopération française (2014)
Dans le cadre des activités menées en partenariat par le Programme Alimentaire Mondial (PAM) et l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), une convention a été signée entre le RECA et la FAO pour le suivi et l’évaluation des actions de récupération de terres et de leur mise en valeur avec des demi-lunes agricoles. Le suivi porte sur un échantillon de sites repartis entre les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri. Le démarrage des activités du RECA a accusé un retard dans sa réalisation à cause des aspects administratifs. Le suivi qui devait démarrer en juillet a véritablement commencé en octobre 2014. Mais pour la région de Tillabéri le suivi a été fait en août et octobre 2014. -
Visite du plateau de Ounoufa, aménagé en 2007 par le Programme de lutte contre l’ensablement dans le bassin du fleuve Niger (PLCE – BN)
Cette note a été rédigée à partir d’une visite du site de Ounoufa, le samedi 11 décembre 2011. Les actions du PLCE ont démarré en 2005. Pour faire face à la dégradation des terres, suite à l’érosion hydrique et éolienne et à l’ensablement du Bassin du Niger, des techniques de Conservation des Eaux et des Sols et de Défense et Restauration des Sols (CES/DRS) sont proposées et expérimentées en partenariat avec les villages concernés. -
Striure brune du manioc
Striure brune attaque le manioc et dans les cas modérés à sévères rend les racines impropres à la consommation humaine ou animale. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger.
Le développement des cultures irriguées, à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production, entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures, ainsi que sur les différentes méthodes de lutte, entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. Quand un producteur voit sa parcelle, et donc son gagne-mil (adaptation de l’expression gagne-pain) se faire rapidement dévorer et détruire par des ravageurs, il prend la décision la plus facile ou rapide et court acheter un « médicament », un flacon, une boite ou un sachet de pesticides chimiques auprès d’un vendeur de proximité. C’est souvent trop tard et pas très efficace. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (2)
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers et animateurs maraîchers (OP, services techniques, GSC, GIE, projets …). Il s’agit d’une ferme installée dans le dallol Bosso à l’entrée de Birni Ngaouré (Région de Dosso), avec un système d’irrigation goutte à goutte pour les cultures de tomate, poivron, piment et melon principalement. Le 6 février, date de la visite, il y avait des parcelles de tomates en production et des parcelles de poivron en floraison. -
Conseiller en maraîchage / Cas pratiques (4) Attaques sur tomates
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers maraîchers (OP, services techniques, GSC, …). Il s’agit d’une visite auprès des producteurs de tomate de Bourboukabé à 15 km au nord de Niamey. Dans ce village, les producteurs pratiquent la culture de la tomate depuis plus de 25 ans, avec différents cycles de production adaptés aux différents terrains disponibles. Le premier cycle de production correspond à des semis en pépinière au début du mois d’août et une récolte qui commence en octobre alors que les prix sur le marché de Niamey sont encore élevés (15.000 à 18.000 F le panier de 32 kg). C’est une production économiquement importante pour ces producteurs. La production se fait sur des sols sableux de chaque côté de la vallée qui est encore inondée. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger -- Document technique : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte économique qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et l’application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). La tomate est une des cultures les plus répandues à travers le monde. La tomate est cultivée partout au Niger pendant les trois saisons : saison sèche fraiche, saison sèche chaude et saison hivernale. La production principale se situe pendant la saison sèche fraiche. La tomate est un légume fruit de la famille des solanacées, c'est-à-dire de la même famille que le poivron, la pomme de terre, l’aubergine ou le piment. Cela signifie que certains ravageurs seront communs à ces plantes de la même famille et surtout qu’il ne faut pas qu’elles se succèdent dans la rotation. -
Fiche technique : préparation d’une solution aqueuse de neem contre les ravageurs des cultures maraîchères
Cette fiche a été réalisée à partir des documents de l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et d’un support vidéo de l’Association des Professionnels de l’Irrigation Privée et des Activités Connexes (APIPAC, Burkina Faso). -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon
Les Chambres d’agriculture du Niger ont été créées par la Loi 2000-15 du 21 août 2000, complétée par le décret d’application du 18 mai 2001. Il y a huit Chambre Régionale d’Agriculture (CRA), une par région, et le Réseau National des Chambres d’Agriculture (RECA). Les CRA sont dirigés par des responsables professionnelles agricoles élus tous les 4 ans. La loi a confié aux Chambres d’Agriculture des missions d’intérêt général : représentation des agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, exploitants forestiers, appui conseil / vulgarisation, formation, information des professionnels agricoles. L’oignon est une plante avec un nombre réduit d’ennemis comparé aux autres plantes maraîchères. Malgré tout, des ennemis peuvent réduire le rendement de manière significative. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger La protection du moringa
Il est Indispensable de savoir reconnaître les ravageurs et maladies et de BIEN connaître son ennemi pour le combattre. Tout n’est pas marqué dans les livres et chaque producteur et technicien doit être capable d’observer On ne peut pas lutter contre les ravageurs avec une seule mesure, les producteurs doivent comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place. Les ravageurs et maladies n’étant pas bien connus, les producteurs et animateurs doivent apporter leur contribution pour mieux les maîtriser. -
Guide technique de l' agriculture
La présente documentation technique de la JGRC, composée de 8 guides, s'adresse aux techniciens impliqués dans la lutte contre la désertification par le biais des activités agricoles des communautés rurales.
En deux mots, les études de la JGRC se caractérisent par l'acquisition q de techniques de développement agricole
utilisant efficacement l'eau des oueds (cours d'eau dont l'écoulement se limite à la saison des pluies) dans les plaines d'inondation, ces dernières étant relativement fertiles mais peu utilisées, et w de techniques de
développement global et durable de l'agriculture, centrées sur la conservation des sols des terrains en pente douce et le rétablissement de la productivité des sols où se trouvent les villages. -
Cartes thématiques du Sénégal : environnement, population, agriculture...
Carte qui montre la formation végétale et forestière du Sénégal -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : préparation et application des bio pesticides
L’objectif de ce module de formation est de sensibiliser les producteurs aux méfaits des pesticides sur la santé de l’homme et de l’environnement, connaitre les plantes à vertus pesticides sur les quels des travaux de recherche ont permis de voir leur efficacité, apprendre à fabriquer eux même les produits à base de ces plantes, les intégrer dans un programme de lutte intégrée sur leur parcelle. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs du poivron et du piment
L’objectif de ce module de formation est d’être capable de reconnaître les ravageurs des cultures du poivron ou piment au Niger, d’être capable de faire des observations sur les ravageurs et les cultures et être capable de proposer et d’expliquer aux producteurs et productrices des mesures de lutte à mettre en place (lutte intégrée) en fonction des situations. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
La noctuelle de la tomate est un petit papillon de nuit, c’est à dire qu’il se déplace et se nourrit au crépuscule et la nuit. Ces papillons sont le plus souvent de couleur grise. Cette note présente sa chenille qui est un des principaux ravageurs de la tomate, surtout en saison sèche, mais s’attaque également à d’autres légumes fruits comme le poivron et le gombo, mais aussi au coton et au maïs. Cette chenille est le principal ravageur de la tomate en saison sèche. On la trouve dans toutes les régions du Niger. -
Niébé et arachide à Zinder : une année à chenille poilue
En ce début de saison des pluies, l’arachide, le niébé mais également le mil, le sésame ou la pastèque subissent des dégâts importants à cause de la chenille poilue dont le nom scientifique est Amsacta moloneyi. C’est une chenille polyphage, c'est-à-dire qu’elle peut se nourrir de nombreuses plantes cultivées ou non. Il a été observé des dégâts jugés sévères de la chenille poilue dans des localités des départements de Matameye mais aussi de Mirriah et de Magaria Les chenilles peuvent atteindre 4 cm de long. Elles sont de couleurs vives (jaune, orange, brun) et surtout portent de longs poils serrés. En début de saison, la chenille poilue d’Amsacta moloneyi s’attaque principalement aux plantules du niébé. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon.
Le présent atelier de formation s'adresse aux producteurs et animateurs des structures d'appui conseil sur les maladies et ravageurs de l'oignon. l'objectif de l'atelier est de renforcer les connaissances et ces acteurs. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : La protection du chou
Le chou appartient à la famille des crucifères (Bracicaceae). Il est la seule culture de la famille qui a une importance économique au Niger ; il en existe deux sortes : chou pommé (le plus cultivé et chou-fleur). Autre crucifère cultivé au Niger : le Navet et la radis (la production est négligeable). A la fin de la formation, les producteurs doivent: Connaitre l’importance de des ravageurs et maladies de la culture, Savoir reconnaître les ravageurs et maladies et comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place pour combattre ces ennemis de la cultures. -
Formation sur les principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères observées sur les sites de Gourdjia suite au suivi CGEF de la campagne 2015 2016
Les maladies de plantes c’est comme le paludisme. Souvent, on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade (fièvre, froid, chaud). Dans ce cas il faut aller à l’hôpital (payer), acheter des médicaments (payer) et on sort affaibli. Mais on devrait s’intéresser au paludisme pour ne pas l’attraper. Dans ce cas on se protège avec une moustiquaire, on enlève les points d’eau pour empêcher la multiplication des moustiques… Ce sont des mesures à prendre – avant pour éviter d’être malade. C’est la même chose pour les cultures. Pour que les plantes ne soient pas attaquées, malades ou détruites, il faut prendre des dispositions avant. C’est l’objet de ce module de formation. -
Évaluation économique de la récupération des terres dégradées dans les communes rurales de Simiri et de Namaro au Niger
Évaluation économique de la récupération des terres dégradées dans les communes rurales de Simiri et de Namaro au Niger
Banquettes, zaï (tassas), demi-lunes et fixation de dunes dans les sites des villages de Simiri, de Banimaté, de Lima et de Dambou Beri
Un rapport de l´Initiative ELD dans le cadre du projet « Inverser la dégradation des terres en Afrique par l'adoption à grande échelle de l'agroforesterie »
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Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : Les mouches des fruits
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les mouches des fruits. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères au Niger -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’oignon
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture d'oignons. Cette lutte passe par l'identification des principaux ennemis de cette culture. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Connaissance et utilisation des pesticides
Ce module de formation traite de l'utilisation des pesticides. Cette utilisation passe par la connaissance de la typologie des pesticides au Niger. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger La protection du poivron et du piment
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture du poivron et du piment. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’aubergine et de la pomme de terre
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Tomato noonizo kan se i gane “TUTA”
A te alwati kan iri Niger laabu alfarey i go gadi sanday tomato farmo do zaama noonize fono goono kan ga tomato fuunu fuunu. A to jiiri hinza kan noonize tagi fo banguay noonizo din ga kaina gumo;amma halla ga ka sohon alfarey mana fahame ase; hasarawo booba kan agate se, nga no nan alfari foyan na tomato farmo gaayi. -
Jan tauttau ko lalaba da turawa ke cema : acarien rouge
Yau zamu baku labarin wata karamar hallita aman ana iya ganinta ido da ido,wanan hallita ita ce jan tattau ko lalaba. Manoma sun san wanan tsutsar tunda tana saka gidan tane saman ganyen shipkokin gapta ko aubergine,tumati,tattasey,tashi da dankalin turawa. Wannan tsutsar na boyewa kalkashin ganyen shipkoki,manoma sun santa sosai domin a cikin lokaci kalilan take hallaka gona ga baki daya musaman ma in shipkokin dake cikin gonar sun danganta da wanda muka zana can sama. -
Tsutsar tumati : TUTA
Manoman kasar Nijar sun jima suna fama da wata tsutsa dake fu fude diyan tumati ; aman yau da hekaru uku (3), wata karamar tsutsa ta bullo,wanda har yanzu manoma basu gane ta ba,wanan sabuwar tsusta kankanuwa ce aman banar da takeyi nasa manoma asara diyawa wanda har ta kai gasa manoman kin noman na tumati ; wanan tsutsa ita ce ake cema TUTA. -
Dadara kira kan se ngane annasara ciine ga : acarien rouge
Hunkuna day iri ga salan aran se no nda anwarize kaynafo kan booro ga hini ga diya moga kan zi gane dadara kira. Alfarey ga bay zama a ga nga fuwo ciina dumizey koptey ga wana wana wana obergino tomato tattasey,tonko,nda pommpi terro. dabayan a ga lanba ga nga fuwo ciina dumizey koptey bandey ga alfarey ga bay zama aga hini ga dumizey me a me hasara wane wane dumizey kanyan iri ki za bene. -
Yadda tsutsar tumati Noctuelle da ake cema Helicoverpa a turance take
Tsutsar tumati da ake cema Noctuelle wani dan karamin malan batata ne yake futowa da dare yana neman abincin shi. Wanan malan batatan nada launi toka toka. Wanan hoton na nuna karamar tutsar da irin bannar da take hadasa wa a cikin diyan tumati musaman ma a lokacin zahi,haka zalika jinjirara tsutar na apkama ma sauran albarkatun noma kamar su tattasai da miyar kubewa da kuma kada da masara, wanan tsutar ita ce tafi bata tumati a lokacin rani,ana samun ta a cikin jahohin kasa ga baki daya. -
Tomaato nooniizo (Helicoverpa armigera) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Tomaato nooniizo wo ciini alfaga caw-caw no, zama a si fatta kala za wayna kaù kala mo ma bo. Da ba yaù, alfaga caw-caw wone hari boosa boosa no fatey ga ga. Tira wo, tomaato nooniizo bon no a ga salaù zama nga no ga ti tomaato aùùwaara i kulu ilaala, waana waana hayni waate. Tomaato nooniizo ga tuurize boobo digsa sanda tattaasa, la wala binde haabu wala mo kolkoti. Tomaato nooniizo ga ti, hayni ra, tomaatey aùùwaara laala. Niizer jarjarey kulu ra no a ga diya. -
Kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance
Yau zamu muku hira kan wani mungun kwari dake banna cikin garake kuma manoma sun sanshi kwarai da gaske,wannan kwarin shine ake cema kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance. In manoma sun san irin bannar da wannan kananan kwarin farfaru keyin saman tattasey da tomati da tonka,abincin su kenan, to har yanzu basu gano irin cutitikan da suke iya hadasama wanan shipkoki ba. -
Mouche blanche : Zarma : Hamniize kwaara kaù se i gane faransi ciine ga mouche blanche (Bemisia tabaci) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Hunkuna, iri ga salaù araù se nda jaw-kali goyey aùùwaara fo kaù ga hasaraw te hala manti mooso, kaù alfarey nda kurkey ga bay ga boori, nga ga ti « hamniize kwaara ». Ba da alfarey ga hasarawey kaù hamniize kwaara wo ga te bay, i si bay doorey kaù a ga hin ga kande ga daù tuurey ga. -
Yadda tsutsar chou ko plutella take
Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou. -
Suwo nooniizo kaù se i ga na fransi cine ra « teigne » tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba. -
Les étiquettes des pesticides ne donnent pas satisfaction : il faut les remplacer par des fiches techniques adaptées aux utilisateurs
Les premières investigations et notes du RECA indiquent que les pratiques des agriculteurs pour la protection des cultures irriguées et l’utilisation des pesticides ne sont globalement pas bonnes, au détriment des producteurs eux-mêmes (santé et revenus) et des consommateurs. Ceci est confirmé par la plupart des partenaires intervenant en appui aux producteurs. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
Les terres de restauration
La restauration des terres est un enjeu important au Niger. Des superficies importantes sont en effet dégradées et nécessitent une restauration pour redevenir productives, aussi bien pour l’agriculture que pour l’élevage. Que prévoit le dispositif législatif et réglementaire à ce sujet ? -
Document de la stratégie nationale de l’hydraulique pastorale
Ce présent rapport porte sur l'élaboration stratégique de l’hydraulique pastorale -
Sécuriser les terres restaurées : comment faire en pratique ?
La restauration des terres pose parfois des problèmes fonciers. Il arrive que des terres utilisées pour l’élevage soient mises en culture une fois restaurée, ce qui crée des conflits. Des communautés refusent la restauration des terres par crainte d’appropriation des terres redevenues productives par un groupe particulier, etc. La question de la gestion du site, en prenant en compte la sécurisation foncière, fait partie des questions à régler pour assurer la pérennité des travaux de restauration et éviter les conflits. Cette note propose comment procéder pour sécuriser les terres restaurées et éviter les erreurs les plus courantes. -
L’état de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture en Niger : premier rapport national
Ce rapport de pays a été préparé par les autorités nationales dans le cadre de la publication de la FAO intitulée L’État de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde. Ce rapport a été rendu disponible par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) à la requête de la Commission des ressources génétiques pour l’alimentation et l’agriculture. Les informations qui y sont contenues n’ont pas fait l’objet de vérifications de la part de la FAO, et les opinions qui y sont exprimées sont celles du/des auteur(s) et ne reflètent pas nécessairement celles de la FAO ou de ses membres. Les appellations employées dans ce produit d’information et la présentation des données qui y figurent n’impliquent de la part de la FAO aucune prise de position quant au statut juridique ou au stade de développement des pays, territoires, villes ou zones ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. La mention de sociétés déterminés ou de produits de fabricants, qu’ils soient ou non brevetés, n’entraîne, de la part de la FAO, aucune approbation ou recommandation desdits produits de préférence à d’autres de nature analogue qui ne sont pas cités. -
Grandes aires protégées des zones sahélo-sahariennes : quelle contribution à la conservation ?
Les grandes aires protégées d’Afrique de l’Ouest situées dans des zones arides, sont localisées dans les écorégions (WWF) « savane d’acacia sahélienne », « désert du Sahara » et « steppe et zone boisée du sud du Sahara ». Elles sont réparties dans cinq pays : le Burkina Faso (Réserve Sylvo-pastorale et partielle de faune du Sahel), le Mali (Réserve partielle de faune d’Ansongo Ménaka), la Mauritanie (Guelb er Richât), le Niger (Réserves naturelles nationales de l'Aïr et du Ténéré, de Termit et de Tin Toumma (en cours de création)) et le Tchad (Réserve de faune de Ouadi Rimé - Ouadi Achim).
Ces aires protégées ont généralement des superficies très importantes (1 500 000 ha au minimum chacune) et sont situées dans des zones où la densité de population est très faible. On peut très schématiquement les diviser en trois groupes : les aires protégées classées dans les années 1950-1970, qui ont perdu une grande partie de leur intérêt premier, et dont la question de la vocation se pose aujourd’hui ; les aires protégées classées plus récemment où des projets de nouveau zonage sont en cours, et enfin les nouvelles aires protégées en cours de création. -
Flore et végétation des parcours naturels de la région de Maradi, Niger
Cette étude analyse la flore, la végétation et la relation entre la végétation et les variables environnementales des pâturages naturels de la région de Maradi. Les relevés de végétation ont été effectués dans 150 placettes de 1000 m² suivant l’approche sigmatiste de Braun-Blanquet. En plus des échantillons composites de sol prélevés pour des analyses pédologiques au laboratoire, les coordonnées GPS, la géomorphologie et la texture du sol ont été relevées dans les mêmes placettes. Au total 156 espèces végétales dont 22 espèces ligneuses soit 14,1 % et 134 espèces herbacées soit 85,9 % ont été recensées. Ces espèces sont reparties dans 37 familles botaniques dont la plus importante est celle des Poaceae suivie par les Leguminosea-Papilionoideae, les Convolvulaceae et les Leguminosae-Caesalpinoideae. L’analyse des types biologiques et phytogéographiques révèle respectivement une prédominance des Thérophytes et des espèces à large distribution telles que les Paléotropicales et les Pantropicales. L’AFCD et la CHA ont permis de distinguer 10 groupements végétaux repartis suivant le gradient climatique de la zone d’étude. L’ACC et le test de Monte-Carlo ont permis de mettre en relation ces groupements végétaux et les variables environnementales. Les variables environnementales qui ont un effet significatif sur la distribution des espèces et la structuration de la végétation sont, outre la pluviométrie, la texture du sol (taux de sable) et le pH. -
L’or… jaune de Djirataoua (Région de Maradi)
Le périmètre hydro-agricole de Djirataoua, situé à une dizaine de kilomètres au sud de Maradi, a été réalisé en 1982 (environ 500 ha). Une extension a été faite en 2010 pour environ la même superficie. -
Typologie des cuvettes et bas-fonds et possibilité d’exploitation agricole et de valorisation
Les cuvettes (localement dénommées N’Gors) sont des dépressions interdunaires de section très variée (amiboïde) et dont la forme générale se rapproche de celle d’un tronc de cône renversé. La dénivelée oscille entre 10 et 40 m. Dans la dépression, la végétation et les types de sols s’organisent en auréoles concentriques descendant en pente douce vers le centre avec invariablement l’auréole externe constituée essentiellement de doumiers denses (Hyphaene thebaica) et la plage centrale nue plus ou moins natronnée, parfois occupée par une mare. Dans les cuvettes, la profondeur de la nappe varie généralement de 0 à 5 m et reste toujours inférieure à celle du plateau sableux environnant. Les bas-fonds (localement dénommés Fayas) sont des segments généralement étirés de vallées sèches, à dénivelée n’excédant pas 10 m, à fond plat occupé par une végétation ligneuse dense et variée dominée par Acacia raddiana. La profondeur de la nappe peut atteindre 10 m. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
Cette note présente le contenu d’une émission radio préparée par des agents du RECA, de la DGPV et de l’INRAN puis enregistrée en Zarma et en Haoussa avec la radio Jeunesse de Goudel pour être diffusée sur l’ensemble des régions du Niger. -
Maitrise de la pression parasitaire à travers le conseil de gestion à l’exploitation agricole et les formations
Cette note a été rédigée sur la base des résultats de l’analyse des données collectées par les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) dans le cadre du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) au niveau du département de Doutchi, et d’entretiens complémentaires avec des producteurs et productrices. Compte tenu de la dynamique du dispositif CGEF dans ce département, qui se fait selon les campagnes avec ou sans techniciens d’organisations de producteurs OP, les données sont établies à partir de 43 producteurs (dont 20 suivis en CGEF et 23 sous forme d’entretiens complémentaires). Il faut également noter que les données collectées au cours des deux premières campagnes de conseil de gestion n’ont pas été prises en compte car non exploitables et que les résultats intègrent uniquement les données de 2017 et 2018. -
Une disposition de banquettes originale mais… efficace Village de Dargué, Région de Maradi
Si l’on se réfère au « Recueil de fiches techniques en gestion des ressources naturelles et de productions agro-sylvopastorales1 », il existe deux types de banquettes : la banquette agricole sur glacis (longueur 80 m avec un écartement de 25 m entre deux lignes de banquettes) et la banquette agro-sylvo-pastorale sur plateau érodé (longueur 100 m avec un écartement 40 à 45 m entre deux lignes de banquettes). La banquette se compose d’un bourrelet à l’aval et d’un fossé à l’amont dans lequel sont implantées des espèces végétales (arbustives et/ou herbacées). -
Renforcement des capacités des maraîchers des Communes de Adjohoun, Bopa, Aplahoué, Ouaké, Malanville, Sô-Ava sur la protection phytosanitaire aux fins de l’adaptation aux changements climatiques
Au Bénin comme dans d’autres pays de la région Ouest-africaine, la production maraîchère est devenue depuis quelques années une activité en pleine expansion, en particulier dans les sites urbains et périurbains. En dépit de son importance vitale pour la production vivrière et de sa contribution non négligeable en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle, la filière maraîchère reste confrontée à de nombreux défis au nombre desquels figurent la non maîtrise des dégâts des nuisibles (insectes et ravageurs), la méconnaissance des techniques de gestion intégrée des ravageurs et les effets induits par la variabilité et les changements climatiques. -
Guide du Formateur sur « Les techniques de CES-DRS dans la petite irrigation »
Le présent guide s’inscrit dans le cadre des activités du programme de promotion de l’agriculture productive (PromAP) finance par la coopération allemande. Le PromAP à travers la composante 2, a prévu : « le renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation pour améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et prives dans le domaine de la petite irrigation. Quatre (4) thèmes sont développés à travers ce manuel à savoir : ✓ Adaptation au changement climatique; ✓ Lutte contre l’érosion hydrique; ✓ Lutte contre l’érosion éolienne; ✓ L’approche bassin versant -
Valorisation des ressources pastorales, amélioration des conditions de vie des et protection de l' environnement
L’étude a pour but de présenter les bonnes pratiques en matière de conservation des eaux et des sols (CES) et de défense et restauration des sols (DRS) dans la région nord de Tahoua. Ces éléments permettront aux décideurs des pays en développement, à leurs partenaires techniques et financiers et aux bureaux d’ingénierie technique et sociale de mieux concevoir des programmes d’aménagement pastoral répondant à la demande des bénéficiaires et de mettre en place des modes de gestion adaptés. -
Le sabara (Guiera senegalensis), espèce oubliée des programmes de revégétalisation des plateaux et glacis ?
L’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a publié des fiches techniques de production de plants de plusieurs espèces locales d’arbres et arbustes. C’est une occasion pour évoquer l’une de ces espèces locales qui porte le même nom en Haoussa et Djerma, le sabara, dont le nom scientifique est Guiera senegalensis – Peul : Gelohi, leleko ; Tamachek : assubara. Si vous cherchez la description de cette plante sur internet vous trouverez quasiment la même description sur la plupart des sites. C’est donc un arbuste de 1 à 5 m de haut, facilement reconnaissable à ses petites feuilles, vert clair, plus ou moins grises ou bleutées. -
ALERTE Spodoptera frugiperda une nouvelle chenille, ravageur du maïs
Cette chenille originaire d’Amérique a été observée pour la première fois en Afrique de l’Ouest en janvier 2016, au sud du Nigeria où elle a causé d’importants dégâts. En août 2016, la presse béninoise avance le chiffre de 30.000 à 40.000 ha de maïs détruits dans les régions du Nord Bénin. La chenille a également fait d’importants dégâts au Nigeria et au Togo. Fin novembre 2016, elle est signalée à Torodi (Région de Tillabéri), et également à Dosso. Il s’agit de la larve d’un papillon à moeurs nocturnes de la famille des Noctuidés ou noctuelles. Les insectes de cette famille sont malheureusement bien connus des producteurs car elle comprend les ravageurs les plus dévastateurs des cultures comme par exemple la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera).