Une haie est composée de buissons, arbustes, arbrisseaux ou arbres plantés serrés, dans un but de délimitation, de défense ou de protection. C’est une clôture vivante caractérisée par une faible largeur et une faible hauteur : on la taille pour limiter son développement. Il ne faut pas confondre la haie-vive avec le brise-vent, la bande boisée, ou le rideau-abri, plus larges et plus hauts et dont les arbres ne sont pas taillés.
Les structures de recherches nationales et internationales (INRAN, CRS-EL, CMB, le LABOCEL, AGRHYMET, IEMVT, ILRI etc.) et les facultés d’Agronomie des Universités publiques ont généré de nombreuses technologies et innovations dans les domaines de l’amélioration génétique, la santé animale, les productions animales, productions fourragères, l’alimentation et toutes les autres questions autour de l’étude et la valorisation des filières et de transfert de technologies.
La capitalisation de ces résultats permettra leur meilleure vulgarisation et diffusion au profit des producteurs pour améliorer la production et la productivité.
C’est dans ce cadre que le CNRA en collaboration avec le PRADEL ont organisé un atelier de capitalisation des résultats de la recherche vétérinaire et zootechnique. Cet atelier fait suite à un avis d’appel à proposition qui a permis de retenir 16 communications dans les domaines cités ci-dessus.
Espèce recommandée pour la création de haies-vives défensives, fourragères ou ornementales. Il y a environ 9.000 graines par kg. Elles se conservent bien à température ambiante. Les graines sont prétraitées par ébouillantage puis trempage de 18 à 24 heures dans l’eau ou par acide sulfurique concentré pendant 30 à 60 minutes. Les graines prétraitées sont semées directement en pot.
Le jujubier est plastique et rustique. Il aime les sols sableux à limoneux, bien drainés, de pH neutre ou légèrement alcalin. Il supporte une faible fertilité du sol et une grande variété de climats mais on le trouve principalement dans des zones avec une longue saison sèche.
La production végétale au Niger est une la plus grande source de revenus et d’aliments pour les populations rurales et apporte une contribution significative à l’économie nationale. Dans ce pays où la croissance démographique continue à un rythme supérieur à 3% par an, l’augmentation de la production agricole est un facteur déterminant du maintien, si ce n’est de la progression de l’approvisionnement alimentaire des populations.
L'élevage de volailles à l'échelle de la famille est très peu pris en compte dans les politiques publiques des pays en développement. La poule locale traditionnelle ou <<poulet bicyclette>> n'a malheureusement pas pu s'imposer à l'élevage de grande échelle, en raison de sa faible productivité, d'une vitesse de croissance lente et d'une rentabilité jugée insuffisante.
L'objectif général de cette étude est de contribuer à l’amélioration des revenus et la sécurité alimentaire des ménages ruraux dans un contexte de variabilité climatique.