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Etude de l'armature commerciale de la ville de Niamey : Rapport d’orientation intermédiaire
Ce rapport fait suite à la première mission réalisée à Niamey du au 2018. Il prend également en compte les résultats de l’enquête menée pendant la période de janvier 2019 auprès des commerçants. L’ensemble de ces démarches permettent donc de proposer i) une actualisation de l’étude diagnostic (commercial, urbain, institutionnel) et i) une définition préalable de la stratégie. -
Appui à la formulation concertée de la SPN2A pour la République du Niger : Elaboration des projections climatiques désagrégées pour le Niger
Ce rapport porte sur l'élaboration de projections climatiques désagrégées pour le Niger -
Rapport de la mission de l’état de lieu du dispositif d’appui conseil agricole dans la zone d’intervention du promovare
La population du Niger est estimée à plus de 17 129 076 habitants (RGPH, 2012). Une population à plus de 80% rurale avec comme principale source de subsistance les activités agrosylvopastorales. Avec le taux d’accroissement actuel de (3,9%), cette population atteindra 55 millions en 2050. -
Formation des brigades phytosanitaires des régions de Maradi, Tillaberi et Zinder Campagne des cultures irriguées 2017
Financement regis-er
Les cultures maraîchères sont attaquées par de nombreux ennemis qui occasionnent des pertes de récolte, souvent très importantes. L’ampleur des dégâts et des pertes sont plus significatives dans les pays ayant un écosystème fragile caractérisé par des sols pauvres et une insécurité climatique marquée par des pluies insuffisantes et irrégulièrement réparties dans le temps et dans l’espace. Dans ces zones les capacités de surveillance et de lutte contre ces ennemis de cultures sont limitées. -
Etude de faisabilité du pisa 2 rapport provisoire
Le Programme de Petite Irrigation et de Sécurité Alimentaire est un programme de la Coopération Nigéro-Allemande financé par la KfW. Il a démarré en 2016 et doit se terminer en 2020. Actuellement dans sa première phase, le PISA devrait se poursuivre lors d’une deuxième phase qui devrait démarrer à la suite de l’actuelle. -
Rapport d'étude évaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des investissements du PISA 1 version finale
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte
lié à des risques multiples dont : les risques climatiques/naturels, les risques sociaux
et les risques d’insécurité alimentaires. A cela s’ajoute la plus forte croissance
démographique du continent (3,9%).La population aura presque doublé en 2030 (par
rapport à 2015) (INS, 2014). Le pays est classé parmi les plus bas sur la quasi-totalité
des indicateurs de développement humain (BM, 2019). Le secteur du développement
rural en général et celui de l’irrigation en particulier fait partie des enjeux majeurs du
pays. -
Rapport annuel d’activités
campagne de lutte phytosanitaire 2017
Pour contribuer à l’atteinte des objectifs visés par l’Initiative 3N « Les nigériens nourrissent les nigériens » la direction générale de la protection des végétaux a engagé des actions permettant d’assurer la couverture phytosanitaire des cultures pluviales et irriguées en 2017. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande - Production de kilichi
A l’origine, le « kilichi » était fabriqué pour pallier au problème de conservation des invendues de viande des bouchers Nigériens. Le temps évoluant, ceux-ci ont pris conscience de sa valeur marchande et ont décidé de le produire à grande échelle, tout en ajoutant à l’assaisonnement des épices et de la pâte d’arachide afin de le rendre facilement comestible.
Il est préparé en découpant la viande en fines lamelles que l’on sèche, assaisonne et grille. C’est un produit qui peut être conservé pendant plus de six mois lorsqu’il bien séché. Le kilichi est produit sous variantes dont de couleur rouge (Kilichi Mai Yagi Ja), le ou kilichi enrobé mais non pimenté (Roumouzou) et le Kilichi de Tessaoua qui est enrobé d’épices et séché sans subir de grillade. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Culture fourragère, cas du bourgou, « Echinochloa stagnina »
La pratique de la culture fourragère de bourgou s’est développée dans des zones agricoles de sol lourd et fertile des vallées. Elle devient actuellement une activité économique importante dans la chaine d’approvisionnement en aliments grossiers des élevages intensif et semi-intensif des exploitations familiales et des entreprises agricoles. Cette activité de culture fourragère contribue à un créneau d’amélioration des revenus des agriculteurs grâce à un circuit de commercialisation bien animé par les différents acteurs (producteurs, commerçants grossistes et détaillants). En cas de surplus de production, les producteurs pratiquent les techniques de stockage et de conservation (foin) dans des meilleures conditions pour rendre disponible le fourrage aux animaux pendant les périodes de soudure. -
Guide pratique sur les boutiques d'intrants
Ce livret a été développé sur la base du manuel de gestion de boutiques d’intrants (BI) à caractère coopératif (manuel du gérant élaboré en 2006 par le projet Intrants/FAO). Un atelier participatif de révision de ce manuel, organisé en mars 2010, a proposé de le présenter sous forme de trois livrets illustrés pour faciliter sa compréhension. -
Annuaire des statistiques 2009-2019
Le Système Statistique National (SSN) est régi par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 qui organise les activités de production, de traitement, d’édition, de diffusion et d’utilisation des statistiques au Niger. Elle consacre l’indépendance scientifique dans la production et la diffusion des statistiques et fait obligation au secret professionnel, à la neutralité, à l’objectivité, à l’impartialité et à l’anonymat des fournisseurs des informations primaires ou des répondants aux questionnaires. Elle impose également le principe de transparence : accès égal pour tous aux données et compréhension partagée des objectifs et des résultats attendus -
Guide national de mise en place et d'animation de dispositif d'innovations paysanne en élevage (DIPE)
Le dispositif d’appui conseil post indépendance, entièrement exécuté par les services de
l’Etat est essentiellement orienté vers les cultures de rente et le contrôle des épizooties qui ravageaient le cheptel. Le transfert de technologies en direction des producteurs a été assuré par des structures étatiques de formation (centres de perfectionnement technique, centres de promotion rurale, centres de multiplication de bétail). -
Mission d’identification des filières et des bassins de production pouvant accueillir des plateformes d'innovations
Du 19 au 25 mars 2018 s’est déroulée une mission de sensibilisation/information sur les plateformes d’innovations et d’identification des filières et des bassins de production pouvant accueillir des plateformes d’innovation dans cinq (5) Communes pilotes de la Zone d’intervention du Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible au Climat (PASEC). Il s’agit des Communes de : Soucoucoutane et Kiota (Dosso), Torodi (Tillabéri), Illéla (Tahoua) et Wacha (Zinder). Les acteurs autour des chaines de valeur ou produits phares identifiés au niveau de ces Communes seront organisés et structurés en plateformes d’innovation qui constituent des cadres de concertation, d’échange, de partage et de diffusion des nouvelles technologies dans le but d’améliorer la productivité et de rendre plus compétitif leurs produits conformément à la stratégie de l’initiative 3N notamment en son axe 1 « Accroissement et diversification des productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques ». Le présent rapport retrace les grandes lignes du déroulement des travaux des ateliers communaux conformément aux TDRs. -
Manuel pour la mise en place et la gestion d'une organisation à caractère coopératif
Au Niger dans la plupart des cas, le mode de création des coopératives a été fondé par une démarche volontariste de l’État et des promoteurs dans le secteur. Cette démarche basée sur l’animation et la sensibilisation des populations, fait très peu de place à l’adhésion consciente des populations et aux possibilités de promouvoir d’autres formes d’organisations adaptées à certains de leurs problèmes identifiés. L’insuffisance de formation coopérative tant pour les coopérateurs que pour le personnel coopératif et les agents d’encadrement, l’insuffisance d’instruction et d’alphabétisation des coopérateurs, l’insuffisance des moyens financiers et les difficultés d’accès au crédit, la méconnaissance et/ou la mauvaise compréhension des textes et les difficultés de les faire respecter sont autant d’éléments qui renforcent les hypothèses que le mouvement coopératif a évolué dans un environnement juridique, technique et socioculturel très peu favorable à son développement.