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Curriculum sur l'organisation des producteurs dans la petite irrigation
le présent curriculum relatif à la vie associative et à la gestion des Organisations Paysannes a été élaboré en vue de garantir une formation harmonisée et de qualité à tous les acteurs de la PI.
Il comporte sept (7) modules qui sont :
-- 1 : Gestion administrative et financière d’une OP ;
-- 2 : Planification stratégique et plan d’action ;
- - 3 : Le lobbying et le plaidoyer ;
- - 4 : Gestion d’équipe et de conflits dans une OP ;
- - 5 : Gestion des approvisionnements en intrants agricoles ;
- - 6 : Gestion de la commercialisation des produits maraîchers ;
-- 7 : Acte uniforme OHADA relatif au droit des sociétés coopératives dans la PI ainsi que les décrets d’application N 2017-829/PRN/MAG/EL (pour les SCOOPS) et N 2017-830 (pour les SCOOP-CA) tous signés et paraphés le 27 octobre 2017. -
Organisation des producteurs de la petite irrigation
Ce guide pédagogique a pour objectif d'aider les formateurs à retrouver les ressources matérielles et techniques d’enseignement appropriées . Il développe 7 modules à savoir:
-- 1 : Gestion administrative et financière des OP;
-- 2 : Planification stratégique et plan d’actions;
-- 3 : le Lobbying et le Plaidoyer;
-- 4 : Gestion d’équipe et des conflits dans une OP;
-- 5 : Gestion des approvisionnements en intrants agricoles;
-- 6 : Gestion de la commercialisation des produits maraîchers;
-- 7 : Acte uniforme (AU) de l’OHADA -
Production et commercialisation du fourrage de la luzerne
La luzerne est une légumineuse pluriannuelle qui résiste à la sécheresse et lutte contre l’érosion des sols.
La présente fiche d'innovation montre les différentes étapes à suivre pour produire la luzerne. Cette culture fut initiée dans le village d’Edouk (Tahoua) par un paysan innovateur, Mr Hachimou Alka, identifié par le PromAP.
La fiche aborde:
- Le choix variétal et le respect
- Les maladies et ennemis de la luzerne.
- Pas besoin de fertilisation azotée etc.. -
Production du niébé à double usage
Cette fiche traite du niébé, une plante herbacée annuelle cultivée pour ses graines mais aussi pour ses feuilles. Il est surtout produit en zone sèche (soudano-sahélienne). Cette technique fait la promotion des productions à double usages qui concerne la production des semences et du fourrage de niébé pour l’alimentation humaine et animale. Elle a été réalisée par M. Salou Oudou, natif de Tadjef, commune de Balleyara, région de Tillabéri. -
AREN
L'association pour la redynamisation de l'élevage au Niger est née de la volonté de fédérer les éleveurs autour du développement de ce secteur.
Au niveau du Niger, AREN est membre des structures suivantes :
* Plate-forme Paysanne du Niger Membre fondateur
* Conseil pour l’action et la solidarité paysanne au Niger (CASPANI) Membre fondateur
* Groupement des aides privés (GAP) Membre adhérant
Au niveau sous-régional et international, AREN est affilié :
* au ROPPA (Réseau des Organisations de Producteurs et Paysans d’Afrique) Membre fondateur
* Conseil Mondial des Eleveurs (CME) Membre adhérant
* Réseau des Organisations d’Eleveurs d’Afrique « Billital maroobé » Membre fondateur
* FIPA Membre adhérant
AREN a des relations de travail avec d’autres organisations soeurs notamment du : Nigéria (FULDAN et Mi Yetti Allahà) Bénin (ANOPER) ; Burkina Faso ;
L’objectif visé est surtout les échanges pour faciliter la transhumance transfrontalière -
Gestion des boutiques d’intrants agricoles
Ce module a été conçu par l'ONG Afrique verte Niger avec l'appui financier de l'union européenne pour guider toute organisation de producteurs dans la gestion des intrants agricole. -
Mieux valoriser les foins, les gousses d’Acacia radiana et le son de céréales en embouche ovine au Sahel
L’embouche ovine, activité traditionnelle est réalisée à grand frais de fanes de légumineuses, de grains et son de céréales. Il est nécessaire de mettre au point des rations plus économiques pour l’embouche ovine sans concurrence avec l’alimentation humaine. -
FCMN (Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger)
La Fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN-Niya) est une organisation paysanne faîtière créée en 1996 à l'initiative de 11 coopératives des régions de Niamey, Tahoua, Dosso et Tillabery et ce, à la faveur de la loi coopérative régissant les organisations rurales à caractère coopératif. Le mot « Niya » veut dire volonté ou engagement en langue locale et ceci, pour affirmer la détermination des membres à faire de leur organisation une structure phare en matière de développement au Niger. -
ROPPA
Le ROPPA est une initiative propre aux organisations paysannes et de producteurs agricoles de l’Afrique de l’Ouest. Il regroupe 13 organisations paysannes nationales membres (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Niger, Sénégal, Sierra Leone, Togo) et des organisations paysannes membres associées (Cap-Vert, Nigeria). -
FUGPN - Mooriben
La Fédération des Unions des Groupements Paysans du Niger (FUGPN-Mooriben) compte parmi les toutes premières organisations paysannes constituées librement, par les paysans eux-mêmes, en dehors du système coopératif contrôlé par l’Etat et des structures de la Société de Développement -
Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS)
L’APESS travaille dans le domaine du Développement Rural en général et le secteur de l’élevage traditionnel en particulier. L’APESS offre donc ses services aux éleveurs et agriculteurs, mais aussi aux responsables et acteurs de différents projets de développement rural. -
Organisation des producteurs de la petite irrigation
Ce présent document porte le renforcement des capacités des acteurs intermédiaires dans l’accompagnement des organisations des producteurs en petite irrigation pour leur développement de leur épanouissement professionnel. -
Comment créer une coopérative ?
Initiatives économiques des agriculteursCe guide propose des lignes directrices pour la structuration d'une coopérative agricole -
Le traitement des fourrages grossiers à l'urée : Une technique très prometteuse au Niger
Cette note est un extrait du document présentant les résultats du projet « Extension de la méthode de traitement à l'urée des fourrages grossiers dans les départements de Tillabéri, Dosso et Maradi » (NER/89/016), projet exécuté par la FAO (1991 – 1994). Le document a été rédigé par K.M. Sourabie, C. Kayouli et C. Dalibard. Il est disponible en ligne sur le site de la FAO : http://www.fao.org/docrep/V4440T/v4440T04.htm Cette note vient en complément de la fiche technique du PAC. Elle permet au conseiller ou formateur une meilleure compréhension de la technologie et donc une plus grande capacité de l’expliquer. -
Le traitement de la paille à l’urée Cas de la Région de Diffa
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. Elle est basée sur des entretiens menés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa avec des membres des Services techniques, des éleveurs, des OP et des projets, et complétée par la lecture de documents. Le RECA ne prétend pas avoir fait le tour de la question, ni vu toutes les expériences, ni rencontré tous les acteurs. Les observations et analyses sont provisoires. Cette note sera progressivement complétée et améliorée. Les apports et compléments sont souhaités afin d’enrichir ce travail de capitalisation sur la situation des technologies et techniques générées et/ou diffusées au Niger par l’ensemble des acteurs. -
Conservation des feuilles de haricot
Vidéo montrant les techniques de conservation des feuilles de haricot
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Le méteil (mélange fourrager) : un itinéraire technique simple
Cette fiche propose un itinéraire technique pour la culture d'un mélange fourrager -
La pierre à lécher
Cette fiche porte sur la fabrication de la pierre à lécher pour les ruminants -
Comment produire des termites pour nourrir la volaille ?
Ce guide porte sur la production de termites afin de nourrir la volaille -
Ethnomédecine vétérinaire : une approche pratique du traitement des maladies du bétail en Afrique subsaharienne
Le présent guide porte sur une approche pratique du traitement des maladies du bétail
en Afrique subsaharienne -
La maladie hémorragique virale (VHD) du lapin.
Cette fiche technique apprend comment reconnaître et éviter la maladie hémorragique du lapin -
Mémento "Bien-être de l'animal d'élevage"
Mémento sur le bien-être des animaux d'élevage, permettant une amélioration de la production. -
Plan opérationnel 2011 de la Fédération des Coopératives Maraichères du Niger : FCMN-Niya
La Fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN-Niya) est une organisation paysanne faîtière créée en 1996 à l’initiative de 11 coopératives des régions de Niamey, Tahoua, Dosso et Tillabéry et ce, à la faveur de la loi coopérative régissant les organisations rurales à caractère coopératif. Le mot «Niya» veut dire volonté ou engagement en langue locale et ceci, pour affirmer la détermination des membres à faire de leur organisation une structure phare en matière de développement au Niger. Les pas vers la création de la FCMN-Niya ont été posés en 1994 quand des producteurs maraîchers, ne sentant pas leurs intérêts défendus au sein de l’Union nationale des coopératives, ont décidé de créer l’Association des producteurs maraîchers du Niger (APROMANI) avec pour tutelle le Ministère de l’Intérieur. Mais pour se conformer à la nouvelle loi de 1996 régissant le mouvement coopératif nigérien sous tutelle du Ministère de l’Agriculture, les membres d’APROMANI ont décidé de créer la FCMN. -
Manuel des procédures du Système Collectif de Mise en Marché (SCMMO)
de l'oignonCe manuel des procédures se veut un guide de référence pour toute personne qui intervient dans le système collectif mise en marché des produits agricoles. Il a pour but de présenter les différentes activités reliées au système, du début de la campagne jusqu'à la dernière vente des oignons et l'approbation du rapport de commercialisation par l'Assemblée Générale.
Il présente aussi les responsables, les échéanciers et des documents d'appui de chacune des ces étapes. Enfin, il fait le point sur la hiérarchie décisionnelle du système afin de mieux saisir le rôle entre les élus, permanents et différents organes de l'organisation. -
Campagne de vaccination gratuite du cheptel
Cette vidéo nous montre la campagne de vaccination tenue dans la Commune de Hamdara. -
Compte rendu de la formation des producteurs de la culture fourragère bourgou à Wacha et Dan Barto sur la coupe et le stockage
Cultures fourragères, des avancées par petites étapes, rappel de l’épisode précédent : En mai 2018, la Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont réalisé une émission sur les productions fourragères et notamment la possibilité d’essayer la culture du bourgou dans les sites inondables. Si des producteurs étaient intéressés, il était proposé qu’ils contactent la CRA. Ce sont 5 producteurs, 3 producteurs de la commune de Wacha et 2 producteurs de la commune de Dan Barto qui se sont portés volontaires pour l’expérimentation de cette culture.
Ils ont reçu une formation pour la préparation du terrain et l’implantation de la culture. Le repiquage a eu lieu début juin. La culture a pu s’implanter juste avant les inondations de leurs parcelles en juillet. Les parcelles font entre 300 et 600 m2 selon les producteurs.
Une nouvelle étape : En octobre, les producteurs viennent de suivre une seconde formation pour la coupe et le séchage du bourgou. Là où l’eau s’est retirée les producteurs ont commencé leur première coupe. -
Fiche technique n°001 : culture de la plante fourragère bourgou (Echinochloa stagnina)
La plante Bourgou (Echinochloa stagnina) connue sous le nom de ` « Chégoune Tchadi » en Haoussa est une plante fourragère à haute valeur nutritive pour le bétail (0,53 à 0,69 UF/kg MS). La plante contient de la matière azotée digestible allant de 37g/kg MS à 86 g/kg MS autorisant une croissance moyenne de 260 g/jour variable selon les saisons. D’après les études réalisées au Niger et Mali, le Bourgou est produit avec un rendement moyen de 10 à 25 tonnes/ha. La plante appartient à la famille des Graminées, et est généralement produite sur les sols de vallées (lourds et fertiles). Le Bourgou est repiqué à la manière du riz avec des boutures taillées sur des tiges vigoureuses de 40 cm avec trois à quatre entre-nœuds. Le Bourgou peut aussi être cultivé par semis des graines en ligne ou à la volée avec une norme de 3 kg de graines mélangés avec 10 kg de sable pour un ha. La plante Bourgou a une consommation voisine de celle du riz avec une consommation de 20 000 m3/ha/an et l’irrigation peut se faire d’une manière gravitaire avec une lame d’eau de 15 à 20 cm d’eau une fois par mois en période pluviale/froide et deux fois par mois en période sèche. -
A quoi sert une association d’usagers de l’eau (AUE) ? Exemple de l’AUE Hadin Kaï autour de la mare de Falki
La mare de Falki se situe dans le département de Mirriah à 4 km au sud de cette localité. Elle a une surface de plus de 100 ha dans sa plus forte extension. Cette mare est utilisée par les populations riveraines pour l’irrigation d’environ 300 ha de cultures maraîchères en saison sèche, pour l’abreuvement des animaux, la pêche mais aussi des usages domestiques (lessive, fabrication de briques, etc.). Toutes ces activités peuvent avoir des répercussions sur la ressource en eau et nécessitent une gestion concertée, de plus en plus indispensable compte tenu des changements climatiques et de l’augmentation des besoins des différentes familles d’usagers. Pour lancer la concertation de tous les usagers sur la gestion de cette ressource, les programmes du FIDA et la Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder ont lancé une concertation avec les populations des villages autour de la mare de Falki. A la suite de cette concertation, les populations ont choisi de se réunir en association d’usagers de l’eau (AUE). Cette association réunit les différentes familles d’usagers de l’eau qui ont été identifiées dans des réunions préalables : les maraîchers, les pêcheurs, les éleveurs, les usagers domestiques. -
Une expérience originale de mécanisation partagée en Afrique - les Coopératives d’utilisation de matériel agricole du Bénin
Dans les départements du Borgou et de l’Alibori (Nord Bénin), une coopérative d’utilisation de matériel agricole (Cuma) est constituée d’une dizaine d’agriculteurs en moyenne rassemblés autour de l’achat et de la gestion d’un tracteur d’une puissance de 30 à 70 CV, d’une charrue à disques et d’une remorque de trois tonnes. Aujourd’hui, 102 Cuma sont recensées au Bénin, regroupant environ 850 producteurs.
L’objectif premier que se donnent les groupes ayant créé une Cuma porte sur la motorisation du labour, avec en complément, les activités de transport en période de récolte. En moyenne, une Cuma couvre environ 100 hectares par tracteur pour le labour.
Chaque membre contribue aux charges d’exploitation du matériel, proportionnellement à son utilisation. Le montant de l’apport en capital de chaque membre à la Cuma est fonction de ses superficies travaillées. Après des expériences de financement à crédit peu concluantes, les agriculteurs réunissent désormais eux-mêmes la totalité du capital nécessaire pour acheter les équipements. -
Traitement des fourrages grossiers à l'urée
Description des différentes étapes du traitement -
Fiches Maladies Animales Prioritaires – Mallette Pédagogique Santé Animale PRAPS
Les Fiches Maladies Animales Prioritaires de reconnaissance de 27 maladies et syndromes contenues dans le M.U.P.S.A sont également proposées en édition indépendante. Chacune d’entre elles propose un résumé clair, pratique et illustré pour optimiser la reconnaissance des signes cliniques des maladies animales prioritaires du Sahel et les conduites à tenir face à celles-ci par le personnel de santé animale.
Ces fiches ont été conçues et développées par plusieurs vétérinaires et scientifiques du Cirad - UMR ASTRE et des praticiens de terrain, dans le cadre du Projet PRAPS, projet mis en œuvre par l’OIE dans 6 pays Sahéliens. -
Protéger et valoriser les ressources fourragères – Amélioration des revenus par l’ouverture de bandes pare-feux
Chaque année, à la fin de la saison des pluies, des milliers d’hectares de pâturages partent en fumée du fait des feux de brousse. Ceci entraine d’énormes pertes de fourrages pourtant indispensables à la survie du cheptel.
Dès son démarrage en 2010, le PAAPSSP pour contribuer à la sécurisation des systèmes pastoraux, a mis en œuvre des opérations d’ouverture de bandes pare-feux, qui revêtent une importance capitale pour la protection et la sécurisation des réserves fourragères.
L’innovation apportée par le PAAPSSP est de conjuguer l’ouverture des bandes pare-feux avec le ramassage et à la commercialisation de la paille. Le fourrage ainsi collecté contribue aussi bien à la sécurisation de l’alimentation du bétail en période de soudure qu’à l’amélioration des ressources financières des communes et des travailleurs impliqués -
Service Vétérinaire Privé de Proximité (SVPP)
Face aux différents défis de santé animale, VSF-B accompagne depuis plus de 15 ans la politique de libéralisation de la profession vétérinaire adoptée par les Etats aussi bien en Afrique centrale, de l’Est que de l’Ouest. La vision de ce dispositif est de permettre aux ménages d’agropasteurs, pasteurs - notamment les transhumants - de sécuriser la santé de leurs troupeaux grâce à un accès permanant et durable aux services de santé animale de qualité et en toute saison au sein des pays de départ, de transit et d’accueil. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel – Volume VII – Résultats définitifs – Organisations paysannes
Dans le cadre de la réalisation du Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGA/C), une enquête a été conduite en 2007 en vue de constituer une base de données fiables sur les organisations paysannes au plan national. -
Conscience Politique et Action collective des structures Mata Masu Dubara au Niger - Recherche formative - Rapport de synthèse
Cette étude fait partie d'un vaste programme d'apprentissage contribuant à la Stratégie de Croissance de l'Impact (IGS) de « Femmes en Mouvement » (WOM) de CARE en Afrique de l'Ouest. Le but de cette étude est de tirer les leçons de plus de 25 années d'expérience de CARE Niger sur le modèle Mata Masu Dubara (MMD) qui a fait ses preuves en matière de leadership et d’empowerment des femmes. Il s’agit d’éclairer la mise à l’échelle du modèle MMD et de son impact dans la région Afrique de l’Ouest.
La recherche a appliqué une approche qualitative à la collecte de données, en utilisant les focus groupes et des entretiens semi-structurés. Une équipe de neuf chercheurs, dont les deux principales consultantes qui ont supervisé la recherche, a été déployée. Le choix de neuf (9) fédérations a été fait sur la base de 24 fédérations MMD, existantes dans cinq (5) régions administratives – Niamey, Maradi, Tahoua, Tillabéry, et Zinder -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (1)
L’offre d’éducation/formation des populations pastorales dans les zones transfrontalières déroulée dans le cadre du PREPP (Programme Régional d’Éducation et formation des Populations Pastorales en zones transfrontalières), depuis fin 2013, est une innovation majeure.
Le présent travail d’ingénierie des référentiels de formation a permis d’élaborer des modules de formation exclusivement conçus pour soutenir la formation accélérée qualifiante (FAQ) des éleveurs pasteurs en zones transfrontalières.
Le choix délibéré est fait de construire des contenus et processus d’enseignement-apprentissage selon la démarche DCTP et l’approche par compétences (APC) afin de « Parvenir à une meilleure intégration sociale, politique et économique des populations pastorales transhumantes des zones transfrontalières par l’éducation et la formation professionnelle ».
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur les productions animales, se focalisent sur le thème de la « Production fourragère » et se déclinent comme suit : 1. les cultures fourragères ; 2. la production du foin ; 3. le traitement de la paille à l’urée. Ces modules d’un volume horaire global de 31 heures sont élaborés selon une organisation pédagogique et andragogique qui privilégie la résolution de situations-problèmes. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Santé animale
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la santé animale, se focalisent sur le thème de la « vaccination et traitement des animaux (ruminants et volaille). -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (2)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Complémentation alimentaire » et se déclinent comme suit : Valorisation des sous-produits agro-industriels et fabrication des Compléments Minéraux Vitaminés (CMV) -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" -Projet pédagogique 1 : les aliments pour bétails - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Les éleveurs pour assurer une alimentation pérenne au bétail doivent pouvoir : identifier les différents types de pâturage dans son environnement et son terroir ; identifier les principales espèces appétées par les animaux dans sa région ; décrire au moins 10 espèces de plantes appétées et leur utilisation ; expliquer le dynamisme des pâturages ; faire du bon foin. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 1 : Les aliments pour bétail - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.1 : Pâturages naturels tropicaux - Le présent document tentera d’apporter des solutions aux préoccupations des éleveurs à travers les points suivants : classer les aliments par rapport à la valeur nutritive (fourrage, concentrés, groupes d'aliments) ; gérer les ressources fourragères (pâturage naturel, résidus de récoltes et fourrages cultivés) ; traiter chimiquement et mécaniquement les fourrages ; traiter la paille à l’urée, faire la fenaison) ; citer d'autres aliments (tels que les gousses et fruits de ligneux) ; répertorier les différentes sources d'eau ; énumérer les contraintes majeures de la gestion des ressources hydriques ; citer les éléments clés d’un contrat d'utilisation des résidus de récolte entre agriculteur et éleveur.
Module 1.2 Compléments alimentaires - En période de sécheresse où les fourrages sont rares et que ceux restant perdent une bonne partie de leurs qualités nutritives, l’apport de compléments alimentaires devient nécessaire pour couvrir les besoins des animaux. Il est donc nécessaire que les éleveurs connaissent une meilleure utilisation de ces compléments.
Le module suivant abordera dans son contenu les points ci-après : l’importance des compléments alimentaires ; la composition de la ration alimentaire ; la fabrication des pierres à lécher et des blocs multi nutritionnel. -
Appuyer les organisations de producteurs
L’appui aux organisations de producteurs est un enjeu majeur de l’accompagnement des transformations de l’agriculture dans les pays du Sud. C’est un élément essentiel des politiques en faveur de l’agriculture soutenues par la Banque mondiale. Ainsi, beaucoup de gouvernements souhaitent aujourd’hui disposer d’interlocuteurs crédibles pour concevoir et mettre en œuvre des politiques agricoles et rurales efficaces. Malgré ce contexte favorable, les organisations rencontrent des difficultés pour accéder à l’information et aux ressources et pour les gérer au service de leurs membres. Cet ouvrage a pour objectif d’aider le lecteur à se poser « les bonnes questions » : pourquoi appuyer les organisations ? Comment renforcer l’organisation elle-même ? Comment améliorer les relations de partenariat avec les acteurs publics et privés ? Illustrée d’exemples des pays du Sud, cette synthèse valorise des sources documentaires et l’expérience des formations dispensées par l’IRC à Montpellier dans le cadre du mastère « Acteurs du développement rural », animé par des chercheurs du CIRAD et du CIEPAC. Cet ouvrage didactique est destiné aux acteurs du développement agricole de tous les pays. -
Le broyeur de fourrages
La présente fiche technique fait état des machines à vocation de broyer les fourrages et les différents avantages qu'elles comportent le développement du monde rural en général et des producteurs agricoles en particulier. -
Fiche technique des blocs multi nutritionnels densifiés pour bétail
Au Niger, l’élevage joue un rôle très important dans l’économie nationale et des ménages, dans la sécurité alimentaire en milieu rural et occupe 80% de la population. Malgré son importance, l’élevage rencontre plusieurs contraintes qui limitent sa productivité parmi lesquelles l’insuffisance quantitative et qualitative des ressources fourragères. L’insécurité alimentaire du cheptel liée au déficit fourrager chronique, nous impose de rechercher les solutions alternatives pour atténuer les effets néfastes de l’insuffisance des ressources alimentaires du bétail sur sa productivité et le revenu des éleveurs et agro éleveurs. Dans cette optique, l’INRAN et la FAO ont mis au point une technologie simple de fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés pour Bétail à base des fourrages locaux, des sous produits
agro-industriels, des minéraux et des liants. -
Fabrication d'aliment de bétail sous forme de poudrette
Au Niger, l'élevage se trouve au deuxième rang après l'agriculture parmi les activités qui procurent des revenus importants dans les zones rurales. Il occupe plus de 80% de la population nigérienne. Il contribue pour 11% du PIB national, 35% au PIB agricole (INS-Niger, 2013). -
Élément de formation N° II : L'organisation du suivi des activités des groupements précoopératifs féminins
Dans le cadre de sa première Phase, le Projet SEN.82.oo4. parvenait à équiper 120 groupements féminins. Dans le cadre de sa deuxième Phase en cours, le Projet devait étendre le bénéfice de disposer dl un équipement de traitement des produits agricoles, à quelque 347 nouveaux groupements. L'organisation comptable, mise en place depuis la Phase I, pour 11 exploitation par les groupements féminins, de Ces différents équipements, ne prévoyait pas de documents transmissibles, par le moyen de copies. -
Note de capitalisation du processus d’émergence des associations d’usagers de l’eau : AUE
La gestion efficiente et durable des ressources en eau dans les zones d’intervention fait parti des préoccupations majeures d’intervention du projet petite irrigation PPI RUWANMU. Cette gestion durable passe avant tout par une responsabilisation des usagers à travers un appui à leurs structurations et un transfert de compétences dans le domaine de la gestion et du suivi de la ressource. Le mot «RUWANMU » en langue Haoussa qui consacre le nom du projet, trouve sa signification dans ce souci permanent de cette responsabilisation des usagers dans l’utilisation, la gestion des ressources en eau qui, il faut le rappeler conditionne leur exploitation de manière durable à des fins diverses, particulièrement dans les domaines des productions agro-sylvo pastorales et halieutiques. -
Une coopérative de production sur un site irrigué communautaire qui marche bien
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites ont réalisé dans la région de Dosso pour élargir les références sur des exploitations / fermes souvent qualifiées de « type agrobusiness » qui ne sont pas des exploitations agricoles familiales classiques.Ces exploitations se caractérisent, en général, par des investissements importants en équipement et matériel et sont dirigées par des personnes ayant ou ayant eu une autre activité que l’activité agricole. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes, mais également les besoins pouvant être exprimés par ces exploitants afin de mieux cerner leurs attentes. -
Maladies animales
Ce document est une fiche technique élaborée dans le but de relever les maladies des animaux (bétail) et apporter un traitement à ces derniers. -
Comment élever au mieux mes animaux?
La détention des animaux de ferme de toutes espèces en leur
donnant de bonnes conditions de vie favorise leur bien-être et
leur santé sans recours aux traitement chimiques. -
Manuel sur les Coopératives à l’usage des Organisations de Travailleurs
Le présent manuel passe en revue l’essentiel à connaître sur les coopératives pour tous ceux qui s’y intéressent comme membres, futurs membres, responsables politiques, personnels des institutions nationales ou internationales chargées de la promotion et du développement des coopératives. Dans un langage simple et compréhensible, le manuel traite tour à tour des particularités et des caractéristiques des coopératives, de l’entreprise coopérative dans son ensemble, de la promotion des coopératives et du lien étroit qui existe entre le BIT et les coopératives. -
Littafin horon mambobin kwamiti mai kula da tafiyar da aiki kamfanin manoma mai kama da kungiya (SCOOP)
Les groupements agricole sont des structures paysannes qui donnent une force aux activités menées dans le sens du développement. Le présent manuel, le démontre à travers les activité de la Société Coopérative : SCOOP. -
La pasteurellose : une maladie qui touche les bovins, ovins, caprins et les chameaux au Niger
La pasteurellose est une maladie très fréquente qui peut se trouver dans toutes les régions. A cause du nombre d’animaux malades et de la mortalité des animaux, cette maladie est redoutable sur le plan économique. Elle provoque beaucoup de pertes chez les éleveurs. -
Patrimoine génétique animale du Niger : Guide de bonne pratique pour la complémentation alimentaire des bovins Azawak au Niger
Le Niger est par excellence un pays d'élevage du fait de l'importance et la diversité de son cheptel estimé en 2017 à 46.484.801 têtes de ruminants ( statistique d'élevage, 2017) et un potentiel physique impressionnant de 60 millions d'hectares pâturables. Même si le secteur semble reconnaitre une relative stagnation, il joue un rôle central dans l'économie par ses productions notamment le bétail sur pied. -
Les OP s'organisent pour mieux commercialiser
Depuis 2004, l’Inter-réseaux, avec l’appui du Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA), mobilise des acteurs du Sud pour partager des initiatives de commercialisation mises en place par des OP, en particulier au Bénin, Cameroun, Mali et en Guinée. Nous donnons ici un aperçu de certaines d’entre elles pour illustrer la diversité des stratégies. -
Coupe et conservation du foin
A la fin de l’hivernage en octobre et novembre, l’herbe est encore riche en nutriments, la faucher , la faire sécher à l’ombre et la conserver est une bonne solution pour réduire le déficit en fourrage des exploitations de vaches laitières. -
Hygiene des parcs de bovins
Le lait est pratiquement stérile lorsqu’il est sécrété par un pis sain. Les inhibiteurs naturels du lait (par exemple, la lactoferrine et la lactoperoxydase) limitent la multiplication des bactéries durant trois à quatre heures après la traite, à température ambiante. Le refroidissement à 4°C pendant cette période préserve la qualité originelle du lait et est la méthode de choix pour conserver un lait de bonne qualité en vue d’être transformé ou consommé. Le refroidissement peut être réalisé par réfrigération mécanique ou dans des cuves de refroidissement. -
Ce que vous devez savoir sur la Fièvre de la Vallée du Rift
En général, le bétail, tel que les chèvres, les vaches et les moutons, est atteint par la fièvre de la vallée du Rift avant les humains. Les humains peuvent tomber malades après être entrés en contact avec des animaux contaminés. La FVR ne se transmet pas d’une personne à l’autre. -
Ce que vous devez savoir sur la Fièvre de la Vallée du Rift (signes)
Lorsque des analyses sur des animaux sont recommandées, les vétérinaires peuvent prélever des échantillons en suivant les recommandations ci-après. Pour éviter d’entrer en contact direct avec les fluides corporels des animaux malades ou morts, ou avec les produits d’avortement, portez des gants, des bottes, des manches longues (ou des blouses le cas échéant), et une protection pour le visage (contre les éclaboussures). -
Ce que vous devez savoir sur la Fièvre de la Vallée du Rift (FVR) : comment la prévenir?
Signaler le bétail malade, les avortements, et les décès inattendus à l’agent vétérinaire dans votre district. Ne pas toucher ou enterrer le bétail mort. Appelez le vétérinaire dans votre district. -
La santé animale : Principales maladies
A l'occasion de la traduction en français de l'ouvrage Animal health (volume 2) d'Archie Hunter (1994), un collectif de spécialistes, en majorité du Cirad, coordonnés par Christian Meyer, a révisé et actualisé le texte, pour tenir compte des avancées scientifiques et techniques récentes dans ce domaine. -
La santé animale
A l'occasion de cette traduction de l'ouvrage Animal Health (volume 1) d'Archie Hunter (1996), un collectif de spécialistes français, en majorité du Cirad, coordonnés par Christian Meyer, a révisé et actualisé le texte, pour tenir compte des expériences complémentaires des relecteurs et des avancés scientifiques et techniques récentes dans ce domaine. Gerrit Uilenberg, qui était déjà associé en tant que collaborateur à la version originale anglaise, a également relu intégralement l'ouvrage en français et validé l'ensemble de nouveaux apports. -
Manuel à l'Usage du Personnel de Santé Animale (M.U.P.S.A) : Auxiliaires d'élevage - Techniciens vétérinaires - Vétérinaires
Le Manuel à l’Usage du Personnel de Santé Animale (M.U.P.S.A) ci-présent qui constitue un support de formation continue et un outil de référence pour le terrain. Il contient cinq parties organisées autour des principaux domaines de la santé animale. Chaque partie détaille de manière simple et imagée les notions importantes à connaître pour l’exercice quotidien des missions des agents communautaires, des paravétérinaires et des vétérinaires privés et/ou publics intervenant dans les pays de l’océan Indien. Les rôles de chacun de ces acteurs, la reconnaissance des maladies animales prioritaires et les techniques de santé animale de base sont exhaustivement expliqués dans cet ouvrage. -
La valeur alimentaire des fourrages
Tous les fourrages contiennent une quantité d’eau qui varie selon l’âge du fourrage, la saison, la présentation (frais ou conservé). Le contenu en eau d’un fourrage brut peut varier de 15% (cas d’un foin) à 80% (cas d’une graminée lors de la saison des pluies). La matière sèche (MS) correspond à la partie solide du fourrage, une fois que l’on a retiré toute l’eau du fourrage par séchage dans une étuve. -
Répertoire des produits zootechniques et vétérinaires : mieux connaître les médicaments illicites dans les communes pour informer les éleveurs
Dans le cadre du Programme sur la résilience du système alimentaire (FSRP), le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture du Niger ont été chargés de mettre en place un répertoire de produits zootechniques et vétérinaires (à l’instar du répertoire déjà réalisé pour les produits phytosanitaires) et le maintenir à jour en vue d’alimenter un dispositif e-Extension afin de mettre ce répertoire à disposition des producteurs et agents des dispositifs de conseil Agricole. Le Programme sur la résilience du système alimentaire (en anglais Food System Résilience Program, soit FSRP) est un projet régional d’investissement piloté par la CEDEAO, le CILSS, le CORAF1et cofinancé par la Banque mondiale. -
Technique de conservation des fourrages par voie humide : l'ensilage
L’alimentation constitue l’un des principaux facteurs de réussite dans une entreprise d’élevage.
En effet, même quand l’éleveur dispose de races à hautes performances de production et que
les animaux sont en bonne santé, il ne peut obtenir de rendements maximum (lait ou viande) que si
les bêtes sont bien nourries. Dans les pays sahéliens comme le Burkina Faso, avec la saison sèche
très longue, l’alimentation des animaux est difficile : les pâturages qui sont la base de la ration
alimentaire sont trop pauvres et trop peu riches pour couvrir les besoins de production (qualitatifs
et quantitatifs) des animaux. Seule la saison pluvieuse présente un bon potentiel naturel de fourrages
en abondance et de bonne qualité. Ces fourrages sont soit naturels, soit cultivés. -
Production fourragère en zone Tropicale : l'évaluation des ressources fourragères naturelles
La très grande majorité du fourrage consommé par les ruminants en Afrique tropicale est encore constituée par les pâturages naturels. Savanes, steppes et formations de jachères, offrent la base de l’alimentation du cheptel, même dans les élevages sédentaires ou en voie d’intensification. Comment les évaluer, comment surveiller leur évolution, tel est l’objet de cette fiche. -
Le rôle des organisations de producteurs dans les services de conseil rural
Cette note donne un aperçu de cette diversité et précise les conditions qui permettent aux OP de contribuer à la mise en œuvre de SCR accessibles et durables à l’intention des petits exploitants. -
Le pédiluve acaricide
Les adultes d’Amblyomma variegatum attendent le passage de leurs hôtes sur le sol, cachés sous les débris végétaux. Lorsque les bovins pâturent, ils « réveillent » ces tiques qui se fixent entre leurs onglons avant de gagner les sites de prédilection. Ces observations, faites au Cirdes, ont permis de mettre au point une technique de lutte efficace, rapide et économique : le pédiluve acaricide. -
Diagnostic différentiel des trypanosomoses des ruminants
Les trypanosomoses animales africaines sont des parasitoses dues à des protozoaires flagellés vivant dans le sang de leurs hôtes et qui sont principalement transmis par les glossines. En Afrique, dans les zones sub-sahariennes, les trypanosomoses animales dues à Trypanosoma vivax, T. congolense et T. brucei sont les plus importantes maladies des ruminants transmises par des vecteurs. Elles touchent principalement les bovins, en particulier les zébus qui ne peuvent être élevés dans l’aire de répartition des glossines ; les taurins trypanotolérants (Baoulé, N’Dama, etc.) supportent mieux l’infection et développent des formes chroniques. Ovins et caprins sont souvent moins touchés que les bovins. Les trypanosomoses provoquent : fièvre, anémie, amaigrissement, avortement et peuvent même aboutir à la mort. L’expression clinique peu spécifique prête à confusion avec plusieurs autres hémoparasitoses, des helminthoses, ou même des intoxications. Il est donc nécessaire de rappeler les symptômes de ces maladies, pour un diagnostic différentiel, et de présenter les techniques de laboratoire permettant de confirmer des suspicions cliniques. -
Intégration des cultures fourragères dans les systèmes de production
Depuis longtemps, des tentatives d’introduction de plantes fourragères cultivées ont été réalisées dans de nombreux pays d’Afrique tropicale. Si les résultats sont satisfaisants, et même parfois encourageants en station (Farako-ba, Banankélédaga au Burkina-Faso, Sotuba au Mali, Bouaké en Côte-d’Ivoire et Sangalkam au Sénégal), la vulgarisation pose des problèmes. Rares sont les villages où l’on peut observer des cultures fourragères en place et en bon état. Des obstacles existent, qu’il faut identifier, avant de tenter l’introduction d’une culture fourragère. -
L’importance des ligneux à usage pastoral
La ressource fourragère en ligneux, dans de nombreux terroirs, est en voie d’épuisement. Il faut sensibiliser les éleveurs à ce problème, leur apprendre à l’exploiter. Pour assurer sa pérennité, il faut protéger les ligneux, qu’ils existent naturellement ou qu’ils soient cultivés. Des projets de développement ont investi dans la création de pépinières d’espèces fourragères locales, alors que ces mêmes espèces se reproduisaient et se multipliaient parfaitement dans les formations naturelles environnantes ; elles avaient seulement besoin d’une protection temporaire pour les aider à se développer. -
Les légumineuses fourragères herbacées
Le fourrage des légumineuses est toujours plus riche en azote que celui des graminées (figure 1). Tout au long de l’année, sa richesse en matières azotées digestibles (MAD) reste élevée. Cette relative stabilité de la valeur nutritive procure une plus grande souplesse d’exploitation. Même en saison sèche, même sous forme de foin, elles gardent une valeur protéique correcte. -
Traitement épicutané du bétail
Les traitements épicutanés consistent à déposer sur la peau des animaux des insecticides et/ou acaricides selon diverses modalités. Ils permettent une action simultanée contre les principaux ectoparasites : les tiques et les glossines (figure 1). Pour la lutte contre les tiques, ces traitements sont très répandus et aisément mis en œuvre. Ils peuvent s'appliquer aussi bien à l'individu qu'à l'ensemble du troupeau. Pour la lutte contre les glossines, les traitements épicutanés sont un bon complément aux autres modes de lutte que sont la pose d'écrans et/ou de pièges imprégnés d'insecticides. Ils requièrent dans ce cas une approche communautaire et participative des éleveurs. -
Synchronisation des chaleurs et insémination artificielle bovine
La synchronisation des chaleurs, technique qui permet de maîtriser et d’harmoniser le cycle sexuel des femelles, a l’avantage d’améliorer le taux de succès de l’IA par la levée des contraintes liées à la détection des chaleurs et aux moyens de déplacement. En effet, la détection des chaleurs ne s’impose plus chez la vache synchronisée où l’insémination se fait à une date prédéterminée. En plus, si la synchronisation porte sur un groupe de vaches, le temps de travail s’en trouve du même coup réduit parce que toutes seront inséminées le même jour et au même lieu. Cette fiche technique a pour objet d’aider à la vulgarisation des méthodes de synchronisation des chaleurs et d’IA bovine. Mais, auparavant, quelques rappels sur l’activité sexuelle de la vache sont nécessaires. -
L’insémination artificielle : conditions pour une bonne réussite
L’insémination artificielle (IA), technologie de reproduction consistant à recueillir le sperme d’un géniteur et à l’introduire dans les voies génitales d’une reproductrice sans qu’il y ait accouplement, est de plus en plus pratiquée dans les programmes d’amélioration génétique par croisement en Afrique. En plus de l’intérêt économique associé à l’obtention et à la diffusion rapide de métis performants, d’autres avantages liés à la pratique de l’IA concernent les aspects de conservation du patrimoine génétique et de sécurité sanitaire. Combinée aux techniques de groupage des chaleurs, l’IA peut contribuer à une meilleure gestion des troupeaux et à une optimisation de la carrière reproductive des animaux. Ces nombreux avantages ont créé chez l’éleveur africain un réel engouement pour l’IA. Cependant, cet engouement ne s’est pas encore traduit par un fort taux d’adoption de la technologie, principalement à cause de son coût de revient élevé (44 000 FCFA l’insémination lors d’opérations menées au Mali en 2002/2003) et de son taux bas de réussite (un taux moyen de 34 % en Afrique). -
La cowdriose : épidémiologie et contrôle
La cowdriose, maladie mortelle pour les ruminants, constitue un des obstacles majeurs à l'introduction en zone subhumide d'animaux originaires d'Europe ou de régions africaines où le vecteur est absent. La prévention par une lutte rigoureuse et constante contre les tiques étant aléatoire et le vaccin n'étant pas encore disponible, le recours principal contre la maladie reste l'application rapide d'antibiotiques appropriés. Il est donc essentiel de connaître les modalités d'apparition de la cowdriose et de l'identifier dès qu'elle se manifeste. -
Comment pérenniser les acquis de la lutte antivectorielle ?
En Afrique de l’Ouest comme dans d’autres régions, l’échec de la plupart des projets de développement de première génération a souvent été attribué à l’incapacité des bénéficiaires à poursuivre les actions, une fois ces projets arrivés à terme. Les problèmes de développement, auxquels on a cru avoir trouvé des solutions durables, se posent de nouveau, souvent avec plus d’acuité. C’est le cas notamment des campagnes de lutte contre la trypanosomose animale où la ré infestation rapide des zones assainies s’est toujours révélée désastreuse pour l’élevage bovin en particulier. Parmi les causes des nombreux échecs, le manque d’implication des populations dans la conception et la mise en œuvre des programmes figure en première place. -
Développement des organisations professionnelles agricoles : Approches de la GIZ
Le présent rapport contient les résultats d’une étude menée entre le 5 octobre et le 13 novembre 2015 à travers l’outil d’enquête en ligne askallo.org. Les représentants de 26 programmes de la GIZ, pour la plupart des programmes bilatéraux et régionaux basés en Afrique et en Asie, ont participé à cette étude. L’objectif principal de l’étude et de ce rapport est de créer une base pour un partage fructueux des leçons apprises, des bonnes pratiques, des stratégies et des instruments pour une promotion effective et efficiente des organisations professionnelles agricoles (OPA) entre les programmes GIZ, et de jeter les bases du développement d’une boîte à outils. Réalisée par le groupe de travail Agribusiness and Food Security (ABFS) du Réseau de développement rural en Afrique (SNRD), cette étude a été saluée par tous les répondants, qui ont souligné le besoin d’échanges accrus sur leurs approches et expériences. La version consolidée de ce rapport a été compilée après des discussions inspirantes lors de la rencontre du SNRD ABFS à Lomé en Mars 2016. -
Alimentation des poissons à partir des produits locaux
L’activité piscicole se développe davantage dans plusieurs régions d’Afrique, car la rareté du poisson dans les milieux naturels se fait de plus en plus ressentir. Au Bénin, le développement de la pisciculture voit émerger de nouveaux pisciculteurs afin de répondre aux beso ins de la population en termes de disponibilité de protéines animales et notamment ceux des poissons. Ces nouveaux pisciculteurs sont cependant encore peu nombreux et concentrés dans le sud du pays. De plus, leurs activités piscicoles sont confrontées aux coûts élevés de l’alimentation, car elles sont basées sur l’utilisation exclusive de la provende importée. -
Rapport de mission : clôture de projet de capitalisation, Atelier final
Dans le cadre du volet « capitalisation » (RA4) du projet Nariindu, RBM a la responsabilité de l’organisation d’un atelier de partage d’expériences sous-régionales, s’appuyant sur les premières conclusions des études pays et sur la synthèse du LARES. Célia Coronel, en tant que responsable « capitalisation » du projet Nariindu, assure un appui technique à RBM et au LARES, et réalisera dans ce cadre des appuis directs à l’occasion de sa mission : appui à la finalisation des rapports pays et de la synthèse du LARES, appui à l’organisation de l’atelier sous-régional, appui à l’animation de l’atelier. -
Pratique et utilisation des sous-produits de légumineuse dans l’alimentation du bétail à la communauté urbaine de Niamey : Cas de fanes et cosses de niébé (Vigna unguiculata)
Une enquête a été menée dans la Communauté urbaine de Niamey afin d’analyser la commercialisation et les pratiques d’utilisations des sous-produits de niébé dans l’alimentation animale. Au total, 150 éleveurs et 150 revendeurs des sous-produits de niébé ont été enquêtés. Les résultats ont montré que parmi les personnes enquêtées les éleveurs, d’ethnie Djerma âgés de 40 à 59 ans représentent 48,7% alors que chez les revendeurs, ils représentent 88,%. Ces éleveurs pratiquent l’élevage, l’agriculture et le commerce et utilisent aussi bien les fanes que les cosses de niébé pour alimenter leurs animaux. Il a été observé des pertes de feuilles de fanes d’environ 5% au poids d’une botte lors du transport. Conclusion et application : Parmi les sous-produits de niébé, les fanes sont facilement utilisables en saison froide pour 54% des enquêtés. Ces fanes sont distribuées en vrac (76,6%), sans transformation ni association (97,3%) quelconque. Les cosses sont distribuées nature sans modification (90,7%) pendant toute l’année. Une botte de fane d’environ 5 kg est offerte par animal le matin et une tasse des cosses d’environ 1kg/animal sont offertes dans l’après-midi. Cette étude donne l’espoir de continuer à investiguer sur la valorisation des sous-produits de niébé dans l’alimentation du bétail. -
L’élaboration d’un règlement intérieur pour les opérations de warrantage
La présente fiche est destinée à tous les agents intervenant dans l’encadrement technique et méthodologique des organisations paysannes (OP), notamment celles qui œuvrent dans le domaine du warrantage. La présente fiche concerne donc tous les acteurs du développement, en particulier les faîtières d’OP et les structures d’appui à ces organisations (services techniques de l’État, projets, ONG, etc.). -
La prise en compte du genre dans les différentes étapes du warrantage : une approche en faveur des producteurs et des productrices
Cette fiche de contrôle est destinée à tous les acteurs du développement qui interviennent dans l’encadrement technique et méthodologique des organisations paysannes, particulièrement celles qui œuvrent dans le domaine du warrantage : les faîtières d’organisations paysannes (OP) et les structures d’appui à ces organisations (services techniques de l’État, projets, organisations non gouvernementales, etc.). -
Formation sur les cultures fourragères : focus sur le Pennisetum purpureum (maralfalfa)
L’objectif général de ce document est de permettre au formateur d’y trouver toutes les connaissances requises pour pouvoir dispenser le module de formation sur les cultures fourragères, particulièrement sur le Maralfalfa (Pennisetum purpureum). -
Fiche 1 : Définition et missions des OIP
Il persiste chez les acteurs d’organisations professionnelles du monde agricole, et parfois au sein même des membres des organisations interprofessionnelles (OIP), un flou sur ce qu’est (ou n’est pas) une OIP, son rôle et ses missions spécifiques par rapport aux autres organisations existantes dans le secteur agricole telles que les organisations de producteurs (OP). L’absence de cadres juridiques sur les OIP pendant de nombreuses années en Afrique de l’Ouest et la multiplicité des approches de mise en place de ces organisations développées par les partenaires techniques et financiers et les structures d’accompagnement ont également contribué à maintenir ce « flou ». Cette fiche « Définition et missions des OIP » vise à expliquer le périmètre des OIP et présenter les missions et objectifs qui lui sont généralement assignés. Elle met également en avant les éléments auxquels doivent être attentifs les acteurs des OIP dans la définition de leurs missions. -
Fiche 2 : Mise en place des OIP
Le schéma organisationnel des acteurs impliqués dans les filières agricoles présente plusieurs types d’organisations. Si pour les organisations professionnelles que constituent les groupements, associations paysannes, coopératives, organisations de producteurs (OP) etc., le problème semble ne pas se poser en ce qui concerne la compréhension de leur composition parce qu’elles regroupent des acteurs d’une même fonction (regroupement horizontal) ; ce n’est pas le cas pour les organisations interprofessionnelles (OIP) dont le type de regroupement des acteurs est vertical. Qui peut être membre d’une OIP ? Comment sont identifiés les acteurs pouvant constituer une OIP ? De façon globale, cette fiche « Composition et structuration des OIP » vise à clarifier la question de la composition et de la structuration des OIP. Spécifiquement, elle mettra l’accent sur les catégories d’acteurs rencontrées dans les OIP, la structuration des OIP ainsi que les rôles et responsabilités des organes et des membres. -
Fiche 3 : Composition et structuration des OIP
Le schéma organisationnel des acteurs impliqués dans les filières agricoles présente plusieurs types d’organisations. Si pour les organisations professionnelles que constituent les groupements, associations paysannes, coopératives, organisations de producteurs (OP) etc., le problème semble ne pas se poser en ce qui concerne la compréhension de leur composition parce qu’elles regroupent des acteurs d’une même fonction (regroupement horizontal) ; ce n’est pas le cas pour les organisations interprofessionnelles (OIP) dont le type de regroupement des acteurs est vertical. Qui peut être membre d’une OIP ? Comment sont identifiés les acteurs pouvant constituer une OIP ? De façon globale, cette fiche « Composition et structuration des OIP » vise à clarifier la question de la composition et de la structuration des OIP. Spécifiquement, elle mettra l’accent sur les catégories d’acteurs rencontrées dans les OIP, la structuration des OIP ainsi que les rôles et responsabilités des organes et des membres. -
Fiche 4 : Accords au sein des OIP
Une des principales missions « revendiquées » par les acteurs au sein des OIP et généralement affichées au niveau des cadres réglementaires nationaux sur les OIP en Afrique de l’Ouest est la promotion et la gestion d’accords entre les différentes familles professionnelles. En effet, les OIP constitueraient un des « cadres privilégiés » pour le développement de l’agriculture contractuelle. Pour certains acteurs des OIP, les accords interprofessionnels constitueraient la raison d’être des OIP1. Toutefois, la plupart des OIP rencontrées dans la sous-région semblent avoir du mal à établir des accords interprofessionnels entre les familles d’acteurs, ou dans d’autres cas, à en assurer la mise en œuvre effective. Il existe toutefois des exceptions dans quelques filières, mais les exemples d’aboutissement de ces accords commerciaux sont trop peu nombreux au regard de leur importance. Cette fiche sur les « Accords au sein des OIP » abordera la question autour de plusieurs points : la définition et l’intérêt de l’établissement d’accords interprofessionnels, le rôle des OIP dans l’élaboration et le suivi de ces accords, les conditions d’amélioration de l’exercice de cette mission par l’OIP. -
Fiche 5 : Ressources financières des OIP
La mise en place de mécanismes durables de mobilisation de ressources financières demeure un enjeu majeur dans les organisations interprofessionnelles (OIP). En effet, une des erreurs dans les processus de création des OIP est de ne pas définir en amont, une stratégie de mobilisation des ressources financières propres, permettant de réduire la dépendance aux fonds extérieurs. Conséquence : assurer le fonctionnement des OIP et répondre aux missions que se sont fixées ces structures à leur création demeurent des défis constants du fait du manque de ressources pérennes. Cette fiche « Ressources financières des OIP » présente quelques modalités de financement des OIP, et comment les acteurs des OIP en Afrique de l’Ouest peuvent saisir les opportunités existantes, leur permettant d’assurer un financement durable de leurs missions. -
Rôle des interprofessions dans l'alimentation des marchés urbains
Le présent document porte sur la synthèse de capitalisation des expériences des organisations interprofessionnelles (OIP) en Afrique de l’ouest. Il vise à documenter les initiatives développées par les interprofessions, contribuant à une régulation concertée des marchés agricoles et au renforcement du positionnement des agriculteurs familiaux et des consommateurs urbains sur les filières. Les interprofessions peuvent contribuer à réguler le marché, en atténuant les chocs dus notamment aux fluctuations des prix. -
La babésiose
La babésiose est mondialement la plus importante des parasites du bétail transmise par arthropode vecteur et figure à ce titre parmi les maladies listées par l'organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE). Son importance est principalement économique si l'on considère les pertes pour le cheptel bovin, qui sont considérables dans les pays en développement touchée par B. bovis et B. bigemina. -
La clavelée
La clavelée est une maladie connue sous le nom de la variole ovine est une maladie virale infectieuse, hautement contagieuse. -
La fièvre aphteuse
La fièvre aphteuse, médicalement bénigne, exceptionnellement transmissible à l'homme, constitue en revanche un fléau économique redoutable en raison de son extraordinaire contagiosité. -
La fièvre de la Vallée du Rift
La fièvre de la Vallée du Rift (FVR) est une maladie virale aigu pouvant affecter gravement diverses espèces d'animaux domestiques (tels que les buffles, les camélidés, les bovins, les caprins et les ovins) ainsi que l'homme. -
Analyse organisationnelle et planification stratégique des unions
Le présent «Guide méthodologique» d'appui à 1'« Analyse Organisationnelle et Planification Stratégique» des Unions de la Fédération Mooriben est le résultat du travail Onjoint des équipes -d' Animateurs et Animatrices des Unions, du Secrétaire exécutif de la GPN et des Consultants et Facilitateurs de l'équipe d'appui. -
Fédération des Coopératives Maraichères du Niger (FCMN-NIYA)
La Fédération des Coopératives Maraichères du Niger (FCMN) a été créée en 1996 dans un contexte général qui était favorable à l'association des producteurs (la loi 96/067 du Niger sur les organismes ruraux, libéralisation des économies, désengagement de l'Etat). Après l'adoption de la loi 96-067, FCIVIN est la poursuite de l'Association des Producteurs Maraîchers du Niger (Aspromani). Les principales raisons de la création de la FCMN étaient que les maraichers ne voyaient pas leurs préoccupations prises en compte au sein de l'Union Nationale des Coopératives (étatique) et rencontraient des problèmes d'approvisionnement d'intrants et des problèmes de commercialisation. La FCMN a été reconnue officiellement en tant que fédération par l'arrêté d'agrément 004/CNI du 02 décembre 1998. A sa création, elle consistait de onze coopératives (situées dans les régions de Niamey, Dosso, Tillabéry et Tahoua). Elle regroupe aujourd'hui environ 22.500 producteurs maraîchers répartis dans 123 coopératives dont 18 unions. La fédération a des membres dans toutes les régions du Niger, avec concentration dans les régions d'Agadez et Tillabéry et le Centre Urbain de Niamey. -
Identification et cartographie des activités des OP membres de PFPN
La Plateforme Paysanne du Niger créée en avril 1998 est un cadre organisé de réflexion ; de concertation et d'action des Organisations Paysannes (OP) nigériennes. A sa création elle compte 9 OP membres, aujourd'hui elle en compte 27. Elle est apolitique non lucrative et entièrement indépendante de l'État et de l'administration, non confessionnelle, non discriminatoire et sans distinction de genre. La Plateforme Paysanne est une structure faîtière de type confédération et dans sa composition actuelle, elle regroupe des associations, des fédérations, des unions, des coopératives, des groupements et des OIE. Ses objectifs sont entre autres :
• La constitution d'un cadre d'organisation du monde rural et d'échange, d'expériences autour des politiques de développement ;
• La diffusion et la défense des points de vue des paysans et éleveurs dans la formulation des politiques de développement ;
• La sensibilisation du monde rural en vue d'une gestion et d'une exploitation des ressources naturelles et de l'environnement local et pastoral ;
• La constitution d'un cadre approprié de lobbying pour les activités du monde rural -
La vaccination et la péripneumonie contagieuse bovine
Le présent dossier est un guide à l'intention des agents, animateurs, animatrices appliquant l'approche participative. Il permet aux bénéficiaires de parfaire leurs connaissances sur l'intérêt de la vaccination dans la prévention de la péripneumonie contagieuse bovine. Le dossier est élaboré après identification du problème dont l'action à mener constitue la solution. Il nécessite l’utilisation : - d'outils didactiques qui permettent la compréhension et la maîtrise du contenu ; - de matériel pour l'exécution. Le dossier technique de vulgarisation ne constitue pas un élément isolé de la démarche participative. Il s'insère dans le cheminement méthodologique et demeure un des outils fonda mentaux de l'application de l'approche. -
La vie en association
Ce document est illustré en image dans le cadre de la vie associative d'un groupement, une organisation. -
Les organisations paysannes nigériennes en mouvement : diagnostic participatif rapide de 20 organisations paysannes
Les 26 et 27 février 2002, 16 organisations paysannes se réunissaient à Torodi à cet effet de réaliser trois objectifs fixés pour cette réunion : . . . • informer et recueillir les avis des participants sur l'initiative de mise en place d'un cadre de concertation des OPA du Niger ; analyser et adopter la démarche opérationnelle de mise en place du Cadre de concertation : • examiner et adopter tes projets de termes de référence du diagnostic des OPA et de l'atelier qui en découlera. -
Les organisations paysannes dans la négociation des politiques agricoles en Afrique de l'Ouest et au Sénégal
Cette fiche s'intéresse à la problématique de l'implication des organisations paysannes (OP) sénégalaises et ouest africaines dans les négociations des politiques agricoles. Elle est destinée à fournir des outils de compréhension et d'action aux responsables des OP, mais aussi aux autres acteurs de la société civile, et à tous ceux qui s'intéressent au sujet. -
Plan d'affaires de la Fédération SA'A de Maradi pour la commercialisation du souchet à l'export
Le marché du souchet est assez mal connu à cause de son développement récent ; c’est un marché émergent, aussi bien en termes de production qu’en termes de potentiel de marché. Le caractère limité de l’offre sur le marché est dû aux conditions climatiques particulières nécessaires pour la production du souchet. Au niveau international, l’on retrouve la production en Afrique du Nord et tropicale ainsi que dans une petite partie du Sud des Etats Unis. En Europe, l'Espagne est le seul pays producteur. Les principales zones de productions et de transformation sont localisées dans la zone nord de la « Huerta » de Valence et s'étendent sur 6.500 ha (Journal officiel des Communautés européennes – 3-7-1998). -
Lutte contre les principales maladies aviaires
Au Niger, on dénombre plusieurs maladies liées à l’élevage des poules. Cette fiche technique présente dans un premier temps les difficultés auxquelles sont confrontés cette filière et propose ensuite des moyens de lutte par de meures de gestion, d'appropriation et de pérennisation. -
Fièvre charbonneuse ou anthrax
La fièvre charbonneuse est une maladie due à la bactérie sporulée Bacillus anthracis. Le nom de la bactérie provient du mot grec signifiant charbon, en référence aux escarres noirâtres qui se forment au milieu des lésions cutanées chez les personnes atteintes. La fièvre charbonneuse est présente sur tous les continents et provoque une mortalité élevée chez les ruminants ; cette maladie est une zoonose (c’est-à-dire qu’elle affecte principalement les animaux mais atteint également l’homme). La bactérie produit des toxines extrêmement toxiques responsables des symptômes de la maladie et qui entrainent un taux de mortalité élevé. La plupart des mammifères sont sensibles, mais la fièvre charbonneuse affecte surtout les ruminants et les humains. -
Des dispositions générales et des définitions (maladies à déclaration obligatoire)
Le présent décret fixe la liste des maladies à déclaration obligatoire et les mesures de police sanitaire applicables. -
Charbon bactéridien
Le charbon bactéridien, appelé aussi fièvre charbonneuse, ou anthrax en anglais, est une maladie d'origine bactérienne qui touche principalement le bétail : bovins, ovins, caprins, dromadaires et chevaux. Le charbon bactéridien est une maladie infectieuse aiguë particulièrement mortelle et virulente, présente au Niger. Cette maladie est une zoonose, c’est à-dire qu’elle affecte principalement les animaux mais peut également atteindre l’homme. -
Fiche technique : déparasitage des animaux domestiques en début et en fin de saison des pluies
Les animaux sont particulièrement exposés à des parasites toute l’année, mais le risque d’exposition est plus élevé pendant la saison des pluies. L’hivernage est un facteur favorisant l’éclosion des œufs des parasites et leur multiplication en abondance dans l’environnement. Par ailleurs, les animaux en broutant l’herbe ingèrent également les larves de parasites qui vont se retrouver dans leur tube digestif, ces dernières se développent et sont à l’origine de plusieurs maladies parasitaires. -
Fiche technique : maladie de la grippe aviaire
La maladie de la grippe aviaire, ou influenza aviaire, constitueune menace pour les éleveurs de volaille. Cette maladie est apparue au Niger en 2006. Depuis, elle réapparait plus ou moins régulièrement. Ainsi, en début 2022, une épizootie a sévi dans les régions de Niamey, Dosso et Tillabéri, et a causé la mort de 90 000 sujets de volaille. En décembre 2022, des foyers de la maladie ont été identifiés dans la Région de Tahoua et à Niamey et environ 10 000 volailles ont dû être abattues. -
Pharmacopée vétérinaire traditionnelle des éleveurs du sud-Niger
Une enquête a été effectuée dans le sud du Niger (Département de Dosso) afin de relever puis de dresser un inventaire des plantes utilisées dans la pharmacopée vétérinaire locale. -
Fiche technique : maladie de la variole aviaire
La variole aviaire est une maladie virale fréquente des oiseaux domestiques (poulets, dindons, pigeons). Elle est nommée Ziguawan en Zarma et Waké en Haussa. Il s’agit d’une maladie se propageant lentement qui est caractérisée par la formation de lésions cutanées sur les parties non couvertes de plumes tels que la tête, le cou, les pattes et les pieds (formes cutanées) et/ou de lésions de la partie supérieure de l’appareil respiratoire. Cette maladie est due à un virus du genre Avipoxvirus. -
Évaluation de la couverture immunitaire contre la peste des petits ruminants après la campagne de vaccination 2015-2016 dans les régions d'Agadez et de Diffa au Niger
Ce travail est structuré en deux grandes parties. La première partie est une synthèse bibliographique des données sur l’élevage des ruminants au Niger, les généralités sur la PPR ainsi que les méthodes de lutte mises en œuvre au Niger. La deuxième partie est consacrée à l'étude expérimentale relative à l’enquête sérologique de la PPR au Niger. Dans cette partie, nous exposerons le matériel et les méthodes utilisés, les résultats obtenus suivis d’une discussion puis nous formulerons des recommandations. -
La Peste des Petits Ruminants (PPR)
La PPR est une maladie virale hautement contagieuse qui affecte les petits ruminants domestiques (les chèvres et les moutons), le dromadaire et certains petits ruminants sauvages. Longtemps méconnue, elle est aujourd’hui endémique dans la plupart des pays de l’Afrique, du Moyen-Orient et de l’Asie. Elle entraine des pertes considérables dans les troupeaux et met en danger les moyens d’existences et la sécurité alimentaire des populations les plus pauvres. En dépit, de l’existence d’un vaccin très efficace, elle poursuit sa progression géographique et expose les pays du Sud indemnes et les pays du Nord aux risques d’une incursion du virus et d’une émergence de la maladie. -
Les interprofessions des filières agricoles dans la Loi d’orientation agricole du Mali
Cette note présente les articles de la LOA du Mali qui concernent spécifiquement la création et le rôle des interprofessions des filières agricoles. Elle est complétée par une note présentant le décret d’application fixant les modalités de création et d’enregistrement des organisations professionnelles (31 décembre 2008). -
Les interprofessions des filières agricoles : qui peut (doit) participer à une interprofession ? Comparaison des textes sur les interprofessions : France, Mali, Sénégal et l’avant projet du Burkina Faso
Cette note présente une comparaison des textes de loi sur les interprofessions (IP) de France, du Mali et du Sénégal, sur la question des membres et de la composition des interprofessions, à travers les textes réglementaires de ces trois pays qui ont élaboré une loi relative aux interprofessions agricoles1. -
Recensement d'expériences d'interprofession en Afrique de l'Ouest
Ce projet vise à éclairer les décideurs, qu’il s’agisse de leaders paysans, de responsables politiques, d’acteurs économiques des filières agricoles, de responsables de projets ou de la société civile, sur des formes innovantes et performantes d’organisations interprofessionnelles, permettant une régulation concertée des marchés agricoles, au profit de l’ensemble des maillons des filières, et en particulier des agriculteurs familiaux et des consommateurs urbains. Le projet contribuera à promouvoir la concertation entre acteurs au sein des filières agricoles en vue d’un meilleur approvisionnement des centres urbains par les producteurs agricoles familiaux. -
Les organisations interprofessionnelles en Afrique de l’Ouest, des réponses à la libéralisation
Qu’entend-on par organisation interprofessionnelle ?
Comment ces organisations sont-elles apparues, sous l’impulsion de quels acteurs, dans quelles filières et pour répondre à quels enjeux ? Quelles sont les réalités actuelles de ces organisations en Afrique de l’Ouest ? Présentation et analyses.
On assiste depuis 15 ans à l’émergence de nouvelles organisations dans les filières agricoles africaines. Les interprofessions, cadres de concertation, comités interprofessionnels ou tables filières, sont autant de formes d’organisations dites « interprofessionnelles » qui sont apparues ces dernières années, notamment en Afrique de l’Ouest. Ces dispositifs, inconnus auparavant, suscitent aujourd’hui un fort intérêt de la part des acteurs économiques des filières agricoles, des décideurs politiques et des partenaires au développement. Qu’entend-on par organisation interprofessionnelle (OIP) ? Ce terme est utilisé pour désigner le regroupement d’au moins deux « familles » professionnelles (ou « métiers ») présents sur une filière, familles d’acteurs réunies pour dialoguer, se concerter, établir des accords et/ou mener collectivement des actions autour d’un ou plusieurs produit(s) agricole(s). -
Peste des petits ruminants
La peste des petits ruminants (PPR), également connue sous le nom de « peste caprine », est une maladie virale des caprins et des ovins qui se caractérise par de la fièvre, des lésions buccales, de la diarrhée, une pneumonie et parfois la mort. La maladie est causée par un virus du genre morbillivirus (famille des paramyxovirus), qui est apparenté à celui de la peste bovine, de la rougeole et de la maladie de Carré. Des bovins et plusieurs ruminants sauvages ont été contaminés le plus souvent expérimentalement, mais les caprins et les ovins sont les cibles habituelles. -
Typologie des Organisations Interprofessionnelles dans le monde
La présente note présente un panorama - non exhaustif - des différents types d’OIP dans le monde. L’analyse mettra en exergue, les processus de création des OIP, les spécificités dans leur structuration et leur fonctionnement ainsi que les avantages et limites qui en découlent, et le cas échéant, les évolutions récentes au sein de ces dispositifs interprofessionnels. L’objectif visé est d’éclairer les acteurs ouest-africains sur d’autres formes d’OIP existant dans le monde, pouvant être porteuses d’enseignements et d’innovations dans le contexte interprofessionnel régional. -
Manuel de vaccination contre la peste des petits ruminants pour les pays sahéliens d’Afrique de l’Ouest: Burkina Faso, Mali, Sénégal
Conçu sous la forme de neuf (9) modules, ce manuel comprend : des rappels sur l’immunologie de la vaccination et sur la PPR, la présentation des différentes composantes de la vaccination, et enfin, l’expérience d’ILRI au Mali sur la stratégie d’augmentation de la couverture vaccinale chez les petits ruminants et les bovins. -
Un outil de formation pour le renforcement des interprofessions agricoles en Afrique
Le présent module de formation est inspiré d’un programme intégré de formation et de développement de l’agriculture conçu et mis en œuvre par UPA Développement international (UPA DI) et ses partenaires : Les Savoirs des gens de la terre (LSGT). C’est un outil pédagogique qui permet d’introduire les différents concepts inhérents à l’approche d’interprofession. Il a été élaboré en se basant sur l’expérience québécoise de l’Union des producteurs agricoles (UPA) ainsi que sur l’expérience d’UPA DI dans plusieurs pays en développement. La version qui suit a été adaptée à la réalité des interprofessions céréalières ouest-africaines. Ce module vise à rendre les représentants au sein des interprofessions aptes à gouverner de manière professionnelle et efficace les destinées de leur organisation. Elle permettra à ces personnes de comprendre ce qu’est une interprofession, son rôle, ses actions possibles, ses forces et les risques associés ainsi qu’identifier quelques éléments essentiels d’un plan d’action annuel et, si nécessaire, réajuster les activités déjà planifiées. -
Les organisations interprofessionnelles agricoles (OIP) en Afrique de l’Ouest
Interprofessions, cadres de concertation, comités interprofessionnels, tables filières, autant de formes d’organisations dites « interprofessionnelles », qui fleurissent ces dernières années en Afrique de l’Ouest et suscitent un fort intérêt de la part des acteurs économiques des filières agricoles comme des décideurs politiques et de certains bailleurs de fonds. -
Les antiparasitaires vétérinaires en vente au Niger (30 septembre 2023)
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture du Niger ont démarré la mise en place d’un répertoire des produits vétérinaires et intrants zootechniques en vente au Niger (à l’instar du répertoire déjà réalisé pour les produits phytosanitaires en agriculture) sur les marchés et dans les boutiques. Il s’agit donc principalement des médicaments proposés aux éleveurs par des circuits illicites (médicaments non autorisés vendus par des personnes non qualifiées). -
Les OP passent leurs « marchés » dans la région de Diffa
Le Fonds d’Appui Régional (FAR) s’inscrit dans la composante 2 du programme « Appui au secteur rural des régions de Diffa et de Zinder (PASR) ». Une grande partie du financement est dirigée en subventions à l’endroit des organisations de producteurs, sous forme de microprojets. Les porteurs de ces projets assurent un certain nombre de tâches liées à la maîtrise d’œuvre de leur projet, notamment la passation des marchés et la signature de contrats de prestations. Cette note présente les premières passations de marché réalisées par une coopérative de producteurs et un groupement féminin dans la région de Diffa. -
Rapport de l’atelier de partage et d’échanges d’expérience sur les mécanismes de transfert de technologies de Dosso et Diffa
On a noté une représentation satisfaisante et une participation forte des femmes. Les CRA ont respecté les demandes du RECA (une proportion significative mais de qualité pour garantir une participation effective). Les femmes présentes étaient principalement des productrices d’arachide ou maraîchères avec une expérience très significative tant du point de vue technique que des organisations paysannes. -
Recensement des produits vétérinaires et intrants zootechniques vendus sur les marchés dans la Région de Tahoua
L’objectif de ce répertoire est de connaitre les produits proposés aux éleveurs, et achetés par ces derniers, afin de mieux expliquer les risques que présentent les produits vétérinaires contrefaits ou de qualité inférieure, et apprendre comment les identifier et les signaler. Ce répertoire va servir de référence au Centre d’appels élevage du RECA pour répondre aux questions des appelants et aussi à préparer des messages vocaux d’information à destination des éleveurs et agents des dispositifs de conseil agricole. -
Les déterminants sociaux, culturels et individuels des comportements à risque, de prévention et de riposte aux
maladies zoonotiques prioritaires au NigerL’objectif principal de cette étude est d’identifier les déterminants sociaux, culturels et individuels des comportements à risque ainsi que les mesures de prévention et de riposte contre les maladies zoonotiques prioritaires au Niger. -
La Peste des Petits Ruminants (PPR) au Niger
Pour la peste des petits ruminants, 22 foyers ont été recensés dans les régions d’Agadez, Diffa, Dosso, Maradi, Tahoua, Tillabéri, Niamey et Zinder, avec une prédominance dans les régions de Tillabéri et Niamey (6 foyers pour chacune). Ces foyers ont concerné un effectif de 3 214 têtes, avec 743 animaux malades et 377 décès soit un taux de mortalité de 12% des effectifs concernés et un taux de mortalité de 51% des animaux malades. Généralement pour toute maladie, les symptômes sont caractéristiques : c’est d’abord que l’animal n’a pas un comportement normal, c’est à dire l’animal cesse de manger et il est toujours derrière quand ils vont au pâturage. Ces signes sont classiques et ils demandent que l’éleveur se rapproche du vétérinaire. -
Formation sur les cultures fourragères : focus sur le Pennisetum purpureum (Maralfalfa) / Guide n°2
Ce guide de formation traite des dimensions techniques de ce type de production fourragère que l’État souhaite promouvoir en Mauritanie. Cependant la promotion d’une telle culture fourragère exigeante en eau, terre fertile et irrigable et en fertilisant devra nécessairement s’accompagner d’un chapitre solide et précis de faisabilité économique en lien avec les spécificités de chacun des systèmes d’élevage concerné. -
Etude sur la pertinence, l'efficacité et l'efficience des DIP/SVPP pour l'amélioration des productions animales
L’étude a pour objectif général de mettre en évidence une corrélation entre une augmentation des productions animales et des revenus des ménages bénéficiaires et l’adoption des technologies vulgarisées à travers les DIPE/SVPP. En d’autres termes il s’agit d’évaluer les effets ou les changements apportés au niveau des communautés par les DIPE. -
Banque, réserves nationales et régionales d'aliment du bétail
Plusieurs types de ressources sont utilisés pour l'alimentation du bétail au Sahel. A-delà des paturages herbagers (sur les parcours ou récoltés et stockés comme foin ou pailles), on peut distinguer trois catégories d'aliments du bétail : 1) les résidus agricoles consommés dans les champs ou alors récoltés et stockés (chaumes de céréales, fanes de légumineuses), 2) les feuilles de ligneux et autres fruits, 3) les sous produits agro-industriel ( sons, tourteaux, farines, basses). -
La Maladie de la Rage au Niger
La rage est une maladie virale qui touche le système nerveux central des mammifères (chiens, chats, certains animaux sauvages), dont celui de l’homme. Le virus est particulièrement présent dans la salive et le cerveau des animaux infectés, le plus souvent des chiens. Il est généralement transmis par la morsure d’un animal malade. Les chauves-souris représentent également un réservoir important du virus dans certaines régions. -
Maladie de NEWCASTLE
Au Niger, l’aviculture est pratiquée par la majorité de la population rurale et notamment les femmes. Elle permet d’obtenir des revenus réguliers pour des milliers de ménages, revenus leur permettant de faire face à de nombreuses dépenses tant pour l’alimentation que pour la santé ou l’éducation. Mais l’élevage de volailles se heurte à une maladie terrible et régulière appelée maladie de Newcastle. La maladie est fréquente au Niger et entraine des mortalités importantes des volailles surtout en milieu rural. Elle est aussi appelée Koatou en Zarma et Dan killo en Haoussa. -
Analyse technico–économique des Aliments densifies sur les performances de croissances des boucs roux de Maradi au Niger
Une étude portant sur l’influence des aliments densifiés sur la performance de croissance des boucs roux de Maradi a été conduite entre juillet 2016 à septembre 2016. Quarante deux (42) boucs ont été répartis au hasard en six lots de sept individus. Chaque lot correspond à un aliment ou traitement préparé à partir des ingrédients broyés et les individus représentent les répétitions. Les animaux sont logés dans des cages individuelles. La période d’adaptation et de collecte des données étaient respectivement de 14 et 56 jours. Cinq aliments (T1, T2, T3, T4, T5) qui se distinguaient sur la base du type du fourrage grossier et de son pourcentage entrant dans la formulation, étaient comparés à un aliment témoin (T0) préparé à partir de la formulation paysanne. Les résultats obtenus indiquaient que T0, T3 et T1 étaient les meilleurs avec des GMQ respectifs de 78,3 g/j, 51,8 g/j et 50,9 g/j. Les indices de consommation (IC) sont de 7,1 pour T0, 10,3 pour T3 et 10,6 pour T1. Sur le plan économique, T0 offre un bénéfice net de 1373 FCFA par animal suivi de T1 avec 1316 FCFA par animal et T3 avec 1311 FCFA par animal. Cette expérience montre bien que les tiges de sorgho peuvent concurrence. -
Contribution à l’analyse des stratégies d’autofinancement de la Fédération des Coopératives Maraichères du Niger - Niya (FCMN – Niya)
Au Niger, l’importance des organisations paysannes (OP) a beaucoup accru avec la loi coopérative de 1996, régissant le système coopératif qui a facilité leur émergence et leur développement. Nées dans un contexte complexe, caractérisé par le retrait de l’Etat du secteur agricole et la réticence des institutions financières (IF) à les financer, les organisations paysannes rencontrent des difficultés financières majeures. Cette situation causée par les contraintes liées à l’activité agricole elle-même et la méfiance des IF, entraîne une forte dépendance des OP des partenaires financiers extérieurs. C’est dans ce contexte qu’évolue la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-Niya). Créée en 1996, à l’initiative de 11 coopératives maraîchères, la FCMN-Niya est aujourd’hui forte de plus de 140 coopératives et unions de coopératives. Toutefois, à l’instar des autres organisations paysannes du pays, elle se trouve confronté au problème du financement de ses activités. -
Mouvement coopératif et organisation du monde rural au Niger : bilan, perspectives et propositions pour l'avenir
Cet article est une contribution à la connaissance du mouvement coopératif nigérien : ses péripéties et son rôle dans l'organisation des paysans. Il tire sa substance d'une série d'entretiens que nous avons eus avec les agents de la Direction de l'Action Coopérative du Ministère du développement rural et ceux de l'Union Nationale des Coopératives (UNC)qui ont accepté volontiers de nous fournir la documentation de base de cette étude. -
Maladie de la variole aviaire (audio zarma)
La variole aviaire est une maladie virale fréquente des oiseaux domestiques (poulets, dindons, pigeons). Elle est nommée Ziguawan en Zarma et Waké en Haussa. Il s’agit d’une maladie se propageant lentement qui est caractérisée par la formation de lésions cutanées sur les parties non couvertes de plumes tels que la tête, le cou, les pattes et les pieds (formes cutanées) et/ou de lésions de la partie supérieure de l’appareil respiratoire. Cette maladie est due à un virus du genre Avipoxvirus. -
Maladie de la variole aviaire : comment reconnaitre la maladie et la prévenir? (audio zarma)
La forme cutanée : (de la peau) reste la plus répandue et la plus rencontrée dans les élevages de volailles notamment chez les poulets, pigeons et dindes.
La forme diphtérique : es symptômes varient en fonction de la sévérité des lésions
Comment la prévenir ?
La clé de la lutte contre la variole aviaire c’est la prévention et la vaccination pour maîtriser la
maladie et empêcher sa propagation :
• Le maintien d’une hygiène irréprochable dans un poulailler est essentiel : nettoyage régulier
et désinfection ;
• Programme de biosécurité pour empêcher le personnel et l'équipement contaminés de
l'extérieur de pénétrer dans les poulaillers ;
• Contrôler le cannibalisme en réduisant l'intensité lumineuse de l'environnement ;
• Eviter de mélanger des volailles de différents âges ;
• Les volailles infectées doivent être mis en quarantaine ou abattues ;
• Il est conseillé de donner des anti-stress après chaque vaccination qu’elle soit dans l’eau de
boisson ou injectable. -
Maladie de la variole aviaire : la vaccination (audio zarma)
La vaccination existe pour les poules pondeuses et les reproducteurs. Elle se réalise avec deux injections, la primovaccination au 26ème jour et le rappel à la neuvième semaine de vie. La vaccination doit avoir lieu avant l'exposition au virus. Il faut s’adresser aux vétérinaires (SVPP) ou à leurs auxiliaires d’élevage. Les produits sont disponibles à leur niveau mais les flacons sont de 500 ou 1000 doses en général selon les fabricants. -
Production de la luzerne (audio zarma)
Émission radio en langue sur les techniques production de la luzerne. -
Maladie de la grippe aviaire (audio zarma)
La maladie de la grippe aviaire, ou influenza aviaire, constitueune menace pour les éleveurs de volaille. Cette maladie est apparue au Niger en 2006. Depuis, elle réapparait plus ou moins régulièrement. Ainsi, en début 2022, une épizootie a sévi dans les régions de Niamey, Dosso et Tillabéri, et a causé la mort de 90 000 sujets de volaille. En décembre 2022, des foyers de la maladie ont été identifiés dans la Région de Tahoua et à Niamey et environ 10 000 volailles ont dû être abattues. -
Maladie de la grippe aviaire : comment les volailles attrapent - elles cette maladie? (audio zarma)
Le virus se transmet d'un oiseau malade à un autre oiseau sain par contact direct. Le virus peut être transporté par des oiseaux sauvages, par des volailles qui viennent d’élevages contaminés, par les hommes ou les outils, et aussi par le vent et les poussières. -
Maladie de la grippe aviaire : comment prévenir cette maladie? (audio zarma)
Pour se protéger contre la maladie de la grippe aviaire, il faut mettre en place des gestes barrières : − Ne pas introduire des volailles venant d’ailleurs ou les mettre en quarantaine avant l’introduction dans le poulailler ; − Ne pas tuer et préparer des volailles à proximité de son élevage et toujours prendre en compte le sens du vent pour éviter que celui -ci aille vers l’élevage ; − Éviter ou empêcher que les oiseaux sauvages soient en contact direct avec les volailles, l’eau et la nourriture ; − Ne pas laisser des personnes visiter votre élevage ou venir à proximité, il faut empêcher également le contact des volailles avec des personnes ou des enfants ; − Se laver fréquemment les mains à l’eau et au savon surtout après avoir touché des oiseaux ; − S’assurer que toute personne ayant touché des oiseaux morts se lave les mains au savon ; − Laver les vêtements, les chaussures, les véhicules et les cages à l’aide de savon ou de désinfectant ; − Bruler et enterrer les oiseaux morts ou infectés à 2 mètres de profondeur et il faut porter des gants et un masque. -
Maladie de la grippe aviaire : mesures à prendre en cas de contamination (audio zarma)
En cas de contamination des volailles contactez vite le service vétérinaire le plus proche de vous. -
Médicament vétérinaire (audio zarma)
Ce vocal a pour objectif de sensibiliser les éleveurs sur le danger de certains produits vétérinaires vendus dans les marchés et chez les vendeurs ambulants. -
Médicament vétérinaire (audio haoussa)
Ce vocal a pour objectif de sensibiliser les éleveurs sur le danger de certains produits vétérinaires vendus dans les marchés et chez les vendeurs ambulants. -
La maladie de la rage au Niger (audio haoussa)
La rage est une maladie virale qui touche le système nerveux central des mammifères (chiens, chats, certains animaux sauvages), dont celui de l’homme. Le virus est particulièrement présent dans la salive et le cerveau des animaux infectés, le plus souvent des chiens. Il est généralement transmis par la morsure d’un animal malade. Les chauves-souris représentent également un réservoir important du virus dans certaines régions. -
Déparasitage des animaux domestiques (audio haoussa)
Document audio sur le déparasitage des animaux domestiques. -
Sensibilisation sur la campagne de vaccination annuelle des animaux domestiques (audio haoussa)
Document audio de sensibilisation sur la campagne de vaccination annuelle des animaux domestiques (bovins, ovins, caprins et camelins) .