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PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Rapport diagnostic des capacités organisationnelles des organisations paysannes transformation de la zone d’intervention du programme PromAP Tahoua
Dans le cadre de la mise en œuvre des activités de la composante 2 du volet renforcement des capacités, le programme PromAP a commandité une étude diagnostic dans la zone d’intervention de la région de Tahoua. Cette activité qui a été conduite par une consultante externe a concerné dix-neuf (19) organisations paysannes ayant bénéficié de la formation sur la transformation des produits agroalimentaires. La présente étude qui s’inscrit dans le cadre de l’évaluation des capacités institutionnelles des organisations paysannes a durée vingt-huit (28) pour la période du 31 octobre au 27 novembre 2017. -
Gestion de l'irrigation à petite échelle
L’unité de gestion de l’irrigation à petite échelle (GIPE) est généralement une parcelle d’une superficie inférieure à 0,5 hectare. Les systèmes de GIPE peuvent être gérés soit par un exploitant agricole individuel soit par des groupes, des communautés. Le principe directeur d’une gestion durable de l’irrigation à petite échelle est l’efficacité de l’utilisation de l’eau -
Plan d'Actions National des Energies Renouvelables (PANER)
Ce Plan d'Actions National des Energies Renouvelables présente les orientations stratégiques énergétiques nationales -
Utilisation des fumures organique et minerale sur cultures maraîchères en Cote d’Ivoire
La mise à la disposition des maraîchers ivoiriens des techniques culturales adaptées aux conditions locales est l’un des objectifs de la filière de l’IDESSA chargée des cultures maraîchères. Afin de mieux apprécier les techniques actuelles de fertilisation de ces cultures, une enquête a été effectuée par cette filière, en mai 1993, dans le domaine maraîcher ivoirien -
Méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole
Ce présent rapport porte sur les méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles énumérées dans ce rapport, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
25 ans de réhabilitation et de conservation des sols au Sahel
Les gouvernements allemand et nigérien font partie des pays signataires de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CLD) qui engage les pays membres à « lutter contre la désertification et à atténuer les effets de la sécheresse dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification en particulier en Afrique ». Ainsi, les gouvernements du Niger et de l’Allemagne ont initié, depuis le début des années 1980, des actions de lutte contre la dégradation des terres et des ressources naturelles notamment dans les régions de Tillabéri-Nord et de Tahoua. Le Projet de développement rural de Tahoua (PDRT) a démarré en 1985 et en 1986, le Projet de protection intégrée des ressources agro-sylvo-pastorales (PASP) a lancé sa phase pilote dans la région de Tillabéri Nord. À partir de 2004 jusqu’à fin 2011, les actions des deux projets initiaux se sont poursuivies dans le cadre du Programme de lutte contre la pauvreté en milieu rural (LUCOP). Financés sur des fonds du ministère allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), ces actions ont été réalisées par la Coopération technique (GIZ), la Coopération financière (KfW) et le Service Allemand de Développement (DED). En partie, les travaux se poursuivent actuellement. -
Etude diagnostique des potentialités du Conseil Agricole en Petite Irrigation dans les 3 régions d’intervention du PromAP : Tillabéri, Tahoua et Agadez
Dans le cadre de la Stratégie de Développement Rural (SDR), stratégie sectorielle nationale de référence entre 2002 et 2012, une tentative a été entreprise pour mettre en place un dispositif national d’appui conseil. Sur la base d’une étude diagnostic appuyée par la FAO, ce dispositif intègre l’ensemble des évolutions contextuelles, en proposant un appui conseil à la demande, fourni par des prestataires de service, à travers une coordination par les services de l’Etat et un cofinancement des bénéficiaires de l’appui-conseil, selon leur capacité économique (notamment par rapport aux filières portées sur le marché). Compte tenu des évolutions institutionnelles dans la période, ce dispositif bien qu’approuvé en 2011, n’a jamais été mis en oeuvre. Il contient cependant des éléments pertinents, qui sont d’actualité et qui pourraient constituer le socle du nouveau dispositif à mettre en place. A l’absence d’un dispositif structuré de conseil fourni par l’Etat, les projets de développement mettent en oeuvre des actions ponctuelles de conseil agricole, en s’appuyant souvent sur les services techniques de l’Etat. Bien que celles-ci ne s’inscrivent pas tout à fait dans une approche d’émergence durable des services de conseil, ils ont comme mérite de développer et de tester des nouvelles approches. Il convient notamment de citer l’approche « Champ école », dont les principaux promoteurs sont la FAO et le FIDA. -
Etat des lieux de la riziculture : Cas du Niger
Afin de déterminer de façon spécifique les activités et le budget du projet de chacun des pays, il est apparu nécessaire de recruter un consultant national pour faire l’état des lieux de la riziculture, dégager les insuffisances au niveau de ce secteur et les axes prioritaires.
Le présent document représente donc l’état des lieux de la riziculture au Niger et s’articule autour de 12 principaux points -
Etude sur la sécurité semencière au Niger. Rapport d’étude pilote dans les communes rurales de Dantchiandou, Imanan et Kourthèye (région de Tillabéri)
Au Niger, le Gouvernement accorde une place importante à la sécurité et à la sécurisation semencière. En effet, conformément à son document de Politique Nationale Semencière (PSN) adopté en 2012, il fait une bonne place aux mesures de prévention et à un plan de secours d’urgence permettant de subvenir, dans les cas d’urgence déclarée, aux besoins des populations en semences adaptées aux conditions du pays. -
Caractérisation des vallées de Tahoua et proposition de système irrigue dans le cadre de la petite irrigation privée
Le travail a consisté à caractériser dix huit (18) vallées de la zone d'intervention du LUCOP TAN/GIZ dans la région de Tahoua, à inventorier toutes les potentialités qu'elles offrent en matière d'irrigation et à faire des propositions dans le cadre d'une éventuelle mise en valeur. L'étude a débouché sur l'élaboration d'une fiche de caractérisation pour chaque vallée qui est une sorte de carte d'identité de celle-ci. -
Intégration de l'irrigation et de l'aquaculture en Afrique de l'Ouest : concepts, pratiques et perspectives d’avenir
Le présent volume contient les documents de référence et les exposés présentés à l’occasion de l’Atelier FAO-ADRAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA), tenu à Bamako, au Mali, du 4 au 7 novembre 2003, ainsi que les résultats des missions des experts de la FAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) dans la région de l’Afrique de l’Ouest. La logique qui sous-tend le développement de l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) est le fait qu’elle offre des possibilités pour accroître la productivité des ressources peu abondantes en eau douce, pour améliorer la sécurité alimentaire et la
réduction de la pauvreté, et pour réduire la pression sur les ressources naturelles, en particulier dans les pays de l’Afrique de l’Ouest prédisposés à la sécheresse. -
Lutte contre les principaux végétaux aquatiques envahissants en Afrique : activités et succès de la FAO de 1991 à 2001
Certaines plantes considérées utiles dans leur région dorigine, peuvent devenir des mauvaises herbes après leur introduction intentionnelle ou accidentelle dans d'autres parties du monde. Des mauvaises herbes aquatiques exotiques, en l'absence de leurs ennemis naturels, causent de graves problèmes en Afrique, où elles ont rapidement envahi rivières et pièces d’eau douce et se sont répandues surtout dans les régions tropicales et tempérées-chaudes. -
Bilans des éléments nutritifs du sol à différentes échelles
Application des méthodes intermédiaires aux réalités africainesUne étude de 1990 au niveau global qui indiquait une baisse de la fertilité des sols en Afrique a déclenché des études de cas au niveau détaillé sur les flux d’éléments nutritifs. Ce rapport fait l’hypothèse qu’une approche de niveau intermédiaire peut offrir un point d’entrée valide pour les décideurs politiques et l’intervention du secteur privé. Le but est de permettre aux personnes intéressées de niveau intermédiaire de mieux articuler et cibler les mesures spécifiques augmentant la fertilité du sol à cette échelle. -
L'état de l'alimentation et l'agriculture au Niger
L’agro-biodiversité est essentiellement exploitée par une agriculture vivrière de subsistance dominée par la culture pluviale des céréales (mil, sorgho, riz, blé, maïs et fonio) et les cultures de rente (niébé, arachide, voandzou, sésame, souchet, oseille) -
Revue détaillée des projets du portefeuille PIS sur la gestion durable des terres:
Cas du Niger
La revue détaillée au Niger des projets du portefeuille du Programme D’Investissement Stratégique (PIS)/TerrAfrica, dont l’objectif est de mettre en évidence les leçons, en particulier celles des sites pilotes et de démonstration, pour mieux comprendre les opportunités et défis de la mise à l’échelle de la gestion durable des terres (GDT), a été exécutée par l’équipe de consultants (Abdoulaye Sambo Soumaila, et Domitille Vallée) en trois étapes à travers (i) un atelier de lancement réunissant les trois projets et des représentants de la plateforme GDT organisé à Niamey le 22 juillet 2015, (ii) une mission de terrain réalisée dans les régions de Maradi et de Zinder du 23 au 27 juillet 2015 accompagnée d’un atelier de restitution des résultats de la mission de terrain (28 juillet 2015 à Niamey) auprès des projets, de la plateforme GDT et de partenaires de financement actifs dans le secteur de la GDT, et (iii) des travaux complémentaires de recherche documentaire à Niamey. -
Renforcer la résilience face aux changements climatiques : la voie à suivre pour répondre aux effets des événements climatiques extrêmes sur l'agriculture
Au cours des dernières décennies, le nombre de catastrophes à l'échelle mondiale a eu tendance à augmenter, entrainant la croissance des impacts économiques associés. -
Contribution à l’évaluation des risques et santé dans les exploitations agricoles , pastorale et halieutiques du Niger
Dans les PED, l'agriculture à forte intensité de main d'oeuvre est la plus répondue avec une grande diversité de type d'exploitation et d'emploi -
Rapport d'évaluation de l'opération de lutte biologique contre la chenille mineuse de l'épi de mil dans la région de Maradi
Dans le cadre du plan d’action pour la gestion de la mineuse de l’épi élaboré par le groupe GTSA, après les opérations de lâchers du parasitoïdes Habrobracon,hebetor, il était jugé utile de procéder à l’évaluation des opérations de lâchers effectuées pour le contrôle de la chenille mineuse de l’épi dans la région de Maradi -
Promotion de l'utilisation des intrants agricoles par les organisations de producteurs
disponibilité en semence amelioraées : Niger-campagne 02Pour la deuxième année consécutive,le projet intrants/FAO et le SICCLA/DA ont mené une enquête concernant la production et les multiplicateurs de semences améliorées au niger -
Une expérience originale de mécanisation partagée en Afrique - les Coopératives d’utilisation de matériel agricole du Bénin
Dans les départements du Borgou et de l’Alibori (Nord Bénin), une coopérative d’utilisation de matériel agricole (Cuma) est constituée d’une dizaine d’agriculteurs en moyenne rassemblés autour de l’achat et de la gestion d’un tracteur d’une puissance de 30 à 70 CV, d’une charrue à disques et d’une remorque de trois tonnes. Aujourd’hui, 102 Cuma sont recensées au Bénin, regroupant environ 850 producteurs.
L’objectif premier que se donnent les groupes ayant créé une Cuma porte sur la motorisation du labour, avec en complément, les activités de transport en période de récolte. En moyenne, une Cuma couvre environ 100 hectares par tracteur pour le labour.
Chaque membre contribue aux charges d’exploitation du matériel, proportionnellement à son utilisation. Le montant de l’apport en capital de chaque membre à la Cuma est fonction de ses superficies travaillées. Après des expériences de financement à crédit peu concluantes, les agriculteurs réunissent désormais eux-mêmes la totalité du capital nécessaire pour acheter les équipements. -
Expérience de conservation des eaux au Niger projet Keita
La zone qui a fait l’objet de cette relation se trouve dans l’Ader Doutchi Maggia, un plateau érodé situé à 15° de latitude nord et 6° de longitude est, dans la République du Niger. La hauteur de la pluviométrie moyenne annuelle varie entre 300 et 400 mm. Le “Projet de Développement Rural de l’Ader Doutchi Maggia” (PDR-ADM) travaille dans cette zone depuis 1984. Le secteur où le projet a concentré davantage ses efforts est la lutte contre la désertification et l’érosion ; il s’agit de récupération des terres pour le développement agricole et pastoral et de la protection des bassins versants.
L’expérience acquise au sein du PDR-ADM dans le secteur de la maîtrise des eaux en zone aride est très importante. En 16 ans de nombreux ouvrages ont été réalisés. Dans cette période les typologies des ouvrages ont même pu être mieux adaptées aux exigences et à la disponibilité des ressources locales. Le présent travail veut donner un aperçu général de cette expérience dans le domaine de la conservation des eaux et des sols avec une particulière attention aux ouvrages hydrauliques telles que les seuils d’épandage et les barrages d’écrêtage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Volume VI - Résultats définitifs - Productivité des exploitations agricoles
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Le présent document intitulé Volume VI ‘‘Productivité des exploitations agricoles’’ une des publications du Recensement Général de l'Agriculture et du Cheptel 2005/2008, est consacré à la présentation des résultats des enquêtes sur la productivité des principales spéculations cultivées en zones d’agriculture pluviale à savoir : le mil, le sorgho, le niébé et l’arachide. Cette publication est structurée autour des quatre parties ci-après : Première partie : organisation et mise en œuvre de la productivité des exploitations agricoles ; Deuxième partie : présentation des résultats de la productivité des cultures pratiquées en zone d’agriculture pluviale ; Conclusions et Annexes. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Résultats définitifs – Volet Agriculture (Niveau Régional) – Volume IV
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Cette analyse des données du RGAC permettra aux acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général de bien connaître le secteur des productions végétales à l’échelle du pays comme des régions, notamment concernant les caractéristiques climatiques, ethniques, démographiques, hydrologiques et pastorales. On insistera plus en détails sur les superficies agricoles selon les spéculations, leur importance en pur et en association, les structures des exploitations agricoles et les différents systèmes agricoles mis en œuvre. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Méthodologies
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Le présent document intitulé Rapport Technique et Méthodologique du ‘‘Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel au Niger 2004/08 constitue un travail de synthèse des approches techniques utilisées dans la préparation des enquêtes, la collecte et le traitement des données statistiques entreprises dans le cadre du projet GCP/NER/041/EC (recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel au Niger. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Volume I - Résultats du pré recensement
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC) est le résultat d’une coopération fructueuse entre le Gouvernement du Niger, l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO.
Le présent document, un volume parmi tant d’autres fourni par le RGAC, consacré au pré recensement s’intéresse aux résultats issus des enquêtes relatives à l’actualisation du nombre de ménages agricoles (Q1), au recensement des sites de production horticole (Q12), des points d’eau au niveau des zones de concentration en saison sèche (Q7), des passages terminaux des couloirs de transhumance (Q8) et l’inventaire des organisations paysannes opérant dans les domaines agricoles et de l’élevage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume V - Productivité du cheptel - Enclaves pastorales et transect
Le Niger avec l’appui des partenaires techniques et financiers (Banque Mondiale, Union Européenne et Fao) a entrepris depuis 2001 une opération de recensement du recensement général de l’agriculture et du cheptel, nommée « RGAC » et consistant en des enquêtes d’effectifs d’animaux et autres activités agricoles.
Les paramètres démographiques du cheptel (taux de reproduction, de mortalité naturelle, d’exploitation, etc.) sont des données de base nécessaires pour quantifier la production et la dynamique du cheptel. L’estimation de ces paramètres était une activité importante à mettre en œuvre. Cette activité a été programmée dans le cadre de la mise en œuvre des modules du projet RGAC et a été réalisée en mai 2007 avec la participation active de la Direction des statistiques du Ministère des Ressources Animales.
L’enquête démographique réalisée dans le cadre du RGAC avait pour objectif de fournir un diagnostic rapide sur les caractéristiques démographiques actuelles des cheptels de bovins, de caprins, d'ovins et de camelins au niveau des deux zones agro écologiques du Niger : la zone pastorale et la zone agropastorale.
Cette enquête, réalisée à grande échelle, avait également pour objectif de familiariser la direction des statistiques d’élevage à la planification et l’organisation des enquêtes sur la démographie du cheptel. Ce qui au demeurant participe au renforcement des capacités techniques et organisationnelles des structures nationales en charge des statistiques d’élevage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel – Volume VII – Résultats définitifs – Organisations paysannes
Dans le cadre de la réalisation du Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGA/C), une enquête a été conduite en 2007 en vue de constituer une base de données fiables sur les organisations paysannes au plan national. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume VIII b – Résultats définitifs – Dimension genre « Agriculture »
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey.
Le présent document constitue un travail spécifique de prise en compte de l’aspect genre dans le cadre de cette importante investigation statistique qui est le RGAC 2005/2007. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume II – Résultats définitifs – Volet cheptel
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. Ce document présente un travail de synthèse de cette importante investigation statistique et comporte les parties suivantes : organisation et mise en œuvre du Recensement du Cheptel et présentation des principaux résultats. A la suite de la présentation des principaux résultats du cheptel nigérien, le document présente dans la partie ‘‘ANNEXES’’ les tableaux détaillés, les graphiques et cartes, les questionnaires et la liste des participants au recensement du cheptel. Les résultats présentés dans le présent Volume II ne sont qu’une partie de la grande masse d’informations contenues dans le RGAC. Ainsi donc, des analyses thématiques pourront être faites ultérieurement soit par le Ministère des Ressources Animales (MRA) et le Ministère du Développement Agricole (MDA), soit par les chercheurs ou encore par tout autre utilisateur. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume IX – Résultats définitifs – Horticulture
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2008) a été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère des Finances et de l’Economie (MFE), avec l’assistance technique de la FAO et l’appui financier de l’UE.
Ce volet du RGAC vise à mettre en place un système de production de données régulières et fiables sur le secteur horticole, afin d’assurer de manière durable sa relance. En outre, ce recensement horticole à comme objectif, la constitution d’une base de sondage riche et variée sur le secteur horticole à travers l’identification et le dénombrement des sites de production et des exploitations horticoles. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel 2005–2007 - Analyse des résultats des enquêtes sur les marchés à bétail et le cheptel aviaire
Toute la commercialisation du bétail prend ancrage au niveau des marchés à bétail traditionnels La Direction de la Statistiques savait approximativement que le Niger dispose de plus de 500 marchés à bétail ; aujourd’hui l’enquête a démontré avec exactitude que leur nombre est de 635. Les présentes enquêtes marchés qui viennent d’être menées par le RGAC permettront de mieux préciser certaines caractéristiques de ces marchés et des transactions commerciales qui s’y déroulent afin de tirer des enseignements qui pourraient être opportunément exploités par le pouvoir décisionnel.
La deuxième enquête qui a trait à l’enquête complémentaire des effectifs du cheptel aviaire s’est penchée sur l’évaluation du cheptel aviaire villageois mais également sur l’état de la consommation de la volaille locale et des circonstances coutumières et culturelles de la consommation de la volaille ainsi que de la détermination du nombre moyen des effectifs élevés par espèce volaille et par ménage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel 2005–2007 – Résultats définitifs production animale - Répartitions régionales - Analyse - Perspectives
Il faut rappeler que depuis les indépendances, le Niger n’a connu aucun recensement de son cheptel, les effectifs utilisés dans les statistiques étaient déterminés par extrapolation par rapport aux taux de fécondité.
C’est ainsi que grâce à la coopération fructueuse entre le gouvernement du Niger et les partenaires au développement notamment l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO, le projet de Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel s’est concrétisé en 2004, sous la responsabilité des deux ministères en charge de l’agriculture et de l’élevage.
La présente communication a pour objet d’informer les acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général, des énormes potentialités dont dispose le pays dans le domaine de l’élevage, mais aussi de faire ressortir quelques axes de réflexion sur les contraintes et les perspectives qui peuvent découler de la gestion de ce cheptel. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC) – Niger - Conclusions et recommandations du projet
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) à été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère des Finances et de l’Economie (MFE), avec l’assistance technique de la FAO.
Le lancement officiel du projet « Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC » s’est effectué le 5 août 2004 par les ministres en charge du projet RGAC à savoir, le ministre du développement agricole et son homologue des ressources animales, en présence du Délégué de l’Union
Européenne, de la Représentante de la FAO et d’un Représentant de la Banque Mondiale au Niger. Le
RGAC a été conjointement financée par le gouvernement du Niger à hauteur de 1,5 millions FCFA et l’Union Européenne pour 4,2 milliards FCFA (6.371.000 Euros, soit 7.900.039 Dollars EU), avec la FAO comme agence d’exécution. Le RGAC s’est étalé sur 48 mois.
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Commission des pêches pour l'atlantique centre-ouest
Ce document est la version définitive du rapport de la deuxième session du groupe scientifique consultatif (GSC) de la Commission des pêches pour l’Atlantique Centre-Ouest qui s’est tenue à Le Robert, Martinique, du 28 au 30 avril 2003. Les principaux points analysés ont été : la situation des pêches dans la région de la COPACO; l’évaluation par la COPACO des activités des groupes de travail spéciaux; la recherche en matière de pêches dans la région de la COPACO ; la stratégie actuelle de la COPACO ; et une proposition de contributions volontaires visant à appuyer le groupe de travail ad hoc de la COPACO sur la langouste blanche. -
Communiquer le genre pour le développement rural : Intégrer le genre dans la communication pour le développement
Dans les projets de développement rural et agricole, les approches « communication pour le développement » et « genre » sont indispensables pour atteindre de façon durable les objectifs de sécurité alimentaire, de lutte contre la pauvreté et d’égalité entre les hommes et les femmes. Ces deux approches se rejoignent dans des valeurs communes : la participation active et égale de tous et toutes et le renforcement des pouvoirs (autonomisation) des populations, notamment des plus démunies. Elles ne se contredisent pas et pourtant, rares sont les actions de communication qui prennent en compte la problématique de genre. Sans doute, parce que cette dernière est mal comprise, qualifiée de complexe et perçue comme étant « une histoire de femmes ». De plus, on oublie que les conditions de vie et la situation socioéconomique des hommes et des femmes influencent au plus haut point leurs capacités à recevoir et à transmettre l’information. Enfin, les modalités de communication couramment utilisées se disent neutres au regard du genre. Dès lors que le genre est perçu comme une « histoire de femmes » et que la communication revêt un « habit unisexe », il ne faut pas s’étonner si les actions de communication pour le développement atteignent et impliquent davantage les hommes que les femmes, particulièrement en milieu rural. -
Développer des chaînes de valeur alimentaires durables : Principes directeurs
Ces dix dernières années, la chaîne de valeur s’est imposée comme l’un des principaux paradigmes pour la réflexion et la pratique dans le domaine du développement. C’est pourquoi l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a lancé une nouvelle série de manuels sur le développement de chaînes de valeur alimentaires durables; la présente publication inaugure cette série. Ces manuels ont pour objet de donner des conseils pratiques sur le développement de chaînes de valeur alimentaires durables en facilitant la diffusion de solutions innovantes et tirées de l’expérience auprès d’un public cible composé de décideurs politiques, de concepteurs de projets et d’acteurs de terrain.
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Eau et pauvreté rurale interventions pour améliorer les moyens d'existence des populations d'Afrique subsaharienne
L’insécurité de l’accès à l’eau destinée à la consommation et aux activités productives restreint considérablement les efforts de réduction de la pauvreté dans les zones rurales d’Afrique subsaharienne (ASS). Pour des millions de petits agriculteurs, pêcheurs et éleveurs d’ASS, l’eau est l’un des plus importants moyens de production; c’est pourquoi la sécurité de l’accès à l’eau, de sa maîtrise et de sa gestion est essentielle pour l’amélioration de leurs moyens d’existence. Le présent rapport fait valoir que des interventions locales bien ciblées en matière d’utilisation de l’eau sont possibles et pourraient concourir à rapidement améliorer les moyens d’existence des populations rurales pauvres. -
Le machinisme agricole au Niger - Rapport de mission et rapport technique
Au Niger les premières introductions de machinisme agricole sur une large échelle remontent aux années 60. Le bâti Arara est proposé partout au Niger, que les terres soient sablonneuses ou argileuses, c’est le même matériel aratoire qui est tendu aux populations. Cela sans tenir compte que certaines terres demandent à recevoir simplement un soussolage apte à éviter une trop grosse érosion.
Cette même erreur continue aujourd’hui quand les tracteurs modernes sont équipés de disques. Différents bâtis sont proposés avec le temps. Durant ces dernières années de nouveaux modèles de bâtis, plus simples et plus performants, il est vrai, sont proposés au Niger. -
Initiative sur la fertilité des sols et la collecte des eaux de ruissellement
L'initiative pour la fertilité des sols (IFS) dans les pays d'Afrique au sud du Sahara est un programme conjoint de plusieurs partenaires mené par la BM et la FAO. Le Niger y a adhéré en 1998 en associant la collecte des eaux de ruissellement et a entrepris une démarche participative qui a permis d'élaborer d'abord des plans d'action régionaux et des projet pilotes, puis le présent Plan d'action national. -
La sécurité alimentaire urbaine et la commercialisation des aliments
Le XXIe siècle a été défini Le Siècle des villes. Si, en Amérique latine, la majorité des habitants vit déjà dans les zones urbaines, il n’en est pas de même pour les villes asiatiques et africaines dont la population risque de doubler dans les dix années à venir. Ce seront surtout les consommateurs urbains à faible revenu dont le nombre augmentera. -
La situation mondiale de l'alimentation et de l'agriculture : Ouvrir l'agriculture familiale à l'innovation
Plus de 500 millions d’exploitations agricoles familiales se répartissent la plus grande partie des terres agricoles mondiales et produisent l’essentiel des denrées alimentaires. Nous avons besoin des exploitations agricoles familiales pour parvenir à la sécurité alimentaire partout dans le monde, préserver et protéger l’environnement naturel et mettre fin à la pauvreté, à la dénutrition et à la malnutrition. -
La situation mondiale de l'alimentation et de l'agriculture : Changement climatique, agriculture et sécurité alimentaire
En adoptant les objectifs énoncés dans le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et dans l’Accord de Paris sur le changement climatique, la communauté internationale a pris l’engagement de construire un avenir durable. Cependant, pour éliminer la faim et la pauvreté d’ici à 2030 tout en s’attaquant à la menace que constitue le changement climatique, une transformation profonde des systèmes alimentaires et agricoles sera nécessaire partout dans le monde. -
Légumes secs et exploitations durables en Afrique Subsaharienne
En Afrique subsaharienne, l'insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problèmes encore s'aggraver du fait de la dégradation constante des sols entrainée par la diminution de taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme "dégradées " d'ici à 2020. -
L'état des ressources zoogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture dans le monde
L'état des ressources zoogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture dans le monde est la première évaluation de la biodiversité des animaux d'élevage. Basé sur 169 Rapports nationaux, sur des contribution de plusieurs organisations internationales et sur 12 études thématiques spécialement mandatées, il présente une analyse de l'état de la biodiversité de l'agriculture dans le secteur de l'élevage- origines et développements, utilisations et valeurs, distribution et échange, état de danger et menaces. -
Perspectives sur les mycotoxines
Le présent ouvrage, publié par la FAO dans le cadre du projet FAO/PNUE, N° 0107-01, "Lutte contre la contamination environnementale des aliments : MYCOTOXINES", contient les quatre principaux documents de base préparé pour l'examen du point 4 de l'ordre du jour, (Nairobi, Kenya, 19-27 septembre 1977). -
Profil national genre des secteurs de l’agriculture et du développement rural
La FAO et la Commission de la CEDEAO ont commandité une évaluation genre des secteurs de l’agriculture et du développement rural au Niger, dans le cadre de leur Projet de Coopération Technique «La réponse genre aux Plans régionaux et nationaux d’investissement agricole pour relever le Défi Faim Zéro dans la région de la CEDEAO». Cette évaluation a appréhendé, d’une part, les inégalités entre hommes et femmes dans le secteur agricole et rural et, d’autre part, l’aspect genre dans le Programme National d’Investissement Agricole (PNIA), notamment l’Initiative les Nigériens Nourrissent les Nigériens (I3N), ainsi qu’au niveau des institutions étatiques et des partenaires au développement. -
Programme de travail et budget annuel 2012
Le projet "Intensification de l'Agriculture par le Renforcement des Boutiques d'Intrants Coopératives" (IAR BIC) a pour objectif global de "contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire des populations les plus vulnérables à travers l'intensification de la production agricole vivrière". Il a comme objectif spécifique d"améliorer les rendements des cultures de mil et sorgho dans l'ensemble de la zone agricole du pays par l'utilisation maitrisée des engrais à travers le réseau des boutiques d'intrants". -
Projet de développement rural intégré de la Vallée de Keita : GCP/NER/028/ITA
A travers les incertitudes et difficultés de tout ordre, le Projet a vécu une période qui n'a pas été celle d'un Projet qui achève sa première phase pour entamer la deuxième. Tout cela, dans le cadre d'un pays qui est entrain de se réorienter et de se réorganiser. -
Rapport de la conférence technique internationale sur les ressources phytogénétiques
La conférence a réaffirmé les engagements de fonds nouveaux ou supplémentaires pris dans le cadre de l'Action 21 de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement et par les Parties à la Convention sur la diversité biologique. Au titre de ces engagements, des fonds devraient être mis à disposition pour financer la mise en œuvre par les pays en développement et les pays à économie de transition, du Plan d'action mondial. -
Consultation d'experts sur les problèmes juridiques liés à la cites et aux espèces aquatiques faisant l'objet d'une exploitation commerçiale
Ce document présente le rapport de la Consultation d’experts sur les problèmes juridiques liés à la CITES et aux espèces aquatiques faisant l’objet d’une exploitation commerciale. La Consultation d’experts s’est tenue à Rome (Italie), du 22 au 25 juin, suite à une décision de la vingt-cinquième session du Comité des pêches de la FAO (COFI) qui a jugé nécessaire de convoquer une consultation d’experts pour examiner deux questions concernant la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES). -
Évaluation agro écologique de la production agricole et des systèmes alimentaires au Niger
Le Niger, à l’instar des autres pays sahéliens, connait de profondes perturbations des systèmes de productions agricoles en raison des sècheresses récurrentes, du changement climatique et des activités anthropiques. Le secteur agricole exerce une forte pression sur les ressources naturelles en lien avec un croit démographique élevé, ce qui est de nature à conduire à une rupture définitive entre les productions agricoles et le maintien des équilibres écologiques.
L’initiative de la FAO de promouvoir l’agroécologie dans les pays du Sahel fait suite aux directives des différentes conférences des parties sur le changement climatique qui ont invité la communauté internationale à se mobiliser pour accompagner les PMA à améliorer les systèmes de productions agricoles. L’initiative sur l’un des principes directeurs de la stratégie de la FAO qui est de promouvoir des approches écosystémiques répond notamment au besoin d’assurer une assistance technique aux États dans le domaine de la transition agroécologique.
Le présent document passe en revue (i) les politiques agricoles en lien avec d’autres secteurs, (ii) les perceptions et les initiatives des principaux acteurs de l’agroécologie, (iii) l’état des systèmes agricoles et la place de l’agroécologie, (iv) les initiatives en matière de recherche, (iv) les initiatives en matière de formation, (vi) une analyse SWOT, (vii) les perspectives de développement de l’agroécologie et (viii) des recommandations. -
Prévention et gestion des conflits liés à la gouvernance des ressources naturelles en Afrique de l’Ouest : défis et perspectives
Conférence internationale d'échange sur les pratiques de sécurisation foncière, de gestion des aires protégées, de prévention et de gestion des conflits liés à l’extrémisme violent et au djihadisme à l'échelle nationale et sous régionale en Afrique de l'Ouest. Cette Conférence a été organisée par les programmes GIZ-ZFD et Frexus avec l’appui financier de l'Union Européenne, du ministère allemand de la coopération et le parrainage du gouvernement de la République du Niger à travers la Haute Autorité à la Consolidation de la Paix. -
Intensification de l'agriculture par le renforcement des boutiques d'intrants coopératives (IARBIC) : Réhabilitation et renforcement des moyens de subsistance de population rurale du Niger face à la flambée des prix des denrées alimentaires et intrants agricoles
Le Niger, pays enclavé caractérisé par un climat rigoureux et des sols pauvres en voie de désertification présente une forte croissance démographique et de très faible indicateurs sociaux. L'économie du pays repose essentiellement sur le secteur primaire (agriculture et élevage) qui représente 36 pour cent du produit intérieur brut et qui fournit 84 pour cent des emplois. L'insécurité alimentaire est caractérisée par des déficits récurrents au niveau des ménages entre le production des denrées de base et les besoins alimentaires. -
Atelier régional ouest-africain du programme INFORMED en collaboration étroite avec le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)
Le programme INFORMED (Information pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle et Résilience pour la Prise de Décision), initiative de la FAO et l'Union européenne, a pour objectif de contribuer à accroitre la résiliences des moyens d'existence face aux menaces et aux crises et à réduire l'insécurité alimentaire et la malnutrition , à travers un soutien technique et analytique ainsi qu'un renforcement des capacités des institutions régionales et nationales engagées dans l'analyse de la sécurité alimentaire, la nutrition et la résilience pour l'élaboration de politiques et de programmes. -
Revue du secteur avicole Niger
Le risque d’apparition d’épizooties telles que l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène à H5N1 (IAHP) nécessite une surveillance efficace et une capacité de réponse active et rapide à un niveau national, régional et international. La crise de l’IAHP a dû et doit encore être combattue à travers le monde à sa source, c’est-à-dire au sein de la population avicole.
Une bonne compréhension des différentes filières de production et commercialisation permet de développer des mesures de contrôles des maladies qui soient appropriées et efficaces. -
Recensement général de l'agriculture et du cheptel (RGAC)
Le Niger est l’un des pays les plus vastes du Sahel. Il s’étend sur une superficie de 1.267.000 km2 dont les trois quarts sont constitués d’un désert chaud situé dans la zone septentrionale du pays. Il est frontalier à l’Algérie et la Libye au Nord, au Tchad à l’Est, au Nigeria et au Bénin au Sud, le Burkina Faso et le Mali à l’Ouest. Le seul cours d’eau permanent est le fleuve Niger qui traverse le Sud Ouest du pays sur une longueur de 550 km, depuis la frontière avec le Mali jusqu’au Bénin et le Nigeria. La population du pays estimée à 13 millions avec un taux de croissance démographique de 3,3%. -
Recensement de l'agriculture et du cheptel : (RGAC 2005/2007)
Le Recensement du Cheptel, un des deux volets du Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007), décidé par le Gouvernement est le résultat d’une coopération fructueuse entre le Gouvernement du Niger, l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO. Grâce à un financement de l’Union Européenne, de la Banque Mondiale à travers un prêt de l’IDA, et la FAO, à travers son Programme de Coopération Technique, les travaux préparatoires du recensement relatifs aux volets ‘Agriculture’ et ‘Élevage’ ont été réalisés de 2001 à 2003. -
Évaluation des systèmes d'alerte précoce sur la sécurité alimentaire au Niger
La "Sécurité alimentaire" (SA) est assurée quand toutes les personnes, en tout temps, ont économiquement, socialement et physiquement accès à une alimentation suffisante, sûre et nutritive qui satisfait leurs besoins nutritionnels et leurs préférences alimentaires pour leur permettre de mener une vie active et saine" (définition du SICIA V suite au Sommet mondial de l'alimentation). Le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS), qui comprend neuf (9) pays sahéliens dont le Niger, a pour mandat de "S'investir dans la recherche de la Sécurité alimentaire et dans la lutte contre les effets' de la sécheresse et de la désertification, pour un nouvel équilibre écologique au Sahel". -
Rapport d'évaluation des expériences de coopération réussies : cas du projet régional d'amélioration des mils-sorgho-mais de l'Institut du Sahel
Dans le cadre de son programme de promotion de la coopération technique et scientifique entre ses membres, la FAO a entrepris d'évaluer des expériences de coopération scientifique et technique entre pays en développement (TCDC). C'est ainsi que celle de l'Institut du Sahel, axée sur l'amélioration des principales céréales et du niébé, mise en œuvre pour pallier le déficit vivrier chronique que connait cette sous-région a été retenue (voir annexe nO 1). En effet, elle est significative eu égard d'une part, au faible potentiel technique et scientifique des Etats, à la disparité de leur structure de recherche et d'intervention et d'autre part, à l'instabilité pluviométrique pesant lourdement sur l'effort des États pour assurer leur autosuffisance alimentaire. -
Étude préparatoire pour l'association régionale pour l'irrigation et le drainage
La fragilité de la situation climatique du pays à conduit le Gouvernement à accorder une première priorité au développement de l'irrigation en vue d'assurer la sécurité alimentaire des populations. II) Sur un potentiel de 270.000 ha, 81.800 ha environ sont mis en valeur à divers degré d'intensification . L'irrigation moderne à maîtrise totale de l'eau représente environ 13.000 ha. Quatre types de systèmes d'irrigation prédominent: Les périmètres collectifs irrigués par pompage à partir du fleuve Niger, les périmètres collectifs irrigués à partir de retenues collinaires, les périmètres irrigués par pompage à partir d es eaux souterraines et les périmètres privés. -
Lutte contre l'ensablement des terres de cultures dans les départements de Zinder et Diffa : La conduite d'une pépinière
C'est l'espace réservé a l'élevage des plants pour satisfaire les besoins de reboisement programmé. Cet espace doit être choisi suivant l es normes et caractéristiques suivantes : sur terrain plat ou très légèrement incliné, bien propre, bien nivelé, sans cailloux et sans racines disposer de l'eau en quantité et en qualité suffisantes ; sur sols perméables pour faciliter l’infiltration des eaux de pluies (éviter les sols très argileux et des plafonds qui peuvent retenir l'eau de pluie longtemps, ce qui peut noyer les plants) ; situation la plus proche des lieux de plantations. -
Étude agropastorale du périmètre agrosylvopastoral de l'arrondissement de Ouallam
La présente consultation a été demandée par le Ministère de l'Agriculture et de l'environnement pour le compte du projet aménagement forestier et reboisement à buts multiples,financement F.A.O. Prévue en deux phases, début de saison des pluies (juillet 1988) et fin de saison des pluies (septembre 1988). Cette étude s'est déroulée en une seule phase (septembre, octobre) pour des raisons administratives. Ceci n'a pas permis de suivre le comporte Dent du tapis herbacé le long de la saison pluvieuse. Néanmoins pour combler cette lacune nous avons essayé de retracer cette évolution à travers l a pluviométrie décadaire et l'évaporation de la région. -
Diagnostic des sites/systèmes de culture/systèmes de production intégrant la petite irrigation dans les régions d’Agadez, Tahoua et Tillabéri/ Rapport du diagnostic agricole dans la région de Tillabéri
Après deux phases successives de mise en œuvre de la valorisation des pratiques innovantes endogènes, de démonstration de technologies importées, et d’évaluation des performances et des potentialités des innovations dans ses régions d’intervention, le PromAP a perçu la nécessité, dans le cadre de sa composante 3, de réaliser une analyse approfondie des Systèmes de culture/Systèmes de Production mobilisant la PI en vue notamment de déterminer « les marges de manœuvre techniques mobilisables aux différents stades des itinéraires techniques pour contribuer à améliorer leurs performances agronomiques, économiques, et environnementales ». -
Diagnostic des besoins en renforcement de capacités des acteurs du conseil en petite irrigation dans le contexte de la République du Niger.
Cette étude a été réalisée conjointement par le programme de Promotion de l’Agriculture Productive (PromAP), financée par la GiZ, et le Réseau des Chambres d’Agriculture du Niger (RECA) dans le but :
- d’identifier les besoins en renforcement des capacités des agents de conseil dans le domaine de la petite irrigation ;- de préciser les besoins d’ajustement des modules / curricula existants, afin que ceux-ci soient adaptés à la réalité professionnelle vécue par les conseillers agricoles ;
- de renseigner l’élaboration d’un plan national de formation des agents de conseil agricole intervenant dans le domaine de la petite irrigation ; - de proposer un référentiel de compétences pour le métier de conseiller agricole. Elle repose sur une enquête de terrain auprès des agents de conseil agricole qui a été menée de juin à septembre 2019 dans les huit régions du Niger (Niamey, Tillabéri, Dosso, Maradi, Zinder, Diffa, Tahoua et Agadez). 495 conseillers agricoles répartis dans les 8 régions du Niger sont interrogés dans le cadre de cette
enquête, afin de disposer d’un échantillon représentatif des différents types de conseiller agricoles agissant sur le territoire du Niger. -
Stratégie de la petite irrigation au Niger : Évaluation Environnementale Stratégique
La Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) a été adoptée en Conseil des Ministres le 10 avril 2015 et son plan d’action a été validé en 2016. Afin d’intégrer au mieux les aspects environnementaux, sociaux et de changement climatique de la PI, les TdR (annexe 8.10) pour la réalisation de l’EES de la SPIN ont été élaborés et transmis le 6 mars 2020 au Bureau National d’Evaluation Environnementale (BNEE) afin que ce dernier procède à l’examen et au cadrage des TdR, conformément à la législation nationale. Dans le cadre du suivi de cette étude, un comité de pilotage a été mis en place le 8 avril 2020 (Arrêté N°160/MAG/EL/DIRCAB/SG/SP-SPIN du 8 avril 2020) constitué des parties prenantes de la SPIN avec 1 président, 1 vice-président, 2 rapporteurs et 18 membres. -
Climate change, biodiversity and nutritions nexus : evidence and emergency policy and programming opportunities
This paper presents the findings of a desk review conducted by the Food and Agriculture Organization of the United Nations that found that the majority of tools used to study climate change, biodiversity or nutrition focus on only one or two of these domains and very few explicitly address all three. The same goes for policies in the three sectors. It also identified numerous entry points to improve biodiversity and diets as the two levers to improve nutrition and optimize environmental sustainability. Based on these findings, the study makes a number of recommendations for action by governments, academia, civil society, the private sector and international organizations to address these shortcomings. -
Enquête sur la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages (Décembre 2007)
L'objectif principal de cette enquête est d'évaluer et de caractériser la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages afin de mieux asseoir le diagnostic dans un contexte post récolte et de dégager les perspectives pour les prochains mois. -
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le champ école paysan quatrième réunion du comité technique national de pilotage
Le présent rapport fait la situation de l'ensemble des activités réalisées par le projet pendant l'année 2012. Il s'agit principalement des activités de formation des producteurs sur le riz et les cultures maraichères, le suivi et la supervision des CEP et enfin les activités relatives au projet << d'Amélioration de la Production du Riz en Afrique de l'Ouest>> (APRAO) et autres diverses activités réalisées dans le même cadre. -
Opération de déstockage au Niger : leçons apprises en 2010
Avec 32 millions de têtes toutes espèces confondues, le Niger est sans conteste un pays d’élevage. Cette activité, outre sa forte contribution à l’économie nationale, participe significativement aux stratégies de lutte contre la pauvreté au sein des ménages. Toutefois, les sécheresses récurrentes qui sévissent au Niger constituent un risque majeur pour le bétail. Les années de sécheresse se traduisent par des déficits fourragers dont les conséquences sur le cheptel sont les mortalités, les chutes de poids et de production, les avortements. -
Recensement Général de l'Agriculture et du Cheptel 2005-2007 : Résultats définitifs; production animale
La présente communication a pour objet d’informer les acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général, des énormes potentialités dont dispose le pays dans le domaine de l’élevage, mais aussi de faire ressortir quelques axes de réflexion sur les contraintes et les perspectives qui peuvent découler de la gestion de ce cheptel. -
Mesurer la durabilité des systèmes de culture du coton : vers un cadre d'orientation
Le présent rapport expose les résultats d’une étude visant à mesurer la durabilité des systèmes de culture du coton. C’est l’aboutissement de plusieurs années de coopération pour mener à bien une évaluation rigoureuse, sur des bases scientifiques, d’un éventail de conventions, de normes et de critères pertinents. L’étude s’est caractérisée par un processus consultatif qui a, par sa nature ouverte et scientifique, stimulé un dialogue intersectoriel et transfrontalier, et contribué à créer un consensus autour de questions critiques de durabilité et de l'approche chiffrée qui s’y rapporte. -
Projet d'amélioration de la production du riz en Afrique de l'Ouest en réponse à la flambée des prix des denrées alimentaires (GCP/RAF/453/SPA) / Composante Niger : rapport de capitalisation des résultats
Dans le but de contribuer à la lutte contre la flambée des prix des denrées de première nécessité dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, le Royaume d’Espagne, à travers la FAO, a accepté de financer pendant trois (3) années (2010-2012), un projet régional pour contribuer à accroître de façon durable la production rizicole nationale dans cinq (5) pays de la région dont le Sénégal, le Mali, le Niger, la Mauritanie et la Cote d’Ivoire, qui font partie des plus touchés par cette crise. -
Les produits Forestiers Non-Ligneux au Niger : Connaissances actuelles et tendances
Dans cette étude nous tenterons de collecter les données disponibles sur l'utilisation et l'exploitation des PFNL au Niger, d'évaluer leur importance relative, d'analyser les tendances passées, actuelles et futures de la consommation, de la commercialisation et de l'exportation de ces produits et enfin d'analyser les contraintes pour l'amélioration de la collecte des données statistiques. Il n'est pas question ici de faire une évaluation quantitative du potentiel des PFNL au Niger et de leur contribution à l'économie du pays. Cette étude demandera des moyens plus importants et pourrait être envisagée, lors des prochaines étapes, pour les produits les plus importants. -
Initiative Eau et Sécurité Alimentaire en Afrique, Phase II (IESAII) Composante_ Niger du Projet
L’IESAII vise à améliorer la sécurité alimentaire et la résilience aux changements climatiques des populations les plus vulnérables des zones rurales via la maitrise de l’eau et le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des producteurs. Il devrait contribuer également à améliorer durablement les revenus, l’alimentation et la nutrition des groupes cibles via l’intensification, la diversification, la valorisation de la production agricole, et le renforcement des capacités des acteurs. Les activités proposées répondent au souci du Gouvernement du Niger à développer le secteur rural et à soutenir ses efforts en matière de sécurité alimentaire. Les activités s’inscrivent plus particulièrement dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global de la stratégie de l’initiative 3N. Le Projet contribue à la réalisation des priorités et produits du document cadre de programmation de pays (CPP) de la FAO. Le projet est aligné aux cinq (5) axes de priorité de la Coopération espagnole. -
Analyse de genre pour le Programme de Promotion de l'Agriculture Productive au Niger
L'analyse de genre est basée sur un travail préliminaire approfondi qui avait déjà été réalisé par le projet en 2020 et qui a été complété par des analyses critiques de documents, de statistiques et d'études. Des données primaires ont également été collectées par le biais d'une enquête via un questionnaire auprès de certains membres du personnel du projet ainsi que par des entre-tiens personnels avec les organisations partenaires les plus importantes par une consultante nationale (questionnaire et guide d´entretien en annexe) -
Analyse des risques climatiques pour l’identification et la pondération des stratégies d’adaptation dans le secteur agricole du Niger
Actuellement, les informations disponibles sur les risques climatiques et leurs impacts concernant le secteur agricole du pays sont limitées. Cette étude a donc pour objectif de fournir une analyse approfondie des risques climatiques accompagnée d’une vaste évaluation de quatre stratégies d’adaptation potentielles pouvant guider les décideurs locaux en matière de planification et de mise en œuvre de l’adaptation au Niger : (1) l’agroforesterie et la régénération naturelle assistée (RNA) des arbres gérée par les fermiers, (2) la gestion intégrée de la fertilité des sols (GIFS), (3) l’irrigation et (4) la gestion améliorée du fourrage pour le bétail. L’évaluation des impacts repose sur : des projections climatiques basées sur deux scénarios d’émissions (SSP3-RCP7.0 et SSP1-RCP2.6), une modélisation hydrologique des variations de la disponibilité en eau, la modélisation et la comparaison des rendements futurs de quatre cultures dominantes (le sorgho, le millet, le maïs et le niébé), ainsi qu’une évaluation de la production animale dans les conditions climatiques à venir. -
Développement des organisations professionnelles agricoles : Approches de la GIZ
Le présent rapport contient les résultats d’une étude menée entre le 5 octobre et le 13 novembre 2015 à travers l’outil d’enquête en ligne askallo.org. Les représentants de 26 programmes de la GIZ, pour la plupart des programmes bilatéraux et régionaux basés en Afrique et en Asie, ont participé à cette étude. L’objectif principal de l’étude et de ce rapport est de créer une base pour un partage fructueux des leçons apprises, des bonnes pratiques, des stratégies et des instruments pour une promotion effective et efficiente des organisations professionnelles agricoles (OPA) entre les programmes GIZ, et de jeter les bases du développement d’une boîte à outils. Réalisée par le groupe de travail Agribusiness and Food Security (ABFS) du Réseau de développement rural en Afrique (SNRD), cette étude a été saluée par tous les répondants, qui ont souligné le besoin d’échanges accrus sur leurs approches et expériences. La version consolidée de ce rapport a été compilée après des discussions inspirantes lors de la rencontre du SNRD ABFS à Lomé en Mars 2016. -
Revue annuelle de mise en œuvre du PROMAP III : état d'avancement du programme et niveau de mise en œuvre du plan annuel de travail
La présente revue donne un aperçu du bilan de mise en œuvre du Plan Annuel de Travail (PAT) du PromAP au titre de l’année 2020. C’est un exercice annuel obligatoire au PromAP qui permet d’apprécier le niveau de mise en œuvre des activités du PAT 2020 en particulier à travers les résultats atteints et in extenso le niveau global d’atteinte des indicateurs des différents outputs. Il permet également d’apprécier les changements induits au niveau des partenaires de mise en œuvre aussi bien au niveau national que dans les trois régions d’intervention. La revue fait partie intégrante du système de suivi-évaluation du PromAP. Elle permet de simplifier le processus de planification de l’année suivante en fournissant des données et autres analyses utiles sur le niveau d’atteinte des résultats intermédiaires et des indicateurs d’effets. -
Revue annuelle de mise en œuvre du du PromAP - 2021 : état d'avancement du programme et niveau de mise en œuvre du plan annuel de travail 2021
La présente revue donne un aperçu du bilan de mise en œuvre du Plan Annuel de Travail (PAT) du PromAP au titre de l’année 2021. C’est un exercice annuel obligatoire au PromAP qui permet d’apprécier le niveau de mise en œuvre des activités du PAT 2021, à travers les résultats atteints, et in extenso le niveau global d’atteinte des indicateurs des différents outputs. Il permet également d’apprécier les changements induits au niveau des partenaires de mise en œuvre aussi bien au niveau national qu’au niveau des trois régions d’intervention. -
Revue annuelle de mise en œuvre du PromAP Etat d’avancement du programme et niveau de mise en œuvre du plan annuel de travail 2019
La présente revue donne un aperçu du bilan de mise en œuvre du Plan Annuel de Travail (PAT) du PromAP au titre de l’année 2019. C’est un exercice annuel au PromAP permettant d’apprécier d’une part le niveau de mise en œuvre des activités du PAT de manière globale et d’autre part, apprécier les changements induits par les interventions du programme dans l’amélioration des conditions de vie des exploitants de la PI à travers la mise en valeur durable du potentiel irrigable par les populations rurales touchées par le PromAP dans les trois régions d’intervention. -
Capitalisation, diffusion et appropriation de bonnes pratiques agropastorales en faveur de la résilience en Afrique de l’Ouest
Ce wébinaire sur «la capitalisation, la diffusion et l’appropriation de bonnes pratiques agropastorales en faveur de la résilience en Afrique de l’Ouest », a été présenté dans le cadre d'une série de wébinaires organisée par la Plateforme de gestion des connaissances sur les urgences et la résilience (KORE), au sein du Bureau des urgences et de la résilience de la FAO. -
Génération agroécologie : démarches multi-acteurs pour le développement de l'agroécologie en Afrique de l'Ouest
Les journées multi-acteurs pour le développement de l'agroécologie en Afrique de l'Ouest ont été organisées par la Task Force multi-acteurs pour la promotion de l'Agroécologie au Sénégal (TaFAé), sous l'impulsion de la plateforme de recherche SREC et de la PFONGUE et avec le soutien de l'IRD, de l'UE et de la FAO. -
Rapport de l'enquete de base pour l'évaluation de l'impact du programme de résilience de PAM-FAO-FIDA dans les régions de Maradi et Zinder
Ce rapport a pour objectif d’analyser la différence entre la capacité de résilience des ménages bénéficiaires et non bénéficiaires du projet face aux risques d’insécurité alimentaire. L’estimation de la capacité de résilience des ménages a été faite à l’aide du modèle de mesure et d’analyse de l’indice de résilience (RIMA) (voir annexe 1 pour les détails sur la méthodologie). Il est important
de noter qu’un certain nombre d’interventions ont débuté bien avant la collecte de données de l’étude de référence. Dans les deux communes bénéficiaires, plusieurs distributions mensuelles de transfert monétaire dans le cadre des activités de création d’actifs productifs, accompagnées d’une supplémentation nutritionnelle de prévention de la malnutrition (Super céréale) ont été réalisées: à Chadakori, trois vagues de distribution avaient déjà été faites, et à Dogo le nombre variaient entre une distribution et trois en fonction des sites. Ces interventions ont un impact sur l’indice de la capacité de résilience des ménages, en particulier sur le pilier accès aux filets de protection sociale. -
Soutenir un développement à basse émissions des secteurs laitiers pastoraux et agropastoraux en Afrique de l'Ouest
Cette étude évalue le potentiel d’augmentation de la productivité laitière couplée à une réduction de l’intensité des émissions de méthane entérique, dans le secteur bovin laitier de cinq pays d’Afrique de l’Ouest (Bénin, Burkina Faso, Mali, Niger et Sénégal). L’objectif général de l’étude est d’identifier des stratégies à bas coûts permettant de réduire les émissions de méthane entérique, de contribuer à des bénéfices sociaux et de développement économique à court et long terme, tout en améliorant la résilience face au changement climatique. -
Atelier International sur le lait de chamelle en Afrique
Les données de la littérature sur la productivité laitière de la chamelle sont relativement rares et essentiellement issues d'observations réalisées en station, beaucoup plus rarement en milieu pastoral réel. Par ailleurs, les règles de mesure ne sont jamais mises en œuvre de façon homogène d'un auteur à l’autre : quantité moyenne quotidienne, quantité totale, quantité par an, moyenne de troupeau etc... De ce fait les comparaisons sont quelquefois acrobatiques. Il apparaît par ailleurs une très forte variabilité des productions déclarées laissant supposer un potentiel de sélection sur ce critère tout à fait envisageable, mais rarement entrepris à l'exception de travaux de l'époque soviétique en Asie Centrale. -
Formation-action "Capitalisation, gestion des connaissances et genre"
Dans le cadre du programme Gestion des connaissances et genre, le projet Capitalisation des bonnes pratiques en appui à la production agricole et à la sécurité alimentaire a organisé une formation-action dans les locaux de la F AO à Niamey au Niger, du 5 décembre au 9 décembre 20 Il. Cette formation a été facilitée par Sophie Treinen, la coordinatrice du programme et du projet, assistée par deux consultantes, Fanny Simphal pour la documentation de l'atelier et Agnès Le Magadoux pour les questions de genre. Cet atelier a permis à une vingtaine de participants et participantes de démystifier des termes savants tels que {(gestion des connaissances », {(capitalisation », « bonne pratique ». Cette formation-action a permis de mieux appréhender tout ce que ce processus de la capitalisation englobe et de s'accorder sur un sens commun. Les personnes présentes ont pu reconnaître la capitalisation à travers d'autres termes qu'elles utilisent pour décrire ce processus comme la systématisation, l'organisation, la documentation, la vulgarisation, le partage et l'appropriation. -
Identification des besoins en formation des institutions d'enseignement et de formation intervenant dans la petite irrigation
L'étude a pour objectif général de mieux préparer les structures de formation en agriculture à répondre aux besoins en formation des exploitants et services d'appui-conseil en petite irrigation dans l'accomplissement de leurs missions. Les objectifs spécifiques de l'étude sont : inventorier les acteurs de la formation en agriculture au bénéfice des producteurs et des services d'appui-conseil en petite irrigation ; préciser les formations en petite irrigation en cours ; identifier les besoins en renforcement des compétences des personnels des établissements et centre de formation dans le domaine de l'agriculture et du génie rural. -
Les ressources forestières naturelles et les plantations forestières au Niger
Ce document porte sur l’évaluation des ressources forestières naturelles et les plantations forestières au Niger. Une revue de la documentation existante a permis d’établir une typologie et une évaluation de toutes les ressources forestières existantes. C’est ainsi qu’une synthèse des typologies des formations forestières proposées par divers auteurs a été faite. Les principales formations forestières du pays sont représentées par des forêts classées et des gommeraies qui comportent des faciès plus ou moins dégradés suivant la pression démographique. A ces formations naturelles, il faut ajouter les parcs agroforestiers qui constituent également une composante non négligeable de ressources forestières. La productivité des formations a été évaluée suivant différentes méthodes développées dans le cadre de programme de recherche et d’aménagement de forêts classées. Pour les gommeraies et les parcs agroforestiers, la productivité des peuplements n’est pas estimée cependant on peut retenir que leur contribution est importante dans la satisfaction des besoins des populations locales en produits forestiers ligneux et non ligneux. -
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le Champs École Paysan
L’objectif global du programme de « Gestion Intégrée de la Production, des Déprédateurs et de la Pollution » (GIPD) est d’améliorer la sécurité alimentaire, la productivité et la rentabilité des exploitations agricoles et protéger les eaux riveraines des bassins des fleuves Niger et Sénégal des contaminations dues à l’utilisation des produits agrochimiques. -
Rapport de l’Atelier de lancement au Niger du Projet « Des Arbres pour Reverdir l’Afrique »
L’atelier de lancement du Projet Des Arbres pour Reverdir l’Afrique a permis de rassembler les acteurs clefs du domaine d’utilisation des sols, portant sur le partage des éléments du cadre logique du projet, les problématiques, itinéraires et réflexions relatives en Gestion Durable des Terres (GDT). Le but visé à long terme, par le projet, est d’inverser le processus de la dégradation des terres en Afrique par l’adoption à grande échelle de l’agroforesterie. L’objectif de lancement de l’atelier a été d’une part, de communiquer et partager les informations et les connaissances sur le projet ; et d’autre part, de favoriser l’évaluation économique neutre de la GDT ainsi que le renforcement des capacités en vue de conduire des actions éclairées et concertées. -
Promouvoir les programmes d’achats d’aliments dans des contextes de pauvreté rurale généralisée : le ciblage des petits exploitants dans le cadre du PAA Afrique au Niger
L’objectif général de cette étude de cas est de présenter l’approche adoptée par le PAA Afrique dans le contexte nigérien ainsi que les décisions qui ont été prises au niveau du programme pour adapter les achats locaux au contexte local et qui ont permis de parvenir aux résultats obtenus. Son objectif est également de décrire les défis associés qui se sont présentés. -
Élaboration d’une vision commune pour renforcer la performance,l’équité et la gouvernance des organisations de producteurs et productrices agricoles au Niger
Au Niger, la structuration du monde paysan et l’amélioration des conditions de vie des petits producteurs et productrices agricoles sont des défis de grande ampleur. La majorité des organisations se heurtent à l’insuffisance d’appui et de formation en matière de mise en place d’OP, de leur gestion et de leur fonctionnement. Parmi les principaux obstacles, on compte également l’absence ou l’insuffisance d’éducation et d’alphabétisation des petits producteurs, notamment des femmes, ainsi que l’insuffisance des moyens financiers. A ces obstacles se rajoutent les difficultés d’accès au marché et la méconnaissance et/ou la mauvaise compréhension de la législation , ainsi que la difficulté à les faire respecter. Selon le dernier recensement de l'agriculture et de l'élevage général (2008), il existe 29 462 OP au Niger, mais seulement un nombre limité d’entre elles fait partie d'un réseau organisé. Celles-ci sont subdivisées en unions (11%), fédérations (2%) et confédérations (1%). De ce fait, 86% des OP au Niger ne font partie d’aucune structure spécifique.