Recherche
11 items
-
Filière oignon au Niger : processus intégré de conservation et de warrantage. Expérience de la SNV dans la zone de production de Saouna gomma, Tamaske et Sabon Guida
Le principal objectif de ce projet est de : Instaurer le système de warrantage sur l’oignon à travers une relation quadripartite (SNV, producteurs, SFD, LCB) avec l’introduction d’un système d’abris de conservation adapté et accessible aux producteurs d’oignon afin de réduire les pertes importantes et de réussir définitivement le warrantage qui permets de créer des emplois rémunérateurs et durables et de générer des ressources additionnelles aux producteurs. -
Etude de marche des produits de la transformation du niébé
La SNV Niger met en oeuvre un « Projet d’amélioration de la transformation du niébé dans les régions de Zinder, Maradi, et Dosso », qui a pour ambition d’améliorer les capacités des femmes, dans la transformation et surtout de rendre les produits issus de la transformation du niébé accessibles et compétitifs sur les marchés. Elle se positionne spécifiquement sur le maillon transformation du fait de la grande valeur ajoutée que cela engendrera : Les avantages de maillon sont multiples : lutte contre l’insécurité alimentaire ; amélioration des revenus des acteurs, notamment les femmes ; création d’emplois et amélioration de la nutrition. Le contexte est favorable pour au moins trois raisons : (i) le niveau de structuration des groupements des femmes au niveau des villages et quartiers (ii) la disponibilité d’un matériel minimum ; (iii) l’expérience permettant de disposer déjà d’une gamme variée de produits transformés dont, le spaghetti, le couscous, le Wassa-Wassa, divers gâteaux et farines (pour beignet, Dan Waké, diabétique, nourrissons). Ceci constitue un levier important pour l’intervention de la SNV. -
Les 25 Résolutions de Konni! - Rapport de l’atelier « Éplucher l’oignon » Birni N’Konni, Niger, 30 Novembre – Décembre, 2010
Le Niger est le plus grand exportateur de l’oignon en Afrique de l’ouest. Plus de 100.000 paysans nigériens cultivent l’oignon. Pour eux et tous les autres opérateurs de la chaîne (intermédiaires, commerçants, transporteurs), l’oignon est une source importante de revenus. La SNV Niger et le Wageningen UR Centre for Development Innovation (CDI) des Pays*Bas, en collaboration avec la FCMN Niya et Agri-Bilan, ont initié une recherche action intitulée « Eplucher l’oignon » depuis 1 année. Le but des activités de recherche*action est d’identifier des possibilités d’action collective pour tous les acteurs dans la chaîne de valeur d’oignon. Le focus est sur des ‘leviers’ pour induire des changements qui rendent la filière oignon à la fois plus compétitive, inclusive et durable. Après cette phase terrain, nous avons partagé nos résultats lors de cet atelier participatif à Birni N’Konni dans la région de Tahoua. De plus on a stimulé le dialogue entre les différents acteurs autour de la chaine de valeur d’oignon pour arriver aux 25 résolutions de Konni ! Ce rapport est le résultat de cet atelier et dialogue. -
Mission de complément de faisabilité du projet CNE 1168 - Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES)
L'étude a été chargée d’élaborer un cadre de gestion environnementale et sociale (CGES) par opposition à une évaluation d'impacts sur l'environnement, parce que les détails précis des activités à financer (en termes de localisation exacte, de matériaux requis, de communautés principales, etc.) à financer dans le cadre de la composante 1 du Projet d’appui au développement d’activités rurales et de financement de filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua ne sont pas encore connus et donc, les impacts négatifs environnementaux et sociaux potentiels ne peuvent pas être évalués.
Le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) est conçu comme étant un mécanisme de tri (processus de sélection) pour les impacts environnementaux et sociaux des activités du Projet. En outre, le CGES définira le cadre de suivi et de surveillance ainsi que les dispositions institutionnelles à mettre en place durant la mise en œuvre du projet et la réalisation des activités du « projet d’appui au développement d’activités rurales et de financement de filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua » pour atténuer les impacts environnementaux et sociaux défavorables, les supprimer ou les réduire à des niveaux acceptables. -
Plan d’actions participatif pour une gestion inclusive des parcs à karité dans les communes de Bougnounou et Nébiélianayou
En Afrique subsaharienne, les ressources naturelles (RN) contribuent énormément à l’économie, notamment domestique. Elles « constituent un élément central des moyens de subsistance des populations rurales ». Pendant longtemps, l’utilisation des RN par les populations rurales au Burkina Faso a été influencée par des modes de gestion traditionnels, soumis aux normes et coutumes locales. A côté de cette forme motivée essentiellement par la satisfaction des besoins de sécurité alimentaire et nutritionnelle, on note une autre forme de gestion par l’État, à travers ses services techniques qui ont pour mandat de réguler l’exploitation des RN et d’en assurer leur durabilité notamment lorsqu’il s’agit des besoins d’utilisation commerciale. -
Étude régionale sur les contextes de la commercialisation du bétail / accès au marché et défis d'amélioration des conditions de vie des communautés pastorales
Dans le cadre de ses orientations actuelles, la SNV met en œuvre une approche d’appui conseil et de développement et partage de connaissances, afin de contribuer par là à la réduction de la
pauvreté. La région SNV Afrique de l’Ouest et Centrale (SNV-AOC)1 a choisi, entre autres, le secteur « Elevage/Pastoralisme » comme un de ses secteurs privilégié de réflexion et d’action. Chacun des pays concernés (le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali et le Niger) met en oeuvre des activités qui participent à la concrétisation d’une stratégie régionale « Elevage/ Pastoralisme », adoptée en Mars 2008, qui focalise particulièrement deux filières : (i) la filière « bétail sur pied » et la filière « lait ». -
Etude de référence sur la filière niébé dans la région de Zinder (SNV Zinder)
Le niébé, Vigna unguiculata (L.) Walp., est une plante morphologiquement proche du haricot, et appartient comme celui-ci à la famille des légumineuses. C’est une plante annuelle à port variable buissonnant, érigé, prostré, rampant, voire volubile et à croissance déterminée ou indéterminée. Sa hauteur atteint 30 à 60 cm avec une tige pouvant être à section circulaire, grêles, parfois légèrement cannelées, glabre. Les feuilles sont trifoliolées et les inflorescences en grappes axillaires, souvent une seule paire donne des gousses. Les fleurs peuvent être de couleur blanche, jaunâtre, bleu pâle, rose, violet. Les gousses du niébé sont dressées par paire, formant un V, non déhiscentes de dimension allant de 8,5-30 cm x 0,5-1,2 cm selon les variétés. Les graines de tégument blanc, blanc-rosé, brun, rosé sont au nombre de 8 à 20 par gousse (Maisonneuve et Larose, 1989). -
Rapport de la mission exploratoire de collecte d’informations pour le développement de la chaîne de valeur lait dans les régions de Dosso, Maradi et Tahoua Sud
L’offre de production laitière est assurée par un cheptel composé de bovins, ovins, caprins et camelins ; sur la base de la projection des effectifs 2009, les trois régions totalisent 4 133 853 bovins, 4772 654 Ovins, 5 755 133 Caprins et 801 901 Camelins, soit respectivement 45, 45, 44 et 48% des effectifs totaux du pays. L’importance de ce cheptel place les trois régions au centre de la question de production laitière au Niger, et ce pour toutes les espèces confondues. L’offre potentielle globale serait de 200 millions de tonnes par an. Malgré ce potentiel la production laitière du bétail dans les systèmes d’élevage pastoraux reste faible et se situe respectivement pour les vaches et les chamelles autour de 2 à 3 litres et 3 à 6 litres. -
Analyse-diagnostic de la chaine de valeurs : lait de vache et produits laitiers dans la région de Zinder
La base productive laitière de la région est constituée d’un effectif de 8 788 286 de têtes de bétail en 2012, dont 24,09% d’espèces bovines réparties comme suit : - Bovins de race Azzawak 41,8% ; - Bovin de races Borroro 46,64% ; - Autres espèces 11,4%. Les zones de concentration du cheptel laitier sont respectivement : le département de Magaria ( 45%), département de Gouré (29,40%), département de Mirriah (25, 08%) et Tanout 12,76%). C’est effectivement dans ces 03 départements et celui de Kantché qu’intervient le projet. Dans la région de Zinder, le cheptel laitier aurait produit en 2012 environ 230, 0 millions de litres de lait, dont :
- 46% lait de vache
- 14% lait de brebis
- 35% lait de chèvre
- 5,97% lait de chamelle
Pour une population régionale estimée à 3 500 000 habitants selon les résultats du dernier Recensement Général (RGP) de 2012, les besoins en lait s’élèveraient à environ 325 500 000 de litres calculés sur la base de la ration des Nations Unions fixée à 93 litres par an et par habitant. -
Premières Rencontres CIGAP (Convergence Inter Générationnelle pour l’Avenir du Pastoralisme)
Le rapport du 1er Salon CIGAP (Convergence Inter Générationnelle pour l’Avenir du Pastoralisme) est organisé autour des défis qu’il a relevé en réunissant pendant trois jours 17 jeunes de 7 pays, 4 anciens leaders du pastoralisme et l’équipe de coordination du RBM. Cette rencontre s’inscrit dans un processus démarré en Mai 2019 par le RBM et appuyé par le partenariat entre le Fondation Peace Nexus et la SNV via le programme MOPSS. L’objectif du processus est d’accompagner une nouvelle génération de leaders du pastoralisme transhumant à travers l’Afrique de l’Ouest, pour construire avec eux l’avenir du pastoralisme et des Organisations Professionnelles. -
Etude du marché lait de chamelle dans la zone sud de la région de Tahoua selon une approche « chaîne de valeurs »
Cette présente étude du marché du lait de chamelle fait suite à une mission exploratoire de la SNV dans le Nord Tahoua qui a révélé l’existence d’un vrai potentiel en lait de chamelle qui malheureusement n’est pas valorisé. Dans le but de développer cette filière, il y a eu nécessité d’évaluer le marché. En vue de regrouper les éléments aussi bien de l’offre que de la demande dans les principales zones afin d’analyser le marché, une enquête de vingt (20) jours a été menée dans les départements de Tahoua, Illéla, Konni et dans la ville de Niamey.