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Gestion agro écologique des cultures fruitières et maraîchères
Aujourd'hui, les systèmes horticoles doivent évoluer pour à la fois augmenter leur productivité et prévenir les risques pour la santé humaine et l’environnement. la maîtrise des bio-agresseurs sans recours aux pesticides de synthèses, constitue une voie privilégiée pour la mise au point des systèmes horticoles de demain. l'augmentation de la diversité des plantes cultivées et sub-spontanée dans les systèmes de culture, en favorisant notamment le développement des organismes axillaires ( prédateurs, pollinisateurs, parasitoïdes ... ), permet de contrôler plus durablement les populations de ravageurs. -
Mémento de l’agronome
Cet ouvrage présente une collection d'informations techniques utiles à l’agronome sur le terrain -
Comment lutter contre les pourritures du fruit et les coups de soleil sur cultures d'ananas
Fiche technique présentant une méthode écologique de lutte contre les pourritures du fruit et les coups de soleil sur cultures d'ananas : l'utilisation de filets protecteurs -
Les mouches des fruits du genre ceratitis (diptera:tephritidae) en Afrique de l'ouest
De façon générale, les cératites sont petites, ont des taches ou bandes sur les ailes et un scutellum bombé tacheté de jaune et noir. -
La nouvelle espèce invasive de mouche des fruits : bactrocera invadens drew tsuruta et white
Espèce de grande taille (-1 cm),présentant deux lignes thoraciques et un abdomen de couleur orangée avec un T central. -
Piégeage de détection des mouches des fruits
Les mouches des fruits sont des ravageurs du manguier de très grande importance économique à cause de leur statut d'insecte de quarantaine et del'importance des pertes enregistrées en afrique de l'ouest. -
Utilisation du"success appat" (GF-120 Fruits fly bait) contre les mouches des fruits
La filière mangue ouest-africaine est confrontée à la problématique mouches des fruits depuis nombreuses décennies. -
Utilisation des fourmis tisserandes(hymenoptera formicidae)dans la lutte contre les mouches des fruits(dipera tephritidae)
Les filières fruitières ouest africaines sont confrontées à la problématique mouches des fruits -
Principales méthodes de lutte intégrée contre les mouches des fruits en afrique de l'ouest
Depuis des décennies la filière mangue ouest africaine est confrontée à la problématique mouches des fruits -
Evaluation des dégats causés par les mouches des fruits sur le manguier et calcul du seuil économique de nuisibilité au Bénin.
En 2005 et 2006 au bénin,les pertes de production du manguier dues aux attaques des mouches des fruits -
Gamme de plantes-hôtes cultivées et sauvages pour les principales espèces de mouches des fruits au Bénin
En 2005et 2006 au bénin,les pertes de production du manguier dues aux atetaques des principales espèces de tephritidae ont dépassé 50% en milieu de campagne. -
Principaux cultivars du manguier(Mangifera indica)au Bénin et leur importance socio-économique.
Le manguier était déjà présent en afrique de l'état dès le XIV eme siécle mais ce n'est qu'au début du XIX eme siécle... -
La lutte contre les mouches des fruits à travers l'hygiène phytosanitaire du verger: lutte prophylactique
Les mouches des fruits sont des ravageurs de grande importance économique à cause de leur statut d'insecte de quarantaine et des pertes enregistrées en afrique de l'ouest au niveau de diverses filières de fruitières d'intérèt commercial. -
Bauhinia rufescens
Espèce recommandée pour la création de haies-vives défensives, fourragères ou ornementales. Il y a environ 9.000 graines par kg. Elles se conservent bien à température ambiante. Les graines sont prétraitées par ébouillantage puis trempage de 18 à 24 heures dans l’eau ou par acide sulfurique concentré pendant 30 à 60 minutes. Les graines prétraitées sont semées directement en pot. -
Plantes pesticides et protection des cultures maraichères en Afrique de l’Ouest (synthèse bibliographique)
Les cultures maraichères occupent une place importante pour l’alimentation humaine et contribuent significativement aux revenus des familles en Afrique de l’Ouest, mais leur production est confrontée à une pression des bioagresseurs qui limite leur productivité. -
Jujubier
Le jujubier est plastique et rustique. Il aime les sols sableux à limoneux, bien drainés, de pH neutre ou légèrement alcalin. Il supporte une faible fertilité du sol et une grande variété de climats mais on le trouve principalement dans des zones avec une longue saison sèche. -
Légumineuses pérennes : Stylosanthes guianensis
Stylosanthes guianensis est une légumineuse (famille des Fabaceae) herbacée, érigée à semi-érigée, non volubile, originaire d’Amérique du Sud. Il forme de petits buissons (1 m à plus de 1,8 m), aux feuilles trifoliolées de 0,5 à 5 cm de long, lancéolées, vert tendre à vert foncé. Les tiges sont velues et se lignifient par la base. Ses fleurs caractéristiques sont d’un jaune intense à orangé et peuvent être striées de rouge. Ses graines, très petites (1,5 à 2 mm, poids de 1000 grains: 3 à 4 g.), de couleur brun clair mais pouvant varier de jaune à noir, sont protégées dans des “têtes” (capitules). -
Production fourragère en zone Tropicale : l'évaluation des ressources fourragères naturelles
La très grande majorité du fourrage consommé par les ruminants en Afrique tropicale est encore constituée par les pâturages naturels. Savanes, steppes et formations de jachères, offrent la base de l’alimentation du cheptel, même dans les élevages sédentaires ou en voie d’intensification. Comment les évaluer, comment surveiller leur évolution, tel est l’objet de cette fiche. -
Note d’état corporel des zébus soudaniens
Dans les régions tropicales et subtropicales sujettes à d'importantes variations quantitatives et qualitatives du disponible fourrager au cours de l'année, l'évaluation de l'état nutritionnel des bovins est importante pour ajuster leur alimentation et apprécier leur état général de santé et leur capacité de production (lait, travail...). La Note d’Etat Corporel (NEC) est un outil simple pour ajuster l'alimentation individuelle et l’alimentation du troupeau de manière à maximiser la production laitière et minimiser les risques de désordres reproductifs. -
Le pédiluve acaricide
Les adultes d’Amblyomma variegatum attendent le passage de leurs hôtes sur le sol, cachés sous les débris végétaux. Lorsque les bovins pâturent, ils « réveillent » ces tiques qui se fixent entre leurs onglons avant de gagner les sites de prédilection. Ces observations, faites au Cirdes, ont permis de mettre au point une technique de lutte efficace, rapide et économique : le pédiluve acaricide. -
Utilisation rationnelle des trypanocides
Les trypanosomoses animales, transmises par les mouches tsé-tsé, sont une contrainte majeure pour l’élevage en Afrique sub-saharienne. Dans les zones infestées, elles réduisent le cheptel de moitié de même que la production de viande et de lait. La traction animale chute et la production agricole totale accuse une baisse de 10 %. On estime que, sans la présence des mouches tsé-tsé, 90 millions de bovins supplémentaires pourraient être élevés. Pour traiter ces trypanosomoses, la méthode la plus courante consiste à employer des médicaments trypanocides. Le marché des médicaments vétérinaires en Afrique de l’Ouest est estimé à plus de 14 milliards de francs CFA. La part des trypanocides varie de 20 à 50 % selon les pays. -
Diagnostic différentiel des trypanosomoses des ruminants
Les trypanosomoses animales africaines sont des parasitoses dues à des protozoaires flagellés vivant dans le sang de leurs hôtes et qui sont principalement transmis par les glossines. En Afrique, dans les zones sub-sahariennes, les trypanosomoses animales dues à Trypanosoma vivax, T. congolense et T. brucei sont les plus importantes maladies des ruminants transmises par des vecteurs. Elles touchent principalement les bovins, en particulier les zébus qui ne peuvent être élevés dans l’aire de répartition des glossines ; les taurins trypanotolérants (Baoulé, N’Dama, etc.) supportent mieux l’infection et développent des formes chroniques. Ovins et caprins sont souvent moins touchés que les bovins. Les trypanosomoses provoquent : fièvre, anémie, amaigrissement, avortement et peuvent même aboutir à la mort. L’expression clinique peu spécifique prête à confusion avec plusieurs autres hémoparasitoses, des helminthoses, ou même des intoxications. Il est donc nécessaire de rappeler les symptômes de ces maladies, pour un diagnostic différentiel, et de présenter les techniques de laboratoire permettant de confirmer des suspicions cliniques. -
Intégration des cultures fourragères dans les systèmes de production
Depuis longtemps, des tentatives d’introduction de plantes fourragères cultivées ont été réalisées dans de nombreux pays d’Afrique tropicale. Si les résultats sont satisfaisants, et même parfois encourageants en station (Farako-ba, Banankélédaga au Burkina-Faso, Sotuba au Mali, Bouaké en Côte-d’Ivoire et Sangalkam au Sénégal), la vulgarisation pose des problèmes. Rares sont les villages où l’on peut observer des cultures fourragères en place et en bon état. Des obstacles existent, qu’il faut identifier, avant de tenter l’introduction d’une culture fourragère. -
Traitement épicutané du bétail
Les traitements épicutanés consistent à déposer sur la peau des animaux des insecticides et/ou acaricides selon diverses modalités. Ils permettent une action simultanée contre les principaux ectoparasites : les tiques et les glossines (figure 1). Pour la lutte contre les tiques, ces traitements sont très répandus et aisément mis en œuvre. Ils peuvent s'appliquer aussi bien à l'individu qu'à l'ensemble du troupeau. Pour la lutte contre les glossines, les traitements épicutanés sont un bon complément aux autres modes de lutte que sont la pose d'écrans et/ou de pièges imprégnés d'insecticides. Ils requièrent dans ce cas une approche communautaire et participative des éleveurs. -
Synchronisation des chaleurs et insémination artificielle bovine
La synchronisation des chaleurs, technique qui permet de maîtriser et d’harmoniser le cycle sexuel des femelles, a l’avantage d’améliorer le taux de succès de l’IA par la levée des contraintes liées à la détection des chaleurs et aux moyens de déplacement. En effet, la détection des chaleurs ne s’impose plus chez la vache synchronisée où l’insémination se fait à une date prédéterminée. En plus, si la synchronisation porte sur un groupe de vaches, le temps de travail s’en trouve du même coup réduit parce que toutes seront inséminées le même jour et au même lieu. Cette fiche technique a pour objet d’aider à la vulgarisation des méthodes de synchronisation des chaleurs et d’IA bovine. Mais, auparavant, quelques rappels sur l’activité sexuelle de la vache sont nécessaires. -
L’insémination artificielle : conditions pour une bonne réussite
L’insémination artificielle (IA), technologie de reproduction consistant à recueillir le sperme d’un géniteur et à l’introduire dans les voies génitales d’une reproductrice sans qu’il y ait accouplement, est de plus en plus pratiquée dans les programmes d’amélioration génétique par croisement en Afrique. En plus de l’intérêt économique associé à l’obtention et à la diffusion rapide de métis performants, d’autres avantages liés à la pratique de l’IA concernent les aspects de conservation du patrimoine génétique et de sécurité sanitaire. Combinée aux techniques de groupage des chaleurs, l’IA peut contribuer à une meilleure gestion des troupeaux et à une optimisation de la carrière reproductive des animaux. Ces nombreux avantages ont créé chez l’éleveur africain un réel engouement pour l’IA. Cependant, cet engouement ne s’est pas encore traduit par un fort taux d’adoption de la technologie, principalement à cause de son coût de revient élevé (44 000 FCFA l’insémination lors d’opérations menées au Mali en 2002/2003) et de son taux bas de réussite (un taux moyen de 34 % en Afrique). -
La cowdriose : épidémiologie et contrôle
La cowdriose, maladie mortelle pour les ruminants, constitue un des obstacles majeurs à l'introduction en zone subhumide d'animaux originaires d'Europe ou de régions africaines où le vecteur est absent. La prévention par une lutte rigoureuse et constante contre les tiques étant aléatoire et le vaccin n'étant pas encore disponible, le recours principal contre la maladie reste l'application rapide d'antibiotiques appropriés. Il est donc essentiel de connaître les modalités d'apparition de la cowdriose et de l'identifier dès qu'elle se manifeste. -
Guide de l'élevage du mouton méditerranéen et tropical
Herbivore de l’ordre des ruminants, le mouton ou Ovis aries Linnaeus 1758 (en anglais sheep) est un des plus anciens animaux domestiques. Il est répandu dans tout le monde, avec des effectifs élevés, montrant par là des facultés d’adaptation aux climats divers et un intérêt universel. C’est un petit ruminant avec la chèvre, le lama, l’alpaga et le guanaco. Il valorise l’herbe qu’il broute, même lorsqu’il s’agit de végétaux riches en fibres. Sa taille plus petite que celle des bovins est à la fois un inconvénient et un avantage. C’est un inconvénient quand on désire disposer de beaucoup de viande à la fois. C’est un avantage pour les pays chauds là où la chaîne de froid est inopérante. Une carcasse suffit aux besoins d’une famille avec très peu de gaspillage. Par ailleurs, une famille pauvre peut plus facilement se séparer d’un mouton que d’une vache.