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Etude de l'armature commerciale de la ville de Niamey : Rapport d’orientation intermédiaire
Ce rapport fait suite à la première mission réalisée à Niamey du au 2018. Il prend également en compte les résultats de l’enquête menée pendant la période de janvier 2019 auprès des commerçants. L’ensemble de ces démarches permettent donc de proposer i) une actualisation de l’étude diagnostic (commercial, urbain, institutionnel) et i) une définition préalable de la stratégie. -
Les potentialités agricoles de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO)
Le premier défi du secteur agricole est de continuer à assurer plus efficacement cette fonction économique en élevant la productivité de tous les facteurs et en fournissant les matières premières de l’artisanat et de l’industrie agroalimentaire. Cet enjeu est crucial pour que la région maîtrise sa dépendance alimentaire vis-à-vis du reste du monde et améliore, via la transformation des produits et l’incorporation de valeur ajoutée, les termes actuels des échanges défavorables aux pays de la CEDEAO. -
Front local environnemental pour une union verte fleuve: Pays Niger
L'objectif général du projet fleuve est: Intégration de la gestion durable des ressources naturelles, des terres et des risques écosystémiques dans les plans de développement locaux et leur mise en oeuvre à travers le montage de partenariats
novateurs et multi-acteurs incluant les secteurs publics et privés, dans le cadre d’une contribution à la mise en œuvre de l’initiative de la grande muraille verte au Sahara et au Sahel. -
Promouvoir le lait local au Sahel
La filière lait local au Niger est en changement : de plus en plus d’éleveurs commercialisent régulièrement des quantités importantes de lait cru, les industriels semblent s’intéresser davantage au lait cru même si leur matière première reste majoritairement de la poudre importée.
Dans ce contexte, les centres de collecte ou les mini-laiteries peuvent jouer un rôle essentiel dans le développement de la filière lait local. Mais quelles différences entre ces deux types d’unités laitières ? -
Analyse de l’évolution des systèmes d’élevage dans le bassin périurbain de Niamey (sous bassins laitiers de Kollo et Hamdallaye)
Avec environ 10 millions de têtes de bovins, le Niger a le plus grand cheptel de la zone UEMOA. Selon les statistiques nationales, la production laitière est de 1 milliard de litres par an dont 486 millions de litres de lait de bovins. Avec 63.8 litres par habitant et par an, le Niger a une culture de consommation de lait et produits laitiers. La consommation globale augmente donc au rythme de la croissance démographique, d’où le besoin d’importation.
Ce contexte peu favorable à l’émergence d’une filière lait local dynamique a connu l’apparition des premiers centres de collecte de lait au Niger, dans le bassin laitier périurbain de Niamey (Hamdallaye en 2008, Kollo en 2012, Koné Kaina en 2016).
Les réalités dans le bassin laitier périurbain de Niamey montrent que le goulot d’étranglement de la filière lait local a glissé de l’amont (améliorer la production laitière) vers l’aval (difficultés de commercialisation).
Cette étude dans la zone d’étude (Kollo, Hamdallaye) doit répondre à la question de recherche suivante : Quelle incidence a l’implantation des centres de collecte sur l’évolution des systèmes d’élevage ? -
Le marché des produits transformés au Niger
L’étude a pour objectif de comprendre les comportements alimentaires des ménages et la demande des consommateurs urbains vis-à-vis des produits transformés locaux, et de préciser l’offre actuelle en produits transformés locaux.
Le rapport rend compte principalement d’une mission conduite au Niger dans les villes de Niamey et de Zinder en novembre 2017. Lors de cette mission, les points de vente de Zinder ont été visités et des entretiens et des focus group ont été conduits avec des consommateurs dans les villes de Zinder et de Niamey. Elle a été précédée par un inventaire des produits transformés locaux (ciblant les produits d’intérêt pour le FOPAT c’est-à-dire les céréales, les légumineuses et les oléagineux) dans la capitale conduit par les équipes du Gret.
Ce travail couplant inventaire dans les points de vente et entretiens individuels (EI) /focus groups (FG) pour recueillir le point de vue des consommateurs et identifier leurs motivations d’achat a été réitéré par l’équipe GRET dans les autres localités ciblées par le projet (Dosso, Maradi et Tahoua).
Le rapport compile les informations collectées dans les 5 localités enquêtées. -
De la dune fixée à la cuvette retrouvée
La cuvette oasienne peut se définir comme une unité géomorphologique spécifique, dépressionnaire, inter dunaire, de taille réduite (quelques ares à quelques hectares), à sols argileux. Elle présente une nappe d’eau provenant du lac Tchad, pratiquement affleurante ou proche et un écosystème caractérisé par deux à trois étages de végétation (dattiers, autres fruitiers et cultures annuelles par endroit). La présence de natron en son centre reste plus ou moins variable mais sans être systématique. Enfin on peut distinguer les cuvettes principalement agricoles et fruitières, les cuvettes pastorales et sylvicoles et les cuvettes de natron (présence de sol salé). Ces cuvettes sont menacées par l’ensablement. L’ensablement est un phénomène lourd de conséquences au Sahel : menace sur l’habitation et sur le maintien de la vie rurale, réduction de la capacité de production, contraintes fortes sur l’économie domestique, exode rural, etc. Ce document présente les réponses opérationnelles et sociales face à l’ensablement et les enseignements des activités de l’ONG Karkara à l’Est du Niger. -
Une brève histoire du pastoralisme dans les politiques publiques
Une relecture des politiques d’élevage en Afrique de l’Ouest et du Centre souligne l’héritage d’une situation déséquilibrée pénalisant encore l’élevage pastoral et implique la nécessité de poursuivre un dialogue autour d’une vision partagée entre pays sahéliens et côtiers en faveur d’un pastoralisme porteur de dynamisme économique et contributeur à la paix. -
Faisabilité d’un projet de développement des filières élevages dans les régions de Zinder et Diffa dans un contexte de changements climatiques Bounkassa Kiwo - Synthèse des analyses de vulnérabilités/adaptations par les acteurs du développement pastoral de la région de Diffa
Cette note constitue le compte rendu des échanges de l’atelier consacré à la région de Diffa qui a réuni une soixantaines d’acteurs du développement pastoral de la région de Diffa au cours de la phase 2 de l’étude de faisabilité du projet Bounkassa Kiwo impliquant le HC3N, le MAGEL, le MESUDD, le MHA et l’AFD. -
Proposition de Système National de Conseil Agricole
L’analyse historique du conseil Agricole au Niger montre qu’après une longue période de forte mobilisation de l’Etat de 1960 à 1998, culminant avec la mise en oeuvre du Programme de Renforcement des Services d’Appui à l’Agriculture, les pouvoirs publics se sont partielle-ment désengagés du conseil Agricole et les services techniques se sont repositionnés de fait sur leurs fonctions régaliennes. -
Systèmes de production durables en zones sèches : quels enjeux pour la coopération au développement ? - Synthèse
Le rapport sur les systèmes de production durables en zones sèches a été rédigé par un bureau d’études, sur la base d’un travail collectif qui a réuni des représentants d’organisations de la société civile, d’organismes de recherche, de l’administration et des établissements publics, avec un double objectif :
• rendre visibles les contraintes, les opportunités, et le potentiel pour un développement rural et agricole durable des zones sèches ;
• faire des recommandations en direction des décideurs et des acteurs de la coopération internationale au développement pour renforcer les politiques de soutien à la durabilité des systèmes de production de ces zones.
Ce rapport s’appuie sur un ensemble d’études de cas qui valorisent des expériences concrètes de coopération au développement et permettent d’étayer des propos plus théoriques. L’objectif est de proposer des pistes d’actions pour une gestion durable des agro-écosystèmes des zones sèches et leur intégration dans des stratégies d’adaptation et d’aménagement des territoires ruraux. Le rapport permet ainsi d’avancer sur la définition des enjeux de ces zones, notamment en termes de développement d’innovations techniques, de gouvernance des ressources naturelles et foncières, de mobilisation des communautés locales, d’appui aux agricultures familiales, de valorisation des produits agricoles des zones sèches et de renforcement des politiques publiques. -
Auto-évaluation du programme d’appui au secteur de l’élevage (PASEL - Phase 6 : 2010-2013)
La présente auto évaluation, située à six mois de la clôture du programme PASEL-phase 6 se déroulant de 2010 à 2013-, sur financement de la Coopération Suisse, a permis de recueillir les avis et les appréciations des différents acteurs sur les actions développées dans les régions de Dosso, Tillabéry (Filingué) et Maradi (Centre-Ouest du Niger).
L’exercice a consisté à solliciter les débats aux échelles locales, communales, régionales et centrales sur les effets directs et induits des actions de développement promues par le programme. Sur ce constat, couplé à diverses observations d’expertise, la mission a formulé des pistes d’orientations pour une éventuelle perspective de poursuite de la coopération entre la Suisse (DDC) et le Niger. -
Faisabilité d’un projet de développement des filières élevages dans les régions de Zinder et Diffa dans un contexte de changements climatiques Bounkassa Kiwo - Synthèse des analyses de vulnérabilités/adaptations par les acteurs du développement pastoral de la région de Zinder
Cette note constitue le compte rendu des échanges de l’atelier de Zinder qui a réuni une soixantaines d’acteurs du développement pastoral de la région de Zinder au cours de la phase 2 de l’étude de faisabilité du projet Bounkassa Kiwo impliquant le HC3N, le MAGEL, le MESUDD, le MHA et l’AFD.
Cette Phase 2 de la faisabilité correspond à l’identification du projet à proprement parler. Elle comprendra le diagnostic/ analyse des vulnérabilités, la cartographie des acteurs et l’identification des activités et les zones d’intervention potentielles du projet sur les deux régions.
Il s’agit notamment d’analyser les impacts attendus du changement climatique sur les régions de Zinder et Diffa pour les activités d’élevage, avec des propositions de mesures d’adaptation pour que le projet soit notamment construit comme une réponse à ces enjeux en considérant plusieurs scénarii d’évolution du climat. -
Améliorer l’accès des éleveurs à une alimentation du bétail de qualité pour augmenter la production laitière dans les Pays sahéliens d’Afrique de l’Ouest
Réfléchir aux possibles voies d’amélioration de l’alimentation du bétail dans les pays sahéliens implique de dépasser des visions technicistes simplistes et d’étudier les systèmes d’élevage dans la complexité de leurs relations à l’environnement et aux autres systèmes de production. Au-delà de politiques agricoles favorables à une artificialisation des conditions d’élevage peu adaptées aux caractéristiques de ces milieux, l’enjeu se situe dans une meilleure compréhension et reconnaissance de la place de l’élevage dans les territoires et dans l’identification des leviers à actionner pour valoriser une diversité de ressources locales dans l’alimentation animale. -
Faisabilité du projet d’appui au développement d’activités rurales et de financement de filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua
La présente Étude succède à une pré-identification réalisée par l’AFD avec le concours des partenaires nigériens lors d’une mission réalisée au Niger début février 2014. Le Comité d’Identification de l’AFD, dans sa session du 20 juin 2014, a confirmé la pertinence des activités proposées et a demandé que soit lancée l’instruction de leur financement en vue d’une présentation aux instances de décision en 2015.
Les termes de référence de la présente Étude ont fait l’objet d’une réunion de travail, organisée le jeudi 13 novembre 2014, ayant impliqué les différentes institutions directement concernées par le projet (Haut-Commissariat à l’Initiative 3N, Ministère de l’Agriculture, Ministère du Commerce et de la Promotion du secteur Privé, Ministère des Finances, Ministère de l’Elevage, Ministère du Plan, de l’Aménagement du Territoire et du Développement Communautaire, RECA).
L’Étude a pour objectif de réaliser une faisabilité pour le projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement de filières agricoles/agro-pastorales afin de sécuriser la production (dans la région d’Agadez) et de développer des pôles d’activités rurales autour des marchés de regroupement et de collecte de deux régions (Agadez et Tahoua). Cela implique de prolonger l’appui à la production par une action coordonnée en aval de la production, à la fois en termes de possibilités de débouchés pour écouler les produits destinés à la commercialisation, à travers la construction et la réhabilitation d’infrastructures de desserte, de stockage/conservation et de marchés, mais aussi par rapport à l’accès de ces possibilités aux populations rurales vulnérables. -
La répétition des crises alimentaires et nutritionnelles au Niger : la rénovation urgente des politiques de sécurité alimentaire
Après la crise alimentaire très médiatisée de 2005, le Niger a connu en 2010 une crise de plus grande ampleur. Cet article cherche à analyser pourquoi les populations nigériennes sont confrontées à la répétition de crises sévères à un rythme tendant à s'accélérer. La crise de 2005 a mis en évidence l'important décalage entre le modèle explicatif de la crise alimentaire retenu par le dispositif national de prévention et de gestion des crises alimentaires. -
Les politiques de préventions et gestion des crises alimentaires
Le Niger est confronté régulièrement à des crises alimentaires s’inscrivant dans un contexte de pauvreté chronique. Afin de les prévenir et d’en atténuer les effets, le gouvernement a mis en place, à l’instar des autres pays du Sahel, un Dispositif public commun, le Dispositif national de prévention et gestion des crises alimentaires (DNPGCA), réunissant auprès du Premier Ministre les principaux services concernés et les grands donateurs (l’Union Européenne, la France et le PAM étant plus particulièrement investis dans le soutien au dispositif). A la sortie de l’hivernage 2004, le Dispositif a lancé un programme d’actions pour atténuer l’impact des difficultés alimentaires qui se profilaient. La situation alimentaire continuant à se dégrader en début d’année 2005, des mesures radicales ont dû être prises en urgence et de nombreuses organisations sont intervenues pour secourir les populations vulnérables. La crise alimentaire 2004/05, marquée par une médiatisation que le Niger et le Sahel en général, n’avaient pas connue depuis plusieurs années, est apparue atypique dans son déroulement, dans son ampleur et dans les modalités de sa gestion. -
La formation continue des agriculteurs et agricultrices
Ce rapport présente les résultats de l’étude réalisée par l’Institut de Recherches et d’Applications des Méthodes de Développement(IRAM) pour le compte du Réseau international Formation Agricole et Rurale(RIFAR) : « La formation continue des agriculteurs et agricultrices - Éclairages sur les enjeux et nouvelles approches pour l’Afrique subsaharienne ». Le principal objectif de l’étude est de faire le point sur l’évolution de l’offre de formation continue destinée aux agriculteurs et agricultrices en Afrique subsaharienne au cours des quinze dernières années, tout en s’intéressant à des initiatives développées dans d’autres contextes. À travers l’analyse d’une diversité d’expériences, l’étude vise à identifier les éléments clés concourant à la qualité, au changement d’échelle et à la durabilité de l’offre de formation et sur lesquels les professionnels et responsables institutionnels de la formation agricole et rurale (FAR) devront porter une attention particulière dans le développement de futur(e)s politiques et dispositifs de formation continue. -
Revue des initiatives existantes en matière de gestion des risques agricoles au Niger
La plateforme pour la gestion des risques agricole (PARM), mise en place à l’initiative du G8 et du G20 et hébergée par le Fonds international de développement agricole (FIDA), fournit un appui technique aux gouvernements pour la gestion des risques agricoles. Le secrétariat de la plateforme PARM agit sur le continent africain dans le cadre d’un partenariat stratégique avec l’Agence du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) mis en place par l’Union africaine. Ce partenariat consiste principalement à accompagner le NEPAD dans son approche des risques agricoles, notamment en appuyant huit pays d’Afrique sub-saharienne, dont le Niger, dans l’élaboration d’un plan d’action de gestion des risques agricoles, selon une approche méthodologique harmonisée et un programme d’intervention déjà établi. -
Diagnostic des sites/systèmes de culture/systèmes de production intégrant la petite irrigation dans les régions d’Agadez, Tahoua et Tillabéri
Après deux phases successives de mise en œuvre de la valorisation des pratiques innovantes endogènes, de démonstration de technologies importées, et d’évaluation des performances et des potentialités des innovations dans ses régions d’intervention, le PromAP a perçu la nécessité, dans le cadre de sa composante 3, de réaliser une analyse approfondie des Systèmes de culture/Systèmes de Production mobilisant la PI en vue notamment de déterminer « les marges de manœuvre techniques mobilisables aux différents stades des itinéraires techniques pour contribuer à améliorer leurs performances agronomiques, économiques, et environnementales ». -
Diagnostic des sites/systèmes de culture/systèmes de production intégrant la petite irrigation dans les régions d’Agadez, Tahoua et Tillabéri / Rapport du diagnostic agricole dans la région de Tahoua
Pour la région de Tahoua, constituant l’objet du présent rapport d’étape, 50 sites agricoles de la PI sont identifiés à titre provisoire contre 137 sites répertoriés dans la base de données du PromAP/GIZ. Conformément à ces premiers résultats et, en se fondant sur la documentation collectée et les échanges avec diverses personnes ressources dont les experts du PromAP, six critères généraux ont été définis et retenus pour réaliser une typologie des sites agricoles de la PI : (i) le type de ressources en eau utilisées, (ii) la densité de la population, (iii) le degré d’intégration aux marchés, (iv) le degré du potentiel de développement de la PI, (v) le degré d’ancienneté du Site de la PI, et (vi) son mode de gestion. -
Stratégie de la petite irrigation au Niger : Évaluation Environnementale Stratégique
La Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) a été adoptée en Conseil des Ministres le 10 avril 2015 et son plan d’action a été validé en 2016. Afin d’intégrer au mieux les aspects environnementaux, sociaux et de changement climatique de la PI, les TdR (annexe 8.10) pour la réalisation de l’EES de la SPIN ont été élaborés et transmis le 6 mars 2020 au Bureau National d’Evaluation Environnementale (BNEE) afin que ce dernier procède à l’examen et au cadrage des TdR, conformément à la législation nationale. Dans le cadre du suivi de cette étude, un comité de pilotage a été mis en place le 8 avril 2020 (Arrêté N°160/MAG/EL/DIRCAB/SG/SP-SPIN du 8 avril 2020) constitué des parties prenantes de la SPIN avec 1 président, 1 vice-président, 2 rapporteurs et 18 membres. -
Rapport régional sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La disponibilité alimentaire est relativement satisfaisante, en raison des conditions agroclimatiques favorables, à l’issue de la campagne agro-pastorale 2020-2021. Il est ressorti en général que les productions agricoles et pastorales sont en hausse comparées à la moyenne quinquennale. Par contre, les conséquences de la pandémie de la COVID-19 et le ralentissement des demandes locales, régionale et internationale ont conduit à des baisses importantes de certaines productions de culture de rente, comme le Coton et le Cacao, entraînant ainsi une baisse de revenus tirés de ces cultures et une dégradation des moyens d’existence et des conditions de sécurité alimentaire de certaines populations.
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Évaluation Environnementale Stratégique (EES) de la Stratégie de la petite irrigation au Niger (SPIN)
La Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) définit la Petite Irrigation (PI) au Niger comme : « Toute exploitation hydro-agricole autonome de taille maîtrisée, individuelle ou collective, économiquement viable et écologiquement durable, aménagée avec des technologies adaptées au savoir-faire local » et ses domaines d’intervention sont : (i) les petits Périmètres d’Irrigation Privée (PIP) ; (ii) la Grande et Moyenne Irrigation Commerciale (GMIC) ; (iii) les Périmètres de Contre-Saison (PCS) ou Périmètres de Saison Sèche (PSS). L’objectif général est : « La sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations est améliorée ». -
Guide pratique de formation de brigadiers phytosanitaires sur la gestion intégrée des ennemis des cultures
Dans la région de Tillabéri, beaucoup de brigadiers phytosanitaires ont reçu dans les années antérieures des formations. Ces brigadiers phytosanitaires exercent leur métier dans des conditions dangereuses souvent ne disposant pas d’équipements nécessaires pour mener à bien les activités de traitements phytosanitaires et ils ne maitrisent pas tous les paramètres de traitement. Ils ont très peu de connaissances sur les ravageurs et maladies des cultures maraîchères (identification, stades critiques, différenciation des symptômes sur les plantes etc.) et aussi sur les produits homologués et leur utilisation. -
État des lieux de la prise en compte des transitions agroécologiques dans la fourniture des services de conseil Agricole au Niger (Synthèse)
L’agroécologie, sous forme de pratiques ou de systèmes, est belle et bien présente au Niger bien qu’elle soit trop peu soutenue par les politiques Agricoles qui préfèrent parler « d’agriculture durable » et « d’agriculture intelligente face au climat ». En particulier le Niger dispose d’une longue expérience en matière de gestion durable des terres, de pastoralisme et de sécurisation des systèmes pastoraux. Il existe également d’autres expériences d’agroécologie plus ponctuelles conduites par les femmes de CERNAFA (Djoga), par quelques OPA/OPEL, par des ONG, par des entrepreneurs sociaux, etc. Pourtant des transitions agroécologiques sont nécessaires au Niger, mais complexes à mettre en œuvre. Certaines sont même nécessaires de façon urgente pour sortir des impasses techniques dans lesquelles les systèmes intensifs en intrants sont enfermés ou pour résoudre
les crises agraires des systèmes pluviaux et pastoraux. -
État des lieux de la prise en compte des transitions agroécologiques dans la fourniture des services de conseil agricole (Rapport)
Différents travaux/études ont déjà été conduits au Niger sur des questions d’agroécologie (la plus récente étant une étude FAO de 2019). Différents travaux et études ont également été conduits sur le Conseil Agricole au Niger, en particulier dans le cadre de l’I3N et de la relance du Conseil Agricole depuis 2016 (et même avant dans le cadre de la SDR). En revanche cette étude sur la prise en compte des transitions agroécologiques dans la fourniture des services de conseil agricole est une première. Elle a été réalisée dans le cadre du projet ACOTAF simultanément dans cinq pays : le Niger, le Bénin, Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et la Guinée. S’agissant d’une première elle est forcément non-exhaustive, mais apporte des éclairages sur les questions suivantes : Où en est l’agroécologie aujourd’hui au Niger ? Quels sont les besoins de transitions agroécologiques selon les filières et territoires ? Où en est le Conseil Agricole aujourd’hui au Niger ?
Comment accompagne-t-il ces transitions agroécologiques ? Par ailleurs l’étude avait aussi une vocation méthodologique de développer des outils d’analyses. -
Bulletin mensuel de veille sur la vulnérabilité des exploitations agropastorales membres de l’APESS
Le contexte actuel lié à la pandémie du COVID-19 met à rude épreuve les stratégies et les projets de vie des exploitations familiales agropastorales. Au-delà du risque sanitaire qui s’ajoute au risque sécuritaire, les mesures drastiques prises par les États pour endiguer la propagation de la pandémie, vont aggraver la situation des exploitations familiales (EF) et des communautés agropastorales et engendrer une crise alimentaire et nutritionnelle sans précédent. L’APESS a décidé de suivre le niveau de vulnérabilité des Exploitations Familiales agropastorales membres de l’APESS. Dans le cadre de ce suivi de la vulnérabilité des Exploitations agropastorales, l’APESS a mis en place un dispositif de veille. Les informations collectées proviennent de huit (08) pays de la zone de couverture de l’APESS : Burkina Faso, Cameroun, Guinée Bissau, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Tchad (Figure 1). -
Étude régionale sur les contextes de la commercialisation du bétail / accès au marché et défis d'amélioration des conditions de vie des communautés pastorales
Dans le cadre de ses orientations actuelles, la SNV met en œuvre une approche d’appui conseil et de développement et partage de connaissances, afin de contribuer par là à la réduction de la
pauvreté. La région SNV Afrique de l’Ouest et Centrale (SNV-AOC)1 a choisi, entre autres, le secteur « Elevage/Pastoralisme » comme un de ses secteurs privilégié de réflexion et d’action. Chacun des pays concernés (le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali et le Niger) met en oeuvre des activités qui participent à la concrétisation d’une stratégie régionale « Elevage/ Pastoralisme », adoptée en Mars 2008, qui focalise particulièrement deux filières : (i) la filière « bétail sur pied » et la filière « lait ». -
Un modèle de dispositif de conseil multi-acteurs, porté par une filière locale et autour d'un acteur pivot, un centre de collecte laitier paysan multi-service
Au Niger, une grande réforme du conseil agricole a été lancée en 2016. Le nouveau système national de conseil agricole SNCA se base sur une multitude de dispositifs de conseil sur le terrain - publics, de la profession agricole et privés. Les dispositifs publics sont d’ailleurs aujourd’hui minoritaires. Parmi ces dispositifs, il existe des dispositifs originaux portés par la filière lait local autour de centres de collecte laitiers paysans multiservices. Les centres de collecte reposent sur cinq piliers : (1) un bassin de production à l’amont ; (2) la contractualisation avec un industriel à l’aval ; (3) une gouvernance paysanne ; (4) multiservices : approvisionnement, collecte/commercialisation, conseil ; (5) collecter, refroidir, contrôler la qualité et vendre du lait cru plutôt que de le transformer (ce ne sont pas des mini-laiteries). -
Jujubier
Le jujubier est plastique et rustique. Il aime les sols sableux à limoneux, bien drainés, de pH neutre ou légèrement alcalin. Il supporte une faible fertilité du sol et une grande variété de climats mais on le trouve principalement dans des zones avec une longue saison sèche. -
Nariindu 2 – Promouvoir le lait local au Sahel
Le lait cru du Niger n’est que très faiblement commercialisé alors que la demande urbaine est forte et en constante augmentation. Pourtant ceci n’est pas une fatalité. Depuis 2008 la filière lait local se structure progressivement, notamment grâce à la mise en place de « centres de collecte », l’installation de collecteurs privés, la contractualisation avec les industries laitières. En se coordonnant bien, tout le monde y gagne ! -
Code Rural du Niger et élaboration de la loi pastorale : une capitalisation d’expérience
Le présent rapport, conçu dans une présentation qui se veut être pédagogique, n’a pas la prétention de couvrir de manière exhaustive et holistique tout le contenu du Code rural, ni d’en faire un bilan. Il essaie d’identifier aussi bien les avancées enregistrées, que les difficultés d’application qui se sont déjà posées ou qui peuvent se poser tout au long de la mise en œuvre du Code rural. Il aborde aussi le cas de la loi pastorale, pour illustrer l’implication des organisations de la société civile, leur niveau d’influence et la manière dont elles ont participé au processus d’élaboration des textes. Enfin, la conclusion propose quelques recommandations pour dégager des perspectives quant aux acquis actuels et défis restant à relever. -
Faisabilité d’un projet de développement des filières élevages dans les régions de Zinder et Diffa dans un contexte de changements climatiques Bounkassa Kiwo : Région de Zinder
Cette note constitue le compte rendu des échanges de l’atelier de Zinder qui a réuni une soixantaine d’acteurs du développement pastoral de la région de Zinder au cours de la phase 2 de l’étude de faisabilité du projet Bounkassa Kiwo impliquant le HC3N, le MAGEL, le MESUDD, le MHA et l’AFD. -
La Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel : Une mosaïque de pratique durables d'utilisation des terres pour renforcer la résilience locale à la dégradation des terres et aux changement climatiques dans 20 pays
Dans la région sahélo-saharienne la vie de millions de personnes dépend de la productivité des terres dans les zones arides. Cette précieuse ressource naturelle est non seulement à la base de la sécurité alimentaire et de la production agricole, mais elle génère aussi de l’emploi et atténue les crises sociales pour les populations vulnérables les plus pauvres de la région. -
Les centres de collecte laitiers paysans multiservices au Niger : le maillon manquant pour permettre le développement de filières lait locales
Depuis les années 1990, développement de nombreuses UTL semi-industrielles voire industrielles à Niamey pour répondre à la forte demande locale. -
Evaluation des effets des opérations 2018 mises en oeuvre par le Dispositif national de prévention et de gestion des crises alimentaires (DPNGCA)
Le Plan de Soutien 2018 du Gouvernement et de ses partenaires a prévu d’intervenir en faveur des groupes de population en insécurité alimentaire et nutritionnelle (une cible totale de 1.624.000 personnes en Insécurité Alimentaire Sévère (IAS) et 2 238 000 personnes en Insécurité Alimentaire Modérée (IAM)) en combinant des actions de prévention, d’urgence et de réhabilitation. Parmi l’ensemble des 14 opérations prévues1
dans le cadre du Plan de Soutien du Dispositif de Prévention
et de Gestion des Crises Alimentaires (DNPGCA). -
État des lieux de la filière cuirs et peaux du Niger et identification des possibilités de création d'alliances productives des acteurs de la filière dans les 5 bassins de production
La présente mission qui intervient quelques mois après le démarrage du programme PCAO-Niger, s’inscrit dans le cadre de l’Identification des possibilités de création d’alliances productives des acteurs de la filière cuirs et peaux dans les 5 bassins de production et état des lieux de la filière. Elle permettra de préparer la mise en place des alliances productives dans les 5 grands bassins de production du Niger que sont Zinder, Tahoua, Maradi, Niamey et Agadez, ainsi que de faire un état des lieux de la filière C&P. -
Monter des panneaux solaires en série ou en parallèle ?
Le choix du type de montage de panneaux dépend de l’objectif visé. Si l’on veut augmenter la tension délivrée (V), on montera les panneaux en série. Si l’on cherche à augmenter l’intensité (A), on réalisera un montage en parallèle. Il est possible de combiner des montages en parallèle et en série pour augmenter la tension et l’intensité de l’ensemble. Il faut choisir des panneaux de mêmes caractéristiques pour ne pas réduire la performance de l’ensemble. -
Comment extraire une pompe immergée dans un forage ?
L’extraction d’une pompe immergée est nécessaire pour la nettoyer, la réparer ou la remplacer. Cette opération délicate doit
toujours être effectuée pompe arrêtée et alimentation électrique déconnectée du coffret. Plusieurs personnes doivent opérer
de façon coordonnée pour ne pas casser le tuyau ni coincer la pompe dans le forage. -
Comment nettoyer puis replacer une pompe dans un forage ?
Pour nettoyer la pompe, il est recommandé de se munir d’un chiffon, d’une éponge, d’une brosse métallique, et d’une bassine d’eau savonneuse. Il faut plusieurs personnes pour remettre en place la pompe dans le forage. -
Comment installer et entretenir un champ solaire ?
Cette affiche montre comment nettoyer correctement un champ de panneaux solaires -
Comment entretenir une pompe immergée dans un puits ?
Ce poster explique comment entretenir une pompe immergée dans un puits -
Yaya ya kamata ku ɗora fayafan dake aiki da hasken rana a jere
ko kuma daban daban ?Le choix du type de montage de panneaux dépend de l’objectif visé. Si l’on veut augmenter la tension délivrée (V), on montera les panneaux en série. Si l’on cherche à augmenter l’intensité (A), on réalisera un montage en parallèle. Il est possible de combiner des montages en parallèle et en série pour augmenter la tension et l’intensité de l’ensemble. Il faut choisir des panneaux de mêmes caractéristiques pour ne pas réduire la performance de l’ensemble.
Zaɓen yadda za’a ɗora na’urorin dake aiki da zahin rana ya danganta da gurin da ake son cimma. Idan ana son a kara karhin
daga bangren A, ya kamata a ɗora na’urorin ɗaya na kallan ɗaya. Ana iya hada na’urorin dake kallon juna hura daya sanan
kuma a jere don a ƙara karhin da kuma garkon fayafan ga baki daya. Ya kamata a zaɓi fayafen da keda aiki ɗaya don kar karhin
nasu ya rage. -
Yaya ya kamata a fi dda cibiyyar pompon da ta nitse cikin rijiya ko forage ?
L’extraction d’une pompe immergée est nécessaire pour la nettoyer, la réparer ou la remplacer. Cette opération délicate doit
toujours être effectuée pompe arrêtée et alimentation électrique déconnectée du coffret. Plusieurs personnes doivent opérer de façon coordonnée pour ne pas casser le tuyau ni coincer la pompe dans le forage.
Fitarda cibiyyar pompon da ta nitse domin a wanketa,a gyarata ko kuma a sauyata. Wanan aikin mai wahala ya kamata idan
za’a yinshi a dakatarda pompon da hanyoyin janyo wutar daga cibiyyar. Ya kamata mutane su hada karhin su ta yadda ba zasu
karya tuyon ba ko kuma su matse cibiyar pompon. -
Yaya ne ya kamata ayi don a wanke cibiyar pompo kuma a sake
mayarda ita cikin rijiyar ?Pour nettoyer la pompe, il est recommandé de se munir d’un chiffon, d’une éponge, d’une brosse métallique, et d’une bassine d’eau savonneuse. Il faut plusieurs personnes pour remettre en place la pompe dans le forage.
Idan kuna son ku wanke cibiyar pompo, ya kamata ku samu wani hinkici. Da magurjin ƙarhe da kuma roba cike da ruwa sabulu. Wajan maida cibiyar cikin rijiya,ya kamata ku nemi taimakon
jama’a saboda mutun ɗaya ba zai iya ba. -
Yaya ne ya kamata ku girka da kuma tattalin ingin dake aiki da hasken rana ?
Kulawar da zakuma fayafan ku dake aiki da hasken rana, shi zai sa su kara inganci ! -
Mate no i ga te ga pompi kaŋ go fooraazi ra ka ?
I hima ga pompi kaŋ go fooraazi ra ka ga nyum, ga hanse wala ga barmay. Goy no kaŋ ga sandi. Goy no kaŋ i ga te waati kaŋ pompo si ga goy, waati kaŋ mo kuuraŋo i na a kayandi. Boro boobo ne hima ga goy care bande ga du ga goyo wo gasu zama da i goy care bande, tuyya si bagi, pompo si deeji fooraazo ra. -
Mate kaŋ i ga pompi ɲum nda, nda mate i ga a yeeti fooraazi ra
Da araŋ ga ba ga pompi ɲum, araŋ hima ga bara nda zaara-zaara, eponzu, guuru boros nda babbakaan kaŋ ra hari kaŋ ra i na safun kar go. I ga ba, araŋ ma boro yaŋ soola kaŋ ga araŋ ga, araŋ ma pompo yeeti fooraazo ra. -
Mate kaŋ i ga wayno dijey batama soola nda mate kaŋ i ga a hallasi nda ?
Araŋ ma bay kaŋ wayno dijey batama hallasi yaŋo no ga naŋ boro ma du kuuraŋ hanno -
Mate no i ga te ga day ra pompi hallasi nda ?
Ce poster explique comment nettoyer une pompe immergée dans un puits -
Akənni ən fukǎn ən temse ən tufuk daɣ anməlkǎm d əsəmmîdəɣ ən ɣûnǎn?
Asənnəfrəfrən n assaɣ ən temse əntufuk yəqqǎn dǎɣ arǎt wa yəsâmadrǎn awedəm. Ammas awedəm yara ašîti n əssəxi ən temse tan (V), tətâwasaɣ temse dǎɣ anməlkǎm . Ammas awedəm yara taygǎt ən temse ta ṭəṭâwaṣaknit s (A), əndaba akənni n əṣəmmîdəɣ. Yəfrag ad yatwaggu asəmməqqəs n əššin kənniṭǎn, asəmmîdəɣ d azəmməzîzər fel ašiti ən aṣṣâxǎt d igət ən temse kullu da.Ǝndaba ad əmməkkalǎn ifaɣerǎn tufuk ôlânin ciɣurwen fel ma yəfnaẓ əlluɣ n akənni ən temse ket-net. -
Mənənka as d əṭâwakkaṣ analmam n aman yəlmâɣǎn daɣ eder n anu?
Ukəṣ n analmam n aman yəlmâɣǎn daɣ eder n anu yəmmikkǎn fel ad yâšəm, yaknu meda yatwaggu iyyǎn dəg edag-net.way əšsəɣəl wər ərrəɣiṣ, igi-net əndaba yəraz analmam n aman əd temse daɣ əṣṣənduq.Way əššəɣəl aɣalak farornin ad tu taggin addewǎn fel ma ərẓǎn amazzergəz n aman meda ma ənmâwalǎn d analmam n aman daɣ eder n anu. -
Mənənka as yətâšam analmam n aman yətwəsîɣəl daɣ eder n anu ?
Ammas taram ašušum n analmam n aman, əndaba təgrawam efatas,tasəməst, d ašaššarenki ən tazôli d aɣlal ahan aman n assabun. Əndaba aɣalak farornin a tagginin analmam n aman daɣ eder n anu. -
Mənənka s yətâwaggu asaggawar d aḍḍǎn ən ifaɣerǎn temse ən tufuk?
Aḍḍǎn ən faɣerǎn temse ən tufuk yətaway du əššəɣəl yolâɣǎn ! -
Asaggawar wa yəkkârǎn: ifaɣerǎn ən tufuk, aɣlǎl n aman (šâto) analmam n aman yəlmâɣǎn əd məzzərgaz n aman ?
Ce poster montre comment retirer et nettoyer une pompe immergée dans un puit -
Atelier de diagnostic des Organisations de Producteurs du PromAP
Le présent rapport propose d’aborder dans un premier temps les principales évolutions des stratégies d’appui et d’accompagnement des SCOOP dans les sites de petite irrigation dans le cadre du PromAP. Ensuite, le bilan de l’atelier et l’analyse de l’état des lieux des SCOOP réalisé au cours du premier semestre 2021, permettent de mettre en avant les principales difficultés et opportunités pour favoriser l’opérationnalisation des SCOOP et notamment sur les aspects de redevabilités à leurs membres pour finalement proposer des scenarii d'action -
Rapport de mission d’appui à l’opérationnalisation du SNCA et de l’APCA – Préparation du contrat de performance de la FCMN Niya et appui à l’installation de la DG APCA
Une mission d’appui à l’opérationnalisation du SNCA et de l’APCA a été réalisée en septembre 2019 au travers du PromAP. La mission visait (i) à appuyer la prise de fonction de l’équipe de la DG APCA, (ii) à élaborer une démarche pour préparer des contrats de performance avec les OP et (iii) à rédiger le premier contrat de performance avec la FCMN-Niya.
La mission a comporté une retraite de 4 jours de la DG APCA à Dosso, une rencontre DG APCA – profession agricole (RECA et 6 faitières nationales d’OP), des rencontres avec la FCMN-Niya, d’autres rencontres (DCD, AT CRS-SANAD, PromAP) et une restitution au comité ad-hoc. -
Rapport de mission - « Conception d’un dispositif de certification des formateurs dans le domaine de la petite irrigation au Niger »
Les objectifs spécifiques de la mission objet du présent rapport étaient les suivants :
1) Elaborer une proposition de cahier des charges d’un dispositif national de certification des compétences / formateurs / institutions de formation en petite irrigation, explicitant les types de certification accordés selon l’objet certifié (compétences socles, formateurs, institutions de formation), les acteurs impliqués et leurs rôles respectifs dans le processus de mise en place, d’animation, et de contrôle du dispositif national de certification ; les modalités d’octroi d’une certification tenant compte d’une possible validation spécifique d’acquis professionnels ; les modalités de communication autour du futur dispositif de certification en vue de renforcer l’attractivité des formations certifiées, etc.
2) Elaborer une feuille de route et un plan d’action en vue de mettre en place et opérationnaliser le dispositif de certification des compétences / formateurs / institutions de formation en petite irrigation -
Appui au développement de partenariats avec des dispositifs de Conseil dans le cadre du PromAP 3
Le présent rapport se propose d’aborder dans un premier temps l’approche d’identification et de sélection des dispositifs de conseil partenaires du PromAP III, à partir des précédents travaux de recensement et d’analyse de ces dispositifs dans les régions d’intervention du PromAP. Ensuite, la synthèse des entretiens réalisés (diagnostic approfondi) permet à la fois de compléter la réflexion sur l’approche avec des éléments contextuels des régions (forces en présences, l’articulation possible entre elles et les lacunes à combler), mais également d’analyser les stratégies de chaque acteur en matière de conseil agricole afin de faire émarger les « projets de conseil » au sein de ces acteurs et les confronter aux objectifs et à l’approche du PromAP. -
Rapport de mission d’appui à l’opérationnalisation du SNCA –
Appui à la validation et à l’opérationnalisation des diagnostics et plans d’actions régionaux du conseil agricoleUne mission d’appui à l’opérationnalisation du SNCA a été conduite par le consortium ECO/Iram/AFC dans le cadre du PromAP III du 22/04 au 4/05/2019. La mission visait les objectifs suivants :
1. Partager au niveau national les diagnostics et plans d’actions régionaux des SRCA et en valider la synthèse nationale ;
2. Appuyer l’identification et l’élaboration des éléments complémentaires (projets de conseil du niveau national et activités transversales) ;
3. Entamer l’élaboration des contrats de performance, notamment sur le plan méthodologique ;
4. Faciliter le démarrage de l’assistance technique internationale fournie par le PromAP à l’APCA/MAGEL. -
Démarches de ciblage des pasteurs vulnérables dans la gestion des crises alimentaires et pastorales : état des lieux et propositions
Le sahel a été émaillé, au cours des quarante dernières années, par des crises alimentaires récurrentes. Ces phénomènes considérés autrefois comme exceptionnels (années 70 et 80) sont actuellement de plus en fréquents (2005, 2009, 2011). Les sécheresses mettent à mal tous les efforts des producteurs et particulièrement des pasteurs : lorsque le troupeau disparaît, c’est la totalité des moyens de subsistance des familles qui s’effondre. L’aide humanitaire cherche à apporter un soutien aux mécanismes sociaux de solidarité existant dans les sociétés locales, lorsque ceux-ci deviennent insuffisants. Les intervenants, que ce soit les États, les organisations inter nationales ou les ONG ont souvent des moyens limités pour palier la dé structuration des mécanismes endogènes. Le ciblage des ménages et individus les plus vulnérables est une étape incontournable pour que l’aide soit canalisée sur les plus démunis. -
Étude de l’impact de la hausse des cours du lait et des produits laitiers sur les producteurs et les consommateurs
Le lait et les produits laitiers importés sont restés à des prix largement compétitifs par rapport au lait local et cette situation n’a pas été favorable à la mise en place de politiques de soutien à la filière laitière nationale, d’autant que les volumes étaient facilement accessibles sur le marché international. Cette situation a contribué à la paupérisation des éleveurs : faible optimisation de la production laitière dans les revenus des producteurs, incapacité à subvenir à leurs besoins de base, à investir pour améliorer leur production. -
Stratégie Régionale Climat (SRC) de la CEDEAO et Plan d’actions (2022-2030)
Représentant actuellement seulement 1,8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES)2, les pays de l’espace CEDEAO contribuent de façon très faible au réchauffement climatique. Pour autant, le continent africain se situe au cœur des enjeux des changements climatiques de cette première moitié du 21ème siècle. Selon les scenarios les plus pessimistes, l’Afrique de l’Ouest connaîtra, d’ici à 2060, une augmentation de température de +2,3°C, soit un réchauffement de +0,6°C par décennie. Les précipitations seront quant à elles, plus erratiques et entraineront un accroissement de la fréquence et de l’intensité des aléas climatiques extrêmes déjà connus dans notre région : inondations, variabilité pluviométrique accrue, érosion côtière et des sols dans les bassins fluviaux, poches de sécheresse extrêmement longues, entre autres corollaires , avec des conséquences humaines et économiques dramatiques sur l'ensemble des secteurs économiques et sur les populations les plus vulnérables, dont notamment les femmes, les jeunes et les personnes âgées. -
Livret sur les techniques de conservation et gestion des matières premières et des produits transformés
Généralement, le traitement est fonction du type d’infestation ou d’attaque. Il existe des traitements traditionnels qui donnent de bons résultats mais qui ont aussi leurs contraintes. Ce que l’on peut dire au sujet des traitements curatifs modernes, c’est que pour y procéder, il faut s’entourer de ces précautions : demander les services de personne qualifiée (par exemple les services de l’agriculture) ; lorsqu’un produit est utilisé, lire attentivement la notice et s’y conformer ; si le traitement l’exige, il faut respecter le délai requis avant de consommer les céréales traitées sinon ils peuvent occasionner des drames (maladies, décès) ; d’une façon générale, au cours des traitements, il est déconseillé de boire, fumer, manger, chiquer. Il est conseillé de bien se protéger (port de gants, casques, masques pour le nez…) de bien se laver après le traitement, de détruire ou d’enfouir assez profondément dans le sol, les contenants des produits utilisés (bidons, sachets…), de se rendre immédiatement au poste de santé le plus près en cas de malaise avec la notice du produit utilisé pour aider rapidement à identifier le mal et à le traiter. -
Mémento technique et économique du maraichage à Kimwenza (Kinshasa) : pratiques agricoles et fiches cultures
La production des plants sains et robustes en pépinière maraîchère constitue la première clé de la réussite d’une culture. Il est donc judicieux de placer les plants dans un environnement sain du semis au repiquage. A cet effet la pépinière surélevée (dite « sur table » ou « sur pilotis ») est la plus indiquée, particulièrement en saison des pluies. -
Étude du marché des produits laitiers 100% nigériens à base du lait local
Niamey dispose d’un secteur de transformation laitière dynamique en raison d’une forte consommation locale. Elle compte trois unités de transformation laitière de type industriel, et plusieurs autres unités de type semi-industriel ou artisanal (y compris de type mini-laiteries). Les grandes laiteries industrielles se sont détournées du lait local faute d’interlocuteurs fiables et d’offre satisfaisante en quantité et en qualité. Mais la filière lait, telle qu’elle est structurée actuellement, n’est pas viable : importation de lait de pays lointains, prix du lait en poudre volatils, vulnérabilité des milliers d’éleveurs locaux. Or l’industrie laitière, contrairement aux mini-laiteries (elles aussi dépendantes de la poudre de lait), est en mesure de collecter le lait auprès d’un grand nombre d’éleveurs. Dans l’optique de promouvoir le dialogue interprofessionnel et l’intégration des femmes au processus décisionnel de la filière lait local, le projet Nariindu a accompagné l’émergence de cadres locaux de dialogue autour de centres de collecte, regroupant les producteurs, les collecteurs et les auxiliaires d’élevage, fédérant également les autorités traditionnelles locales et les représentants des organisations de producteurs faîtières. -
Relations Genre dans la filière lait périurbaine de Niamey : cas des bassins liatiers de Hamdallaye, Kollo, Say et Niamey
Dans beaucoup de pays sahéliens (Mali, Niger, Burkina, Sénégal), la modernisation de la filière laitière à travers la création de centres de collecte, de minilaiteries ou d’industries laitières a entrainé un bouleversement de l’organisation sociale traditionnelle du système laitier. C’est le cas pour la plupart des zones périurbaines de ces pays. Dans la zone périurbaine de Bamako, par exemple, on parle de « déféminisation » de la filière laitière car certaines femmes sont dépossédées de l’activité de collecte - commercialisation et de la gestion des revenus du lait au profit des bergers (collecteurs) ou propriétaires hommes. Ce processus susceptible de contribuer à la perte de l’autonomie financière des femmes entraine de plus en plus les projets de développement laitier à discuter des implications sociales des innovations qu’ils proposent. C’est dans le même ordre d’idées qu’une optique « genre » constitue pour le projet Nariindu une base importante impliquant la prise en compte des relations entre l’ensemble des acteurs hommes/femmes, les questions de genre et les rapports de pouvoir sur le lait au sein des ménages. -
Capitalisation d’expériences de collecte et de mise en marché du lait local par des organisations d’éleveurs pastoraux et agropastoraux
Le présent rapport vise à décrire des expériences de valorisation du lait local au Mali. Les descriptions sont issues des ateliers nationaux et d’entretiens avec des porteurs de projet et des ONG qui les accompagnent. Cette analyse a permis de mieux faire connaître ces initiatives aux partenaires du projet NARIINDU et notamment aux membres du RBM. Elle a permis d’alimenter les échanges lors de l’atelier régional à Niamey. -
Rapport de mission : clôture de projet de capitalisation, Atelier final
Dans le cadre du volet « capitalisation » (RA4) du projet Nariindu, RBM a la responsabilité de l’organisation d’un atelier de partage d’expériences sous-régionales, s’appuyant sur les premières conclusions des études pays et sur la synthèse du LARES. Célia Coronel, en tant que responsable « capitalisation » du projet Nariindu, assure un appui technique à RBM et au LARES, et réalisera dans ce cadre des appuis directs à l’occasion de sa mission : appui à la finalisation des rapports pays et de la synthèse du LARES, appui à l’organisation de l’atelier sous-régional, appui à l’animation de l’atelier. -
Etude de rentabilité du centre de collecte de lait crue de Kollo
La présente étude de rentabilité du centre de collecte de Kollo s’inscrit dans la volonté du consortium IRAM-VSF/Belgique-AREN-RBM-Karkara à mieux appréhender les aspects financiers de la collecte du lait cru, dans le cadre de son partenariat avec la Coopérative d’éleveurs Kawtal de Kollo. Le projet Nariindu mettra en œuvre une approche d’investissement et d’appui conseil, afin de contribuer à la restructuration de la filière lait cru de Kollo autour d’un centre de collecte et par là, de contribuer à l’accroissement des revenus des familles d’éleveurs et la réduction de la pauvreté dans le bassin laitier de Kollo. -
Analyse genre sur l'exploitation du lait : sites encadrés par le PSEAU
Le Projet PSEAU, a pour objectif de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire de la population de Niamey et à la réduction des importations de produits alimentaires. A l’issue d’un re-profilage en 2006, le projet a recentré ses activités sur les filières laitières et maraîchères. Les activités sont concentrées au niveau d’un centre de collecte placé à Hamdallaye, à une trentaine de kilomètre de Niamey. Pour cette phase, l’objectif intermédiaire est d’accroître l’approvisionnement de la ville de Niamey en produits laitiers de haute qualité grâce à la maîtrise du circuit d’approvisionnement de lait frais de la commune de Hamdallaye et la promotion de la filière en amont et en aval. -
Programme de promotion de l'agriculture familiale en Afrique de l'Ouest
L’objectif spécifique est l’appui à la collecte, au contrôle de la qualité et à la commercialisation du lait local en périphérie de Niamey, par un dispositif innovant de centres de collecte multiservices, contrôlés par les éleveurs locaux. -
Mission d’appui au projet Nariindu : Bilan de l’année 2014 des deux centres de collecte et perspectives de viabilité
Hamdallaye et Kollo sont actuellement les plus grands centres de collecte de lait cru auprès des éleveurs au Niger. En pic de collecte ils collectent chacun plus de 1.000 litres / jour. Les volumes collectés sont en augmentation pour les deux centres et devraient continuer à augmenter. Par ailleurs la forte demande en lait cru sur Niamey n’est toujours pas satisfaite et représente une opportunité pour les éleveurs. Un partenariat avec Solani - le principal client des centres qui souligne la qualité du lait fourni par les centres – se développe actuellement. Les quantités collectées sont cependant très variables au cours de l’année avec un pic de collecte en janvier-février-mars et un creux de collecte pendant l’hivernage de mai à septembre. -
Analyse prospective de la chaine de valeur niébé au Niger
Le niébé est une denrée importante de base dans toute l’Afrique subsaharienne, particulièrement dans les savanes arides de l’Afrique de l’Ouest. Ses graines représentent une précieuse source de protéines végétales, de vitamines et de revenus pour l’homme, et ses fanes et cosses un excellent fourrage pour les animaux. Les feuilles juvéniles et les gousses immatures sont consommées sous forme de légume. Par ailleurs le niébé est très résistant à la sècheresse (plus que le mil et le sorgho) et un bon fixateur d’azote aérien, ce qui en fait un bon partenaire pour la culture en association avec le mil ou le sorgho telle qu’elle est pratiquée majoritairement au Niger. -
Analyse approfondie de la chaine de valeur oignon au Niger 2021-2030
La CDV Oignon est devenue aujourd’hui un enjeu essentiel non seulement pour le Niger, mais pour toute la région de l’Afrique de l’Ouest. En effet, l'oignon constitue la principale spéculation agricole pour laquelle le Niger possède un réel avantage comparatif par rapport aux autres pays de la sous-région, et sa compétitivité sur ces marchés sous régionaux lui confère une place importante dans les cercles familiaux et dans l'économie nationale. Le Niger est classé parmi les premiers pays producteurs d’oignons de l’Afrique de l’Ouest et est le plus grand exportateur d’oignons de la région. Sa culture, qui a une longue histoire au Niger, devient de plus en plus importante comme un produit de rente et joue un rôle important dans le système alimentaire du pays. Mais les défis et goulots d’étranglement ne manquent pas dans la filière. -
Analyse prospective de la chaine de valeur bétail viande (bovins, ovins, caprins) au Niger 2021-2030
La promotion des chaînes de valeur alimentaire représente l’une des stratégies permettant d’améliorer directement la sécurité alimentaire et de réduire significativement la pauvreté en Afrique. La Délégation de l'Union européenne au Niger compte développer pour 2022-2027 un programme de soutien aux chaînes de valeurs agro-sylvo-pastorales les plus porteuses en ligne avec la « Déclaration de Malabo sur l'accélération de la croissance et de la transformation agricoles pour une prospérité partagée et de meilleures conditions de vie ». La présente étude vise à fournir un état des lieux actualisé de la chaîne de valeur bétail-viande, tout en analysant l’impact d’un scénario prospectif à l’horizon 2030. -
Analyse prospective de la chaine de valeur gomme arabique au Niger 2021-2030 : une dimension environnementale à valoriser
Les forêts d’acacias ne sont pas seulement une source pertinente de moyens de subsistance pour de nombreux ménages du Sahel, elles jouent également un rôle clé dans l’atténuation du changement climatique et la résilience – séquestrant une quantité importante de carbone et fournissant d’importants services écosystémiques, notamment la conservation de l’eau, le contrôle de l’érosion et l’amélioration des sols. Il existe au Niger des conditions écologiques particulières, favorables et localisées permettant le développement de ressources forestières dont l’acacia qui méritent d'être valorisées. C’est pourquoi le gouvernement de la 7ème République accorde une place importante à la promotion des Produits forestiers ligneux et non ligneux qui constitue le Programme 7 de l’initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens » -
Analyse approfondie de la chaine de valeur riz au Niger 2021-2030
La promotion des chaines de valeur alimentaire représente l’une des stratégies permettant d’améliorer directement la sécurité alimentaire et de réduire significativement la pauvreté en Afrique. En Afrique de l’Ouest, le riz est la source alimentaire qui croît le plus rapidement. Le taux de croissance de la demande en riz en Afrique de l’Ouest dépasse de loin la croissance de la population de la sous-région. La Délégation de l'Union européenne au Niger compte développer pour 2021-2027 un programme de soutien aux chaînes de valeurs agro-sylvo-pastorales les plus porteuses en ligne avec la « Déclaration de Malabo sur l'accélération de la croissance et de la transformation agricoles pour une prospérité partagée et de meilleures conditions de vie ». Le soutien à la chaine de valeur riz sera aligné avec la Stratégie Nationale de Développement de la Riziculture, SNDR/NIGER 2021-2030. La présente étude vise à fournir un état des lieux actualisé de cette chaîne de valeur riz, tout en analysant l’impact des différents scénarios envisageables. -
Proposition d'actions pour le développement des de chaines de valeurs et de micro-entreprises agroalimentaires au Niger
Ce document est le dernier volet d’une étude réalisée en 2021-2022 dont l’objectif a été de sélectionner puis d’étudier en profondeur six Chaînes de Valeur (CDV) Agro Alimentaires prometteuses en vue d’appuyer leur développement durant les 5 à 10 années à venir. En conclusion de ces études, le présent document présente les diverses interventions réalisables pour développer ces six Chaînes de Valeur. 21 Chaînes de Valeur ont d’abord été présélectionnées, puis analysées selon de nombreux critères pour déterminer lesquelles étaient les plus à-même de pouvoir se développer rapidement dans un proche futur, une fois leurs contraintes courantes levées par la mise en œuvre d’interventions ciblées. Ce processus de sélection a fait intervenir un panel de spécialistes nigériens de toutes origines, afin d’en valider les résultats, avant de débuter les analyses approfondies. -
Analyse approfondie de la chaine de valeur moringa au Niger
Le Moringa est un arbre assez exceptionnel, résistant à la sécheresse mais de croissance très rapide sous pluie en saison (les feuilles tombent en saison sèche) et sous irrigation toute l’année. Il est très riche en éléments nutritifs essentiels (protéines et acides aminés, vitamines, sels minéraux) dans toutes ses parties (feuilles, graines, racines, branchettes et écorce), et est utilisé comme légume (consommable cru ou cuit), complément alimentaire (poudre, épice) ou sous forme de thé / infusion. De plus, une huile fine est extractible de l’amande de la graine et a des vertus officinales et cosmétiques reconnues et recherchées. -
Comment l'utilisation des technologies de l'information et de la communication transforme-t-elle les dispositifs de conseil? Une enquête auprès de seize (16) services au Burkina Faso
Depuis une dizaine d’années, les termes « E-Agriculture », « ICT4Ag » ou « M-Agri » sont de plus en plus fréquemment utilisés pour rendre compte de l’utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) – et notamment les téléphones portables – dans le secteur agricole. Ces concepts se sont fortement popularisés suite à une étude conduite par la FAO en 2006 et à la création de sites internet permettant l’échange au sein de communautés de pratiques1. Des études recensant les initiatives en la matière dans les pays du Sud soulignent le potentiel de ces technologies, couvrant un champ très large allant au-delà de la fourniture d’informations aux agriculteurs : services financiers, automatisation de tâches, traçabilité et sécurité alimentaire, gestion des risques, gestion des ressources collectives … (voir par exemple FAO, 2013 ; FAO, 2015 ; World Bank, 2012 ; World Bank, 2017). -
Génération agroécologie : démarches multi-acteurs pour le développement de l'agroécologie en Afrique de l'Ouest
Les journées multi-acteurs pour le développement de l'agroécologie en Afrique de l'Ouest ont été organisées par la Task Force multi-acteurs pour la promotion de l'Agroécologie au Sénégal (TaFAé), sous l'impulsion de la plateforme de recherche SREC et de la PFONGUE et avec le soutien de l'IRD, de l'UE et de la FAO. -
Bonnes pratiques d'hygiène du lait, porter attention à
la santé des animauxL’éleveur doit surveiller l’état de santé de ses animaux
(faire appel à un vétérinaire en cas de maladie).
• Pratiquer régulièrement des dépistages.
• Prendre contact avec les autorités compétentes
pour connaître les mesures à appliquer.
• Pasteuriser le lait avant consommation
ou transformation -
Enquête sur les banques céréalières de la région de Tillabéri : méthodologie et résultats
L'objectif de ce document est de valoriser le travail d'enquête effectuées sur les banques céréalières de la région de Tillabéri par le Service Régional de l'Action Coopérative et de Promotion des organismes ruraux (SRAC/POR) en :
- présentant les méthodes employées et des éléments permettant de pérenniser ce travail dans la région de Tillabéri et de l'étendre aux autres régions du pays,
- présentant les principaux résultats de ces enquêtes et leur analyse. -
Stratégie de conservation de la girafe d'Afrique de l'Ouest
Au début du XXe siècle, la girafe d’Afrique de l’Ouest (Giraffa camelopardalis peralta) était répandue du nord du Sénégal au nord-ouest du Nigeria. Dans les années 1930, l’aire de distribution était déjà réduite (Figure 1). Et dans les années 1990, il ne subsistait plus qu’une seule population au Niger. Cette population est confinée dans la zone de Kouré et Dallol Bosso Nord à 60 km à l’est de Niamey. Plus récemment, et en réponse aux contraintes alimentaires, des groupes de girafes ont commencé à migrer pendant la saison des pluies vers d’autres zones, par exemple plus au nord vers Fandou et Ouallam (Ciofolo et al., 2000 ; AWF 2013 ; Giraffe Conservation Foundation 2015). -
Accès aux marchés, défis à relever pour améliorer les conditions de vie des communautés pastorales
La présente étude s'inscrit dans l'optique de l'amélioration, la connaissance et la compréhension du fonctionnement de la filière lait "bétail sur pied" à l'échelle de l'Afrique de l'Ouest et Centrale ou les prix de vente du bétail conditionne largement les niveaux de vie des communautés pastorales et agro pastorales. -
Le conseil en agroécologie en Afrique de l’Ouest : constats et leviers stratégiques pour son développement
En Afrique de l’Ouest, des efforts croissants sont engagés pour promouvoir l’agroécologie comme alternative au modèle agricole de la révolution verte. Les résultats obtenus sont encore mitigés et les transitions agroécologiques à grande échelle sont encore rares, fragiles et incertaines. Cette situation est en grande partie liée à la difficulté actuelle du conseil Agricole à jouer son rôle de facilitateur d’innovation en agriculture. Ce rôle mérite d’être mieux reconnu et pris en compte lors de la planification des investissements pour la promotion de l’agroécologie. Mais, il est surtout important d’identifier et de mettre en œuvre des mesures adaptées qui permettraient de libérer le potentiel du conseil en agroécologie. Cette préoccupation est au centre de la présente note d’orientation politique. Les connaissances et préconisations exposées dans ce document sont issues d’une étude régionale sur la sensibilité du conseil Agricole à l’agroécologie et d’une série de dialogues stratégiques à travers trois webinaires internationaux organisés par le projet ACOTAF. -
Projet d'intensification de l'agriculture par le renforcement des boutiques d'intrants coopératives
Le problème principal à résoudre réside dans la faiblesse des rendements vivriers, donc des revenus en milieu rural, la dégradation des conditions et milieux de production (fertilité), dans l'insécurité alimentaire plus ou moins chronique et structurelle qui en résulte. Un problème conjoint est celui de l'accès à la connaissance des techniques modernes correctrices des défauts de fertilité. En effet, les revenus des populations rurales proviennent de systèmes de production non durables, de type minier, et restent faibles et aléatoires ; De ce fait, Ils ont du mal à s'approvisionner en intrants de qualité pour fonder des systèmes productifs durables. De plus, leurs possibilités d'accès aux sources financières pour investir dans des activités rentables (approvisionnements, investissements fixes) sont très faibles et à des coûts élevés, sans compter qu'elles sont souvent endettées et obligées de vendre leurs produits à la récolte (au plus bas prix). -
Analyse de la compétitivité régionale des filières tomates et pomme de terre au Bénin, au Niger et au Nigeria
Les échanges commerciaux entre le Nigeria et ses quatre voisins immédiats (Bénin, Cameroun, Niger Lac Tchad) sont très anciens. Ils portent sur une gamme très variée de produits tant agricoles que manufacturés, produits localement ou importés du marché international. Ces transactions ont pris au fil des années des normes variées, des exportations au transit en passant par de la réexportation sur fond de contrebande quasi artificielle dans certains cas. En effet, les opérateurs économiques ont de tout temps adapté, voire ajusté, leurs stratégies à la conjoncture et aux politiques économiques conduites dans chacun des cinq pays. Celles du Nigeria se révéleront particulièrement déterminantes dans l'orientation des flux des marchandises. -
Améliorer les perspectives et qualité de vie au village
Le présent module est la suite logique des 2 premiers modules (agriculture + élevage) proposés par le Projet Sahel Agro Formation de Swisscontact et par le Centre d'études et d'expérimentations Economiques et Sociales de l'Afrique de l'Ouest (CESAO). Pour cette animation, plus encore que les deux premières, le formateur / animateur aura à cœur de faire découvrir en faisant observer les différents dessins et photos et en posant des questions. Il ne s'agit plus de sciences exactes mais bien de la nécessité de changer de point de vue et de comportement. Chacun aura à faire ses propres choix ; sans doute d’autres pistes qui ne figurent pas dans le module vous seront proposées. -
Évaluation des ressources ligneuses de la Commune rurale de Allela (Département de Konni)
Ce rapport est le résultat d'une mission d’appui au Programme de coopération décentralisée entre la région de Picardie (en France) et les douze communes des départements de Konni et Madaoua). Réalisée du 27 juin au 27 juillet 2011 dans le Département de Konni (Commune d’Allela), la mission s’inscrit dans un premier temps, dans le cadre de l’élaboration du schéma d’aménagement forestier de la Commune d’Allela avec l’appui du PKM. La seconde ambition sous-jacente est aussi de mettre en place un système fiable de gestion des MR et de toutes les ressources forestières de la commune. -
Cartographie des formations ligneuses de la Commune rurale d'Alléla (Département de Konni)
Cette étude s’inscrit dans le cadre de l’élaboration concertée du schéma de développement forestier durable de la Commune d’Alléla (SAF). Elle a pour objectif de connaître l’évolution et la situation actuelle des peuplements ligneux de la commune d’Alléla. -
Projet de restauration et de gestion des terres dégradées pour une amélioration durable de la production agro-sylvo-pastorale dans les communes de Alléla et Sabon Guida
A travers la récupération des terres et végétations dégradées et une gestion concertée et suivie ce projet a comme objectif de contribuer à une gestion durable et adapte aux changements climatiques des espaces agro-sylvo pastoraux afin que ceux-ci augmentent leur production et contribuent de manière accrue à l’amélioration de la sécurité alimentaire durable des populations des communes concernées. Afin d’atteindre cette objectif les communes avec l’appui du Programme de coopération décentralisée vont mettre en œuvre ce projet ensemble avec les services techniques des domaines concernées, les Comités de gestion des espaces environnementaux, l’implication des Commissions foncières, les commissions spécialisées et les groupes socioprofessionnels concernés. -
Vulnérabilités et efforts d’adaptation des familles de pasteurs face aux crises récurrentes, Enseignements tirés de l’analyse de l’activité pastorale dans les trajectoires familiales
Quatre études de cas, localisées dans la communauté rurale de Téssékré du Ferlo au Sénégal, sur la commune de Djougou au Nord-Bénin, sur la commune de Dantiandou à l’Ouest du Niger et sur la commune de Hombori au Mali, ont été conduites dans le cadre du programme ECLiS en 2009 et 2010. Ces analyses ont concerné quarante-six familles d’éleveurs dans leur trajectoire d’évolution sur les cinquante dernières années. Ces trajectoires familiales mettent en évidence la perception qu’ont les éleveurs des crises et des aléas successifs qu’ils ont eu à affronter de manière récurrente : sécheresses, épidémies, insécurité, contraintes liées aux politiques d’aménagement… Face à ces différents facteurs mettant à l’épreuve la vulnérabilité des familles, les éleveurs ont développé des réponses et des stratégies dont l’efficacité est évaluée de manière rétrospective : diversification de la mobilité, accès aux aliments du bétail, développement de la pluriactivité, pratiques nouvelles contre l’insécurité. Ce travail d’études de cas, d’ordre qualitatif, permet une lecture croisée de la vulnérabilité et de l’adaptabilité des éleveurs u pastoralisme face aux aléas divers qu’ils soient directs ou indirects. Il permet d’appréhender les stratégies d’adaptation des pasteurs (tactiques immédiates, stratégies à moyen terme, notamment par la mobilité des hommes et des troupeaux). Il s’agit donc ici de témoignages d’éleveurs situés dans des contextes éloignés, qui nous informent sur leurs vulnérabilités et sur leurs efforts d’adaptation, face aux crises récurrentes et diverses. -
État des lieux sur l'exploitation des ressources forestières de la commune rurale de Allela
La présente étude participe au processus d’élaboration concertée du schéma d’aménagement forestier de la commune rurale de Alléla (SAFA). Elle est un appui apporté par le PKM dans le cadre de la promotion d'une bonne gouvernance des ressources forestières, par le transfert de la gestion à la commune et aux communautés villageoises. Les résultats qui en seront issus serviront :
• De support de discussion et de décisions aux acteurs engagés dans le processus d’élaboration du SAFA, notamment au cours des concertations de définition d’objectifs communs de développement forestier communal,
• aux experts chargés de la compilation des données du schéma, qui disposeront de données directement exploitables pour des besoins de capitalisation,
• à la commune dans sa politique globale d’aménagement du territoire ou d’actualisation de son plan de développement communal. -
Systèmes maraîchers périurbains au Niger : quels besoins de transitions agroécologiques ? comment ces transitions sont-elles accompagnées ? Expériences et observations CRA/RECA
Cette étude se penche sur les systèmes maraichers périurbains au Niger ; le mécanisme d'accompagnement des transitions agroécologiques et les expériences et observations CRA/RECA. -
Hygiène pour la production de lait
Waayiyan waate hananyanGuide sur les bonnes pratiques hygiéniques à prendre en compte au moment de traire les animaux. -
Capitalisation de la recherche action MMD en milieu pastoral
Le système MMD consiste en une tontine « modernisée ». Le groupe peut comprendre jusqu’à 40 femmes, qui, à travers les cotisations périodiques (hebdomadaire, bi hebdomadaire, mensuelle), parviennent à constituer des fonds considérables. Les cotisations varient entre 25Fcfa et 1.000Fcfa selon les groupements et la capacité à épargner. Certains groupements permettent à leurs membres de verser deux fois le montant fixé par le groupe et de bénéficier alors de « deux quote-parts » dans l’épargne. -
Le conseil Agricole et accompagnement des transitions agroécologiques : une analyse transnationale des dynamiques, défis et perspectives dans cinq pays d'Afrique de l'Ouest
Le présent document est une synthèse des rapports des études diagnostic conduites dans les cinq pays du projet ACOTAF. En plus de contribuer à la planification interne de ACOTAF, l’objectif du présent rapport est de présenter les résultats d’une analyse transnationale de cinq rapports de diagnostic national ACOTAF publiés afi n d’en tirer des leçons pour le conseil agricole au niveau régional. Il a aussi pour vocation de servir de support pour mettre en débat les premiers résultats du projet et d’engager des échanges et des apprentissages avec d’autres acteurs et parties prenantes de l’agroécologie et du conseil agricole indépendamment de leurs échelles d’intervention ou aire géographique. Ce rapport est destiné aux responsables de la planification et de la mise en œuvre des projets, aux décideurs politiques et aux autres personnes intéressées par l’amélioration du conseil agricole dédié à l’agroécologie dans leurs pays et leurs projets. -
Profil des risques climatiques des chaînes de valeur des principales cultures de la Région de Tillabéri, Niger
A l’instar des régions du Niger, l’agriculture de la région de Tillabéri fait face à plusieurs conséquences néfastes du changement climatique affectant le développement agricole de la région. Cependant, il existe diverses potentialités pour développer ce secteur agricole afin de mieux supporter les chocs climatiques telles que l’Agriculture Intelligente face au Climat (AIC). C’est ainsi que depuis 2011, le programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l’Agriculture et la Sécurité alimentaire (CCAFS) met en œuvre au Niger, un projet de développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance. Ce projet s’articule autour de trois activités principales, à savoir (i) l’analyse des chaînes de valeur afin d’identifier les risques climatiques et autres contraintes auxquelles font face les chaînes de valeur et qui pourraient être résolues par des options climato-intelligentes, (ii) l’intégration d’options agricoles climato-intelligentes (AIC) fondées sur des évidences dans les chaînes de valeur sélectionnées par le biais des plateformes d’innovation multipartites et (iii) l’élaboration d’un cadre conceptuel pour l’analyse de chaînes de valeur climato-intelligente. -
Étude sur la transhumance au Sahel : dix constats sur la mobilité du bétail en Afrique de l'Ouest
L’étude s’est intéressée à trois transhumances de saison sèche, celles de 2014-2015, de 2015-2016 et de 2016-2017. À chaque fois, les enquêtes ont été conduites environ 6 semaines après le retour des familles dans leur terroir d’attache. La première enquête a porté sur 386 ménages répartis entre le nord du Sénégal (70) le sud de la Mauritanie (70), le nord et l’est du Burkina (70), l’ouest du Niger (71), le nord et l’ouest du Mali (105). Au total, 1 300 hommes, 450 femmes et 670 enfants sont partis avec près de 40 000 bovins, 47 000 ovins et 16 000 caprins. Cette enquête a permis d’identifier une soixantaine de familles en situation de précarité. C’est sur elles que l’étude s’est ensuite intéressée en priorité au cours des deux années suivantes1. -
Profil des systèmes alimentaires - Niger : activer la transformation durable et inclusive de nos systèmes alimentaires
Cette note de synthèse est organisée comme suit : la première section présente le contexte national à partir de quelques indicateurs clés sur la démographie, l’économie, l’accès aux services de base, l’environnement. La section 2 donne un aperçu de la production alimentaire, de la consommation et des échanges commerciaux. La section 3 présente les principaux acteurs des systèmes alimentaires. Ces éléments jettent les bases d’une discussion dans la section 4 sur les questions clés de durabilité qui affectent les systèmes alimentaires ainsi que sur les potentiels leviers systémiques à actionner. La section 5 conclut par un projet de la transition vers des systèmes alimentaires durables. -
Guide pratique de contrôle de la qualité du lait à la réception
Le lait est un aliment très riche en éléments nutritifs et en eau. Il
représente une matière première essentielle pour la fabrication
de divers produits. Toutefois, en raison de sa nature fragile, il est
exposé à une variété de microbes et constitue un excellent milieu
de culture pour leur prolifération. Parmi ces microbes, certains,
tels que L. bulgaricus et S. thermophilus, sont recherchés en
raison de leurs propriétés bénéfiques pour la santé et sont utilisés
dans la fabrication de divers produits tels que le yaourt. En
revanche, d'autres microbes indésirables (pathogènes), comme
les Salmonelles, la Listéria, le Staphylocoque…, peuvent altérer
le goût, l’odeur, et la qualité des produits finis, voire les rendre
dangereux pour la consommation. -
La pasteurisation du lait cru pour les petites unités de transformation laitières
Le lait occupe une place essentielle dans l'alimentation des
populations au Niger. Il constitue une source importante de
nutriments tels que les protéines, les vitamines, les
minéraux, etc. Ces dernières années, des petites unités de
transformation laitières ont vu le jour, visant à valoriser le
lait local et à fournir des produits laitiers de qualité. Ces
entreprises se procurent principalement du lait cru collecté
localement. Cependant, elles font face à plusieurs défis pour
garantir la sécurité sanitaire de leurs produits.
Pendant la transformation du lait, une étape cruciale se dessine : la pasteurisation. -
Rapport de l’Atelier de lancement au Niger du Projet « Des Arbres pour Reverdir l’Afrique »
L’atelier de lancement du Projet Des Arbres pour Reverdir l’Afrique a permis de rassembler les acteurs clefs du domaine d’utilisation des sols, portant sur le partage des éléments du cadre logique du projet, les problématiques, itinéraires et réflexions relatives en Gestion Durable des Terres (GDT). Le but visé à long terme, par le projet, est d’inverser le processus de la dégradation des terres en Afrique par l’adoption à grande échelle de l’agroforesterie. L’objectif de lancement de l’atelier a été d’une part, de communiquer et partager les informations et les connaissances sur le projet ; et d’autre part, de favoriser l’évaluation économique neutre de la GDT ainsi que le renforcement des capacités en vue de conduire des actions éclairées et concertées. -
Etude sur le crédit agricole dans trois villages de la région de Maradi (Niger)
La nécessité d'augmenter sensiblement les capitaux et crédits disponibles pour l'agriculture dans les pays en développement est d'ores et déjà un fait, établi, comme en témoignent les plans élaborés en vue d'assurer à l'agriculture, grâce aux sources internationales, un financement élargi. -
Panorama des meilleures pratiques de montage et de mise en œuvre des projets d’adaptation dans l’agriculture
Ce panorama vise à restituer les leçons apprises et les bonnes pratiques dans la conception, le montage, la mise en œuvre jusqu’à la capitalisation des projets pilotes soutenus par le programme GCCA+ AO. Ceci afin de soutenir les futurs porteurs de projets et aboutir à une meilleure prise en compte de l’adaptation à chaque étape du cycle du projet. -
Les centres de collecte de lait au Niger, pour une dynamique territoriale au service des éleveurs
Affiche sur la filière lait local en bref au Niger. -
Femmes, rapports de genre et agroécologie au Niger – Quelles places des femmes dans les transitions agroécologiques ? Quelles places dans le Conseil Agricole pour accompagner ces transitions ?
Les femmes sont-elles les premières praticiennes de l’agroécologie au Niger ? Des rapports de genre peuvent-ils expliquer une éventuelle différence sexo-spécifique de sensibilité à l’agroécologie ? Quelle est la place actuelle des femmes dans le Conseil Agricole au Niger ? Comment pourrait-il mieux accompagner les femmes dans les transitions agroécologiques ? Quelles leçons peut-on tirer pour le Conseil Agricole en général, autant pour les hommes que pour les femmes ? Ce sont les questions qui sont traitées dans ce rapport produit par le projet ACOTAF. -
Le PPR : une contribution à l’aménagement et à la gestion concertés du potentiel naturel productif des régions de Tahoua et d’Agadez
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. Cette publication est réalisée par l’assistance technique au Projet Pôles Ruraux, le consortium IRAM–RAIL–ECO Consult–Interarchi. -
Le PPR : des dispositifs de formation et accompagnement au service de l’insertion des jeunes ruraux
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. -
Le PPR : un dispositif intégré de soutien au financement de l’agriculture irriguée
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. -
Le PPR : une contribution à l’aménagement et à la gestion concertés du potentiel naturel productif des régions de Tahoua et d’Agadez
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. -
Quelles politiques commerciales et fiscales au service du développement durable des chaines de valeur lait local en AFRIQUE DE L’OUEST ? Propositions aux acteurs Ouest-Africains et Européens
La montée en puissance de la filière lait local en Afrique de l’Ouest constitue un enjeu majeur en termes d’emplois, de revenus, de lutte contre la pauvreté des populations et de développement socio-économique dans les zones pastorales et agro-pastorales dans
un contexte de multiplication des conflits et de déstabilisation de la région. L’enjeu du développement de la filière lait local est également essentiel en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle, d’équilibre de la balance commerciale et d’économie en devises. Si la production laitière est en hausse constante depuis vingt ans, la croissance est insuffisante pour faire face à l’augmentation de la demande. Le taux d’autosuffisance en lait de la région qui était de 60% au début du siècle n’est plus que de 41%. Au rythme actuel d’évolution de la consommation et de la production, ce taux ne sera plus que d’un tiers dans deux décennies. -
Lutter contre les parasites du mouton
Le niveau d’infestation parasitaire doit faire l’objet d’un contrôle. Dans le cas contraire, l’infestation peut entraîner des saignements, l’amaigrissement et même la mort de l’animal. En cas d’hydatidose (maladie due à l’infestation par un ténia), le cycle biologique devra être surveillé pour éviter que ne surgisse un problème de santé publique entraînant la mort des personnes infectées. -
SUSTLIVES : Coordination et alignement avec DeSIRA et sur la planification et les priorités de l’Union Européenne
Le projet SUSTLIVES a délimité son champ d’intervention (à travers le choix des NUS et des sites) durant la première année et, sur cette base, durant la deuxième année il a, d’un côté, renforcé le dialogue stratégique entamé, notamment avec le CIRAD et le Roppa (Réseau des Organisations Paysannes et de Producteurs de l’Afrique de l’Ouest), et, de l’autre, approfondi la collaboration opérationnelle avec d’autres acteurs, comme le CGIAR (Consultative Group for International Agricultural Research) et l’Agence Espagnole de Coopération au Développement (AECID) dans le cadre d’initiatives déjà identifiées. -
Élaboration d’une vision commune pour renforcer la performance,l’équité et la gouvernance des organisations de producteurs et productrices agricoles au Niger
Au Niger, la structuration du monde paysan et l’amélioration des conditions de vie des petits producteurs et productrices agricoles sont des défis de grande ampleur. La majorité des organisations se heurtent à l’insuffisance d’appui et de formation en matière de mise en place d’OP, de leur gestion et de leur fonctionnement. Parmi les principaux obstacles, on compte également l’absence ou l’insuffisance d’éducation et d’alphabétisation des petits producteurs, notamment des femmes, ainsi que l’insuffisance des moyens financiers. A ces obstacles se rajoutent les difficultés d’accès au marché et la méconnaissance et/ou la mauvaise compréhension de la législation , ainsi que la difficulté à les faire respecter. Selon le dernier recensement de l'agriculture et de l'élevage général (2008), il existe 29 462 OP au Niger, mais seulement un nombre limité d’entre elles fait partie d'un réseau organisé. Celles-ci sont subdivisées en unions (11%), fédérations (2%) et confédérations (1%). De ce fait, 86% des OP au Niger ne font partie d’aucune structure spécifique. -
Facteurs clés de succès pour la production et la commercialisation d'aliments fortifiés au Sahel
Dans les pays du Sahel, la malnutrition est très présente en ville, particulièrement dans les quartiers précaires, mais peu d’actions de prévention y sont conduites. L’offre en aliments fortifiés de qualité à un prix abordable est encore très faible. Pourtant, les ménages portent une attention croissante à la qualité nutritionnelle et sanitaire des aliments qu’ils consomment, et l’évolution des habitudes de consommation en zone urbaine fait apparaître de nouvelles opportunités. Ce potentiel encore sous exploité au Sahel représente une opportunité pour les entreprises alimentaires privées locales. -
Hygiène du lait - producteurs laitiers / guide de bonnes et mauvaises pratiques
Cette note vise à présenter, à travers des images, les mauvaises pratiques à éviter (en rouge), ainsi que les bonnes pratiques d'hygiène à adopter (en bleu) dans le processus de production laitière. -
Lutte contre les mouches des fruits : l'augmentorium
Pour limiter la prolifération des mouches des fruits, il faut ramasser et détruire les fruits piqués qui contiennent les larves et donc les futures
mouches. -
Le purin de papaye en maraichage
Le papayer est un fruit bien connu des habitants du pacifique. Habituellement consommé pour ses feuilles ou ses fruits, il contient une substance (la papaïne) réputée insecicide. -
Gestion des boutiques d’Intrants Agricoles
Guide d'apprentissage sur les gestion de la boutique d'intrants agricoles.