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Evaluation des dispositifs (CEP/ACAP/CEPM) de renforcement des capacités des producteurs dans l’amélioration de la productivité et de la production agricole dans le cadre du ProDAF
Conscient que l’agriculture familiale est au coeur de la production de subsistance des ménages vulnérables face aux changements climatiques, le ProDAF a accordé une place de choix au renforcement des capacités des acteurs à travers les approches les Champs Ecoles Paysans (CEP) pour les cultures pluviales, Champs Ecoles Paysans Maraichers (CEPM), l’Appui Conseil Agricoles (ACAP) pour booster la productivité et les productions agricoles.
Après quatre ans de mise en œuvre des approches de renforcements de capacités des producteurs à travers les CEP, CEPM, ACAP, avec les partenaires comme les Groupements de Services conseils (GSC) et les Groupements d’Appui Conseil (GACAP), plusieurs réalisations ont été enregistrées.
Ainsi, dans le cadre de la préparation de la revue à mi-parcours du programme, il s’avère nécessaire de procéder à l’évaluation de ces approches pour bien apprécier la pertinence, l’efficacité, l’efficience et la durabilité du dispositif. C’est dans ce cadre que l’étude, objet du présent rapport a été initiée. -
Annuaire National 2021 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
Le Ministère en charge de l’agriculture a institué depuis 2010 l’élaboration d’un annuaire national de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger.
La production 2020 (semences disponibles pour la campagne 2021) est de 9 811 tonnes de semences toutes espèces, variétés et catégories confondues contre 8 326 tonnes en 2019. Le report des semences de l’année précédente est quasi nul (26 tonnes) donc la totalité des semences disponibles en 2020 a été distribuée ou vendues.
L’Annuaire National est un référentiel qui met à la disposition des utilisateurs des semences, les détails essentiels sur les acteurs (producteurs semenciers et agriculteurs multiplicateurs) de la chaine de production -
Rapport sur le suivi de la dynamique des ressources naturelles au niveau de l’observatoire de Tahoua Keita dans le cadre du Projet aménagement du bassin versant de Badaguichiri
La zone d’étude est localisée dans le bassin de Badaguichiri des départements de Tahoua, Keita, Bouza et Illela de la région de Tahoua.
L’objectif de cette étude est de faire un bilan du changement de l’occupation des terres (OT) des communes du bassin versant de Badaguichiri aux deux dates de référence suivantes (1984 et 2011) dans le cadre du projet d’aménagement du bassin versant de Badaguichiri : Il faut préciser d’abord que la NOT est une classification du territoire en unités homogènes sur la base d’une nomenclature qui permet de décrire les unités paysagères. Dans ce cas, l’occupation des terres des communes est structurée en trois couches d’information en formats vectoriels.
L’objectif principal de ce bilan est de satisfaire en informations sur les ressources naturelles d’une part et de contribuer à garantir, de manière durable, la disponibilité des informations sur ces ressources. Dans ce bilan, les différentes tendances (évolutives, régressives ou stationnaires) ont été dégagées ce qui a permis de comprendre le phénomène des impacts environnementaux naturels et anthropiques. -
Rapport de mission de l’état de référence du Bassin Versant de Badaguichiri - Flore et végétation
Cette étude vise à accélérer la finalisation du document de la situation de référence de la zone d’intervention du PGBV/B à travers la collecte et l’analyse des données plus précisément, il s’agit de : collecter les données relatives au taux de recouvrement des espèces ligneuses, la biomasse, la diversité biologique (l’abondance et fréquence des herbacées) et, analyser et consolider les données collectées eu vue d’établir une situation de référence.
La zone d’étude correspond à au bassin versant de Badaguichiri apparaissant de fait comme une extension de l’observatoire de Tahoua-Keita-Tillabéri Nord. -
Rapport de campagne flore et végétation 2013
L’objectif principal de ce travail se résume à l’évaluation de l’impact des travaux de récupération des terres dégradées dans l’observatoire de Tahoua-Keita et Nord Tillabéry sur la dynamique des communautés végétales, de préciser, par la combinaison d'études théoriques les mécanismes écologiques qui sous-tendent l'installation et la réponse fonctionnelle des espèces végétales en milieu hétérogène dans l’observatoire. Enfin de mettre à la disposition des décideurs, des informations scientifiques de base pour une gestion durable des ressources naturelles prenant en compte les intérêts socio-économiques de la population locale. -
Rapport d’étude pédologique dans le bassin versant de Badaguichiri
Le bassin versant de Badaguichiri, de forme allongée Est-Ouest est située au sud du département de Tahoua entre la grande vallée de Keita au Nord et celle de la Maggia au Sud. Cinq unités géomorphologiques le composent ; il s’agit des plateaux (54%), des talus (21%), des glacis (17%), des jupes sableuses (2%) et des bas-fonds (6%). L’objectif principal de l’étude est de caractériser les principaux types de sol observés au niveau du bassin versant de Badaguichiri. Les objectifs spécifiques au terme de ce travail seront de produire des informations sur : la morphologie du terrain, les propriétés physico-chimiques des sols, la typologie des sols, l’aptitude agro-écologique des sols. -
Rapport de mission « état de surface » sur l’observatoire Tahoua-Keita-nord Tillabéry
Cette mission, appelée mission « Etat de surface » avait donc pour objectif de faire la typologie locale des surfaces élémentaires (états de surface) rencontrées sur l’ensemble de l’observatoire de Tahoua-Keita-Tillabéri-Nord. Elle s’est exécutée en deux activités principales. La première est l’identification et la description des différents états de surface actuels au niveau des différents sites de l’observatoire, ainsi que la prise de leurs coordonnées géographiques pour un éventuel géoréférencement. La deuxième est relative à l’administration d’un questionnaire dans l’optique de relever la perception des populations des changements intervenus. -
Cartographie des terres dégradées dans le bassin versant de Badaguichiri – Rapport d’étude
Le projet Badaguichiri, en partenariat avec le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale, a réalisé une cartographie qui présente la situation des terres dégradées dans le bassin versant de Badaguichiri à partir des données satellitaires. Les résultats préliminaires montrent que la dégradation des terres est réelle dans le bassin versant affectant les zones agricoles et forestières. Les résultats obtenus montrent bien que la dégradation et la couverture du sol montre que les facteurs anthropiques ont un rôle primordial dans la détermination du processus de dégradation. -
Dispositif de suivi du niveau de nappe phréatique dans les vallées équipées de seuil d’épandage du bassin versant de Badaguichiri
La non durabilité de l'usage des eaux souterraines pour l'irrigation est un problème important non seulement pour les pays qui font un usage intensif des eaux souterraines, mais aussi pour le monde dans son ensemble. La disponibilité et la mobilisation des eaux souterraines constituent un facteur constituent un préalable pour la pratique et la promotion des cultures irriguée. Dans les vallées du bassin versant la pratique des cultures maraichères est possible du fait de l’existence de nappe alluviale dont la profondeur du niveau statique n’excède pas les 15m. La recharge se fait par infiltration des eaux de pluies et de ruissèlement. Elle dépend fortement du temps de résidence sur les surfaces des zones de recharge. Pour accroitre ce temps dans les vallées, le projet Badaguichiri construira des seuils d’épandage au niveau de plusieurs vallées.
Le CNSEE responsable du volet suivi écologique et environnement au niveau dudit projet envisage de suivre l’effet des seuils qui seront construit sur la recharge de la nappe phréatique. Cette information constituera un outil d’aide à la décision pour la promotion des cultures irriguées en général. -
Analyse des impacts des activités socio- économiques et de Gestion Durable des Terres dans le bassin versant de Badaguichiri
Le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) a effectué une mission de collecte de données socio-économiques dans les cinq communes de la région de Tahoua à savoir : Tamaské, Allakeye, Badaguichiri, Garhanga et Illéla.
Cette mission s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la convention passée entre le Projet d’Aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PAGVB/B) et le CNSEE. La présente étude porte sur l’évaluation des impacts socio-économiques des actions de Gestion
Durable des Terres initiées par le PAGVB/B. Elle vise à récolter des données nécessaires à la mise à jour des indicateurs socio-économiques. -
Etat de référence socio-économique du territoire du bassin versant de Badaguichiri
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet d’aménagement et de Gestion du Bassin Versant de
Badaguichiri (PGBV/B), le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale
(CNSEE) est chargé de la composante surveillance environnementale du plan d’action pour une
période de cinq (5) ans au niveau du dit projet. La zone d’intervention du PGBV/B couvre la
commune urbaine d’Illéla, la ville d’Illéla, l’ensemble de la commune de Badaguichiri, le sud des
communes de Tamaské et de Garhanga (département de Keita), le Nord-Ouest de la commune
d’Allakaye (département de Bouza), la commune rurale de Tajaé et la commune rurale de
Bagaroua.
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Parmi les activités de cette composante figure la réalisation d’un état de référence de
l’Observatoire de Tahoua-Keita et Tillabéry, en particulier du territoire du bassin versant de
Badaguichiri rattaché à cet observatoire. Le présent document s’inscrit dans cette perspective.
Conformément aux TDR, il vise à faire une monographie du territoire du bassin versant de
Badaguichiri afin de faciliter l’organisation de la collecte et du traitement des données nécessaires
au calcul des indicateurs. -
Etude complémentaire sur la diversité de la faune dans le bassin versant de Badaguichiri et analyse des expériences de gestion
Cette étude tente de tracer à travers la documentation existante, la présence, la dynamique et la diversité de la faune dans le bassin versant de la vallée de Badaguichiri, principalement dans les Départements de Illéla, Bagaroua, Keita et Bouza concernés par le projet. Sur la base de documentations de politique nationale ou de mise en oeuvre de différentes interventions de gestion ayant eu cours durant les trente dernières années, elle met l’accent plus particulièrement sur : une analyse de la présence, de l’état et de la diversité de la faune terrestre et aquatique dans le bassin versant de Badaguichiri étendu à toute la région de Tahoua, une analyse des expériences de gestion locale appliquées en y relevant les forces et les faiblesses, l’identification des besoins d’amélioration de la gestion appliquée, une proposition de gestion des ressources fauniques propre au bassin versant de
Badaguichiri. -
Caractérisation des unités de végétations dans le bassin versant de Badaguichiri – Rapport d’étude
La présente étude est conduite en partenariat avec le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) dans la région de Tahoua plus précisément dans le Bassin Versant de Badaguichiri. Le but de cette étude est de procéder à la caractérisation des unités de végétation rencontrées dans le bassin. Les familles les mieux caractérisée sont constituées des épineux et des combrétacées. -
Rapport d’activités de suivi des sites restaures de l’observatoire et des sites du projet Badaguichiri
Aux termes de ces travaux, il se dégage que les sites restaurés de Projet de Badaguiri et de l’observatoire ont produit des données intéressantes cette année aussi bien en termes de diversité floristique que d’un point de vue de la production de biomasse. En effet, Dans l’ensemble des relevés effectués un total de 156 espèces été recensé dont 122 espèces sur les sites du projet Badaguichiri et 118 espèces sur l’observatoire. Les familles les plus représentées sont les Poaceae et les Fabaceae pour l’ensemble des sites. Les espèces dominantes sont Pennisetum pedicelatum, Schoenefeldia gracilis et Cymbopogon giganteus sur l’ensemble de l’observatoire et Pennisetum pedicelatum, Panicum laetumet Schoenefeldia gracilis sur les sites du Badaguichiri. La biomasse moyenne produite sur l’observatoire est de 1,28tMS/ha et sur les sites du projet Badaguichiri la biomasse moyenne produite est de 1,80 tMS/ha dont une moyenne de 3,18tMS/ha sur les nouveaux sites de Badaguichiri. -
Axes d'intervention sur quelques filières porteuses
Depuis une dizaine d'années,la République du Niger continue de subir des revers économiques qui perturbent sérieusement le processus de son développement économique et social. Ces difficultés résultent notamment des termes de l'échange, de la dégradation des écosystèmes, sous les effets combinés des facteurs naturel, anthropiques et des insuffisances de la gestion de l'économie nationale. En dépit de certains résultats découlant des programmes économiques déjà exécutés, la situation économique nationale n'a cessé de se dégrader . C'est pour y faire face que les autorités ont décidé de prendre les dispositions qui s'imposent afin de relancer la croissance de l'économie. -
Budget annuel 2021
En vue de l'exécution de son programme d'activités annuel, la Direction Générale du Centre National de Lutte Anti-acridienne (CNLA) a élaboré un projet de budget. Ce budget est équilibré en recette et en dépenses à la somme de trois cent vingt-six millions sept cent vingt-quatre mille six cent quatre (326 724 604). L'analyse de ce budget comparativement à celui de l'année 2020 qui était de un milliard cinq cent cinquante-huit millions cinq cent soixante-dix-neuf mille neuf cent soixante-deux (1 558 579 962) Francs cfa, fait ressortir une diminution d'un milliard deux cent trente-un millions huit cent cinquante cinq mille trois cent cinquante huit(1.231.855 358). -
Cadre de politique de réinstallation (CPR)
Le Niger est un pays dont l'économie dépend fortement du secteur agro-sylvo-pastoral et halieutique, représentant la principale source d'activités économique du pays. Le secteur occupe plus de 80% de la population active. Sur la période 2011-2015, la contribution du secteur à l'économie nationale est estimée en moyenne à 37,02% du PIB (PDES 2017-2021). Aussi, le secteur joue un rôle essentiel dans la sécurité alimentaire, la création d'emplois et constitue la principale source de revenus de la plupart de la population rurale. L'élevage pratiqué par 87% des nigériens représente 35% du PIB agricole. Au cours des 30 dernières années,le Niger a subi de nombreuses sècheresses,inondations,invasions des criquets et autres attaques parasitaires. Ces catastrophes portent un coup dure aux revenus des ménages, à la performance du secteur agricole, à l'équilibre budgétaire de l’État, à la croissance économique et au développement socio-économique du Niger. Aussi, il convient de noter une forte prévalence de l'insécurité dans plusieurs zones du pays,entrainant souvent le déplacement des populations. Les tentatives d’accaparement des terres (région de Diffa notamment) représentent également un risque susceptible d'impacter négativement la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations. -
Cadre de gestion environnementale et sociale du projet intégré de modernisation de l’élevage et de l'agriculture au Niger pour la transformation du monde rural (PIMELAN)
Le Niger est un pays dont l’économie dépend fortement du secteur de l’agriculture et de l’élevage. Malgré le potentiel de développement et la place importante qu’occupe ce secteur dans l’économie des efforts importants doivent être consentis pour réduire le déficit de production assez souvent enregistré, afin d’atteindre la sécurité alimentaire et nutritionnelle. En effet la croissance du secteur agricole se heurte déjà à de fortes contraintes foncières qui provoquent un morcellement des exploitations et une dégradation grandissante des ressources naturelles. Si les tendances actuelles se poursuivent, la situation alimentaire déjà précaire du pays se dégraderait encore. Cela exigerait des importations massives de produits alimentaires à l’échéance 2035. Ces difficultés incitent l’État à dynamiser le secteur agricole par le développement de plusieurs initiatives d’appui au secteur formulé sous forme de projets dans lesquels les partenaires financiers du Niger l’accompagnent à atteindre. Le Projet d’Intégré de Modernisation de l’Élevage et l’Agriculture pour la transformation du monde rural au Niger, s’inscrit dans ce cadre et a pour objectif de participer à la modernisation du secteur agricole dans le pays. Cette étude, le cadre de gestion environnementale et sociale et préparé pour répondre aux exigences du développement durable dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet. Elle est structurée comme suit : (i) contexte, justification et méthodologie de travail,(ii) présentation du projet, (iii) situation environnementale et sociale de la zone d’intervention du projet, (iv) cadre politique, juridique et institutionnelle de mise en œuvre du projet, (v) analyse des risques environnementaux et sociaux, (vi) méthodologie pour la préparation,l’approbation, et l’exécution des sous-projets et (vii) le plan cadre de gestion environnementale et sociale. -
10em session ordinaire du conseil d'administration du centre national de lutte anti-acridienne (CNLA)
La situation acridienne a été relativement calme sur l'ensemble des airs de reproduction et de grégarisation du Criquet pèlerin ainsi que dans le Sahel des pâturages. Toutefois,les prospections de novembre et décembre ont mis en évidence une augmentation des effectifs acridiens consécutives à une concentration, une une multiplication et une grégarisation, qui ont conduit à la formation de groupes solitario-transiens et de bande. -
Diagnostic des besoins des dix (10) Unions de Sociétés Coopératives du Projet Fortification de Produit transformé (FOPAT) de consommation courante au Niger
Le diagnostic a eu pour but,de faire l’état des lieux du niveau d'organisation, de fonctionnement, de production et des compétences techniques en matière de marketing des dix (10) Unions des Sociétés Coopératives du FOPAT, en vue d'identifier leurs forces et faiblesses dégager une stratégies adoptée de renforcement. l'activité s'inscrit dans la stratégie d'intervention du FOPAT qui entend par cette action, apporter sa contribution à l'émergence du nouveau monde paysan à travers l’accompagnement des populations pauvres disposant de moyens de production rudimentaire. -
Dynamique de l’occupation des terres et structure de la végétation dans la commune rurale de Garhanga (Tahoua)
Le présent travail a pour objectif principal de fournir les informations qualitatives et quantitatives sur l’évolution des ressources naturelles (temps et espace) dans la commune rurale de Garhanga et évaluer le poids de l’anthropisation et des facteurs environnementaux dans le façonnement du couvert végétal. -
Diversité des peuplements ligneux des champs du Bassin versant de Badaguichiri (Tahoua/Niger)
Le présent travail entre dans le cadre de l’étude de référence de l’observatoire de l’Azawak (Tahoua) et porte sur la diversité des peuplements ligneux des champs du Bassin versant de Badaguichiri. L’objectif général de cette étude est d’évaluer la diversité des peuplements ligneux des champs pour une meilleure intégration de la composante ligneuse dans l’aménagement et la gestion durable du dit bassin versant. Les objectifs spécifiques se résument à : dresser la liste floristique de toutes les espèces ligneuses dans les champs du bassin versant ; déterminer les types biologiques et phytogéographiques ; établir la structure en diamètre et en hauteur du peuplement ligneux des champs du bassin versant ; évaluer la densité à l’hectare et le recouvrement moyen des individus ligneux ; évaluer la diversité alpha de la végétation ligneuse du bassin versant et en particulier celle des différentes unités géomorphologiques. -
Impact de la restauration des terres sur la dynamique des peuplements ligneux du bassin versant de Badaguichiri (Tahoua / Niger)
La présente étude a pour but de d’apprécier l’impact de la restauration des terres sur la dynamique des peuplements ligneux du bassin versant de Badaguichiri Région de Tahoua. Elle a concerné deux sites un site restauré et un site non restauré. A cet effet des inventaires de la flore ligneuse ont été effectués sur les unités géomorphologiques restaurées ainsi que sur leurs témoins du site non restauré dans des placeaux de 0,25 ha. -
Rapport socio-économique de l’observatoire de Tahoua-Keita-Nord Tillabéry
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet d’aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PGBV/B), le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) a organisé du 23 Octobre au 4 Novembre 2013, une mission de collecte de données socio-économiques dans l’observatoire Tahoua-Keita Tillabéri Nord. En effet, ces données permettent de renseigner les indicateurs sur les activités socio-économiques des populations, surtout les impacts des différents projets et les ONG ayant intervenu dans l’observatoire.
Cette étude s’inscrit dans le cadre des activités de la composante surveillance environnementale du plan d’action dudit projet et fait suite au rapport sur l’état de référence de l’Observatoire Tahoua-Keita -Tillabéry Nord élaboré en 2012. Elle a concerné 449 ménages repartis sur un ensemble de sept (7) villages à savoir : le village de Simiri (commune rurale de Simiri), le village de Sorbon Haoussa (commune rurale de Sansani Haoussa), le village de Tinkirana (commune rurale d’Ibohamane), le village de Sakolé (commune rurale de Tamaské), le village de Kalfou rahi (commune rurale de Kalfou), le village Kolloma Dabagui (arrondissement communal Tahoua I) et le village de Mafari (commune rurale de Bambaye). -
Notes sur les systèmes fonciers coutumiers de la région de Goudoumaria
L'agriculture est pratiquée par les Manga, population sédentaire, et, depuis peu dans la région, par les Foulbé. Cette agriculture a longtemps été extensive, l'économie des populations locales ayant associé, depuis longtemps semble-t-il, le pastoralisme et le commerce à la culture des céréales. Les cuvettes furent autrefois le lieu privilégié de l'agriculture, à une époque où la nappe phréatique affleurait et où les sols des fonds de cuvettes permettaient de bons rendements. Outre les mils et sorghos, les cuvettes produisaient alors « du blé, du mars, du manioc doux et de la patate. Puis, on a ajouté la canne à sucre et les potirons pour la soupe. Comme la nappe a baissé, on ne peut plus faire que le manioc et les potirons). -
Opération test de renforcement des services d'appui à l'élevage
Un programme test de renforcement des services d'appui à
l'Agriculture ( PRSAA) a démarré en 1988 avec un financement de la Banque Mondiale à travers un PPF et le Projet de Petites Opérations de Développement Rural (PPODR) - Ce programme a pour objectifs une meilleure organisation du travail des cadres de terrain ;une formation continue et régulière des agents à tous les niveaux une amélioration des liens avec la recherche et une meilleure coordination avec les autres services techniques. -
Bilan diagnostic des activités de 1974 à 1990
Pays à dominance rurale (85% de la population) dont l'économie est essentiellement basée sur l'Agriculture et l’Élevage, le NIGER a connu plusieurs phases de politiques agricoles liées aux conjonctures économiques et écologiques. Marqué par une situation alimentaire excédentaire durant les dix (10) premières années de son indépendance, le NIGER est passé à une situation d'insécurité alimentaire après les années 70, caractérisée par une alternance de campagnes agricoles déficitaires, excédentaires et d'équilibre. -
Promotion du Bien-être Familial et Communautaire dans les
CoopérativesLe présent rapport s'inscrit dans le cadre de la revue annuelle des Sous-Programmes et des Projets au titre du Programme intérimaire du FNUAP 1998-1999. Composante du Sous-Programme Santé de la Reproduction et Planification Familiale SRlPF, le Projet «Promotion du Bien-être familial et communautaire dans les coopératives en zones rurales» intervient au niveau des arrondissements de Dosso, de Doutchi, de Tillabéry, et de Guidàn-Roumdji. L'exécution de ce Projet vise à améliorer le bien-être des familles des coopérateurs de la zone du Projet par la mise en œuvre d'un programme d'éducation à la vie familiale qui prend en compte "équilibre de l'environnement et qui suscite des comportements familiaux responsables. -
Rapport de synthèse du programme petite irrigation sud Zinder 7/NIR/59
Pour faire face à une situation d'urgence relative au déficit alimentaire survenu au cours de la période 84.85 un programme de culture de contre-saison a été initié sous 5êm FED, avec, comme objectif central: la résorption au déficit alimentaire dans les zones affectées par l'implantation d'infrastructures hydrauliques et socio-collectifs, l'approvisionnement en intrants agricoles (semences, pesticides, équipements aratoires et petits matériels), la formation des populations aux pratiques de culture de contre saison ,et la transformation et conservation des produits maraîchers. -
Rapport du comité technique de réflexion sur la situation des ex-unions des coopératives, de la centrale d'approvisionnement et des ateliers de fabrication du matériel agricole
Avec l'avènement en avril 1999 du Conseil de Réconciliation Nationale (CRN), le débat sur la dissolution des unions de coopératives du système de l'Union Nationale des Coopératives (UNC) intervenue par décret nO 097-428 PRN/MAG/EL du 11 décembre 1997 a été relancé. Dès la mise en place du Gouvernement de Transition, le Ministre de l'Agriculture et de l’Élevage, chargé de la tutelle des organisations coopératives, a été instruit par le CRN et le Gouvernement de Transition pour proposer des solutions appropriées à ce problème. -
Agroforesterie précoloniale et ses implications pour le présent : Le cas du sultanat de Damagaram
Cette étude de cas présente un système précolonial d'agroforesterie basé sur la protection d'un certain nombre d'essences utiles parmi lesquelles Acacia albida était le plus important. " s'agit du sultanat de Damagaram au XIXe siècle qui occupait la partie centrale et Ouest de l'actuel département de Zinder au Niger.Le contrôle des Talakawa, ses sujets, a été effectué à travers une administration de plus en plus bureaucratique de laquelle est stipulée la fameuse loi, "quiconque coupe un arbre [protégé] coupe sa tête". Cette loi, accompagnée par la diffusion des grains de gao a réussi à faire asseoir des parcs agroforestiers dominés par cette espèce. De nombreux parcs persistent de nos jours bien que cet ancien système répressif disparut pendant la période coloniale. En essayant de tirer une conclusion de cet exemple historique. -
Appui à la sélection, la promotion et le diffusion de la chèvre rousse de Maradi
L'élevage de caprins représente une activité économique de première importance en bordure sahélienne. Le Sud du département de Maradi est à ce titre le berceau de la Chèvre Rousse de Maradi. Cette race se caractérise par une rusticité moyenne à bonne, une excellente prolificité, une bonne production laitière et une exceptionnelle qualité de peau qui lui vaut un label reconnu sur les marchés internationaux.Actuellement, l'élevage de la Chèvre Rousse est en déclin du fait de l'absence de bons boucs reproducteurs en milieu villageois et d'un métissage croissant avec les chèvres sahéliennes. En outre, le mode très extensif de cet élevage ne permet pas l'expression de ses bonnes potentialités productives. -
Compte rendu de réunion de pilotage : Du 03 mai 1990
Le Comité de Pilotage du Programme Spécial National FIDA-NIGER, créé par Arrêté nO 52/MAG/E du 19 Novembre 1987, s'est réuni le 03 Mai 1990 à 9 h 00 dans la Salle de Conférences du Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage sous la Présidence de Monsieur le Secrétaire Général Adjoint du Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage. -
Étude sur la pêche et la filière poisson dans la Région de Diffa
Cette étude est d'un grand intérêt, car elle permet de comprendre l'organisation globale de la filière pêche, à l'amélioration de leur gestion ainsi que les stratégies développées par les acteurs de développement pour faire face aux défis environnementaux, socio-économique et sécuritaire etc. Ce qui pourrait définir les perspectives de relance de développement à travers la filière pêche plus adapté au contexte actuel. -
Rapport d’Étude d’Impact Environnemental et Social du Sous-Projet Intégré Communal-Agriculture Intelligente face au Climat de la vallée de la Korama (Commune de Wacha) dans le cadre du PASEC
Le dernier Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGP/H) de 2012, la population de la Commune Rurale de Wacha est estimée à 93 492 habitants, dont 46 642 hommes (49,88%) et 46 850 (50,12%) femmes. En 2015, elle est estimée à 101 093 habitants, selon les projections de l’INS dont 51 117 de sexe masculin et 49 976 de sexe féminin. Les jeunes âgés de 20 à 34 ans est de 17 126 sur la base des résultats définitifs du RGP/H de 2012, soit 18,31% des effectifs démographiques de la commune. Son relief est marqué par la diversité de ses unités morphologiques dont les principales sont :les buttes, les glacis, les dunes, les cuvettes et bas-fonds.Le climat est de type sahélien marqué par deux (2) grandes saisons : - une saison des pluies dont la durée est d’environ quatre (4) mois qui couvre la période allant de juin à septembre ; - une longue saison sèche qui s’étale sur tout le reste de l’année, allant d’octobre à mai. Les principaux types des sols distingués dans la Commune Rurale de Wacha sont : Les vertisols occupant l’Est et le centre de la commune ; les sols peu évolués rencontrés dans la partie Ouest et Nord - Ouest de la commune ; les sols minéraux bruts localisés au centre-ouest de la commune ;les sols ferrugineux tropicaux occupant des poches à l’intérieur des sols peu évolués et des sols minéraux bruts. -
Étude de la démarche d'élaboration de la stratégie de la petite irrigation au Niger (SPIN)
Cette étude, programmée par le SP/SPIN et qui entre dans le cadre de l’exécution de la composante du PARIIS Niger relative à la gestion de connaissance, a ainsi pour but de capitaliser cette expérience du Niger en identifiant les leçons apprises du processus d’élaboration ainsi que les avancées et les contraintes à son application. -
Évaluation Environnementale Stratégique (EES) de la Stratégie de la petite irrigation au Niger (SPIN)
La Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) définit la Petite Irrigation (PI) au Niger comme : « Toute exploitation hydro-agricole autonome de taille maîtrisée, individuelle ou collective, économiquement viable et écologiquement durable, aménagée avec des technologies adaptées au savoir-faire local » et ses domaines d’intervention sont : (i) les petits Périmètres d’Irrigation Privée (PIP) ; (ii) la Grande et Moyenne Irrigation Commerciale (GMIC) ; (iii) les Périmètres de Contre-Saison (PCS) ou Périmètres de Saison Sèche (PSS). L’objectif général est : « La sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations est améliorée ». -
Manuel du référentiel technique et des standards minima pour la conception et le dimensionnement des aménagements types pour la petite irrigation
La petite irrigation contribue à assurer la satisfaction des besoins alimentaires de base des populations et à sécuriser la production agricole en la rendant moins dépendante des conditions climatiques. Elle permet ainsi de rendre les populations moins vulnérables aux crises alimentaires répétitives. Les cultures de contre-saison sont donc devenues primordiales dans le cadre de la recherche de la sécurité et l’autosuffisance alimentaires. Le développement harmonisé du sous-secteur de la petite irrigation sur la base des principes de la SPIN est primordial. Le plan d’actions pluriannuel de la SPIN est l’un des principaux outils de gestion, suivi et évaluation sous sectoriel de référence pour consolider l’approche programmatique sous sectoriel. Ce même et unique document est révisable annuellement et subira une évaluation et nouvelle programmation. De plus, il servira de base commune permettant un suivi de performance annuel. -
Manuel du référentiel technique est des standards minima pour la conception et le dimensionnement des aménagements types pour la petite irrigation (Module 2)
La petite irrigation contribue à assurer la satisfaction des besoins alimentaires de base des populations et à sécuriser la production agricole en la rendant moins dépendante des conditions climatiques. Elle permet ainsi de rendre les populations moins vulnérables aux crises alimentaires répétitives. Les cultures de contre-saison sont donc devenues primordiales dans le cadre de la recherche de la sécurité et l’autosuffisance alimentaires. -
Manuel technique des procédures à minima pour le contrôle des travaux d'aménagement relatifs à la petite irrigation
Le développement harmonisé du sous-secteur de la petite irrigation sur la base des principes de la SPIN est primordial. Le plan d’actions pluriannuel de la SPIN est l’un des principaux outils de gestion, suivi et évaluation sous sectoriel de référence pour consolider l’approche programmatique sous sectoriel. En effet, pour une meilleure visibilité sectorielle, la transcription des programmations sectorielles dans un document unique, facilitera une concertation avec tous les grands acteurs autour du plan d’action afin d’asseoir les programmations respectives des acteurs et celle du Gouvernement du Niger. -
Manuel technique pour une gestion durable des aménagements de la petite irrigation au Niger
Le Niger a inscrit l’irrigation en générale et la petite irrigation en particulier parmi les stratégies résilientes les plus efficaces pour lutter contre les effets du changement climatique et améliorer la productivité agricole et les revenus des populations rurales. Depuis lors, les gouvernements et les partenaires techniques et financiers se sont particulièrement préoccupés de la petite irrigation. C’est ainsi, en plus de l’État, des efforts énormes ont été consentis à travers les projets d’irrigation pour lutter contre l’insécurité alimentaire. -
Démarche et contenu minima pour une étude socio-économique des aménagements en petite irrigation
Ce guide examine les questions socioéconomiques du développement de la Petite Irrigation (PI). Il permet de favoriser la planification participative des sous projets de petite irrigation afin de les rendre plus performants. Il contribue à l'amélioration de la prise en compte de la situation des femmes rurales et des groupes défavorisés dans ce domaine. -
Guide technique des procédures à minima sur les mesures environnementales et sociales des aménagements de la petite irrigation
La Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) a pour ambition de soutenir le développement d‟une petite irrigation axée sur une gestion durable et optimale des ressources, respectueuse de l‟environnement et permettant aux producteurs d‟augmenter leurs revenus en s‟affranchissant notamment des aléas climatiques. Elle représente le cadre unique d‟harmonisation et de programmation du soussecteur de la petite irrigation en regroupant toutes les actions de réponse aux expressions de demande du renforcement de l‟appareil productif des producteurs.
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Programme « Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire » (PISA)
Le Programme Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire (PISA) ayant pour objectif de contribuer à la promotion d’une agriculture productive et à la sécurité alimentaire au Niger, a démarré (dans sa phase 1) en février 2016 pour une durée de quatre (4) ans et un budget de 15,19 millions d'Euro. Il intervient dans les régions de Tillabéri, Tahoua et Agadez et est basée sur (i) la promotion de la petite irrigation à travers des aménagements hydro-agricoles ; (ii) la conservation de l’eau et du sol et la défense et restauration des sols (CES/DRS) dans les bassins versants avec potentiel d’irrigation ; (iii) la mise en valeur des zones et périmètres aménagées ; et (iv) l’appui à la commercialisation des produits agricoles par des infrastructures de désenclavement (pistes de dessertes), de stockage et de transformation. -
Programme "Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire" (PISA)
Le Programme « Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire» (PISA) entre dans le cadre du Programme Développement Rural et Agriculture Productive de la Coopération financière nigéro-allemande. L’objectif global du PISA est de contribuer à la promotion d’une agriculture productive et à la sécurité alimentaire au Niger. Les objectifs spécifiques visent à augmenter la production agricole, améliorer les revenus des exploitations familiales et faciliter l’accès au marché des produits agricoles. -
Husa'ar yin takin tsime cikin rame daya
L'affiche démontre les méthodes de compostage en fosses multiples (préparation du sol, remplissage des fosses, entretien). -
Faisabilité d’un projet de développement des filières élevages dans les régions de Zinder et Diffa dans un contexte de changements climatiques Bounkassa Kiwo : Région de Diffa
Cette note constitue le compte rendu des échanges de l’atelier consacré à la région de Diffa qui a réuni une soixantaine d’acteurs du développement pastoral de la région de Diffa au cours de la phase 2 de l’étude de faisabilité du projet Bounkassa Kiwo impliquant le HC3N, le MAGEL, le MESUDD, le MHA et l’AFD. -
Faisabilité d’un projet de développement des filières élevages dans les régions de Zinder et Diffa dans un contexte de changements climatiques Bounkassa Kiwo : Région de Zinder
Cette note constitue le compte rendu des échanges de l’atelier de Zinder qui a réuni une soixantaine d’acteurs du développement pastoral de la région de Zinder au cours de la phase 2 de l’étude de faisabilité du projet Bounkassa Kiwo impliquant le HC3N, le MAGEL, le MESUDD, le MHA et l’AFD. -
Etat de mise en œuvre et perspectives du projet GCPINERl049/SP A : appui à la consolidation et pérennisation des résultats du RGAC au Niger
A l'instar des projets financés dans le cadre de la coopération internationale et d'un commun accord avec la partie nationale d'une part et du bailleur de fonds et de la F AO d'autre part, une ou plusieurs revues tripartites sont généralement prévues au cours de
1 ~exécution des projets visant principalement à faire un constat sur l'état d'avancement des activités du projet et en débattre les contraintes. La première revue est souvent programmée après une année de la mise en œuvre du projet. C'est en fait le cas pour le
projet GCPlNERl049/SPA dont les activités ont débuté à partir du 1er Mai 2009. Ainsi, la tenue de la première revue de notre projet arrive à point nommé. -
Initiative Eau et Sécurité Alimentaire en Afrique, Phase II (IESAII) Composante_ Niger du Projet
L’IESAII vise à améliorer la sécurité alimentaire et la résilience aux changements climatiques des populations les plus vulnérables des zones rurales via la maitrise de l’eau et le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des producteurs. Il devrait contribuer également à améliorer durablement les revenus, l’alimentation et la nutrition des groupes cibles via l’intensification, la diversification, la valorisation de la production agricole, et le renforcement des capacités des acteurs. Les activités proposées répondent au souci du Gouvernement du Niger à développer le secteur rural et à soutenir ses efforts en matière de sécurité alimentaire. Les activités s’inscrivent plus particulièrement dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global de la stratégie de l’initiative 3N. Le Projet contribue à la réalisation des priorités et produits du document cadre de programmation de pays (CPP) de la FAO. Le projet est aligné aux cinq (5) axes de priorité de la Coopération espagnole. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraichères au Niger : protection de la tomate (module de formation)
Le développement des cultures irriguées à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures ainsi que sur les différentes méthodes de lutte entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. -
Suivi de l'ensablement et de la dégradation des terres : composante 3
Le Projet de Lutte contre l'Ensablement des Cuvettes Oasiennes dans les départements de Gouré et de Mainé-soroa (PLECO) est financé par le Fonds pour l'Environnement Mondial (FEM) dans le cadre du Programme Opérationnel du GEF intitulé "PO 15 Gestion Durables des Sols". -
Situation de référence des sites de suivi des paramètres de l’ensablement et de la dégradation des terres (Végétation herbacées et états de surface) et mise en place du dispositif de suivi de Leptadenia pyrotechnica
Le présent rapport a pour objet de compléter l’état de référence de la végétation initié par la collecte des données sur les herbacées et leur biomasse au niveau des parcelles où les ligneux ont été caractérisés et au niveau des sites de fixation des dunes du secteur environnant d’une part et d’autre part mettre en place un dispositif de suivi de Leptadenia pyrotechnica.