Alors que les chefs d’État africains avaient en 2003 pris l’engagement de consacrer 10 pourcents de leur budget national à l’agriculture conscients de son l’importance dans le développement économique, la lutte contre la pauvreté et l’amélioration de la sécurité alimentaire, le secteur agricole reste marginalisé en Afrique au regard de la faiblesse des investissements publics notée dans ce domaine.