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Bilan des actions de transfert des technologies. Les magasins « RESEDA » pour la conservation de l'oignon.
Rapport provisoireUne consultation des structures impliquées dans la construction ou l’utilisation de magasins Réséda a fourni une liste de 280 à 290 magasins existants. Hors construction en 2013 et 2014, la majorité des magasins se situe dans la région de Tahoua (252).
Cependant, au cours des visites de terrain, ce nombre n’a pas été confirmé par les différents responsables locaux d’ANFO. Seul 46 magasins de type Réséda ont été identifiés. Même si certains magasins n’ont pas été identifiés au cours de l’enquête, ce nombre est très loin du nombre initial annoncé.
50% des anciens magasins Réséda visités (antérieurs à 2013) sont effondrés ou disparus et seulement 25% sont utilisés. Les résultats de ce premier travail donnent un bilan assez décevant. Attention, ces pages ne sont pas une « condamnation » du magasin Réséda, elles ont pour ambition de partager avec les acteurs concernés des observations, des interrogations et certaines analyses ou hypothèses pour améliorer les pratiques et les résultats. -
Point de situation de la pisciculture intensive ou semi-intensive le long du fleuve Niger / Décembre 2014
La Fédération Nationale des Groupements des pêcheurs du Niger (FNGPN) a été créée le 14 Février 2004 par Arrêté n° 041/MI/DGAPJ/DLP. Son siège social est à Niamey. Elle compte actuellement 1.890 membres répartis dans 63 groupements situés dans 7 Régions du pays. Face à la désertification et à l’ensablement du fleuve, la Fédération a recommandé à ses membres de s’engager dans la pisciculture afin de compenser la diminution des revenus de la pêche et ainsi subvenir aux besoins de la famille. La production de poissons au Niger est estimée entre 40.000 et 50.000 tonnes par an, en fonction des documents, dont la majorité provient du Lac Tchad avec une commercialisation essentiellement sous forme fumée en direction du Nigeria. -
Atelier / Rencontre Indications géographiques et marques, les questions qui se posent
A la demande du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), un atelier d’échanges sur les Indications Géographiques a été organisé par le RECA en marge de la Journée nationale de l’oignon dans les locaux du SNAD le 26 juin 2013. Le thème de cet atelier a porté sur les Indications géographiques et marques, les questions qui se posent ? Le souci du choix de ce thème pour le PPAAO est de permettre aux responsables des organisations professionnelles agricoles de mieux comprendre le contenu des IG, les relations avec les marques et les questions de synergie avec les autres projets ayant des composantes IG comme le PRODEX, au regard d’expériences d’autres pays. -
Restitution des résultats 2017 du Conseil de gestion aux producteurs de poivron de Gourgia et Laouni (Commune de Gazaoua)
La Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et l’Union Son Kowa de Gourgia ont mis en place un suivi de 60 producteurs de poivron sur les sites de Gourgia et Laouni au cours de la campagne 2016 – 2017. Deux animateurs de l’Union (M. Saadou Leko à Gourgia et M. Hayo Mahamane à Laouni) ont aidé les producteurs à enregistrer les dépenses et les résultats de leurs parcelles de poivron. Ces résultats ont ensuite été analysés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi puis les éléments principaux ont été restitués aux producteurs de deux sites. -
Atelier de validation des « fiches conseil » pour les matières actives utilisées au Niger
Cet atelier à pour objectif d’échanger entre les équipes techniques du RECA et des CRA afin de valider les différents TDR et les activités à conduire par ces equipes. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon.
Le présent atelier de formation s'adresse aux producteurs et animateurs des structures d'appui conseil sur les maladies et ravageurs de l'oignon. l'objectif de l'atelier est de renforcer les connaissances et ces acteurs. -
Premiers résultats de l’analyse des données du conseil de gestion a l’exploitation familiale (CGEF) sur Maradi
Au cours de la campagne maraîchère 2014 / 2015, la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi a suivi 20 producteurs maraîchers des sites de Tarna et Soumarana (Goulbi Maradi) en conseil de gestion à l’exploitation familiale. Cette note présente les premiers résultats obtenus. Attention, le nombre limité de producteurs suivis pour cette première expérience ne permet pas de tirer des conclusions généralisables de ces premiers enregistrements. De plus, le lecteur s’apercevra à la lecture de cette note qu’il y a plus de questions que de réponses pour cette première année. Mais pour les équipes de la CRA, et de la FCMN Niya qui est associée à ce travail, c’est un apprentissage de la lecture des résultats et performances d’une exploitation maraîchère. -
Etude sur les réalisations des activités d’assistance alimentaire pour la création d’actifs productifs appuyés par le PAM et production d’un recueil des normes techniques et financières Partie 1 : Observations et réflexions sur des aménagements de restauration des sols
Ce rapport est un peu long, mais des fiches courtes et synthétiques sur les différents types d’ouvrages de restauration des sols existent déjà en grand nombre. Ce rapport est centré sur ce qui ne va pas, sur des résultats insuffisants, car c’est un document pour améliorer ; on améliore ce qui ne marche pas. Ce qui marche sert de référence pour ce que l’on veut améliorer. Mais pour cela il faut arriver à mieux comprendre les éléments à répliquer pour obtenir les résultats escomptés et les facteurs dont il faut tenir compte. Comme nous ne pouvons, en aucun cas, partir de l’hypothèse que les échecs rencontrés viennent des capacités des opérateurs, cela nous fait avancer l’hypothèse que d’autres facteurs rentrent en jeu. La restauration et la revégétalisation des sols … c’est technique et pas si facile que cela, autrement les résultats seraient nettement meilleurs. -
Rapport final:Gestion intégrée du ver gris (Agrotis ipsilon) et la mineuse de la tomate (Tuta absoluta De Meyrick) ravageurs de la pomme de terre sur le mont Bagzam.
La DGPV a reçu du Conseil National de la Recherche Agronomique (CNRA), à travers le financement des projets compétitifs des ressources financières pour la mise en œuvre des activités du projet intitulé Gestion intégrée du ver gris (Agrotis ipsilon) et la chenille mineuse de la tomate (Tuta absoluta De Meyrick) ravageurs de la pomme de terre sur le mont Bagzam. La mise en œuvre des activités de ce projet est assurée par la DGPV avec la participation de l’INRAN et du RECA. -
Rapport sur la lutte biologique contre le heliocheilus albipuntchella, la chenille mineuse de l'épi du mil dans les régions de DOSSO MARADI TAHAOUA TILLABERY ET ZINDER
La Mineuse de l’épi du mil (MEM), Heliocheilus albipunctella De Joannis (Lepidoptera, Noctuidae) et un ravageur sérieux du mil en zone sahélienne, particulièrement au Niger. Les attaques sont fréquentes sur le mil semé précocement. Les dégâts sont apparents au stade maturité de la culture pendant que les producteurs ont investis leurs efforts et les pertes de rendement sont souvent totales. Ces pertes de rendements peuvent atteindre 85-100% en cas d’attaques sévères contribuant ainsi à compromettre l’objectif de la sécurité alimentaire et de réduction de la pauvreté en milieu rural. La mineuse de l’épi reste et demeure l’un des plus redoutables ravageurs dont la gestion efficace est la lutte biologique par le lâcher du parasitoïde. -
Rapport technique sur utilisation des extraits aqueux des plantes (Boscia senegalensis, Pergularia tomentosa, Calotropis procera, Euphorbia balsamifera, Azadirachta indica,) comme produits de substitution aux insecticides dans la lutte contre la Chenille Légionnaire d’Automne (CLA).
La culture du maïs prend de plus en plus de l’ampleur au Niger. Sorti du cadre de la culture de case pratiquée en saison des pluies, le maïs se produit actuellement en toute saison au Niger. Dans tous les sites de cultures irriguées l’on produit du maïs grain comme fourrager en pur ou en intercalaire en vue de lutter contre l’insécurité alimentaire des hommes et de leurs animaux. -
Rapport technique sur la lutte contre la chenille légionnaire d’Automne ( Spodoptera frugiperda) : à travers la collecte des données agro écologiques pour la prévision des infestations dans les différentes zones d’occurrence du ravageur.
L’agriculture au Niger déjà particulièrement sensible aux aléas climatiques et aux attaques de bio-agresseurs autochtones, se trouve de plus en plus souvent confrontée à des bio-agresseurs « exotiques » ayant bénéficié de l’essor des transports commerciaux et touristiques. C’est le cas de la chenille légionnaire d’Automne qui a fait son apparition au Niger depuis 2016 et s’installe progressivement dans les différentes zones agro écologiques avec des effectifs et dégâts variés sur les cultures du maïs, du sorgho et du mil. -
Atelier des producteurs d’oignon de la région de Tahoua - Thème principal : bilan des magasins RESEDA
En plus du thème principal (magasins RESEDA), quatre autres thèmes ont fait l’objet de présentations et d’échanges : (1) la situation des semences d’oignon au Niger ; (2) les tests d’oignon en hivernage, présentation complétée par une visite sur le terrain ; (3) un partage d’informations sur la gestion du comptoir de Tsernaoua et (4) une présentation sur les chambres d’agriculture et leurs fonctions. -
Rapport annuel du programme E-Extension - Année 2020
Dans le cadre du Projet d’appui à l’agriculture sensible aux risques climatiques (PASEC), le Réseau National des Chambres d’Agriculture du Niger et les Chambres Régionales d’Agriculture du Niger ont été chargés de développer un dispositif e-Extension d’informations et de conseils agricoles en direction des producteurs et productrices. Ce programme a démarré en septembre 2017 avec la mise en place du Centre d’Appels pour un conseil agricole. Ce rapport présente les activités et les résultats de la troisième année du programme. -
Rapport d’activités annuel 2017 - Programme d’appui à la petite irrigation (PAPI)
Le Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI), soutenu par la Coopération Suisse vise à développer le secteur horticole en donnant aux producteurs et productrices l’opportunité de vivre décemment de leurs activités. Le présent rapport présente donc les activités menées au cours de l’année 2017, par le RECA et les CRA. -
Rapport du voyage d’étude sur le conseil agricole et le transfert de technologies au Maroc
Dans le cadre du plan d’activités du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest
(PPAAO-Niger), le RECA a organisé un voyage d’étude sur la diffusion et le transfert des technologies au Maroc.
Le Maroc est un pays qui présente une avancée significative dans le domaine de l’innovation technologique, de la formation, du transfert de technologies au service d’une agriculture irriguée tournée, en partie, vers l’exportation à destination de l’Europe. C’est un pays qui peut nous servir d’exemple pour améliorer le dispositif et les contenus en matière de conseil agricole. Ce pays est dans une nouvelle phase dynamique de conseil agricole. Le conseil agricole type Maroc est différent du modèle traditionnel que l’on trouve en Afrique de l’Ouest.
Ce rapport est long pour essayer de partager un maximum des rencontres instructives faites par l’équipe. Il comprend trois parties : la première partie (paragraphe 3) présente le dispositif de conseil agricole au Maroc, la seconde partie (paragraphe 4 à 10) présente les différentes structures visitées lors de la mission en essayant de mettre en avant les innovations qui ont été vues (innovations par rapport aux pratiques et expériences du Niger) et la troisième partie (paragraphe 11 et 12) répond aux termes de référence pour présenter la synthèse des visites qui ont été faites dans l’optique de comprendre l’organisation du conseil agricole au Maroc, et les recommandations de la mission.
Pour que le lecteur puisse visualiser certaines descriptions, l’équipe de rédaction a inclus des photos, certaines prises lors de la mission et d’autres « empruntées » sur Internet. -
Evolution du prix de gros de l’oignon pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 34 (mois d’août) de l’année 2019. Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes), en second le marché de Djémadjé 2.
Le Niger est le premier exportateur d’oignon dans la CEDEAO et pourtant, à certaines périodes, des oignons sont importés sur le marché de Niamey. Cette situation peut étonner plus d’un observateur. -
Rapport Technique annuel 2018 des activités des Chambres Régionales d’Agriculture de Tahoua et d’Agadez et du RECA dans le cadre du partenariat avec le Projet Pôles Ruraux (PPR)
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Tahoua et la Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua ont rédigé leur propre rapport. Ce rapport fait un récapitulatif global des activités des deux CRA et du RECA. -
Formation des techniciens et services techniques sur la stratégie de récupération des terres - Compte rendu de l’atelier 4-6 décembre 2018
Cette formation a réuni du 4 au 6 décembre 2018 des techniciens des ONG et OP qui ont été présélectionnées pour accompagner des organisations de producteurs sur la récupération de terres afin d’installer des jeunes agriculteurs et agricultrices pour des productions agricoles dans le cadre du Programme d’Appui au Développement Agricole Durable (PADAD) dans la région de Dosso.
Cette formation s’est déroulée du 4 au 6 décembre 2018 dans la salle du Secrétariat Permanent du Code Rural à Dosso. Elle a été assurée par le RECA et s’est déroulée en 3 temps : Un jour de présentation des expériences de récupération et de mises en valeur des terres récupérées au Niger, et des difficultés qui peuvent être rencontrées ; Un jour sur les questions qui se posent à la lecture des dossiers proposés au PADAD ; Une visite de terrain sur un site de récupération des terres à vocation sylvo-pastorale. -
Identification des pôles de production de tomate dans les régions de Tahoua, Dosso et Tillabéri
Cette note a été rédigée suite à une mission effectuée en deux étapes du 19 au 22 juin et du 10 au 12 juillet 2015 par une équipe du RECA et de l’Institut National de Recherches Agronomiques du Niger (INRAN) pour identifier les principaux pôles de production de la tomate dans les régions de Tahoua et Dosso et interroger les producteurs sur une éventuelle présence de la mineuse de la tomate Tuta absoluta 1. Les visites ont été facilitées au niveau de chaque région par la Chambre régionale d’Agriculture (CRA) à travers ses animateurs de terrain et ses membres consulaires. Au total, 10 sites ont été visités dont 3 à Tahoua, 2 à Dosso et 5 à Tillabéri. Cette mission fait partie d’un programme collaboratif réunissant l’INRAN, le RECA et la DGPV pour lutter contre la mineuse de la tomate sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO Niger). -
Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA)
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP1, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre autant que possible l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites terrains dans les départements de Say et de Balleyara (zones prisées par les promoteurs et représentant un pourcentage important des investissements de type agrobusiness, du fait de leur caractère propice à l’irrigation ainsi que de la proximité de la ville de Niamey) ont été réalisées par une équipe de la Chambre Régionale d’Agriculture de Tillabéri et du RECA. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes. Elles sont centrées autour de promoteurs privés, en particulier ceux possédant un ou plusieurs systèmes techniques innovants au sein de leur exploitation : utilisation de serres « filet » ou en plastique, réseau d’irrigation goutte à goutte ou Hadari avec ou sans réservoir d’eau (château d’eau, bassin de stockage d’eau, ou réseau d’irrigation direct sans retenue d’eau), système californien adapté… -
Diagnostic des besoins en renforcement de capacités des acteurs du conseil en petite irrigation dans le contexte de la République du Niger.
Cette étude a été réalisée conjointement par le programme de Promotion de l’Agriculture Productive (PromAP), financée par la GiZ, et le Réseau des Chambres d’Agriculture du Niger (RECA) dans le but :
- d’identifier les besoins en renforcement des capacités des agents de conseil dans le domaine de la petite irrigation ;- de préciser les besoins d’ajustement des modules / curricula existants, afin que ceux-ci soient adaptés à la réalité professionnelle vécue par les conseillers agricoles ;
- de renseigner l’élaboration d’un plan national de formation des agents de conseil agricole intervenant dans le domaine de la petite irrigation ; - de proposer un référentiel de compétences pour le métier de conseiller agricole. Elle repose sur une enquête de terrain auprès des agents de conseil agricole qui a été menée de juin à septembre 2019 dans les huit régions du Niger (Niamey, Tillabéri, Dosso, Maradi, Zinder, Diffa, Tahoua et Agadez). 495 conseillers agricoles répartis dans les 8 régions du Niger sont interrogés dans le cadre de cette
enquête, afin de disposer d’un échantillon représentatif des différents types de conseiller agricoles agissant sur le territoire du Niger. -
L’extension des accords interprofessionnels en
FranceL’interprofession est une organisation qui réunit des représentants organisés des différents acteurs intervenant sur un même produit. En France, les interprofessions ont été encouragées dans les années 60 pour répondre aux enjeux du développement des filières agroalimentaires. -
Stratégie de recherche - formation - innovation pour l'agriculture sur le moyen et long terme au Niger
La production végétale au Niger est une la plus grande source de revenus et d’aliments pour les populations rurales et apporte une contribution significative à l’économie nationale. Dans ce pays où la croissance démographique continue à un rythme supérieur à 3% par an, l’augmentation de la production agricole est un facteur déterminant du maintien, si ce n’est de la progression de l’approvisionnement alimentaire des populations. -
Rapport synthèse de la Composante CGEF du Programme d'Appui à la Petite Irrigation (PAPI) au 30 septembre 2017
Le Programme d'Appui à la Petite Irrigation (PAPI), soutenu par la Coopération Suisse a commencé ses activités en 2014. Il vise à développer le secteur horticole en donnant aux producteurs et productrices l'opportunité de vivre décemment de leurs activités. Implanté dans les régions de Dosso et Maradi, le PAPI vise les objectifs suivants: - permettre à des exploitations agricoles en culture irriguée d'accéder au financement de leurs investissements grâce à un crédit couplé avec une subvention. Ce crédit et la subvention sont mis en place par des institutions financières ; - apporter un conseil technique et économique aux exploitations agricoles en culture irriguée. -
Rapport final de la 3ème édition de la journée nationale de l’oignon : Comment assurer une stratégie de production des semences d’oignon au Niger en qualité et quantité ?
Cette rencontre a regroupé les représentants des organisations de producteurs, ceux des Chambres Régionales d’Agriculture (CRA), des Points d’information villageois (PIV), des services techniques et administratifs de l’Etat, des institutions de recherche agronomique (INRAN, ICRISAT, UAM), des opérateurs économiques et des partenaires au développement (liste en annexe). -
Rapport de l’atelier de partage et d’échanges d’expérience sur les mécanismes de transfert de technologies de Dosso et Diffa
On a noté une représentation satisfaisante et une participation forte des femmes. Les CRA ont respecté les demandes du RECA (une proportion significative mais de qualité pour garantir une participation effective). Les femmes présentes étaient principalement des productrices d’arachide ou maraîchères avec une expérience très significative tant du point de vue technique que des organisations paysannes.