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La situation de la communication pour le développement au Niger (État des lieux)
Pour lutter contre les affres du sous-développement, les autorités ont entrepris de réorganiser le secteur de la communication et décidé de la mise en œuvre d’une Politique nationale de communication pour le développement.
A cet effet, 10 études sectorielles et thématiques ont été effectuées. Des ateliers tenus dans chacune des huit régions du pays ont permis de recueillir la perception par les communautés de base de la problématique de la communication pour le développement. -
Forages manuels au Mali
Vidéo illustrant la réalisation d'un forage manuel au Mali -
Étude sur la compétitivité de l'économie nigérienne : le secteur manufacturier
Le secteur manufacturier nigérien demeure embryonnaire et peu performant malgré des interventions étatiques multiples depuis les années soixante visant à encourager sa croissance. Cette performance décevante du secteur manufacturier nigérien révèle des problèmes de compétitivité et, notamment, une incapacité à produire des biens manufacturés, de qualité équivalente, à des coûts similaires ou inférieurs à ceux des concurrents étrangers. Ceci est vrai pour le marché intérieur et, à fortiori, pour les marchés d'exportation. Les interventions étatiques caractérisées par des subventions explicites ou implicites ont rendu les producteurs locaux artificiellement compétitifs. Ces mesures avaient été mises en place dans l'espoir que la performance des activités protégées s'améliorerait au fil du temps, ce qui ne semble pas avoir été le cas -
Étude sur la compétitivité de l'économie nigérienne : le secteur agro-pastoral
Le secteur agropastoral, composante principale de l'économie nigérienne, représente environ 42% du PIB et emploie presque 80 % de la population active. En dépit d’énormes efforts fournis en matière de politiques de développement agricole, ce secteur peine encore à trouver un équilibre qui lui permette d’être compétitif sur les marchés national et international. Pour cause, l’Agriculture nigérienne se heurte à des graves insuffisances qui l'empêchent d'atteindre un niveau comparable à celui des plusieurs pays de la sous-région. Or, le développement de la capacité productive du secteur agropastoral constitue un élément fondamental dans la promotion de la croissance économique. Ainsi, dans ce contexte de création d’un marché commun, il s’avère impératif d’identifier les causes profondes qui sous-tendent les difficultés du secteur à fournir des produits compétitifs sur les marchés national et international. La présente étude a permis d’analyser la compétitivité du secteur agropastoral nigérien. Elle a pour objectif d’apprécier l’avantage comparatif et la compétitivité des produits agropastoraux nigériens pour fournir aux décideurs politiques des éléments d’aide à la décision surtout dans ce contexte de Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf). Les produits qui ont été ciblés par l’étude sont : le niébé, l’arachide, le sésame, le souchet, la pomme de terre, le manioc, le moringa, l’oignon et la filière bétail/cuir/peaux. La démarche méthodologique consiste à faire une analyse des indicateurs macroéconomiques et une analyse filière (ou microéconomique). La présente étude a permis d’analyser la compétitivité du secteur agropastoral nigérien. -
Étude participative sur les aspirations des jeunes et l’efficacité des politiques publiques en matière de jeunesse au Niger
Au Niger, la structure démographique fait ressortir le poids important des jeunes1 dont le taux d’accroissement naturel est estimé à 3,81% en moyenne sur la période 2001-2011. Environ 60% (13 millions) de la population a moins de 18 ans et près de 500.000 jeunes entrent sur le marché du travail chaque année. Cette progression rapide de la population active soulève la problématique de la place des jeunes dans la société nigérienne. L’approche participative mise en œuvre dans le cadre de cette recherche consiste à donner la voix aux jeunes pour comprendre leurs aspirations et capter leurs perceptions. Trois thématiques majeures ont été abordées pour lesquelles l’étude a fait ressortir les principaux messages clés. -
Étude des possibilités d’intégrer les Forages à faible coût au dispositif d’Alimentation en Eau des communautés rurales au Niger
L’utilisation des forages manuels au Niger remonte aux années 1970 et leur développement a été soutenu dans les années 1990 par des projets initiés par l’UE et la Banque Mondiale. Exclusivement réservé à l’irrigation de petits périmètres, aujourd’hui on dénombre plus de
18.000 forages et 42 équipes de puisatiers. Depuis 2002, de façon spontanée ou à travers des activités initiées par l’Unicef et par des ONG, les forages manuels sont utilisés comme moyen permettant d’accéder à l’eau potable afin de répondre à la demande croissante en eau de boisson des populations en zone rurale. Cet engouement est guidé par le coût 5 à 10 fois inférieur au coût des ouvrages conventionnels et par l’existence de compétences locales.