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La gestion de l'eau dans la commune de Dantiandou: Etude de cas des villages de la zone d'intervention de la Fédération des Unions des Groupements Paysans du Niger
Le Niger est un pays de la zone tropicale sèche. Il s'étend sur une superficie de 1267000 km2 et se situe entre 11°33' et 23°33' de latitude nord ; 0°37' et 16°37' de longitude Est. C'est un pays continental et aride dont les 3/4 sont désertiques. Il a connu des sécheresses répétitives notamment en 1973-74, 1984-85, 1997-98 et en 2004-05. Selon une étude menée par SIVAKUMAR M.V.K (1993) les isohyètes se sont déplacées de 100 à 150 km après I960 et la pluviométrie moyenne annuelle a considérablement diminué. Les statistiques actuellement disponibles font ressortir que la superficie du territoire national recevant une pluviométrie annuelle supérieure à 200 mm/an ne dépasse guère 17,2 % de la superficie totale du pays, soit environ 354000 km2 (ISSA S, 2005). La température moyenne annuelle est de 29,5°C. Les hautes températures combinées avec l'augmentation du rayonnement solaire pendant la saison des pluies entraînent un accroissement de l'évapotranspiration potentielle (ETP) dont les valeurs moyennes mensuelles les plus élevées du pays sont enregistrées en zone sahélienne. L'ETP annuelle moyenne varie entre 1950 mm dans la zone soudanienne et plus de 2700 mm dans la zone saharienne (ISSA.I 2004). -
Étude de mobilisation des eaux dans la région de Maradi - rapport définitif
Le contexte actuel au Niger est marqué par la difficulté des conditions naturelles qui confinent la grande majorité des 12 millions d'habitants, essentiellement des ruraux, dans une bande de 1.500 km de long et 150 km de large situé au Sud du pays. Même si quelques potentialités d'exportation (bétail, oignon, niébé) ou de développement de l'irrigation existent, l'agriculture reste essentiellement vivrière et plus et pluviale et donc vulnérable aux risques de sécheresse. -
La gestion de l'eau en Algérie
La gestion de l'eau en Algérie pose un problème épineux aux autorités. Les ressources disponibles sont en deçà des besoins. La vétusté des réseaux d'adduction et la capacité de stockage déficiente entravent la bonne distribution de l'eau aux consommateurs. La dotation journalière par habitant reste faible par rapport aux normes internationales. Les instruments de gestion de l'eau ne sont pas efficaces. -
Logique floue appliquée à la gestion à long terme des ressources en eau
La gestion optimale des opérations d'un système de stockage/transfert/distribution d'eau (STDE) est une tâche complexe depuis que l'agriculture irriguée est devenue une activité très importante pour les sociétés humaines. C'est pourquoi ces sociétés ont déployé des efforts et de l'ingéniosité, grâce à l'évolution des techniques du génie civil et l'avènement de l'ère informatique, pour maîtriser les ressources en eau. -
Risque et décisions en gestion de l'eau. Essai d'analyse de la rationalité du dialogue entre hydrologue et gestionnaire
Le concept de risque, trop souvent imprécis, est analysé et un essai de définition rationnelle est tenté pour tenir compte à la fois des aspects de probabilité et de conséquences dommageables. On montre que toute analyse de risque en sciences de l'eau doit résulter d'un dialogue entre hydrologue et gestionnaire qui doit respecter des critères de clarté, d'efficacité et de cohérence. On insiste particulièrement sur la nécessaire prise en compte par l'hydrologue d'une expression, même simplifiée, des conséquences dommageables réelles pour le gestionnaire ou les membres de la cible du risque. -
Gestion de l'eau et décentralisation au Niger : cas de la mare de Tashi (Bonkoukou et Filingué)
La gestion de ressources limitées d’eau mais d’accès libre, telles que les mares, offre sans aucun doute les cas d’exemples de plus forts cumuls de problèmes de gouvernance territoriale en milieux semi-arides sahéliens. C’est que par la forte attraction qu’ils y exercent, les plans d’eau de surface (mares, retenues, lacs, etc.) polarisent plusieurs territoires enchâssés et à géométries variables selon les saisons. Leur exploitation met ainsi en compétition des groupes d’origines diverses et de statuts bien différents. La gestion de l’eau au Sahel est de ce fait un défi permanent auquel il faut faire face par des dispositifs adaptés à chaque territoire. -
Évaluation de la gouvernance de l'eau au Niger
L’utilisation et la protection des ressources en eau au Niger sont réglementées par la loi 98-41 du 07 décembre 1998 portant régime de l’eau et son décret d’application (Décret n°97-368 / PRN/MHE du 2 octobre 1997). Comme indiqué dans les fiches de renseignements, il existe beaucoup de textes qui font directement ou indirectement référence à la gestion des ressources en eau. Cependant, l’analyse du cadre juridique et réglementaire laisse apparaître des problèmes de plusieurs ordres : la non application des textes juridiques, l’insuffisance voire même la quasi-inexistence des textes complémentaires d’application au niveau de certaines lois et la méconnaissance de la législation par la plupart des acteurs. -
Les techniques de conservations des eaux et des sols dans les pays du Sahel
Le présent rapport est le résultat de plusieurs années de collecte de données par le Comité Interafricain d’Études Hydrauliques (C1EH), et l'Université Agronomique de Wageningen (UAW, Pays-Bas). Dans le cadre d'un programme de collaboration qui a débuté en 1987, cette Université avait mis à la disposition du CIEH Monsieur J.C. J. Vlaar, qui avait pour tâche de réaliser, entre autres cette étude. -
Loi portant le régime de l'eau (haoussa)
Ce document fait état de la loi portant le régime de l'eau. -
Étude du cadre juridique et institutionnel relatif aux unités de gestion des eaux
Au Niger, « Etat le plus sahélien des pays du Sahel », les ressources en eau constituent un facteur primordial de développement socio-économique. On observe que les consommations et les pollutions augmentent et les précipitations se réduisent. Les potentialités en eau de surface sont estimées à quelque 32 milliards de m3, tandis que les réserves en eau souterraines sont-elles évaluées à environ 2000 milliards de m3.