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ALERTE / Tuta absoluta a refait son apparition sur les tomates
En février 2013, les premières attaques de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) avaient été signalés dans des parcelles du village de Bourbourkabé situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. Par la suite, il est apparu que ce nouveau ravageur était également présent dans les régions d’Agadez, Niamey et Tillabéri. Les dégâts enregistrés par les producteurs ont été très importants dans de nombreuses localités. -
Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation ?
Au sahel, les cultures subissent une pression parasitaire très importante, surtout celle exercée par les nématodes sur les cultures maraichères. Avec l’intensification de l’irrigation, ces ravageurs sont actuellement devenus un des problèmes phytosanitaires les plus préoccupants sur les cultures, à tel point que certains n’hésitent pas à les qualifier d’ennemis des maraichers ou de ravageurs sournois car leurs attaques passent le plus souvent inaperçues. -
Fiche technique : préparation d’une solution aqueuse de neem contre les ravageurs des cultures maraîchères
Cette fiche a été réalisée à partir des documents de l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et d’un support vidéo de l’Association des Professionnels de l’Irrigation Privée et des Activités Connexes (APIPAC, Burkina Faso). -
Les étiquettes des pesticides ne donnent pas satisfaction : il faut les remplacer par des fiches techniques adaptées aux utilisateurs
Les premières investigations et notes du RECA indiquent que les pratiques des agriculteurs pour la protection des cultures irriguées et l’utilisation des pesticides ne sont globalement pas bonnes, au détriment des producteurs eux-mêmes (santé et revenus) et des consommateurs. Ceci est confirmé par la plupart des partenaires intervenant en appui aux producteurs. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
Guide des ravageurs de sol en grandes cultures
Ce présent document porte sur des ravageurs de sol en grandes cultures -
Citrus greening : gestion de la maladie
Cette fiche technique indique comment identifier et lutter contre le citrus greening en production d'agrumes -
Guide des ravageurs de sol en grandes cultures
Les grandes cultures occupent une importante proportion de la superficie cultivée au Québec. En 2011, sur les 986 700 ha ensemencés en grandes cultures, près de 75% l'ont été en maïs et en soja -
Le PARAQUAT, un herbicide trop toxique interdit au Niger
Le PARAQUAT est un herbicide non sélectif, c’est-à-dire qu’il détruit toutes les plantes. Au Niger, il est surtout employé par les riziculteurs hors périmètres qui veulent se débarrasser des herbes vivaces avant le labour et le semis.
Le PARAQUAT est un produit très toxique aujourd’hui interdit dans une majorité de pays. Les utilisateurs souffrent de maux de tête, de saignement de nez, de diminution de la vue, de manque de souffle, de diarrhée et de blessures cutanées. Il n’existe pas d’antidote. -
L’utilisation de « poudres » pour la protection des certaines cultures maraîchères : une pratique trop répandue et à éliminer
Entre janvier et mars 2013, le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture ont effectué un inventaire des produits phytosanitaires disponibles sur les marchés du Niger. Cet inventaire n’a pas la prétention d’être exhaustif mais il permet d’avoir une première idée des pesticides disponibles et utilisés par les producteurs sur les cultures maraîchères. Ce travail a été réalisé dans le cadre du partenariat PPAAO- RECA et a bénéficié de la collaboration du PROMAP dans les régions de Tahoua et Tillabéri. -
La protection phytosanitaire du Moringa / Quels conseils aux producteurs ?
Le moringa (el maka en Haoussa et windi boundou en Zarma) est une culture très importante au Niger avec deux grands bassins de production, autour de Niamey et dans la région de Maradi. La production du moringa a augmenté régulièrement ces dernières années. Les visites et échanges avec des producteurs des différents sites de production, autour de Niamey, indiquent une pression parasitaire de plus en plus forte avec des pertes de production importantes. Les producteurs se plaignent particulièrement d’un ravageur qui mange les feuilles. Celles-ci peuvent entièrement disparaitre de l’arbuste laissant les branches nues. Sur la photo ci- dessous, le vert des feuilles a été mangé et il ne reste que le « squelette » blanc. -
Inventaire et dynamique des insectes ravageurs des cultures du sésame (Sesamum indicum L.) au Niger
La culture du sésame, malgré les opportunités qu’elle présente pour les producteurs, est confrontée à des difficultés liées à l’attaque des insectes dont le plus remarquable est Antigastra catalaunalis(Lepidoptera, Pyralidae). A travers cette étude, il est question de faire un inventaire de l’entomofaune du sésame et de suivre la dynamique du ravageur le plus connu (A. catalaunalis) à travers un suivi chronologique des phases d’apparition des larves sur la culture en prenant en compte la diversité des variétés de sésame et la variation du régime pluviométrique. Un dispositif en blocs complets randomisés avec 3 répétitions a été mis en place avec la variété comme principale facteur à dix niveaux. Les résultats obtenus ont montré qu’une diversité d’insectes colonise le sésame durant son cycle de développement avec des dégâts non moins importants sur les différents organes de la plante. -
Recueil des principaux textes réglementaires sur le commerce régional en Afrique de l'Ouest
Depuis sa création en 1975, la CEDEAO a fait de la libre circulation des personnes et des biens dans l'espace communautaire, sa politique prioritaire d'intégration régionale. Le protocole sur la libre circulation des personnes et des biens adopté en 1979 reconnait aux citoyens de la communauté le droit d'entrée, de résidence et d'établissement dans les États membres. Le principe de libre circulation des personnes constitue un acquis inaliénable au sein de la communauté. -
Efficacité biologique de Idefix, fongicide-bactéricide, contre les maladies foliaires de la tomate au champ
La tomate est la culture maraichère la plus importante, après l'oignon au Niger. C'est aussi l'une des cultures les plus parasitées. Pour contribuer à lutte contre ces ravageurs, une étude a été menée pour tester l'efficacité d'Idefix [hydroxyde de cuivre 65.6%] (Équivalent à 40% de cuivre)] sur les maladies foliaires de la tomate en plein champ. -
Comment lutter contre les mouches des fruits infestant les mangues
Le manguier doit faire face à de nombreux problèmes phytosanitaires. En Afrique de l’Ouest, l’importance économique des dégâts causés par les mouches des fruits (Diptera Tephritidae) s’est accrue aussi bien au niveau des manguiers de case, que des vergers de
petits producteurs ou des vergers à vocation industrielle. L’introduction et la dispersion en Afrique d’une espèce de mouche des fruits originaire du Sri Lanka, Bactrocera invadens, détectée en Afrique de l’Est en 2003 pour la première fois puis découverte en Afrique de l’Ouest par l’IITA au Bénin en 2004, pourrait remettre en question les succès commerciaux engrangés récemment par cette filière.