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Plan d'actions pour le développement de la biotechnologie et de la biosécurité
En effet, le secteur agricole contribue pour environ 35 % à la formation du Produit Brut régional (allant jusqu'à 600/0 dans certains pays) ; produit 15,3 % des exportations totales -
Rapport sur le suivi de la dynamique des ressources naturelles au niveau de l’observatoire de Tahoua Keita dans le cadre du Projet aménagement du bassin versant de Badaguichiri
La zone d’étude est localisée dans le bassin de Badaguichiri des départements de Tahoua, Keita, Bouza et Illela de la région de Tahoua.
L’objectif de cette étude est de faire un bilan du changement de l’occupation des terres (OT) des communes du bassin versant de Badaguichiri aux deux dates de référence suivantes (1984 et 2011) dans le cadre du projet d’aménagement du bassin versant de Badaguichiri : Il faut préciser d’abord que la NOT est une classification du territoire en unités homogènes sur la base d’une nomenclature qui permet de décrire les unités paysagères. Dans ce cas, l’occupation des terres des communes est structurée en trois couches d’information en formats vectoriels.
L’objectif principal de ce bilan est de satisfaire en informations sur les ressources naturelles d’une part et de contribuer à garantir, de manière durable, la disponibilité des informations sur ces ressources. Dans ce bilan, les différentes tendances (évolutives, régressives ou stationnaires) ont été dégagées ce qui a permis de comprendre le phénomène des impacts environnementaux naturels et anthropiques. -
Rapport de mission de l’état de référence du Bassin Versant de Badaguichiri - Flore et végétation
Cette étude vise à accélérer la finalisation du document de la situation de référence de la zone d’intervention du PGBV/B à travers la collecte et l’analyse des données plus précisément, il s’agit de : collecter les données relatives au taux de recouvrement des espèces ligneuses, la biomasse, la diversité biologique (l’abondance et fréquence des herbacées) et, analyser et consolider les données collectées eu vue d’établir une situation de référence.
La zone d’étude correspond à au bassin versant de Badaguichiri apparaissant de fait comme une extension de l’observatoire de Tahoua-Keita-Tillabéri Nord. -
Rapport de campagne flore et végétation 2013
L’objectif principal de ce travail se résume à l’évaluation de l’impact des travaux de récupération des terres dégradées dans l’observatoire de Tahoua-Keita et Nord Tillabéry sur la dynamique des communautés végétales, de préciser, par la combinaison d'études théoriques les mécanismes écologiques qui sous-tendent l'installation et la réponse fonctionnelle des espèces végétales en milieu hétérogène dans l’observatoire. Enfin de mettre à la disposition des décideurs, des informations scientifiques de base pour une gestion durable des ressources naturelles prenant en compte les intérêts socio-économiques de la population locale. -
Rapport d’étude pédologique dans le bassin versant de Badaguichiri
Le bassin versant de Badaguichiri, de forme allongée Est-Ouest est située au sud du département de Tahoua entre la grande vallée de Keita au Nord et celle de la Maggia au Sud. Cinq unités géomorphologiques le composent ; il s’agit des plateaux (54%), des talus (21%), des glacis (17%), des jupes sableuses (2%) et des bas-fonds (6%). L’objectif principal de l’étude est de caractériser les principaux types de sol observés au niveau du bassin versant de Badaguichiri. Les objectifs spécifiques au terme de ce travail seront de produire des informations sur : la morphologie du terrain, les propriétés physico-chimiques des sols, la typologie des sols, l’aptitude agro-écologique des sols. -
Rapport de mission « état de surface » sur l’observatoire Tahoua-Keita-nord Tillabéry
Cette mission, appelée mission « Etat de surface » avait donc pour objectif de faire la typologie locale des surfaces élémentaires (états de surface) rencontrées sur l’ensemble de l’observatoire de Tahoua-Keita-Tillabéri-Nord. Elle s’est exécutée en deux activités principales. La première est l’identification et la description des différents états de surface actuels au niveau des différents sites de l’observatoire, ainsi que la prise de leurs coordonnées géographiques pour un éventuel géoréférencement. La deuxième est relative à l’administration d’un questionnaire dans l’optique de relever la perception des populations des changements intervenus. -
Cartographie des terres dégradées dans le bassin versant de Badaguichiri – Rapport d’étude
Le projet Badaguichiri, en partenariat avec le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale, a réalisé une cartographie qui présente la situation des terres dégradées dans le bassin versant de Badaguichiri à partir des données satellitaires. Les résultats préliminaires montrent que la dégradation des terres est réelle dans le bassin versant affectant les zones agricoles et forestières. Les résultats obtenus montrent bien que la dégradation et la couverture du sol montre que les facteurs anthropiques ont un rôle primordial dans la détermination du processus de dégradation. -
Catalogue Régional des Espèces et Variétés Végétales CEDEAO-UEMOA-CILSS - Variétés homologuées 2016-2018
Les variétés homologués des cultures suivantes : riz, maïs, sorgho, mil, arachide, niébé, manioc, igname, pomme de terre -
Dispositif de suivi du niveau de nappe phréatique dans les vallées équipées de seuil d’épandage du bassin versant de Badaguichiri
La non durabilité de l'usage des eaux souterraines pour l'irrigation est un problème important non seulement pour les pays qui font un usage intensif des eaux souterraines, mais aussi pour le monde dans son ensemble. La disponibilité et la mobilisation des eaux souterraines constituent un facteur constituent un préalable pour la pratique et la promotion des cultures irriguée. Dans les vallées du bassin versant la pratique des cultures maraichères est possible du fait de l’existence de nappe alluviale dont la profondeur du niveau statique n’excède pas les 15m. La recharge se fait par infiltration des eaux de pluies et de ruissèlement. Elle dépend fortement du temps de résidence sur les surfaces des zones de recharge. Pour accroitre ce temps dans les vallées, le projet Badaguichiri construira des seuils d’épandage au niveau de plusieurs vallées.
Le CNSEE responsable du volet suivi écologique et environnement au niveau dudit projet envisage de suivre l’effet des seuils qui seront construit sur la recharge de la nappe phréatique. Cette information constituera un outil d’aide à la décision pour la promotion des cultures irriguées en général. -
Analyse des impacts des activités socio- économiques et de Gestion Durable des Terres dans le bassin versant de Badaguichiri
Le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) a effectué une mission de collecte de données socio-économiques dans les cinq communes de la région de Tahoua à savoir : Tamaské, Allakeye, Badaguichiri, Garhanga et Illéla.
Cette mission s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la convention passée entre le Projet d’Aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PAGVB/B) et le CNSEE. La présente étude porte sur l’évaluation des impacts socio-économiques des actions de Gestion
Durable des Terres initiées par le PAGVB/B. Elle vise à récolter des données nécessaires à la mise à jour des indicateurs socio-économiques. -
Etat de référence socio-économique du territoire du bassin versant de Badaguichiri
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet d’aménagement et de Gestion du Bassin Versant de
Badaguichiri (PGBV/B), le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale
(CNSEE) est chargé de la composante surveillance environnementale du plan d’action pour une
période de cinq (5) ans au niveau du dit projet. La zone d’intervention du PGBV/B couvre la
commune urbaine d’Illéla, la ville d’Illéla, l’ensemble de la commune de Badaguichiri, le sud des
communes de Tamaské et de Garhanga (département de Keita), le Nord-Ouest de la commune
d’Allakaye (département de Bouza), la commune rurale de Tajaé et la commune rurale de
Bagaroua.
.
Parmi les activités de cette composante figure la réalisation d’un état de référence de
l’Observatoire de Tahoua-Keita et Tillabéry, en particulier du territoire du bassin versant de
Badaguichiri rattaché à cet observatoire. Le présent document s’inscrit dans cette perspective.
Conformément aux TDR, il vise à faire une monographie du territoire du bassin versant de
Badaguichiri afin de faciliter l’organisation de la collecte et du traitement des données nécessaires
au calcul des indicateurs. -
Etude complémentaire sur la diversité de la faune dans le bassin versant de Badaguichiri et analyse des expériences de gestion
Cette étude tente de tracer à travers la documentation existante, la présence, la dynamique et la diversité de la faune dans le bassin versant de la vallée de Badaguichiri, principalement dans les Départements de Illéla, Bagaroua, Keita et Bouza concernés par le projet. Sur la base de documentations de politique nationale ou de mise en oeuvre de différentes interventions de gestion ayant eu cours durant les trente dernières années, elle met l’accent plus particulièrement sur : une analyse de la présence, de l’état et de la diversité de la faune terrestre et aquatique dans le bassin versant de Badaguichiri étendu à toute la région de Tahoua, une analyse des expériences de gestion locale appliquées en y relevant les forces et les faiblesses, l’identification des besoins d’amélioration de la gestion appliquée, une proposition de gestion des ressources fauniques propre au bassin versant de
Badaguichiri. -
Caractérisation des unités de végétations dans le bassin versant de Badaguichiri – Rapport d’étude
La présente étude est conduite en partenariat avec le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) dans la région de Tahoua plus précisément dans le Bassin Versant de Badaguichiri. Le but de cette étude est de procéder à la caractérisation des unités de végétation rencontrées dans le bassin. Les familles les mieux caractérisée sont constituées des épineux et des combrétacées. -
Rapport d’activités de suivi des sites restaures de l’observatoire et des sites du projet Badaguichiri
Aux termes de ces travaux, il se dégage que les sites restaurés de Projet de Badaguiri et de l’observatoire ont produit des données intéressantes cette année aussi bien en termes de diversité floristique que d’un point de vue de la production de biomasse. En effet, Dans l’ensemble des relevés effectués un total de 156 espèces été recensé dont 122 espèces sur les sites du projet Badaguichiri et 118 espèces sur l’observatoire. Les familles les plus représentées sont les Poaceae et les Fabaceae pour l’ensemble des sites. Les espèces dominantes sont Pennisetum pedicelatum, Schoenefeldia gracilis et Cymbopogon giganteus sur l’ensemble de l’observatoire et Pennisetum pedicelatum, Panicum laetumet Schoenefeldia gracilis sur les sites du Badaguichiri. La biomasse moyenne produite sur l’observatoire est de 1,28tMS/ha et sur les sites du projet Badaguichiri la biomasse moyenne produite est de 1,80 tMS/ha dont une moyenne de 3,18tMS/ha sur les nouveaux sites de Badaguichiri. -
Le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire - Synthèse des enseignements et perspectives
Cette synthèse des acquis de l’expérience de la mise en œuvre de la stratégie régionale de stockage de sécurité alimentaire a été réalisée dans le cadre de la mise en œuvre de la politique agricole de la CEDEAO, l’ECOWAP. Elle s’inscrit dans le contexte de la Conférence internationale sur le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire organisée par la CEDEAO et ses partenaires du 28 avril au 10 mai 2021. Elle constitue le résumé de la capitalisation approfondie du Projet d’appui au stockage de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par l’Agence régionale pour l’agriculture et l’alimentation (ARAA) et la Direction Agriculture et développement rural de la CEDEAO (DADR). -
Offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local en Afrique de l’Ouest - Document de Stratégie
L’initiative « offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local » participe de l’ensemble des stratégies visant à opérationnaliser, non seulement la politique agricole de la CEDEAO, mais surtout à mettre en œuvre le Plan Régional d’investissement Agricole, de sécurité alimentaire et nutritionnelle. Elle se veut un cadre et un instrument qui fédèrent, coordonnent et accompagnent toutes les initiatives en cours dans l’espace communautaire, en matière de développement des chaines de valeur du lait local.
L’offensive a pour objectif spécifique d’accompagner toutes les initiatives et stratégies de développement des chaines de valeur du lait local, afin de : Augmenter de façon substantielle la production locale du lait frais en améliorant la productivité du cheptel ; Améliorer l’approvisionnement de l’industrie laitière régionale au moyen de la collecte d’au moins 25 % de la production régionale de lait local à l’horizon 2025 ; Promouvoir un environnement incitatif au développement des chaines de valeur du lait local. -
Dynamique de l’occupation des terres et structure de la végétation dans la commune rurale de Garhanga (Tahoua)
Le présent travail a pour objectif principal de fournir les informations qualitatives et quantitatives sur l’évolution des ressources naturelles (temps et espace) dans la commune rurale de Garhanga et évaluer le poids de l’anthropisation et des facteurs environnementaux dans le façonnement du couvert végétal. -
Diversité des peuplements ligneux des champs du Bassin versant de Badaguichiri (Tahoua/Niger)
Le présent travail entre dans le cadre de l’étude de référence de l’observatoire de l’Azawak (Tahoua) et porte sur la diversité des peuplements ligneux des champs du Bassin versant de Badaguichiri. L’objectif général de cette étude est d’évaluer la diversité des peuplements ligneux des champs pour une meilleure intégration de la composante ligneuse dans l’aménagement et la gestion durable du dit bassin versant. Les objectifs spécifiques se résument à : dresser la liste floristique de toutes les espèces ligneuses dans les champs du bassin versant ; déterminer les types biologiques et phytogéographiques ; établir la structure en diamètre et en hauteur du peuplement ligneux des champs du bassin versant ; évaluer la densité à l’hectare et le recouvrement moyen des individus ligneux ; évaluer la diversité alpha de la végétation ligneuse du bassin versant et en particulier celle des différentes unités géomorphologiques. -
Impact de la restauration des terres sur la dynamique des peuplements ligneux du bassin versant de Badaguichiri (Tahoua / Niger)
La présente étude a pour but de d’apprécier l’impact de la restauration des terres sur la dynamique des peuplements ligneux du bassin versant de Badaguichiri Région de Tahoua. Elle a concerné deux sites un site restauré et un site non restauré. A cet effet des inventaires de la flore ligneuse ont été effectués sur les unités géomorphologiques restaurées ainsi que sur leurs témoins du site non restauré dans des placeaux de 0,25 ha. -
Rapport socio-économique de l’observatoire de Tahoua-Keita-Nord Tillabéry
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet d’aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PGBV/B), le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) a organisé du 23 Octobre au 4 Novembre 2013, une mission de collecte de données socio-économiques dans l’observatoire Tahoua-Keita Tillabéri Nord. En effet, ces données permettent de renseigner les indicateurs sur les activités socio-économiques des populations, surtout les impacts des différents projets et les ONG ayant intervenu dans l’observatoire.
Cette étude s’inscrit dans le cadre des activités de la composante surveillance environnementale du plan d’action dudit projet et fait suite au rapport sur l’état de référence de l’Observatoire Tahoua-Keita -Tillabéry Nord élaboré en 2012. Elle a concerné 449 ménages repartis sur un ensemble de sept (7) villages à savoir : le village de Simiri (commune rurale de Simiri), le village de Sorbon Haoussa (commune rurale de Sansani Haoussa), le village de Tinkirana (commune rurale d’Ibohamane), le village de Sakolé (commune rurale de Tamaské), le village de Kalfou rahi (commune rurale de Kalfou), le village Kolloma Dabagui (arrondissement communal Tahoua I) et le village de Mafari (commune rurale de Bambaye). -
Plan national de contribution à la mise en œuvre de l'Offensive régionale pour la promotion du lait local en Afrique de l'Ouest et au Sahel
Le Niger possède un capital bétail de 15,225 millions de bovins, 13,192 millions d’ovins, 18,108millions de caprins et 1,834 million de camelin en 2019. Ce cheptel est un facteur de résilience face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle pour les ménages pastoraux et agropastoraux à travers le revenu qu’il procure. -
Soixante-neuvième session ordinaire du conseil des Ministres
Le présent règlement harmonise les règles régissant le contrôle de qualité des engrais dans les États membres de la CEDEAO. -
Règlement d'exécution ECW/PEC/IR/05/12/16 relatif aux attributions, à l'organisation et au fonctionnement du comité ouest africaine de contrôle des engrais
Le présent Règlement d'exécution a pour objet de définir les attributions, l'organisation et le fonctionnement du Comité Ouest Africain de Contrôle des Engrais (COACE). En application de l'alinéa 4 de l'Article 9 du Règlement C/REG. 13/12/12 relatif au contrôle des engrais dans l'espace CEDEAO. -
Règlement d'exécution ECW/PEC/IR/02/03/16 relatif à l'étiquetage et aux limites de tolérance des engrais commercialisés dans l'espace CEDEAO
En application des articles 18 et 23 du Règlement C/REG. 13/12/12 portant harmonisation des règles régissant le contrôle de la qualité des engrais dans l'espace CEDEAO. -
Règlement d'exécution ECW/PEC/IR/06/12/16 relatif au manuel d'analyse des engrais dans l'espace CEDEAO
Le présent Règlement d'exécution adopte le Manuel d'analyse qui définit les modalités et les procédures en matière d'analyse des engrais dans les États membres, en application de l'alinéa 1er de l'Article 10 du Règlement C/REG. 13/12/12 relatif au contrôle de qualité dans l'espace CEDEAO. -
Règlement d'exécution ECW/PEC/IR/07/12/16 relatif au manuel d'inspection des engrais dans l'espace CEDEAO
Le présent Règlement d'exécution adopte le manuel d'inscription des engrais dans l'espace CEDEAO en application de l'alinéa 1er de l'Article 10 du Règlement C/REG. 13/12/12 relatif au contrôle de qualité des engrais dans l'espace CEDEAO. -
Forum régional de Gogounou (Bénin) sur la transhumance transfrontalière
Le forum régional sur la transhumance transfrontalière qui s’est tenu à Gogounou (Bénin) du 14 au 16 avril 2010 a regroupé des participants provenant du Bénin, du Burkina Faso, du Niger, du Nigeria et du Togo. Ces participants représentent les Gouvernements,les institutions sous–régionales d’intégration, les collectivités locales, les organisations professionnelles d’éleveurs et les partenaires techniques et financiers. Les participants au forum sont conscients du fait que la transhumance transfrontalière constitue un sujet qui préoccupe tout particulièrement les États de la sous-région ouest africaine. En effet, la mobilité du bétail, basée sur une exploitation itinérante des ressources dont la disponibilité et la variabilité spatio-temporelle sont une réalité,est vitale pour préserver les moyens d’existence locaux et favoriser le commerce et les échanges. -
Cadre stratégique pour l'eau agricole au Sahel
L’initiative pour l’Irrigation au Sahel (2iS) est une initiative conjointe de six pays du Sahel, coordonnée par le CILSS, appuyée par les communautés économiques régionales (CEDEAO et UEMOA) et soutenue par la Banque mondiale. Elle s’inscrit dans la suite du forum de Dakar sur l’irrigation au Sahel d’octobre 2013, forum qui s’est conclu par l’adoption d’une Déclaration par les Gouvernements du Sénégal, du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Tchad et leurs partenaires. L’objectif de l’Initiative est d’appuyer les États et les acteurs de l’agriculture irriguée en vue de porter les superficies avec maîtrise de l'eau en agriculture à un million d'hectares, tout en assurant la viabilité, la performance et la durabilité environnementale des systèmes irrigués existants et futurs ainsi que le développement agricole connexe. -
Rapport régional sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La disponibilité alimentaire est relativement satisfaisante, en raison des conditions agroclimatiques favorables, à l’issue de la campagne agro-pastorale 2020-2021. Il est ressorti en général que les productions agricoles et pastorales sont en hausse comparées à la moyenne quinquennale. Par contre, les conséquences de la pandémie de la COVID-19 et le ralentissement des demandes locales, régionale et internationale ont conduit à des baisses importantes de certaines productions de culture de rente, comme le Coton et le Cacao, entraînant ainsi une baisse de revenus tirés de ces cultures et une dégradation des moyens d’existence et des conditions de sécurité alimentaire de certaines populations.
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Rencontre du comité de pilotage du projet d’Appui au Stockage de
Sécurité Alimentaire en Afrique de l’OuestLe Forum PRESAGG 2020 organisé par le Centre Régional AGRHYMET s’est appesanti sur les Prévisions Saisonnières dans les Pays du Golfe de Guinée. De ces concertations, on peut retenir que des dates de début de saison tardives à équivalentes à la moyenne de la période de référence (1981-2010) sont prévues sur la majeure partie du sud de la Côte d’Ivoire et le sud-ouest du Ghana. Par contre, des débuts de saison précoces à équivalents à la moyenne sont très probables sur le sud-est du Ghana, les moitiés sud du Togo, du Bénin et l’extrême sud-ouest du Nigeria. Pour le reste, du sud du Nigeria, les perspectives ne sont pas encore claires ; Malgré la poursuite de la maladie du coronavirus qui continue de sévir, l’approvisionnement des marchés a été beaucoup plus fluide qu’au mois passé. -
Performance du Projet d’appui au stockage de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest entre 2015 et 2019
Depuis 2012, la Cedeao est dotée d’une stratégie régionale de stockage de sécurité alimentaire qui combine les stocks de proximité, les stocks nationaux de sécurité et la mise en place d’une Réserve régionale de sécurité alimentaire (RRSA). Pour l’opérationnalisation de cette stratégie, la Commission de la Cedeao a bénéficié d’un financement de 56 millions d’euros de l’Union européenne (PIR/10ème FED) pour mettre en œuvre le Projet d’appui au stockage de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest. Après quatre années de mise en œuvre, ce projet a permis d’intervenir sur ces trois niveaux de réponse aux crises, de déployer le dispositif d’information et d’aide à la décision, et enfin de renforcer les capacités institutionnelles de l’Agence régionale pour l’agriculture et l’alimentation (Araa) en charge de la mise en œuvre dudit projet. -
Guide d'information sur le commerce des engrais en Afrique de l'Ouest
Ce guide contient les dernières statistiques nationales sur la production, le commerce et l’utilisation des engrais, des cartes et des profils actualisés des installations de production et de mélange d’engrais, ainsi que les procédures et les coûts logistiques qui contribuent à la formation du prix des engrais du port à la ferme. Pour encourager l’utilisation judicieuse d’engrais de qualité, de nouveaux laboratoires accrédités s’appuient sur les réglementations régionales des engrais et les normes d’étiquetage et d’emballage applicables en Afrique de l’ouest, tandis que la diffusion de paquets d’intrants agricoles adaptés aux différentes zones agroécologiques favorise leur utilisation optimale par les producteurs ouest-africains. -
Note d’orientation de l’étude de faisabilité de l’offensive régionale pour la promotion du lait local en Afrique de l’Ouest
Le lait occupe une place importante dans l’économie agricole et alimentaire de l’Afrique de l’Ouest. Son importance est étroitement liée à celle du cheptel domestique. Le cheptel ouest africain constitue l’un des plus importants de l’Afrique, bien qu’on ne connaisse pas exactement son effectif. L’Afrique de l’Ouest est créditée de quelques 60,5 millions de têtes de bovins, 160 millions de petits ruminants : ovins et caprins (CSAO, 2012). Son taux de croissance (2,7%) est voisin de celui du croît naturel (2,2%) de la population (CSAO, 2012). -
Note d’orientation de l’étude de faisabilité de l’offensive régionale pour la promotion du lait local en Afrique de l’Ouest
Depuis 2008, en réponse à la crise alimentaire, née de la flambée des prix des produits de base, l’ECOWAP a connu une accélération dans sa mise en œuvre, en s’appuyant non seulement sur deux catégories de programme ( les Programmes nationaux d’investissement agricoles à l’échelle des pays et le Plan Régional d’investissement agricole à l’échelle de la Communauté ), mais aussi sur un dispositif institutionnel qui permet de distinguer les institutions de pilotage, de celles de concertation et d’exécution technique. L’opérationnalisation de l’ECOWAP a reposé également sur un certain nombre de programmes et initiatives majeurs : réserve régionale de sécurité alimentaire, programmes de renforcement des capacités des acteurs, offensive régionale pour la relance durable de la production du riz. -
Les solutions alternatives préventives et curatives aux pesticides chimiques de synthèse
Le présent livret technique a pour vocation d’aider les facilitateurs des CEP dans leurs tâches pour faire diminuer l’usage de pesticides chimiques de synthèse qui présentent un danger pour la santé publique et l’environnement. Les facilitateurs des CEP sont des agents de la vulgarisation ou des producteurs relais. A ce titre, ils doivent mieux connaître les alternatives éprouvées qui sont utilisées dans la sous-région ou ailleurs au niveau des cultures maraîchères et des cultures pluviales. -
Transformation, stockage et commercialisation des produits agricoles
La démonstration de la faisabilité de la tierce détention au Burkina Faso autour de 1.200 tonnes de maïs avec plus de 800 producteurs de quatre unions provinciales de la FEPAB et un remboursement avant échéance du crédit octroyé par la banque. L’extension et le renforcement de la pratique du warrantage à de nouvelles zones (Burkina Faso, Togo) voire à de nouveaux produits agricoles (riz au Togo) avec remboursement dans la plupart des cas des crédits octroyés et réalisation de bénéfices.
L’amélioration de la transparence du marché et de la gestion des risques pour de nombreux acteurs avec des effectifs croissants d’inscrits sur SIMAgri au Burkina Faso et au service d’information et d’accompagnement en matière promotion de l’intelligence économique prospective (pour le moment sur le maïs) de RONGEAD ROAC couvrant 8 pays de la sous-région. En plus, le dispositif CAPI du MAEH au Togo a été mis en place et pourrait fournir des informations en temps réel sur le marché aux différents acteurs des chaînes de valeurs agricoles dans ce pays. -
Note de cadrage : amélioration de la santé animale en zone sahélienne
Dans les sociétés sahéliennes, l’élevage des ruminants domestiques (bovins, ovins, caprins et dromadaires) tient une place prépondérante en raison de l’aptitude de ces animaux à valoriser des terres souvent peu propices aux cultures végétales pluviales. Les systèmes d’élevage sahéliens, basés sur la mobilité des éleveurs et de leurs troupeaux sont particulièrement bien adaptés à ce milieu difficile. La productivité des troupeaux conditionne la qualité de vie et les revenus des populations humaines. La maîtrise de la santé animale est un facteur majeur de cette productivité et, par conséquent, du bien être des ménages pastoraux et des économies nationales. La présence et l’opérationnalité des services vétérinaires sont ainsi reconnues de tous comme un des facteurs de sécurisation du pastoralisme. Essentiel à la performance des troupeaux et à la résilience de l’élevage pastoral sahélien, l’enjeu de santé animale rassemble et crée des liens entre professionnels, vétérinaires, services techniques et ministères en charge de la santé animale. -
Concertation de haut niveau sur la dynamisation du cadre de concertation : Maradi (Niger) et Katsina (Nigeria) pour la sécurisation de la transhumance et la mobilité transfrontalière du cheptel
A l’initiative conjointe de la CEDEAO, du CILSS, du Gouvernement du Niger, du RBM, du Gouvernorat de Maradi, et de l’Etat fédéré de KATSINA a été organisée le samedi 14 mai 2022 une concertation de haut niveau sur la dynamisation du Cadre de concertation Maradi - Katsina pour la sécurisation de la transhumance et la mobilité transfrontalière du cheptel entre le Niger et le Nigeria. -
Catalogue Régionale des Espèces et Variétés Végétales : CEDEAO-UEMOA-CILSS
Le catalogue Régional CEDEAO-UEMOA-CILSS des Espèces et Variétés est un instrument majeur du règlement semencier harmonisé. Il est prévu que sa mise à jour soit annuelle et son édition chaque deux ans. La mise à jour du catalogue régional se fait à partir des informations découlant des catalogues nationaux révisés par des Etats de l'espace CEDEAO-UEMOA-CILSS. En effet, le règlement semencier harmonisé dispose en ses articles 9 pour le Règlement C/REG.4/05/2008/CEDEAO et 80 pour le Règlement N°03/2009/CM/UEMOA, que le catalogue Régional est << le document officiel qui contient la liste de toutes les variétés végétales homologuées dans les États membres>>. -
Mémento du stockage de proximité en Afrique de l'Ouest
En 2012, l’Afrique de l’Ouest s’est dotée d’une stratégie régionale de stockage en matière de sécurité alimentaire. Cette stratégie repose sur la complémentarité de trois lignes de défense pour faire face aux chocs : (i) les stocks de proximité gérés par des groupements de producteurs ou des organisations coopératives ; (ii) les stocks nationaux de sécurité alimentaire gérés par les États (parfois en cogestion avec les partenaires techniques et financiers) et (iii) la Réserve régionale de sécurité alimentaire (RRSA) mise en œuvre par la CEDEAO à travers l’Agence régionale pour l’agriculture et l’alimentation (ARAA). -
Stratégie Régionale Climat (SRC) de la CEDEAO et Plan d’actions (2022-2030)
Représentant actuellement seulement 1,8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES)2, les pays de l’espace CEDEAO contribuent de façon très faible au réchauffement climatique. Pour autant, le continent africain se situe au cœur des enjeux des changements climatiques de cette première moitié du 21ème siècle. Selon les scenarios les plus pessimistes, l’Afrique de l’Ouest connaîtra, d’ici à 2060, une augmentation de température de +2,3°C, soit un réchauffement de +0,6°C par décennie. Les précipitations seront quant à elles, plus erratiques et entraineront un accroissement de la fréquence et de l’intensité des aléas climatiques extrêmes déjà connus dans notre région : inondations, variabilité pluviométrique accrue, érosion côtière et des sols dans les bassins fluviaux, poches de sécheresse extrêmement longues, entre autres corollaires , avec des conséquences humaines et économiques dramatiques sur l'ensemble des secteurs économiques et sur les populations les plus vulnérables, dont notamment les femmes, les jeunes et les personnes âgées. -
Stratégie régionale climat (SRC) de la CEDEAO : version courte
Représentant actuellement seulement 1,8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES)1, les pays de l’espace CEDEAO contribuent de façon très faible au réchauffement climatique. Pour autant, le continent africain se situe au cœur des enjeux des changements climatiques de cette première moitié du 21ème siècle. Selon les scenarios les plus pessimistes, l’Afrique de l’Ouest connaîtra, d’ici à 2060, une augmentation de température de +2,3°C, soit un réchauffement de +0,6°C par décennie. Les précipitations seront quant à elles, plus erratiques et entraineront un accroissement de la fréquence et de l’intensité des aléas climatiques extrêmes déjà connus dans notre région : inondations, variabilité pluviométrique accrue, érosion côtière et des sols dans les bassins fluviaux, poches de sécheresse extrêmement longues, entre autres corollaires, avec des conséquences humaines et économiques dramatiques sur l’ensemble des secteurs économiques et sur les populations les plus vulnérables, dont notamment les femmes, les jeunes et les personnes âgées. -
L'offensive régionale pour le lait local (document de synthèse)
Le marché ouest africain des produits laitiers manufacturés est dominé par les importations extra africaines, alors qu’en doublant uniquement la productivité des vaches laitières locales, la région pourrait faire passer le volume de sa production de quelques 5 milliards de litres actuellement à plus de 10 milliards de litres à l’horizon 2030. Les importations de la région sont passées au cours des quinze dernières années de 1,2 à 2,5 milliards litres EqLait/an. Elles se chiffrent à plus de 500 milliards de francs CFA annuellement. Ces importations sont en grande partie favorisées par une fiscalité de porte très faible sur certains produis comme le la poudre de lait, des difficultés de collecte de lait frais local et un tissu industriel conforté par les facilités d’importation du lait en poudre. La situation est d’autant plus difficile à soutenir que la région dispose d’un potentiel important en matière de production laitière. -
Suivi de l'ensablement et de la dégradation des terres : composante 3
Le Projet de Lutte contre l'Ensablement des Cuvettes Oasiennes dans les départements de Gouré et de Mainé-soroa (PLECO) est financé par le Fonds pour l'Environnement Mondial (FEM) dans le cadre du Programme Opérationnel du GEF intitulé "PO 15 Gestion Durables des Sols". -
Elaboration de la Stratégie Nationale de Réduction des Risques de Catastrophes au Niger
Comme toute stratégie, les orientations de la stratégie nationale de réduction des risques de catastrophe découlent d’une vision partagée et d’un processus de planification axée sur les résultats, c'est-à-dire d’une projection dans l’avenir, des changements souhaités et des étapes intermédiaires à franchir avant d’y arriver. L’ambition de la stratégie nationale de réduction des risques de catastrophe est que le Niger puisse réduire de façon significative sa vulnérabilité structurelle aux catastrophes pour entrer véritablement dans le processus du développement durable. -
Plateforme multi-acteurs d'appui à la promotion à la promotion du lait local en Afrique de l'Ouest : 1er Plan d'action triennal 2023 - 2025
L’objectif général de ce plan d’action est de doter la Plateforme régionale multi acteurs d’appui à la promotion du lait local en Afrique de l’Ouest et au Sahel, de son premier instrument opérationnel d’appui à la contribution de sa stratégie commune ( son cadre de coopération régionale) à la réalisation de la vision de l’Offensive lait de la CEDEAO d'une "Afrique de l'Ouest qui émerge parmi les bassins laitiers du continent africain et accroît progressivement sa contribution aux échanges régionaux de produits laitiers d'origine communautaire." -
Plateforme Multi-acteurs d'Appui à la Promotion du Lait Local en Afrique de l'Ouest
Le plan triennal 2023-2025 porte sur trois champs d’action : (i) l'impulsion, par le Comité de Pilotage, d'une dynamique régionale de coopération au développement de la filière lait local ; (ii) le développement, par le Secrétariat Permanent, d'outils de concertation, coopération, de coordination et de suivi évaluation ; (iii) la promotion, par les Equipes-pays, des conditions écologiques, technologiques, économiques et financières nécessaires à l'amélioration des capacités des acteurs nationaux (producteurs, transformateurs et distributeurs) des chaînes de valeur lait local;18. Dans le cadre du premier champ d'action, il est attendu : (i) une Plateforme Régionale plus fonctionnelle ; (ii) un leadership renforcé des membres du Comité de pilotage ; (iii) une capacité de plaidoyer renforcée ; (iv) une meilleure maîtrise des problématiques de la filière ; (v) une meilleure capacité d'orientation stratégique des actions de la Plateforme. A cet effet, les activités prévues sont : (i) amélioration de la fonctionnalité de l'instance suprême de la Plateforme ; (ii) renforcement du leadership des membres du COPIL ; (iii) développement de partenariats autour de plans de plaidoyer/communication ; (iv) amélioration de la connaissance des problématiques de la filière. -
Recueil des principaux textes réglementaires sur le commerce régional en Afrique de l'Ouest
Depuis sa création en 1975, la CEDEAO a fait de la libre circulation des personnes et des biens dans l'espace communautaire, sa politique prioritaire d'intégration régionale. Le protocole sur la libre circulation des personnes et des biens adopté en 1979 reconnait aux citoyens de la communauté le droit d'entrée, de résidence et d'établissement dans les États membres. Le principe de libre circulation des personnes constitue un acquis inaliénable au sein de la communauté. -
Situation de référence des sites de suivi des paramètres de l’ensablement et de la dégradation des terres (Végétation herbacées et états de surface) et mise en place du dispositif de suivi de Leptadenia pyrotechnica
Le présent rapport a pour objet de compléter l’état de référence de la végétation initié par la collecte des données sur les herbacées et leur biomasse au niveau des parcelles où les ligneux ont été caractérisés et au niveau des sites de fixation des dunes du secteur environnant d’une part et d’autre part mettre en place un dispositif de suivi de Leptadenia pyrotechnica.
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Irrigation advisory system : pratiques et outils pour améliorer l’efficacité de l'irrigation en agriculture et s'adapter aux changements climatiques
L’Irrigation Advisory System (IAS), ou système de conseil en irrigation, renvoie à un ensemble de mesures à mettre en place pour améliorer l’efficacité de l’irrigation. Ce système se décline à travers la formation des agriculteurs à des compétences techniques en matière de pratiques agroécologiques afin de réduire les besoins en eau des cultures et la mise en place d’un système de conseil en irrigation qui permet de fournir aux agriculteurs des recommandations spécifiques en matière d’irrigation pour une sélection de culture. -
L'irrigation photovoltaïque : pour soutenir la sécurité alimentaire éprouvée par les changements climatiques
Cette fiche présente non pas une technique spécifique, mais l’approche globale de mise en œuvre d’un « système d’exploitation » dans son ensemble. Dans ces conditions, elle présente les caractéristiques suivantes :
• Sur la base des exemples en Mauritanie et au Sénégal, elle présente un modèle de petits périmètres de sécurité alimentaire, réduits et peu coûteux pour des zones rurales ou périurbaines où les populations souffrent de pauvreté et d’insécurité alimentaire, soumises à un climat difficile et des ressources en eau souterraine limitées (pour les zones éloignées du fleuve Sénégal).
• Puis elle propose des éléments pour guider la mise en place de projets de même type, dans d’autres régions ou pays (un modèle de principe, des concepts technico-économiques, une approche pour une étude faisabilité, et des conditions à prendre en compte pour une mise à l’échelle.) -
Le couplage de l'approche SMART-VALLEYS et SRI
Le Smart-valleys est une approche de développement de bas-fonds pour des systèmes de production rizicole en Afrique sub-saharienne, basée sur une démarche participative, durable et à faible coût. Elle a été développée par le Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice) et ses partenaires de recherche, en 1997 et 2001 au Ghana et au Nigeria, puis à partir de 2012 au Bénin et au Togo. -
Panorama des meilleures pratiques de montage et de mise en œuvre des projets d’adaptation dans l’agriculture
Ce panorama vise à restituer les leçons apprises et les bonnes pratiques dans la conception, le montage, la mise en œuvre jusqu’à la capitalisation des projets pilotes soutenus par le programme GCCA+ AO. Ceci afin de soutenir les futurs porteurs de projets et aboutir à une meilleure prise en compte de l’adaptation à chaque étape du cycle du projet. -
Étude sur l’état des lieux des réseaux et plateformes nationaux et régionaux existants en matière d'agroécologie, de formation en agriculture durable ; cartographie des initiatives et organisations impliquées ; et propositions pour le renforcement d’un réseau d’acteurs de l’agroécologie en Afrique de l’ouest
L’objectif global de cette étude est de disposer d’une base de données des réseaux et plateformes nationaux et régionaux, d’avoir une bonne connaissance des caractéristiques desdits réseaux et plateformes et de leurs capacités à accompagner la CEDEAO dans la mobilisation régionale des acteurs pour l’agroécologie et dans le plaidoyer en faveur de la prise en compte de l’agroécologie et de l’agriculture durable et écologiquement intensive dans les politiques nationales et régionales d’investissement agricoles et de sécurité alimentaire. -
Pharmacopée de l'Afrique de l'Ouest
Dans de nombreux pays du monde, les connaissances médicales traditionnelles ne sont transmises que de bouche à oreille, avec très peu ou pas de documentation. Cependant, depuis la fin du XXe siècle, en raison de la réalité de l’immense potentiel de la médecine traditionnelle et de la demande croissante des détenteurs de savoirs endogènes pour un partage équitable des avantages tirés de la commercialisation de leurs produits, il y a eu des appels pour la documentation et la protection des connaissances médicales traditionnelles. À la lumière de cela, dès 1986, la quatrième Conférence internationale des autorités de réglementation pharmaceutique, tenue à Tokyo, a invité l’OMS à établir une liste des plantes médicinales et à définir des spécifications internationales pour les plus utilisées. Par la suite, plusieurs États Membres de l’OMS ont fait des efforts pour fournir des médicaments à base de plantes sûrs et efficaces à leurs populations. -
Renforcement de capacités en Agriculture Intelligente face au Climat (AIC)
Les changements climatiques compromettent sérieusement la productivité et la durabilité des systèmes de production surtout dans les pays africains au Sud du Sahara. L’Agriculture Intelligente face au Climat (AIC) est une approche fiable qui vise l’amélioration de la productivité, l’adaptation et la réduction des gaz à effet de serre pour une agriculture plus résiliente et durable. Cependant le concept reste peu connu et inexploité par les producteurs et l’ensemble du personnel de conception et d’appui technique au développement rural.