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Utilisation des fumures organique et minérale sur cultures maraîchères en Cote d’Ivoire
Eléments techniques sur l'utilisation de fumures minérales et organiques en Côte d'Ivoire -
Protection intégrée de la tomate en Guyane
Nous détaillons ici les techniques de production de la tomate en pleine terre. Les techniques de production hors-sol sont complexes et ne seront pas détaillées ici. Par la suite, les problématiques phytosanitaires et les méthodes de lutte seront traitées. Production des plants en pépinière. Le semis est réalisé au préalable en terrine ou en mini-motte dans un terreau sain. Les graines germent en 3 jours avec une température du sol de 20 à 25 °C. Après 12 jours, les plantules sont repiquées dans des mottes de terreau de 7 cm ou en godet.En cas d’ensoleillement intense, une ombrière peut être installée pour protéger les plantules. -
Analyse approfondie de la chaine de valeur oignon au Niger 2021-2030
La CDV Oignon est devenue aujourd’hui un enjeu essentiel non seulement pour le Niger, mais pour toute la région de l’Afrique de l’Ouest. En effet, l'oignon constitue la principale spéculation agricole pour laquelle le Niger possède un réel avantage comparatif par rapport aux autres pays de la sous-région, et sa compétitivité sur ces marchés sous régionaux lui confère une place importante dans les cercles familiaux et dans l'économie nationale. Le Niger est classé parmi les premiers pays producteurs d’oignons de l’Afrique de l’Ouest et est le plus grand exportateur d’oignons de la région. Sa culture, qui a une longue histoire au Niger, devient de plus en plus importante comme un produit de rente et joue un rôle important dans le système alimentaire du pays. Mais les défis et goulots d’étranglement ne manquent pas dans la filière. -
Analyse approfondie de la chaine de valeur moringa au Niger
Le Moringa est un arbre assez exceptionnel, résistant à la sécheresse mais de croissance très rapide sous pluie en saison (les feuilles tombent en saison sèche) et sous irrigation toute l’année. Il est très riche en éléments nutritifs essentiels (protéines et acides aminés, vitamines, sels minéraux) dans toutes ses parties (feuilles, graines, racines, branchettes et écorce), et est utilisé comme légume (consommable cru ou cuit), complément alimentaire (poudre, épice) ou sous forme de thé / infusion. De plus, une huile fine est extractible de l’amande de la graine et a des vertus officinales et cosmétiques reconnues et recherchées. -
Distribution et perspectives pour les produits maraîchères au Niger
Le Niger, le pays le plus sahélien des pays du Sahel, doit faire face à un déficit alimentaire chronique qui devient de plus en plus aigu. L’accroissement rapide de la population (3,2 % par an) et les sécheresses des deux dernières décennies sont à l’origine de ce déficit. La production agricole stagne depuis plusieurs années. La situation est d’autant plus préoccupante que les productions sont principalement des productions céréalières pluviales (mil, sorgho) et que les ressources naturelles (sol, eau, couvert végétal) sont menacées de dégradation. Une des mesures prises par le Gouvernement pour surmonter cette situation est l’intensification et la diversification des productions agricoles, en particulier par la production de cultures irriguées de contre-saison et plus particulièrement de cultures maraîchères (oignon, ail, chou, laitue, tomate et haricot vert). -
Étude de faisabilité programme national de développement de la filière des cultures maraichères au Bénin
Le secteur Agricole est le principal pilier de l’économie béninoise. C’est pour cela que depuis 1991 les gouvernements successifs élaborent et mettent en œuvre des documents de politique agricole tels que : la lettre de déclaration de politique de développement rural, le Schéma Directeur Développement Agricole et Rural (SDDAR en 2000), le Plan Stratégique Opérationnel, le Plan Stratégique de Relance du Secteur Agricole (PSRSA en 2011). Ces documents de politiques prônent la diversification des filières. Le PSRSA a notamment ciblé 13 filières comme prioritaires parmi lesquelles figure en bonne place les cultures maraîchères considérées par l’actuel gouvernement comme une filière phare et positionnée dans deux (2) des sept (07) pôles de Développement Agricoles identifiés pour la promotion du Secteur Agricole au Bénin. -
Évaluation de la campagne maraichère 2007/2008 : étude sur la production maraîchère sur des sites féminin dans la vallée du Dallol Bosso
L’objectif du PIP2 est « l’augmentation de la production et la rentabilité des cultures à haute valeur ajoutée par les petits producteurs grâce à l’utilisation de technologies simples à moindre coût ». Le PIP2 a engagé une enquête agricole pour l’évaluation de la campagne d’irrigation 2007-2008 concernant le niveau de mise en valeur, la production, les rendements et les revenus. La mise en œuvre de cette activité s’est basée sur le dispositif des GSC répartis dans les zones de concentration de l’irrigation. L’objectif de l’enquête est de collecter les données pour mesurer les indicateurs agroéconomiques des exploitations appuyées par le PIP2 dans la région de Dosso, afin d’apprécier leur évolution. L’appui méthodologique pour la réalisation de cette enquête a été assuré par l’INRAN. L’enquête s’est a concerné la campagne d’irrigation 2007-2008 et a couvert les différentes zones de concentration de l’irrigation de la région de Dosso. -
Étude des filières porteuses de la production maraichères dans l'Aïr
La présente étude des filières porteuses de la production maraîchère dans l’Aïr a été élaborée dans le cadre du programme « LUTTE CONTRE LA PAUVRETE - LUCOP ». Le programme LUCOP fait partie de la coopération allemande au Niger financée par le BMZ
(Ministère allemand de Coopération et de Développement Économique). Ce programme est piloté par la GTZ, au titre de la Coopération Technique Allemande. Il est subdivisé en trois phases couvrant une période de 12 ans, de janvier 2004 à décembre 2015, dans les régions de Tillabéri, Tahoua Nord (y compris Agadez). -
Définition des mesures de sécurisation foncière des périmètres irrigués au Niger
L’étude sur la procédure de sécurisation foncière des AHA constitue aujourd’hui l’une des « soupapes de sécurité » attendues par nombre d’acteurs du développement rural, dans la mesure où elle contribuera à établir formellement les statuts des terres aménagées et à garantir les conditions de réalisation d’investissements importants et pérennes sur les périmètres irrigués. Si les termes « périmètre irrigué », « périmètre aménagé » et « AHA » sont invariablement utilisés l’un pour l’autre, le concept le mieux approprié dans le cadre de la présente étude est l’AHA, en ce sens qu’il a reçu une définition légale3, mais surtout qu’il rend plus globalement compte de la situation des terres mises sous aménagement par l’État à des fins agricoles. Mais il faut distinguer ces grands AHA des petits périmètres aménagés dans la plupart des cas par des projets et ONG, mais souvent aussi par l’État, pour la petite irrigation à des fins de production maraîchère. Le statut juridique de ces petits périmètres est hybride, dans le sens où souvent la terre est « prêtée » par son propriétaire aux exploitants-maraîchers, ou des fois mise à la disposition de la structure intervenante par l’autorité coutumière locale. Dans tous les cas, le statut foncier de ces espaces est précaire.