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Rapport d'étude d'impacts du SPIC-AIC dans la commune rurale de Galma Koudawatché (région de Tahoua) : aménagement de 25 ha de petits périmètres, et de réhabilitation de 2 seuils d’épandage à Kandam.
impacts de l'aménagement de 25 ha de petit périmètres à Galma Koudawatché Tahoua. -
Rapport d'étude d'impact environnemental et social des tavaux d'aménagement de 15HA et de construction de deux (02) seuils dans le cadre du sous-projet intégré communal pour une agriculture intelligente au climat (SPIC-AIC) dans la commune de sarkin yamma (maradi)
Le niger a élaboré plusieurs documents pour inverser la tendance de développement parmi lesquels la stratégie du développement durable et de la croissance inclusive -
Note technique : Haie vive à base Bauhinia rufescens dans la Région de Tillabéri
Cette note présente les résultats d’une série d’enquêtes qui a été conduite sur les haies vives à base de Bauhinia rufescens. Elle est conduite auprès des producteurs des localités de Bitinkodji, Namaro et Gothèye de la Région de Tillabéri.
La haie vive est une technique agroforestière. Elle est constituée par un ensemble de végétaux installés de manière à former une clôture vivante caractérisée par une faible largeur et une faible hauteur. C’est pourquoi, il est important de l’entretenir (couper, élaguer et/ou émonder) afin de limiter son développement. Elle est une formation dense et alignée d’espèces ligneuses (buissons, arbustes, arbrisseaux et/ou arbres) et/ou herbacées pérennes plantées de manière serrée dans le but de jouer les fonctions qui lui sont assignées. -
Production de semences améliorées dans la région de Tillabéri - Note de travail n°2
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Tillabéri est engagée dans les activités prévues par le Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques (PASEC). Dans le cadre du PASEC, il est attendu que la CRA fournissent des informations aux producteurs et productrices. Afin de préparer une information précise, la CRA a regardé les disponibilités en semences pour la campagne 2018 dans la région de Tillabéri à partir des données de « l’Annuaire National 2018 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger » élaboré par le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage. Cette note présente les structures qui ont produit des semences améliorées dans la région de Tillabéri et des informations sur les points de vente. -
Elément radio sur l’araignée rouge ou acarien rouge (Tetranychus spp)
Cette note correspond au contenu d’une émission radio diffusée dans les différentes régions et dans les différentes langues du Niger. Le contenu de l’émission a été préparé par des techniciens du Réseau National des Chambres d’Agriculture (RECA), de l’Institut National de la Recherche Agronomique et de la Direction Générale de la Protection des Végétaux. Aujourd’hui, nous allons vous parler d’une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu, l’araignée rouge. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraichères, surtout celles de la famille des solanacées citées plus haut. -
Informer les producteurs et productrices sur l’utilisation de semences améliorées Note de travail n°1
Dans le cadre du PASEC, il est attendu des Chambres Régionales d’Agriculture qu’elles fournissent des informations aux producteurs et productrices. Ainsi, si l’on veut que les producteurs utilisent des semences améliorées, et notamment de semences « résistantes à la sécheresse », il faut être capable de leur donner une information sur l’intérêt d’utiliser ces variétés, lesquelles répondent au critère de résistance à la sécheresse (selon les sélectionneurs), où les trouver et à quels prix. Afin de préparer une information précise, le RECA a regardé les disponibilités en semences pour la campagne 2018 à partir des données de « l’Annuaire National1 2018 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger » élaboré par le Ministère de l’Agriculture et de l’Élevage. -
Étude sur la compétitivité de l'économie nigérienne : le secteur manufacturier
Le secteur manufacturier nigérien demeure embryonnaire et peu performant malgré des interventions étatiques multiples depuis les années soixante visant à encourager sa croissance. Cette performance décevante du secteur manufacturier nigérien révèle des problèmes de compétitivité et, notamment, une incapacité à produire des biens manufacturés, de qualité équivalente, à des coûts similaires ou inférieurs à ceux des concurrents étrangers. Ceci est vrai pour le marché intérieur et, à fortiori, pour les marchés d'exportation. Les interventions étatiques caractérisées par des subventions explicites ou implicites ont rendu les producteurs locaux artificiellement compétitifs. Ces mesures avaient été mises en place dans l'espoir que la performance des activités protégées s'améliorerait au fil du temps, ce qui ne semble pas avoir été le cas -
Étude sur la compétitivité de l'économie nigérienne : le secteur agro-pastoral
Le secteur agropastoral, composante principale de l'économie nigérienne, représente environ 42% du PIB et emploie presque 80 % de la population active. En dépit d’énormes efforts fournis en matière de politiques de développement agricole, ce secteur peine encore à trouver un équilibre qui lui permette d’être compétitif sur les marchés national et international. Pour cause, l’Agriculture nigérienne se heurte à des graves insuffisances qui l'empêchent d'atteindre un niveau comparable à celui des plusieurs pays de la sous-région. Or, le développement de la capacité productive du secteur agropastoral constitue un élément fondamental dans la promotion de la croissance économique. Ainsi, dans ce contexte de création d’un marché commun, il s’avère impératif d’identifier les causes profondes qui sous-tendent les difficultés du secteur à fournir des produits compétitifs sur les marchés national et international. La présente étude a permis d’analyser la compétitivité du secteur agropastoral nigérien. Elle a pour objectif d’apprécier l’avantage comparatif et la compétitivité des produits agropastoraux nigériens pour fournir aux décideurs politiques des éléments d’aide à la décision surtout dans ce contexte de Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf). Les produits qui ont été ciblés par l’étude sont : le niébé, l’arachide, le sésame, le souchet, la pomme de terre, le manioc, le moringa, l’oignon et la filière bétail/cuir/peaux. La démarche méthodologique consiste à faire une analyse des indicateurs macroéconomiques et une analyse filière (ou microéconomique). La présente étude a permis d’analyser la compétitivité du secteur agropastoral nigérien. -
Champ école agro-pastoral pour une agriculture intelligente face au climat
Ce document « Guide Pratique du facilitateur de Champ Ecole Agro-Pastoral pour une Agriculture Intelligente face au Climat » est un aide-mémoire pour les facilitateurs déjà formés à l’approche champ école qui reflète les innovations et évolutions actuelles des champs écoles au Niger. -
Note de préparation de l'émission radio : Plantation et entretien des manguiers au Niger
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa. -
Note sur la teigne du chou (Plutella xylostella)
La Teigne des choux ou Plutella sont le nom d’un très petit papillon (un peu plus gros qu’un moustique, photo1) dont la chenille est le plus grand ravageur des choux au Niger. Cet insecte est présent durant toute l’année, sur toute l’étendue du territoire mais il est surtout présent pendant les périodes chaudes, entre mars et mai. Il peut dévaster toutes les cultures de choux. -
Projet d'Appui à l'Agriculture Sensible aux Risques Climatiques (PASEC) : bilan de mise en œuvre
Le Gouvernement du Niger a reçu un crédit IDA de III millions USD pour financer les coûts du Projet d'Appui à l'Agriculture Sensible aux risques Climatiques (P ASEC). L'Accord de financement du Projet a été signé le 21 juin 2016 et mis en vigueur le 30 Novembre 2016. Le PA SEC s'inscrit dans le cadre de l'Agriculture Intelligente face au Climat (AIC) et ses actions s'inscrivent aussi dans le cadre de la réalisation des objectifs de l'Alliance mondiale pour une agriculture climato-intelligente (Climate Smart Agriculture) dont le Niger est un des membres fondateurs. En effet, l'Alliance vise à adapter les pratiques agricoles, les filières alimentaires et les politiques sociales pour qu'elles prennent en compte les changements climatiques et utilisent de manière efficiente les ressources naturelles. Les objectifs de développement du projet (ODP) proposés sont d'accroître la résilience face aux risques climatiques et d'améliorer la productivité agricole au niveau des communautés ciblées. Le projet aidera aussi à améliorer les capacités du Gouvernement du Niger à répondre promptement et efficacement à toute situation de crise ou d'urgence éligible. -
Rapport de l'Étude d'Impact Environnemental et Social du Sous - Projet intégré communal pour une Agriculture Intelligente au Climat (SPIC-AIC) dans la commune rurale de Guidan Sori (région de Maradi) : aménagement de 5 ha de site maraicher à Kouka Maikogo et de 5 ha à Sanguérawa
L'objectif visé par le sous projet est d'améliorer l'obtention du triple gain de l'AIC dans la Commune de Guidan Sori à travers (i) l'Appui au développement de l'irrigation au moyen de technique et technologies AIC, (H)I' Amélioration de la fertilité des sols et la gestion de l'eau au moyen des actions de GDTE dans les zones de plaines de la grappe de Sanguérawa et les bassins versants de Rafin wada, (iii) l'Amélioration de l'accès aux infrastructures pastorales, (iv) la création d'opportunité d'autonomisation des femmes de la commune et (v) le Renforcement des capacités des acteurs de la grappe dans les filières agrosylvopastorales et ceux de la commune à la mise en oeuvre du SPIC-AIC. -
Formation en Services Climatiques Participatifs et Intégrés pour l'Agriculture (PICSA)
Que comprendre de l'approche PICSA ?
L'approche elle-même et, reconnaitre sa valeur ajoutée dans l'accompagnement des producteurs. Les informations de base utilisées sur le climat pour aider les producteurs à prendre les meilleures décisions et se préparer pour la campagne à venir ; Les différents outils participatifs qui permettre aux producteurs de prendre des décisions sur les options (agriculture, élevage et d'autres activités de subsistance); Comment l'approche PICSA pourrait être intégrer dans nos activités et comment la mettre en œuvre dans le cadre de PASEC ? -
Caractéristique du Site de Makaouraci
Le site de récupération des terres dégradées du village de Makaouraci a pour coordonnées géographiques 13˚32’50.3’’ N et 009˚19’.52.1’’ E. Il est situé à 2 km du village dans sa partie Sud et à environ 22 km du chef-lieu de la commune rurale de Wacha.bLa population de ce village est de 1 969 habitants dont 928 hommes et 1 041 femmes (RGPH, 2012) -
Note sur l’activité d’embouche pour la radio
Au Niger, les producteurs et les productrices connaissent et pratiquent l’activité d’embouche. Cependant, il nous a semblé important de reprendre certains conseils pour avoir de meilleurs résultats
ou éviter de mauvaises surprises. -
Rapport d'étude d'impact environnemental et social (EIES) des travaux d'aménagement de 25ha de périmètre irrigués dans le cadre du sous-projet intégré communal pour une Agriculture Intelligente au Climat (SPIC-AIC) dans la commune de Gabi
L’initiative 3N accorde une place importante à la maitrise de l’eau pour les productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques afin de mettre les nigériens à l’abri de la famine et de garantir les conditions de leur pleine participation à la production nationale et à l’amélioration de leurs revenus par le renforcement de leurs capacités de production alimentaires. -
Un nouvel instrument au service du développement agricole dans un contexte de changement climatique
L’AIC est au cœur de la stratégie du Niger en matière de changement climatique. Le Niger est l'un des membres fondateurs de l'Alliance mondiale pour une agriculture intelligente face au climat lancée en septembre 2014. Au niveau national, le PASEC s’aligne sur l’Initiative 3N qui est la stratégie nationale pour stimuler le développement agricole et résoudre définitivement le problème de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle. Le projet cadre également avec la politique nationale de décentralisation (PND). Les objectifs de développement (ODP) du PASEC sont d’accroître la résilience face aux risques climatiques et d’améliorer la productivité agricole au niveau des communautés ciblées. -
Mission d’identification des filières et des bassins de production pouvant accueillir des plateformes d'innovations
Du 19 au 25 mars 2018 s’est déroulée une mission de sensibilisation/information sur les plateformes d’innovations et d’identification des filières et des bassins de production pouvant accueillir des plateformes d’innovation dans cinq (5) Communes pilotes de la Zone d’intervention du Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible au Climat (PASEC). Il s’agit des Communes de : Soucoucoutane et Kiota (Dosso), Torodi (Tillabéri), Illéla (Tahoua) et Wacha (Zinder). Les acteurs autour des chaines de valeur ou produits phares identifiés au niveau de ces Communes seront organisés et structurés en plateformes d’innovation qui constituent des cadres de concertation, d’échange, de partage et de diffusion des nouvelles technologies dans le but d’améliorer la productivité et de rendre plus compétitif leurs produits conformément à la stratégie de l’initiative 3N notamment en son axe 1 « Accroissement et diversification des productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques ». Le présent rapport retrace les grandes lignes du déroulement des travaux des ateliers communaux conformément aux TDRs.