Recherche
18 items
-
Atelier des producteurs d’oignon de la région de Tahoua - Thème principal : bilan des magasins RESEDA
En plus du thème principal (magasins RESEDA), quatre autres thèmes ont fait l’objet de présentations et d’échanges : (1) la situation des semences d’oignon au Niger ; (2) les tests d’oignon en hivernage, présentation complétée par une visite sur le terrain ; (3) un partage d’informations sur la gestion du comptoir de Tsernaoua et (4) une présentation sur les chambres d’agriculture et leurs fonctions. -
Identification des pôles de production de tomate dans les régions de Tahoua, Dosso et Tillabéri
Cette note a été rédigée suite à une mission effectuée en deux étapes du 19 au 22 juin et du 10 au 12 juillet 2015 par une équipe du RECA et de l’Institut National de Recherches Agronomiques du Niger (INRAN) pour identifier les principaux pôles de production de la tomate dans les régions de Tahoua et Dosso et interroger les producteurs sur une éventuelle présence de la mineuse de la tomate Tuta absoluta 1. Les visites ont été facilitées au niveau de chaque région par la Chambre régionale d’Agriculture (CRA) à travers ses animateurs de terrain et ses membres consulaires. Au total, 10 sites ont été visités dont 3 à Tahoua, 2 à Dosso et 5 à Tillabéri. Cette mission fait partie d’un programme collaboratif réunissant l’INRAN, le RECA et la DGPV pour lutter contre la mineuse de la tomate sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO Niger). -
Étude sur les filières agro-alimentaires au Niger : bétail - viande -oignon - niébé
Au Niger, le secteur rural demeure l'un des plus importants secteurs de l'économie, il assure l'emploie de plus de 80% de la population active et représente environ 40% du Produit Intérieur Brut (PIB). -
Bilan des activités liées à la campagne de production de blé 1997/1998 et perspectives
La structuration et l'organisation du monde rural sont deux mots clés pour une bonne intervention en milieu paysan aux fins d'améliorer les conditions de vie de ses habitants. Il s'agit d'une œuvre de longue haleine qui nécessite beaucoup d'investissements (humain; financier et matériel) et qui comporte des risques qu'il faille oser prendre. La mise en place de l'Association des producteurs de blé de la vallée de la Tarka " Alkama Tarka " s'inscrit dans ce cadre. -
Etude des jardins de Tabelot et des Bagzan dans le massif de l'Air : contribution au développement local dans le Nord Niger
Cette partie, après avoir présenté l'historique de la création des jardins, propose de décrire le fonctionnement technique des jardins. Pour cela, il est nécessaire de caractériser d'abord les moyens de production nécessaires au fonctionnement d'un jardin, à savoir le foncier, les ressources en eau, la main d'œuvre et le capital. Dans un deuxième temps seront analysés les traits dominants des systèmes de culture en place tout en insistant sur certains aspects singuliers de ces systèmes. Cette présentation se justifie pour plusieurs raisons : les jardins constituent non seulement un objet d'étude pour l'agronome impliqué dans le développement de la région, mais le fonctionnement des jardins est également une composante essentielle du système agraire de l'Aïr. En effet, les systèmes de production sont variés et dépendent de chaque exploitation mais les systèmes de culture (et d'élevage) sont relativement homogènes. Ces derniers sont largement dictés par les conditions d'exploitation du milieu (disponibilité en eau notamment) ainsi que par les marchés et filières en place. Comprendre l'organisation du système agraire régional implique une analyse descriptive détaillée du fonctionnement des jardins et des systèmes de production en place. Cette partie débouche sur un certain nombre d'observations concernant la dynamique actuelle des jardins et sur les orientations que cela implique en termes de stratégies de développement. -
Capitalisation appui- conseil agricole LUCOP- Ti à travers l’appui à la promotion de la filière sésame
Le programme régional LUCOP- Ti a commandité une étude de base sur la filière sésame dans sa zone d’intervention. Ce qui a permis de disposer des données de référence sur l’ensemble de la filière en général et sur les maillons production et commercialisation en particulier. Il ressort de l’étude que la promotion de cette culture est tout à fait envisageable. Les appuis sont indispensables aussi bien pour la production que pour la commercialisation au niveau de laquelle un prix suffisamment rémunérateur permettrait d’avoir un « effet levier » et serait susceptible d’engendrer une nette amélioration à tous les niveaux. Le sésame est caractérisé par une intervention de petits producteurs, des collecteurs locaux et extérieurs et des commerçants grossistes qui facilitent le transfert du produit sur d’autres marchés nationaux ou étrangers. Il n’existe pas de structures formelles d’acteurs et ceci au niveau de chacun des maillons de la filière. Les acteurs agissent individuellement et de façon isolée. -
Rapport final de la 3ème édition de la journée nationale de l’oignon : Comment assurer une stratégie de production des semences d’oignon au Niger en qualité et quantité ?
Cette rencontre a regroupé les représentants des organisations de producteurs, ceux des Chambres Régionales d’Agriculture (CRA), des Points d’information villageois (PIV), des services techniques et administratifs de l’Etat, des institutions de recherche agronomique (INRAN, ICRISAT, UAM), des opérateurs économiques et des partenaires au développement (liste en annexe). -
Améliorer le niveau de vie des paysans en Afrique de l’ouest Semi-aride en améliorant les rendements du mil et du sorgho
Les contraintes à la production agricoles sont nombreuses, il est impératif de s’attaquer aux contraintes majeures si non toutes. Les intempéries climatiques font que les variétés locales productives tendent à disparaître à cause de la sécheresse, des attaques des plantes et insectes parasites , de la baisse de la fertilité des sols. C’est pourquoi, il faut s’orienter vers la recherche d’une solution durable contre ces fléaux, afin de permettre aux paysans de subvenir à leurs besoins alimentaire et bien être. C’est ce que le projet PROMISO s’attèle à réaliser à travers son intervention direct en milieu paysans. -
Amélioration de la productivité et valorisation du sésame (sesamum indicum L.) au Niger
Ce rapport a pour objectif général de contribuer à l’amélioration des revenus et la sécurité alimentaire des ménages ruraux dans un contexte de variabilité climatique. -
Analyse de la chaîne de valeur du niébé en République du Niger
La filière niébé présente un attrait pour de nombreux acteurs. Le niébé est au cœur des systèmes de culture pluviale associé au Niger et il est présent dans l’ensemble des régimes alimentaires du pays. Ses multiples sous-produits (fanes et coques) ainsi que les nombreux produits transformés en font une production majeure du Niger. Le tonnage retenu pour l’année de référence 2022 est d’approximativement 2 725 000 tonnes. Ce tonnage reflète les valeurs d’une année normale excédentaire en termes de pluie, ce qui est le cas depuis 2 ans (2021/2022 et 2022/2023). La saisonnalité de cette production et ses problèmes de conservation impactent fortement sa disponibilité en période de soudure et ce qui crée une forte dynamique de flux durant la période de post récolte engendrant une orientation vers l’exportation, élément majeur de cette filière. -
Analyse de la chaine de valeur arachide en République du Niger
L’étude de la Chaine de Valeur (CV) arachide au Niger a été réalisée à la demande de la Délégation de l’Union Européenne au Niger pour établir un diagnostic de référence sur ses performances économiques, sociales et environnementales en appliquant la méthodologie du projet Value Chain Analysis for Development (VCA4D). -
Rapport sur les résultats de l’évaluation rapide du marché (ERM) sur les cultures cibles au Niger
Ce document présente les résultats de l'analyse de marché réalisée au Niger dans le cadre des livrables de l'activité 2.1 du projet SUSTLIVES « Analyse participative des chaînes de valeur et des marchés des NUS prioritaires tolérants au stress ». L'activité a été menée au cours de la première et la deuxième année de mise en œuvre du projet avec l’objectif de fournir des informations sur les chaînes de valeur dans les sites du projet et de soutenir la prise de décision pour développer ou renforcer la chaîne de valeur et le marché. -
Rapport sur les résultats de l’évaluation rapide des marchés pour la culture de la patate douce au Niger
La patate douce présente de nombreux atouts dans sa chaîne de valeur, tels qu'un fort potentiel de production, être adaptée au contexte social et cultural, et une popularité croissante parmi les consommateurs. -
SUSTLIVES : Sélection, multiplication et distribution des semences des cultures cibles au Burkina Faso et au Niger
Le projet SUSTLIVES à travers l’activité 1.3 vise à mettre à la disposition des communautés des semences de six NUS dans chacun des deux pays. Il s’agit de l’oseille de Guinée, le voandzou, la patate douce et le moringa commun pour le Niger et le Burkina Faso. En plus de quatre NUS en commun, chaque pays en dispose 2 NUS en plus. Il s’agit de l’amarante et le fabirama pour le Burkina Faso et le manioc et le gombo pour le Niger. La zone d’intervention couvre 11 villages répartis dans 4 provinces au Burkina Faso, 8 communes et un site à Niamey pour le Niger. Lors de la première année du projet, des accessions ayant un bon potentiel de production et répondant aux exigences de la zone cible du projet ont été identifiées au sein des germoplasmes existants et la semence a été multipliée au cours de la saison pluvieuse 2022. Les semences issues de ces accessions ont été utilisées au cours de la campagne agricole 2023 pour la mise en place de parcelles de multiplication de semences dans les sites d’intervention du projet. -
Actes des ateliers de restitution et de discussion avec les parties prenantes et de formation-application de la méthodologie de l’analyse de chaîne de valeur sensible au genre au Niger
L'activité 2.1 du projet SUSTLIVES, intitulée « Analyse participative des chaînes de valeur et des marchés des NUS prioritaires tolérantes au stress » vise à fournir des informations sur les chaînes de valeur dans les sites du projet et à soutenir la prise de décision afin de développer ou de renforcer ces chaînes de valeur et ces marchés pour les cultures cibles. Cette activité est coordonnée par l'Alliance Bioversity International - CIAT et consiste en une analyse participative des chaînes de valeur et des marchés pour les espèces négligées et sous-utilisées (NUS) tolérantes aux stress priorisés par le projet, au Niger, à savoir la patate douce, le manioc, l'oseille de Guinée, le moringa, le gombo et le voandzou. -
Projet de développement intégré des systèmes semenciers au sahel : niébé - Niger
Le Mali et le Niger sont deux pays continentaux sahéliens qui sont à la fois confrontés aux effets du changement climatique et à un accroissement de leur population. Entre 2012 et 2016, la population malienne a augmenté d’en moyenne 0.5 million de personnes par an tandis qu’au Niger ce chiffre atteignait 0.75 million. Paradoxalement à cette augmentation du nombre de bouches à nourrir, la productivité agricole s’affaiblit à cause des difficultés agro-pédo-climatiques. -
Projet de développement intégré des systèmes semenciers au Sahel : sorgho-Niger
Les superficies récoltées en sorgho au Niger sont passées d’environ 2 500 000 ha en 2009 à plus de 3 700 000 ha en 2019 (Figure 1). La production du sorgho a évolué progressivement d’environ 730 000 tonnes à près de 1 900 000 tonnes entre 2009 et 2019 (Figure 2). Enfin, le rendement, à l’instar de la surface récoltée et de la production a progressivement augmenté de 0,3 t/ha à 0,5 t/ha entre 2009 et 2019. -
Rapport sur les résultats de l’évaluation rapide des marchés pour la culture du manioc au Niger
Les producteurs du manioc sont majoritairement des Zarma (93%) et les autres ethnies sont constituées de Haoussa et Peulh (7%). L’âge moyen de ces producteurs est de 47 ans avec 10 ans d’expérience en agriculture. Les hommes dominent très largement l’activité de production (96%). La majorité des producteurs enquêtés disposent d’une formation (79%) résultant de la fréquentation auprès de l’école coranique ou formelle. Donc, 21% des producteurs enquêtées n’ont aucune formation.